Vaccins : Un dossier accablant !

Il va vous falloir oublier tout ce que l’on vous a dit et que vous croyez sur les vaccins, TOUT ! Cela demande une grande ouverture d’esprit et du courage, car certains, en découvrant la réalité, voient le sol s’ouvrir sous leurs pieds. Sachez que nous aussi nous nous sommes laissés abuser, mais c’était il y a plus de 40 ans… « Bienvenue au monde de l’endoctrinement, des croyances sectaires irrationnelles, celui des vaccins ! »

Énorme : On s’oriente vers une astuce sémantique pour contourner le mot « obligatoire » ! Faute d’arguments scientifiques, incapables de répondre à nos objections implacables, et pour éviter les termes politiquement incorrects comme « obligatoire », en jouant sur les mots, nos responsables s’orientent vers une liste de vaccins « exigibles ». Une belle pirouette sémantique, hypocrite, car cela revient au même, à cela près, que la liste des vaccins « exigibles » serait établie par décret ! L’arbitraire total, ainsi on passera de 3 vaccins obligatoires actuels, à 8, puis 9… avec la possibilité de se voir imposer à tout moment, comme « exigible », un vaccin de type « H1N1 » ! Exemple : http://www.kla.tv/index.php?a=showlanguage&lang=fr&id=7690 (7 mn) Nous avons travaillé, au- delà de notre expertise, à partir d’une masse considérable d’informations, qui démontrent que les vaccinations sont bien une opération criminelle contre l’humanité. Or, les pantins chargés de mettre en place ce programme, sont acculés à une fuite en avant, sans jamais pouvoir faire marche arrière, sous peine de voir leur édifice s’écrouler. Leurs seuls « arguments » (outre le dénigrement, le mensonge et les invectives) sont de miser sur la peur, sur une croyance irraisonnée du public en ce dogme, qu’ils ont su rendre « intouchable » dans l’inconscient collectif, et sur les moyens d’État pour imposer ces poisons par la force. Nous produisons des éléments probants et accablants, prouvant la nature criminelle, consciente et délibérée, du programme des nouvelles vaccinations « exigibles »… Pour tout dire, de l’explosif ! Et si on laisse faire ça…

Tout médecin, infirmier, pédiatre peut débattre de la vaccination, mais avec un révolver braqué sur sa tempe Si pour des raisons sanitaires et scientifiques, il remet en cause la vaccination, il risque la radiation, la prison ferme et jusqu’à 100.000 euros d’amende. C’est dans ce climat de menaces continuelles à l’égard des personnels de santé que s’ouvre cette « Grande concertation » sur la vaccination en France… Quel résultat honnête peut-il en sortir dans ces conditions ? Car c’est un peu comme si vous aviez à disposition que bouton « OUI », et là, si vous pressez, tout va bien, mais si vous choisissez le bouton « NON », vous sautez avec…

Dans un article paru dans le Quotidien du Médecin le 08 février 2016 donnait comme titre : « La vaccination pourrait doper de 153.000 milliards l’économie mondiale ».

Marisol Touraine : « Il lui fallait s’assurer que la démocratie en santé serait à sa botte » La Conférence nationale de santé : « Un comité Théodule entendu de personne » selon son ancien secrétaire général Par la rédaction de France Info, lundi 22 février 2016 09:38 Thomas Dietrich, qui a démissionné vendredi (19/02/16) de son poste de secrétaire général de la Conférence nationale de santé, dit sur France Info voir en cette entité « Une sorte de comité Théodule dont on prétend tenir compte des avis, mais qui n’est entendu de personne ». La Conférence nationale de santé regroupe les différents acteurs de la santé, et est censé aider le gouvernement à orienter sa politique de santé. « On fait croire que l’on construit une politique de santé en lien avec un certain nombre d’acteurs alors que l’on construit une politique de santé de manière très verticale, sans retour de terrain, un peu en vase clos, dans un ministère coincé dans le 7ème arrondissement de Paris », insiste Thomas Dietrich. L’ex-secrétaire général explique sa démission par de récents épisodes, notamment la question de la fin de vie : « L’avis de la CNS, qui est une autorité indépendante, a fait sortir de ses gonds la ministre [de la Santé Marisol Touraine]. Normalement elle n’a pas à essayer de censurer un avis rendu par une instance indépendante. » Thomas Dietrich critique également vivement le débat public sur la vaccination annoncé mi-janvier par Marisol Touraine, une « vaste mascarade », selon lui : « Les conditions de transparence et d’indépendance de l’organisateur ne sont pas garanties. L’agence qui organise ce débat, l’agence nationale de santé publique, est sous tutelle de l’État. C’est embêtant, d’autant plus qu’elle fait aussi des campagnes pro-vaccination. Je pense que rester voulait dire que je cautionnais le système. Quand la situation est problématique à ce point, il faut sortit du système et le dénoncer. Je pense que je vais avoir quelques problèmes à revenir dans l’administration française pour les trente prochaines années. » http://www.franceinfo.fr/fil-info/article/la-conference-nationale- de-sante-un-comite-theodule-entendude-personne-selon-son-ancien-secretaire-768583 Des pressions sur des sujets sensibles Il sait de quoi il parle puisque durant un an, il a dirigé le secrétariat général de la Conférence nationale de santé. Créé par une loi de 2004, cet organisme (à ne pas confondre avec la Grande conférence de santé qui s’est tenue jeudi dernier), est constitué de 120 membres, représentants l’ensemble du paysage de la santé : usagers, professionnels du soin, élus, chercheurs, assureurs, laboratoires… Sa mission est simple : rendre des avis indépendants pour éclairer, notamment les parlementaires et le ministère. Cette instance est assujettie à la Direction générale de la Santé, elle-même dépendant de la ministre, Marisol Touraine. Or, selon Dietrich, le ministère ne supporterait pas certaines prises de positions. Son avis sur la « Loi fin de vie », qui n’allait pas assez loin, fut le début de l’entrée en disgrâce de la CNA. Le coup de grâce vint lorsque sa présidente, Bernadette Devictor, afficha sa volonté de piloter un débat national sur la vaccination. Des pressions commencèrent alors à s’exercer. Lors d’une réunion avec Benoit Vallet, rapporte Thomas Dietrich, « il fut exigé que je fasse relire les avis ou contributions de la CNA par le cabinet de la ministre ». Une première. Plus tard, le fonctionnaire fut convoqué par sa hiérarchie qui s’opposait à la diffusion d’une lettre d’information de la CNS. « La volonté affichée d’organiser un grand débat sur la vaccination avait effrayé », écrit le démissionnaire. Finalement, la ministre demandera un rapport sur la vaccination à une député socialiste, Sandrine Hurel, et lancé un débat national dont l’organisation a été confiée au Pr Alain Fisher, « membre éminent du comité de campagne de Martine Aubry, lors des primaires de 2011 », rappelle encore l’auteur. Une importante baisse de budget. Pendant ce temps, la source financière de la CNA s’est tarie. La part servant à indemniser ses membres bénévoles est tombée de 80.000€ en 2012 à 59.600€ en 2015. La part servant à organiser les débats publics est tombée de 141.000€ à 96.000€. De même, les promesses du Directeur général de la Santé de renforcer les rares effectifs n’ont finalement pas été tenues. Une évolution qui n’a rien d’économique, si l’on en croit Thomas Dietrich, car le ministère a pu trouver 400.000 € pour financer une nouvelle structure, « l’institut pour la démocratie en Santé », dont la secrétaire générale était jusque-là conseillère de Marisol Touraine. « Il lui fallait s’assurer que la démocratie en santé serait à sa botte ». Interrogé samedi, Thomas Dietrich assume sa lettre. « Je démissionne parce que je n’ai rien à perdre, je suis libre. Je sais que je risque des sanctions en tant que fonctionnaire, mais je ne pouvais pas continuer comme ça ».

Quel résultat honnête peut-il en sortir dans ces conditions ? On est en droit de se pose la question… D’autant plus qu’il faut également rappeler la loi du 29 juillet 1994, qui dit que : « Aucun acte médical ni aucun traitement ne peut être pratiqué sans le consentement libre et éclairé de la personne et ce consentement peut être retiré à tout moment ».

Le consentement du malade à ses soins, est une obligation consécutive au caractère contractuel de la relation médecin-malade. La notion de consentement éclairé implique que le médecin est tenu de présenter clairement au patient tous les risques d’une conduite thérapeutique. Dans l’ordre, le consentement éventuel vient donc bien APRÈS l’information. De toute évidence, nous nageons là en pleine contradiction : Il est « interdit » de remettre en cause les vaccins, et de fait, si un médecin le fait, il se retrouve ostracisé dans sa profession, jusqu’à être empêché de l’exercer, avec au bout, la menace extrême de la prison. En même temps, la ministre parle de « Grande concertation », de contributions, de débat… Et surtout, la loi oblige à informer les patients sur les effets réels des vaccins, et les risques encourus d’effets « indésirables »… Un médecin est donc légalement obligé d’informer le patient à qui il va injecter un vaccin obligatoire, sur la nature de l’acte et ses conséquences, dans le but d’obtenir son… consentement… Mais dans les faits, s’il le fait, et si sa conscience le pousse jusqu’à déconseiller cet acte, eu égard aux dangers encourus, il sera radié et ne pourra plus exercer. D’une certaine façon, ça tombe bien, si l’on peut dire, puisque obligation vaccinale il y a (cas du DTP en France), à quoi ça sert donc de discuter… Et quel sens cela a-t-il d’informer un patient que ce qu’on va lui injecter est une soupe de poisons, pour obtenir son consentement à l’accomplissement d’un acte… obligatoire ? Sur un sujet aussi important, on voit dès le début que nous sommes au royaume d’Ubu, celui de l’absurde et de l’arbitraire !

Un vaccin est une soupe de poisons. Entrent notamment dans leur composition : Le sulfate d’ammonium, qui est un poison suspecté d’attaquer le foie, le système nerveux, le système gastro– intestinal et respiratoire. La Bêta-propiolactone, qui est un produit connu pour ses propriétés cancérigène ; poison suspecté d’attaquer le foie, le système respiratoire et gastro-intestinal, ainsi que la peau et les organes des sens. Des levures génétiquement modifiées, de l’ADN bactérien ou viral d’animaux : Substances qui peuvent s’incorporer dans l’ADN des vaccinés et entraîner des mutations génétiques inconnues. Du latex : produit qui peut produire des réactions allergiques mettant en péril le pronostic vital. Du glutamate de sodium : produit neurotoxique connu pour ses effets mutagènes, tératogènes, entraînant des malformations et monstruosités et ses effets sur la descendance. Responsable d’allergie. De l’aluminium neurotoxique et cancérigène (adjuvant), suspecté d’intervenir dans la maladie d’ALZHEIMER, de certaines démences, de comas et d’attaques. Responsables également d’allergies cutanées. Impliqué dans la myofasciite à macrophages. Du Formaldéhyde (= formol) : constituant principal des substances employées dans l’embaumement ; poison lorsqu’il est ingéré, carcinogène, impliqué dans les leucémies, les cancers du cerveau, du colon, des organes lymphatiques, suspecté d’occasionner des problèmes gastrointestinaux ; poison pour le foie, le système immunitaire, le système nerveux, les organes de reproduction. Utilisé pour inactiver les germes. Des micro-organismes : virus ou bactéries vivants ou tués, ou leurs toxines. Le vaccin polio contenait du SV40, le vaccin hépatite fait appel à ce virus du singe. Du tri (n) butylphosphate : Suspecté d’être un poison pour les reins et les nerfs. Du glutaraldéhyde : Poison s’il est ingéré, responsable de malformations néonatales chez les animaux d’expérimentation. De la gélatine : Produite à partir de certaines parties de la peau des veaux ainsi que des os de bovins déminéralisés et de peau de porcs. Responsable d’allergies. De la gentamycyne et de la polymyxine B (antibiotiques) : toxiques pour les reins et le système nerveux ; responsable d’allergies pouvant être mortelles. Du mercure (conservateur) : substance des plus dangereuses, qui a une affinité pour le cerveau, le foie, l’intestin, la moelle osseuse et les reins. D’infimes quantités peuvent causer des dommages graves au cerveau. Les symptômes de l’intoxication au mercure sont divers et certains sont superposables aux troubles et désordres autistiques. Théoriquement interdit dans les vaccins depuis 1999. De la Néomycyne (antibiotique) : Substance qui perturbe l’absorption de la vitamine B6. Une erreur d’assimilation de la vitamine B6 peut entraîner une forme rare d’épilepsie et de retard mental. Réactions allergiques pouvant être mortelles. Toxique pour les reins et le système nerveux. Du phénol/phénoxyéthanol : Utilisé comme antigel. Toxique pour toutes les cellules et capable de dérégler les réponses du système immunitaire. Du borate de sodium (Borax) : Utilisé comme insecticide et comme raticide (mort aux rats) et contenu dans le très à la mode vaccin GARDASIL. Utilisé en milieu vétérinaire comme stérilisant. Du polysorbate 80 : Utilisé en médecine du cerveau pour faciliter le franchissement par les médicaments de la barrière hémato-encéphalique…

Question : « Pourquoi les fabricants de vaccins veulent-ils favoriser le passage dans le cerveau de l’aluminium et du mercure, notamment ?!? » Des bactéries, comme la Bordetella pertussis, couramment utilisées en tant qu’adjuvants des vaccins qui seraient susceptibles de déclencher des scléroses en plaques. Une étude intitulée « Le rôle potentiel de la colonisation subclinique par la Bordetella pertussis dans l’étiologie de la sclérose en plaques » a d’ailleurs été publiée dans la revue Immunobiology (source : multiplesclérosisnewstoday.com ; 1er décembre 2015). Des cellules humaines et animales diverses : Des cellules humaines provenant de tissus de fœtus ; de l’albumine humaine, du sang de porc, de cheval, de mouton ; de la cervelle de lapin, de cobaye ; des reins de chien, du cœur de bœuf, des reins de singe, des embryons de poulets, des œufs de poules (pouvant être contaminés par le virus de la leucose aviaire c’est-à-dire la leucémie des poules…), des œufs de canards, du sérum de veau (pouvant être porteur des prions du Creutzfeldt Jacob)… Des nanoparticules, sur lesquelles les laboratoires se gardent bien de communiquer… Quand on pense que les ventes d’une célèbre boisson pétillante avait vu ses ventes chuter parce que des traces de benzène avaient été trouvées dans UNE bouteille ! Les gens ont un comportement totalement irrationnel ! Précisons, concernant cette composition, que nous parlons de la partie connue… Les composants secrets : Par exemple, grâce à un informateur qui souhaite rester anonyme pour des raisons de sécurité personnelle, le Dr Bradstreet (suicidé le 19/6/15) et autres chercheurs médicaux alternatifs, en sont arrivés à comprendre que la Nagalase est introduite dans le corps des personnes qui reçoivent des vaccins. Le Dr Bradstreet a compris que les gens présentent des réactions différentes à la Nagalase et que chez un faible pourcentage de ces personnes, il n’y a pas de suppression du système immunitaire. Cependant pour la majorité des personnes on retrouve cette dangereuse suppression du système immunitaire qui ouvre la porte au cancer et à l’autisme.

Le constant phénomène de commutation Accordant une interview au magazine de consommateurs UFC Que choisir, en février 2003, le docteur Mohammed KHEIR TAHA, directeur adjoint du Centre national de référence du méningocoque à l’Institut Pasteur, reconnaissait que : « Dans l’évolution des infections à méningocoques, il y a un aspect qui nous fait très peur, ce sont les changements dans les types de bactéries apparus à l’occasion des campagnes de vaccination massives. Ainsi, en Tchéquie, après les campagnes de 1993, on a vu arriver des infections à méningocoque B, certains C ayant commuté vers les B. Ce phénomène de commutation dans lequel la bactérie se détruit et échange son bagage génétique avec les bactéries voisines, se produit constamment. Ce qui change tout, c’est la sélection, par le vaccin, de nouveaux variants virulents et invasifs ». Ce phénomène a également été observé en Grande-Bretagne en 2001. En raison d’une incidence élevée de méningites à méningocoque de type C en 1999, les autorités sanitaires britanniques décident de vacciner 15 millions de jeunes contre ce type de méningite bactérienne. L’année suivante, comme le reconnaît le Conseil supérieur d’hygiène publique français (CSHP), dans un avis du 8 mars 2002 : « […] En Angleterre, depuis la mise en œuvre de la vaccination, alors que la mortalité liée au méningocoque du groupe C a fortement chuté, la mortalité globale par méningite à méningocoques (c’est-à-dire de groupe B + C) n’a pas baissé et le nombre d’infections à méningocoques liées à des sérogroupes B a poursuivi sa progression ». Cet avis du CSHP, qui n’est pas paru au Journal Officiel, n’a bien évidemment pas été transmis aux médecins et aux patients lors des campagnes de vaccination contre la méningite à méningocoque de type C, instaurées d’abord en Auvergne puis dans trois départements du Sud-Ouest (Landes, Pyrénées-Atlantiques et Hautes-Pyrénées). Les mêmes causes engendrant les mêmes effets, les méningites de type C laissèrent la place à des méningites de type B pour lesquelles n’existait aucun vaccin. Notons au passage que le quotidien britannique The Observer nous apprendra en 2000 que plus de 16.000 effets secondaires des vaccins Méningitec de Wyeth Lederlé et Meninjugate de Novartis soit une réaction adverse pour 907 dosesont été occultés par les fabricants. De plus, 12 décès ont été signalés dont 7 morts subites et inexpliquées et un décès par convulsions dix jours après la vaccination. Ces chiffres sont sans doute beaucoup plus élevés, puisque le Département de la santé reconnaît lui-même que seulement 10 à 15% des réactions sont signalées, tout en les ayant considérablement minimisés afin de justifier un rapport bénéfice/risque très favorable. Le quotidien britannique terminera son article en titrant : « Possible conflit d’intérêt parmi les membres du comité conseillant le gouvernement », dont quatre déclarent des liens d’intérêt avec Wyeth, voire en plus les autres fabricants de vaccins contre les méningites. Quid des plusieurs centaines de plaintes déposées à Clermont-Ferrand en 2015, mais aussi en Italie, concernant ce même Méningitec dans lequel ont été retrouvées des nanoparticules.

L’importance du portage oropharyngée La flore de l’arbre respiratoire supérieur est très variée et abondante au niveau du rhinopharynx (108/ml de sécrétion pharyngée). Elle contient de nombreux opportunistes majeurs: staphylocoque doré (orifices narinaires en particulier), Bordetella, streptocoques (dont S. Pneu mo niae), Haemo philus, Neisseria (dont Neisseria meningitidis présent dans 10 à 40%), Branhamella catarrhalis, des anaérobies, corynébactéries, lactobacilles… Tout vaccin bactérien, comme tout antibiotique, peut dès lors exercer une pression de sélection sur les nouvelles bactéries qui ont commuté. Autres commutations bactériennes à Haemophilus B, pneumocoque, Bordetella (coqueluche)… Le constant phénomène de commutation concerne toutes les bactéries présentes dans l’oropharynx qui peuvent à leur tour subir les pressions de sélection vaccinale ou après antibiothérapie. Haemophilus B Comme d’autres pays occidentaux, la Belgique a décidé de vacciner les enfants contre les méningites à Haemophilus de type B en 1992. On observa à partir de l’année suivante la disparition progressive de ces méningites de type B et leur remplacement par des méningites à Haemophilus de type A, C, D, E… avec un doublement de la fréquence globale. Plus inquiétant encore, on constata un doublement de la fréquence des méningites à méningocoques de type A, B ou C, beaucoup plus graves. Une évolution semblable a été observée au Canada, depuis l’adoption du vaccin conjugué en 1992. Les données épidémiologiques confirment en tous points le changement observé en Belgique avec le doublement de l’incidence des infections invasives à Haemophilus non B, ainsi que celle des méningites à méningocoque, dont l’augmentation de fréquence a également été reconnue, sans qu’une quelconque relation de cause à effet n’ait, bien entendu, été envisagée. Le pneumocoque Certains agents pathogènes, tels que Strepto coccus pneumoniae et Haemophilus influenzae, réagissent à la pression vaccinale par un phénomène de « commutation de capsule » ou de « remplacement de capsule ». Par exemple, dans le cas des S. Pneumoniae causant des infections invasives à pneumocoque, la mise sur le marché du vaccin antipneumococcique conjugué heptavalent a mené à l’apparition de maladies causées par des sérotypes de pneumocoque liés au vaccin [1] ou des sérogroupes non liés au vaccin. On a également observé une commutation de capsule chez des pneumocoques pathogènes [2]. Concernant le vaccin PCV7, le Prevenar, l’INVS rapporte que « le remplacement des sérotypes vaccinaux par des sérotypes non vaccinaux a été observé aux États-Unis où l’incidence des cas dus à des sérotypes non vaccinaux a augmenté de 22% chez les enfants de moins de 5 ans quatre ans après l’introduction du PCV7 tandis que l’incidence des cas dus à des sérotypes vaccinaux a diminué de 97%. Aux États-Unis, le sérotype 19A a émergé comme le sérotype le plus fréquent représentant 35% des souches isolées chez les enfants de moins de 5 ans en 2004 ». Malgré cette expérience concordante, l’étude de l’INVS se veut prudente avant de conclure ainsi et considère comme « prématuré » de conclure aujourd’hui à une émergence de sérotype non vaccinaux qui serait liée à la pression de sélection exercée par la vaccination des nourrissons ! [1] Clin. Infect. Dis. 2006 ; 42:907-14 [2] Dr Raymond TSANG : « Sélection immunitaire résultant d’une pression vaccinale » et « Invasive Haemophilus influenzae in Manitoba, Canada, in the postvaccination era », J. Clin. Microbiol., 2006

L’efficacité des vaccins n’a jamais été prouvée scientifiquement C’est inimaginable, mais vous ne trouverez aucune étude prouvant l’efficacité des vaccins. Cette courbe montre que le vaccin « antipolio » n’est pour rien dans la diminution de la polio :

Bien au contraire, non seulement le vaccin ne sert à rien, mais il favorise les épidémies :

Et ce qui va dans le même sens, les enfants non vaccinés sont en meilleure santé que les vaccinés, ce qui est en parfaite cohérence avec la composition des vaccins

https://www.youtube.com/watch?v=U-U_LcCuUf0 (10 mn)

Effets secondaires graves avérés des vaccins, liste non exhaustive et non classée perturbation systématique de l’encéphalogramme après toute vaccination, – mort subite des nourrissons, dommages cérébraux, autisme, augmentation du risque de diabète insulinodépendant, sclérose en plaques, lupus érythémateux, névrites optiques, polyarthrites, péricardites, uvéites postérieures, myofasciite à macrophage, fibromyalgie, convulsions, épilepsies, syndrome de Guillain-Barré, syndrome de Parsonnage-Tunner, thrombocytopénies, maladies auto- immunes, lichen plan, allergies, asthme, paralysies, paralysies faciales, anaphylaxies, embolies pulmonaires, paresthénies, narcolepsie, thromboses veineuses profondes, myélites transverses, syndrome de fatigue chronique, thromboses veineuses profondes, embolies pulmonaires, – cancers, cancers du col de l’utérus, – leucémies, malformations congénitales, décès, etc.

Zika, un virus connu depuis 1947, et qui a bon dos… Alors qu’une centaine de cas annuels de microcéphalie y était observée jusque-là, le Brésil en a recensé près de 4.000 cas depuis novembre 2015, dans des zones où le gouvernement brésilien a introduit depuis 18 mois du pyriproxifène de Monsanto dans l’eau potable, insecticide destiné à lutter contre la prolifération du moustique tigre responsable de la propagation de la dengue, mais aussi de son cousin le virus Zika. Selon un groupe de médecins argentins qui rapporte ces faits, cet insecticide provoque chez les insectes des malformations mortelles, tandis que le virus Zika n’est retrouvé que chez 17 microcéphalies sur 404 au Brésil. La virulence du virus avec lequel aucune malformation congénitale n’avait été recensée lors des précédentes épidémies, semble accrue depuis l’utilisation massive de ces insecticides, avec l’apparition nouvelle de syndrome de GuillainBarré… Autres faits incontournables, comme le reconnaissait déjà la BBC dès 26 janvier 2016 : le virus Zika n’a été retrouvé que chez un très petit nombre de bébés décédés de microcéphalie, laquelle n’a jamais été accusée de provoquer des malformations congénitales auparavant. La flambée de microcéphalies au Brésil répond donc à d’autres explications, d’autant que, en dehors de rares cas de syndrome de Guillain-Barré, les cas de Zika sont généralement bénins et ne provoquent des symptômes que chez 1 personne sur 5 et jamais de microcéphalie ou de malformations congénitales. Par contre, « le Brésil est le plus grand consommateur de pesticides au monde. Certains de ces pesticides sont interdits dans vingt-deux autres pays ! ». Depuis 2012, leur épandage a été massivement utilisé dans ce pays par Monsanto notamment [cf. Zengardner.com]. De plus, un nouveau vaccin DTCa (diphtérie-tétanos-coqueluche acellulaire) a été rendu obligatoire au Brésil au début de l’année 2015, ce qui coïncide parfaitement avec la période au cours de laquelle toute une série de bébés sont nés avec des malformations à partir de décembre 2015. C’est, en effet, à la fin de 2014 que le ministre brésilien de la Santé a annoncé l’arrivée d’un nouveau vaccin DTCa qui devait être rendu obligatoire pour toutes les femmes enceintes dès que ce vaccin arriverait au Brésil début 2015. Si, le virus Zika n’a pas été retrouvé dans la majorité des bébés qui sont nés avec des malformations, il est cependant certain que toutes les mères qui ont mis au monde des bébés malformés avaient reçu ce nouveau vaccin au début de leur grossesse. Le lien de cause à effet parait donc évident, comme il semble évident que la toxicité du virus soit accrue quand il interagit avec d’importantes quantités de pesticides, comme le pyriproxifène, voire des antibiotiques, comme la tétracycline, prescrits aux bovins depuis 2012 au Brésil.

En conclusion : Lorsque l’on regarde l’utilisation des vaccins dans le monde, notamment par certaines organisations supranationales, on en arrive au constat suivant : les vaccins sont utilisés comme des armes biologiques et chimiques. Car il appaire qu’ils sont utilisés de façon ciblée contre des populations. Ainsi, la stérilisation des jeunes filles avec le vaccin « HPV », ainsi la dépopulation avec la propagation d’épidémies (directement ou par abaissement des défenses immunitaires), ainsi pour abaisser les capacités cognitives, etc. C’est à cette conclusion que l’on arrive lorsque l’on ouvre les yeux et que l’on met tous les éléments du dossier en relation. Un dossier accablant s’il en est ! La vaccination n’est rien d’autre qu’un crime contre l’humanité… On est bien loin des croyances irraisonnées du public en ce dogme… Mais c’est tellement énorme, que c’est incroyable pour beaucoup !

Vaccin contre la rougeole : faut-il sonner le tocsin ? Régis Pluchet AVRIL 2019

Depuis début janvier, des alertes aux épidémies de rougeole arrivent de tous côtés. Les familles qui ne vaccinent pas les enfants sont particulièrement montrées du doigt. À lire ou entendre les médias, on croirait qu’un fléau menace la planète, que les coupables sont évidents (les non– vaccinés) et la solution, toute trouvée (augmenter la couverture vaccinale). Mais les choses sont-elles si simples ?

« Les cas de rougeole ont bondi de 300% dans le monde au premier trimestre 2019 », titrait Lemonde.fr le 15 avril, reprenant les chiffres d’un rapport de l’Organisation mondiale de la Santé. « État d’urgence dans une banlieue new-yorkaise, flambée des cas en Ukraine, épidémie meurtrière à Madagascar… Maladie évitable, mais potentiellement mortelle, la rougeole resurgit un peu partout dans le monde, à cause d’une défiance envers les vaccins ou d’un mauvais accès aux soins », écrit l’AFP dès le 28 mars.

En France, ces dernières semaines, 16 élèves de l’école privée Saint-Anne, à Saint-Tropez, ont contracté la rougeole, un établissement où beaucoup d’enfants ne sont pas vaccinés, a révélé Franceinfo.fr le 15 avril. Quant au site du Journal du dimanche, il relate le 22 avril la contamination de cinq enfants d’une crèche municipale de Montreuil (Seine–Saint-Denis), dont l’un s’en est sorti de peu (« Rougeole : frappé par le virus, un enfant frôle la mort »).

À New York, le maire Bill de Blasio a décrété le 10 avril un état d’urgence sanitaire dans plusieurs quartiers de la ville, après la survenue de 329 cas de rougeole depuis le mois d’octobre 2018. La majorité est des enfants appartenant à la communauté juive ultra-orthodoxe de Brooklyn qui refuse la vaccination. Le maire a menacé les parents qui ne vaccineraient pas de poursuites pénales et d’une amende de 1 000 dollars.

Des chiffres à reconsidérer

Devant ce flot d’informations alarmistes, difficile de débattre de la vaccination sans être pris pour un anti-vaccin. Tout argument critique est aussitôt considéré comme un fake. Pourtant, si l’on prend un peu de recul, un certain nombre de faits apportent d’importantes nuances, voire des objections aux informations qui circulent dans la presse. Les imprécisions y sont légion – qu’il s’agisse du nombre de cas, de l’âge des patients, de leur santé préalable et du fait qu’ils aient été vaccinés ou non.

Par exemple, il est généralement fait état des « cas déclarés » (sur la base d’un diagnostic clinique), qui ne seront pas tous des « cas confirmés » (par une analyse en laboratoire) ces derniers chiffres étant, eux, rarement repris par la presse. Or, outre le fait qu’il peut y avoir une confusion avec une autre maladie, il existe parmi les cas déclarés de rougeole une part conséquente de réactions au vaccin lui-même (73 des 194 « cas de rougeole » en Californie en 2015, par exemple). Et les « mésestimations » sont rarement publicisées par la suite1

En réalité, plusieurs mois de recul sont nécessaires pour procéder à une analyse objective de la situation. Et celle-ci ne doit pas être comparée uniquement à celle des années précédentes ; il est tout aussi important de savoir comment la maladie a évolué depuis plus d’un siècle.

La rougeole est due à un virus hautement contagieux, mais, dans les années 1950-1960, on la considère comme une maladie bénigne. Elle est alors réputée favoriser la bonne santé des enfants et les protéger contre d’autres maladies, notamment le syndrome néphrotique, maladie rénale grave de l’enfance. À l’époque, ce ne sont pourtant pas quelques dizaines ou centaines de cas qui surviennent dans les pays industrialisés comme aujourd’hui, mais bien des milliers. En France, il y en avait ainsi 200.000 à 500.000 par an2, contre 2.902 cas déclarés en 20183.

Physiologie de la rougeole

La maladie se manifeste par une fièvre élevée, une toux, un écoulement nasal, de la conjonctivite et une éruption cutanée sous forme de plaques rouges. Ces symptômes durent quatre à cinq jours. Elle est en général bénigne et se soigne avant tout par du repos, des médicaments antifièvre, des soins d’hygiène du nez et des yeux (sérum physiologique) et des sirops contre la toux.

Certes, elle entraîne parfois des complications respiratoires (otites dans 7 à 9% des cas, pneumonies dans 1 à 6% des cas) qu’il faut soigner avec des antibiotiques. Il y a aussi des formes plus sévères, avec des encéphalites qui peuvent générer des convulsions, voire des paralysies. Il existe encore une forme très grave se déclarant plusieurs années après la maladie (huit ans en moyenne) : la panencéphalite sclérosante subaiguë (PESS), très souvent mortelle.

Les encéphalites sont les principales raisons invoquées pour justifier la vaccination. Les chiffres officiels donnés pour ces complications neurologiques, telles qu’elles étaient observées, sont de 0,5 et 1 cas d’encéphalite pour 1.000 rougeoles, environ 1 cas de PESS pour 100.000 cas de rougeole, avant la période de vaccination massive4 comme aujourd’hui3.

Dès lors, on peut se demander si les risques réels de la maladie dans les pays du Nord ne sont pas surestimés, tandis que les effets secondaires de la vaccination seraient, eux, sous- estimés, faute d’un système de surveillance approprié. Celui-ci reste par ailleurs difficile à mettre en œuvre depuis la vaccination ROR (rougeole-oreillons-rubéole), qui ne permet plus de bien distinguer ce qui est dû à chacune des trois souches vaccinales.

Les complications de la rougeole ont diminué en France et dans les pays industrialisés bien avant l’utilisation du vaccin grâce à l’amélioration de l’hygiène, de l’alimentation et du niveau de vie au XXe siècle. Le professeur Michel Rey, alors consultant de l’OMS, expliquait il y a quarante ans que ces évolutions n’avaient guère fait baisser le nombre de cas de rougeole, mais qu’elles avaient entraîné « un effondrement de la gravité ».

Aux États-Unis, par exemple, la mortalité a été divisée par 50 entre 1900 et 1960 (10 décès annuels pour 100.000 habitants en 1900, 0,2 décès annuel pour 100.000 en 19605). Les formes les plus sévères touchent principalement des sujets atteints d’immunodépression constitutionnelle ou acquise par d’autres maladies ou par un traitement (chimiothérapie, corticoïdes).

Enfin aujourd’hui, c’est encore dans les pays du Sud où sévissent la malnutrition, le manque d’accès à l’eau potable et différentes maladies infectieuses que les complications de la rougeole sont courantes et que la mortalité liée est la plus forte.

Le vaccin et ses effets indésirables

La vaccination actuelle est réalisée avec un vaccin vivant atténué. Il y a trente ans, une injection à 1 an suffisait. À présent, son efficacité diminuant, une seconde dose doit être administrée à 18 mois. D’abord injecté seul, le vaccin anti-rougeole a progressivement fait place à une formule triple rougeole-oreillons-rubéole (le fameux ROR, commercialisé sous les noms de M- M-RVax Pro® et Priorix®). Longtemps facultatif, il a fait l’objet d’une intense campagne de communication depuis trente-cinq ans en France. Depuis 2018, il est obligatoire pour les enfants entrant en collectivité.

Le ROR est toujours présenté dans la presse comme un produit inoffensif. Or ce n’est pas un produit anodin. Il est contre-indiqué chez les sujets allergiques à l’œuf et à deux antibiotiques (néomycine, kanamycine). Entraînant une baisse de l’immunité pendant quelques semaines, il est contre-indiqué chez les sujets atteints d’une immunodépression constitutionnelle ou acquise.

Les poussées de fièvre après vaccination sont assez fréquentes (5 à 15% des cas). Les convulsions et les encéphalites sont possibles, mais considérées comme très rares et, en proportion, largement inférieures à celles produites par la maladie (7 cas de convulsions fébriles pour 100.000 enfants vaccinés selon une étude finlandaise6). Il y a aussi des cas de purpuras cutanés (taches rouges dues à de petites hémorragies pouvant couvrir tout le corps), qui guérissent souvent sans séquelles, mais peuvent toutefois entraîner des hémorragies sévères.

Plusieurs études scandinaves ont trouvé des taux de purpuras sévères plus élevés que ceux estimés. « Une thrombopénie transitoire survient rarement dans le mois suivant la vaccination [contre la rougeole] : seulement 1 cas pour 50.000 à 100.000 doses », rapporte le Guide des vaccinations de la Direction générale de la santé7. La thrombopénie désigne une baisse des plaquettes, qui est souvent suivie d’un purpura. Le même ouvrage précise par ailleurs que le risque de purpura est de 1 pour 30.000 après la triple vaccination ROR, chiffre qui correspond à ceux des études scandinaves.

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Émergence de nouvelles souches virales, moindre efficacité vaccinale et déplacement des risques

En Inde, après plusieurs épidémies de rougeole sévère avec une mortalité élevée, survenues malgré une importante couverture vaccinale, les services de santé ont découvert un virus mutant, contre lequel la vaccination n’a pas d’effet protecteur8. L’information était suffisamment sérieuse pour être reprise en 2003 dans un colloque du Réseau international des Instituts Pasteur, au cours duquel il fut question de l’apparition de virus mutants sous la pression des campagnes de vaccination (rougeole en Inde, coqueluche en Angleterre, Canada et Australie)9.

En 2007, une étude a montré que seul un quart des sujets ayant reçu deux doses de vaccin anti- rougeole maintenait un taux d’anticorps suffisant au-delà de dix ans, que près de 5% présentaient une perte complète d’immunité après cinq ans et que la grande majorité présentait des taux suffisamment bas pour être touchée par la maladie10. En 2018, le Pr Didier Raoult, microbiologiste, a expliqué qu’une nouvelle souche du virus de la rougeole, initialement importée d’Afrique et particulièrement transmissible, circule aujourd’hui à l’échelle mondiale (le génotype B3)11, pour lequel l’efficacité protectrice du vaccin actuel demeure incertaine. Il a aussi rappelé que, depuis 2017, les épidémies touchent à la fois les personnes non vaccinées et les personnes vaccinées.

Les choses se compliquent

La généralisation de la vaccination dans l’enfance a, certes, entraîné une très forte diminution du nombre de cas de rougeole en France, et partout où la couverture vaccinale est élevée. Mais les choses semblent aujourd’hui se complexifier. Alors que la maladie apporte une protection définitive, la vaccination n’a qu’un effet protecteur variable et mal évalué (dix à quinze ans).

Résultat : même si le nombre total de cas a baissé, il existe de nouvelles poussées épidémiques et plus en plus de rougeoles chez des adolescents et des adultes, âges où les formes sévères sont les plus fréquentes (outre les complications respiratoires et neurologiques, il peut y avoir des atteintes hépatiques). Selon le réseau Sentinelles, la proportion des malades âgés de plus de 10 ans est passée de 13% en 1985 à 48% en 1997 (et la proportion de cas vaccinés a également augmenté de 3% à 58% pendant la même période).

En outre, auparavant, les jeunes mères ayant contracté une rougeole transmettaient aux nourrissons des anticorps protecteurs pendant douze à quinze mois. Désormais, celles qui ont été vaccinées dans l’enfance risquent de ne plus être protégées, et de ne plus transmettre d’anticorps protecteurs à leur enfant. Enfin, si elles contractent la maladie durant la première année de leur enfant, elles risquent de la lui transmettre, or les formes sont les plus sévères chez les nourrissons et un vaccin n’est pas ou peu efficace avant l’âge de 12 mois.

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Le taux de couverture vaccinale, un baromètre cassé

D’après les informations qui précèdent, est-il vraiment raisonnable et juste de faire porter l’entière responsabilité des recrudescences récentes de rougeole à une baisse de la couverture vaccinale ? Et d’attribuer celle-ci à la seule influence des « anti-vaccins » ou à l’irresponsabilité de certains parents ? Prendre la pleine mesure de l’impact des modifications dans l’écologie du virus, elles-mêmes en lien avec des campagnes de vaccination massives, serait plus judicieux que la recherche de boucs émissaires. Dans ces débats complexes, la mesure et le recul sont préférables à une fuite en avant punitive et au déploiement aveugle de stratégies vaccinales montrant de plus en plus leurs limites.

En juin 2017, la ministre de la Santé assurait qu’il y avait une réapparition de la rougeole, ayant causé 10 décès d’enfants depuis 2008. Or ces chiffres (comme d’ailleurs l’idée d’une baisse de la couverture vaccinale en France) étaient faux12 : les statistiques officielles de l’Inserm montrent qu’entre 2008 et 2016, il y a eu 16 décès pour 24.000 cas de rougeole ; que 12 d’entre eux concernaient des adultes de plus de 24 ans, et les quatre autres, un enfant (entre 5 et 14 ans) et trois jeunes (entre 14 et 24 ans), auquel s’ajoutait le cas d’une jeune de 16 ans au premier semestre 2017.

Ces statistiques confirment le constat déjà ancien selon lequel la vaccination a déplacé l’âge de maladie et donc les risques associés.

Remarquons, pour conclure, que ceux qui objectent que les effets secondaires de la vaccination sont inférieurs aux bénéfices de celle-ci ne remarquent pas que les victimes de la vaccination n’auraient pas forcément été victimes de la maladie, et qu’il n’y a aucun bénéfice pour elles. La volonté d’éradiquer à tout prix la rougeole n’autorise pas la prise en compte de telles considérations.

Sources

(1) Journal of Clinical Microbiology, 2019 ; 55 : 735-43

(2) Chiffre donné dans l’édition 1994 du Guide des vaccinations de la Direction générale de la santé et repris dans les autres éditions.

(3) « Recrudescence de la rougeole. État des connaissances », Santé publique France, avril 2018.

(4) Ces chiffres, donnés dans l’édition 2012 du Guide des vaccinations de la Direction générale de la santé, reprennent des données antérieures. Voir également « Center for Disease Control. Measles surveillance. Report n°10 », une étude citée dans Vaccinations, du Professeur Michel Rey.

(5) Vaccinations, du Professeur Michel Rey, éditions Masson (collection Abrégés), 1980. (6) Le Concours médical du 11 mars 1995.
(7)
Guide des vaccinations, Direction générale de la santé, édition 2012.
(8)
British Medical Journal, 24 mars 2001.

(9) Cité dans le résumé de la communication de B. F. Semenov, « Émergence des nouvelles infections et maladies », lors du colloque scientifique du Réseau international des Instituts Pasteur de Saint- Pétersbourg, 4 septembre 2003.

(10) « Persistance of measles antibodies after 2 doses of measles vaccine in a postelimination environment », Le Baron, PMID, 17339511

(11) « Measles : is a new vaccine approach needed ? », Didier Raoult, The Lancet,Vol 18, n°10, P1060-1061, octobre 2018

(12) « Extension de l’obligation vaccinale : réponse à cinq fausses informations », E3M. 2 017
Le docteur Pro-Vaccine questionne maintenant les vaccins après des recherches – « La

science des vaccins est en place » est faux

Par Braxton DeGarmo MD, Extraits :

Tout d’abord, tout ce que vous avez déjà entendu ou lu affirmant que « la science des vaccins est réglée » est faux.

Il y a cinq ans, je me tenais fermement dans le camp favorable à la vaccination. En tant que médecin, on ne nous a jamais enseigné spécifiquement les vaccins, bien que nous ayons appris les formes d’immunité que notre corps possède.

On nous a dit que les vaccins fonctionnaient, qu’ils étaient essentiels à la santé publique et que nous pouvions faire confiance au CDC, à l’OMS et à d’autres agences de santé qui ne tenaient qu’à notre « meilleur intérêt ».

Depuis que j’ai pris ma retraite, j’ai eu le temps de faire des recherches sur le sujet et de découvrir à quel point j’étais naïf.

Ceci est juste un « bref » résumé de ce que j’ai appris. Je pourrais ajouter des pages et des pages sur chaque vaccin.

On nous a tous dit à maintes reprises que le vaccin antirougeoleux réduisait considérablement la mortalité par rougeole, mais comme le montre le graphique, le vaccin entame à peine un taux de mortalité qui avait déjà considérablement diminué grâce à un meilleur assainissement, une meilleure nutrition et de nouvelles normes d’hygiène et d’autres améliorations des soins de santé.

Vaccins et autisme

[B] y 1986 une nouvelle préoccupation [est apparue] sur le rôle du vaccin ROR (rougeole- oreillons-rubéole) (publié en 1963) dans la formation de l’autisme et des troubles du spectre autistique (TSA) tels que le syndrome d’Asperger.

Beaucoup croient que l’autisme a une cause génétique.

Cependant, dans les années 1940, l’autisme était inconnu aux États-Unis, ce qui le rend peu probable qu’il soit génétique, bien qu’il puisse exister une prédisposition génétique.

À la fin des années 1970 (période de ma formation en médecine), l’incidence était passée à 1 sur 10.000. Pour un enfant né en 2018, le risque de développer un TSA est maintenant de 1 sur 36.

L’incidence a augmenté parallèlement à l’augmentation du nombre de vaccinations requises. Circonstancié ? Non.

Malgré les « assurances » que le vaccin ROR et les autres vaccins ne causent pas l’autisme, des dizaines d’études de ce type ont été publiées montrant une cause directe.

En fait, en 2017, Robert F. Kennedy, Jr., de l’Initiative de défense de la santé des enfants, avait répertorié plus de 240 études reliant l’autisme au ROR.

La CDC elle-même prédit que, dans les dix prochaines années, le taux de TSA aux États-Unis atteindra un enfant sur deux. Cela affectera considérablement le destin de notre société. Pouvez-vous imaginer la société que nous laissons à nos petits-enfants où la moitié de leurs enfants ont un TSA ?

Décès de vaccins

Certains diront peut-être aujourd’hui que plus d’enfants meurent des vaccins que des maladies qu’ils visent à prévenir.

Y a-t-il une vérité derrière cette déclaration ? Prenons l’exemple de la rougeole, car les médias ont fait tant de bruit à propos des récentes épidémies.

Entre le 1er janvier et le 21 septembre 2018, l’Organisation panaméricaine de la santé a signalé que 6.629 cas de rougeole avaient été signalés dans 11 pays d’Amérique du Nord, d’Amérique centrale et d’Amérique du Sud.

Avec ces cas, 72 décès ont été signalés, dont 62 au Venezuela où le socialisme a décimé l’économie et éliminé même les soins médicaux les plus élémentaires.

Pour l’ensemble de 2018, les États-Unis ont signalé 349 cas et zéro décès, une année typique aux États-Unis.

Les statistiques sur les décès dus aux vaccins sont toutefois difficiles à obtenir. Depuis sa création en 1986 jusqu’en septembre 2018, 457 décès ont été déclarés dans le système VAERS (système de notification des événements indésirables liés aux vaccins) uniquement en raison du ROR.

Le 2 janvier 2019, le VICP (programme d’indemnisation des traumatismes liés aux vaccins) du gouvernement fédéral avait reçu 82 demandes d’indemnisation pour décès imputable au ROR.

Plusieurs études ont montré que les données VAERS sont largement sous-déclarées, avec une fourchette allant de 1 à moins de 10% de tous les cas rapportés par les médecins puisque le système est purement volontaire.

Si nous supposons que le niveau le plus généreux est que 10% de tous les cas ont été déclarés au cours de cette période de 32 ans, le nombre réel de décès pourrait dépasser 4.500.

Comme ces chiffres de VAERS concernent uniquement les États-Unis, il est facile de comprendre pourquoi les gens pourraient dire que les vaccins (le ROR dans ce cas particulier) sont plus meurtriers 141 décès contre 0 décès.

Actuellement, le CDC indique que le taux de mortalité par rougeole est de 1 sur 1.000 cas.

Sur cette base, il faudrait alors que le nombre de cas de rougeole passe de 349 (2018) à 141.000 pour correspondre au taux de mortalité estimé par le RRO.

Cependant, la propre page Web du CDC sur l’histoire de la rougeole indique qu’au cours de la décennie qui a précédé le vaccin (1963), il y avait généralement 3 à 4 millions de cas de rougeole par an et 400 à 500 décès.

Cela équivaut à environ 1,3 décès sur 10.000, pas 1.000.

Mais attendez, revenez en arrière et regardez le premier graphique ci-dessus. Ce graphique, tiré du CDC lui-même il y a plusieurs années, montre un taux de mortalité inférieur à 1 sur 100.000 au moment de l’introduction du vaccin.

Ainsi, le relecteur du CDC a-t-il oublié cet écart, ou le CDC joue-t-il à des jeux de chiffres dans le cadre de sa tactique anti-peur pour vendre des vaccins ?

Lire l’article complet de Braxton DeGarmo – MD Visitez le site Web du Dr. Braxton DeGarmo.
À propos du Dr DeGarmo

À l’Université Duke, j’ai obtenu un baccalauréat en sciences avec spécialisation en génie biomédical et une mineure en période de prospérité.

Après cela, je suis entré à la faculté de médecine de l’Université de Cincinnati, où j’ai eu des ennuis perpétuels parce qu’ils pouvaient lire mon écriture.

Pendant ma résidence en médecine d’urgence au centre médical de l’armée de Madigan, l’armée a tenté de me redresser, mais j’avais grandi en regardant MASH et ses rediffusions. Ils ont eu une bataille difficile et j’ai tenu les hauteurs.

En fin de compte, j’ai effectué des visites en tant que chef des services médicaux d’urgence à Fort Campbell, dans le Kentucky, et en tant que chirurgien de bord à Fort Rucker, en Alaska.

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Les médecins opposés aux vaccinations forcées: faut-il réduire au silence leurs

opinions ?

L’un des mythes les plus répandus dans les grands médias modernes est que les médecins sont pro-vaccin ou anti-vaccin et que les médecins anti-vaccin sont tous des « charlatans ».

Cependant, rien ne pourrait être plus éloigné de la vérité dans le débat sur les vaccins. Les médecins ne sont pas du tout unanimes quant à leur position concernant « la science » des vaccins, pas plus qu’ils ne le font dans la position de retirer leur consentement éclairé à une procédure médicale telle que les vaccins.

Les deux positions les plus extrêmes sont les médecins qui sont à 100% contre les vaccins et ne les administrent pas du tout, et ceux qui croient que TOUS les vaccins sont sûrs et efficaces pour TOUT le monde, TOUT le temps, de force si nécessaire.

Très peu de médecins se situent dans l’une ou l’autre de ces deux positions extrémistes, et pourtant, c’est la position extrême en faveur de la vaccination qui est présentée par le gouvernement des États-Unis et les médias grand public comme la position dominante du secteur médical.

Cependant, entre ces deux points de vue extrêmes, la grande majorité des médecins exerçant aujourd’hui catégoriseraient probablement leur position. De nombreux médecins qui se considèrent comme des « pro-vaccins », par exemple, ne croient pas que chaque vaccin est approprié pour chaque individu.

De nombreux médecins recommandent un calendrier de vaccination « retardé » pour certains patients, et pas toujours le programme de taille unique recommandé par les enfants des CDC. D’autres médecins choisissent de recommander des vaccins en fonction des connaissances scientifiques et du mérite de chaque vaccin, en recommandant certains vaccins, tout en déterminant que d’autres ne valent pas le risque pour les enfants, tels que le vaccin suspect contre la grippe saisonnière.

Ces médecins qui n’occupent pas de postes extrêmes seraient opposés aux vaccinations prescrites par le gouvernement et à la suppression de toutes les exemptions parentales.

De nombreux médecins, aujourd’hui, n’adoptent pas la position la plus extrémiste en faveur de la vaccination, qui n’est probablement pas occupée par de très nombreux médecins, en dépit de ce que l’industrie pharmaceutique, le gouvernement fédéral les médias traditionnels voudraient que le public croie.

Mai 2019

Dr Jim Meehan, MD : Voici comment la pseudoscience vaccinale détruit nos enfants

Nous sommes la toute dernière ligne de défense de nos enfants

Par le Dr Jim Meehan, MD, 27 avril 2019

« Il est temps de mettre fin à cette tentative intolérable de leur permettre d’imposer leurs méthodes et conceptions sur le dos de nos enfants ».

Dr. Jim Meehan, M.D.

Il n’est pas possible d’être pro-science et pro-vaccin ! La science des vaccins est une pseudoscience. La science des vaccins ressemble comme deux gouttes d’eau à la « science du tabac ».

La science des vaccins est pleine de fraude, de corruption et de tromperie. Les industries, les organismes et les personnes qui défendent la pseudoscience des vaccins en tant que justification d’une subversion injustifiable des droits de l’homme doivent faire face à la réalité selon laquelle ils sont allés beaucoup trop loin. Leurs tentatives désespérées pour contraindre et imposer des vaccins trahissent l’illégitimité de leur science. Il est temps de mettre fin à cette tentative intolérable de traiter nos enfants. Il est temps de tracer la ligne au-delà de laquelle ils ne passeront pas. Nous sommes le dernier rempart de défense de nos enfants.

Je suis devenu un ex-vaxxer et un sceptique vis-à-vis des vaccins car, en tant que médecin, scientifique et ancien rédacteur en chef d’un journal médical, je puis clairement voir les méthodes de recherche frauduleuses, le manque de contrôles placebo et les périodes d’observation d’événements indésirables ridiculement courtes. Il s’agit de techniques trompeuses utilisées par des sociétés criminelles qui ne se soucient pas de la santé publique mais essentiellement de tout ce qui touche à leurs bénéfices. Aucun médecin ou scientifique qui accepte de creuser sous la surface de la recherche sur les vaccins, ne peut comprendre la faiblesse et les limites des méthodologies de recherche employées. Il suffit d’un brin de liberté et d’intégrité pour ne pas pouvoir soutenir la science des vaccins d’aujourd’hui. Malheureusement, rares sont ceux qui regardent sous la surface. La plupart ne lisent que les titres et les conclusions des articles de journaux, ne réalisant jamais à quel point ils sont progressivement trompés et endoctrinés par des déclarations fausses et des messages marketing qui n’ont rien à voir avec les vraies données de la science.

En tant qu’ancien rédacteur en chef d’une revue médicale, je sais exactement comment l’industrie des vaccins conçoit ses essais cliniques avec l’intention de masquer des données et de veiller à ce que vous passiez à côté des événements indésirables dangereux et parfois mortels provoqués par leurs produits. Il est ridicule que nous permettions aux fabricants eux-mêmes de réaliser leurs propres études de sécurité précliniques… mais, c’est ce que nous acceptons.

En l’occurrence, malgré la révélation au grand jour de la corruption de Merck au sujet du scandale du VIOXX, notre gouvernement a permis à ce délinquant, Merck, de s’appuyer sur une véritable farce concernant une étude scientifique sur la sécurité et les essais cliniques pré- homologation du vaccin Gardasil. L’adjuvant aluminium et les autres ingrédients du « contrôle actif » (#fakecebo) ont endommagé la santé et tué pratiquement le même nombre de filles dans le groupe étudié comme dans le groupe placebo ! Par conséquent, Merck a déclaré : « On en a conclu que le Gardasil n’était pas plus meurtrier que le groupe de contrôle ! ». C’est comme cela que le Gardasil est arrivé sur le marché… pour détruire la santé et la vie de millions de jeunes filles et de garçons.

En passant, le plan de l’étude de Merck révèle à quel point leur intention de tromper était manifeste. L’essai pré-homologation comprenait en fait un véritable placebo avec solution saline. Cependant, il était minuscule (n = 594) par rapport aux groupes de Gardasil (n = 8181) et de contrôle fakecebo (n = 5499).

Le but de ce groupe minuscule, sans importance, symbolique, véritable groupe placebo, était de fournir une couverture lorsque l’on leur posait des questions sur leurs résultats d’études pseudoscientifiques et leur méthodologie fakecebo. Une stratégie brillante, si seulement elle n’était pas aussi dévastatrice. Désormais, Merck pourrait éviter les critiques de tous les autres essais d’innocuité vaccinale et prétendre légitimement avoir utilisé un véritable contrôle placebo, même si le groupe placebo était vraiment petit (4% des participants). Je crois que Merck a gardé le vrai groupe placebo suffisamment petit pour l’empêcher de faire apparaitre le taux de mortalité extraordinaire des groupes Gardasil et Fakecebo les groupes recevant un mélange mortel d’ingrédients, y compris le dangereux adjuvant aluminium AAHS de Merck.

C’est ma reconnaissance des actions délibérées de puissantes entreprises qui manipulent la recherche médicale, inventent des études de recherche frauduleuses, achètent des politiciens et des chefs d’organismes fédéraux, voire d’organismes entiers, pour perpétrer des crimes contre nos enfants et le public en général. C’est ce qui m’a poussé à rompre avec la conduite sur laquelle mes collègues ont aveuglément choisi de s’aligner. Je me suis « donné la peine » de regarder au-delà des titres et des conclusions des recherches publiées pour discerner la qualité, la fiabilité et l’intégrité des recherches qui ont été utilisées pour mettre au point un calendrier de vaccination infantile qui a rendu les enfants américains parmi les plus malades du monde. Un calendrier de vaccination qui a conduit au pire taux de mortalité infantile des pays développés. Les enfants qui sont nés en Amérique sont davantage susceptibles de mourir le premier jour de leur vie, la première année et les cinq premières années de vie, par rapport aux enfants nés dans tous les autres pays développés de la planète.

Je me joins aux millions de scientifiques, médecins, chefs religieux, politiciens et parents américains pour protester et manifester notre méfiance à l’égard des entreprises pharmaceutiques qui ne prennent pas la responsabilité de leurs actes et qui ont été maintes fois reconnues coupables de fraude, de corruption comme du décès de consommateurs à la suite de produits qui n’auraient jamais dû être mis sur le marché.

Je m’oppose à l’industrie du vaccin et à ses tentatives intolérables de tromper et d’induire en erreur avec des recherches cliniques artificielles. Je m’oppose aux tentatives désespérées d’une industrie des vaccins d’essayer d’utiliser la force des mandats coercitifs du gouvernement pour imposer une procédure médicale potentiellement mortelle pour nos enfants.

Avec mes frères et sœurs, prêts à tout sacrifier pour protéger nos enfants, nos familles et l’avenir de ce pays, nous brandissons nos boucliers. Aux forces de la cupidité et de la corruption qui tentent de supprimer les droits parentaux et d’instaurer des procédures médicales forcées, obligatoires, nous disons : « VOUS N’AUREZ PAS NOS ENFANTS ! »

Source : Stop Mandatory Vaccination

Voir aussi : Un groupe de médecins pour le Consentement éclairé se bat pour protéger le droit d’exemption vaccinale sur base de contre-indications médicales que seul le médecin traitant est en mesure de pouvoir établir, afin d’éviter le pire à son patient.

Newsletter de Michel DOGNA Gardasil et cancer du col de l’utérus…

écoutez d’abord le bon sens

du Dr Christian Tal Schaller !
(8 min30)
https://www.youtube.com/watch?v=KGV3X4sdbsA&feature=share

En 2015, j’écrivais déjà dans Contr’Infos

« C’est un homme en colère qui parle, révolté à la fois face à la malhonnêteté criminelle des labos pharmaceutiques, à la désinvolture irresponsable des médecins serviles au système, à la crédulité naïve des parents aveuglés par la peur et qui n’ont même plus l’instinct de survie que n’importe quel animal assure à sa progéniture. Il s’agit ici du Gardasil, vaccin prétendument contre le cancer de l’utérus. »

« En fait, ce vaccin avait déjà provoqué à l’époque plus de 30.000 accidents répertoriés, 11.000 cas d’hospitalisation en service d’urgences, et 149 décès, ce qui ne l’a pas empêché d’être toujours chaudement recommandé par les autorités sanitaires ! A noter que les effets néfastes rapportés de ce vaccin représentent dit-on seulement 1% de la réalité, ceci de l’aveu même du CDC et de la FDA. Il y a vraiment de quoi s’alarmer !

Bien que depuis plusieurs années j’ai déjà largement alerté le public sur la dangereuse arnaque de ce faux vaccin, je vais utiliser la méthode Coué et reprendre à zéro la logique implacable de mon argumentation. D’abord je rappelle que ce matraquage publicitaire a pour cible les filles… à partir de 9 ans, alors que cette contamination ne se transmet que par voie sexuelle !!!

Et de quel marc de café sort que le papillomavirus peut évoluer en cancer du col de l’utérus 40 ans après ? Ce qui est sidérant, c’est que des gens même hautement diplômés puissent gober et relayer sans se poser de questions une telle absurdité, dès lors que cela sort du chapeau magique des « autorités » dites scientifiques. En outre, cela n’inquiète personne lorsque l’on propose un vaccin contre le cancer de l’utérus, alors que tout le monde sait que le principe d’un vaccin contre le cancer a été abandonné depuis longtemps.

Mais ce n’est pas tout : Vous êtes-vous intéressés à la composition du Gardasil ?

A savoir que chaque dose de ce vaccin à composants transgéniques (OGM) contient en plus de la quinzaine de souches dites à haut risque de HPV, des substances connues pour leur neurotoxicité et leur cancérogénicité, telles 225μg d’aluminium, du polysorbate 80, mais aussi le pire, du BORATE DE SODIUM. Or, savez-vous que c’est le produit de base DE LA MORT AUX RATS ? Il est interdit dans toute préparation médicale… mais pas dans ce vaccin !!!

Voici quelques-uns des effets gravissimes possibles directs ou à distance :

  • Paralysies type Guillain-Barré pouvant être irréversibles.

  • Bronchospasmes.

  • Syncopes à répétition.

  • Grande faiblesse généralisée.

  • Troubles cutanés divers.

  • Arthrite sévère.

  • Migraines invalidantes.

  • Inflammation du pelvis avec violentes douleurs abdominales.

  • Disparition ou amoindrissement du flux menstruel.

  • Troubles graves de la vue.

  • Epilepsies parfois irréversibles.

  • Décès par thrombose ou par arrêt cardiaque.

  • Fausses couches.

  • Risque de maladies auto-immunes pouvant survenir jusqu’à 4 ans après le vaccin.

    Bien sûr, la plupart des gens ne savent pas tout cela, mais se sont-ils seulement intéressés à la question en tapant simplement GARDASIL sur Google ?

    (Attention, le site DOCTISSIMO est édité pour le compte des labos). Non ! Ils se sont contentés de se soumettre en confiance à l’autorité d’un « médecin robot » qui est soumis au dictat de l’Ordre. Je rappelle que le Gardasil est pour l’instant un vaccin CHAUDEMENT CONSEILLÉ MAIS NON OBLIGATOIRE, en dépit de l’ambiguïté établie, ce qui veut dire que vous en portez seul(e) l’entière responsabilité.

    Même si le médecin vous a manipulé, c’est vous qui avez choisi ET décidé, et il ne supporte aucune responsabilité. Bref, en cas de problème aussi grave soit-il, il ne vous reste que les yeux pour pleurer…

    Alors un conseil : n’écoutez plus jamais les recommandations vaccinales de médecins qui en outre ont eu ZERO HEURE DE FORMATION à la fac, si ce n’est celle du calendrier vaccinal. Ils n’ont souvent jamais cherché à consulter un seul des ouvrages de sommités scientifiques indépendantes et médecins de renom concernant les résultats historiques des campagnes vaccinales dans le monde. Ecoutez encore moins les éventuels ordres péremptoires de médecins, pouvant être de ce fait suspectés de recevoir des primes associées à leurs actes vaccinaux. Avec ceux-là, pas de quartier, fâchez vous et partez sans payer, pour leur apprendre à respecter leurs clients !

A ce jour, il est probable que le Gardasil soit le vaccin le plus dévastateur, prenant la relève de celui de la variole qui a fait si longtemps tant de dégâts.

SVP, consultez www.sanevax.org

Ce site est alimenté par les groupes Facebook des familles qui ont été touchées de plein fouet par le Gardasil. Faites vos propres recherches avant de croire que le Gardasil est un choix prudent. Vous avez Internet, servez-vous-en !

Pour en savoir plus, consultez le site INITIATIVE CITOYENNE

http://www.initiativecitoyenne.be/article-les-vaccins-font-perdre-des-points-de-qi-aux-enfants- 125184062.html

Cerise sur le Gâteau

Selon l’étude du Dr Michel Delépine, les statistiques de cancers du col de l’utérus ont flambé depuis l’avènement du vaccin Gardasil. Mais la dictature Big Pharma ne veut pas le savoir et travaille à rendre ce faux vaccin obligatoire, même pour les garçons (!!!) puisqu’ils sont censés être des vecteurs sains business is business ! (et tant pis pour les vies gâchées…)

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Désastre du vaccin Gardasil au Danemark… et ailleurs :

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Le Japon montre la voie : aucun mandat de vaccination et aucun vaccin RRO = enfants en meilleure santé

6 mai 2019 par Edward Morgan
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Par Children’s Health Defence,

EN BREF

Les faits: Cet article a été écrit par Kristina Kristen, rédactrice invitée de Children’s Health Defence, publiée ici avec son autorisation.

Réflexion sur : À quel point les sociétés pharmaceutiques se soucient-elles vraiment de notre santé ? Pourquoi les informations importantes sur les vaccins ne sont-elles jamais reconnues et contrées par le grand public ?

Aux États-Unis, de nombreux législateurs et responsables de la santé publique s’efforcent de rendre les vaccins obligatoires de facto, soit en supprimant le choix parental / personnel prévu par les exemptions de vaccins existantes, soit en imposant des quarantaines indues et des amendes à ceux qui ne se conforment pas aux Center for Les édits sur le vaccin contre le contrôle et la prévention des maladies (CDC). Des responsables californiens cherchent à infirmer l’opinion médicale sur l’aptitude à la vaccination, tandis qu’à New York, le vaccin antirougeoleux-antiourlien-antirubéoleux (ROR) est obligatoire pour les nourrissons âgés de 6 à 12 mois pour lesquels son innocuité et son efficacité « n’ont pas été confirmées ».

Les États-Unis ont le taux de mortalité infantile le plus élevé de tous les pays industrialisés, avec plus d’enfants qui meurent à la naissance et au cours de leur première année que dans tout autre pays comparable et plus de la moitié de ceux qui survivent développent au moins une maladie chronique.

Les enfants américains seraient mieux servis si ces responsables – avant d’imposer des mesures douteuses et draconiennes étudiaient les résultats pour la santé des enfants au Japon. Avec une population de 127 millions d’habitants, le Japon a les enfants les plus en santé et l’espérance de vie en bonne santé la plus longue du monde et les moins vaccinés de tous les pays développés. Les États-Unis, en revanche, ont le calendrier de vaccination le plus agressif du monde développé en nombre et en calendrier, à compter de la grossesse, à la naissance et au cours des deux premières années de la vie. Est-ce que cela rend les enfants américains plus sains ? La réponse claire est non. Les États-Unis ont le taux de mortalité infantile le plus élevé de tous les pays industrialisés, avec plus d’enfants américains décédant à la naissance et au cours de leur première année que dans tout autre pays comparable et plus de la moitié de ceux qui survivent développent au moins une maladie chronique. L’analyse de la mortalité infantile et de la santé dans le monde réel montre que la politique américaine en matière de vaccination ne constitue pas une victoire pour les enfants américains.

Le Japon et les États-Unis ; Deux politiques de vaccination différentes

En 1994, le Japon est passé de la vaccination obligatoire dans les centres de santé publics à la vaccination volontaire dans les cabinets de médecins, guidés par « l’idée qu’il est préférable que les vaccinations soient effectuées par des médecins de famille des enfants qui connaissent leur état de santé ». Deux catégories de vaccins non obligatoires: les vaccins « de routine » que le gouvernement couvre et « recommande fortement » mais ne commande pas, et les vaccins « volontaires » supplémentaires, généralement payés à la charge du patient. Contrairement aux États-Unis, le Japon n’exige pas de vaccins pour les enfants qui entrent dans un établissement préscolaire ou primaire.

Le Japon a également interdit le vaccin ROR dans le même délai, en raison de milliers de blessures graves sur une période de quatre ans, ce qui a entraîné un taux de blessures d’un enfant sur 900 « plus de 2.000 fois supérieur au taux attendu ». Vaccins séparés contre la rougeole et la rubéole après l’abandon du vaccin ROR; Le Japon recommande maintenant un vaccin combiné antirougeoleux-antirubéoleux (IRM) pour un usage systématique, mais évite toujours le ROR. Le vaccin contre les oreillons appartient à la catégorie « volontaire ».

Voici les principales différences entre les programmes de vaccination japonais et américains : 18

Le Japon n’a pas de mandat en matière de vaccins, il recommande plutôt des vaccins qui sont (de la manière décrite ci-dessus) soit « de routine » (couvert par une assurance), soit « volontaire » (autofinancement).

Le Japon ne vaccine pas les nouveau-nés avec le vaccin contre l’hépatite B (HepB), sauf si la mère est séropositive pour l’hépatite B.

Le Japon ne vaccine pas les femmes enceintes avec le vaccin anticoquelucheux tétanos- diphtérie-acellulaire (dcaT).

Le Japon ne donne pas de vaccin contre la grippe aux femmes enceintes ni aux nourrissons de six mois.

  • Le Japon ne donne pas le vaccin ROR, mais recommande plutôt un vaccin MR.

  • Le Japon n’a pas besoin du vaccin contre le papillomavirus humain (HPV).

    Aucun autre pays développé n’administre autant de vaccins au cours des deux premières années de la vie.

En revanche, le calendrier vaccinal américain (voir le tableau 1) prescrit une vaccination systématique pendant la grossesse, demande la première dose du vaccin anti-hépatite B dans les 24 heures suivant la naissance bien que 99,9% des femmes enceintes, après le test de dépistage, soient négatives contre l’hépatite B, et le suivi avec 20 à 22 doses de vaccin au cours de la première année seulement. Aucun autre pays développé n’administre autant de vaccins au cours des deux premières années de la vie.

Le vaccin HepB injecte à un nouveau-né une charge d’aluminium de 250 microgrammes, un adjuvant neurotoxique et immunotoxique utilisé pour provoquer une réponse immunitaire. Il n’y a pas d’étude pour sauvegarder la sécurité d’exposer les enfants à des niveaux élevés du métal injecté. En fait, la limite supérieure fixée par la Food and Drug Administration (FDA) pour l’aluminium dans les liquides intraveineux (IV) des nouveau-nés est bien inférieure à 5 microgrammes par kilogramme par jour (mcg / kg / jour) et même à ces niveaux, les chercheurs ont documenté le potentiel de développement neurologique altéré. Pour un nouveau-né moyen pesant 7,5 livres, le vaccin HepB contient plus de 15 fois plus d’aluminium que la limite supérieure fixée par la FDA pour les solutions intraveineuses.

Contrairement au Japon, les États-Unis administrent les vaccins antigrippal et dcaT aux femmes enceintes (tous les trimestres) et les bébés reçoivent le vaccin antigrippal à l’âge de six mois, et ce, chaque année par la suite. Les fabricants n’ont jamais testé la sécurité des vaccins antigrippaux administrés pendant la grossesse, et la FDA n’a jamais officiellement homologué de vaccins « destinés spécifiquement à être utilisés pendant la grossesse pour protéger le nourrisson ».

Le Japon avait initialement recommandé le vaccin anti-HPV, mais avait cessé de le faire en 2013 à la suite de graves problèmes de santé qui avaient entraîné de nombreuses poursuites. Des chercheurs japonais ont depuis confirmé une relation temporelle entre la vaccination contre le VPH et l’apparition de symptômes chez les receveurs.

Les partisans des vaccins américains prétendent que le programme de vaccination américain est similaire à celui d’autres pays développés, mais cette affirmation est inexacte après examen. La plupart des autres pays ne recommandent pas la vaccination pendant la grossesse et très peu vaccinent le premier jour de la vie. Ceci est important car le nombre, le type et le moment d’exposition aux vaccins peuvent grandement influer sur leurs effets néfastes sur les fœtus et les nouveau-nés en développement, qui sont particulièrement vulnérables aux expositions toxiques et à l’activation immunitaire précoce. Des études montrent que l’ activation l’immunité des femmes enceintes peut causer des problèmes de développement chez leur progéniture. Pourquoi est-il conseillé aux femmes enceintes aux États-Unis de protéger leurs fœtus en développement en évitant l’alcool et les thons contenant du mercure, mais en les incitant activement à recevoir les vaccins anti-TDC et anti-grippes activant le système immunitaire, qui contiennent encore du mercure (dans des flacons multidoses) et d’autres vaccins non testés des substances ?

Le Japon avait initialement recommandé le vaccin anti-HPV, mais avait cessé de le faire en 2013 à la suite de graves problèmes de santé qui avaient entraîné de nombreuses poursuites. Des chercheurs japonais ont depuis confirmé une relation temporelle entre la vaccination contre le VPH et l’apparition de symptômes chez les receveurs. Les organismes de réglementation des États Unis ont ignoré ces rapports et similaires et non seulement continuer à promouvoir agressivement et même mandater le vaccin contre le VPH auparavant en option à partir de la préadolescence, mais il est en train de pousser à l’âge adulte. Le vaccin contre le VPH fabriqué par Merck a reçu l’approbation rapide de la FDA malgré le fait que la moitié des sujets des essais cliniques aient signalé des problèmes de santé graves dans les sept mois.

Le meilleur et le pire : deux résultats différents en matière de mortalité infantile

Les CDC considèrent la mortalité infantile comme l’un des indicateurs les plus importants de la santé globale d’une société. L’agence devrait prendre note du taux du Japon, qui, avec 2 décès infantiles pour 1.000 naissances vivantes, est le deuxième plus faible au monde, juste derrière la Principauté de Monaco. En comparaison, près de trois fois plus de nourrissons américains meurent (5,8 pour 1.000 naissances vivantes), malgré des dépenses massives par habitant en soins de santé pour les enfants (voir tableau 2). La mortalité infantile aux États-Unis se situe derrière 55 autres pays et est inférieure à celle de la Lettonie, de la Slovaquie ou de Cuba.

Si les vaccins sauvent des vies, pourquoi les enfants américains meurent-ils plus rapidement et… meurent-ils plus jeunes que les enfants de 19 autres pays riches, ce qui entraîne un risque de décès plus élevé de 57% avant d’atteindre l’âge adulte ?

Pour rappel, les Etats-Unis ont le programme de vaccins le plus agressif des pays développés (administrant le plus de vaccins le plus tôt). Si les vaccins sauvent des vies, pourquoi les enfants américains « meurent-ils plus rapidement et… meurent-ils plus tôt » par rapport aux enfants de 19 autres pays riches, ce qui se traduit par « un risque de mortalité plus élevé de 57% avant d’atteindre l’âge adulte » ? Les enfants japonais, qui reçoivent le moins de vaccins sans mandat gouvernemental de vaccination grandissent pour mener une vie «longue et vigoureuse». Les statistiques internationales sur la mortalité infantile et la santé et leur corrélation avec les protocoles de vaccination montrent des résultats que les autorités gouvernementales et les responsables de la santé ignorent au grand péril de nos enfants.

Parmi les 20 pays qui enregistrent les meilleurs résultats de mortalité infantile au monde, seuls trois pays (Hong Kong, Macao et Singapour) administrent automatiquement le vaccin HepB à tous les nouveau-nés – ce qui est régi par le fait que l’infection à l’hépatite B est très endémique dans ces pays. La plupart des 17 autres pays classés au premier rang, y compris le Japon, ne donnent le vaccin anti-HepB à la naissance que si la mère est séropositive pour l’hépatite B (tableau 1). Les États-Unis, avec son classement honteux de mortalité infantile n°56, donnent le vaccin anti-HepB aux quatre millions de bébés nés chaque année, malgré une faible incidence d’hépatite B.

Les États-Unis sacrifient-ils la santé des enfants dans un but lucratif ?

Merck, le fabricant du vaccin ROR, est en cour pour fraude liée au RRO. Des lanceurs d’alerte affirment que le géant pharmaceutique a modifié ses données d’efficacité pour la composante anti- oreillons du vaccin afin d’assurer le maintien de son monopole sur le marché. La preuve de dénonciation a donné lieu à deux affaires distinctes. En outre, un lanceur d’alerte du CDC a affirmé que le vaccin ROR augmentait les risques d’autisme chez certains enfants. D’autres ont signalé que le risque potentiel de lésion permanente due au vaccin ROR est inférieur à celui de contracter la rougeole.

Pourquoi la FDA et les CDC continuent-ils à approuver le problème du vaccin ROR malgré l’implication de Merck dans la fraude à la sécurité et à l’efficacité du vaccin ? Pourquoi les législateurs américains et les représentants du gouvernement n’exigent-ils pas une meilleure alternative, comme le Japon le faisait il y a plus de deux décennies ? Pourquoi les villes et les États américains imposent-ils le vaccin ROR de Merck aux enfants américains ? Le gouvernement américain protège-t-il les enfants ou Merck ? Pourquoi les responsables américains ignorent-ils le modèle exemplaire du Japon, qui prouve que le programme de vaccination le plus mesuré dans le monde industrialisé et un « assainissement de premier ordre et des niveaux de nutrition » peuvent produire des résultats optimaux pour la santé des enfants qui dominent le monde ?

Un principe fondamental d’une société libre et démocratique est la liberté de prendre des décisions éclairées au sujet d’interventions médicales comportant des risques potentiels graves. Cela inclut le droit d’être informé des avantages et des risques et la possibilité de dire non. Le Code de déontologie de Nuremberg a établi la nécessité du consentement éclairé sans « aucun élément de force, fraude, tromperie, contrainte, trop grande contrainte ou autre forme ultérieure de contrainte ou de contrainte ». Forcer le vaccin ROR, ou tout autre vaccin, à ceux qui sont mal informés ou qui ne consentent pas ne représente rien de moins que la tyrannie médicale.

Source : https://www.collective-evolution.com
US Vax Court constate une augmentation de 400% du nombre de blessures causées par un vaccin

Le plus gros gain revient au vaccin antigrippal 20 mai 2019 par Edward Morgan

Les cas de blessures dues à la vaccination sont en augmentation, alors si vous avez la tête dans le sable et que vous n’y faites pas attention, il est temps de vous réveiller.

Voici un peu d’information pour ceux qui viennent de commencer.

Ronnie Reagan… il y a près de 30 ans jour pour jour, le 40e président des États-Unis a cédé le droit des Américains de poursuivre en justice les fabricants de vaccins, les remplaçant par une loi obligeant les familles victimes de vaccins ou de décès à poursuivre le gouvernement américain en justice d’une entreprise pharmaceutique.

Par Lori Martin Gregory, écrivain invité,

En conséquence, des juges spéciaux de la Cour des réclamations spéciales des États-Unis, également connus sous le nom de « tribunal des vaccins », ont pleine autorité en tant que juge sans jury pour décider du sort des Américains qui ont la malheureuse « chance » d’être frappés par une blessure au vaccin qui peut aller de symptômes bénins chroniques à la mort.

Une fois par an, ce tribunal non traditionnel fournit au public un aperçu de son fonctionnement interne en publiant un rapport annuel sur son site Web un rituel qui a lieu tous les ans en janvier.

Le rapport est envoyé au président du Congrès, également connu sous le nom de vice-président des États-Unis, où il est destiné à servir de surveillance météo aux réactions du public américain face à des vaccinations de plus en plus forcées par des mandats gouvernementaux le pays.

Génial, non ? La responsabilité en action ? Faux.

Le rapport, qui est systématiquement ignoré par les médias / les politiciens / les responsables de la santé et le CDC, reste inactif sur la page des rapports du site Web de la Cour des réclamations spéciales des États-Unis.

Pas de gros titres, pas de communiqué de presse, pas d’analyse, pas d’alerte des médias, rien.

Pas de surprise, étant donné que la plupart des Américains ne savent même pas que la Cour suprême des États-Unis a déclaré que les vaccins étaient inoffensifs en 2011.

Il n’est pas surprenant non plus que les médias d’élite mondialistes, cooptés et mondialistes ignorent constamment ce rapport, de même que les arguments sains des défenseurs de la liberté de la santé concernant les dangers et les risques des traumatismes liés au vaccin (« regarde ! Une licorne ! »), En utilisant plutôt des termes tels que « la science est au rendez-vous » et le risque vaccinal a été « discrédité » afin de dissuader toute discussion rationnelle portant sur des preuves dissimulées à la vue de tous.

Il n’est pas surprenant non plus que la US Special Court of Court offre chaque année une version inefficace, archaïque et peu technique du rapport. Au lieu d’une feuille de calcul agréable et triée, le tribunal publie un document PDF numérisé un format qui nécessite des activités à forte intensité de main-d’œuvre pour effectuer toute sorte d’analyse concrète.

Il faut soit réintroduire les données de plus de 220 pages, ce qui prendrait des semaines, soit procéder à une ventilation détaillée, par vaccin et par vaccin, de chaque cas, associée à des efforts importants en matière de comptabilisation et d’organisation afin d’identifier la pertinence statistique et les tendances émergeant de l’analyse du tribunal des vaccins.

Est-ce à dessein ? Peut-être. En définitive, il est à tout le moins dissuasif d’inviter quelqu’un à s’asseoir pour essayer d’analyser cette fichue chose.

C’est exactement pourquoi nous le faisons, chaque année depuis 2014. Pour ne pas nous en dissocier, il nous a fallu 10 mois pour terminer notre analyse du rapport de cette année.

Mais une fois que nous l’avons fait, les tendances que nous avons trouvées étaient choquantes – non seulement à cause de ce qu’elles ont révélé à propos de l’augmentation continue du nombre de blessures causées par la vaccination, mais également à cause du silence assourdissant qui règne dans les couloirs des médias grand public, car les blessures causées par la vaccination continuent de faire l’objet les journalistes et les médias l’ignorent – l’associant à une autre théorie du complot d’un autre site de faux.

Eh bien, prenez une chaise et tenez votre chapeau, car devinez ce que nous avons découvert :

Les paiements versés à la suite d’un règlement judiciaire concernant les vaccins ont augmenté de 91,2 millions de dollars au total en 2015, passant de 22,8 millions de dollars en 2014 à 114 millions de dollars en 2015, soit une augmentation de 400%.

Les paiements versés aux tribunaux pour les vaccins antigrippaux pour les vaccins antigrippaux ont augmenté le plus, passant de 4,9 millions USD en 2014 à 61 millions USD en 2015, soit une augmentation de plus de 1.000%, malgré des attaques automnales chaque année au cours de campagnes médiatiques / publicitaires visant à inciter les Américains à se faire vacciner, avec un abandon total pour les statistiques de la cour des vaccins.

La varicelle a enregistré la troisième plus forte augmentation, passant de 0 USD en 2014 à 5,8 millions USD en 2015. (Le zona n’est pas surprenant chez les personnes âgées, car les petits-enfants récemment vaccinés transmettent continuellement le virus à leurs aînés sans méfiance.)

L’hépatite B est la quatrième augmentation en importance du nombre de règlements judiciaires concernant les vaccins, avec une hausse de 321% en 2015 pour atteindre plus de 8 millions de dollars en 2015, contre 1,9 million de dollars en 2014.

Les prises TDap / DTP / DPT et D / T ont été la cinquième plus forte augmentation, passant de 5,5 millions de dollars à 9,8 dollars en 2014, soit une hausse de 75%.

Les autres colonies non représentées ici sont : le tétanos, 4 millions de dollars ; VPH 3,4 millions de dollars, contre presque rien en 2014 (un montant à surveiller en janvier lorsque le rapport de 2016 sera publié) ; Le ROR, qui a en fait diminué de moins de 1 million de dollars par rapport à la position de leader l’an dernier – une diminution de plus de 88% des paiements ; coqueluche, 1,7 million de dollars ; thimerisol 1,5 million de dollars ; HIB, 345 000 USD, menginococal 500.000 USD, HEP A 408.000 USD, DPT et Polio, 210.000 USD et rotovirus de 76.000 USD.

Vous avez peut-être remarqué que nous avons omis le vainqueur de la deuxième place, « autre ». Voici pourquoi.

« Autre » illustre parfaitement la nature du rapport dodgy du tribunal de vaccins, et son manque de transparence dans le processus judiciaire des vaccins. Au lieu d’identifier quelle combinaison de vaccins est accusée de blessure ou de mort et de marquer le cas en conséquence, un capitaine spécial peut décider d’étiqueter un cas de vaccin comme étant « autre », en diluant ainsi son effet sur les chiffres globaux lors de l’analyse finale.

En 2015, la catégorie « autres » représentait la deuxième augmentation en importance des paiements de paiements de vaccins, totalisant 21,5 millions de dollars de paiements, en hausse de 388% par rapport à 4,4 millions de dollars l’année précédente.

Nous n’accusons personne de rien. Mais 388% d’augmentation, c’est beaucoup. Quelle combinaison de vaccins est à l’origine d’une telle augmentation ? Le public n’a-t-il pas le droit de savoir ?

Si le tribunal décidait, par exemple, qu’il y avait trop de colonies de vaccination antigrippale pour l’année, ne pourrait-il pas fausser les données en catégorisant certains cas comme « autres », ce qui dégonflerait artificiellement la catégorie grippale ?

Avons-nous mentionné que ces résultats concernent UNIQUEMENT les jugements affaires jugées favorables au demandeur.

Il n’inclut pas les frais juridiques EXTENSIFS pour les deux parties, qui sont payés par le gouvernement américain, que l’avocat gagne ou perde la cause ? Ceux-ci sont classés en coûts.

Et au lieu de les soumettre dans le rapport avec les jugements rendus, ils sont souvent entrés séparément, ce qui rend plus difficile encore de les lier aux paiements de leur jugement, ce qui nécessite une étape supplémentaire dans l’analyse des données.

Le montant total en dollars des frais juridiques pour le tribunal des vaccins en 2015 est de 42 millions de dollars.

De plus, les versements dans les paiements sont fondés sur les rentes, ce qui signifie que les paiements (dont beaucoup dépassent 1 million de dollars) se répètent chaque année.

La raison en est que la vie de certains plaignants a disparu après la blessure du vaccin et que les coûts associés à leur prise en charge à perpétuité pour toute la vie du plaignant nécessitent une somme annuelle souvent considérable.

Partagez des gens lointains, il est temps de renverser la tendance. 24

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