Chers amis

Abraham LINCOLN a dit :

« On peut tromper une partie du peuple tout le temps et tout le peuple une partie du temps mais on ne peut pas tromper tout le peuple tout le temps. » Cette lettre des époux DELEPINE ( de grands médecins d’une rigueur intellectuelle admirable)résume bien la situation.

Le 15 07 22

 

Lettre ouverte à Mesdames les sénatrices et Messieurs les sénateurs

De G et N Delépine nicole.delepine1@gmail.com

Médecins cancérologues depuis plus de quarante ans, nous venons une nouvelle fois solliciter votre attention, quant au nouveau vote prévu sur la loi anticovid, et en particulier le pass sanitaire et la gravité d’une incitation directe ou indirecte à la vaccination des plus jeunes.

Nous avons été heureux que des députés de différentes mouvances s’unissent pour traduire les remontées du terrain, le vécu de leurs administrés terriblement marqués par l’échec évident du pseudo vaccin et des passes dont ils refusent la prolongation. De nombreux citoyens avaient cédé aux espoirs d’une solution efficace et durable, pour rester dans le groupe des non complotistes tant vilipendés et gagner leur vie (beaucoup de malgré eux..).

Ils sont déçus par l’inefficacité des vaccins, prouvée par la demande répétée de rappels

Avant ces injections ARNm aucun vaccin n’avait nécessité une telle fréquence d’injections. Les vaccinés sont de plus en plus nombreux à s’inquiéter des conséquences néfastes constatées par eux-mêmes et chez leurs proches : grande asthénie, cardiopathies, troubles neurologiques, cutanés, rhumatologiques, reviviscence de maladies chroniques et apparition de cancers rapidement évolutifs et intraitables entre autres. Beaucoup de sites en témoignent et nos anciens patients cancéreux inquiets nous demandent directement par téléphone ou mails  de transmettre leurs angoisses à qui de droit, donc à vous tous, nos représentants.

En ce qui concerne les enfants, rappelons qu’ils ne risquent rien du covid et innocents de toute transmission en dépit des assertions inexactes  que nous regrettons de Mme La présidente de l’Assemblée nationale et du nouveau ministre de la Santé. Cette bénignité du covid infantile, affirmée depuis 2020 par toutes les revues internationales est confirmées par toutes les sociétés de pédiatrie du monde. Alors pourquoi leur faire courir un risque par une injection ARNm qui mettrait en péril leur avenir médical et leur fertilité pour un risque zero du covid et sans apporter aucune protection des autres humains puisque l’injection n’empêche pas les transmissions ?

En résumé, le covid infantile est une sorte de grippe curable par les traitements précoces (qui ont protégé les pays pauvres non vaccinés) mais qui ont été interdits ici par le pouvoir sans aucun élément scientifique réel.

Les tests PCR répétés qui grèvent le budget de la sécurité sociale ne servent à rien, car non spécifiques comme la FDA l’a récemment avoué, et ne permettent en aucun cas de dire si un cas positif est réellement porteur du virus et contagieux ou non.

Les masques ont démontré leur inefficacité dans le seul essai randomisé publié et par l’analyse de la cinétique de l’épidémie mais augmentent le risque d’infection bactérienne, donc à proscrire.

Les vaccins eux -mêmes ne protègent pas du covid, ni de la transmission ni des formes graves.

Ils fragilisent les sujets qui les reçoivent par une baisse de leur immunité naturelle particulièrement marquée après les rappels, rendant les vaccinés beaucoup plus à risque d’infections opportunistes y compris un nouveau covid (comme les patients le constatent trop souvent) responsable d’un important absentéisme au travail qui handicape les entreprises.

Ils sont la source de très nombreux effets dits indésirables à tous les âges de la vie, de la multiplication des fausses couches, les problèmes menstruels (médiatisés par « où est mon cycle », les myocardites et péricardites particulièrement chez les plus jeunes sources d’arrêt cardiaque à l’effort chez trop de grands sportifs. Les régressions intellectuelles sont plus décrites chez les sujets âgés qui perdent leurs repères. Les sites officiels EudraVigilance pour l’EMA, VAERS pour la FDA et les CDC américains, MHRA pour les anglosaxons permettent à chacun de vérifier que le nombre de morts rapportées après vaccination atteint plusieurs milliers. Rappelons que tout essai conduisant à quelques dizaines de décès était stoppé avant cette triste violation des règles sécuritaires de base : le vaccin contre la grippe aviaire a été stoppé après 53 décès. Le conseil mondial de la santé qui regroupe médecins et scientifiques de différents pays supplient les dirigeants de stopper ces injections encore expérimentales inutiles et toxiques. Les entendrez-vous ?

Dans ces conditions, le pass sanitaire n’a évidemment aucune justification médicale.

Chaque point de ce court résumé est étayé par une lourde bibliographie que nous tenons à votre disposition[1]. Ce cri d’alerte n’est là que pour relayer auprès de vous les faits établis et le vécu de nos concitoyens. Notre plus grande inquiétude à tous est la protection des enfants et des sujets jeunes à risque zéro du covid, mais que les injections exposent à des complications précoces parfois graves et des risques tardifs inconnus.

Nous vous remercions de votre attention et restons à votre disposition. Avec nos sentiments reconnaissants et dévoués.

Drs Nicole Delépine pédiatre et cancérologue et Gérard Delépine

[1] Quelques articles résumant la bibliographie pour chaque point sont entre autres, sur notre site   www.docteurnicoledelepine.fr     https://t.me/DrDelepine  sur telegram

Note de TAL tout est dit dans ce document précieux à faire circuler au maximum pour éveiller les consciences!!

Tous vaxxés…….mais c’est une coïncidence!

https://babafig.com/blogs/6264/Les-journalistes-pr%C3%A9sentateurs-TV-et-les-sportifs-TOMBENT-comme-des

80% des échantillons d’urine d’enfants et d’adultes ont été testés positifs pour le glyphosate cancérigène, selon le CDC

Une étude des Centers for Disease Control and Prevention a trouvé du glyphosate, l’ingrédient clé du désherbant Roundup de Monsanto, dans plus de 80% des échantillons d’urine prélevés sur des enfants et des adultes aux États-Unis – une découverte que les scientifiques ont qualifiée de “dérangeante”.

https://childrenshealthdefense.org/defender/cdc-study-cancer-glyphosate-roundup/?utm_source=salsa&eType=EmailBlastContent&eId=7e133681-7af4-4fdf-b25a-25a7e42ccc05

Plus de 80% des échantillons d’urine prélevés sur des enfants et des adultes dans une étude américaine sur la santé contenaient un produit chimique désherbant lié au cancer, une découverte que les scientifiques ont qualifiée de “dérangeante” et “préoccupante”.

Le rapport d’une unité des Centers for Disease Control and Prevention (CDC) a révélé que sur 2 310 échantillons d’urine, prélevés sur un groupe d’Américains censés être représentatifs de la population américaine, 1 885 contenaient des traces détectables de glyphosate .

Le glyphosate est l’ingrédient actif des herbicides vendus dans le monde, y compris la marque Roundup largement utilisée. Près d’un tiers des participants étaient des enfants âgés de 6 à 18 ans.

Les universitaires et les chercheurs privés ont noté des niveaux élevés de l’herbicide glyphosate dans les analyses d’échantillons d’urine humaine pendant des années.

Mais le CDC n’a commencé que récemment à examiner l’étendue de l’exposition humaine au glyphosate aux États-Unis, et son travail intervient à un moment où les inquiétudes et la controverse augmentent sur l’impact des pesticides dans les aliments et l’eau sur la santé humaine et environnementale .

Suite de l’article sur le site

Ukraine: la guerre hybride de l’OTAN+ (Lucien Cerise)

Ukraine: la guerre hybride de l’OTAN+ (Lucien Cerise)

Une analyse très fine de ce qui se passe en Ukraine…Dès 2014 l’OTAN a soutenu un « chaos contrôlé » destiné à affaiblir et détruire la Russie. L’intervention russe a mis fin au « grand reset », le mondialisme unipolaire de Schwab, Gates et autres. Les Etats-Unis et leurs vassaux voulaient une Russie à genoux pour imposer leur autorité sur le monde. Poutine a apporté la fin de l’Etat Profond.

Youtube /Des pilotes subissent des effets secondaires en plein vol !” – Diane Protat.

L’ avocate du collectif des Navigants Libres, alerte sur un risque accru d’effets secondaires graves qui peuvent subvenir lors d’un vol chez les pilotes, hôtesses et stewarts.

Youtube : “Merci au CO2″, les vérités du physicien François Gervais sur les causes du réchauffement climatique

Nous émettons 25 tonnes de CO2 en expirant en une seule vie ! Le CO2 est indispensable à la vie des plantes et on l’a accusé à tort d’être la cause du réchauffement climatique. La « fixette » sur le CO2 est une affaire commerciale pour taxer les gens alors que le CO2 n’est pas du tout la cause des problèmes de notre temps. Le réchauffement climatique est devenu une religion, comme l’a été le COVID une religion sans aucune base scientifique.

L’urgence climatique n’existe pas. Une déclaration de 900 scientifiques l’a dit mais la presse n’en a pas parlé !

1 enfant américain sur 30 diagnostiqué avec l’autisme en 2020

Environ 1 enfant et adolescent sur 30 âgés de 3 à 17 ans a reçu un diagnostic de trouble du spectre autistique en 2020, selon une lettre de recherche de JAMA Pediatrics, qui fait également référence à une nouvelle étude montrant une augmentation de 53 % des TSA chez les jeunes Américains depuis 2017.

https://childrenshealthdefense.org/defender/kids-diagnosed-autism-spectrum-disorder-jama-pediatrics/?utm_source=salsa&eType=EmailBlastContent&eId=b550ae70-3137-4706-bbfb-01e786147e8a

L’article montre que les autorités n’ont pas encore vraiment pris en compte le rôle néfaste des vaccins et des pollutions modernes qui affectent la santé des enfants… c’est dramatique !!

Règles de quarantaine COVID de New York inconstitutionnelles et illégales:

Un juge de la Cour suprême de New York a discrètement statué ce mois-ci que les réglementations exigeant que les personnes infectées ou exposées à des maladies transmissibles hautement contagieuses soient mises en quarantaine constituent une violation de la loi de l’État, les déclarant nulles et non avenues. 

https://childrenshealthdefense.org/defender/bb-new-york-judge-ruled-covid-quarantine-unconstitutional-illegal/?utm_source=salsa&eType=EmailBlastContent&eId=b550ae70-3137-4706-bbfb-01e786147e8a

GRAPHÈNE / 5G – LES VACCINÉS EN DANGER💥

https://odysee.com/@PhilippeBirien:9/1U-vk–01-07-2022-les-vaccin%C3%A9s-en-danger:5

Une brillante démonstration par Patrick JAULENT des dangers des nanoparticules injectées avec les pseudo-vaccins et qui, par le graphène, rendent les êtres humains sensibles aux ondes de la 5G. Une preuve de plus du génocide planétaire qui est en cours…

L’immunité naturelle est notre meilleure protection !

L’édito politique de Libre Consentement Éclairé

blog67a

Laith Jamal Abu-Raddad

Le docteur Laith Jamal Abu-Raddad est professeur des sciences de la santé des populations (« Population Health Sciences »). Il dirige au Qatar le centre de recherche en biomathématiques « Biostatistics, Epidemiology and Centre », qui est attaché à la filiale de la « Weill Cornell Medical College of Cornell University », dont les bureaux sont situés à Manhattan (New York).

   Des chercheurs de haut niveau osent publier le résultat de leurs recherches qui démontrent ce qu’ils savent depuis le début de leurs études de médecine, à savoir qu’il n’y a rien de mieux pour nous protéger des épidémies, que notre immunité naturelle (qui n’existe pas selon le « médecin » français de plateaux télé, Gilbert Deray).

   Bien, c’est donc pour nous l’occasion de saluer le courageux docteur Laith Jamal Abu-Raddad, qui vient de signer, avec 17 de ses confrères (plus on est, plus on se protège) une étude publiée en « preprint » dans « medRxiv ».

  L’étude de ces courageux médecins qui s’attaquent toute même frontalement à l’OMS, à Bill Gates, à Anthony Fauci, à la Maison-Blanche et à la Commission européenne de la très corrompue Ursula von der Leyen, a été réalisée entre 28 février 2020 et le 5 juin 2022.

   Elle couvre donc quasiment, du moins jusqu’au 5 juin 2022, toute la période de la fausse pandémie de « C19 ».

   « Sans « va x in », une primo-infection au « C19 » protège à 97,3 %contre la réinfection grave, critique ou mortelle. »

   Leurs conclusions sont basées sur trois études de cohorte nationales (Qatar) dites « appariées et rétrospectives »

    À ce sujet, « rétrospective » signifie en principe que l’on a exploré le passé médical de personnes, et « appariées » signifie qu’il a été comparé des cas de personnes qui ont développé les signes pathologiques associés au « C19 » (elles ont attrapé le « C19 ») à des personnes qui n’ont présenté aucun de ces signes pathologiques (elles n’ont pas attrapé le « C19 »).

   Les auteurs de l’étude ont comparé chez les personnes non-« va xi nées » : l’incidence d’une infection primaire et documentée du « C19 » pré-Omicron, à la gravité des maladies apparues en association avec une nouvelle infection du « C19 », par rapport à cette même gravité chez les personnes victimes d’une infection du « C19 » alors qu’elles n’avaient jamais été « infectées ».

   Constat des chercheurs : « L’efficacité de la primo-infection pré-Omicron contre la réinfection pré-Omicron était de 85,5 % (IC à 95 % : 84,8-86,2 %). L’efficacité a culminé à 90,5 % (IC à 95 % : 88,4-92,3 %) au cours du 7e mois après la primo-infection, mais a diminué à environ 70 % au 16e mois. L’extrapolation de cette tendance à la baisse à l’aide d’une courbe de Gompertz a suggéré une efficacité de 50 % au 22e mois et <10 % au 32e mois. L’efficacité de la primo-infection pré-Omicron contre la réinfection par Omicron était de 38,1 % (IC à 95 % : 36,3-39,8 %) et diminuait avec le temps depuis la primo-infection. Une courbe de Gompertz suggérait une efficacité <10% au 15e mois. L’efficacité de la primo-infection contre la réinfection grave, critique ou mortelle par le COVID-19 était de 97,3 % (IC à 95 % : 94,9-98,6 %), quelle que soit la variante de la primo-infection ou de la réinfection, et sans preuve de déclin. Des résultats similaires ont été trouvés dans les analyses de sous-groupes pour les ≥ 50 ans. »

   En conclusion, les courageux auteurs affirment : « La protection de l’infection naturelle contre la réinfection diminue et peut diminuer en quelques années. L’évasion immunitaire virale accélère ce déclin. La protection contre la réinfection sévère reste très forte, sans preuve de déclin, quelle que soit la variante, pendant plus de 14 mois après la primo-infection. »

   Avec cette étude, le mythe du « va x in » qui protège des formes graves s’effondre, scientifiquement, et définitivement.

Un pathologiste parle des effets du COVID Jab

https://www.theepochtimes.com/pathologist-speaks-out-about-covid-jab-effects_

À la suite du déploiement du jab COVID et des rappels supplémentaires, un certain nombre de problèmes de santé sont en augmentation, notamment le cancer, notamment les cancers de l’utérus, les cancers de l’endomètre et les cancers du sang et du cerveau très agressifs.

Un autre domaine de sous-spécialité sur lequel je me concentre est le mélanome. Et j’ai commencé à voir des mélanomes, non seulement chez les patients plus jeunes, car les injections diminuaient dans la cohorte d’âge, mais elles étaient plus épaisses. L’autre chose fascinante était qu’ils sont plus agressifs en termes de nombre de cellules en division présentes dans chaque tumeur. Je vois toujours ça.

Le cancer est un état hypoxique. Lorsque vous n’avez pas une bonne activité cellulaire, une respiration cellulaire et une hypo-oxygénation, vous vous retrouvez avec des mécanismes qui peuvent induire un cancer plus agressif. Donc, je pense qu’au minimum, [il y aura] deux à trois [augmentation]… au cours des deux prochaines années.

Il est très préoccupant que nous ayons des organismes de réglementation permettant au produit médical le plus dangereux jamais lancé sur l’humanité de persister sur le marché.

—Ryan Cole, docteur

Début janvier 2022, OneAmerica, une mutuelle nationale d’assurance-vie, a annoncé 2  que le taux de mortalité des Américains en âge de travailler (18 à 64 ans), au troisième trimestre 2021, était de 40 % supérieur aux niveaux prépandémiques. .

Comme  prédit par la chercheuse du MIT Stephanie Seneff, Ph.D. , nous commençons également à voir des rapports sur Creutzfeldt-Jakob – la maladie de la vache folle humaine – qui est une maladie à prions qui détruit essentiellement le cerveau.

Les accidents vasculaires cérébraux chez les jeunes et les enfants sont également en augmentation. Les médias essaient maintenant de vous convaincre que c’est “normal”, mais c’est tout sauf ça. Historiquement, les enfants et les adolescents ne meurent pas d’AVC. Il s’agit d’un tout nouveau phénomène, grâce aux jabs COVID.

 IMPORTANT : les injections COVID ne sont pas de qualité pharmaceutique

Seneff a également mis en garde contre les inconnues potentielles résultant de l’ARNm fragmenté et des impuretés, car des tests ont montré que ces jabs ne sont vraiment PAS de qualité pharmaceutique, comme vous vous en doutez. Cole commente :

« Ce ne sont pas des produits purs, et je pense que c’est un point très important. Lorsque Pfizer a soumis des flacons à l’Agence européenne des médicaments pour en vérifier la pureté… ils étaient d’environ 50 %… Le TGA en Australie l’a examiné et a déclaré : « Regardez, ils ne sont purs qu’à environ 60 %.

Cela signifie que vous avez beaucoup de séquences fragmentées d’ARNm qui n’ont pas de code d’arrêt ou de démarrage. Ils ne codent pas pour ce que vous pensez qu’ils codent. Ils codent pour d’autres fragments plus petits et plus courts. Sont-ils mitogéniques ? Probablement, mais nous ne savons pas. Est-ce que ces reverse transcrivent dans notre propre ADN ? Des études en Suède… montrent que oui, ils peuvent…

Et puis, quand ils fabriquent, ils ne peuvent pas les essorer et les agiter, donc vous obtenez tous ces lipides qui s’accumulent au sommet de ces grandes cuves. Alors maintenant, vous obtenez des lots hyperconcentrés et d’autres hypoconcentrés. Il semble qu’environ 5 % des lots soient responsables d’environ 80 % des dommages. »

Des maladies auto-immunes de toutes sortes sont à prévoir

Comme l’a expliqué Cole dans l’interview, il y a une raison pour laquelle il n’y a jamais eu de succès sur le marché d’un produit de thérapie génique par ARNm, malgré 20 ans d’efforts de recherche. La persistance de l’ARNm synthétique avec la pseudouridine a toujours causé trop de problèmes dans les essais sur les animaux pour passer aux essais sur l’homme. Il a provoqué une maladie auto-immune. Cela a provoqué des mutations. Les fabricants ne savent même pas si le nanolipide utilisé pour protéger l’ARNm est sans danger pour l’homme.

“Sur la base des essais sur les animaux, nous savons qu’il y a eu des problèmes et nous ne pouvons que prédire que cela va se produire dans l’humanité. Je veux me tromper, mais d’un point de vue immunologique de base, je ne pense pas que ce soit le cas »,  déclare Cole.

Pire encore, même s’il s’est avéré que les injections de COVID étaient un désastre complet, l’industrie pharmaceutique travaille déjà sur des dizaines de “vaccins” à ARNm différents, pensant qu’elle a désormais carte blanche pour diffuser ce qu’elle veut en utilisant cette plateforme.

Et la raison de cette folie continue est que nos autorités sanitaires et réglementaires sont corrompues jusqu’à la moelle. Ils sont complètement malhonnêtes. Ils dissimulent les dommages choquants, et à moins que quelque chose ne change radicalement, ils permettront à des dizaines d’injections de transfert de gène d’ARNm tout aussi dangereuses d’être effectuées.

Réactivation des virus latents

“Nous avons constaté une forte augmentation des virus de la famille de l’herpès, en particulier de l’herpès EBV4, qui est le virus d’Epstein-Barr [alias] la mononucléose”, déclare Cole. Ainsi, pour ceux qui souffrent de fatigue post-COVID ou post-jab, de long-COVID et ceux qui présentent des symptômes de type MS, il recommande de vérifier Epstein-Barr.

Fertilité sous attaque

Dans l’interview, Cole passe également en revue les impacts potentiels des piqûres COVID sur le système reproducteur. Le dérèglement menstruel semble extrêmement courant, tout comme l’incapacité de tomber enceinte, malgré des mois d’essais, et les avortements spontanés sont hors du commun. La base de données DMED a également montré un fort signal de malformation fœtale avant qu’elle ne soit gelée et modifiée.

«Ce que nous faisons à la société et à l’humanité avec une modalité et un produit jamais utilisés auparavant cause un tort horrible à la race humaine, sans égard pour la science, sans égard pour l’intégrité scientifique. C’est une machine qui a dérapé »,  dit Cole.

«Il y a des forces plus sombres derrière cela. Beaucoup de gens gagnent des milliards, mais ils tuent des gens pour le faire. Et c’est tellement contraire à l’éthique ce que nous vivons dans la société. Oui, nous causons l’infertilité. Oui, nous provoquons des mutations dans les cancers. Oui, nous causons des crises cardiaques et des accidents vasculaires cérébraux. Oui, nous détruisons la longévité d’une jeune génération. C’est horrible.

Il n’y a aucune justification pour un médecin qui peut se regarder dans le miroir et dire : « Je me sens à l’aise de donner ce produit expérimental à mes patients toute la journée. Ils ont besoin de réfléchir et de se rendre compte qu’ils ont perdu la raison, [leurs] capacités de réflexion critique.

Si vous êtes blessé par un vaccin, le Global COVID Summit dispose d’un forum basé sur la blockchain où vous pouvez partager votre expérience et il ne sera jamais supprimé. Vous ne pouvez pas être censuré ou déformé. Cole est disponible pour répondre aux questions dans ce forum.

Ils lancent également un autre site Web pour concurrencer WebMD et des sites médicaux similaires gérés par des sociétés pharmaceutiques. Il sera éventuellement disponible sur DMED.com, qui signifie «médecine décentralisée». Ce site n’est pas encore en ligne, mais vous pourrez l’essayer plus tard. Cole y aura également une page.

D’autres leaders d’opinion méritent d’être suivis et suivis, notamment le Dr Peter McCullough, le Dr Robert Malone, le Dr Pierre Kory, le Dr Paul Marik, le Dr Richard Urso, le Dr Paul Alexander et le Dr Kirk A. Milhoan, un cardiologue pédiatrique. , et sa femme, le Dr Kim Milhoan, pour n’en nommer que quelques-uns.

«Ceux-ci ont été de merveilleux leaders dans ce mouvement pour la vérité et le partage de la science»,  déclare Cole. « Nous faisons tous partie du Global COVID Summit. Nous comptons 17 000 médecins et il est très important que les gens comprennent cela.

Je veux dire, c’est plus de médecins qu’ils n’en ont au CDC, à la FDA ou au NIH. Il s’agit d’un groupe de personnes à l’esprit critique qui défendent votre santé, votre liberté et votre droit à votre propre autonomie corporelle.

DEVINETTE DU JOUR ………facile

– J’ai 14 mises en examen dans mon gouvernement y compris mon Ministre
de la Justice.

– j’ai bradé :

Alstom aux américains

Alcatel aux finlandais

Lafarge aux suisses

Essilor aux italiens

– j’ai acheté avec vos impôts pour 1milliard d’euros de Remdezivir
alors que l’OMS avait certifié que ce médicament était inutile et
dangereux provoquant des insuffisances rénales pour lutter contre les
COVID.

– j’ai dépensé 2 milliards pour quelques pages rédigées par des
cabinets conseil établis dans des paradis fiscaux.

– J’ai dépensé jusqu’à 1,5 milliard par mois de tests inutiles.

– j’ai fait éborgner et arracher des mains à des pauvres français qui
protestaient car ils n’arrivaient pas à payer leur carburant.

– j’ai fait licencier 15 000 soignants qui avaient sauvé des vies au
péril de la leur en soignant sans masque ni blouse les malades du
Covid.

– j’ai fait fermer 5 700 lits d’hôpitaux pendant la pandémie.

– j’ai fait “achever » donc “tuer” plus de 30 000 personnes âgées
isolées en Epahd en leur faisant ingurgiter du Rivotril qui pourtant
est un médicament interdit pour les pathologies pulmonaires.

– j’ai décidé d’instaurer la retraite à 65 ans.

– j’ai augmenté les taxes sur les carburants en proclamant éhontément
que je réduisais les impôts.

– j’ai réduit le pouvoir d’achat des retraités en augmentant la CSG et
en bloquant l’indexation de leurs pensions sur l’inflation.

– j’ai aggravé la pauvreté en France. Il y a aujourd’hui plus de 10
millions de personnes qui ne survivent que grâce à l’aide alimentaire.

– j’ai instauré un pass sanitaire toujours présent dans les hôpitaux.

– j’ai mis un pass vaccinal que j’ai juste suspendu pour les élections
et que je vais remettre, je vous le promets.

– j’ai injecté des millions de personnes de force

– j’ai commandé les 4/5/6 doses à venir

– j’ai fait des confinements,couvre feux à gogo alors que c’était inutile

– je vous ai rajouté 700 milliards de dette.

– J’ai appauvri les plus pauvres etc…

– j’ai gagné des millions d’Euros chez Rotschild et ne déclare que
quelques centaines de milliers d’Euros de patrimoine.

Qui suis-je?…

C’est pas facile ! On peut imaginer un inconnu qui se cache et qui est
poursuivi par la “justice” française !!      Il a dû être condamné  à
300 ans de prison et au moins à 10 milliards d’€ d’amende pour tous
ces délits !!
Je cherche, je cherche,….

L’Europe de l’Ouest sous SUICIDE alors que l’effondrement de la nourriture et de l’énergie s’aggrave de jour en jour… combien de personnes mourront de faim ou gèleront cet hiver ?

Natural News ) L’Europe occidentale est sous surveillance suicide alors que les nations signalant la vertu ont démoli leur infrastructure de combustibles fossiles (et leurs centrales nucléaires) pour apaiser les “verts”. Aujourd’hui, des pays comme l’Allemagne, la France et le Royaume-Uni sont confrontés à une catastrophe énergétique alors que la Russie réduit régulièrement les sorties de gaz naturel des gazoducs comme Nord Stream 1, qui devrait également être mis hors ligne dans cinq jours seulement pour une “maintenance de routine”.

De nombreux pays européens craignent que Nord Stream ne soit pas réactivé, pensant que la Russie trouvera une excuse pour maintenir le pipeline hors ligne pendant une période prolongée. Ce serait catastrophique pour des pays comme l’Allemagne, qui dépendent fortement du gaz russe pour produire de l’électricité et alimenter l’industrie nationale.

Et pourquoi la Russie ne couperait-elle pas l’approvisionnement énergétique de l’Europe alors que l’Europe envoie des armes à l’Ukraine pour tuer des soldats russes ? Pourquoi les dirigeants européens pensent-ils pouvoir mener une guerre économique et cinétique contre la Russie, mais exigent que la Russie évite de mener une guerre économique contre l’Europe ? 

La stupidité des politiques européennes dépasse l’entendemen

Famine à travers l’Europe : Pas d’engrais, de carburant ou de nourriture

Fin juin, Poutine a annoncé une interdiction totale des exportations russes vers les « pays hostiles ». Comme l’écrit TheConsul.com.pk :

Cette étape est un désastre complet pour l’Union européenne. C’est essentiellement signer un arrêt de mort pour toutes les économies européennes

Cette crise est, bien sûr, entièrement causée par l’homme. Il a été créé par les socialistes financièrement analphabètes qui dirigeaient l’Allemagne, la France, l’Italie, le Royaume-Uni et d’autres pays d’Europe occidentale. Dans leur arrogance, ils ont essayé de faire tomber l’économie russe, mais ils n’ont fait qu’enrichir la Russie tout en détruisant leurs propres économies et chaînes d’approvisionnement locales :

Les économistes estiment que les Européens se sont suicidés financièrement en imposant des sanctions contre la Russie. Ils ont appliqué des sanctions et imposé une guerre économique totale à la Russie en pensant que l’économie russe s’effondrerait à cause des sanctions européennes… Les Européens risquent d’avoir faim et froid et tous les produits et services européens seront rares ou suspendus.

Les fausses affirmations du mouvement “vert” ont donné à Poutine le pouvoir de détruire les nations occidentales sans tirer un seul coup de feu

En effet, le mouvement vert qui a été stupidement prostitué par les dirigeants d’Europe occidentale a créé des vulnérabilités nationales si frappantes que Poutine a maintenant le pouvoir de détruire l’Europe occidentale en fermant simplement toutes les exportations de la Russie. 

Pourtant, les dirigeants européens insensés et incompréhensiblement myopes continuent de pousser leur “agenda vert”, exigeant que le monde “passe” d’une manière ou d’une autre à l’éolien et au solaire, même lorsqu’il n’y a pas de trains à énergie éolienne ou de tracteurs à énergie solaire. Un monde qui dépend uniquement de l’énergie «verte» est un monde qui connaît la mort de milliards d’êtres humains, suivie d’un effondrement économique et social total. C’est le monde que l’Europe occidentale réclame, il s’avère que c’est pourquoi l’Europe occidentale agit comme un culte de la mort suicidaire.

L’euro va s’effondrer, probablement dans les 18 prochains mois. L’économie allemande va imploser. La famine massive se répandra sur tout le continent et une grande partie de l’Europe occidentale en 2023 ressemblera au Sri Lanka aujourd’hui. Lorsqu’un pays ne peut plus fournir de nourriture, de carburant, de transport ou de sécurité de base, un soulèvement de masse devient inévitable. Les gens affamés, gelés et désespérés font des choses désespérées.

Nous assistons au suicide de la civilisation occidentale, stimulée par l’idiotie du socialisme et du mouvement vert, dont les idées sont enracinées dans l’illusion et la signalisation de la vertu. Cet hiver, peut-être pourront-ils brûler leurs mauvaises idées dans des poêles à bois pour se réchauffer … si seulement les poêles à bois étaient encore disponibles partout en Europe (ce qui n’est pas le cas).

Des millions d’Européens vont se retrouver gelés et affamés cet hiver, tandis que leurs dirigeants politiques blâmeront Poutine au lieu d’eux-mêmes. Parce que les libtards sont incapables d’apprendre de leurs propres mauvaises décisions. Ils doublent simplement leur stupidité et blâment quelqu’un d’autre.

Obtenez plus de détails sur tout cela et bien plus encore dans le podcast Situation Update d’aujourd’hui :

Brighteon.com/b5d278b6-4f91-4abe-a2b2-fbde646db60d

blog67b

…mais ces “fumettes” sont-elles inoffensives ?…

Depuis une longue utilisation dans l’histoire, on a attribué au cannabis (chanvre indien issu des régions équatoriales) des vertus récréatives mais aussi médicinales et psychotropes. De nombreux grands-parents actuels sont des “soixantuitards”… qui ont fumé du hasch (cannabis), et qui ne considèrent pas très grave que leurs jeunes ados en fassent autant. Mais ce que ces anciens ne réalisent pas, c’est que le cannabis actuel n’a plus rien à voir avec celui qu’ils ont connu, car maintenant il est génétiquement modifié (OGM). Pourquoi ? Pour augmenter sa concentration en principe actif, le THC (Tétra Hydro Cannabinol) était au départ de 5% ; maintenant celle du cannabis « relativement gentil » est de 9 à 11%, mais la plupart est à 20% et peut aller jusqu’à 35/40 % !

Le Docteur Costantin de Rouen, professeur en pharmacologie déclare :Le produit (résine vaporisée) ne s’élimine pas rapidement mais se dissout dans les graisses fines du cerveau (comme le mercure) et y restera des semaines, voire des mois. Nous avons à faire à une drogue lente qui commence par le plaisir, se transforme en besoin psychologique toujours croissant, et devient finalement tyrannique…”

Curieusement, le Nouvel Observateur a nié l’existence de cannabis OGM, et des hautes concentrations en THC dénoncées. L’on peut se demander pour qui roule ce quotidien…

En tout état de cause, selon l’OFDT, il y aurait en France 3,8 millions de consommateurs irréguliers et 1,2 millions de consommateurs réguliers. En 2010, déjà 25% des élèves de 3ième ont déclaré avoir été initiés au cannabis. Déjà en 2004, l’enquête de Marie Choquet montrait que seulement 12% des garçons et 15% des filles des lycées n’avaient jamais touché au cannabis, tandis que 21% des garçons et 7% des filles étaient des consommateurs réguliers.

  • A noter que le nombre de cancers chez les enfants de parents ayant consommé du haschich est 5 fois plus élevé.
    Enfin le nombre de leucémies est multiplié par 10 chez les enfants nés de mère ayant fumé du haschich pendant la grossesse.
    Pour ma part, j’ai remarqué que les fumeurs réguliers ont leur volonté partiellement annihilée. Le passage à l’action leur parait généralement une montagne !

BON ! Ne jetons pas le bébé avec l’eau du bain ! Il y a toute la partie CBD absolument “magique” contre toutes les douleurs (jusqu’aux plus insupportables” !!!…). Vous découvrirez l’article de Michel Dogna, ici :
https://micheldogna.fr/le-cbd-un-precieux-remede-millenaire-qui-reapparait/

CONCLUSION :
Je pense que nos dirigeants ont intérêt à ce que le plus possible de citoyens naviguent sur un petit nuage pour mieux continuer à les “enfumer” ; c’est une recette originale de paix sociale que n’offrait pas le tabac…

…et ne pensez pas vous en tirer
à si bon compte !!!…

…car voici le TABAC MODERNE :
un “deal” criminel légalisé !

Il me semble qu’il y ait actuellement une recrudescence de tabagie surtout chez les ados,
malgré un prix assez dissuasif. Est-ce en raison des nombreux films cultes des années 50/60
qui continuent à être diffusés et dans lesquels la plupart des stars su cinéma fumaient sans
vergogne ? Mais la question est de savoir si le tabac de l’époque avait quelque chose à voir avec les cigarettes actuelles. Nos grands-pères fumaient du pur tabac en paquet (bio en quelque sorte) qu’ils roulaient eux mêmes. Maintenant, on se demande s’il y a seulement encore un peu de tabac dans la mixture TRÈS complexe qui est communément proposée dans le commerce, et curieusement sans la moindre réaction des services du contrôle des fraudes… Or il faut réaliser que lors de sa combustion, la cigarette produit une fumée qui contient
environ 4000 substances toxiques (dont au moins 50 cancérigènes). Sur les paquets, seuls
goudrons et nicotine sont indiqués. Certains composés proviennent de l’environnement
(pesticides, produits radioactifs), d’autres sont ajoutés, comme l’ammoniac qui favorise la
fixation de la nicotine et la dépendance. Actuellement, de plus en plus de plants de tabac
sont génétiquement modifiés afin de rendre la nicotine plus efficace.
Voici, à partir des 600 produits autorisés dans les cigarettes du commerce, une sélection
de toxiques majoritaires que l’on retrouve dans la fumée et les mégots classiques après
combustion :

  • ACÉTALDÉHYDE : irritant des vies respiratoires
  • ACIDE CYANHYDRIQUE : fut emplyé dans les chambres à gaz
  • ACROLÉINE : irritant des vies respiratoires
  • TOLUIDINE : substance cancérigène cnnue
  • ACÉTONE : slvant puissant – attaque les graisses du système nerveux
  • GAZ AMMONIAC : irritant des vies respiratoires
  • NAPHTYLAMINE : substance cancérigène cnnue
  • URÉTHANNE : substance cancérigène cnnue
  • MÉTHANOL : entraîne des dégénérescences neurlogiques graves
  • TOLUÈNE : slvant industriel
  • PYRÈNE : substance cancérigène cnnue
  • ARSENIC : pison violent connu
  • DIMÉTHYLNITROSAMINE : pison chimique
  • DIBENZACRIDINE : substance cancérigène cnnue
  • NAPHTALÈNE : antimite
  • PHÉNOL : cnservateur très toxique
  • NICOTINE : utilisée cmme herbicide et insecticide
  • GAZ BUTANE : (Bum !)
  • CADMIUM : métal cancérigène qui se substitue au zinc dans l’ADN
  • POLONIUM : élément radiactif
  • MONOXYDE DE CARBONE : blque le transport de l’oxygène dans le sang
  • STYRÈNE : pison chimique
  • BENZOPYRÈNE : substance cancérigène cnnue
  • DDT : insecticide qui rend stérile
  • CHLORURE DE VINYLE : substance cancérigène, baisse la libid
  • GOUDRONS : les plus cancérigènes
  • MERCURE : entraîne des maladies neurlogiques graves
  • PLOMB : génère le saturnisme 

Allez ! ne nous en voulez pas ! Le temps des vacances est là pour vous réjouir le coeur et vous aider à réaliser vos plus beaux souhaits… comme : arrêter les “fumettes” en tous genres !!!…

76 médecins au gouvernement britannique : ne faites pas la même erreur que la FDA, « les vaccins à ARNm sont totalement inappropriés pour les petits enfants »

Dans une lettre adressée à l’Agence de réglementation des produits médicaux et de santé et à d’autres autorités britanniques. des représentants du gouvernement, 76 médecins expliquent pourquoi le récent U.S. La décision de la Food and Drug Administration autorisant les vaccinations COVID chez les nourrissons et les jeunes enfants ne doit pas se produire au Royaume-Uni.

Par

Robert W. Malone MD, M.S.

La lettre ci-dessous a été signée par 76 médecins au Royaume-Uni. et envoyé à la Medical and Healthcare products Regulatory Agency (MHRA) et à d’autres agences britanniques. Des représentants du gouvernement.

Cette lettre énonce les raisons complètes pour lesquelles le récent U.S. La décision de la Food and Drug Administration (FDA) autorisant les vaccinations COVID chez les nourrissons et les jeunes enfants ne doit pas se produire au Royaume-Uni.

30 juin 2022

Cher Dr. Raine,

Nous vous écrivons de toute urgence concernant l’annonce que la FDA a accordé une autorisation d’utilisation d’urgence pour les vaccins Pfizer et Moderna COVID-19 chez les enfants d’âge préscolaire.

Nous vous exhortons à envisager très attentivement la décision de vacciner des enfants de plus en plus jeunes contre le SRAS-CoV-2, malgré la réduction progressive mais significative de la virulence des variantes successives, les preuves croissantes d’une efficacité vaccinale en déclin rapide, les inquiétudes croissantes concernant le vaccin à long terme méfaits, et la connaissance que la grande majorité de ce jeune groupe d’âge a déjà été exposée à plusieurs reprises au SRAS-CoV-2 et possède une immunité manifestement efficace.

Ainsi, l’équilibre bénéfice/risque qui a soutenu le déploiement des vaccins à ARNm pour les personnes âgées et vulnérables en 2021 est totalement inapproprié pour les jeunes enfants en 2022.

Nous contestons également fortement l’ajout de la vaccination COVID-19 dans le programme de vaccination systématique des enfants malgré l’absence de besoin clinique démontré, les risques connus et inconnus et le fait que ces vaccins n’ont encore qu’une autorisation de mise sur le marché conditionnelle.

SUITE DE L’ARTICLE SUR https://childrenshealthdefense.org/defender/doctors-uk-government-covid-vaccine-kids/?utm_source=salsa&eType=EmailBlastContent&eId=4edb415a-423e-427e-bd16-78daf2645767

Un ancien dirigeant de Pfizer pense que le vaccin qui fuit était intentionnel

PAR JOSEPH MERCOLA 

https://www.theepochtimes.com/former-pfizer-exec-believes-leaky-vaccine-was-intentional_4573265.html?utm_source=healthtop5noe&utm_campaign=htop5-2022-07-08&utm_medium=email&est=nO0cydvfOZFT8swh8cpSsoAiQk6fBH0Rh0dHvTi3A%2Bcj2FzMAp%2B8c3zkq5t2RQZBeg%3D%3Dc

Bill Gates a déclaré que COVID-19 était “une pandémie” et que la prochaine attirera vraiment l’attention de tout le monde. Pour cela, ce scientifique chevronné de 17 ans de Pfizer , expert en pharmacologie respiratoire, prévient qu’ils pourraient lancer une thérapie similaire à un kart sans accélérateur, volant ou freins.

L’HISTOIRE EN UN COUP D’ŒIL

  • Michael Yeadon, Ph.D., ancien vice-président et conseiller scientifique en chef de la société pharmaceutique Pfizer, explique pourquoi il pense que les récits autour de COVID-19 sont faux et ont été mis en place délibérément pour exercer un contrôle sur la société
  • Yeadon dit qu’on vous a menti sur l’ampleur de la menace représentée par cette entité appelée SRAS-CoV-2 et la maladie COVID-19
  • La pandémie H1N1 (grippe porcine) de 2009 était une « répétition générale » de la pandémie de COVID-19
  • L’utilisation de la protéine de pointe dans le tir était une erreur diabolique, car 90% de la réponse immunitaire montée après une exposition naturelle au COVID-19 n’est pas à la protéine de pointe
  • La protéine de pointe est également toxique et mute rapidement, ce qui détruit pratiquement toute protection que le coup fournit peu de temps après qu’il a été administré.
  • Le fait que pratiquement tous les pays du monde aient emboîté le pas en imposant des verrouillages inefficaces et d’autres mandats COVID-19 suggère qu’un effort supranational coordonné était en cours

Michael Yeadon, Ph.D., ancien vice-président et conseiller scientifique en chef de la société pharmaceutique Pfizer et fondateur et PDG de la société de biotechnologie Ziarco, désormais détenue par Novartis, est devenu l’un des critiques les plus éminents des mandats COVID et COVID -19 coups. Dans cette interview captivante avec le présentateur de radio britannique Maajid Nawaz, il explique pourquoi il pense que les récits autour de COVID-19 sont faux et ont été mis en place délibérément pour exercer un contrôle sur la société.

Yeadon est particulièrement bien placé pour parler de ce sujet, car il est diplômé en biochimie et en toxicologie et a étudié la pharmacologie respiratoire. Vous avez probablement vu Yeadon être interviewé plusieurs fois auparavant, mais je vous encourage fortement à regarder celui-ci car il explique des éléments dont je ne l’ai jamais entendu parler auparavant. Il est l’un des gars les plus pointus dans ce domaine et vous serez heureux d’avoir pris le temps d’écouter.

Dans le film, il dit : « Donc, je comprends… l’intérieur des cellules et comment les cellules et les tissus se parlent, et comment les produits chimiques dangereux peuvent affecter et blesser les humains et les autres. 1  Non seulement Yeadon explique pourquoi les injections de COVID-19 ne sont pas efficaces, mais il explique pourquoi l’utilisation de protéines de pointe dans le vaccin a été l’une des erreurs les plus diaboliques commises.

“Premièrement”, dit Yeadon, “on vous a menti sur l’ampleur de la menace représentée par cette entité appelée SRAS-CoV-2 et la maladie COVID-19. On nous a menti à ce sujet, de toutes les manières, forme et forme… l’essentiel est qu’on nous a menti et c’est délibéré, et ils le savaient, et aucune action n’était nécessaire, sauf si vous êtes malade, restez domicile.” 2  De plus, la roue a peut-être été mise en marche en 2009, lors de la pandémie de grippe porcine.

La grippe porcine de 2009 était la dernière répétition générale du COVID

Au cours de la pandémie H1N1 (grippe porcine) de 2009, des accords secrets ont été conclus entre l’Allemagne, la Grande-Bretagne, l’Italie et la France avec l’industrie pharmaceutique avant le début de la pandémie H1N1, qui stipulaient qu’ils achèteraient des vaccins contre la grippe H1N1 – mais seulement si une pandémie niveau 6 a été déclarée par l’Organisation mondiale de la santé.

Six semaines avant la déclaration de la pandémie, personne à l’OMS ne s’inquiétait du virus, mais les médias exagéraient néanmoins les dangers. 3  Puis, dans le mois qui a précédé la pandémie H1N1 de 2009, l’OMS a modifié la définition officielle de la pandémie, supprimant les critères de gravité et de mortalité élevée et laissant la définition d’une pandémie comme « l’épidémie mondiale d’une maladie ». 4

Ce changement de définition a permis à l’OMS de déclarer la grippe porcine une pandémie après que seulement 144 personnes soient mortes de l’infection dans le monde. En 2010, le Dr Wolfgang Wodarg, alors chef de la santé au Conseil de l’Europe, a accusé les sociétés pharmaceutiques d’influencer la déclaration de pandémie de l’OMS, qualifiant la grippe porcine de “fausse pandémie” provoquée par Big Pharma, qui a profité de la peur de la santé. 5

Selon Wodarg, la pandémie de grippe porcine a été « l’un des plus grands scandales médicaux du siècle » 6  – et elle partage de nombreuses similitudes avec la pandémie de COVID-19. Yeadon a expliqué: 7

« Il [Wodarg] était officier de santé publique et politicien pendant la pandémie de grippe porcine en 2009. Et des choses très similaires qui se sont produites dans COVID se sont produites en 2009. Il y a une expérience très intéressante ici et je pense que 2009 a été la dernière répétition générale pour COVID.

Ils ont abusé de la PCR, ils ont surdiagnostiqué des cas, ils ont tordu les bras des gouvernements du monde entier pour payer des milliards de dollars de vaccins, et pas de très bons antiviraux.

Et puis ils se sont tous enfuis. Et c’est Wodarg qui a réussi à faire remarquer dans la deuxième saison qu’il s’agissait d’une pseudo épidémie faussement positive. C’était tous de mauvais tests PCR. Et dès qu’ils ont réparé le PCR, tout a disparu. Tout est parti.

Tests PCR marqués personnes malades en bonne santé

Pour la première fois dans l’histoire, pendant la pandémie de COVID-19, les tests de réaction en chaîne par polymérase (PCR) ont été utilisés pour déterminer si une personne était en bonne santé ou malade. Si le test était positif, vous seriez étiqueté comme malade et compté comme un cas, même si vous n’aviez aucun symptôme.

Les tests PCR utilisés pour le COVID-19 utilisent un puissant processus d’amplification qui les rend si sensibles qu’ils peuvent même détecter les restes d’un virus mort, longtemps après l’infection. 8

Wodarg a déclaré que COVID-19 “était une pandémie” test “. Ce n’était pas une pandémie de virus », 9  car les tests PCR peuvent donner un résultat positif lorsqu’ils détectent des coronavirus qui existent depuis 20 ans. 10  Les tests PCR n’étaient pas destinés à être utilisés pour des diagnostics cliniques, selon leur inventeur, feu Kary Mullis, Ph.D. Yeadon a expliqué: 11

«Et la raison en est… que le test PCR a une limite inférieure théorique, c’est-à-dire quelle est la plus petite quantité qu’il pourrait détecter et donner un résultat positif, la plus petite quantité est un, un virus, un morceau de virus.

… Et puis, fondamentalement, chaque fois que vous exécutez un cycle de cette réaction en chaîne par polymérase, comme lancer une manivelle, il fait chaud et froid, chaud et froid, et il passe essentiellement par un doublement, chaque cycle est un doublement…

Donc, fondamentalement, s’il y a une quantité infinitésimale d’un morceau de virus, ou si la séquence que vous prétendez être un virus, dans l’échantillon, et que vous l’exécutez ensuite 40 cycles, vous pourriez obtenir un résultat positif même s’il n’y a qu’un seul morceau de un virus – pas assez pour vous rendre malade, pas assez pour vous rendre contagieux.

La même stratégie a été utilisée dans COVID en tant que décès caractérisés comme étant liés au COVID, mais uniquement parce qu’ils avaient été faussement regroupés dans cette catégorie en raison d’un test positif enregistré dans les 28 jours suivant le décès. “Si vous mourez de quelque chose de totalement indépendant mais que vous avez été testé positif par un test PCR, et que vous mourez dans ces 28 jours, cela compte comme un décès par COVID”, a noté Nawaz. 12

90% de la réponse immunitaire COVID ne consiste pas à augmenter les protéines

Yeadon souligne qu’il y a des “erreurs de conception” dans les plans COVID-19. “Le principal problème avec eux est qu’il n’y a pas de dose où vous pouvez obtenir des signes évidents d’avantages sans préjudices associés, qui sont beaucoup plus importants au niveau de la population que tout avantage possible.” De plus, l’utilisation de la protéine de pointe était une erreur, car on sait depuis plus de 10 ans qu’elle provoque des effets indésirables chez l’homme : 13

“Il n’y a pas de vaccins basés sur les gènes sur le marché pour de très bonnes raisons. Et c’est un des problèmes. Mais voyons, vous pourriez aimer le retirer, le retirer, vous pouvez retirer la pointe, vous pourriez tirer la balle au milieu de ce virus, quel morceau donneriez-vous aux gens ? … ce que vous feriez, c’est demander, quelle est la toxicité du mors que je vais donner à une personne ?

Donc, si je vous disais que la protéine de pointe, comme une mine terrestre flottante dans… la mer avec les pointes qui dépassent, je vous ai dit que nous savons depuis plus d’une décennie que les fragments de pointe de virus apparentés avaient une biologie indésirable qui pourrait causer sang pour coaguler et activer les plaquettes et former des caillots sanguins. C’est vrai.

Et si vous saviez ces choses, vous penseriez bien, probablement une mauvaise idée alors de leur donner le pic pour s’entraîner… Donc le fait qu’ils aient choisi la protéine de pointe, le gène de la protéine de pointe, fait que votre corps devient brièvement un centre de fabrication pour faire de cette protéine de pointe virale – c’est la première erreur.

De plus, selon Yeadon, le corps humain développe ses meilleures réponses immunitaires après une infection naturelle au COVID-19, et non une exposition à la protéine de pointe. Il déclare : « 90 % de la réponse immunitaire au COVID sont deux fragments du virus qui ne sont pas des protéines de pointe. Je pense donc avoir raison de dire que ce n’était pas la meilleure chose à donner, car ce n’est pas la chose à laquelle votre corps aime réagir. 14

La protéine de pointe mute rapidement, détruisant la protection des tirs

En choisissant la protéine de pointe sur laquelle baser les injections de COVID-19, les scientifiques ont choisi une protéine connue pour être toxique pour l’homme et qui n’était pas la partie du virus qui a provoqué la meilleure réponse immunitaire. En plus de cela, la protéine de pointe mute rapidement, ce qui détruit pratiquement toute protection fournie par le vaccin peu de temps après son administration. Le résultat final est une série apparemment interminable de prises de vue annuelles et de boosters.

Les injections de COVID-19 se sont avérées avoir des taux d’efficacité lamentablement faibles de 12% chez les enfants, selon une étude menée par le Département de la santé de l’État de New York. 15  Chez les adultes, dans les quatre à cinq mois suivant le rappel, la protection contre les visites aux urgences et aux soins d’urgence dues à la COVID-19 a diminué à 66 %, puis est tombée à seulement 31 % après cinq mois ou plus après le rappel. 16  Yeadon a expliqué : 17

«Ce que vous devriez faire, c’est choisir les morceaux du virus qui sont génétiquement les plus stables. Maintenant, je ne sais pas si nous le savions au début, mais c’est certainement vrai maintenant que la chose qui subit la variation le plus rapidement est la protéine de pointe… maintenant vous avez choisi quelque chose qui va rapidement devenir flou pour évoluer rapidement à une variante différente, le nouveau vaccin ne fonctionnera plus.

De plus, parce que la protéine de pointe est similaire à “beaucoup de morceaux chez l’homme”, elle peut inciter votre corps à faire une réponse immunitaire aux protéines humaines – “c’est ce qu’on appelle une réponse auto-immune”, dit Yeadon. Pourtant, les scientifiques ont quand même choisi la protéine de pointe – même si elle a violé toutes les «règles» lorsqu’il s’agit de créer un produit sûr et efficace. Yeadon pense que ce n’était pas du tout une erreur; c’était intentionnel : 18

“Donc, juste pour dire, encore une fois, vous désélectionnez les choses qui sont toxiques en elles-mêmes, vous choisissez des choses qui sont génétiquement stables, et vous choisissez des choses qui sont les plus différentes des humains, toutes les trois, selon les mots des brevets, elles enseignez, ils vous apprendront à ne pas cueillir de protéines de pointe.

Mais devinez quoi ? Moderna sélectionne les protéines de pointe, tout comme Pfizer, AstraZeneca et Johnson & Johnson. Alors je vous le propose, chers collègues, n’importe quel scientifique ou juste des gens logiques. Comment diable choisiraient-ils ?

Aucune équipe dont j’ai fait partie n’aurait jamais choisi une protéine de pointe sanglante pour ce vaccin. Et vous savez, quoi, si on le faisait, et qu’on a des groupes concurrents, on ne ferait pas tous les quatre la même erreur. Pas possible. C’est de la collusion et de la malfaisance. Ils l’ont fait exprès, sachant que cela te blesserait.

Pour la prochaine pandémie, comprenez que les vaccins ne sont pas la réponse »

Bill Gates a clairement indiqué que la prochaine pandémie est inévitable, en déclarant publiquement que le COVID-19 était la « pandémie 1 » et que la « pandémie 2 » arrivait. « Il va falloir se préparer pour le prochain. Cela attirera l’attention cette fois », a-t-il déclaré – en souriant. 19  L’implication est que « la prochaine fois », une autre injection expérimentale d’ARNm sera disponible beaucoup plus rapidement pour injecter la population. Mais Yeadon veut que le public apprenne de COVID-19 et comprenne que les tirs ne sont pas la réponse : 20

« Il est vraiment important que vous m’écoutiez ici, que s’il y a un autre virus respiratoire, vous devez savoir cette fois que quoi qu’ils conçoivent, ce satané vaccin est la mauvaise réponse. C’est la mauvaise réponse pour de nombreuses raisons. La première est que vous générerez une réponse immunitaire dans votre sang qui ne peut pas affecter l’infection, peu importe ce que c’est, cela n’affectera pas l’infection.

Deuxièmement, si vous le concevez en utilisant la protéine de pointe d’un autre virus, alors s’il a la même propriété de provoquer une toxicité, cela provoquera une toxicité car lorsque vous injectez ces vaccins à base de gènes, c’est comme lancer un kart qui a un accélérateur , pas de volant et pas de freins… il n’y a rien dans la conception de ces vaccins qui limite où ils vont.

Une partie ira dans votre cerveau, le fond de vos yeux, vos ovaires ou vos testicules, vos vaisseaux sanguins ou votre cœur… vous ne pouvez pas développer des vaccins rapides, puis les donner à des milliards de personnes, car vous n’en aurez jamais assez données de sécurité pour vous permettre de savoir si c’était un bon pari ou non. Et sans ces données, c’est imprudent. Ne le fais pas.

Ce que l’on peut apprendre d’autre du fiasco du COVID-19, dit Yeadon, c’est que les interventions non pharmaceutiques (NPI) – des choses comme les masques, les verrouillages, les fermetures de frontières et les tests de masse de la population – étaient également inutiles pour freiner la propagation de la maladie, et les dirigeants mondiaux le savaient en 2019, lorsqu’un article de scientifiques de l’OMS a montré que la plupart des NPI étaient inefficaces pour arrêter la propagation des virus respiratoires.

“Bien sûr, beaucoup d’entre eux ont des effets secondaires très graves sur l’économie, la psychologie, les relations sociales, etc.”, a-t-il noté. 21

Preuve de coordination supranationale

“Les responsables de la santé publique savaient parfaitement que ces choses ne fonctionnaient pas”, a déclaré Yeadon, mais le fait que pratiquement tous les pays du monde aient emboîté le pas suggère néanmoins qu’un effort coordonné était en cours. “Je pense que c’est la preuve la plus solide d’une coordination supranationale, quelque chose qui se passe au-dessus du niveau du pays“, a déclaré Yeadon, et il veut faire passer le mot : 22

« Ils le faisaient parce qu’il y avait une pression pour le faire… Ils ne se sont pas opposés à ce qui se passait. C’est la chose la plus décevante et la plus effrayante que pourquoi, pourquoi aucun des scientifiques d’Allemagne, de Hollande, de Belgique, de France, d’Espagne, du Portugal, de Grande-Bretagne, pourquoi aucun d’entre eux n’a dit : « Vous savez, c’est absurde.

Je ne fais pas ça. Et si vous le faites, je démissionne, et ensuite j’irai dans les médias. Soit cela ne s’est pas produit, soit ils ont essayé d’essayer cela et la BBC… a dit: “Eh bien, nous ne vous interviewons pas.” C’est possible.

… Il y avait un accord ou une pression supranationale pour le faire. Je ne sais pas si cette pression a été instanciée au printemps 2020, ou s’ils avaient déjà accepté de le faire il y a quelques mois, mais de toute façon, personne n’a pris la parole. Et autant que je sache, personne n’a démissionné même si ce qui était imposé à tous ces pays était… inefficace et nuirait à leurs économies. C’est la chose la plus gentille que vous puissiez dire.

Publié initialement le 02 juillet 2022 sur Mercola.com

Références

COMMERCE D’ORGANES AUX USA

Hess a admis devant le tribunal qu’elle et sa mère avaient fraudé au moins une douzaine de familles qui avaient payé pour incinérer leurs proches décédés. Les autorités ont également accusé le sinistre duo d’avoir expédié des corps testés positifs pour l’hépatite B, l’hépatite C et le VIH. Certaines des parties du corps qu’ils ont expédiées par la poste provenaient de personnes décédées de maladies infectieuses.

Hess a déclaré: «Ils ont quatre ou cinq morts par jour. Sois prêt !!!! ” Elle a proposé un marché à l’acheteur potentiel. “Que diriez-vous d’un accord sur des épines entièrement embaumées… 950 $?” elle a écrit.

Ces communications devraient ouvrir une enquête complète sur les pratiques à l’hospice. Si la demande d’organes spécifiques est si importante et qu’il y a des clients bien rémunérés, alors obtenir un diagnostic de mort cérébrale pourrait devenir une étape critique dans l’opération de trafic de parties du corps. Une fois qu’un diagnostic de mort cérébrale est obtenu sur un donneur d’organes, la famille est légalement obligée de confier son proche au prélèvement d’organes (bien que des exemptions religieuses soient disponibles dans la plupart des États).

Une fois qu’un diagnostic de mort cérébrale est obtenu, les organes sont ensuite prélevés en temps opportun. La controverse derrière le diagnostic de mort cérébrale alimente la spéculation selon laquelle il existe une opération secrète et légale de trafic de parties du corps au sein du système médical américain, avec une demande d’organes croissante dans le monde entier. Avec cette maison funéraire du Colorado aidant à faciliter le processus, il devient évident qu’il existe une industrie très réelle et sinistre des parties du corps qui s’attaque aux donneurs d’organes et aux victimes sans méfiance.

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Invités

Vaccins anticovid : nouvelle alerte rouge par le Conseil Mondial de la Santé (Nicole Delépine)

Vaccins anticovid : nouvelle alerte rouge par le Conseil Mondial de la Santé (Nicole Delépine)

blog67d

Par Dre Nicole Delépine. Sur Mondialisation.ca

Covid-19 Vaccine Pharmacovigilance Report (worldcouncilforhealth.org)[1]

Nous rapportons ici le travail du Conseil Mondial de la Santé qui s’est constitué en 2021 pour combattre la censure et le manque d’informations des citoyens concernant les injections géniques.

QUE REPRÉSENTE LE CONSEIL MONDIAL DE LA SANTÉ ?

C’est une organisation à but non lucratif pour le peuple, informée et financée par le peuple, coalition mondiale d’organisations axées sur la santé et de groupes de la société civile, plus de 130 organisations dans 40 pays, qui cherche à élargir les connaissances en santé publique et la création de sens grâce à la science et à la sagesse partagée.

Ils s’engagent à protéger les droits de l’homme et le libre arbitre tout en donnant aux gens les moyens de prendre le contrôle de leur santé et de leur bien-être. Fondé en 2021, le Conseil mondial de la santé est une initiative à but non lucratif soutenue par EbMCsquared CiC, organisation d’intérêt communautaire.[2]

« La liberté est le droit de dire, de penser et de faire ce que vous voulez faire sans être limité. Tout le monde a ce droit humain inné. Il est de notre responsabilité de l’utiliser à bon escient ».[3]

RECHERCHE DE PREUVES SUR LA SÉCURITÉ OU NON DES VAX ANTICOVID

Ce rapport a été conçu pour voir s’il existe ou non suffisamment de preuves sur les bases de données de l’OMS VigiAccess, CDC VAERS, EudraVigilance et UK Yellowcard pour établir un signal de sécurité sur les vaccins Covid-19.

« Dans des circonstances ordinaires, les essais de phase 3 et 4 établiraient l’innocuité et l’efficacité d’un produit pharmaceutique. Cependant, ces essais ne sont pas terminés pour les produits Covid-19. Les produits ont été administrés à une large population qui n’est pas surveillée par les essais cliniques. Il est donc nécessaire d’examiner toutes les preuves disponibles pour établir l’innocuité de ces produits et leur impact sur ceux qui ont pris le produit, mais qui ne sont pas surveillés par les essais cliniques. »

Le développement d’un vaccin contre le Covid-19 dans le cadre de l’opération Warp Speed a été précipité. Traditionnellement, la mise au point d’un vaccin prend 10 ans ou plus avant la production et la distribution à grande échelle à une large population. Avec les vaccins contre le Covid-19, le produit est passé d’essais précliniques exploratoires à une fabrication à grande échelle en seulement 10 mois. Les données sur leur sécurité sont incomplètes. Ce rapport tend à combler le vide sur les informations post injection.

Il s’agit d’un rapport d’information créé par le Conseil mondial de la santé pour aider les professionnels de la santé, les scientifiques et les citoyens à prendre des décisions éclairées sur les vaccins contre le Covid-19. La sécurité des produits Covid-19 n’a pas été établie à l’issue des essais cliniques de phase 3 et de phase 4. Les produits Covid-19 n’ont pas l’efficacité des vaccins utilisés jusqu’ici. (ils n’empêchent pas une personne de contracter le virus, ni de tomber malade, ni de propager la maladie)

Les produits Covid-19 sont utilisés sur des milliards de personnes, y compris des enfants, alors que la phase d’essai clinique n’est pas terminée. La grande majorité de ces personnes injectées ne sont pas surveillées.

« Les données d’essai de 6 mois de Pfizer (qui faisaient suite aux données préliminaires d’essai originales sur lesquelles les produits ont été autorisés) n’ont pas montré de réduction de la mortalité toutes causes confondues dans le groupe vacciné. Cela pourrait indiquer que tout bénéfice obtenu grâce à la vaccination peut être annulé par des événements indésirables, y compris le décès ».

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Les vaccins contre le Covid-19 font l’objet d’essais de phase 3 et leur innocuité et leur efficacité n’ont pas encore été établies.

ABSENCE DE SUIVI DES INJECTÉS, AU MOINS OFFICIELLEMENT

La majorité de ceux qui ont reçu l’injection (plusieurs milliards de personnes) ne sont pas surveillés par les vaccinateurs, (du moins à leur connaissance). Quid du suivi via les codes-barres injectés ? Mystère.

Dans ce rapport, le WCH vise à utiliser les bases de données de pharmacovigilance établies pour détecter s’il existe un signal de sécurité préoccupant chez les « vaccinés ». Ce rapport rassemble les données sur les événements indésirables sur les vaccins contre la COVID-19 à partir des bases de données de pharmacovigilance internationales.

Les données sur les effets indésirables du vaccin Covid-19 recueillies dans chaque base de données de pharmacovigilance sont comparées aux données sur les événements indésirables de produits pharmacologiques similaires (autres vaccins courants) dans les mêmes bases de données, dans la mesure du possible. Ce rapport examine les paramètres par lesquels d’autres vaccins et médicaments ont été rappelés dans le passé.

Méthode

Les auteurs ont examiné chaque base de données — OMS VigiAccess, CDC VAERS, EudraVigilance et UK Yellow Card Scheme — et documenté combien d’événements indésirables étaient liés aux vaccins Covid-19.

Rapports d’événements indésirables

Les données de pharmacovigilance sont généralement recueillies par le biais de la déclaration des événements indésirables. En règle générale, les rapports d’événements indésirables sont établis par :

  • Une personne qui a subi un événement indésirable
  • Un professionnel de la santé qui soupçonne un événement indésirable chez un patient
  • Organisations qui créent des rapports à partir de programmes de soutien aux patients
  • Sociétés pharmaceutiques sous forme d’études cliniques ou post-commercialisation
  • Revues de littérature
  • Reportages dans les médias
  • Études
  • Les données de pharmacovigilance peuvent également être recueillies dans le cadre d’autres études, notamment :

    • Études rétrospectives
    • Études de cohorte
    • Études cliniques
    • Études post-commercialisation
    • Revues de littérature

Les données de pharmacovigilance établissent des signaux

Les rapports établis sur les bases de données de pharmacovigilance n’établissent pas le lien de causalité. Une relation causale possible établie par ce processus est connue sous le nom de « signal ». Si un signal est détecté, une enquête plus approfondie est nécessaire.

Bases de données sur la déclaration des effets indésirables ou des réactions vaccinales

Les vaccins contre le Covid-19 sont un nouveau type de thérapie. Il est particulièrement important de signaler les effets secondaires graves. Selon l’endroit où vous vous trouvez dans le monde, il existe différentes bases de données mises en place pour enregistrer les réactions indésirables aux médicaments.[4]

OMS VigiAccess

Lancé en 2015 par l’OMS, VigiAccess base de données internationales des événements indésirables potentiels signalés liés aux médicaments, pour « analyser les rapports de dommages présumés causés par les médicaments, trouver des “signaux” de réactions indésirables potentielles aux médicaments ». Créés en 1968, 170 pays collaborent pour surveiller et identifier les dommages causés par les médicaments. Cette collaboration couvre environ 99 % de la population mondiale.

Les rapports sur les effets indésirables du vaccin Covid-19 sur VigiAccess englobent tous les vaccins Covid-19

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Pour les vaccins courants qui ont été distribués à la grande majorité de la population mondiale, gamme de rapports d’événements indésirables au nombre de 2000 à 100 000 sur VigiAccess.

Pour les vaccins Covid-19, qui ont actuellement été administrés à environ 65 % de la population mondiale, il y a plus de 3,7 millions de rapports d’événements indésirables sur VigiAccess.

VigiAccess montre un nombre d’événements indésirables sans précédent dans la base de données de tout autre produit pharmaceutique ou vaccin.

Dans le tableau suivant, 37 335 événements indésirables sont rapportés après environ 4 milliards de vaccins contre la tuberculose (moins de 1/100000) et plus de 3,7 millions de rapports provenant d’environ 5,1 milliards de personnes ayant reçu le vaccin contre le Covid-19 (environ 72/100000).

En corrigeant la différence dans le nombre de personnes qui ont reçu les deux vaccins, on constate uneaugmentation de 77 fois du nombre d’événements indésirables signalés à VigiAccess pour le vaccin Covid-19 par rapport à celui contre la tuberculose

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Compte tenu de l’objectif déclaré de VigiAccess — analyser les rapports de dommages présumés causés par des médicaments, trouver des « signaux » d’effets indésirables potentiels des médicaments — une enquête immédiate et une action urgente sont nécessaires de la part de l’Organisation mondiale de la santé.

CDC VAERS

Le Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) a été créé en 1990 et cogéré par les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) des USA et la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis : système conçu pour être un système d’alerte précoce pour les problèmes de sécurité liés aux vaccins homologués aux États-Unis. VAERS saisit et analyse les rapports d’événements indésirables qui se produisent après une vaccination.

Toute personne qui a subi un événement indésirable à la suite d’un vaccin peut le signaler au VAERS. En outre, les professionnels de la santé sont tenus de signaler les événements prescrits qui se produisent chez leurs patients après la vaccination, et les fabricants de vaccins sont tenus de signaler tous les événements indésirables qui sont portés à leur attention. Il s’agit d’un système de déclaration qui repose sur les individus pour s’auto-déclarer ou sur les fournisseurs de soins de santé pour faire rapport en leur nom. C’est une infraction fédérale aux États-Unis de soumettre un faux rapport VAERS

Les rapports VAERS recensent les événements indésirables de 1990 à nos jours. Les données sur les vaccins Covid-19 sur VAERS englobent les vaccins Moderna, Pfizer et Jansen depuis leur autorisation de mise sur le marché.

Données VAERS : Pourcentage du nombre total de déclarations d’événements indésirables par type de vaccin[5].Plus de 50 % du total des rapports d’événements indésirables faits sur VAERS, c’est-à-dire les rapports faits pour TOUS les vaccins depuis 1990, sont attribués aux vaccins COVID-19.

À partir de 2020 et jusqu’en 2022, nous assistons à une augmentation spectaculaire et sans précédent des décès signalés au VAERS. Actuellement, sur les plus de 37 000 décès signalés au VAERS depuis 1990, 27 968 sont liés aux produits Covid-19. Un décès à proximité d’un vaccin indique une relation causale plus probable. Or la grande majorité des rapports sont faits dans les 3 jours suivant l’administration du vaccin.

Rapports VAERS Covid-19 par âge

https://worldcouncilforhealth.org/wp-content/uploads/2022/06/2022-05-25-3.png

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https://wonder.cdc.gov/controller/datarequest/D8;jsessionid=F9E61FE2A2B457AD46D5FC21F667

ALERTE CONCERNANT LES ENFANTS

Il y a 209 rapports d’événements indésirables sur VAERS pour les enfants de moins de 2 ans.

Ces vaccins n’ont pas été autorisés pour ces groupes d’âge. Il y a 1499 rapports supplémentaires dans le groupe des 2 à 5 ans, dont beaucoup concernent probablement des enfants pour lesquels le vaccin n’a pas été autorisé. Celles-ci peuvent être liées à une exposition au produit in utero, par l’allaitement ou à l’administration à des enfants pour lesquels le produit n’est pas autorisé.

Les données du VAERS montrent une proportion écrasante d’événements indésirables liés au vaccin Covid-19, plus de 50 % du total des rapports depuis 1990 étant attribués au vaccin.

Nous constatons une différence de 10 fois dans le nombre de rapports d’événements indésirables pour le vaccin ROR et le vaccin Covid-19. En outre, il y a une augmentation de 169 fois des décès signalés au VAERS après la vaccination contre le Covid-19 par rapport au vaccin contre la grippe et une augmentation de 56 fois des rapports d’événements indésirables sur le VAERS après la vaccination covid-19 par rapport au vaccin contre la grippe.

La plupart des décès et des événements indésirables sont survenus quelques jours après la vaccination, ce qui rend une relation de cause à effet plus probable. Étant donné que les vaccins contre le Covid-19 sont nouveaux et sont encore en cours d’essais cliniques, les données VAERS sont suffisantes pour établir un signal de sécurité préoccupant.

Les rapports sur les VAERS qui se sont produits chez les enfants de groupes d’âge qui n’ont pas été autorisés à recevoir le vaccin sont extrêmement préoccupants. Cela indique la possibilité d’événements indésirables obtenus in utero, de l’allaitement ou de l’administration du vaccin à des groupes d’âge pour lesquels il n’a pas été autorisé.

Compte tenu des objectifs énoncés par le VAERS — détecter les événements indésirables nouveaux, inhabituels ou rares, évaluer l’innocuité des vaccins nouvellement homologués et fournir un système national de surveillance de l’innocuité qui s’étend à l’ensemble de la population pour répondre aux urgences de santé publique, telles que les programmes de vaccination contre la grippe pandémique à grande échelle une enquête immédiate et une action urgente sont nécessaires de la part du CDC et de la FDA.

EudraVigilance

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Le nombre total de cas d’événements indésirables individuels identifiés dans EudraVigilance est le suivant :
  • Vaccin Moderna – 294 772 ;
  • Vaccin Pfizer-BioNTech (Tozinameran) – 956 913 ;
  • Vaccin Astrazeneca – 488 769 ;
  • Vaccin Janssen – 59 751 ;
  • Vaccin Novavax — 756.

Le nombre total de cas d’événements indésirables individuels identifiés pour tous les vaccins Covid-19 sur EudraVigilance est supérieur à 1,8 million.

Comme dans le VAERS, plus d’un millier de cas ont été signalés dans la catégorie des 0 à 2 ans, un groupe d’âge pour lequel les vaccins ne sont pas autorisés. Cela indique potentiellement que les nourrissons et les enfants subissent des événements indésirables liés à l’exposition in utero, à l’allaitement maternel et/ou administrés à des personnes pour lesquelles les produits ne sont pas autorisés.

Le nombre total de personnes vaccinées dans les pays de l’UE/EEE est de 341 628 772, soit environ 75,4 % de la population.

En 2018, environ 90 % des enfants européens ont été vaccinés contre la rougeole dans le cadre du vaccin contre la rougeole, les oreillons et la rubéole. Environ 90 % des Européens ont été vaccinés contre la rougeole. Sur les quelque 673,2 millions de personnes qui ont reçu le vaccin contre la rougeole en Europe, EudraVigilance a reçu un total de 48 913 rapports d’événements indésirables sur EudraVigilance.

Environ 341 millions d’Européens ont été vaccinés contre le Covid-19. Parmi ceux-ci, 1,8 million de rapports d’événements indésirables ont été effectués sur EudraVigilance.

Il y a une augmentation de plus de 70 fois du nombre d’événements indésirables individuels signalés à EudraVigilance pour le vaccin Covid-19.

Étant donné que les vaccins Covid-19 sont en cours d’essais cliniques, les données d’EudraVigilance sont suffisantes pour établir un signal de sécurité alarmant pour ces produits.

Les plus de 1000 rapports d’événements indésirables survenus chez des enfants pour lesquels le vaccin n’a pas été autorisé indiquent la nécessité d’une action immédiate et urgente.

SYSTÈME DE CARTON JAUNE DU ROYAUME-UNI

Les rapports sont faits au programme de carton jaune volontairement par les patients, les parents ou les soignants et par les professionnels de la santé. Les fabricants sont légalement tenus de signaler les problèmes liés aux produits de santé à la MHRA.

Au Royaume-Uni, plus de 53 millions de personnes ont reçu au moins une dose du vaccin contre le Covid-19. Le système britannique de carton jaune documente actuellement plus de 450 000 rapports d’effets indésirables.

Les données sur les cartes jaunes pour d’autres vaccins ne sont actuellement pas disponibles sur le site Web de la carte jaune. Cependant, le paracétamol est l’un des médicaments les plus couramment utilisés au Royaume-Uni. Des millions de personnes au Royaume-Uni ont pris ce médicament pendant plusieurs décennies. Le rapport ci-dessus montre 25 158 réactions et 585 décès associés à son utilisation depuis 1964. Le programme de carton jaune affiche plus de 450 000 rapports de carton jaune liés aux vaccins Covid-19 — une action immédiate et urgente est nécessaire.

SYNTHÈSE

Nombre et types d’événements indésirables signalés sur l’ensemble des bases de données[6]

Leur gravité varie de mineure telle que la douleur au site d’injection à des événements majeurs comme l’arrêt cardiaque, les accidents vasculaires cérébraux, la myocardite et la mort.

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Dans VigiAccess, les cinq rapports les plus courants par groupe de réaction du plus au moins sont les suivants :

  • Troubles du système nerveux — ~ 1 500 000
  • Troubles musculo-squelettiques et du tissu conjonctif — ~ 1 000 000
  • Troubles gastro-intestinaux — ~ 691 000
  • Troubles de la peau et des tissus sous-cutanés — ~ 477 000
  • Troubles vasculaires — ~193 000

Dans EudraVigilance

  • Troubles du système nerveux — ~ 746 000
  • Trouble musculo-squelettique et du tissu conjonctif — ~ 543 000
  • Troubles gastro-intestinaux — ~ 344 000
  • Infections et infestations — ~ 220 000
  • Troubles de la peau et des tissus sous-cutanés — ~ 213 000

Dans le système de carton jaune du Royaume-Uni, les cinq rapports les plus courants par groupe de réaction du plus au moins sont les suivants :

  • Troubles du système nerveux — ~ 285 000
  • Trouble musculo-squelettique et du tissu conjonctif — ~ 175 000
  • Troubles gastro-intestinaux — ~ 135 000
  • Troubles de la peau et des tissus sous-cutanés — ~ 101 000
  • Troubles du système reproducteur et du sein — ~ 57 000

Résultats courants des effets indésirables du vaccin contre le Covid-19 : VAERS

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Source : wonder.cdc.gov/

Nombre de rapports sur les VAERS[7]

  • Myocardite/péricardite 22 000
  • Crises cardiaques 6 400
  • Guillain-Barre 2 600
  • Thrombocytopénie 6 000
  • Convulsions/Convulsions 16 000
  • Anaphylaxie 49 000
  • Paralysie de Bell 15 000
  • Thromboembolie veineuse 25 000
  • Arthrite et arthralgie/lésion articulaire 78 000
  • Mort 28 000

Plus de 54 % des événements indésirables signalés au VAERS sont attribués au vaccin Covid-19, y compris le décès, les blessures potentiellement mortelles, l’invalidité permanente, les anomalies congénitales/malformations congénitales, les hospitalisations, les visites aux urgences, les visites chez le médecin et autres.

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Il y a plus de 28 000 décès, soit plus de 75 % de tous les décès signalés au VAERS depuis 1990, associés au vaccin Covid-19.

Les événements indésirables dans les bases de données de pharmacovigilance sont sous-déclarés.

Dans une étude comparant la surveillance active et passive des événements indésirables, 8,8 % des personnes sous surveillance active ont signalé un événement indésirable, tandis que seulement 0,1 % de ceux sous surveillance passive.

C’est une différence de 88 fois dans le nombre de rapports pour cette étude particulière. L’OMS note également que la surveillance passive « rend difficile l’exhaustivité et l’actualité de la collecte des données ». Le nombre réel d’événements indésirables survenus dans le temps en relation avec les vaccins Covid-19 serait beaucoup plus élevé que ce qui est révélé par les données de ces bases de données de pharmacovigilance.

Un rapport d’événement indésirable n’indique pas que le vaccin a causé un événement, mais simplement qu’il était lié. Les données VAERS révèlent une relation temporelle étroite entre l’administration du vaccin Covid-19 et l’événement indésirable ultérieur, la majorité des événements indésirables se produisant dans les 2 jours suivant la réception du vaccin. Cela indique une relation causale plus probable.

Le cas unique des vaccins contre le Covid-19 Opération Warp Speed

Lorsque le Covid-19 est apparu comme un nouveau virus en 2019, on savait peu de choses sur sa virulence et sur ses impacts sur la population en général. Les premiers modèles ont surestimé la morbidité et la mortalité de la maladie et, par conséquent, l’opération Warp Speed a été introduite pour accélérer le développement d’un vaccin et d’autres traitements contre le nouveau virus.

TOUS les vaccins contre le Covid-19 sont en phase 3 d’essai. Aucun n’a terminé ses essais phase 3.

L’efficacité et l’innocuité des vaccins contre le Covid-19 n’ont donc pas été établies. Les taux d’efficacité (95-97 % !) et de tolérance allégués par les gouvernements et les agences sanitaires diffusent sans aucune vérification les chiffres fournis par les services de communication des laboratoires pharmaceutiques.

La grippe porcine de 1967 : un cas de campagne de vaccination de masse précipitée

En février 1967, une enquête a été lancée sur la mort mystérieuse d’un soldat américain décédé lors d’un exercice d’entraînement de base. Les tests du CDC ont révélé que le soldat David Lewis avait contracté une souche de grippe porcine. Par la suite, 11 autres soldats ont été testés positifs pour le virus tandis que des centaines d’autres ont été testés positifs pour les anticorps.

Le CDC et le président de l’époque, Gerald Ford, ont adopté une approche « mieux vaut prévenir que guérir » et ont lancé une campagne de vaccination de masse contre la grippe porcine. Des rapports ont fait état d’effets indésirables présumés, notamment de crises cardiaques, du syndrome de Guillain-Barré et de 53 décès signalés. La pandémie ne s’est pas matérialisée, le gouvernement a interrompu le programme de vaccination de masse le 16 décembre.

Une approche « mieux vaut prévenir que guérir » est injustifiée et dangereuse car les preuves n’existent pas pour affirmer qu’une vaccination précipitée est plus sûre que l’exposition à un virus dont on sait peu de choses.

Les rapports faisant état de seulement 50 décès liés à la vaccination contre la grippe porcine ont suffi à mettre définitivement fin au programme.

Les réponses à toute pandémie présumée doivent s’aligner sur les meilleures preuves disponibles sur la nature de la menace et ne pas être guidées par la politique, les médias, leurs liens d’intérêts avec l’industrie ou les émotions du grand public soumis à une intense propagande de terreur.

Principaux rappels de médicaments et de vaccins dans l’histoire

Lorsqu’un nombre préoccupant d’événements indésirables ou de décès est constaté dans les rapports de pharmacovigilance, les organes directeurs peuvent rappeler un produit précédemment autorisé ou approuvé. Le graphique suivant montre le nombre de décès signalés au VAERS ou au FAERS avant le rappel d’un produit.

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Source : vaersanalysis.info/2022/05/14/vaers-summary-for-covid-19-vaccines-through-5-6-2022/

Le vaccin contre la poliomyélite a été rappelé en moins d’un an après 10 décès signalés, le vaccin contre la grippe porcine a été rappelé en moins de 1 an après 53 décès signalés. Le vaccin contre le Covid-19, avec plus de 28 000 rapports de décès associés, n’a pas été rappelé.

Il existe un signal de sécurité préoccupant concernant les vaccins Covid-19 détectés dans toutes les bases de données examinées dans ce rapport.

Conclusion

Ce rapport visait à examiner les données de pharmacovigilance de VigiAcess, VAERS, EudraVigilance et UK Yellow Card pour les vaccins Covid-19. L’objectif était de déterminer si les données de ces bases de données étaient suffisantes pour établir un signal de sécurité sur ces produits.

Toutes les bases de données de pharmacovigilance examinées dans ce rapport révèlent un nombre de rapports d’événements indésirables liés aux vaccins Covid-19 qui sont entre 10 et 169 fois plus que ce qui est observé dans d’autres produits couramment administrés

Il y a plusieurs milliers de rapports d’événements indésirables chez les enfants pour lesquels le produit Covid-19 n’a pas été approuvé

Il existe suffisamment de preuves sur toutes les bases de données de pharmacovigilance examinées dans ce rapport pour établir un signal de sécurité préoccupant concernant les vaccins Covid-19.

Les bases de données sur la pharmacovigilance, telles que celles examinées dans le présent rapport, reposent sur la surveillance passive. Les événements indésirables sont sous-déclarés.

Les produits Covid-19 sont uniques en ce sens qu’ils ont été développés rapidement et administrés à de grandes populations alors qu’ils étaient encore en phase 3 d’essais cliniques.

Il existe suffisamment de preuves d’événements indésirables liés aux vaccins Covid-19 pour indiquer qu’un rappel de produit est immédiatement nécessaire.

Dre Nicole Delépine


Références

AstraZeneca. (May 2022). Case Series Drug Analysis Print: Covid-19 AstraZeneca Vaccine
Analysis Print. Gov.uk.
https://assets.publishing.service.gov.uk/government/uploads/system/uploads/attachment_data/file/1080309/COVID-19_AstraZeneca_Vaccine_Analysis_Print_DLP_25.05.2022.pdf

Connor Stewart. (May 2022). COVID-19 vaccination rate in European countries. Statista.
https://www.statista.com/statistics/1196071/covid-19-vaccination-rate-in-europe-by-country/

Elflein, John. (May 2022). Vaccinations in the U.S.—Statistics & Facts. Statista.
https://www.statista.com/topics/3283/vaccinations-in-the-us/#topicHeader__wrapper

EudraVigilance. (May 2022). European database of suspected adverse drug reaction reports.

European Medicines Agency.
https://www.adrreports.eu/en/eudravigilance.html#

European Centre for Disease Prevention and Control. (May 2022). COVID-19 Vaccine Tracker.

European Centre for Disease Prevention and Control.
https://vaccinetracker.ecdc.europa.eu/public/extensions/covid-19/vaccine-tracker.html#uptake-tab

European Medicines Agency. (May 2022). Human regulatory: EudraVigilance. European Medicines Agency.

La source originale de cet article est nouveau-monde.ca

Copyright © Dre Nicole Delépine, nouveau-monde.ca, 2022

Immunité naturelle efficace à 97 % contre le COVID-19 sévère après 14 mois :

https://www.theepochtimes.com/natural-immunity-97-percent-effective-against-severe-covid-19-after-14-months-study_4586731.html?utm_source=Morningbrief&utm_campaign=mb-2022-07-10&utm_medium=email&est=ZglBRpg3eNOGtkwbV4POoZmoA62yRXtwcH3wdRSw3MuTlkDrf28DsrjzjLFpm7TvvQ%3D%3D

Par Zachary Stieber

extraits

La protection contre les maladies graves de la soi-disant immunité naturelle reste supérieure à la protection conférée par les vaccins COVID-19, selon une nouvelle étude.

Les personnes qui ont survécu à l’infection au COVID-19 et qui n’ont pas été vaccinées avaient une protection extrêmement élevée contre le COVID-19 grave ou mortel, ont découvert des chercheurs au Qatar.

«L’efficacité de la primo-infection contre la réinfection grave, critique ou mortelle au COVID-19 était de 97,3%… quelle que soit la variante de la primo-infection ou de la réinfection, et sans preuve de déclin. Des résultats similaires ont été trouvés dans des analyses de sous-groupes pour les personnes âgées de ≥ 50 ans », ont déclaré le Dr Laith Abu-Raddad, de Weill Cornell Medicine-Qatar, et ses collègues après avoir étudié l’immunité naturelle à long terme chez des personnes non vaccinées.

Ce pourcentage est supérieur à la protection des vaccins COVID-19, selon d’autres études et données du monde réel.

Des chercheurs suédois, par exemple, ont découvert en mai que deux doses d’un vaccin n’étaient efficaces qu’à 54 % contre la variante Omicron du virus du PCC (Parti communiste chinois), qui cause le COVID-19.

Des scientifiques sud-africains, quant à eux, ont découvert que l’efficacité des vaccins AstraZeneca et Pfizer avait culminé à 88 % et chuté rapidement à 70 % ou moins.

Le groupe du Qatar a découvert que l’immunité naturelle pendant plus de 14 mois après la première infection d’une personne “reste très forte, sans preuve de déclin, quelle que soit la variante”.L’étude a été publiée avant l’examen par les pairs sur le site Web medRxiv.

On disait autrefois que les vaccins offraient une protection de près de 100 % contre les infections symptomatiques. Ils offrent maintenant moins de 50 % de protection contre les infections après une courte période de temps, même après des doses de rappel, suite à l’émergence d’Omicron.

Alors que Trudeau avait de nouveau le Covid-19, son gouvernement a révélé que les vaccinés représentaient 93 % des décès dus au COVID au Canada ; 50% d’entre eux étaient Quadruple Jabbed

Bien qu’il ait prétendument été triple vacciné, le Premier ministre du Canada, Justin Trudeau, a récemment été testé positif au Covid-19 pour la deuxième fois, et il semble qu’il ait eu de la chance d’y survivre.

https://prepareforchange.net/2022/07/09/whilst-trudeau-had-covid-19-again-his-government-revealed-the-vaccinated-account-for-93-of-covid-deaths-in-canada-50-of-which-were-quadruple jabbed/?

Car selon son propre gouvernement, les personnes entièrement vaccinées représentent désormais 93 % de tous les décès liés au Covid-19 au Canada, et 50 % des décès les plus récents sont survenus chez des Canadiens qui avaient reçu quatre doses d’une injection de Covid-19.

Les chiffres les plus récents montrent qu’il y a eu 521 décès de Covid-19 entre le 6 et le 12 juin, et la population vaccinée en comptait 485, avec un nombre choquant de 242 décès parmi la population quadruple vaccinée et de 200 décès parmi la population triple vaccinée.

Cela signifie que la population non vaccinée ne représentait que 7% des décès de Covid-19, tandis que la population vaccinée représentait 93%, dont 50% parmi les quadruples coups et 41% parmi les triples coups.

Malgré une campagne de rappel de masse et le gouvernement du Canada essayant désespérément de la dissimuler, un peu de temps, d’efforts et de calculs simples ont révélé que 9 cas sur 10 de Covid-19, des hospitalisations et des décès ont été enregistrés parmi la population entièrement vaccinée entre Les 6 et 12 juin 2022, et la grande majorité d’entre eux faisaient partie des quadruples coups.

Sur le net FAMINE ET EPIDEMIES

Il serait intéressant d’enquêter historiquement comment les épidémies passées ont terminé sans vaccin. Nous avons remarqué qu’elles se terminent historiquement à chaque fois que la famine a été causée par une mauvaise récolte, dues aux guerres, ou autre qui est passées.

En conséquence, nous pensons que c’est la famine qui est la cause de tout, et l’agriculture la solution a toutes ces fausses épidémies.

La théorie de Béchamp est que le terrain est la cause des maladies, et Pasteur lui pense que c’est le germe la cause des maladies.

Donc si c’était le germe le responsable, alors il serait impossible pour les épidémies de se terminer, car il y aurait toujours un germe invisible quelque part. Un peu comme les mouches que les éléphants n’arrivent pas à écraser, il en resterait toujours une.

Nous avons constaté que les épidémies commencent à chaque fois de suite après les famines et qu’il n’y a jamais eu une seule épidémie qui n’ai commencé sans famine. De ce fait, pour nous, si cela ne commence jamais sans la famine, c’est que cela doit être causé par la famine elle-même.

Il est étonnant de voir qu’on ne se penche jamais sur les symptômes de la dénutrition, mais qu’on dit uniquement que la dénutrition affaiblit l’organisme et que c’est le germe invisible qui est responsable du reste, à lire sur Wikipédia

Et nous pensons aussi que les symptômes de la famine qu’ils veulent nous imposer vont être faussement attribués au virus, par déjà le manque de vitamine D, quarantaine, des écouvillons dangereux bidons, tout cela causés par le confinement qui est néfaste pour les poumons.

La Maison Blanche offrira un deuxième rappel à tous les adultes du plan annoncé une semaine après un accord de 3,2 milliards de dollars avec Pfizer

L’administration Biden a déclaré qu’elle élaborait un plan pour permettre à tous les adultes, y compris ceux de moins de 50 ans, de recevoir une deuxième injection de rappel au milieu des craintes de déclin de l’immunité parmi ceux qui ont été vaccinés et renforcés il y a six mois.

Article sur le site  https://childrenshealthdefense.org/defender/pfizer-white-house-

Note de TAL :La folie vaccinale dans toute sa splendeur… Ceux qui décident sont totalement soumis aux dogmes des vendeurs de vaccins qui n’ont qu’un but : accroître leurs profits. Et tant pis pour la santé des populations atteinte par les effets secondaires dramatiques de ces injections funestes. Nous allons voir la revanche des pays pauvres qui, ayant échappé aux « vaccins » vont mieux survivre que les pays « riches » empoisonnés par une médecine qui a perdu son âme, ou plutôt l’a vendu aux génocidaires !

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Rapport mensuel de situation Covid planétaire/ 2 juillet 2022 (Dominique Delawarde)

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Par Dominique Delawarde.

https://les7duquebec.net/archives/274082

 Avant propos: «On peut débattre de tout, sauf des chiffres» (lorsqu’ils ne sont pas mensongers, bien sûr) Propagande gouvernementale reprise inlassablement en Octobre et Novembre 2021 par la «meute» des médias mainstream français… et abandonnée depuis …..

Il convient donc de faire parler les chiffres déclarés par les États eux-mêmes.

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Observations:

1 – Avec le variant Omicron (et ses sous-variants BA) très contagieux mais très peu létal, surtout et y compris dans les pays très peu vaccinés d’Afrique ou d’Asie, le nombre de nouveaux cas déclarés (pour la plupart Omicron) a été multiplié par 6 entre le 1er décembre 2021 et le 25 janvier 2022 (3,4 millions de cas/j). Il a ensuite été divisé par  plus de 4 pour s’établir aujourd’hui à 751 000 tests positifs /jour, (moyenne sur 7 jours.)

Avec  l’entrée en été septentrionnal, le nombre de décès hebdomadaire a fortement baissé entre la 2ème semaine de février 2022 (74 000 décès/sem) et le 21 juin 2022 pour s’établir à 9 500 décès/semaine, un « plus bas » depuis plus de 2 ans Il a très légèrement remonté depuis à 9 744 décès/semaine aujourd’hui. En clair, la mortalité planétaire attribuée à la Covid 19 est à peu près la même aujourd’hui que ce qu’elle était en tout début d’épidémie au début de mars 2020. Les tendances observées dans les deux hémisphères laissent espérer une fin naturelle et prochaine de la pandémie et son évolution vers une maladie respiratoire saisonnière moins létale que la grippe.

 

2 – Malgré une vaccination de masse menée tambours battants depuis début décembre 2020, l’épidémie aura été deux fois plus meurtrière en 2021 qu’en 2020 (contamination et nombre de décès) sur l’ensemble de la planète. La vaccination n’a donc pas fait reculer l’épidémie partout où elle a été appliquée en 2021 et pour les 6 premièrs mois de 2022, les chiffres n’ont pas été bien meilleurs qu’en 2020, sans vaccin. Les pays en développement les moins vaccinés d’Afrique et d’Asie s’en sont, d’ailleurs, beaucoup mieux sortis, et se remettent plus vite que les pays développés les plus vaccinés: c’est un fait.

 

3 – Alors même que l’efficacité du virus et de ses variants s’atténue avec le temps et que de nouveaux traitements précoces efficaces ont été découverts, la létalité de cette épidémie aurait dû reculer nettement avec l’apport de 12,11 milliards d’injections vaccinales pour une population de 7,96 milliards d’habitants; injections vaccinales «vendues» par Big Pharma pour une efficacité de 90 à 95% sur les formes graves. Ca n’a manifestement pas été le cas  au cours de l’année 2021 et sur les 6 premiers mois de 2022.

 

4 – Contrairement aux promesses maintes fois répétées par les exécutifs et leurs relais médiatiques, promoteurs du vaccin, celui ci n’a encore rendu à personne «sa vie d’avant». Jamais les contraintes n’ont été aussi nombreuses et fortes, sur une durée de deux ans et demi , pour un résultat aussi nul.

 

5 – Et pourtant, comme toutes les autres épidémies avant elle, nouveaux variants ou pas, l’épidémie  Covid-19 finit enfin par régresser naturellement sous l’effet de plusieurs facteurs :

– La prolifération des variants rend chacun d’entre eux moins létal au fil du temps. C’est le cas du Omicron et de ses derniers sous-variants.

– Le réservoir de personnes fragiles et atteintes de comorbidité, donc susceptibles de faire des formes graves de la Covid s’est progressivement « vidé » par décès des plus fragiles. On ne meurt pas deux fois …..

– Dans de nombreux pays, une meilleure prise en charge des patients et l’apparition et l’application de nouveaux traitements précoces pour les personnes atteintes de la Covid ont réduit considérablement la mortalité liée à ce virus.

– L’immunisation naturelle d’une partie croissante de la population mondiale qui, testée ou non, a contracté la maladie et en a guéri, devrait également contribuer à la baisse de la létalité. A cet égard, le variant Omicron et ses sous-variants, très contagieux mais très peu létaux, ont joué le rôle d’un véritable vaccin naturel pour ceux qui ont contracté la maladie, sans être porteurs de multiples facteurs de co-morbidité.

 

Notons qu’avec la guerre en Ukraine qui impacte la planète entière, les médias ont  un nouvel os à ronger. Les grands titres de l’actualité s’en trouvent considérablement changés mais les médias et les politiques continuent  à surfer sur la peur et à manipuler l’opinion sur ce nouveau sujet. C’est d’ailleurs le rôle qui leur est attribué, dans tous les pays du monde, dans le cadre de leur participation à «la guerre de l’information». En France, la campagne présidentielle a été largement occultée, elle aussi, par la crise ukrainienne, dont les conséquences risquent fort d’impacter nos vies beaucoup plus que la Covid 19, surtout si la gestion de cette crise est aussi maladroite et contre-productive que celle de la Covid-19, tant au niveau national qu’européen ou otanien. Vouloir régler les problèmes qui vont se poser en empruntant toujours plus d’argent, en «sanctionnant» toujours plus, n’est pas une stratégie durable, tant pour la crise sanitaire que pour la crise ukrainienne. L’explosion de la dette aura forcément une limite ..…. et ne pourra qu’accélérer le déclassement de certains pays, déjà en cours.

Pour en revenir à la Covid-19, les données présentées par différents pays (UK, France, Israël, Italie) montrent que seulement 12% environ des décès attribués à la Covid peuvent être attribués uniquement à la  Covid et de manière certaine.  88 % des décès auraient donc pu être attribués à l’une ou l’autre des multiples comorbidités dont souffraient les patients décédés. Autrement dit, le nombre de 6,36 millions de décès sur deux ans est certainement surévalué, et pas qu’un peu. Il pourrait fort bien être de l’ordre de 1 millions qui, répartis sur deux ans, deviendrait un  nombre dérisoire au niveau planétaire. De là à dire que cette «pandémie» a été plus médiatique et politique que réelle, il n’y a qu’un pas que je n’hésite plus à franchir

Suit un long article détaillé sur tous les pays du monde et, en conclusion :

1 – Comme ils le font en toutes occasions et dans tous les domaines, les pays de l’OTAN ont imités leur chef de meute US et se sont lancés dans une politique d’expérimentation vaccinale de masse. Agissant « au nom » du principe de précaution mais sans respecter les principes de précaution élémentaires dans l’élaboration et l’administration d’un vaccin, et refusant d’assumer leurs responsabilités en cas d’échec et d’effets secondaires graves., ils ont utilisé  des mesures de coercition et construit des narratifs mensongers pour « vendre » leur produit expérimental à des populations trop crédules.

 

2 – Après avoir pris le recul nécessaire pour apprécier les résultats, on ne peut que constater que cette expérimentation est un échec. En effet, elle n’a permis nulle part de contrôler l’épidémie et même de limiter la mortalité des plus âgés et des plus fragiles. Les exemples abondent de pays hyper-vaccinés qui ont vu leur mortalité exploser en début de 2022. …..

 

3 – Au cours du premier semestre 2022, alors que les otaniens continuent d’essayer de vendre leurs « boosters » à des populations de plus en plus sceptiques er réluctantes à enchaîner les doses, tous les 4 mois, jusqu’à la fin des temps, sans aucun résultat probant, les pays de l’OTAN (12 % de la population mondiale, plus vaccinés que les autres, ont enregistré, à eux seuls, presqu’autant de pertes (441 497 décès) que le reste du monde (88 % de la population mondiale) qui en a compté 465 800. Il y a là un constat sur lequel il faut s’interroger. Les déco(nn)eurs du Monde ou de Libération vont nous expliquer que c’est parce que nous sommes plus âgés et plus en surpoid que les autres, que nous mourrons 4 fois plus de la Covid que les autres. Nous le savions déjà. Mais où est donc le miracle vaccinal annoncé ?

 

4 – Jamais dans l’histoire de la vaccination, l’injection d’un produit expérimental n’a donné des résultats aussi peu probants. Il est stupéfiant de voir certains pays, occidentaux pour la plupart,  mais pas tous heureusement, persister dans l’erreur et refuser d’admettre qu’ils ont été trop vite en besogne.

 

La simple comparaison des chiffres devrait éclairer les élites otaniennes. Comme elles nous l’ont répété quotidiennement pendant des mois: On peut débattre de tout, sauf des chiffres.

 

5 – Il faudra bien un jour se pencher sur les effets secondaires avec précision et exhaustivité : leur nombre et leur gravité.  Cela viendra encore alourdir le bilan des laboratoires pharmaceutiques et des politiques qui les ont suivi aveuglément.

Ils veulent continuer à nous tenir en laisse, et masqués !

L’édito politique de Libre Consentement Éclairé

blog67t

Le « médecin » néonazi Patrick Pelloux

Il est surnommé par certains de ses confrères : « Patrick Pelloux de la Serpillère ».

Il avait dit « On sait qui va mourir cet hiver, les non-« va xi nés » », or la seule augmentation de mortalité signalée par les données publiques concerne les « va xi nés ».

   Qu’importe qu’avant janvier 2020 plus de 167 études concluent à l’inefficacité du port du masque pour se protéger des virus.

   Qu’importe qu’il soit écrit sur les emballages des masques qu’ils ne protègent pas des infections virales.

   Qu’importe que dans de nombreux pays le port du masque est désormais passé aux oubliettes d’une mauvaise et meurtrière histoire (comme en Suisse, au Royaume-Unis, dans la plupart des États du Mexique [où l’hydroxychloroquine et l’ivermectine sont en vente libre dans des distributeurs automatiques], comme également dans la plupart des États Républicains des États-Unis ou encore comme à Oman).

   Qu’importe que dans ces pays libérés des muselières nazies, il n’y ait aucune recrudescence des « cas » de « C19 ».

   Qu’importe, les fanatiques et néonazis adeptes de la dictature sanitaire persistent : il faut continuer à tenir en laisse les Français !

   Il faut rendre obligatoire le port du masque et les injections du « va x in » tueur de Pfizer & Co. !

   C’est l’hallucinant discours tenu par le « médecin » néonazi Patrick Pelloux lors de ses réponses aux gentilles questions de Sonia Mabrouk (qui ne lui demanda pas pourquoi et contrairement à ses prévisions, il n’y avait pas eu d’augmentation de la mortalité chez les non-« va xi nés », mais seulement chez les « va xi nés ».

   « Les Français ont su être disciplinés lors des confinements et du port obligatoire du masque ».

   C’est en substance ce qu’affirma le digne représentant des assassins en blouse blanche, feignant ignorer que si les Français ont été disciplinés, c’est-à-dire obéissant, c’est parce que 135 € d’amende pour ne pas avoir porté le « nazi-masque », cela fait cher, très cher pour ceux qui travaillent pour gagner difficilement leur vie.

   Cela fait très cher pour ceux et qui ne sont pas entretenus par l’argent public, comme l’est le « médecin » néonazi Patrick Pelloux pour mener une « mission » sur la « radicalisation islamiste » dans les hôpitaux.

blog67u

La photo qui va rendre malade le « médecin » néonazi Patrick Pelloux.

Photo prise à l’aéroport de Mexico en juin 2022 où l’ivermectine et l’hydroxychloroquine sont en vente libre, comme c’était le cas en France avant 2020, et depuis plus de 70 ans.

   Les données (2021) de la « Defense Medical Epidemology Database » (États-Unis), reprises par la célèbre productrice et scénariste américaine Pamela K. Long.

   Il s’agit des données concernant les augmentations de signalement de maladies chez les « va xi nés ».

   – Myocardites, 2 000 %.

   – Cancers, de 300 à 900 % selon le cancer.

   – Stérilités (homme et femmes), 500 %.

   – Fausses couches, 300 %.

   – Troubles neurologiques, 1000 %.

   – Maladies démyélinisantes, 500 %.

   – Sclérose en plaques, 600 %.

   – Syndrome de Guillain-Barré, 500 %.

   – VIH, 500 % – Embolies pulmonaires, 400 %.

Préface du livre d’Eric ANCELET Pour en finir avec Pasteur

Yves RASIR

Dans  ma bibliothèque pourtant très fournie et mal rangée, il y a un livre que je n’ai aucune peine à retrouver : celui dont vous tenez entre les mains la nouvelle édition remaniée et augmentée. Je le repère aisément  sur mes étagères car c’est l’un des rares qui est défraîchi et un peu abîmé. Son dos est râpé aux deux extrémités et il y a même des pages qui ont réussi à s’échapper de la solide reliure. La rançon de son âge  – 25 ans – et de plusieurs déménagements ?  Pas seulement : cet ouvrage a souffert parce que je l’ai lu plusieurs fois intégralement et que je l’ai consulté à de nombreuse reprises pour en relire des passages. En attestent les pages écornées ou marquées d’une croix, les paragraphes surlignés en fluo et les phrases soulignées au crayon ou au stylo. Vu son état, je n’oserais plus prêter ce bouquin et ça tombe bien car je ne le fais jamais. « Pour en finir avec Pasteur » n’a pas la permission de s’éloigner de mon bureau.  C’est un ami de papier dont il est hors de question de me séparer, fût-ce provisoirement.

Si cet essai m’a profondément marqué à sa parution, c’est évidemment en raison de son contenu fidèle au titre et au sous-titre. À l’époque, j’étais déjà  très ouvert aux médecines naturelles et conscient des errements de la médecine conventionnelle, mais je me faisais encore des illusions sur Louis Pasteur, ce « grand savant » dont j’ignorais les talents de pilleur et de faussaire. Ce fut un choc pour moi de découvrir les turpitudes et la malhonnêteté d’un personnage finalement fort peu reluisant. Éric Ancelet ne se contente cependant pas de donner un grand coup de pied dans le piédestal de la statue Pasteur : il en déconstruit la « théorie du germe » et démontre avec brio qu’elle est une véritable mystification scientifique. S’appuyant sur les propos lucides de Claude Bernard et les travaux injustement oubliés d’Antoine Béchamp, tous deux contemporains de Pasteur, il se réfère également aux découvertes ultérieures (les virus, l’ADN et l’ARN, la flore intestinale…) et expose à quel point la médecine dite moderne est basée sur des concepts dépassés. L’agent infectieux n’est rien, ou infiniment peu, sur un terrain suffisamment sain ! Et d’ailleurs, n’est-il pas abusif d’attribuer aux micro-organismes un caractère pathogène ? Le chapitre où est abordée la complexité du système immunitaire est celui qui m’a le plus fasciné : si notre immunité favorise parfois l’entrée d’intrus  bactériens ou viraux, comment peut-on encore soutenir qu’ils sont des agresseurs et que notre corps se défend belliqueusement contre eux ? Aujourd’hui, le brillant et charismatique Dr Louis Fouché invite à qualifier de « diplomatiques » les relations entre l’Homme et les microbes. Il y a un quart de siècle,   Éric Ancelet proposait déjà d’abandonner  les métaphores guerrières et le vocabulaire militaire pour épouser une vision symbiotique des interactions entre l’être humain et le microcosme. Plus précurseur encore, il ne craignait pas de s’aventurer en territoire sulfureux et de suggérer que les maladies ne sont pas des erreurs de la nature mais au contraire des solutions intelligentes forgées au fil de l’évolution. S’il fait s’effondrer le paradigme pasteurien, « Pour en finir avec Pasteur » propose en effet une toute autre compréhension des pertes de santé,  dans laquelle les facteurs psychiques et émotionnels ne sont plus ignorés. À cet égard, le Dr Ancelet est  à la fois un pionnier de la nouvelle psychosomatique et un digne hériter d’Hippocrate, lequel envisageait déjà le patient  dans sa globalité, sans dissocier le corps et l’esprit.

La sagesse hippocratique reposant en bonne partie sur l’adage « Primum non nocere » (d’abord ne pas nuire), il n’est  pas étonnant que l’auteur fustige la plus funeste erreur de Louis Pasteur, celle consistant à prévenir les pathologies infectieuses au moyen de vaccins. La contestation du dogme vaccinal est même le fil rouge du livre que vous tenez entre les mains. Non sans témérité, il va jusqu’à comparer la vaccination à une forme de religion fondée sur un ensemble de croyances éloignées de la vraie science. « Vaccinations : science ou croyance ? » :  c’est précisément sous ce titre que j’ai eu le privilège de publier dans la revue Néosanté, au tout début de son existence,  une série d’articles rédigés par Éric Ancelet. Dans ces contributions, le collaborateur occasionnel de notre mensuel approfondissait son analyse critique de la vaccinologie pour en révéler toute la fragilité des fondements scientifiques, les failles multiples et les incohérences flagrantes.  Mais également les dangers potentiels pour l’individu et les conséquences collectives possiblement dramatiques ! Fin 2021, dans le contexte de la pandémie « Covid-19 », il y a pléthore de médecins et de chercheurs  qui s’insurgent à leur tour contre le monopole sanitaire accordé à la vaccination de masse, en dénoncent les risques inconsidérés et en soulignent la dimension quasi-religieuse. En écoutant et lisant ces nouveaux « hérétiques », appartenant pour certains au gratin scientifique,  je ne peux m’empêcher de penser qu’un modeste  docteur vétérinaire avait pressenti et décrit dès 1998 vers quelle dérive médicale nous entrainerait l’idéologie vaccinale…

Terriblement actuel et singulièrement prémonitoire, le livre d’Éric Ancelet prend parfois des allures de noir réquisitoire. Dans son prologue, par exemple, il  écrit que  « les programmes sanitaires internationaux perpétuent sans doute, sous couvert d’humanisme, le plus gigantesque génocide de l’histoire du monde ». Et un peu plus loin, il exhorte le lecteur « à prendre conscience de l’énorme collusion de la recherche et de l’économie marchande », alliance perverse qui conduit selon lui à la domination  du genre humain par une technocratie inféodée à l’industrie pharmaceutique. Quant aux experts désignés pour piloter les politiques de santé, il soupçonne qu’ils soient manipulés et que leur rôle soit « de rendre acceptable l’inacceptable aux yeux de l’opinion publique ». Imprimées au siècle dernier, ces lignes vont immanquablement être taxées de « complotistes » à l’occasion de cette réédition. C’est dire à quel point elles méritent d’être prises au sérieux et d’être envisagées comme le dévoilement de la vérité. Car notre époque de grande tribulation est aussi l’opportunité de grandes révélations potentiellement salvatrices. S’il peut passer pour un prophète du pire, Eric Ancelet est à mes yeux plutôt un annonciateur d’avenir meilleur. J’en veux pour preuve le texte « Pour en finir  avec nos peurs » qui a été sollicité et  mis en exergue par l’éditeur Marco Pietteur. Si on le lit bien, cet ajout à la version initiale n’est pas peu optimiste : il constate que l’escroquerie pasteurienne n’a pu triompher qu’en exploitant les peurs ancrées dans la psyché humaine. Or celle-ci est capable de les chasser et de s’en débarrasser, pourvu qu’elle soit alimentée par de bonnes informations. Idem pour l’article « Virus & immunité : la symbiose ignorée », proposé en annexe et publié à l’origine dans Néosanté.  C’est un très encourageant « nouveau regard sur le vivant » qui énumère de récentes avancées des connaissances allant dans le bon sens, celui des liens intrinsèquement harmonieux entre l’Homme et son environnement. Au diable la diabolisation des particules virales, bienvenue dans le paradigme authentiquement écologique qui les disculpe et qui voit l’immunité comme un « hymne à l’unité », non comme un arsenal guerrier. Bref, je ne crois pas me tromper en supposant qu’Éric Ancelet est, comme moi,  plus confiant aujourd’hui qu’hier sur ce que  nous réserve demain.  La tyrannique imposture vaccinale peut s’écrouler  d’une pièce dès lors que son indéniable inanité et ses épouvantables dangers seront en pleine lumière et visibles de tous.  À mon humble avis, ce moment bénéfique approche et l’ouvrage que vous allez lire aura beaucoup contribué à le faire advenir. C’est un honneur et un bonheur  pour moi de le préfacer.

Note de TAL L e sous-titre de mon ebook VACCINS, BIENFAITEURS OU ASSASSINS ? est La faillite de l’empire vaccinal Oui cet incroyable empire planétaire (le premier !) est sur le point de s’effondrer pusique la mondialisation prévue du Grand  Reset n’a pas pu triompher du fait du refus de Poutine de se plier aux règles du jeu des Américains et de l’OTAN son esclave obéissant. Malgré les milliards donnés à l’Ukraine, celle-ci ne peut pas vaincre la Russie et les grands perdants de cette partie d’échecs ne peuvent être que les pays occidentaux…et leurs industries vaccinale et pharmaceutique !

COVID-19 Jab ne fonctionne pas. Voici pourquoi

https://www.theepochtimes.com/covid-19-jab-does-not-work-heres-why_4590466.html?utm_source=Health&utm_campaign=health-2022-07-12&utm_medium=email&est=QHbQN0GuC%2BJMxBooL5p5VJG8jyDN8VAfHRHA22lfyTt6o%2BonM9LTpxubGlUupPvvjAw%3D

Une équipe de chercheurs de Harvard, publiant dans le New England Journal of Medicine , a découvert que le virus du SRAS-CoV-2 a tellement muté que les vaccins à ARNm de Pfizer développés contre la souche originale de Wuhan n’ont désormais que peu ou pas d’effet.

L’étude, « Neutralization Escape by SARS-CoV-2 Omicron Subvariants BA.2.12.1, BA.4 et BA.5 », a évalué les titres d’anticorps neutralisants des participants vaccinés avec le vaccin Pfizer, contre plusieurs souches de SARS-CoV-2 .

Les scientifiques ont découvert que les titres sont passés de 5 783 (contre l’isolat WA1/2020, souche Wuhan) à 275 (contre la sous-variante BA.4 ou BA.5, variantes omicron), par un facteur de 21.

En d’autres termes, ils ont trouvé que le vaccin à ARNm était essentiellement inefficace contre les variantes d’Omicron actuellement en circulation.

Mutation du SRAS-CoV-2

Le SRAS-CoV-2 est un virus en évolution rapide depuis fin 2019. Comme tous les virus à ARN , il possède un brin d’ARN qui est conditionné dans un véhicule de livraison qui lui permet de se fixer aux cellules hôtes et d’injecter son ARN dans les cellules et détourner les cellules pour faire plus de copies de son ARN.

Un virus doit interagir avec des cellules vivantes pour se reproduire. Sans cette interaction, le virus lui-même est inerte. Il n’a pas de métabolisme. Il ne peut pas bouger. Il ne peut pas se reproduire avec d’autres virus. Cela signifie qu’un virus n’a aucune des caractéristiques des organismes vivants. Pour cette raison, certains scientifiques veulent classer les virus comme faisant partie de la vie tandis que d’autres soulignent que les virus ne sont pas vivants. Du moins pas sans hôtes.

Vivants ou non, tous les virus doivent avoir du matériel génétique ARN (acide ribonucléique) ou ADN (acide désoxyribonucléique). L’ARN ou l’ADN font des copies en utilisant des matrices de brins complémentaires d’ARN ou d’ADN. Il y a toujours un risque que des erreurs se produisent au cours de ce processus. Nous appelons ces mutations « erreurs ».

Souvent, ces erreurs rendent l’ADN ou l’ARN trop imparfait pour continuer à fonctionner, de sorte que la mutation ne va nulle part. Mais si la version mutée est viable, le résultat est une nouvelle version légèrement modifiée de l’ADN ou de l’ARN.

Un virus qui ne tue pas son hôte mais qui est capable de continuer à utiliser l’hôte pour se répliquer est capable de continuer à se répliquer. Il y a un avantage à ce qu’un virus développe un moyen de devenir chronique ou endémique, plutôt que d’être mortellement mortel pour l’hôte.

Selon toutes les indications, c’est ce qui se passe avec le SRAS-CoV-2, le nouveau virus qui est probablement originaire de Wuhan, en Chine, et s’est rapidement propagé dans le monde entier, en utilisant des humains et d’autres animaux comme hôte.

Anticorps anti-pointes

De nombreuses mutations de l’ARN du SRAS-CoV-2 ne modifient aucune des protéines dont le virus a besoin pour survivre et proliférer. Celles-ci sont appelées mutations silencieuses ou synonymes. D’autres, connues des scientifiques sous le nom de mutations non synonymes, modifient la composition en acides aminés des protéines.

Les différences de séquence d’acides aminés (environ 3 %) observées entre les protéines de pointe du SRAS-CoV-2 de la souche originale de Wuhan (GenBank # YP_009724390) et un isolat Omicron de Norvège le 3 janvier 2022 (GenBank # UOU35996.1) sont les résultats de deux ans d’évolution du virus sur sa protéine de pointe.

Comparé à d’autres parties du génome du virus, le gène qui code pour la protéine de pointe évolue plus rapidement, car la protéine de pointe se trouve à la surface du virus et subit une pression de sélection beaucoup plus importante.

Cela pose un problème pour les vaccins actuels et les futurs vaccins basés sur la protéine de pointe. La protéine de pointe à évolution rapide rendrait probablement les vaccins existants et tout nouveau vaccin moins efficaces. En d’autres termes, le virus a évolué, mais pas les vaccins.

Les vaccins existants basés sur la protéine de pointe génèrent des anticorps multiclonaux contre différents épitopes de la protéine de pointe. Si un anticorps réagit à un épitope qui n’est pas affecté par les mutations d’Omicron, alors cet anticorps serait efficace contre Omicron. Sinon, il ne sera pas efficace.

Les vaccinés ont des anticorps négligeables contre la souche actuelle

Dans la nouvelle étude de Harvard, les scientifiques ont testé 27 participants qui avaient été vaccinés avec le vaccin à ARN messager de Pfizer (BNT162b2) et 27 participants qui avaient été infectés naturellement par la souche originale de Wuhan.

La plupart de ceux qui avaient déjà eu le COVID avaient également été vaccinés, donc la plupart, mais pas tous, avaient une immunité hybride.

Ceux qui s’étaient remis du COVID avaient une forte réponse immunitaire au virus d’origine, qui ne circule plus dans le monde.

Mais ceux qui avaient été vaccinés à peine six mois avant le test n’avaient que 1% d’anticorps en plus que ceux qui s’étaient remis du virus.

Les participants qui avaient été boostés deux semaines seulement avant le test et qui étaient au sommet de leur immunité ont eu une forte réponse, bien qu’elle soit encore deux fois moins forte que celles ayant une immunité naturelle. De toute évidence, leur réponse immunitaire acquise par le vaccin n’a pas duré longtemps non plus.

Et ces résultats ne concernaient que le virus d’origine, obsolète, qui n’est plus un danger.

Contre la souche actuellement dominante aux États-Unis, ceux qui avaient été vaccinés, même au sommet de leur protection deux semaines après le rappel, avaient une réponse anticorps très faible au virus actuel, environ 7% aussi forte que leur réponse anticorps à le virus original de 2020.

Ceux qui avaient été vaccinés six mois auparavant, mais non boostés, avaient des anticorps négligeables contre le virus actuel.

L’immunité naturelle fournit une réponse immunitaire substantielle

Ceux qui avaient une immunité naturelle après avoir récupéré du COVID ont eu une réponse immunitaire substantielle au virus actuel.

Bien qu’il ne soit que 10% aussi fort que leur réponse au virus original de 2020, leur système immunitaire a toujours répondu avec trois fois plus d’anticorps que la réponse maximale du groupe boosté.

Plus important encore, par rapport à l’immunité acquise grâce aux vaccins à base de protéines de pointe, l’immunité naturelle contre les infections par le SRAS-CoV-2 couvre tout le spectre de l’immunité, offrant au corps une protection par anticorps à court terme ainsi que des cellules mémoire B et T à long terme. -protection à terme. De plus, les anticorps à court terme couvrent non seulement la protéine de pointe à évolution rapide (S), mais également d’autres protéines virales, telles que la protéine de nucléocapside (N) et la protéine d’enveloppe (E), rendant l’immunité naturelle moins vulnérable à l’évasion immunitaire.

La conclusion est que même pendant la brève période juste après un rappel, la vaccination n’était pas aussi efficace que l’immunité naturelle. Six mois plus tard, c’était essentiellement inutile.

La bonne nouvelle est que presque tout le monde au Royaume-Uni a des anticorps contre le SRAS-CoV-2. Cela suggère que presque tout le monde là-bas a eu une infection par le SRAS-CoV-2 à un moment donné, et a donc un certain niveau d’immunité naturelle.

Cela ne signifie pas que le COVID-19 est terminé. Cela signifie que la nature a fourni aux personnes au Royaume-Uni une meilleure protection que les vaccins actuels à base de protéines de pointe.

Nous pensons qu’il en va de même aux États-Unis et au Canada.

Prends le jab, si tu veux, et prends les boosters. Mais ne soyez pas dupe. Ils ne vous donneront pas plus de protection que ce que vous avez déjà.

EXCLUSIF – Le gouvernement britannique admet que le vaccin COVID tue des enfants après avoir publié un rapport prouvant que les enfants vaccinés sont choquants 30 200% plus susceptibles de mourir que les enfants non vaccinés

https://prepareforchange.net/2022/07/16/exclusive-uk-gov-admits-covid-vaccine-is-killing-kids-after-publishing-report-proving-vaccinated-children-are-shocking-30200-more-likely-to-die-than-unvaccinated-children/?utm_source=rss&utm_medium=rss&utm_campaign=exclusive-uk-gov-admits-covid-vaccine-is-killing-kids-after-publishing-report-proving-vaccinated-children-are-shocking-30200-more-likely-to-die-than-unvaccinated-children

La Food & Drug Administration (FDA) des États-Unis a autorisé de manière douteuse l’utilisation d’urgence des injections d’ARNm Covid-19 de Pfizer et de Moderna pour une utilisation chez les enfants âgés de 6 mois et plus, bien que le gouvernement britannique admette que le vaccin Covid-19 tue des enfants après sa publication. des données via l’Office for National Statistics prouvant que les enfants sont 82 à 303 fois plus susceptibles de mourir après la vaccination Covid-19 que les enfants qui n’ont pas reçu le vaccin Covid-19.

extraits


Le 17 juin 2022, la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis a prolongé de manière pénale l’autorisation d’utilisation d’urgence des injections d’ARNm Covid-19 pour une utilisation chez les enfants dès l’âge de 6 mois.

Il n’y a jamais eu d’urgence concernant l’infection au Covid-19 chez les enfants. Deux ans de preuves montrent que la maladie présumée n’a affecté que les personnes âgées et vulnérables. Les enfants ont eu la malchance de souffrir de symptômes plus graves que ceux associés au rhume.

Mais malgré ce fait, la FDA a décidé qu’il était parfaitement sûr d’administrer une injection expérimentale aux bébés et aux tout-petits, selon le commissaire de la FDA, Robert Califf –

«DE NOMBREUX PARENTS, SOIGNANTS ET CLINICIENS ATTENDAIENT UN VACCIN POUR LES JEUNES ENFANTS ET CETTE ACTION CONTRIBUERA À PROTÉGER CEUX JUSQU’À L’ÂGE DE 6 MOIS. COMME NOUS L’AVONS VU AVEC LES GROUPES D’ÂGE PLUS ÂGÉS, NOUS NOUS ATTENDONS À CE QUE LES VACCINS POUR LES JEUNES ENFANTS OFFRENT UNE PROTECTION CONTRE LES CONSÉQUENCES LES PLUS GRAVES DU COVID-19, TELLES QUE L’HOSPITALISATION ET LA MORT.

LES PERSONNES CHARGÉES DE LA GARDE DES ENFANTS PEUVENT AVOIR CONFIANCE DANS L’INNOCUITÉ ET L’EFFICACITÉ DE CES VACCINS COVID-19 ET PEUVENT ÊTRE ASSURÉES QUE L’AGENCE A ÉTÉ MINUTIEUSE DANS SON ÉVALUATION DES DONNÉES.

Le commissaire de la FDA vivra pour regretter cette dernière phrase. Comme tout parent qui prend les mots du commissaire au pied de la lettre. Parce que les données officielles de l’Office for National Statistics du Royaume-Uni montrent que les enfants vaccinés contre le Covid-19 ont entre 8 100 % et 30 200 % plus de risques de mourir que les enfants non vaccinés.

Le 16 mai 2022, l’Office for National Statistics (ONS) a publié un ensemble de données contenant des détails sur  les “décès par statut vaccinal en Angleterre”  entre le 1er janvier 2021 et le 31 mars 2022.

L’ensemble de données contient divers tableaux montrant des détails tels que «Taux de mortalité mensuels standardisés selon l’âge selon le statut vaccinal pour les décès impliquant le COVID-19» et «Taux de mortalité mensuels standardisés selon l’âge selon le statut vaccinal pour les décès non liés au COVID-19».

Un nouveau documentaire expose le plan “diabolique” de l’OMS visant à utiliser des vaccins pour réduire la population mondiale

https://childrenshealthdefense.org/defender/infertility-a-diabolical-agenda-chd-wakefield-documentary-who-vaccines-glob

“Infertility: A Diabolical Agenda” détaille les intentions de l’Organisation mondiale de la santé de produire un vaccin anti-fertilité en réponse à la surpopulation perçue, et comment ces vaccins ont été utilisés – à l’insu des gens ou sans leur consentement – depuis le milieu des années 90.

  • “Infertility: A Diabolical Agenda”, produit par le Dr Andrew Wakefield et Children’s Health Defence, détaille les intentions de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) de produire un vaccin anti-fertilité en réponse à la surpopulation perçue, et comment ces vaccins ont été utilisés – sans la connaissance ou le consentement des gens – depuis le milieu des années 90.
  • L’OMS a été surprise plus d’une fois en train de tromper délibérément des femmes en leur faisant croire qu’elles étaient vaccinées contre le tétanos, alors qu’en fait elles étaient stérilisées.
  • Le film illustre clairement que le programme de dépopulation n’est pas une théorie du complot. C’est la réalité, et ça se passe dans le monde entier. Le vaccin contre le papillomavirus humain (HPV) et les injections de COVID-19 ont également des effets néfastes sur la fertilité qui sont ignorés.
  • Dans la décennie qui a suivi le déploiement du vaccin contre le VPH, le taux de grossesse chez les adolescentes a chuté de 50 %.
  • Bien que le Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS) soit le seul système accessible au public pour évaluer les blessures par injection de COVID, le gouvernement américain dispose d’au moins 10 autres systèmes de notification dont il ne partage pas les données. La défense de la santé des enfants dépose des demandes en vertu de la loi sur la liberté d’information (FOIA) pour que les autres systèmes aient une meilleure idée de l’ampleur des dommages, mais le VAERS et des rapports anecdotiques suggèrent à eux seuls que l’ampleur des blessures et des décès est énorme. Les données des compagnies d’assurance du monde entier le confirment également.

Dans l’interview ci-dessous, le Dr Andrew Wakefield et Mary Holland , présidente et conseillère juridique en chef de Children’s Health Defence , discutent de leur nouveau film documentaire, “Infertility: A Diabolical Agenda”.

“Infertility: A Diabolical Agenda” est le quatrième film de Wakefield. Le premier était “Qui a tué Alex Spourdalakis?” suivi de « Vaxxed » et « 1986 : The Act ».

Ce dernier film détaille les intentions de l’OMS de produire un vaccin anti-fertilité en réponse à la surpopulation perçue, et comment ces vaccins ont été utilisés à l’insu ou sans le consentement des gens depuis le milieu des années 90.

« C’est une histoire très importante, et c’est une histoire dont je suis au courant depuis quelques années », dit Wakefield. «Je pense que beaucoup de gens ont entendu parler de ce programme de vaccination intentionnelle contre l’infertilité, principalement chez les femmes des pays en développement comme l’Afrique. Mais il était en suspens, donc je n’y avais pas prêté l’attention voulue.

« J’aurais dû y prêter plus d’attention, car les gens m’avaient demandé au fil des ans : ‘Pensez-vous qu’il existe un programme de contrôle de la population ?’ …

“L’allégation était que l’Organisation mondiale de la santé, sous couvert d’un programme de prévention du tétanos néonatal, avait délibérément stérilisé des femmes [au Kenya] – soit en utilisant un vaccin pour avorter des grossesses existantes, soit pour prévenir de futures grossesses. Ils l’avaient fait sous prétexte de protéger les enfants plutôt que de réduire réellement la population.

Comme l’a expliqué Wakefield, ce n’était un secret pour personne que l’OMS travaillait sur un vaccin anti-fertilité depuis les années 1970. Des articles ont été publiés , et l’OMS elle-même l’a même admis. La vraie question ici est celle du consentement éclairé.

L’OMS a été surprise plus d’une fois en train de tromper délibérément des femmes en leur faisant croire qu’elles étaient vaccinées contre le tétanos, alors qu’en fait elles étaient stérilisées. C’est un creux éthique et moral difficile à battre.

Une campagne secrète de stérilisation aux Philippines révélée

L’histoire détaillée dans ce film commence en 1995 lorsque le gouvernement kenyan a lancé une campagne de vaccination de l’OMS contre le tétanos chez les femmes en âge de procréer.

Le Dr Stephen K. Karanja, ancien président de l’Association des médecins catholiques du Kenya, s’est méfié du programme lorsqu’il a appris que des programmes de stérilisation involontaire se faisant passer pour des programmes contre le tétanos avaient eu lieu.

Cette même année, 1995, la Ligue des femmes catholiques des Philippines a en fait obtenu une ordonnance du tribunal mettant fin à un programme de l’UNICEF contre le tétanos qui utilisait un vaccin contre le tétanos contenant de l’hCG. Des vaccins anti-hCG ont également été trouvés dans au moins quatre autres pays.

Note De TAL   Ce film est puissant pour démontrer que l’OMS est devenue un instrument aux mains des GENOCIDAIRES DE L’HUMANITE. J’ose faire appel aux médecins de l’ OMS que j’ai connus et fréquentés… De grâce réveillez-vous et osez dire la vérité sur le drame de cette grande institution qui est née avec des buts nobles mais a été dévoyée par le forces de l’argent de BIG PHARMA et est devenue l’esclave des ploutocrates qui veulent dominer tous les êtres humains !

100 millions de personnes mourront-elles du COVID Vax d’ici 2028 ?

PAR JOSEPH MERCOLA 

https://www.theepochtimes.com/will-100-million-die-from-the-covid-vax-by-2028_4602442.html?utm_source=healthnoe&utm_campaign=health-2022-07-17&utm_medium=email&est=J0njUtAgcFihqolVirSyJXTOWIVzGNo4Wv0jNufHPzzx5BexU3hgUlu%2BXWRYu5TUIg%3D%3D

extraits

Grâce à cette expérience de génie génétique, ils ont littéralement injecté des « graines de mort » dans des gens ordinaires comme un spray anti-cafards. Sur la base d’une estimation de 2011, il pense que 700 millions de personnes supplémentaires seront tuées par cette arme biologique – et ils connaissent les risques depuis 2005.

L’HISTOIRE EN UN COUP D’ŒIL

  • David Martin, Ph.D., présente des preuves que les injections de COVID-19 ne sont pas des vaccins, mais des armes biologiques qui sont utilisées comme une forme de génocide dans la population mondiale
  • La protéine de pointe que fabriquent les injections de COVID-19 est un agent biologique préoccupant connu
  • Martin pense que le nombre de personnes susceptibles de mourir a peut-être été révélé en 2011, lorsque l’Organisation mondiale de la santé a annoncé sa “décennie de vaccination”
  • L’objectif pour la décennie de la vaccination était une réduction de la population de 15 % dans le monde, ce qui ferait environ 700 millions de morts ; aux États-Unis, cela pourrait représenter entre 75 et 100 millions de personnes qui meurent des coups de COVID-19
  • Lorsqu’on lui a demandé dans quel délai ces personnes pourraient mourir, Martin a suggéré “il y a beaucoup de raisons économiques pour lesquelles les gens espèrent que c’est entre maintenant et 2028”.
  • L’illiquidité projetée des programmes de sécurité sociale, d’assurance-maladie et de Medicaid d’ici 2028 suggère que « moins de personnes bénéficient de ces programmes, mieux c’est » ; Martin pense que c’est peut-être la raison pour laquelle les personnes de 65 ans et plus ont d’abord été ciblées par des injections de COVID-19

Dans cette interview révélatrice avec Greg Hunter de USAWatchdog.com, David Martin, Ph.D., présente des preuves que les injections de COVID-19 ne sont pas des vaccins mais des armes biologiques qui sont utilisées comme une forme de génocide dans la population mondiale. 1

En mars 2022, Martin a intenté une action en justice fédérale contre le président Biden, le ministère de la Santé et des Services sociaux et les Centers for Medicare and Medicaid Services, alléguant que les injections de COVID-19 transforment le corps en une usine d’armes biologiques, fabriquant des protéines de pointe. Non seulement le terme “vaccination” est trompeur lorsqu’il fait référence aux injections de COVID-19, mais il est inexact puisqu’il s’agit en fait d’une forme de thérapie génique. 2

« Et non seulement nous n’allons pas être poursuivis pour, vous savez, toute diffamation ou désinformation, nous tenons en fait les gens pénalement responsables de leur terrorisme intérieur, de leurs crimes contre l’humanité et de l’histoire de la militarisation du coronavirus qui remonte à 1998, ” dit Martine. 3

Le SRAS-CoV-2 est en préparation depuis des décennies

Martin travaille dans le suivi des demandes et des approbations de brevets depuis 1998. Sa société, M-Cam International Innovation Risk Management, est le plus grand souscripteur mondial d’actifs incorporels utilisés en finance dans 168 pays. M-Cam a également surveillé les violations du traité sur les armes biologiques et chimiques au nom du gouvernement américain, à la suite de la crise de l’anthrax en septembre 2001.4

Selon Martin, il existe plus de 4 000 brevets relatifs au coronavirus du SRAS. Son entreprise a également effectué un examen complet du financement de la recherche impliquant la manipulation des coronavirus qui a donné naissance au SRAS en tant que sous-clade de la famille des bêta-coronavirus.

Une grande partie de la recherche a été financée par les Instituts nationaux des allergies et des maladies infectieuses (NIAID) sous la direction du Dr Anthony Fauci. 5  Martin a expliqué : 6

«Je pense qu’il est important que vos auditeurs et téléspectateurs se souviennent que c’était en 1999 quand Anthony Fauci et Ralph Baric de l’Université de Caroline du Nord Chapel Hill ont décidé de commencer à armer le coronavirus qu’ils ont breveté en 2002 – et vous avez bien entendu cette date, c’est un an avant l’épidémie de SRAS en Chine.

Vous savez, ils savaient que c’était une arme biologique depuis 2005. Ils savaient que c’était efficace pour nuire aux populations, intimider et contraindre les populations »

Les coups de COVID-19 sont un «acte de bioterrorisme»

Selon Martin, la protéine de pointe que fabriquent les injections de COVID-19 est une simulation informatique d’une chimère de la protéine de pointe du coronavirus. “Ce n’est en fait pas un vaccin contre le coronavirus. Il s’agit d’une instruction de protéine de pointe pour que le corps humain produise une toxine, et cette toxine a été programmée comme un agent biologique préoccupant connu en ce qui concerne les armes biologiques depuis maintenant une décennie et demie », a-t-il déclaré. sept

Plutôt que d’être une mesure de santé publique comme ils ont été largement annoncés, les tirs de COVID-19 sont un acte d’armes biologiques et de bioterrorisme. Martin a partagé qu’en 2015, le Dr Peter Daszak, chef de l’EcoHealth Alliance qui a acheminé les dollars de recherche du NIAID vers l’Institut de virologie de Wuhan pour la recherche sur les coronavirus, a déclaré : 8

«Nous devons accroître la compréhension du public sur la nécessité de contre-mesures médicales telles qu’un vaccin pan-coronavirus. Un moteur clé est les médias et l’économie suivra le battage médiatique. Nous devons utiliser ce battage médiatique à notre avantage, pour aborder les vrais problèmes. Les investisseurs répondront s’ils voient un profit à la fin du processus.

Daszak, que Martin appelle « le blanchisseur d’argent en chef », « a en fait déclaré que tout cet exercice était une campagne de terreur intérieure pour amener le public à accepter la plate-forme vaccinale universelle utilisant une arme biologique connue. Et ce sont leurs propres mots, pas mon interprétation », a déclaré Martin. 9

Martin: 100 millions de personnes pourraient mourir à cause des coups de COVID

Les injections COVID-19 de Pfizer et de Moderna contiennent des séquences d’acides nucléiques qui ne font pas partie de la nature et n’ont jamais été introduites auparavant dans le corps humain. Cela équivaut à une expérience de génie génétique qui n’a pas fait l’objet d’études sur des animaux ou d’essais cliniques.

Cependant, des personnes meurent déjà des suites des injections et, selon Martin, “beaucoup plus le feront” en raison de problèmes tels que des caillots sanguins, des dommages au système cardiovasculaire et des problèmes de fonction hépatique, rénale et pulmonaire. 

Alarme réaliste justifiée
ou montage diabolique ?

Michel DOGNA

Si vous avez déjà eu l’occasion – lors de voyages en avion – de scruter le sol vu de 25.000 pieds (8.000m environ), vous avez pu constater que 90% de la surface terrestre est généralement vide ou très peu habitée entre quelques agglomérations éparses plus ou moins importantes.

Par analogie à un troupeau domestique, il est important pour le contrôler aisément de le rassembler dans des structures concentrationnaires – il en va de même pour les troupeaux humains que l’on attire dans des cités dotées de facilités de vie apparemment plus sécurisantes. Mais ce plus de sécurité se paye par moins de liberté – et cela, c’est le piège ! Le plan d’avenir en marche depuis 70 ans à partir du projet Blue Beam des Illuminatis, c’est le monde rural réduit presque à zéro, comme dans le film “Soleil Vert”.

Notre planète est-elle “au taquet” de ses ressources ?

– Oui dans les conditions de gaspillage stupide développées depuis des années.
– Oui si les produits pétroliers restent la source énergétique majeure.
– Oui si nous continuons à détruire de façon irresponsable les écosystèmes.
– Oui si nous continuons à polluer l’eau, l’air et tout le monde du vivant.
– Oui si nous ne remettons pas en question nos façons de vivre collectivement.

– Non si les humains se décident d’arrêter de consommer des animaux (crucial).
– Non si Monsanto arrête de confisquer les semences, dons gratuits de la nature.
– Non si l’on cesse de rendre les terres arables stériles et mortes par la chimie.
– Non si nous ne continuons pas à surexploiter la capacité piscicole de la mer.
– Non si l’électricité gratuite et illimitée de Nicola Tesla est libérée.
– Non si nous sommes débarrassés des gouvernants illégitimes au service du mal.

Des chiffres parlant pour les carnivores irréductibles

    • Il faut 5.000m2 (1/2 ha) de terre cultivable pur produire 70 kg de bœuf ou 10 tonnes de pommes de terre.
    • Il faut de 7 à 16 kg de céréales u de produits végétaux pour produire 1 kg de viande.
    • Il faut 30.000 à 60.000 litres d’eau pur faire 1 kg de viande de bœuf et 800 litres d’eau pour 1 kg de blé.
    • Près de 50% de tutes les récoltes alimentaires dans le monde sont mangées par le bétail.
    • 64% des terres cultivables du mnde servent à la production de viande (pâturage et fourrage).
    • Les pays industrialisés avec 26% de la ppulation mondiale utilisent 56% des ressources alimentaires.
    • 80% des animaux élevés en batterie snt malades, et ceux qui les consomment le deviennent aussi.
    • Le bétail des pays riches mange autant de céréales que tus les Indiens et les Chinois réunis.
    • Un bœuf furnit 200 kg de viande, soit 1.500 repas. Les céréales qu’il a mangées auraient pu servir 18.000 repas.
    • La cnsommation de « viande » utilise 60% des réserves d’eau douce mondiale.
    • Il faut 400 litres d’eau/heure, 24h/24h pur faire face aux besoins alimentaires d’une seule personne carnivore.
    • Pur fournir 50 kg de protéines, un animal a dû consommer au minimum 800 kg de protéines végétales.

Graves pollutions annexes associées au carnivorisme

    • Plus de 80 prduits différents peuvent être injectés aux cochons modernes avant d’être abattus.
    • Les prducteurs de volailles, de porcs, de bovins et poissons utilisent au Canada plus de 20.000 tonnes d’antibiotiques par an en injections, ou incorporées à la moulée.
    • En 2000, la quantité d’antibitiques utilisée dans l’Union européenne était de 11.000 tonnes. Elle a dû augmenter depuis…
    • La cnsommation mondiale d’engrais de synthèse est passée de 7 millions de tonnes en 1945, à 53 millions de tonnes en 1968, et atteint 150 millions de tonnes par an aujourd’hui.
    • 500 pesticides différents snt employés dans la culture industrielle : 1.5 à 2 tonnes / par ha / par culture / par an, en Europe.
    • 90% de tus les résidus de pesticides se retrouvent dans les produits animaux alors que les fruits, les légumes et les céréales en recèlent moins de 10%.
    • Les excréments de bétail d’élevage représentent 110 tnnes par seconde rien que pour les USA et l’Europe soit près de 1 million de tonnes par jour : cela entraîne 50% de toute la pollution des nappes phréatiques du monde.
    • Une trentaine d’hectares de frêts sont détruites chaque minute pour cultiver des aliments du bétail – soit plus de 43.000 hectares par jour.
    • 300 tnnes d’humus indispensables à la pousse des plantes disparaissent chaque minute, soit près de ½ million de tonnes par jour, d’où désertification.

Par ailleurs, savez-vous que le budget militaire des États-Unis est à lui seul cent fois supérieur aux besoins alimentaires des pays les plus pauvres. Savez-vous aussi que l’on a récupéré 3 trois fois plus d’argent pour sauver les banques pendant la crise, qu’il n’en fallait pour mettre un terme à la faim dans le monde pendant 10 ans !

Pensez-vous que les conditions de cette folie aient un avenir pour l’espèce humaine ? Or diverses études ont montré qu’uniquement par rapport au mode alimentaire végétarien de l’ensemble de l’humanité, notre planète pourrait recevoir 25 milliards d’humains nourris correctement !

  • Nota : il y a d’après mes sources 20 millions de végétariens en Europe et nous en faisons partie.

Second problème majeur : l’énergie payante

Le monde entier est pieds et mains liés au bon vouloir de ceux qui détiennent les énergies fossiles. Rien ne peut plus fonctionner sans les produits pétroliers – les ennemis de la Russie en font actuellement une cuisante expérience… Or un monde de 25 milliards d’individus est inconcevable dans les conditions de dépendance actuelle. L’air, l’eau, les semences, et l’énergie sont des cadeaux gratuits légitimes de mère Nature – et ce n’est plus le cas !

Précisément, il est anormal que nous ayons à payer l’énergie électrique alors que Nicola Tesla, le plus grand inventeur de tous les temps, qui a déposé plus de 700 brevets, a réalisé en1901/1902 à Long Island (USA) une tour de 57 mètres de haut au-dessus d’un puits de 30m de profondeur ; cette tour captait la puissance électrique illimitée de l’effet condensateur entre la terre et la tropopause stratosphérique. Nommée “Tour de Tesla” elle distribuait gratuitement sans fil par simple rayonnement son énergie électrique à grandes distances à tous ceux qui étaient munis d’un récepteur adapté (de la façon où cela se passe actuellement pour la télévision par paraboles).

Hélas, JP Morgan, le richissime sponsor de Tesla, qui avait investi dans des milliers de Km de fils de cuivre pour le futur transport électrique, réalisant que par l’absence d’un compteur, son investissement ne serait jamais rentabilisé, a coupé les vivres à Tesla en 1906, et la tour fut finalement détruite en 1917.

Vous découvrirez une abondante littérature sur l’œuvre colossale de Nicola Tesla, en tapant son nom sur google ou autre, que vous utilisez quotidiennement sans le savoir de nombreuses inventions lui revenant – mais il y a aussi ses brevets types startrek qui ont été classifiés “top secrets militaires dangereux”, ce qui est mensonger, et qui ont fait que son nom a été banni des livres scolaires.
Le Président Donald Trump qui a déjà levé le secret des Medbeds (lits de guérison) réservés depuis 50 ans aux élites et a lancé leur fabrication en série pour le monde entier, a promis de libérer dès sa réhabilitation officielle, les 6.200 brevets futuristes (dont des systèmes d’énergie libre individuels, d’antigravitation, etc.) mis sous cloche pour bloquer l’ascension de l’humanité.

La voie de la sagesse, vers la fin du match…

Arrêtez d’écouter les mensonges des prophètes de malheurs officiels et surtout, n’obéissez pas à leurs injonctions qui vous mènent droit dans leur monde infernal où vous perdrez le statut « d’humain » en devenant du simple matériel sans âme, consommable et jetable à souhait.

En ce moment même, sans que les medias vous en informent, des foules à perte de vue grondent dans la rue contre la famine organisée et/ou les restrictions de toutes sortes – cela se passe en Lybie, en Albanie, au Sri Lanka, au Panama, au Kénya, en Argentine, en Corée de Sud, au Mozambique, en Bosnie Herzégovine, au Ghana, en Inde, en Allemagne…
Par ailleurs, les collabos du mal commencent à quitter leur poste – tels tous les ministres de la Grande Bretagne qui viennent de démissionner. Biden est désavoué par l’ensemble des Américains et ça va mal partout !
Tenez bon les Amis ! Les voyous mondialistes continuent à aboyer et menacer, mais ils sont ruinés et impuissants ; la partie est déjà perdue pour eux et irrattrapable… Alléluia ! Le grand ménage mondial par les forces militaires spéciales de l’Alliance qui est discrètement en action depuis 3 ans, sera terminé à la fin de l’année 2022.

UN APPEL AU SECOURS POUR SAUVER LES MEDECINS FRANCAIS

Covid : En France actuellement les ordonnances établies par les médecins, afin de soigner leurs patients par des traitements précoces, sont épluchées et tous les médecins ayant prescrit de l’ivermectine par exemple sont dénoncés à l’ordre des médecins.

Cela concerne aussi les médecins vaccinés … Voilà la vidéo de 3 minutes réalisée par le Dr Grégory Pamart :
https://www.youtube.com/watch?v=or1di8hTxZo

Grandeur et décadence :

Le fondateur de Dubaï, le cheikh RASHID, a été interrogé sur l’avenir de son pays et a répondu :
“Mon grand-père a fait du chameau, mon père a fait du chameau, je roule en Mercedes, mon fils roule en Land Rover, et mon petit-fils va rouler en Land Rover… Mais mon arrière-petit-fils va encore devoir faire du chameau.” Pourquoi cela, lui a-t-on demandé ? Et sa réponse fut : “Les temps difficiles créent des hommes forts, les hommes forts créent des temps faciles. Les temps faciles créent des hommes faibles, les hommes faibles créent des temps difficiles. Beaucoup ne le comprendront pas, mais vous devez élever des guerriers, pas des parasites. Et ajoutez à cela la réalité historique que tous les grands empires se sont tous levés et ont péri en 240 ans ! Les Perses, les Troyens, les Égyptiens, les Grecs, les Romains et, plus tard, les Britanniques… Ils n’ont pas été conquis par des ennemis extérieurs, ils ont pourri de l’intérieur. L’Europe a maintenant passé ce cap des 240 ans, et la pourriture commence à être visible et s’accélère. Nous avons dépassé les années Mercedes et Land Rover… Les chameaux sont à l’horizon.”

Voilà chers amis

Que ces infos vous soient utiles pour vous et pour ceux que vous rencontrez…Nous vaincrons car le drame des maîtres du monde, c’est qu’ils ne peuvent rien contre ceux qui, sortis de la peur et de l’obéissance à autrui, font ce que leur dicte leur cœur !

TAL SCHALLER

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