Chers amis,

Dans cette époque vertigineuse et riche en  bouleversements de tous genres, il est essentiel de garder son équilibre intérieur pour ne pas céder aux démons de la peur et de la propagande qui veut nous asservir à la dictature des puissants. Il s’agit de comprendre la transition en cours , le passage d’une société constituée des gens qui obéissent aux ordres des autorités à un monde dans lequel chacun ne suivra que la guidance de son corps de lumière…c’est en route et rien en peut arrêter l’avènement de cette nouvelle façon de vivre, quoi qu’en disent les medias corrompus ! Alors osons nous relier aux forces de la vie, de la lumière et de la conscience et laisser derrière nous les émotions négatives qui nous maintiennent dans la soumission et la terreur.

Nous ne sommes pas des victimes affolées, nous sommes des individus qui doivent sortir de l’hypnose collective et des délires des mondialistes arrogants qui veulent génocider des milliards d’êtres humains et obliger les survivants à leur obéir grâce à la 5G et à l’intelligence artificielle.  Seuls ceux qui regardent encore la TV et lisent les journaux peuvent encore ne pas voir ce qui se passe vraiment dans notre monde…A chacun d’informer calmement ses proches pour que les yeux puissent s’ouvrir et les consciences s’éveiller, informer sans imposer afin d’éviter les conflits stériles, les débats contradictoires, les prises de position dogmatiques et intransigeantes et les guerres d’opinions divisées !

Nous avons un futur magnifique qui nous tend les bras…Agissons pour le réaliser !

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VIVE LE PAPE MONDIALISTE !

Souvenons-nous qu’un certain Bergoglio (le pape actuel !) a déclaré avec insistance que la vaxxination était un acte d’amour

 

François joue les experts en climatologie et applaudit le « gouvernement mondial » 

 

Le 4 octobre, François a publié son exhortation “apostolique” sans valeur, Laudate Deum, sur le changement climatique, un sujet qui ne relève pas de la compétence d’un pape.

Dans cette exhortation, François se contente de répéter l’idéologie oligarchique et tente d’effrayer le lecteur avec des expression comme “planète en souffrance”, “le monde s’écroule”, “on approche du point de rupture”…

Jouant les prophètes de malheur, François parle de “canicules”, d'”inondations”, de “sécheresses sévères”, de “chaleur extrême”, de “fonte des calottes glaciaires”, d'”accélération inhabituelle du réchauffement”, d'”élévation du niveau des mers”, de “manifestations irréversibles pour au moins des centaines d’années”, d'”énormes dégâts que nous avons causés”, de “diagnostics apocalyptiques”. Il estime qu’il n’y a “pas de retour en arrière” possible.

Puis il tourne tout cela à la plaisanterie en affirmant que ces prédictions sont “confirmées par la pandémie de Covid-19” (sic). Autre plaisanterie : “La crise climatique n’est pas vraiment une question qui intéresse les grandes puissances économiques”.

Au lieu de répondre aux arguments solides qui ont démystifié le changement climatique d’origine humaine, il les dénigre en les qualifiant de “déraisonnables”, comme si François connaissait quoi que ce soit à la raison.

Au cœur du texte (section 35), il prône un dangereux gouvernement mondial unique, rêvant d’une “autorité mondiale régulée par la loi” qui “doit être dotée d’une “autorité réelle” pour assurer la réalisation de “certains objectifs inaliénables” [des oligarques].

Il divague sur ce qu’il appelle “l’ancien multilatéralisme”, qu’il veut “recréer à la lumière de la nouvelle situation mondiale” en établissant une “nouvelle procédure de prise de décision”.

En résumé, si un fonctionnaire de l’ONU ignorant toute théologie avait écrit un traité sur les “Nouveaux aspects de la Sainte Trinité”, il aurait pu l’intituler Laudate Deum.

https://gloria.tv/post/74pmc76hv32u6ZiiKJAfhoVbK

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Seulement 2% des américains se sont fait injecter avec les nouveaux “vaccins” anti-covid. Les gens ne sont plus dupes de leurs MENSONGES ! pic.twitter.com/1kr6kin51O

— SILVANO TROTTA OFFICIEL (@silvano_trotta) 

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L’intubation des patients Covid était “plus mortelle” que le virus

L’intubation des patients Covid était “plus mortelle” que le virus

Une étude de l’université Northwestern conclut que la majorité des patients “Covid19” mis sous respiration mécanique invasive ont succombé à une pneumonie bactérienne, et non pas au SARS-CoV-2.

Dans le monde entier, entre 66 et 86 % de tous les “patients Covid” intubés sont décédés. De nombreux médecins s’étaient positionnés en 2020 contre la généralisation de cette pratique. 

Une étude de l’université Northwestern (États-Unis) leur donne raison : la majorité des patients “Covid19” mis sous respiration invasive ont été tués des suites d’une pneumonie bactérienne, et non pas par le SARS-CoV-2.

Les scientifiques ont également trouvé des preuves que le Covid-19 ne provoque pas de “tempête de cytokines”, souvent considérée comme une cause de décès.

L’intubation provoque de graves infections bactériennes

Selon les résultats de l’étude publiée en mai 2023, le remède serait pire que le mal puisque les décès par infection bactérienne dite “secondaire” pour les patients intubés dépassent les taux de mortalité dus à l’infection virale elle-même.

Benjamin Singer, MD, médecin spécialiste des soins pulmonaires et intensifs à la Northwestern Medicine, USA.

“Notre étude souligne l’importance de la prévention, de la recherche et du traitement agressif de la pneumonie bactérienne secondaire chez les patients gravement malades atteints de pneumonie sévère, y compris ceux atteints de Covid-19”, a déclaré l’auteur principal Benjamin Singer, MD, professeur de médecine pulmonaire, de biochimie et de génétique moléculaire à l’université Northwestern. Le chercheur est également médecin pulmonaire et de soins intensifs.

“Ceux qui ont été guéris de leur pneumonie secondaire étaient susceptibles de vivre, tandis que ceux dont la pneumonie ne s’est pas résorbée étaient plus susceptibles de mourir”, a déclaré Singer. “Nos données suggèrent que la mortalité liée au virus lui-même est relativement faible, mais que d’autres événements survenant pendant le séjour en unité de soins intensifs, comme la pneumonie bactérienne secondaire, contrebalancent cette tendance.

Le “choc cytokinique” au placard

Les résultats de l’étude réfutent également la théorie de la tempête de cytokines, a déclaré Singer.

Le terme “tempête de cytokines” signifie un état inflammatoire généralisé qui entraîne une défaillance des poumons, des reins, du cerveau et d’autres organes. “Si c’était vrai, si la tempête de cytokines était à l’origine de la longue durée de séjour que nous observons chez les patients atteints de Covid-19, nous nous attendrions à voir des transitions fréquentes vers des états caractérisés par une défaillance de plusieurs organes. Ce n’est pas ce que nous avons observé”, ajoute le scientifique.

L’intubation n’est pas un traitement

L’intubation est-elle à proprement parler un traitement des infections respiratoires? Au début de la pandémie, de nombreux médecins ont remis en question l’utilisation de ventilation mécanique invasive pour traiter le Covid, pour lui préférer d’autres méthodes, comme l’oxygénothérapie. Parmi eux se trouve la Dr Noémie Zucman, auteure d’une étude sur la question :

Le recours à la ventilation mécanique invasive a été la règle pour la très grande majorité des patients présentant les formes les plus graves de pneumonie à Covid-19, dépassant 90% dans certaines séries. L’oxygénothérapie à haut débit a été de fait utilisée dans quelques services de réanimation qui en avaient l’expérience, bien qu’elle ne figurait pas initialement parmi les recommandations de prise en charge du Covid-19 de certaines sociétés savantes. Elle est en effet maintenant très largement utilisée en première intention chez les patients présentant une insuffisance respiratoire aiguë hypoxémique.

Un autre médecin, le Dr Matt Strauss, avait déclaré dans The Spectator en mai 2020 que les “respirateurs ne guérissent aucune maladie : ils peuvent remplir vos poumons d’air lorsque vous êtes incapable de le faire vous-même”.

Le Dr Thomas Voshaar, pneumologue allemand et président de l’Association des cliniques pneumologiques, avait déclaré en avril 2020 dans la Frankfurter Allgemeine :

Lorsque nous avons lu les premières études et les premiers rapports en provenance de Chine et d’Italie, nous nous sommes immédiatement demandé pourquoi l’intubation était si fréquente dans ces pays. Cela contredisait notre expérience clinique de la pneumonie virale.

Le problème des infections décelé très tôt

Le problème principal de la pratique est que les sondes d’intubation sont une source potentielle d’infection. Des études montrent que ce problème affecte jusqu’à 28 % de toutes les personnes placées sous ventilateur et qu’il tue 20 à 55 % des personnes infectées.La ventilation mécanique endommage également la structure physique des poumons, entraînant des “lésions pulmonaires induites par l’intubation”, qui peuvent avoir un impact considérable sur la qualité de vie, voire entraîner la mort.

Certains experts estiment que 40 à 50 % des patients ventilés meurent, quelle que soit leur maladie.

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Youtube LIVE SPECIAL RENTREE ASSO BONS SENS ORG

Les grands scientifiques  ténors de la résistance s’expriment avec clarté et bon sens ! Une vidéo exceptionnelle. Perronne, Toubiana, Zizi, Chaillot, Umlil, Bourdineaux, Vélot, etc.

TOUS LES MYTHES DU COVID DEMONTES DE MANIERE IRREFUTABLE

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 Le cancer a augmenté de 143,233% depuis les vaxxins covid !

PREPARE FOR CHANGE

Le cancer apparaît lorsque des modifications génétiques interfèrent avec la réplication et le remplacement normaux des cellules du corps. Les cellules commencent à se développer de manière incontrôlée et peuvent former une tumeur. C’est la deuxième cause de décès aux États-Unis.

 

Malheureusement, il semble que la maladie soit en augmentation grâce aux injections expérimentales de Covid-19. Parce que les données officielles du gouvernement américain confirment que le risque de développer un cancer après la vaccination contre le Covid-19 augmente d’un chiffre choquant de 143,233 %.

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73,9% des décès liés à la vaccination, sont dus à l’injection. Les pays devraient quitter l’OMS

https://www.bitchute.com/video/M7zyZhNDf6ah/

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L’invasion des ondes électromagnétiques et comment s’en protéger

Les ondes électromagnétiques artificielles ou de synthèse ont envahi nos vies en moins d’un siècle. À l’échelle de l’évolution humaine, c’est très court. Ces ondes de synthèse sont aux ondes naturelles du corps ce que la chimie de synthèse est à la chimie naturelle du corps. Croire qu’elles n’ont aucune interférence avec les ondes naturelles du corps humain, des animaux et de la Terre est terriblement naïf. Et pourtant il règne une très grande ignorance sur ce sujet. Voici quelques pistes pour mieux les appréhender.

https://espritcreateur.net/linvasion-des-ondes-electromagnetiques-et-comment-sen-proteger/

👉 PROTECTIONS EFFICACES CONTRE LA 5G ET L’ÉLECTROSMOG ⚠️

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Youtube : This Happens When You “Let Food Be Thy Medicine” | Quite Frankly Podcast

En anglais : un magnifique interview de Anna et Brian CLEMENT, directeurs de l’INSTITUT HIPPOCRATE de WEST PALM BEACH en FLORIDE

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DOSSIER VACCIN COVID : LE SOMMET COVID DEMANDE L’ARRÊT IMMÉDIAT DES INJECTIONS ARNm.

17000 médecins et scientifiques alertent !

https://odysee.com/@didchay:f/video_2023-09-27_14-57-44:e

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Un drone s’est approché d’une tour 5G et a fondu

Le drone s’est approché d’une tour 5G, mais il a rapidement rencontré sa fin, fondant littéralement sous l’effet de l’émission. Cela nous amène à réfléchir aux conséquences potentielles lorsque toutes ces antennes 5G seront pleinement opérationnelles.

https://qactus.fr/2023/09/27/monde-un-drone-sest-approche-dune-tour-5g-et-a-fondu/

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Pfizer ne garantit pas l’efficacité et l’innocuité des vaccccccxxx contaminés, la Commission européenne admet des myocardites mortelles et…elle continue à injecter en masse

https://pgibertie.com/2023/09/27/pfizer-ne-garantit-pas-lefficacite-et-linnocuite-des-vaccccccxxx-contamines-la-commission-europeenne-admet-des-myocardites-mortelles-et-elle-continue-a-injecter-en-masse/

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Contrats Pfizer la suite

https://odysee.com/@Reaction19_WebTV_Odysee:b/19-h-10-……………..contrats-pfizer:f

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Lisez la notice du “vaccin” !

Dites… Avant d’écouter les médias mensongers, les politiques, les médecins de plateaux TV et autres qui vous recommandent de vous faire vacciner, lisez la notice du “vaccin”.

Le fabricant du nouveau “vaccin” de rappel contre le coronavirus appelé Comirnaty Omicron XBB.1.5, Pfizer/Biontech, semble être beaucoup moins convaincu de son propre produit que tous les gens ci-dessus. La notice ne recommande cependant expressément pas le vaccin aux enfants de moins de 12 ans et souligne un risque accru de myocardite et de péricardite, en particulier chez les jeunes hommes (y compris les conséquences mortelles).

Et énorme cerise sur le gâteau : « La vaccination pourrait ne pas fonctionner du tout et si elle fonctionne, nous ne savons pas pour combien de temps. »

En gros, ils ne savent RIEN, normal, ils ne l’ont JAMAIS testé, mais ils prendront bien le pognon….

https://olivierdemeulenaere.wordpress.com/2023/09/27/lisez-la-notice-du-vaccin/

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Pfizer a su très tôt que … 

 

https://odysee.com/@Roms17:d/Pfizer-savait-que-son-vaccin-ARNm-donnait-le-Covid:6

 Les documents de Pfizer montrent que ce laboratoire savait que son vaxxin donnait le Covid et contiennent des preuves du plus grand crime contre l’humanité de l’Histoire.

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LES « vaccins » contre le Covid sont maintenant considérés comme DANGEREUX voire mortels !

Révolution santé

Pour commencer, même les fabricants de vaccins l’avouent :

  • Pfizer aurait documenté 158 000 « effets secondaires significatifs » différents (déformations cardiaques, déclin cognitif, dégradation de la vue dysfonctions rénales…)
  • 46.8% des participants d’une étude ont souffert de « symptômes systémiques » (caillots sanguins, suffocations, douleurs intenses, vomissements…) après l’injection de l’AstraZeneca
  • La thérapie génique de Moderna a entraîné des « maladies auto-immunes, des péricardites mêmes des myocardites subites ».

Jusqu’à présent, la FDA (organisme de contrôle sanitaire américain) ne voulait pas dévoiler au public ses rapports de test sur les vaccins.

Cependant, la vérité est enfin sortie ce 5 septembre 2023 :

« 1 589 970 cas d’effets indésirables et 36 080 décès associés aux vaccins COVID-19 »

Selon les données du VAERS (Système de notification des effets indésirables des vaccins).

La cause principale ?

Des dizaines de milliers de myocardites foudroyantes (soit des morts subites par arrêt cardiaque) d’après le Centre de Contrôle et des Préventions des Maladies.

Et ce n’est pas tout !

Car en plus de mettre votre santé cardiaque en danger, l’efficacité de ces faux vaccins contre le Covid est proche de… Zéro :

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9 des 10 études de références données par le Conseil Supérieur de la Santé concluent que les vaccins et rappels ont une efficacité nulle contre le variant actuel !

Et la seule étude qui montre une efficacité admet qu’il s’agit seulement d’une réponse d’anticorps en labo à hauteur de 10% seulement.

On est donc proche du zéro pointé.

Mais ce n’est pas fini…

Car il semblerait que les rappels répétés des vaccins Covid vont faciliter la production des anticorps IgG4…

Des anticorps spécifiques qui « facilitent l’infection » selon un étude très récente publiée dans la prestigieuse revue Nature.

Donc, les vaccins seraient dangereux, inefficaces ET augmenteraient les risques d’attraper le covid.

C’est la triple peine !

Alors, on peut bien se demander pourquoi le gouvernement et les médias nous refont une telle propagande.

Peut-être pour écouler les deux nouvelles arrivées de doses ainsi que les anciennes qui ont bénéficié d’une prolongation de péremption… ?

Je vous laisser vous faire votre propre avis là-dessus.

Mais ce qui est sûr, c’est que vous devez reprendre en main votre santé par vous-même…

C’est pour cela que

Le Dr. Reliquet veut révéler au grand jour la vérité sur les vaccins et médicaments inutiles

Car il n’y a malheureusement pas qu’avec le Covid qu’on cherche à nous imposer des solutions inefficaces et parfois dangereuses.

  • Une méta-analyse de la revue Cochrane a conclu à une efficacité « très faible » et montré que la vaccination ne réduit ni le nombre d’hospitalisations, ni le nombre de complications !
  • Pour le Dr. Pascal Büchler, membre du groupe médical suisse de réflexion sur les vaccinations « le vaccin contre la grippe a largement prouvé son inefficacité, notamment sur les personnes âgées, qui représentent pourtant le principal groupe à risque »…
  • Récemment, l’efficacité du vaccin contre la grippe a été de 23% selon l’OMS et seulement 18% selon le Centre américain des maladies d’Atlanta…
  • Vaccin DTP: comment l’Académie de médecine a INTERDIT la publication de résultats sur un nouveau traitement presque 100% efficace au motif qu’ « on empêcherait les vaccinations et l’intérêt est de généraliser ces vaccinations » ;
  • Vaccin Hépatite B : les dernières études montrent que plus les enfants sont vaccinés et…Moins ils sont protégés à l’âge adulte ! Sans parler des récentes condamnations de Sanofi par la justice pour des cas de sclérose en plaques consécutifs à la vaccination ;
  • Vaccin ROR (rougeole, oreillons, rubéole), et la question du lien avec l’augmentation des cas d’autisme ;

Voilà pourquoi le sujet des vaccins et des médicaments modernes doit pouvoir être abordé. Sans a priori.

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Des météorologues et des scientifiques récusent l’idée d’urgence climatique

https://www.epochtimes.fr/des-meteorologues-et-des-scientifiques-expliquent-quil-ny-a-pas-durgence-climatique-2426407.html

DÉCRYPTAGE: Selon les experts en climatologie, la modélisation erronée et la rhétorique exagérée noient la réalité scientifique au profit de l’argent et du pouvoir

Il n’y a pas d’urgence climatique : les messages alarmistes véhiculés par les élites mondiales sont purement politiques. Voilà en substance ce qu’avancent 1.609 scientifiques et professionnels de renom dans leur « Déclaration mondiale sur le climat » du Global Climate Intelligence Group (GCIG).

« La science du climat devrait être moins politique, et les politiques climatiques devraient être plus scientifiques », commence la déclaration. « Les scientifiques devraient aborder ouvertement la question des incertitudes et des exagérations dans leurs prévisions du réchauffement climatique, et les hommes politiques devraient être en mesure de chiffrer sans passion les coûts réels et les avantages imaginaires des mesures qu’ils proposent ».

Le groupe se définit comme étant indépendant et un « chien de garde du climat », fondé en 2019 par Guus Berkhout, professeur émérite de géophysique, et Marcel Crok, un journaliste scientifique. Selon son site web, l’objectif de l’organisation est de « produire des données et de développer une [réelle] compréhension des causes et des effets du changement climatique et des effets de la politique climatique. » Dans cette optique, ils veulent se concentrer sur les faits et leurs recherches scientifiques doivent être objectives.

Parmi les signataires de la déclaration figurent notamment des lauréats du prix Nobel, des physiciens, des météorologues, des professeurs et des spécialistes de l’environnement du monde entier. Les signataires qu’Epoch Times a pu interroger sont catégoriques : cette idée « d’urgence climatique » est ridicule.

« Il existe de nombreuses preuves que les températures moyennes étaient plus élevées pendant la période dite de réchauffement médiéval (autour de l’an 1000), la période de réchauffement romain (lorsque les raisins et les agrumes étaient cultivés dans une Grande-Bretagne aujourd’hui beaucoup plus froide), et au début de l’Holocène (après la fin de la dernière période glaciaire régulière) ».

L’urgence climatique est une « fiction », déclare-t-il sans équivoque.

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CROWDBUNKER La guerre des mondialistes contre les peuples fait rage

Des images montrant comment des feux ont été allumés en Algérie et en Grèce  pour justifier le peur du réchauffement climatique

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La Cour suprême de New York réintègre tous les employés licenciés pour non-vaccination et ordonne les arriérés de paiement

La Cour suprême de l’État de New York réintègre tous les employés non vaccinés licenciés, ordonne des arriérés de paiement, déclare que l’État a violé les droits, a agi de manière arbitraire et capricieuse, note : « Être vacciné n’empêche pas un individu de contracter ou de transmettre le Covid-19. »

https://www.profession-gendarme.com/la-cour-supreme-de-new-york-reintegre-tous-les-employes-licencies-pour-non-vaccination-et-ordonne-les-arrieres-de-paiement/

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Pourquoi Bill Gates a-t-il fait brusquement volte-face sur la thèse de la catastrophe climatique ?

Bill Gates, cofondateur de Microsoft, philanthrope et alarmiste climatique, est revenu sur ses prophéties de « catastrophe climatique ». Les élites politiques et financières, qui ont longtemps défendu l’idée d’une catastrophe climatique imminente, se rendent compte que le public n’est pas dupe.

Jeudi 21.09.23, Gates a soudainement fait volte-face sur son discours catastrophiste sur le climat et s’attend désormais à ce qu’ »aucun pays tempéré ne devienne inhabitable ».

Gates a pris la parole lors d’un événement organisé en direct au Times Center à New York : Si vous essayez d’imposer le climat par la force, vous aurez des gens qui diront : « J’aime le climat, mais je ne veux pas supporter ce coût et réduire mon niveau de vie ».”

https://www.aubedigitale.com/pourquoi-bill-gates-a-t-il-fait-brusquement-volte-face-sur-la-these-de-la-catastrophe-climatique/

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La 5G atroce nous laisse envisager ce que sera la 6G

Grande innovation de 2023 : déjà est envisagée la 6G, encore non normée, mais apparemment cent à mille fois plus rapide, mais aussi encore au moins cent fois plus agressive, où vu la portée en dizaines de mètres CHAQUE terminal sera un réémetteur : rien qu’en France des dizaines de millions de réémetteurs, en tenant compte de tous les points publics (lampadaires, abribus, concentrateurs Linky, capteurs météo, de trafic, de pollution, et j’en passe). Tous ces acteurs seront soit remplacés, soit mis à jour.

Le simple but : le flicage permanent et pertinent, minutieux et hyper-intrusif, ce qui risque d’aller bien plus loin si chacun est obligé d’accepter d’être pucé. Est-ce bien l’avenir que nous acceptons ?

http://5gdesert.eklablog.com/la-5g-atroce-nous-laisse-envisager-ce-que-sera-la-6g-a214804241

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PIERRE CHAILLOT

Le statisticien Pierre Chaillot est l’invité principal de ce dix-huitième numéro de l’émission « Libérez L’Info » (VF-2H31) : https://crowdbunker.com/v/JBeXiQqc Pierre Chaillot nous rappelle, notamment, que lors de la dernière plandémie des maladies existantes ont été renommées « covid-19 », que cette fausse pandémie fut une vraie pandémie de tests bidons, que le gouvernement français a fait croire aux Français que les hôpitaux étaient engorgés alors que seulement 38 hôpitaux étaient ouverts, que les pseudo-malades du covid-19 sont morts chez eux faute de soins. Pierre Chaillot nous apprend également que la contagion virale est une fable puisque en automne et en hiver les gens tombent malades ou meurent en même temps, qu’aucun virus n’a jamais été isolé et que les génomes viraux n’ont jamais été établis d’une façon rigoureuse.

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CROWDBUNKER :  Bérézina de l’Union Européenne ! – Frédéric Chaumont – 

Une excellente vidéo sur les contrats de Pfizer

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Harvey Risch, professeur émérite d’épidémiologie à la faculté de santé publique de Yale, à New York

Des cancers apparaissent comme jamais auparavant depuis les vaccinations contre le Covid, selon un spécialiste

Le Dr Harvey Risch parle des nouveaux « cancers turbo » de la vaccination et de la façon dont le virus Covid devrait être géré.

Selon le Dr Harvey Risch, des preuves montrent que des cancers surviennent fréquemment chez des personnes vaccinées contre le Covid-19.

Le Dr Risch est professeur émérite d’épidémiologie au département d’épidémiologie et de santé publique des facultés de santé publique et de médecine de Yale. Ses recherches se sont largement concentrées sur les origines du cancer et sur la prévention et le dépistage précoce.

Dans une interview accordée à l’émission « American Thought Leaders » d’EpochTV, le Dr Risch a indiqué que les patients devaient désormais attendre des mois, et non plus des semaines, afin d’obtenir un rendez-vous dans une clinique d’oncologie à New York.

Il est difficile d’observer si un vaccin peut provoquer un cancer, car le cancer met généralement du temps à se développer, a expliqué le Dr Risch. Cela peut prendre de deux à trente ans, selon les différents types de cancer, de la leucémie au cancer du côlon.

« Ce que les cliniciens ont vu, ce sont des choses très étranges : par exemple, des jeunes de 25 ans atteints d’un cancer du côlon, qui n’ont pas d’antécédents familiaux de la maladie – ce qui est fondamentalement impossible selon le paradigme connu du fonctionnement du cancer du côlon – et d’autres cancers à latence longue qu’ils observent chez des personnes très jeunes ».

Selon lui, ce n’est pas ainsi que le cancer se développe normalement.

« Il doit y avoir un stimulus à l’origine de ce phénomène. »

Lutter contre le cancer

Le Dr Risch a expliqué qu’à son avis, un corps humain sain peut combattre et neutraliser un cancer, car les cellules cancéreuses anormales sont absorbées lorsqu’elles sont détectées dans un corps doté d’un système immunitaire fonctionnel. En revanche, si le système immunitaire est affaibli, il n’est pas en mesure de neutraliser les cellules cancéreuses, qui continuent alors à se multiplier et à se développer, ce qui provoque les symptômes du cancer.

« C’est le mécanisme qui me semble le plus probable dans ce cas. Nous savons que les vaccins Covid ont endommagé à des degrés divers le système immunitaire d’une fraction des personnes qui les ont reçus. »

Ces dommages pourraient se traduire par des infections plus fréquentes par le Covid, par d’autres maladies infectieuses ou par des cancers.

Un autre exemple donné par le Dr Risch est celui du cancer du sein. Normalement, s’il y a une rémanence après une ablation chirurgicale, la rémanence se produit après deux décennies. Or, on constate aujourd’hui que les femmes vaccinées présentent une rémanence de leur cancer du sein dans des délais beaucoup plus courts.

« Ce sont les premiers signaux que nous avons observés et, comme ces cancers sont apparus chez des personnes trop jeunes pour les contracter, par rapport à la manière habituelle dont cela fonctionne, ils ont été qualifiés de turbo-cancers. »

« Certains de ces cancers sont si agressifs qu’entre le moment où ils sont détectés pour la première fois et celui où ils reviennent pour un traitement après quelques semaines, ils ont connu un développement spectaculaire alors que les oncologues ne s’y attendaient pas compte tenu de la progression normale du cancer. »

«Soyez à l’écoute de votre corps», recommande le Dr Risch, pour remarquer tout nouveau signal que le corps pourrait émettre.

Effets indésirables après la vaccination

Le Dr Risch a également évoqué le fait que les agences médicales officielles ne reconnaissent pas une personne comme étant vaccinée au cours des deux premières semaines de vaccination. Elles affirment en effet que les effets du vaccin ne commencent à se manifester qu’au bout de deux semaines. Les effets indésirables survenus quelques jours après la vaccination sont officiellement comptabilisés comme des problèmes de santé se manifestant chez des personnes « non vaccinées ».

Toutefois, le Dr Risch a constaté que les effets indésirables graves du vaccin se produisaient dans les quatre premiers jours. Ajoutant que les trois quarts des effets indésirables enregistrés concernent des personnes « non vaccinées ».

Les décideurs aux commandes pendant la pandémie « ont rejeté les principes de santé publique six jours après le début de la pandémie et ont fait le contraire de tout ce que nous savions qu’il fallait faire pour les virus respiratoires »

Un exemple est le refus d’un traitement précoce efficace et les vaccinations inutiles, qui témoignent d’un « échec colossal de la santé publique pendant cette période », a-t-il déclaré.

Pour le Dr Risch, beaucoup de gens sont aujourd’hui plus réticents face à la « propagande » concernant le Covid, et les informations sur un nouveau variant qui pourrait envahir le monde le mois prochain ne sont que de la « propagande destinée à vendre le prochain lot de vaccins qui sortira dans quelques semaines ».

« Les gens en ont assez de cette situation et les réactions vont se multiplier. »

Risques pour la société

Le Dr Risch a souligné que même si le risque individuel d’une réaction indésirable au vaccin est relativement faible, une fois que ce risque se manifeste à plus grande échelle, lorsque des millions de personnes ont été vaccinées, des centaines de milliers de gens se retrouvent avec des dommages et des effets indésirables graves qui se révèlent souvent pires que le virus lui-même.

Selon le Dr Risch, personne ne devrait se faire vacciner avec un produit à ARNm, car les nouveaux variants sont bénins et ne mettent pas la vie en danger. Il a entendu parler de quelques hospitalisations qui ont duré quelques jours, mais comme la plupart des gens ont contracté le Covid dans le passé, ils ont également acquis une certaine immunité face à ces nouveaux variants.

« Il n’y a aucune raison pour que les gens soient vaccinés aujourd’hui, à quelque degré que ce soit. »

Selon lui, le Covid est devenu une maladie similaire à la grippe par son degré de gravité, et la propagande alarmiste est encouragée par les gouvernements au nom des sociétés pharmaceutiques qui veulent vendre davantage de vaccins.

« Nous vivons en contact les uns avec les autres et, par conséquent, nous propageons des infections de faible intensité. Cela fait partie de la vie humaine. »

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Vaccins Covid : surmortalité dans l’hémisphère sud, surtout après 60 ans et plusieurs doses

Communiqué de presse de Denis Rancourt 

La campagne de vaccination COVID-19 est responsable d’une mortalité excédentaire dans l’hémisphère sud

Un article scientifique écrit par Prof Denis Rancourt, Dr Marine Baudin, Dr Joseph Hickey et Dr Jérémie Mercier publié dans un rapport de Correlation Research in the Public Interest (https://correlation-canada.org/covid-19-vaccine-associated-mortality-in-the-southern- hemisphere/) démontre après analyse de la mortalité toutes causes confondues de 17 pays équatoriaux et de l’hémisphère sud (à partir des chiffres du World Mortality Dataset) que :

Changement de régimes de mortalité avec la vaccination COVID-19

Dix-sept pays de l’hémisphère sud ou équatoriaux ont été analysés : Afrique du Sud, Argentine, Australie, Bolivie, Brésil, Chili, Colombie, Équateur, Malaisie, Nouvelle-Zélande, Paraguay, Pérou, Philippines, Singapour, Suriname, Thaïlande, Uruguay.

La mortalité toutes causes confondues des pays non-équatoriaux suit des cycles saisonniers d’augmentation de mortalité l’hiver et de diminution de mortalité l’été, celle des pays équatoriaux ne connaît pas de saisonnalité. La présence ou l’absence de cycles saisonniers est par exemple visible depuis 2015 dans les graphiques ci-dessous pour le Brésil et pour les Philippines (courbes en bleu). Ces cycles (ou absence de cycles) sont réguliers et attendus d’une année à l’autre.

Contacts presse : Denis Rancourt : denis.rancourt@gmail.com ; Marine Baudin : marine@jeremie- mercier.com ; Joseph Hickey : jhick059@gmail.com ; Jérémie Mercier : bonjour@jeremie-mercier.com

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Cependant, dans 9 des pays étudiés (Australie, Malaisie, Nouvelle-Zélande, Paraguay, Philippines, Singapour, Suriname, Thaïlande, Uruguay), un régime significativement plus élevé de mortalité s’installe de manière synchrone avec le déploiement de la vaccination COVID-19, alors qu’aucune mortalité excédentaire n’est observée entre la déclaration de pandémie par l’OMS le 11 mars 2020 et le début des campagnes de vaccination en 2021 pour ces pays.

Dans les 8 autres pays étudiés (Afrique du Sud, Argentine, Bolivie, Brésil, Chili, Colombie, Équateur, Pérou), où on détecte une mortalité excédentaire après l’annonce de la pandémie, la mortalité toutes causes confondues connaît une nouvelle augmentation avec le déploiement de la vaccination COVID-19.

La mortalité excédentaire pendant la période vaccinale (à partir de décembre 2020, de janvier ou février 2021 selon les pays, jusqu’à ce que les données s’arrêtent) au sein des 17 pays correspond à 1 745 000 décès.

Parmi les 17 pays étudiés, il n’existe aucun pays pour lequel la mortalité toutes causes confondues connaît une diminution significative après l’implémentation de la vaccination COVID-19.

[Dans les graphiques ci-dessus (page 2) :

  • La courbe bleue représente la mortalité toutes causes confondues (ACM pour All- Cause Mortality) par mois en milliers de personnes.
  • La courbe rouge représente la moyenne mensuelle mobile de mortalité sur 1 an (sur l’année venant de s’écouler) en milliers de personnes.
  • La courbe orange indique le nombre de vaccins COVID-19 administrés par semaine, en dizaines de milliers de doses (échelle Y à droite).
  • La ligne verticale grise correspond à la déclaration de pandémie faite par l’OMS le 11 mars 2020.]

Pics anormaux de mortalité associés aux doses de rappel

Des pics remarquables de mortalité sont observés avec le déploiement des doses de rappel des vaccins COVID-19 :

• Des pics inédits de mortalité sont observés en janvier-février 2022 – période correspondant à l’été dans les pays de l’hémisphère sud – et coïncident avec le déploiement des doses de rappel :

o Dans tous les pays étudiés présentant des données en 2022 (15 pays sur 17), au niveau national, tous âges confondus. Seuls l’Argentine et le Suriname n’ont pas de données de mortalité en 2022.

o En particulier au Chili où ces pics sont en parfaite synchronicité avec les 4ème doses de vaccins administrées chez les personnes âgées (60 ans et plus).

o En particulier au Pérou où ces pics apparaissent juste après les 3ème doses de vaccins administrées chez les personnes âgées (60 ans et plus).

  • Les pics saisonniers de mortalité en juillet-août 2021 (hiver au Chili) sont associés aux 3ème doses de vaccins administrées chez les personnes âgées au Chili.
  • Les pics saisonniers de mortalité en juillet-août 2022 (hiver au Pérou) sont associés aux 4ème doses de vaccins administrées chez les personnes âgées au Pérou.

La mortalité toutes causes confondues par semaine (courbes en noir) de 2019 à 2022 ainsi que les vaccins administrés par semaine (courbes en bleu foncé pour toutes les doses et courbes en rose pour la 4ème dose (multipliée par 4)) sont visibles dans les graphiques ci- dessous pour les personnes âgées de 90 ans et plus.

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Relation exponentielle entre toxicité du vaccin et âge

L’analyse par tranches d’âges de la mortalité excédentaire pendant les périodes de rappel vaccinal montre que le risque de décès par injection (vDFR) des vaccins COVID-19 augmente de manière exponentielle avec l’âge (à partir de 60 ans, avec un temps de dédoublement de 4 ans), est plus important pour les doses avancées (risque plus fort pour les 4ème doses que pour les 3ème doses), et atteint près de 5 % (c’est-à-dire 1 décès pour 20 injections) chez les personnes âgées de 90 ans et plus soumises à une 4ème dose.

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Conclusions

Les auteurs ont analysé la mortalité toutes causes confondues de 17 pays équatoriaux et de l’hémisphère sud : Afrique du Sud, Argentine, Australie, Bolivie, Brésil, Chili, Colombie, Équateur, Malaisie, Nouvelle-Zélande, Paraguay, Pérou, Philippines, Singapour, Suriname, Thaïlande, Uruguay.

Dans tous les pays étudiés :

  • Aucune diminution de la mortalité n’est associée à la vaccination COVID-19.
  • Une transition vers un régime plus élevé de mortalité est observée avec le

déploiement des campagnes de vaccination COVID-19, que ce soit :

o Pour les pays connaissant une mortalité excédentaire avant la vaccination

COVID-19 (8 pays sur 17),
o Pour les pays ne présentant aucune mortalité excédentaire avant la

vaccination COVID-19 (9 pays sur 17).
• Des pics anormaux de mortalité apparaissent en janvier-février 2022, au moment du

déploiement des doses de rappel (3ème et 4ème doses).

Les auteurs estiment la surmortalité observée pendant la période vaccinale à 1 745 000 décès pour les 17 pays étudiés, ce qui correspond à environ 1 décès sur 800 injections.

Les auteurs calculent un taux de létalité par injection du vaccin au niveau national et tous âges confondus variant de 0,02 à 0,2 % selon les pays. Ce taux :

  • augmente de manière exponentielle avec l’âge (à partir de 60 ans et doublant environ tous les 4 ans),
  • est plus élevé pour les doses avancées (risque plus important avec les 4ème doses qu’avec les 3ème doses),
  • atteint près de 5 % chez les personnes âgées de 90 ans et plus soumises à une 4ème dose (ce qui correspond à 1 décès sur 20 personnes injectées).

Globalement, la toxicité des vaccins COVID-19 est environ mille fois plus importante que celle rapportée dans les essais cliniques pharmaceutiques, estimée par la pharmacovigilance, calculée à partir de statistiques basées sur les causes de décès, ou communiquée par les institutions de santé.

Avec une toxicité élevée et un risque accru de mortalité avec l’âge et le nombre de doses injectées, les auteurs appellent les gouvernements à suspendre les politiques de santé publique priorisant la vaccination COVID-19 des personnes âgées jusqu’à ce que des analyses bénéfice-risque valables dans les populations cibles soient effectuées.

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Un adieu à la virologie

par le Dr Mark Bailey

Résumé

La virologie a inventé le modèle du virus, mais n’a jamais réussi à satisfaire à ses propres exigences. On prétend que les virus provoquent des maladies après s’être transmis entre des hôtes tels que l’homme, mais les preuves scientifiques de ces affirmations font défaut. L’un des plus grands échecs de la virologie a été l’incapacité d’obtenir des particules virales directement à partir des tissus des organismes dits atteints de maladies «virales». Afin d’obscurcir cet état de fait, les virologues ont eu recours à la création de leurs propres méthodes pseudo-scientifiques pour remplacer la méthode scientifique de longue date, ainsi qu’à la modification du sens des mots dans le dictionnaire afin d’étayer leurs pratiques anti-scientifiques. Par exemple, un isolat «isolé» ne nécessite pas [pour les virologues] l’existence physique des particules pour obtenir le statut d’«isolat».

Une particule virale doit remplir des propriétés physiques et biologiques définies, notamment être un parasite intracellulaire capable de se répliquer et de provoquer une maladie chez un hôte tel que l’homme. Cependant, les «virus» tels que le SRAS- CoV-2 ne sont rien d’autre que des constructions fantômes, qui n’existent que dans l’imagination et les simulations informatiques. Dans ce paradigme, les cas de maladies inventées comme le COVID-19 ne sont rien d’autre que la détection de séquences génétiques et de protéines sélectionnées censées être «virales». L’existence d’un virus n’est pas nécessaire dans cette boucle de raisonnement circulaire et des «pandémies» entières peuvent donc être construites sur la base de créations numériques et faussement soutenues par des réactions moléculaires in vitro («en éprouvette»). Cet essai comporte trois parties.

La première partie retrace l’histoire de la virologie et l’incapacité des virologues à suivre la méthode scientifique. Les nombreuses et vastes affirmations des virologues peuvent toutes être démontrées comme étant erronées pour les raisons suivantes : (a) l’absence de preuves directes et (b) l’invalidation des «preuves» indirectes en raison de la nature incontrôlée des expériences [c’est-à-dire l’absence de contre-expériences ou expériences de contrôle]. Les exemples fournis couvrent tous les principaux aspects de la fraude virologique, y compris le prétendu isolement, les effets cytopathiques, la génomique, les anticorps et les études de pathogénicité animale.

La deuxième partie examine la fraude utilisée pour propager la «pandémie» de COVID-19. Une analyse de la méthodologie utilisée par les inventeurs originaux, Fan Wu et coll., montre comment le SARS-CoV-2 fictif a été «créé»par des méthodes anti-scientifiques et des tours de passe-passe linguistiques. Cela fait partie d’une tromperie permanente où l’on prétend que les virus existent en les calquant sur des modèles de «virus» antérieurs. Si l’on prend l’exemple du SRAS-CoV-2, la piste des modèles génomiques de «coronavirus» remontant aux années 1980 révèle qu’il n’a jamais été démontré qu’aucune de ces séquences génétiques ne provenait de l’intérieur d’une particule virale – les arbres phylogénétiques sont des fantaisies. L’application erronée de la réaction en chaîne de la polymérase [PCR] a propagé cet aspect de la fraude virologique et créé les «cas» permettant de maintenir l’illusion d’une pandémie.

La troisième partie analyse la manière dont certains participants clés, les institutions «sanitaires» et les médias grand public entretiennent l’illusion du virus par le contrôle de l’information et des récits qui reprennent les affirmations de la virologie. Par le plus grand des hasards, la fraude virologique se retrouve aujourd’hui au cœur de la fraude COVID-19. À partir de là, cependant, elle peut être évaluée de manière critique par des personnes extérieures à la virologie et le paradigme pseudo-scientifique que la virologie a construit autour d’elle-même peut enfin être démantelé et mis au rancart. L’objectif de cet essai est de réfuter les différentes affirmations selon lesquelles les virus pathogènes existent et provoquent des maladies. Le SARS-CoV-2 a été utilisé comme principal exemple, mais les principes s’appliquent à tous les prétendus virus. Nous espérons que cette contribution comblera une lacune pour le lecteur qui recherche une compréhension plus technique de l’hypothèse du virus, car elle cherche à exposer le fondement même des prétendues pandémies et des pratiques médicales frauduleuses. La menace que représente la virologie pour l’humanité ne cesse de croître. Il est donc temps de dire adieu à ces pratiques pseudo-scientifiques destructrices et de nous libérer de nos peurs inutiles.

A-FAREWELL-TO-VIROLOGY-Expert-Edition-EnglishTélécharger

source : Nouveau Monde

Note de TAL : Sur le site santeglobale.world l’article 39 LE MYTHE DE LA CONTAGION donne aussi des informations précieuses sur ce sujet fondamental car il permet de sortir de la peur et des idées fausses !

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Crowdbunker Dr Sherry Tenpenny : “Il n’y a pas de désintoxication (de la Spike) possible.

Les injections détruisent le système immunitaire.

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ARGENT COLLOÏDAL 10 ppm

 

Un antibiotique naturel quasi universel
vieux comme le monde

 

L’ARGENT : UN ANTISEPTIQUE UTILISE DEPUIS DES SIÈCLES

 

À des époques reculées de l’Antiquité où l’on n’avait aucune idée de l’existence des bactéries et des virus, on utilisait déjà les propriétés germicides et bactéricides de l’Argent-métal.

Grecs, Perses et Romains utilisaient des récipients en argent pour stocker divers liquides (eau, vin, etc.) destinés aux souverains et à l’aristocratie. Ces liquides conservaient ainsi leur fraîcheur et leurs qualités plus longtemps que dans d’autres récipients. L’argent servait aussi à fabriquer des ustensiles de table et de cuisine, une tradition qui s’est perpétuée jusqu’à nos jours. Il semble qu’ingérer ainsi régulièrement d’infimes particules d’argent contribuait à renforcer l’immunité.

Les Macédoniens plaçaient des plaques en argent sur les blessures pour aider une cicatrisation saine et rapide.

Hippocrate vers 400 av. J.-C, enseignait que la fleur d’argent, une poudre ultra-fine, cicatrisait les blessures ulcérées.

Avicenne (980-1037), médecin et philosophe persan, utilisait l’argent pour purifier le sang, entre autres, sous forme de poudre et de pilules argentées.

Paracelse (1493-1541), l’un des plus célèbres alchimistes et médecins de la Renaissance, considéré comme le père de l’homéopathie et le précurseur de la toxicologie, enseignait l’usage médical de l’argent.

Les médecins chinois utilisaient l’argent dans la fabrication de toniques à base de plantes et pour traiter les infections, suppurations chroniques, blessures septiques, fièvres et sinusites.

Pendant la Guerre de 1914-18, des feuilles d’argent étaient utilisées pour combattre l’infection des blessures. 

En 1938, on comptait plus de 90 préparations médicales brevetées à base d’argent et parmi les fabricants, on notait le nom de grandes entreprises pharmaceutiques comme Merck, Schiff ou Park Davis & Co.

C’est certainement la tradition du thé britannique (de l’eau bouillie servie dans des théières d’argent) qui a permis à la Grande-Bretagne de survivre aux terribles miasmes de ses colonies, tant en Inde, qu’à Hong Kong et partout ailleurs.

Il était courant de placer des pièces d’argent au fond des récipients contenant du lait ou des aliments pour en préserver la fraîcheur, une méthode adoptée au 19ième siècle par les pionniers américains. 

Enfin, dans les traditions de nos grands-parents, les parrains et marraines des bébés baptisés apportaient en cadeau, une petite cuillère et un gobelet en argent.

 

NOTA : Le secret des lignées royales de « sang bleu »

 

Ce fut une croyance bien entretenue affirmant que le sang bleu était la preuve d’un don de droit divin permettant de régner (ex : lignées Capétienne, Windsor, etc). En fait, ces lignées princières mangeaient et buvaient dès leur naissance uniquement dans des couverts d’argent. À la longue, leur sang se chargeait en sels d’argent, d’où sa coloration bleutée (qui n’avait rien à voir avec le divin). En fait, ce phénomène sans conséquences s’appelle « l’argyrisme », classant celui-ci actuellement comme une maladie plus ou moins redoutable, afin de dissuader les gens d’utiliser l’argent (qui rentre en concurrence directe avec les antibiotiques).

 

On sait maintenant qu’aucun germe, aucune bactérie
 ne peut survivre au contact de l’argent.

 

LA DÉCOUVERTE SCIENTIFIQUE DE L’ARGENT COLLOÏDAL

 

Le bien-fondé de ces pratiques populaires a été démontré par les recherches modernes. On a pu déterminer que l’argent métallique se dissout dans l’eau à un taux d’environ 10 parties par milliard de molécules d’eau (10 ppm), soit 10 microgrammes par litre, et que cette dose pourtant extrêmement faible tue les colibacilles et les salmonelles. 

En 1893, Karl von Nägeli, un botaniste suisse, rapporta que des bactéries mises en contact avec une solution de nitrate d’argent titrée à 10 ppm (argent colloïdal), mouraient en trois ou quatre minutes.

En 1897, le Dr Benno Crede, introduisit l’usage en médecine de l’argent colloïdal, de l’argent sous forme de particules microscopiques dispersées dans l’eau, spéculant que l’argent colloïdal pourrait posséder les propriétés germicides des sels d’argent sans en avoir la toxicité. Par la suite, les colloïdes d’argent furent largement employés par voie interne pour lutter contre diverses infections bactériennes (septicémie, fièvres rhumatismales, arthrite blennorragique, diphtérie, méningite cérébro-spinale, etc.).

En 1929, le Dr Albert Schweitzer, rapporta que tous les pathogènes se trouvaient éliminés quand l’eau était traitée avec des particules d’argent porteuses d’une charge électrique. Le terme argent colloïdal n’était pas encore en usage. Il démontra également que ce traitement n’était pas nocif vis à vis des micro-organismes bénéfiques.

Aujourd’hui, les meilleurs filtres à eau emploient l’argent pour éviter la contamination des bougies filtrantes et de nombreuses compagnies aériennes utilisent ce filtre à bord de leurs avions.

La NASA a choisi un système de traitement de l’eau à base de colloïdes d’argent pour ses navettes spatiales. Les Russes utilisent également l’argent colloïdal pour stériliser l’eau à bord des navettes spatiales.

Aux États-Unis, certaines villes ont choisi l’argent pour le traitement des eaux usées et des piscines. Au Nébraska, on a démontré l’efficacité de l’argent colloïdal en décontaminant un bassin volontairement pollué par le colibacille. Passant dans des filtres équipés d’électrodes d’argent, cette eau a été totalement purifiée en l’espace de 3 heures.

 

UN ANTIBIOTIQUE À LARGE SPECTRE

 

En référence aux communications scientifiques médicales, l’argent sous la forme colloïdale peut se rapprocher de l’action d’un antibiotique à large spectre. Sa présence initie une enzyme, laquelle agit localement envers chaque bactérie, chaque unicellulaire, chaque champignon et chaque virus, par modification de leur équilibre acido-basique, et y installe une résistance externe. Ces organismes deviennent inactivés dans un temps de contact d’environ 6 minutes, parfois moins. Ils régressent dans leur cyclogénie, puis meurent. Cela a été vérifié par le laboratoire de UCLA (Université d’État de Californie) et par les travaux du Dr. Robert O’Becker, Centre Médical Universitaire de Syracuse (NY, USA).

Les microbes polymorphes, ainsi que les mutants, sont également sensibles à ce colloïde. La majorité des antibiotiques, sur prescription médicale, ne tue qu’une partie des agents causant des maladies, alors que l’argent colloïdal est efficace contre environ 650 maladies (travaux du Dr. Henri Crooks).

Les vétérinaires trouvent là une solution pour le parovirus du chien et d’autres maladies des petits et gros animaux. La solution d’argent colloïdal est utilisable aussi bien comme traitement curatif que comme prophylactique (préventif). Ce bouclier naturel renforce les défenses de l’organisme.

 

L’ARGENT CHÉLATEUR DU MERCURE

 

Il est bien connu que l’argent et le mercure ont une grande affinité. D’ailleurs, les amalgames dentaires classiques (plombages) sont composés d’alliages contenant entre autres du mercure et de l’argent. Or, on a pu constater récemment que cette affinité crée un tropisme réciproque au niveau cellulaire, ce qui fait que l’argent sous forme colloïdale se comporte comme un excellent chélateur du mercure. La preuve est que l’on retrouve du mercure dans les urines des personnes mercurisées qui prennent de argent colloïdal.

 

DE MULTIPLES INDICATIONS EN INTERNE ET/OU EN EXTERNE

 

  • Abcès
  • Acné
  • Adénite
  • Allergies
  • Amygdalite
  • Angine
  • Aphtes
  • Appendicite
  • Arthrite
  • Asthme bronchique
  • Blessures
  • Bronchite
  • Brûlures 2ième et 3ième degré
  • Cancer de la peau 
  • Candida albicans
  • Cicatrisation : accélère
  • Conjonctivite
  • Crohn’s : maladie de
  • Diarrhée
  • Epidémies : préventif – curatif
  • Gale
  • Grippe
  • Hépatite C
  • Hidrosadénite
  • Immunité insuffisante
  • Infections : toutes
  • Intoxication alimentaire
  • Lèpre
  • Levures
  • Lyme : maladie de
  • Maladies infantiles
  • Malaria (paludisme)
  • Moisissures
  • Mycoses
  • Oreilles : inflammation
  • Paludisme
  • Parodontose
  • Peste bubonique
  • Pied d’athlète (inflammation entre orteils)
  • Piqûres d’araignées
  • Plaies : désinfection
  • Pneumonie
  • Rhume
  • Sinusite
  • Teigne
  • Ulcère d’estomac
  • Ulcères
  • Ulcère variqueux
  • Verrues
  • Yeux : affections diverses
  • Zona

 

COMMENT UTILISER L’ARGENT COLLOÏDAL 10 ppm ?

 

En usage interne :

 

Adultes : 1 bouchon plastique de 10 à 20 ml – 3 à 4 fois par jour selon l’importance de l’infection (garder quelques minutes en bouche avant d’avaler).

* En cas d’affection lourde : 1 bouchon de 20 ml toutes les heures.

Enfants : 1 bouchon de 5 ml – 3 à 4 fois par jour.

 

NOTA : éviter l’usage d’ustensiles métalliques, le risque étant que les colloïdes d’argent se fixent sur les cuillères.

 

En usage externe :

 

 En application directe sur la peau

 En vaporisations, dans le nez et la gorge.

 

POUR SE PROCURER DE L’ARGENT COLLOÏDAL 10 ppm

 

À savoir que :

 

  1. Des fournisseurs vendent des flacons en 20 ou 30 ppm laissant croire que plus l’eau est concentrée en ppm, plus le produit est puissant, ce qui est faux. C’est l’inverse. Mon expérience (et je ne suis pas le seul) a montré que le 10 ppm est la concentration la plus efficace.
  2. La taille des micro-agglutinats colloïdaux sont d’autant plus efficaces qu’ils sont petits, et par effet inverse, moins efficaces s’ils sont gros. Or, cette grosseur est proportionnelle au courant affiché lors de l’électrolyse de production. Il est impossible de savoir lorsqu’on achète un produit si, pour des raisons de cadence, l’ampérage a été plus ou moins poussé.
  3. L’argent colloïdal doit avoir un très léger goût métallique. Or, il se vend de l’argent colloïdal qui n’a pas plus de saveur que de l’eau pure.
  4. L’agent colloïdal n’aime pas la lumière qui le fait jaunir : il faut, soit envelopper les flacons, soit les mettre dans un placard sombre.

 

COMMANDES

 

Il existe des recharge de 1000 ml et deux sprays de250 ml et 60 ml. C’est le même produit. La recharge est simplement plus économique. (Flacons en verre ambré d’ailleurs).

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NOTA : Depuis 2010, en France les fabricants d’argent colloïdal ne le commercialisent qu’en tant que cosmétique pour se conformer à la nouvelle législation européenne. Pendant ce temps aux USA la FDA (foods and drugs administration) l’autorise en complément alimentaire ! En clair, aux US on peut le boire sans danger, mais en Europe c’est dangereux… Ne serait-ce pas plutôt parce que trop efficace ?

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