Chers amis,

Puisse le printemps qui vient être le temps du renouveau, libérés des délires de toutes ces autorités qui sont devenues des marionnettes manipulées par les mondialistes-transhumanistes dont les manigances et les jeux de pouvoir sont de plus en plus mis en lumière. A nous de faire circuler ces informations qui donnent la parole aux éveilleurs, aux lanceurs d’alerte et à ces scientifiques qui n’ont pas vendu leur âme à BIG PHARMA !

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Le scandale et l’arnaque des tests PCR : des

milliards d’euros engloutis

par Yoann

Pour entretenir la «crise sanitaire» en France, les tests PCR et antigéniques ont été une arme

redoutable. Leur coût exponentiel a atteint des proportions astronomiques, dépassant les 8,8

milliards d’euros. Pendant ce temps, le coût de construction d’un

hôpital est estimé à environ 300 millions d’euros… Ces chiffres révèlent un dysfonctionnement majeur (volontaire ?) dans les priorités gouvernementales,

mettant en lumière une gestion chaotique de la crise par le président Emmanuel Macron et son administration. Il est temps de remettre en question les choix

politiques et de demander des comptes sur la manière dont les fonds publics sont dépensés.

Des tests inutiles, des coûts exorbitants.

Le coût exorbitant des tests PCR et antigéniques dépasse largement les

estimations initiales. Avec plus de 8,8 milliards d’euros dépensés, il est

impératif de se demander si cet argent a été utilisé de manière judicieuse. Les tests, dont l’utilité reste plus que discutable, ont été présentés comme un outil

essentiel dans la lutte contre la pandémie. Cependant, alors que les gens attendent dans les couloirs des urgences, le contraste entre les milliards dépensés pour les tests et l’insuffisance des ressources hospitalières est flagrant.

La tromperie généralisée

Les politiciens et les médias ont martelé l’idée que les tests étaient gratuits, ce qui s’est avéré être une tromperie flagrante. Les mensonges délibérés du gouvernement ont sapé la confiance du public et ont détourné l’attention des véritables problèmes de santé publique. On espère qu’il est clair maintenant pour une majorité de nos concitoyens

que l’objectif principal était de semer la peur et de gonfler artificiellement le nombre de cas, peu importe le coût financier ou moral.

Une gestion incompétente

La priorité donnée aux tests PCR au détriment de l’investissement dans des infrastructures de santé solides révèle l’incompétence et les priorités

tordues du gouvernement Macron. Alors que les hôpitaux croulent sous la pression et que les patients souffrent des conséquences de

décisions politiques erronées, il est clair que la rhétorique spectaculaire de Macron ne peut masquer l’inefficacité de son administration.

Profiteurs et défaillances

Pendant que les actionnaires se remplissent les poches et que les capitaux fuient vers des paradis fiscaux, l’hôpital public français est en train de s’effondrer.

Des milliards ont été gaspillés pour entretenir un récit de pandémie catastrophique, tandis que les besoins réels de la population sont ignorés. Cette gestion désastreuse met en évidence une crise bien plus profonde que celle du simple domaine de  la santé.

source : Le Média en 4-4-2v

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Suisse : La révision de la loi sur les

épidémies instaure le régime de surveillance

de «la santé mondiale»

par CovidHub

Des professionnels et des citoyens inquiets appellent à répondre à la consultation sur leprojet avant le 22 mars.

Le 29 novembre 2023, le Conseil fédéral a ouvert la procédure de consultation relative à la révision partielle de la loi sur les épidémies. Peu débattu, le projet introduit pourtant des changements fondamentaux en faisant passer les mesures d’exception de la loi Covid dans le droit ordinaire. Avec les certificats de vaccination, le dépistage, le traçage et d’autres interventions controversées, la loi confirme le passage de la surveillance des maladies à la surveillance des personnes.

Elle opère aussi un transfert d’autorité à l’OMS dans le cadre du «traité» sur les

des amendements au Règlement sanitaire international, dont les textes ne seront

communiqués qu’à la veille du vote ( ! C’est ingénieux pour empêcher les gens de réfléchir et de se  concerter) lors de la prochaine Assemblée mondiale de la santé, le 27 mai 2024. «La santé mondiale» évoquée dans la loi viendrait discrètement supplanter lesnpolitiques nationales et les droits constitutionnels, qui garantissent la liberté du choix des  patients et la pluralité des approches thérapeutiques. C’est pourquoi de nombreux citoyens lancent l’alerte en invitant la population et les parties concernées à réagir avant qu’il ne soit trop tard.

Nouvelles atteintes aux libertés

La nouvelle version de la loi sur les épidémies semble bétonner dans la loi les mesures prises lors de la crise du Covid, sans se soucier des droits et libertés

inscrits dans la Constitution. Le texte énumère une série de menaces

potentielles sur la santé publique auxquelles seul un lourd régime de centralisation, de numérisation, de surveillance, et d’obligations semble pouvoir répondre.

Plusieurs dispositions vont plus loin que les contraintes imposées lors de la période Covid.

L’on voit par exemple se profiler discrètement les obligations vaccinales, alors qu’elles constituent une violation de l’intégrité physique, un droit fondamental pourtant considéré comme inviolable en Suisse.

Un autre renforcement des mesures concerne la liberté de se réunir

L’article 40 de la nouvelle loi entend à présent réglementer de manière plus systématique et restreinte la collecte des coordonnées des personnes, les activités de travail àdomicile ou les manifestations dans l’espace public.

Le retour du certificat sanitaire

Sans trop de surprise, le certificat sanitaire fait son retour, malgré l’opposition de près de la moitié des Suisses à son utilisation et le rejet par la population de l’identité numérique. La loi confère au Conseil fédéral la possibilité de définir un document pour entrer et sortir d’un autre pays, et il pourra bien entendu être relié à des systèmes étrangers correspondants.

L’on bascule ainsi de l’actuelle logique de déclaration des maladies à une obligation de déclarer des personnes. L’article 12 prévoit la déclaration «d’informations permettantd’identifier les personnes malades, présumées malades, infectées, présumées infectées

our le Dr Philippe Vallat, expert indépendant en santé publique, il s’agit d’un véritablechangement de paradigme :

«Nous ne serons plus considérés comme malades parce que nous le ressentons ainsi, ou parce qu’un médecin l’aura déterminé, mais administrativement par défaut.

Cela établirait un nouveau paradigme médical basé sur une suspicion généralisée, tout un chacun étant a priori «présumé» malade ou infecté. Cela conduirait à la nécessité de devoir prouver qu’on n’est pas contagieux, et donc pas dangereux pour les autres. Comment ? Le projet n’en dit rien.

Par ailleurs, la loi semble reprendre des contenus du Traité pandémique CA+ de l’OMS et de la révision du règlement sanitaire international, alors que ceux-ci ne seront connus qu’à l’issue des négociations en cours.

.L’OMS étendrait aussi son champ de compétences, en particulier avec des concepts fourre- tout comme «One Health», la notion «une seule santé» grâce à laquelle elle pourrait s’occuper aussi du climat, des animaux, de l’agriculture, de l’éducation ou des transports pour ne citer que quelques domaines concernés.

C’est pareil avec la notion d’«infodémies» et de sa stratégie de «la lutte contre la désinformation». L’organisation semble vouloir se transformer en «ministère de la vérité scientifique», avec ses campagnes de censure et de propagande. Elle compte obliger les États à combattre les sources de «désinformation» et leurs auteurs dans les divers médias et sur les réseaux sociaux.

Il faut aussi se rappeler quelques chiffres essentiels : la mise en œuvre des mesures prévues dans la nouvelle loi sur les épidémies a été

disproportionnée. L’épisode du Covid qui a drainé plus de 9 milliards de francs et où 18 millions de doses de vaccins Covid ont été inutilisées, est un énorme gaspillage de ressources.

95% des morts du Covid étaient des malades chroniques.

Les maladies infectieuses ne représentent que 1% des décès et la maladie ne s’est pas révélée plus dangereuse qu’une grippe saisonnière. Les notions de

«pandémie» et d’«épidémie» sont à remettre en cause et les données scientifiques attestant des risques de futures pandémies sont faibles.

Par conséquent, si la dangerosité particulière en Suisse ne peut pas être établie, il n’y a pas de base légale pour voter la révision partielle de la loi sur les épidémies.

Consulter des documents complémentaires sur la Loi sur les épidémies sur Réinfosante.ch

source : CovidHub

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AIMSIB

Haut du formulaireBas du formulaireCovid-19 est bien une création humaine

par La rédaction de l’AIMSIB

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Restons cette semaine encore aux USA car si leur responsabilité est écrasante à tous les niveaux dans la gestion de la crise de la Covid, certaines de leurs personnalités de poids montrent qu’ils ont à coeur d’en tirer des leçons définitives pour l’avenir. Les apprentis-sorciers du gain de fonction avec des milliards de dollars de détournements issus de nos comptes sociaux ça suffit, voici l’article d’humeur qu’a publié le Dr Joseph Mercola (*), star des plateaux et auteur prolixe (**) à propos des magouilles orchestrées par toujours les mêmes et que l’Europe, en fidèle vassal de Washington, feint de ne pas voir. Bonne lecture.

Pour ceux qui veulent plus de détails, bientôt la synthèse et mise à jour des connaissances sur l’origine du virus par Hélène Banoun, qui vous révélera des éléments qui sont encore tabous aux USA.

Selon le sénateur américain Rand Paul, auteur de « Deception : The Great COVID Cover-Up », la pandémie de COVID-19, qui a tué des millions de personnes est le résultat de la décision d’Anthony Fauci de financer de dangereuses recherches sur les gains de fonction en Chine.

blog120c

De nouvelles preuves obtenues par US Right to Know (USRTK) renforcent encore la théorie selon laquelle le SRAS-CoV-2 a été fabriqué en laboratoire. Les nouvelles caractéristiques trouvées dans le SRAS-CoV-2 correspondent aux paramètres de recherche présentés dans une proposition de subvention de 2018 par EcoHealth Alliance pour mener des recherches sur le gain de fonction sur les coronavirus de chauve-souris. EcoHealth et l’Institut de virologie de Wuhan (WIV) étaient bien conscients du potentiel que cette recherche pourrait déclencher une pandémie humaine. Un mémo de planification contient une note indiquant : « Nous DEVONS indiquer clairement dans la proposition que notre approche ne pilotera pas l’évolution dans le mauvais sens, par exemple entraînera l’évolution d’une souche plus virulente qui deviendra ensuite pandémique. »

À l’heure actuelle, la recherche sur les gains de fonction est autorisée à condition qu’elle soit menée dans le but de créer un vaccin, ce qui est une erreur logique. Nous n’avons jamais été capables de construire de manière préventive un agent pathogène qui apparaîtrait plus tard au cours de l’évolution naturelle. Nous créons de nouveaux agents pathogènes qui n’existent pas dans la nature, puis développons des vaccins contre ceux-ci.

En d’autres termes, nous créons des armes biologiques et des antidotes à ces armes biologiques, et cela doit cesser.

La recherche qui était officiellement interdite aux États-Unis à l’époque et qui aurait dû au minimum être effectuée sous la surveillance des États-Unis, ne l’a pas été. Ajoutant l’insulte à l’injure, Fauci a personnellement profité de la catastrophe à hauteur d’environ 5 millions de dollars. «Le Congrès a été induit en erreur par Anthony Fauci», a déclaré Paul au journaliste désormais indépendant Tucker Carlson. « En fin de compte, il mérite d’être en prison. »

De nouvelles preuves indiquent fortement que le SRAS-CoV-2 a été créé

Dans un article [1] du 25 janvier 2024 du City Journal, l’écrivain scientifique, rédacteur en chef et auteur Nicholas Wade détaille de nouvelles preuves [2] obtenues par US Right to Know (USRTK) qui renforcent encore la théorie selon laquelle le SRAS-CoV-2 a effectivement été créé en un laboratoire [3]. Comme l’a noté Wade, c’est la principale raison pour laquelle personne, malgré des efforts de tests massifs, n’a été en mesure de trouver le SRAS-CoV-2 chez un animal sauvage, chauve-souris ou autre. Cela n’a jamais existé dans le monde naturel, seulement en laboratoire.

Les documents récemment obtenus incluent ce qui équivaut à une recette pour « assembler des virus de type SRAS à partir de six morceaux d’ADN synthétiques conçus pour constituer une séquence consensus – la forme génétiquement la plus infectieuse – de virus liés au SRAS1, le virus de chauve-souris qui a causé la maladie mineure ». épidémie de 2002 », écrit Wade. Il s’avère que le SRAS-CoV-2 a exactement cette structure en six sections.

Les documents montrent également que « des scientifiques américains prévoyaient de travailler avec l’Institut de virologie de Wuhan pour concevoir de nouveaux coronavirus présentant les caractéristiques du SRAS-CoV-2 un an avant l’émergence du virus dans cette ville », écrit la journaliste de l’USRTK Emily Kopp. [4]

La proposition DEFUSE fournit la recette

En mars 2018, l’EcoHealth Alliance, dirigée par Peter Daszak, a demandé une subvention de 14,2 millions de dollars pour mener des recherches sur le gain de fonction sur les coronavirus de chauve-souris dans des laboratoires de recherche de Californie, de Caroline du Nord, de New York, du Wisconsin, de Singapour et de Wuhan. La proposition, baptisée « Projet DEFUSE », décrit comment les scientifiques : [5]

  • Insèrent les sites de clivage de la furine à la jonction S1/S2 de la protéine de pointe,
  • Assemblent les virus synthétiques en six segments,
  • Identifient les coronavirus qui ne diffèrent pas de plus de 25 % du SRAS1,
  • Sélectionnent les domaines de liaison aux récepteurs aptes à infecter les récepteurs ACE2 humains.

Le SRAS-CoV-2 correspond aux paramètres de recherche DEFUSE

Comme l’explique Kopp [6], le SARS-CoV-2 fait correspondre ces paramètres de recherche au T. Il possède un site de clivage de la furine dans la protéine de pointe à la jonction S1/S2, et son génome peut être divisé en six chaînes d’ADN uniformément espacées en utilisant enzymes de restriction appelées BsaI et BsmBI. Il est peu probable que cet espacement uniforme se produise dans les génomes des virus naturels.

La raison pour laquelle les scientifiques assemblent des virus à l’aide de morceaux d’ADN uniformément espacés est parce que c’est plus facile à manipuler. Cela leur permet de synthétiser chimiquement les morceaux individuels, puis de les assembler pour créer un génome complet. Cette « empreinte digitale » synthétique révélatrice trouvée dans le génome du SRAS-CoV-2, a été détaillée dans une prépublication de 2022 par Bruttel et. Al. [7] Comme l’a noté Wade, [8] l’essentiel est que « si votre virus a des sites de reconnaissance régulièrement espacés, il y a fort à parier qu’il a été créé dans un laboratoire ». Il s’avère que le projet de proposition DEFUSE comprenait même un bon de commande pour BsmBI – un fait souligné par Bruttel dans un message Twitter/X. [9]

Les variations génomiques du SRAS-CoV-2 se situent également dans la plage de 25 % indiquée dans la proposition, et ses domaines de liaison aux récepteurs ont été optimisés dès le départ pour les récepteurs ACE2 humains, ce qui lui a permis de se propager comme une traînée de poudre. Wade écrit : [10] « La découverte de la nouvelle recette renforce certainement la possibilité que l’espacement régulier des sites de reconnaissance BsaI et BsmBI dans le SRAS2 soit la signature d’une origine synthétique ».

En effet, Richard H. Ebright, biologiste moléculaire à l’Université Rutgers, qui avait qualifié l’article de 2022 de « remarquable… mais pas décisif », affirme désormais que les preuves contenues dans les nouveaux documents « élèvent les preuves fournies par la séquence du génome du niveau supérieur ». Remarquable similitude avec un pistolet fumant.

Matt Ridley, co-auteur de « Viral : The Search for the Origin of COVID-19 » est d’accord, notant que toutes les nouvelles caractéristiques du SRAS-CoV-2 sont expliquées par les méthodes de recherche proposées détaillées dans les documents DEFUSE. « Jeu terminé. » Ridley a écrit. [11]

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« Les dernières révélations confirment avec précision que toutes les nombreuses caractéristiques suspectes du SRAS-CoV-2 qui impliquent qu’il est d’origine humaine ont été exposées de manière exhaustive dans la proposition DEFUSE à laquelle l’Institut de virologie de Wuhan était partenaire. »

EcoHealth était bien conscient des risques de pandémie

Selon le projet DEFUSE obtenu par l’USRTK, le plan était de synthétiser entre huit et seize souches de virus de chauve-souris de type SRAS ayant un potentiel de propagation chez l’homme, afin de créer un vaccin qui serait ensuite utilisé sur les chauves-souris dans les régions où il y a une activité militaire.

Il est important de noter qu’EcoHealth et l’Institut de virologie de Wuhan (WIV) étaient bien conscients du potentiel que cette recherche pourrait déclencher une pandémie humaine. Un mémo de planification contient une note indiquant : « Nous DEVONS indiquer clairement dans notre proposition que notre approche ne pilotera pas l’évolution dans le mauvais sens, par exemple entraînera l’évolution d’une souche plus virulente qui deviendra alors pandémique » [12].

À l’heure actuelle, il semblerait que ce soit exactement ce qui s’est passé. Un virus synthétique a été concocté et s’est échappé d’une manière ou d’une autre du WIV. Que ce soit intentionnel ou non, c’est une autre affaire. Quoi qu’il en soit, la morale de l’histoire est que la recherche sur le gain de fonction présente d’énormes risques pour la santé publique, et si le risque de pandémie existe, alors la recherche ne devrait probablement pas être autorisée.

Des documents montrent des pratiques trompeuses pour obtenir des subventions

Une autre chose que révèlent ces nouveaux documents est la manière dont Daszak a utilisé des indications erronées pour tenter de tromper le gouvernement américain sur l’endroit où cette recherche manifestement risquée serait menée. Même s’il avait bien l’intention de faire réaliser une grande partie du travail au WIV, il a minimisé le rôle des chercheurs chinois et a donné l’impression que la recherche serait menée aux États-Unis.

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Peter Daszak

La Defense Advanced Research Projects Agency (DARPA) a finalement rejeté [13] la proposition en raison de « faiblesses importantes », notamment le fait que la proposition ne comportait aucune sorte d’évaluation des risques ni de plan d’atténuation des risques.

La question de savoir si quelqu’un d’autre a fourni le financement et, si oui, qui, reste ouverte. Tel que rapporté par Wade [14] : « La proposition DEFUSE a été rédigée par Peter Daszak, directeur de l’EcoHealth Alliance à New York, avec des partenaires dont Shi Zhengli de l’Institut de virologie de Wuhan et Ralph Baric de l’Université de Caroline du Nord…

Certains observateurs estiment que lorsque la DARPA a refusé de financer le projet, les membres chinois du groupe ont peut-être décidé de trouver leur propre financement et d’aller de l’avant unilatéralement. Cela est plausible, dans la mesure où Baric et Shi étaient des collaborateurs mais aussi des rivaux. Baric étant bloqué faute de fonds de la DARPA, Shi aurait peut-être vu l’occasion de prendre les devants si elle pouvait acquérir des fonds auprès de sources chinoises.

Daszak, le chef du projet, avait en tout cas prévu de confier une grande partie du travail à l’équipe de Shi à Wuhan, même si cela impliquait de tromper le ministère de la Défense en lui faisant croire que l’essentiel des recherches serait effectué par Baric aux États-Unis. Dans une note trouvée dans les nouveaux documents, Daszak a écrit : « Si nous remportons ce contrat, je ne propose pas que tout ce travail soit nécessairement réalisé par Ralph, mais je tiens à souligner le côté américain de cette proposition afin que la DARPA soit à l’aise avec notre équipe. Une fois que nous aurons obtenu les fonds, nous pourrons alors répartir qui fait quel travail exact, et je crois qu’un grand nombre de ces analyses peuvent être effectuées à Wuhan ».

Daszak est directeur de recherche, pas virologue, et n’a peut-être pas pleinement compris les conséquences de cette décision. Le projet DEFUSE, s’il avait été entrepris par Baric, aurait été réalisé dans le deuxième niveau de sécurité le plus élevé, connu sous le nom de BSL-3, car Baric pensait que la manipulation des virus liés au SRAS était un travail dangereux et a mené ses recherches dans un laboratoire BSL-3.

Les Chinois étaient moins impressionnés par les dangers. Shi a travaillé sur des virus liés au SRAS principalement dans des laboratoires BSL-2, qui ont des exigences de sécurité minimales, bien qu’elle ait testé les virus sur des souris humanisées dans des conditions BSL-3.

Lorsque le SRAS2 est apparu pour la première fois dans le monde, il possédait toutes les propriétés uniques que l’on peut attendre d’un virus fabriqué selon la recette DEFUSE. Au lieu de développer lentement la capacité d’attaquer les cellules humaines, comme doivent le faire les virus naturels lorsqu’ils passent des animaux aux humains, le SRAS2 était immédiatement infectieux pour les humains, peut-être parce qu’il avait déjà été adapté chez des souris de laboratoire humanisées aux récepteurs des cellules humaines…

Malgré des recherches intensives, aucun précurseur du SRAS2 n’a été trouvé dans la nature. Compte tenu de la date de 2018 de la proposition DEFUSE, les chercheurs de Wuhan auraient pu synthétiser le virus d’ici 2019, ce qui explique parfaitement le moment autrement inexpliqué de la pandémie de COVID-19 ainsi que son lieu d’origine. Tout s’accorde. »

Leçons de la grande dissimulation du COVID

Dans un article du 1er novembre 2023, le sénateur Paul a passé en revue ce que nous avons appris de « la grande dissimulation du COVID » [15] :

« La dissimulation du COVID a commencé en Chine. Mais d’une certaine manière, nous en faisons trop grand cas. Personne ne devrait être surpris qu’un gouvernement totalitaire dirigé par le Parti communiste chinois cherche à dissimuler sa responsabilité dans une pandémie mondiale. Ce qui était ahurissant – et sur lequel nous devrions concentrer notre attention – c’est la dissimulation dans notre propre pays menée par le Dr Anthony Fauci et ses collègues bureaucrates de la santé publique ».

Et ils auraient pu s’en tirer avec leur tromperie si un juge fédéral n’avait pas ordonné la divulgation de leurs courriels. En bref, ces courriels révèlent qu’au même moment où le Dr Fauci et d’autres « experts » de la santé publique désavouaient publiquement l’idée que le virus COVID provenait d’une fuite de l’Institut de virologie de Wuhan en Chine, ils étaient globalement d’accord entre eux. que c’était probablement ce qui s’était passé. Alors pourquoi cacher ce fait ?

Selon Paul, Fauci et ses collaborateurs ont choisi de cacher la vérité parce que celle-ci révélerait leurs actions potentiellement criminelles. En tant que directeur des Instituts nationaux des allergies et des maladies infectieuses (NIAID), Fauci avait financé des recherches risquées sur les gains de fonction au WIV – un laboratoire de qualité inférieure en termes de sécurité.

De plus, il a permis à cette recherche d’avancer même s’il y avait un moratoire sur la recherche sur le gain de fonction aux États-Unis. Ce moratoire a été mis en place justement parce que les experts craignaient que le risque de créer une pandémie humaine soit trop élevé.

Fauci cache-t-il une conscience coupable ?

Avec le recul, ils avaient raison, et si le SRAS-CoV-2 était admis comme étant un virus d’origine humaine provenant d’un laboratoire, la seule réponse rationnelle serait de demander des comptes aux parties responsables et d’arrêter définitivement ce type de recherche. Il ne fait aucun doute que cette perspective aurait terrifié Fauci et toutes les autres personnes impliquées.

Selon Paul, la conscience de Fauci l’empêchait de dormir se reflétait dans le fait qu’il envoyait des e-mails au milieu de la nuit au début de la pandémie au lieu d’être confortablement blotti dans son lit. Un e-mail à 3 heures du matin a été envoyé à Robert Kadlec, alors secrétaire à la préparation et à la réponse à la santé et aux services sociaux. « Cela vient de sortir aujourd’hui. Donne une vision équilibrée », a écrit Fauci. Ci-joint se trouvait un article de Science plaidant en faveur d’une origine zoonotique du virus et discréditant la théorie des fuites en laboratoire. «Lorsque cet e-mail a été découvert, j’ai d’abord été perplexe quant à son timing et à son urgence», écrit Paul. « Mais j’ai ensuite appris que l’une des tâches de Kadlec était de présider le comité chargé d’examiner les propositions de gain de fonction à des fins de sécurité – et que la proposition de recherche sur le coronavirus de Wuhan n’a jamais été soumise à son comité ! »

En d’autres termes, Paul pense que Fauci a envoyé cet e-mail à Kadlec pour cacher le fait qu’il avait accepté une recherche sur le gain de fonction qui aurait dû se retrouver sur le bureau de Kadlec pour un examen de sécurité, mais ne l’a pas fait.

Comportement digne d’un complot

D’autres comportements suggèrent également que Fauci et ses collaborateurs paniquaient à l’idée que le COVID puisse être attribué à leurs propres activités. Paul écrit : « Jeremy Farrar, l’Anthony Fauci du Royaume-Uni, a déclaré à son frère qu’au début de la pandémie, quelques scientifiques, dont moi, commençaient à soupçonner qu’il pourrait s’agir d’un accident de laboratoire ». Farrar écrit dans son livre Spike : « Pendant cette période, je faisais des choses que je n’avais jamais faites auparavant : acquérir un téléphone portable, tenir des réunions clandestines, garder des secrets difficiles ». En effet, de nombreux bureaucrates occidentaux, notamment aux États-Unis, ont commencé à utiliser diverses formes de communication pour protéger leurs messages des futures demandes d’informations. Nous avons un e-mail de l’un des assistants de Fauci demandant aux autres employés du gouvernement d’éviter d’utiliser les adresses e-mail du gouvernement. Ce qui, soit dit en passant, est un crime.

Et puis il y a les articles publiés dans des revues scientifiques qui « démystifient » – sans présenter la moindre preuve – l’idée selon laquelle le SRAS-CoV-2 pourrait être d’origine humaine, et condamnent « les théories du complot suggérant que le COVID-19 n’a pas d’origine naturelle ». » Après une enquête plus approfondie, eux aussi ont été liés à des coupables clés qui sont fortement incités à cacher la vérité, y compris Fauci.

Nous devons mettre un terme à la recherche sur les gains de fonction

Comme l’a noté Paul, le nombre de scientifiques s’inquiétant d’une autre fuite de laboratoire aux conséquences bien plus désastreuses est en augmentation [16] : « Avec le COVID, le taux de mortalité était bien inférieur à 1 %. Des expériences sont actuellement menées avec des virus susceptibles d’entraîner des taux de mortalité compris entre 15 et 50 pour cent ». En 2021, le biochimiste du MIT Kevin Esvelt a écrit : « Une fois que nous considérons la possibilité d’une mauvaise utilisation [de la recherche sur les gains de fonction], sans parler d’une mauvaise utilisation créative, une telle recherche ressemble à un pari que la civilisation ne peut pas se permettre de risquer… J’implore tous les scientifiques, bailleurs de fonds et nations qui travaillent dans ce champ : Veuillez arrêter ».

Plus besoin d’essayer de découvrir ou de créer des virus capables de provoquer une pandémie, d’améliorer leur virulence ou de les assembler plus facilement. Il n’est plus nécessaire de tenter de savoir quels composants permettent aux virus d’infecter ou de se répliquer efficacement dans les cellules humaines, ni de concevoir des moyens héréditaires d’échapper à l’immunité. Fini les expériences susceptibles de diffuser des plans pour des épidémies.

Le potentiel de catastrophe ne peut être sous-estimé. À l’heure actuelle, les gens peuvent commander de l’ADN synthétique sur Internet, et s’ils savent ce qu’ils font, ils peuvent fabriquer le virus de la polio, parmi tant d’autres…

Les informations requises sont accessibles au public grâce aux initiatives financées par les contribuables pour identifier tous les virus dans le monde. Avec le soutien de personnes comme Peter Daszak et Bill Gates, les États-Unis sont depuis des décennies le principal bailleur de fonds international pour l’identification des virus pandémiques. Cela devrait nous faire réfléchir : ces programmes consistent à extraire des virus rares de grottes où les humains pourraient ne jamais les rencontrer et à les transporter vers les principales zones métropolitaines, à manipuler les virus pour les rendre plus dangereux et transmissibles, et à publier les connaissances qui en résultent dans le monde.

Même si l’objectif est de prévenir de futures pandémies, le rapport bénéfice/risque ne tient pas la route. Alors que les partisans de l’identification des virus dans le monde affirment que les connaissances acquises aideront au développement de vaccins, des décennies d’identification des virus ont été infructueuses, car aucun vaccin humain n’a été développé AVANT une épidémie humaine.

Si nous continuons dans cette voie, Esvelt estime que les « pandémies délibérées » tueront « beaucoup plus de personnes que ce que l’identification pourrait sauver ». Penser que nous pouvons prévenir de futures pandémies, même si nous continuons à rechercher, cataloguer et manipuler des virus dangereux, est le comble de l’orgueil.

Au cours des dernières années, les « experts » en santé publique se sont trompés sur presque tout. Si nous voulons éviter ce genre de catastrophes à l’avenir, nous devons réformer le gouvernement et maîtriser les scientifiques incontrôlables et leurs facilitateurs.

Je ne pourrais pas être plus d’accord. Nous devons mettre un terme à la recherche sur les gains de fonction pour la sécurité de l’humanité, et ne pas permettre que l’avidité ou la simple curiosité scientifique conduisent à la création d’un agent pathogène qui pourrait anéantir l’humanité.

Le projet de loi de dépenses de 2022 contient une directive adressée au secrétaire à la Santé et aux Services sociaux, à la page 3 354, interdisant de « financer la recherche menée par une entité étrangère dans une installation située dans un pays préoccupant… impliquant des agents pathogènes à potentiel pandémique ou des agents ou toxines biologiques». [17]

C’est un pas dans la bonne direction, mais comme le souligne Paul, « les Américains et leurs représentants doivent surveiller attentivement si nos agences de santé publique tentent de l’éviter ».

À cette fin, un groupe de réforme du gain de fonction recommande désormais que les expériences de gain de fonction qui confèrent une « transmissibilité humaine efficace » à un agent pathogène soient réglementées. Cela « empêcherait explicitement les bureaucrates comme Fauci de danser autour de la définition du gain de fonction et de détourner le regard alors que les chercheurs créent des virus qui se propagent plus facilement chez les humains », écrit Paul.

Nous créons des armes biologiques et des antidotes à ces armes biologiques, et cela doit cesser.

À l’heure actuelle, la recherche sur les gains de fonction est autorisée à condition qu’elle soit menée dans le but de créer un vaccin, ce qui est une erreur logique.

Nous n’avons jamais été capables de construire de manière préventive un agent pathogène qui apparaîtrait plus tard au cours de l’évolution naturelle.

Non, nous créons de nouveaux agents pathogènes qui n’existent pas dans la nature, puis nous développons des vaccins contre ceux-ci. En d’autres termes, nous créons des armes biologiques et des antidotes à ces armes biologiques, et cela doit cesser. Pour que cela se produise, le public doit commencer à « faire du bruit » afin que nos élus commencent à comprendre que nous ne permettrons pas que cette question soit ignorée.

Dr Joseph Mercola

L’article original peut être lu à cette adresse : https://media.mercola.com/ImageServer/Public/2024/February/PDF/the-great-covid-cover-up-pdf.pdf

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La guerre en Ukraine terminée ?

 

Franck PengamGéopolitique Profonde 

Victoria Nuland, la diplomate américaine au troisième rang et souvent critiquée pour ses positions bellicistes sur la Russie et ses actions en Ukraine, quittera son poste ce mois-ci, a annoncé mardi le département d’État. Diplomate de carrière ayant servi comme secrétaire d’État adjointe pour l’Europe sous Obama, est revenue au gouvernement comme Sous-secrétaire d’État aux affaires politiques sous le gouvernement de Biden. Ayant servi à l’ambassade des États-Unis à Moscou dans les années 1990, elle était présente lors de la tentative de coup d’État contre Boris Eltsine. Avant cela, elle avait été ambassadrice auprès de l’OTAN et porte-parole du département d’État sous Hillary Clinton.

Le 11 décembre 2013, en tant que secrétaire d’État adjointe américaine, elle est arrivée au cœur du mouvement de Maïdan pour offrir des collations aux manifestants opposés à Lanoukovitch. Bien que l’objectif officiel ait été le rapprochement de l’Ukraine avec l’UE, l’intention réelle des États-Unis était de provoquer une réaction belliqueuse. Les médias russes ont qualifié cette action de “distribution de friandises du département d’État américain”. Il est intéressant de se demander ce qu’il en serait si un secrétaire d’État russe distribuait des encas aux manifestants sur les ronds-points des Gilets Jaunes…

Vous l’aurez compris, c’est un pur produit du deep state américain, infiltré en Ukraine pour déstabiliser et faire bouger les pions au bon vouloir de la CIA dans cette région. Après l’annexion de la Crimée en 2014, elle a défendu ardemment l’Ukraine, ce qui prévenait des troubles que nous vivons actuellement. 

On peut la considérer comme l’architecte suprême de la guerre en Ukraine, du moins pour les personnes sur place. Elle avait déclaré, comme l’actuel président Biden, que NordStream 2 serait détruit en cas d’intervention Russe en Ukraine. Toute sa carrière au Département d’État américain est imprégnée du sang de MILLIONS d’Ukrainiens et de Russes, et ce n’est aucunement une hyperbole. 

Nuland sera remplacée temporairement par John Bass, un diplomate de carrière qui a été ambassadeur en Afghanistan et qui est présentement secrétaire d’État adjoint à la gestion. Sa démission est une indication assez claire, d’une part, que le retour de Trump au pouvoir est de plus en plus probable. D’autre part, que la guerre par procuration américaine en Ukraine est officiellement perdue et est pratiquement terminée.

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Faina Savenkova : Macron, c’est une guerre jusqu’au dernier Français

La jeune auteure et journaliste de Lougansk, Faina Savenkova, a écrit une nouvelle lettre ouverte à Emmanuel Macron, après ses

déclarations laissant penser que la France serait prête à entrer en guerre avec la Russie. Il faut rappeler qu’après sa première lettre ouverte à Emmanuel Macron, Faina Savenkova avait reçu une réponse lénifiante du chef de cabinet du président français, l’assurant que ce dernier ferait tout pour éviter la guerre. La suite des événements et les livraisons continues d’armes françaises à l’Ukraine, malgré l’usage qu’elle en fait pour tuer délibérément des civils, avait récemment amené Faina à accuser Emmanuel Macron de faire de la France un pays parrain

du terrorisme.

« J’ai lu un jour aux informations qu’une Française avait traité le président Macron d’ordure. Pour cela, la pauvre femme a commencé à être persécutée par le système judiciaire de ce pays. Je pense que ce serait une erreur d’insulter

votre président avec de tels propos. Bien sûr, ce n’est pas une

ordure. Il est pire. C’est un criminel de guerre, comme tout son gouvernement. Pourquoi est-ce que je dis cela et pourquoi ai-je le droit de le faire ? La France, tout comme l’Allemagne, a promis un jour de contribuer au rétablissement de la paix en Ukraine. Mais en même temps, ils armaient l’Ukraine et la préparaient à la guerre avec la Russie.

Vous direz que je suis une adolescente qui en a entendu parler via la propagande russe ? Mais ce n’est pas ce qu’on dit dans Russia Today, c’est ce que disent d’anciens dirigeants allemands et d’autres pays européens.

Parlons maintenant de pourquoi j’ai le droit de dire au président Macron qu’il est un menteur et un criminel de guerre. Monsieur Macron, je suis une adolescente vivant dans le Donbass pendant toutes ces années de terrible agression de l’Ukraine contre son ancien peuple. Et toutes les armes que vous fournissez à l’Ukraine

représentent un danger pour ma famille. Nous vivons sous les bombardements par votre faute. Vous et le reste des pays occidentaux êtes en guerre jusqu’au dernier Ukrainien, mais cela ne vous suffit pas. Vous voulez envoyer

des troupes de l’OTAN en Ukraine, pour que votre pays combatte jusqu’au dernier Français, pour que

les Français sachent ce que signifient la mobilisation et la mort de proches, des villes détruites. Et qui en

bénéficiera ? Bien sûr les États-Unis. Comme toujours. Il est peu probable que Macron m’entende, mais je n’attends plus aucune réaction de sa part. Un homme fuyant les agriculteurs et proposant de

détruire la France et de condamner ses habitants à la destruction…

Monsieur Macron, vous n’êtes pas une ordure, vous êtes bien pire. Mais c’est le choix des Français : vivre

en paix ou être détruits dans le feu de la troisième guerre mondiale… »

source : International Reporters

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MACRON PROCHE DE LA DEBACLE :

 

https://www.profession-gendarme.com/carlson-un-grand-journaliste-americain-sinteresse-a-brichel-von-de-leyen-scandale-financier/

 

Qui sème le vent récolte la tempête. De nouveaux rebondissements à prévoir, qui risquent de rendre de plus en plus fébrile Macron. Son intervention, fâcheusement menaçante et accusatoire, il y a quelques jours, pour nier les rumeurs, qui courent à propos de Brigitte Macron, a déclenché l’intérêt d’un grand journaliste états-unien, Tucker Carlson, qui n’est autre que celui qui vient d’interviewer Vladimir Poutine (3 milliards de vues). Il va interroger Xavier Poussard, le directeur de la revue « Faits et Documents », qui accumule les éléments, troublants pour le moins, tendant à démontrer qu’il y aurait effectivement usurpation d’identité
A lire sur le site « altersexualité » de Lionel Labosse : https://altersexualite.com/spip.php?b…
Pour s’informer et comprendre, l’autre site à visiter, celui de Alain Beyrand, avec son volumineux dossier Pressibus : http://pressibus.free.fr/gen/trogneux…

Ou encore !

http://pressibus.free.fr/gen/trogneux/index.html

 

http://pressibus.free.fr/gen/trogneux/brigitte2.pdf

 

Ces sites vont devenir des pièces d’anthologie !

Voir aussi

Crowdbunker Je vaincrai la Russie absolument ! – Frédéric Chaumont – 15 mars 2024

Ursula Von der Leyen impliquée dans un énorme scandale financier. La société de son mari, qui a reçu 320 millions de l’UE, était inactive : https://lecourrier-du-soir.com/coup-d…

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Lasers spatiaux -> Smart City + connexion Bill Gates ?

PREPAREFOR HANGE

Les gens semblent se réveiller d’après l’article suivant de ForbiddenKnowledgeTV. Nous discutons de ces questions depuis des années et continuerons de fournir la vérité à ceux qui sont prêts. Voici quelques articles précédents de PFC qui en parlent.

https://prepareforchange.net/2023/08/21/are-we-living-in-the-truman-show/

https://prepareforchange.net/2023/09/29/directed-energy-weapons-how-they-work-and-what-to-look-for/

Le deuxième plus grand incendie de l’histoire des États-Unis continue de faire rage dans l’enclave du Texas, dont seulement 3 % auraient été maîtrisés et plus d’un million d’acres ont brûlé jusqu’à présent, détruisant des centaines de ranchs et de fermes.

Avec tous ces incendies suspects coïncidant avec le transit de satellites à grande charge utile – et avec même notre chef intrépide Brandon semblant admettre que les lasers spatiaux sont impliqués , parlant de la façon dont les maisons « avec le bon toit » sont épargnées par ces enfers étranges, Réalisé Les armes à énergie (DEW) sont à l’avant-plan de nombreux esprits pour expliquer les grenouilles , les chiens et les humains carbonisés , qui semblent plus avoir été zappés par des micro-ondes que brûlés par des flammes.

TikToker, @Beautymrked devient viral et est republié avec des vidéos de réaction, comme celle-ci, après avoir fait le lien entre les soi-disant incendies de forêt à Maui, au Chili et au Texas, où des incendies historiques sans précédent semblent correspondre à des plans visant à les transformer. des emplacements dans des villes intelligentes – et tous les mêmes individus qui prétendent vouloir construire 6acker 6etter à Maui et au Chili veulent également reconstruire dans le Texas Panhandle – qui se trouve également être l’endroit où Bill Gates a récemment acheté des milliers d’acres de terres agricoles.

« CE SONT EXACTEMENT LES MÊMES INSTITUTIONS ÉNERGÉTIQUES ET C’EST ASSEZ IRONIQUE QUE JE MONTRE À TOUT LE MONDE QUE VIÑA DE MAR – EN PARTICULIER LÀ OÙ LES INCENDIES SE SONT PRODUITS AU CHILI – DEVAIT ÊTRE LE SIÈGE DE LA SMART CITY. ET C’EST D’AILLEURS OFFICIELLEMENT INDIQUÉ SUR LE SITE WEB DE LEUR GOUVERNEMENT.

« MAIS JE SUIS SÛR QU’IL N’Y A PAS DE COÏNCIDENCE, N’EST-CE PAS ? MAIS ATTENDEZ. CE MATIN, BIDEN A ANNONCÉ PAR HASARD QU’IL PUBLIAIT OFFICIELLEMENT L’ENERGY BALANCING ACT. OH, ET JE SUIS SÛR QUE CELA N’AIDE PAS QU’IL Y AIT EU UNE PÉTITION EN SEPTEMBRE DERNIER POUR ARRÊTER LA MISE EN ŒUVRE DE CETTE TECHNOLOGIE SPÉCIFIQUE À AMARILLO.

 « QUOI QU’IL EN SOIT, IL S’AGIT DU PLUS GRAND INCENDIE DE L’HISTOIRE DU TEXAS ET DU DEUXIÈME PLUS GRAND INCENDIE DE L’HISTOIRE DES ÉTATS-UNIS, AVEC, COMME JE L’AI DIT, PLUS DE 1,1 MILLION D’ACRES BRÛLÉS EN CE MOMENT MÊME, AVEC SEULEMENT 3 POUR CENT DE CES INCENDIES. ÉTANT CONTENU.

Regardez ici : https://forbiddenknowledgetv.net/space-lasers-smart-city-bill-gates-connection/

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Une histoire trop arrangeante pour être vraie

Thibaut Masco de Santé Non Censurée

Chère lectrice, cher lecteur,

Je viens de tomber sur une étude hallucinante dans le journal The Lancet.

Un Allemand de 62 ans a “pour des raisons personnelles” reçu 217 doses de vaccins anti-COVID en 29 mois1.

217 doses de 8 vaccins différents (vous pouvez deviner lesquels), entre juin 2021 et novembre 2023.

Et à votre avis, que s’est-il passé ?

Une histoire trop arrangeante pour être vraie

Eh bien rien.

Il ne s’est rien passé. Étrange non ?

À l’origine de l’étude, des chercheurs de l’Université Friedrich-Alexander en Allemagne.

Après de nombreux check-ups sur ce monsieur, ils n’ont pu trouver aucun effet secondaire lié à l’hypervaccination.

Tout au plus, son taux d’anticorps est monté “à des niveaux exceptionnels”, pour citer le Dr. Schober, chargé de l’étude2.

Pour lui, “c’est la preuve que 200 vaccins ne seront jamais aussi dangereux qu’une maladie chronique”, affirme-t-il dans le New York Times3.

Et les journaux mainstream que vous connaissez bien s’en sont donnés à coeur joie4.

Pour eux aussi, c’est la preuve parfaite que les vaccins sont des sirops miracle contre le virus.

Et que nous, “satanés complotistes”, avons tort d’avoir douté de ces “sirops”.

Mais comme d’habitude, les journalistes ont la mémoire courte.

Alors je me permets une petite piqûre de rappel – garantie sans effets secondaires, elle.

RAPPEL: une seule dose a suffi pour hospitaliser des Français

J’aimerais rappeler ici que chez nous, en France, des gens ont fini à l’hôpital en raison d’une mauvaise réaction à 1 seule dose…

En juillet 2023, l’organisme national d’indemnisation des accidents médicaux (Oniam) a indemnisé 72 personnes tombées malades suite à une vaccination Covid5.

Des effets graves comme des myocardites et des menstruations incontrôlables.

Je rappelle que ces pathologies ont amené ces personnes à l’hôpital et vont les handicaper à vie.

Et aujourd’hui, on voudrait me faire croire que cet Allemand a reçu 217 doses et n’a aucun effet secondaire ?

Mieux encore, on le présente même comme “chanceux” d’avoir développé un taux d’anticorps “exceptionnel” ???

Je ne sais pas vous, mais j’ai l’impression qu’on nous prend pour les dindons de la farce.

Et vous savez ce qui me met la puce à l’oreille ?

L’étude a été publiée dans Lancet6.

 

Reprise de la lettre du jour : 

Un cas de propagande pro-vaxx ?

Je vous le rappelle, The Lancet est ce journal scientifique de renom qui s’est décrédibilisé durant la crise sanitaire.

En 2020, il avait publié un article contre Raoult et son protocole à l’hydroxychloroquine.

Article qui était un faux, monté de toutes pièces par des inconnus qui n’avaient aucun diplôme – sinon celui de l’escroquerie7.

Peu après, The Lancet avait fini par rétracter l’article.

Malheureusement, pour moi et de nombreux autres esprits scientifiques, la réputation du journal restera entachée à jamais.

Avec cette histoire absurde des 217 vaccins j’ai l’impression qu’ils essaient à nouveau de nous vendre une histoire montée de toute pièce.

Je me pose la question: pourquoi, 3 ans après la crise, The Lancet ferait encore de la propagande pro-vaxx ?

J’ai peut-être une idée…

Préparer le terrain pour le “Projet Pandémie” ?

Depuis décembre 2022, un projet énorme et potentiellement liberticide se trame.

Mais très peu de médias en parlent.

Sans doute parce que ce projet émane de l’OMS, cette “noble institution” dont on n’oserait dire du mal…

Ce projet s’appelle “Projet Pandémie”. Il sera soumis au vote en mai 20248.

Et voici en quoi il consiste : l’OMS est en train de faire voter un traité qui lui permettra d’imposer une politique sanitaire aux États-membres en cas de nouvelle pandémie9.

Autrement dit, lors de la prochaine pandémie – car elle aura lieu – l’OMS aura le droit d’imposer au monde les mesures qu’elle seule aura jugées bonnes.

Le problème… c’est que c’est justement l’OMS qui déclare quand une épidémie doit être qualifiée de pandémie9.

Autrement dit, l’Organisation pourra décréter seule s’il y a une pandémie et quelles mesures doivent être adoptées.

Vous voyez les conflits d’intérêt ?

Cela revient à dire : “C’est moi qui décide si vous avez un problème, et je décide pour vous de la seule solution que vous pouvez utiliser”.

Je ne serais donc pas étonné que cette étude sensationnelle du Lancet soit juste là pour préparer le terrain à des campagnes de vaccination massives.

Espérons que l’avenir me donne tort.

D’ici là, prenez soin de vous,

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Le sondage révèle une utilisation excessive de l’aspirine malgré les nouvelles directives Avertissement des dangers de saignées

 EPOCH TIMES

Des millions de personnes âgées font de l’aspirine chaque jour, dans l’espoir d’éviter les crises cardiaques, mais les preuves de plus en plus suggèrent que beaucoup se mettent inutilement à l’abri d’un saignement potentiellement mortel.

Un nouveau sondage révèle que plus de la moitié des Américains âgés prenant de l’aspirine n’ont pas d’antécédents de maladie cardiovasculaire, prenant le médicament en vente libre basé sur des conseils vétustes indiquant que les bénéfices l’emportent sur les dangers pour la plupart des personnes âgées.

Repenser l’utilisation de l’aspirine et recommandations

LeSondage national de l’Université du Michigan sur le vieillissement en bonne santéa constaté que 57 % des personnes âgées de 50 à 80 ans qui prennent de l’aspirine n’ont pas d’antécédents de maladie cardiovasculaire, ce qui inclut plusieurs problèmes cardiaques et vasculaires. Seulement 11 % de ceux qui prenaient de l’aspirine à titre de mesure préventive avaient un tel passé.

Pendant des décennies, les États-Unis. Le Groupe de travail sur les services de prévention (USPSTF), un groupe indépendant d’experts médicaux, a recommandé une faible dose d’aspirine pour les personnes à risque considérable de crise cardiaque. Au fil du temps, la recherche a démontré que l’aspirine a bénéficié aux patients à haut risque qui étaient plus âgés, avaient un diabète ou des maladies cardiovasculaires

Les recommandations concernant l’utilisation de l’aspirine ont récemment changé. En 2022, leUSPSTFdéconseillé à l’utilisation systématique d’aspirine pour la prévention des crises cardiaques chez les adultes âgés de 60 ans et plus. En outre, le groupe indépendant a déclaré que même pour les personnes âgées de 40 à 59 ans, « l’avantage net de l’utilisation d’aspirine dans ce groupe est faible ».

Essais randomisés Alarme sonore sur les risques de lessilence de l’aspirine

Les recommandations révisées de l’USPSTF proviennent de nouvelles données mettant en évidence les risques de saignement associés à l’utilisation d’aspirine dans les essais et études cliniques.

Une analyse d’un essai clinique randomisé portant sur plus de 19 000 adultes plus âgés a révélé un risque statistiquement significatif de 38 % plus élevé de saignement intracrânien, y compris un accident vasculaire cérébral hémorragique et d’autres causes d’hémorragie intracérébrale, parmi les participants randomisés pour prendre de l’aspirine.

Notamment, dans une analyse distincte de 10 études, l’utilisation d’aspirine était liée à une augmentation de 58 % du risque de saignement gastro-intestinal majeur.

L’histoire reste en dessous de la publicité

L’USPSTF a constaté que le risque de saignement était lié à l’âge, au sexe, à l’origine ethnique, au niveau de maladie cardiovasculaire ou à la présence de diabète. Cependant, l’organisation a noté que « bien que l’augmentation du risque relatif ne semble pas différer en fonction de l’âge, de l’incidence absolue des saignements, et donc de l’ampleur des dommages hémorragiques, augmente avec l’âge, et plus encore chez les adultes âgés de 60 ans ou plus ».

Actuellement, l’USPSTF, ainsi que l’American College of Cardiology, recommande quotidiennement une faible dose d’aspirine pour les personnes à risque accru de maladie cardiovasculaire, mais pas à un risque accru de saignement.

Les personnes âgées prenant de l’aspirine devraient consulter leurs prestataires de soins de santé sur les bénéfices et les risques du médicament. Avec le changement des lignes directrices de l’aspirine, les adultes de plus de 40 ans qui consultent leur médecin sur leur profil de risque cardiovasculaire personnalisé est important, selon Geoffrey Barnes, un cardiologue de la médecine du Michigan qui a également travaillé sur le sondage.

Cette évaluation devrait tenir compte de manière exhaustive des antécédents médicaux familiaux, des conditions de santé antérieures, des médicaments actuels, des marqueurs cliniques récents tels que la pression artérielle, le taux de cholestérol et les valeurs de sucre dans le sang, ainsi que des facteurs de risque modifiables tels que le statut tabagique, les habitudes d’exercice et les habitudes alimentaires, a-t-il déclaré dans un communiqué. Toute décision sur le traitement préventif de l’aspirine doit être basée sur l’âge de l’individu en conjonction avec cette constellation de facteurs de risque, le Dr. Barnes a noté

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Méditation mondiale de l’équinoxe : Être la marée montante de l’Amour

19-20 mars 2024

Jean HUDON

Âmes bien-aimées,

Notre âme, de par sa nature même, est toujours connectée à la Source. Cela étant, nous pouvons accéder à Ses capacités perceptives et à Son état de communion permanente avec Tout Ce Qui Est dans cet univers manifesté, y compris les âmes incarnées sur la Terre, et ainsi exercer sur elles une influence subtile mais déterminante.

Gardons cette pensée à l’esprit… et ressentons ce qu’elle signifie au plus profond de la conscience que nous avons de notre être.

Là, sous le seuil de notre conscience humaine, où ronronne discrètement la machinerie invisible de notre sens de soi, nous sentons notre conscience se fondre avec celle de la Source… et, par son entremise, établir un contact subtil avec tous les êtres sentients… et capter leur présence diffuse dans l’univers tout entier et dans toutes les dimensions.

La seule façon de comprendre au plus profond de soi ce que l’on peut alors ressentir est d’en faire l’expérience. Et cela implique de ne pas le faire par un effort de volonté de notre personnage humain, mais en renonçant à tout semblant de contrôle… pour simplement ÊTRE ce ressenti.

C’est facile à réaliser, à condition de relâcher le contrôle…. et de vibrer à l’unisson de ce qui EST à partir des perceptions mêmes de notre âme…. c’est comme lorsque l’on est émerveillé par la splendeur d’un coucher de soleil, illuminant le ciel de toutes les couleurs de l’arc-en-ciel et transformant le paysage en un royaume féérique… alors que les poils de notre corps se dressent et qu’une sensation de bonheur indicible envahit tout notre être.

Suivons notre félicité… laissons-la grandir jusqu’à ce qu’elle englobe tout ce qui se trouve en nous. Une profonde émotion d’Amour envers tous les êtres jaillit de notre cœur… ainsi que la gratitude de faire partie de cet univers, vibrant de la bienveillante Présence de la Source.

Alors que des larmes de joie perlent à nos yeux, nous ne faisons plus qu’Un avec Tout Ce Qui Est.

C’est là que réside notre pouvoir de cocréer avec la Source. Précisément là !

Ce pouvoir dont nous sommes investis, depuis le moment de notre émergence de l’éblouissante radiance irisée de la Source, nous permet d’aider à façonner l’évolution des choses dans notre réalité, alors que nous nous en remettons à Sa volonté d’œuvrer pour le plus grand Bien de tous. 

Grâce au libre arbitre accordé à toutes les âmes de devenir tout ce que la Source peut Être, à travers nous toutes, nous choisissons ainsi de participer à la cocréation de notre devenir commun.

C’est ainsi que nous pouvons aider à élever la vibration du champ de conscience commun des âmes présentes en ce monde. 

Unies en un Seul Être, nous sentons une poussée de plus en plus grande qui élève notre expérience collective de la Source vers un sentiment de félicité, de joie et d’Amour inconditionnel envers Tout Ce Qui Est.

Nous savons que même si cette montée de Lumière est à peine perceptible par nos personnages humains, cette minuscule mais irrépressible Force pour le Bien élèvera progressivement tous les êtres à mesure que montera la marée de l’Amour que nous éprouvons les unes envers les autres et envers tout ce qui vit.

Note : Ce que vous venez de lire fait partie de la guidance proposée dans le nouvel enregistrement préparé pour cette expérience unique, qui ne se répétera jamais sous cette forme, dans les mêmes circonstances, dans l’existence éternelle de votre âme. 

Ensemble, soyons la marée montante de l’Amour. 

* * * * * * *

INSTRUCTIONS PRATIQUES 

Comme à l’habitude, cette méditation aura lieu alors que la Terre atteindra le moment exact de l’équinoxe à 03:06 GMT/Temps Universel (TU) ce 20 mars. L’enregistrement de la méditation guidée dure 30 minutes et est conçu de telle sorte que lorsque vous entendrez un gong près de la fin de cet enregistrement, vous saurez que le point culminant de l’équinoxe a été atteint. 

Vous devez donc commencer à faire jouer l’enregistrement 23 minutes avant 03:06 UT, c’est-à-dire à 02:43 TU. 

Cela correspondra à :

– 22:43, mardi le 19 mars, au Québec et à 

– 03:43, mercredi le 20 mars dans la plupart des pays d’Europe continentale

Pour les autres fuseaux horaires non mentionnés ci-dessus, vous pouvez trouver votre heure locale correspondante au lien suivant sur le site Web de l’horloge mondiale : 

https://www.timeanddate.com/worldclock/fixedtime.html?day=20&month=03&year=2024&hour=02&min=43

++++++

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👉 PROTECTIONS EFFICACES CONTRE LA 5G ET L’ÉLECTROSMOG ⚠️

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