« Chaque rayon du soleil n’est en réalité qu’un flux de milliards de particules. Chacune de ces particules contient un savoir formidable concernant le soleil et ses habitants. C’est pourquoi si vous savez comment les recevoir, comment les comprendre, comment les déchiffrer, elles vous apporteront le savoir du soleil, et non seulement son savoir, mais aussi son amour pour toutes les créatures, et enfin sa vie, sa force. Si vous ne recevez presque rien du soleil, parce qu’il ne suffit pas de le regarder et pendant ce temps penser à autre chose, Il faut savoir ce que sont les rayons du soleil, se préparer à les recevoir et prendre ce qu’ils apportent, sinon c’est inutile d’assister au lever du soleil. Si après un lever de soleil vous ne sentez pas que vous comprenez mieux la création, que vous avez un plus grand amour pour l’humanité et une volonté plus forte, alors c’est raté. «
Omraam Mikhaël Aïvanhov
Quand Raymond Devos décrivait parfaitement la situation…
https://crowdbunker.com/v/Dj4EBTeyF4
GENOCIDE ANNA MILHALCEA :
Dans cet épisode, je parle avec l’avocat Todd Callender, Esq. Il explique la polymérisation à partir de la nanotechnologie d’auto-assemblage dans les armes biologiques du Covid 19. Todd et son équipe de recherche sont parvenus indépendamment aux mêmes conclusions que moi et nous expliquons notre point de vue sur cette prise de contrôle technologique de l’humanité par l’IA et notre lutte pour nous en libérer.
Nous discutons de la technologie transhumaniste qui transforme l’humanité en une nouvelle espèce – l’homo borgensis – l’humain modifié appartenant au titulaire du brevet. Cependant, malgré toutes les ténèbres, il y a de l’espoir. Nous discutons de la bonté de l’humanité, de l’espoir de l’intervention divine et de la grâce de Dieu.Todd Callender, Esq – Avocat (Disabled Rights Advocates) a travaillé dans le secteur de l’assurance invalidité, santé et vie pendant plus de 20 ans et se concentre sur la convergence internationale des risques biomédicaux, de morbidité et de mortalité dans le contexte juridique mondial.
Il a été le premier avocat aux États-Unis à poursuivre en justice le ministère américain de la Défense, le HHS et la FDA en relation avec ces mandats et, à ce titre, il a acquis 400 000 clients militaires (plaignants), dont un grand nombre et d’autres ont fourni de nombreuses preuves de dénonciation.
Todd sait grâce à la base de données DMED qu’en 10 mois de 2021, la morbidité et la mortalité toutes causes confondues ont augmenté de 11 000 % entre 18 et 40 ans uniquement pour le personnel militaire. Callender : « C’est un génocide ».
Il est propriétaire de Clouthub, une plateforme de liberté d’expression sur laquelle je diffuse mon émission, et que je recommande vivement.
France : Pr Perronne, « Ce n’est pas un vaccin ! Les injections expérimentales rappellent Nuremberg »
Par Qactus le 6 juillet 2024
Pr Perronne : ” ce n’est pas un vaccin !” : “On n’a jamais utilisé comme ça de l’ARN messager, de façon massive, chez des millions de personnes.
Les autorités reconnaissent elles-mêmes qu’on est toujours en phase 3-expérimentale :
- Phase 1, c’est chez l’animal.
- Phase 2 on regarde un petit peu la dose chez l’homme, quelle est la dose toxique supportable.
- Phase 3 les gens doivent être volontaires et signer un consentement libre et éclairé, ce qui n’a pas été le cas.
Les laboratoires ont quand même obtenu une autorisation de mise sur le marché conditionnelle. Il est totalement interdit dans les traités nationaux, internationaux de rendre obligatoire une substance expérimentale, ça rappelle Nuremberg, les crimes contre l’humanité.”
Une étude sur des centaines d’autopsies lie 73,9% des décès aux vaccins Covid
https://essentiel.news/etude-centaines-autopsies-lie-deces-aux-vaccins-covid/
Selon le Dr Peter McCullough, la revue The Lancet craint de publier des résultats.
Article de Brenda Baletti Ph. D. publié sur The Defender – Children’s Health Defense
Une étude systématique de la littérature relative aux autopsies pratiquées à la suite de la vaccination Covid-19 a révélé que 73,9% des 325 décès étaient liés aux vaccins. Cette étude a été publiée le 21 juin dans la revue Forensic Science International, qui a fait l’objet d’un examen par les pairs.
L’article, publié le 21 juin dans la revue à comité de lecture Forensic Science International, a été publié pour la première fois le 5 juillet 2023 sur le serveur de prépublication The Lancet, SSRN, une plateforme de recherche en libre accès.
Cependant, Preprints with The Lancet a retiré l’étude du serveur dans les 24 heures, “parce que les conclusions de l’étude ne sont pas soutenues par la
Risques potentiels des microplastiques pour la santé cardiovasculaire et cérébrale
Les microplastiques envahissent depuis plusieurs décennies notre environnement et menacent la santé de tous les organismes vivants de la planète, y compris les humains.
Par Jingduan Yang
La pollution par les microplastiques est très répandue et présente des risques sanitaires considérables. Une étude publiée en mars a révélé que les microplastiques multiplient par plus de quatre le risque de maladies cardiovasculaires et d’accidents vasculaires cérébraux. Comment pouvons-nous prévenir et faire face aux menaces sanitaires posées par les microplastiques ?
Les microplastiques – un polluant omniprésent
Les particules de plastique de moins de cinq millimètres de diamètre sont appelées microplastiques. Une étude réalisée en mars , publiée dans la revue Science of The Total Environment, s’est concentrée sur les fouilles effectuées dans un site historique dans les années 1980, analysant les sédiments du sol trouvés sous terre à une profondeur de sept mètres. Les résultats ont révélé 16 types de polymères microplastiques, indiquant que la pollution microplastique était présente dès les années 1980.
Les microplastiques proviennent de divers produits en plastique, notamment des produits de soins personnels comme les produits exfoliants pour la peau et les dentifrices contenant des microbilles de plastique. De plus, les fibres synthétiques des vêtements contribuent également à la pollution par les microplastiques. L’omniprésence des microplastiques dans notre air, notre eau, nos aliments et nos objets du quotidien rend leur élimination impossible.
Les dangers des microplastiques pour la santé
Les microplastiques affectent la santé humaine de trois manières principales :
- Les microplastiques peuvent déclencher une inflammation chronique. Les recherches indiquent que les microplastiques nuisent principalement à la santé en provoquant une inflammation et en perturbant le système immunitaire. L’inflammation chronique peut endommager les parois des vaisseaux sanguins et les membranes cellulaires, prédisposant les individus à diverses maladies chroniques.
- Les microplastiques et les produits chimiques qu’ils produisent peuvent provoquer un stress oxydatif dans notre corps. Une étude a révélé que les microplastiques induisent un stress oxydatif dans les tissus, inhibent les activités enzymatiques et favorisent la peroxydation lipidique. Le stress oxydatif est un mécanisme d’autodéfense de notre corps. Bien qu’il ne soit normalement pas problématique, un stress oxydatif excessif peut entraîner une surproduction de radicaux libres, qui peuvent endommager les cellules et les tissus de notre corps, augmentant ainsi le risque de diverses maladies.
- Les microplastiques peuvent également adsorber d’autres produits chimiques toxiques , tels que les métaux lourds, causant ainsi des dommages supplémentaires à l’organisme.
Le lien entre les microplastiques et les maladies cardiovasculaires
En mars dernier, le New England Journal of Medicine a publié une étude dans laquelle des chercheurs ont examiné 304 patients qui avaient des plaques dans leurs artères carotides. Bien que ces patients n’aient présenté aucun symptôme, ils ont subi une intervention chirurgicale pour retirer la plaque, car elle s’apparente à une bombe à retardement qui peut se détacher à tout moment, entraînant des maladies cardiovasculaires telles que des crises cardiaques et des accidents vasculaires cérébraux.
Après avoir analysé les plaques carotidiennes de tous les patients, les chercheurs ont détecté du polyéthylène dans les plaques de 150 patients et du chlorure de polyvinyle dans les plaques de 31 patients. En d’autres termes, des microplastiques ont été trouvés dans les plaques carotidiennes de 181 patients sur 304.
Les chercheurs ont suivi les participants pendant environ 34 mois. Les résultats ont montré que les patients présentant des microplastiques dans leurs plaques carotidiennes présentaient un risque composite 4,5 fois plus élevé d’infarctus du myocarde (crise cardiaque), d’accident vasculaire cérébral ou de décès toutes causes confondues, par rapport aux patients sans microplastiques.
Stratégies de lutte contre les microplastiques
Face à des résultats de recherche aussi préoccupants, que pouvons-nous faire pour lutter contre les méfaits de la pollution par les microplastiques ?
Premièrement, un effort collectif visant à éviter l’utilisation de divers produits en plastique et à rechercher des alternatives plus sûres dans la production industrielle serait utile. L’ajout de microbilles de plastique aux produits du quotidien tels que le dentifrice et les produits de soin pour la peau devrait être interdit. En outre, nous devons assurer une gestion appropriée des déchets plastiques.
Il est certain que les mesures décrites ci-dessus exigent que les gouvernements adoptent des politiques appropriées. Notre santé n’est pas uniquement de notre responsabilité ou de celle des médecins : les pouvoirs publics jouent également un rôle crucial. Si les médecins dans les hôpitaux traitent les problèmes de santé et que les individus gèrent leur propre santé, le rôle des pouvoirs publics se situe en amont, englobant la formulation des politiques de soins de santé et de prévention des épidémies qui ont un impact significatif sur notre bien-être.
Nutriments pour la détoxification
Il n’existe actuellement aucun médicament ni produit de santé capable d’éliminer complètement les microplastiques de l’organisme. Cependant, nous pouvons envisager l’utilisation raisonnable des types de produits de santé suivants pour atténuer les effets des microplastiques sur l’organisme.
- Antioxydants : que nous les obtenions par l’alimentation ou par des suppléments, les vitamines A, C et E ainsi que le glutathion agissent tous comme antioxydants pour neutraliser les radicaux libres et protéger nos cellules.
- Oméga-3 : Les acides gras oméga-3 jouent un rôle essentiel dans le maintien de la santé des membranes cellulaires en maintenant leur structure et leur fonction.
- Probiotiques : Les probiotiques peuvent soutenir les fonctions digestives et de détoxification de notre système gastro-intestinal.
- Extraits de plantes : Les extraits de certaines plantes, comme le curcuma, le pissenlit et le chardon-Marie, peuvent contribuer à la détoxification du foie.
- Algues vertes et spiruline : Toutes deux sont riches en chlorophylle et en antioxydants, qui peuvent aider à éliminer les métaux lourds et autres toxines du corps, contribuant ainsi à la détoxification.
- N-acétylcystéine (NAC) : la NAC sert de précurseur au glutathion. Le glutathion est vulnérable à la dégradation lors de son absorption. Une supplémentation en NAC pour augmenter les niveaux de glutathion dans notre corps peut favoriser les effets antioxydants et anti-inflammatoires.
- Charbon actif : Dans certains cas, le charbon actif peut agir comme un détoxifiant dans les intestins.
- Vitamine D : La vitamine D régule les fonctions cellulaires et apporte un soutien important au système immunitaire, renforçant ainsi les défenses de l’organisme contre divers facteurs environnementaux.
En résumé, nous devons reconnaître les dangers des microplastiques pour la santé et prendre des mesures pour atténuer les risques qu’ils présentent.
— LETTRE OUVERTE — (à diffuser massivement)
À Monsieur le Ministre de l’agriculture, Monsieur Marc FESNEAU,
À Monsieur le Directeur de L’AGENCE NATIONALE DE SECURITÉ DU MEDICAMENT ET DES PRODUITS DE
SANTE (ANSM), Monsieur Alexandre de la VOLPILIERE
OBJET : Création d’une fausse pandémie de grippe « aviaire » avec les injections d’ARN messager AUTO-AMPLIFIANTS-REPLIQUANTS, potentiellement contagieux ?
Monsieur le Ministre, Monsieur le Directeur de l’ANSM,
En juillet 2023 (https://www.sudouest.fr/sante/grippe-aviaire/vaccin-contre-la-grippe-aviaire-la-priorite-de-marc-fesneau-ce-sont-les-eleveurs-15993189.php?csnt=19071ee5fa3 ), vous annonciez avoir commandé 80 millions de doses de « vaccins » anti grippe aviaire au laboratoire allemand Boehringer Ingelheim ; vous avez éconduit le candidat Libournais CEVA Santé animale au profit d’un laboratoire allemand.
QUESTIONS À MONSIEUR LE MINISTRE DE L’AGRICULTURE, Monsieur Marc FESNEAU :
QUESTION 1 :
Est-ce que Boehringer Ingelheim utilise la nouvelle technologie des ARN messager AUTO-AMPLIFIANTS-REPLIQUANTS qui une fois injectés se recopient seuls dans l’organisme-hôte et donc multiplientdangereusement/mortellement les protéines produites ?
D’après certains chercheurs, ces nouveaux ARN messagers REPLIQUANTS seraient contagieux non seulement entre animaux mais aussi entre animaux et humains ; où sont VOS ÉTUDES CLINIQUES PHASE 1,PHASE 2 et PHASE 3 indispensables à leur mise sur le marché (AMM) ?
IMPORTANT : Avez-vous envisagé la possibilité que ces ARN messager AUTO-AMPLIFIANTS-
REPLIQUANTS puissent provoquer une pandémie de production incontrôlée de protéines en se répliquant d’organismes contaminés en organismes créant ainsi une fausse pandémie de grippe «aviaire » ? https://www.aimsib.org/2024/06/30/grippe-aviaire-la-prochaine-pandemie-annoncee/
https://www.nexus.fr/actualite/entretien/sabatier-alerte-vaccins-arn/
QUESTION 2 :
Si cette technologie d’« ARN messager auto-amplifiants-répliquants » a été utilisée, pouvez-vous nous informer jusqu’à quand ces ARN messager auto-amplifiants-répliquants (qui se répliquent automatiquement dans les organismes), produisent des antigènes ?
Y a-t-il un bouton STOP, une autre injection pour les arrêter ou la limite est-elle la mort du sujet ?
QUESTION 3 :
Si cette technologie d’« ARN messager auto-amplifiants-répliquants » a été utilisée, pouvez-vous nous informer si ceux-ci sont contagieux entre animaux et humains par inhalation ou par la nourriture ?
QUESTION 4 :
Avez-vous l’intention de faire injecter les bovins car, a priori, les virus H5N1, N8 etc. – enrichis et fabriqués volontairement par des recherches en gain de fonctions des laboratoires contamineraient les vaches aussi ?
https://eu.usatoday.com/story/opinion/2023/04/11/lab-leak-accident-h-5-n-1-virus-avian-flu-experiment/11354399002/
https://www.usnews.com/news/health-news/articles/2024-06-07/with-bird-flu-a-threat-fda-asks-some-states-to-curb-sales-of-raw-milk?utm_source=substack&utm_medium=email
Qui fabriquent et répandent ces virus dangereusement enrichis (gains de fonctions) risquant de décimer l’humanité depuis que les États-Unis, le 19 décembre 2017, ont levé le moratoire de l’enrichissement des virus datant du 17 octobre 2014 ?
https://www.thelancet.com/journals/laninf/article/PIIS1473-3099%2818%2930006-9/fulltext
https://www.science.org/content/article/us-halts-funding-new-risky-virus-studies-calls-voluntary-moratoriu
LETTRE OUVERTE 2 | P a g e sur 2
QUESTIONS À MONSIEUR LE DIRECTEUR DE L’ANSM, Monsieur Alexandre de la VOLPILIERE :
QUESTION 1 :
Vous qui êtes en charge de la SÉCURITÉ DE TOUS MEDICAMENTS ADMINISTRÉS AUX FRANÇAIS, avez-vous fait diligenter une étude d’impacts de ces nouveaux « ARN messager auto-amplifi aux animaux qui d’après les premiers avis scientifiques semblent pouvoir contaminer les humains par inhalation ou par la nourriture ? Quid également de la contamination interhumaine ?
D’après certains chercheurs, ces nouveaux ARN messagers REPLIQUANTS seraient contagieux non seulement entre animaux mais aussi entre animaux et humains.
IMPORTANT :
Monsieur le Directeur de l’Agence Nationale de Sécurité du Médicament (ANSM), où sont les
études cliniques (notamment d’innocuité, d’efficacité et de non contagiosité), PHASE 1, PHASE 2 et PHASE 3 indispensables à la mise sur le marché de ces ARN messager AUTO-AMPLIFIANTS-REPLIQUANTS (ils se copient et se multiplient seuls dans les cellules humaines) ?
QUESTION 2 :
Est que les centaines de milliers de doses contre la « grippe aviaire » à injecter aux humains et commandées par Madame Von der LEYEN relèvent de cette technologie « ARN messager auto-amplifiants-répliquants » ?
Est-ce que Madame Von der LEYEN a reçu les études officielles PHASE 1, PHASE 2 et PHASE 3 indispensablesà la mise sur le marché de ces ARN messager avant de dépenser les impôts des contribuables européens sans autorisation de nos représentants parlementaires européens ?
QUESTION 3 :
Vous qui êtes en charge de la sécurité du médicament administrés aux français, avez-vous l’intention deaisser Madame Von der LEYEN et/ou l’Agence Européenne du médicament elt/ou Monsieur Tedros Adhanom Ghebreyesus, Directeur de l’OMS — organisation globaliste privée financée à plus de 40% par le lobbyiste Bill GATES — injecter les françaises et les français, et même les bébés avec ces ARN messagers et plus particulièrement cette technologie AUTO-AMPLIFIANT-REPLIQUANT ?
QUESTION 5 :
Ne craignez-vous pas une nouvelle pandémie type « VACHE FOLLE » avec des prions indestructibles maisvcette fois ci créée par la production incontrôlée de protéines par les organismes contaminés par ces ARN AUTO-AMPLIFIANTS-REPLIQUANTS ? D’autant plus que d’après les études, il semble que même en carbonisant la viande, l’ARN messager demeure persistant et contaminant. FINI LE CANARD ROSE OU LE STEAK TARTARE ?
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/16091942/ ; https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/6033545/
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/29105333/ ; https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/36051884/
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/5794250/
Ne craignez-vous pas que les médias confondent la contamination par ARN AUTO-AMPLIFIANTS- REPLIQUANTS avec la réelle infection par le H5N1 ou N8 ou N «X» fabriqués en laboratoire (gain de fonction) mais qui n’est a priori pas dangereux pour l’humain, peut être à la grande déception de ses « démiurges » ?
https://eu.usatoday.com/story/opinion/2023/04/11/lab-leak-accident-h-5-n-1-virus-avian-flu-experiment/11354399002/
QUESTION COMMUNE À MONSIEUR LE MINSTRE ET À MONSIEUR LE DIRECTEUR DE L’ANSM :Avez-vous conscience qu’une telle décision, prise sans vérifications suffisantes des conséquences, engagerait votre PÉNALE aux termes des articles 121-3 ; 221-5 ; 223-8 ; 323-1, al. 2 ; 212- RESPONSABILITE1, 11° ; 222-9 ; 223-1 du Code pénal en cas de complications post-vaccinales, d’infirmité subséquentes ou de décès des personnes contaminées par nourriture, inhalation ou injection en cas de plaintes sur fondement criminel déposées par ceux-ci auprès du procureur de la République ou devant le Doyen des juges d’instruction de leur ressort ? Pour rappel, la prescription criminelle s’étale de 20 à 30 ans.
L’Informateur
Histoire : 1814-1914-2014, le gouvernement mondial unique, ce n’est pas une nouvelle idée !
À chaque fois une guerre pour y arriver et dominer le monde.
Comment est né l’État d’Israël ?
Résumé
Les 5 frères Rothschild et leur cabale tentèrent de former un gouvernement mondial unique en 1814-1815, au Congrès de Vienne. Ils finançaient Napoléon, dans le cadre d’un accord visant à prendre le contrôle de la Banque de France. Lorsque Wellington a gagné à Waterloo, les Rothschild ont gagné à Londres et ont repris la Banque de Londres au moyen d’obligations de guerre.
Les 5 frères, à eux deux, contrôlaient les principales banques d’Europe, MAIS le problème était le tsar Alexandre Iᵉʳ de Russie, qui a vaincu Napoléon et est resté maître de ses banques, ils n’ont donc pas rejoint le NOM de 1814, et l’idée échouée.
Cela a conduit Rothschild à affirmer que ses descendants verraient les descendants du Tsar effacés de la surface de la terre, ainsi en 1917, cela s’est produit avec la Révolution russe qui a été financée par les banquiers Rothschild/Oppenheimer, en utilisant l’argent des Tsars.
On estime que leurs banques détenaient environ 68 millions de dollars d’argent personnel du tsar Nicolas.
En 1897, le Premier Congrès de Sion se réunit en Suisse, dont le principal objectif était de réinstaller les Juifs dans la « Terre promise »…
La nouvelle s’est répandue avant la réunion qui devait avoir lieu à Munich, en Allemagne, mais la protestation de la communauté juive a été si grande qu’elle a dû déplacer le congrès en Suisse (“Le Protocole des Sages de Sion”, croit-on). Sont les “Procès-verbaux” du Premier Congrès de Sion).
Au début de la Première Guerre mondiale, là soi-disant « Terre promise » était contrôlée par l’Empire ottoman, mais à la fin de la guerre, l’Angleterre contrôlait la Terre promise et disposait également de l’accord Bal four de 1919, qui soutenait la « Terre promise ». Le droit “de récupérer leur patrie, et cela a été directement inspiré par la famille Rothschild…
Rappelez-vous qui contrôlait la Banque d’Angleterre… ?!
La fin de la Première Guerre mondiale voit également naître la Société des Nations, la « bête sauvage » issue de la « mer de troubles » de la Première Guerre mondiale.
Faisant chanter le président Wilson, le « sioniste » a lancé la Réserve fédérale (pour aider à financer la Première Guerre mondiale) tout en nommant le premier juge sioniste à la Cour suprême, pensez à Rudolph Hess comme l’un des juges, et c’était à peu près la même chose.
Les Sionistes soutiennent UNIQUEMENT Israël et personne d’autre, il y a les “Goyim Cowboys” qui rassemblent tout le bétail Goyim, pour faire ce qu’ils veulent… très simple… !!
Les nazis étaient une combinaison des travailleurs nationaux allemands (Arbeit=Work) NA et des sionistes qui les contrôlaient, d’où NA-ZI ou nazi. (Au départ, le nazisme est une idéologie politique développée en Allemagne au lendemain de la Première Guerre mondiale. Nazisme » est la contraction de « national-socialisme » ou Nationalsozialismus en allemand.)
Il y a une forte possibilité que le grand-père de Hitler était le baron Von Rothschild d’Autriche.
Convaincre le Congrès d’y adhérer.
L’autre problème était qu’aucun juif ne s’installait en Terre Sainte, qu’ils étaient heureux de vivre là où ils étaient et qu’il fallait une incitation !
Nous avons donc eu la Seconde Guerre mondiale, et Hitler et Roosevelt sont arrivés au pouvoir en 1933, et les deux pays étaient préparés à la guerre.
La première chose que Roosevelt a faite a été d’interdire aux Américains d’utiliser l’or pour rembourser leurs dettes et personne ne pouvait posséder plus de 100 $ en pièces d’or… !!!
Les Rothschild ont acheté de l’or américain pour 23,67 dollars l’once, et pour une valeur de 380 milliards de dollars. L’année suivante, Roosevelt a changé le prix d’exercice de l’or à 35 dollars l’once, et les Rothschild ont gagné 40 % sur leur investissement, donc les Américains ont simplement pris 40 %. Frappé sur leurs “Billets de la Réserve fédérale”… !
La famille Roosevelt est la plus ancienne famille bancaire d’Amérique et a fondé la Banque de New York en 1700. Vous pouvez être sûr qu’elle a obligé les Rothschild à acheter TOUT l’or américain pour EUX.
À la fin de la Seconde Guerre mondiale, 6 millions (? 500 000) Juifs, pour la plupart orthodoxes, sont morts, les États-Unis sont devenus une force motrice dans le remplacement de la Société des Nations, les Nations Unies, et la première chose que les Nations Unies ont faite a été déclarer la Palestine patrie des Juifs, et ainsi Israël est devenu un État…
Déclarer que la Palestine était la patrie des Juifs est très différente de voler leurs terres et d’en faire Israël.
L’opération de préparation à la pandémie du gouvernement semble avoir l’impression que les rusés de fonctionner dans le service de lutte contre l’incendie
Si l’opération de « préparation à la pandémie » basée sur la peur et la tromperie du gouvernement n’est pas arrêtée, l’expérience de la COVID-19 sera convertie d’un traumatisme unique en temps de vie à une catastrophe récurrente provoquée par l’homme.
prepareforchange
Par Clayton J. Baker, M.D., et Brian Hooker, Ph.D.
Imaginez si vous voulez, un quartier des pompiers de la ville exceptionnellement ambitieux, situé dans une ville avec très peu d’incendies naturels.
Ces pompiers ambitieux n’ont pas assez de travail, de prestige ou ne paient pas pour envie de le faire. Intéressés à simplement polir leurs camions, à soulever des poids et à cuire le piment, ces pompiers veulent plus. Beaucoup plus.
Ils construisent un plan. Ils lanceront un programme de recherche, financé par les contribuables, dans le cadre duquel ils développeront un arsenal des produits les plus grands, les plus effrayants, les plus inflammables sur terre.
Ils justifieront ce programme sous prétexte que ces créations destructrices sont absolument nécessaires pour le développement d’extincteurs plus grands et meilleurs. Soit dit en passant, ils développeront, commercialiseront et vendront eux-mêmes ces extincteurs.
Ces extincteurs propriétaires assimileront aux ailleurs ambitieux une fortune incroyable – s’ils peuvent simplement amener chaque homme, femme et enfant dans la ville à en acheter un.
Les services d’incendie, travaillant avec les entreprises qui fabriquent leurs extincteurs miracles, font activement connaître le risque soi-disant énorme et toujours croissant d’incendies qu’ils prétendent menacer la population.
Selon les pompiers ambitieux, les facteurs de risque d’aggravation des incendies sont partout et ne cessent d’augmenter : le réchauffement de la planète, la croissance démographique, votre choix, et le prochain « grand » approche à grands pas.
Des citoyens redoutables et des politiciens fortement polis tombent pour leur histoire, injectant de plus en plus de dollars de taxes dans le programme de recherche et de développement du service des pompiers.
Les pompiers développent et cultivent son stock de super-risques d’incendie fabriqués, jusqu’à un jour…
D’une manière ou d’une autre, l’un des produits inflammables est libéré et une conflagration déchaînée s’ensuit. Personne ne sait exactement comment il a commencé. En fait, les principaux pompiers se réunissent et nient publiquement que l’un de leurs produits pourrait être responsable.
Mais en terrifiant le public et en confondant les politiciens, les pompiers forcent la population à s’abriter et suivent leurs instructions strictes, de peur de périr dans l’holocauste. Après tout, les pompiers sont les experts.
Ils promeuvent fortement leurs extincteurs spéciaux en tant que seule solution, même en parvenant à faire sortir de l’eau à des fins de lutte contre l’incendie. (L’eau ne fonctionnerait pas sur ce genre d’incendie, insistent-ils. Seuls les extincteurs spéciaux des pompiers suffiront.)
À l’aide d’une énorme injection de fonds des contribuables, les pompiers font construire leurs extincteurs en un temps record et les vendent dur à tous ceux qu’ils peuvent.
Pendant ce temps, de grandes étendues de la ville brûlent jusqu’au sol. Et en raison de la mauvaise conception et de la mauvaise construction des extincteurs, ces dispositifs s’avèrent être tout aussi mortels que l’incendie, sinon pire, car leurs effets dommageables s’attardent longtemps après que le feu s’est brûlé.
Mais les pompiers et leurs copains d’entreprise ont obtenu leur fortune.
La population déconcertée et traumatisée ne peut pas comprendre ce qui s’est passé, pas plus que les politiciens sans taches. Les pompiers apparaissent comme l’entité la plus puissante de la ville. Ils reprennent leur « recherche », fortifiée par leur richesse et leur pouvoir croissants.
Après tout, la prochaine grande conflagration approche est à portée de main.
Réfléchissez à nouveau. Parce que dans le domaine de la « préparation à une pandémie », les incendiaires dirigent les pompiers.
La préparation à une pandémie de prêt
Sous couvert de la mise au point de vaccins, il y a des dizaines – peut-être des centaines – de biolabs dans le monde menant des recherches de gain de fonctions sur d’innombrables virus et autres agents infectieux.
L’Institut de virologie de Wuhan est le plus infâme, mais un grand nombre de ces laboratoires sont situés aux États-Unis, avec au moins cinq laboratoires américains manipulant la grippe aviaire H5N1 seule.
Cette vaste industrie ombragée de la pathogénicité manufacturée s’est infiltrée dans nos agences gouvernementales, dans nos armées et nos universités, et bien sûr, l’industrie pharmaceutique est étroitement liée dans l’ensemble de l’entreprise.
Un tel «recherche» implique un processus en plusieurs étapes:
- Obtenir des subventions – qui fournit également une couverture juridique, intellectuelle et éthique – pour la recherche sur les gains de fonctions, en la promouvant comme essentielle pour la « préparation à la pandémie » et le développement de vaccins.
- Obtenir des agents pathogènes (généralement des virus) de la nature qui ne se transmettent pas actuellement à l’homme et entre eux, mais pourraient être fabriqués pour le faire.
- Manipuler ces agents pathogènes génétiquement en laboratoire en bricolant le matériel génétique, pour les rendre plus transmissibles et/ou plus mortels chez les humains.
- Accélérer l’évolution de ces virus en les faisant passer par des mammifères avec des caractéristiques immunologiques similaires à celles de l’homme, ainsi qu’aux cultures cellulaires humaines.
- Publier ses «réalisations» de l’amélioration de la transmissibilité et/ou de la virulence des agents pathogènes dans la littérature scientifique, assurant ainsi un soutien continu des subventions.
- Obtenir des brevets sur des éléments clés des virus fabriqués pour garantir des redevances lorsqu’un vaccin contre l’agent pathogène est développé.
- Attendre (ou peut-être provoquer) la fuite de ces agents pathogènes dans les populations animales ou humaines.
- Mettre en mouvement l’ensemble de la réponse pandémique/du mastodonte de développement de vaccin.
Ce travail viole la Convention sur les armes biologiques de 1975. Mais ces laboratoires persistent dans leur travail, dans la fausse prémisse que leur « recherche » est conçue pour protéger la population mondiale contre les « maladies infectieuses rapidement émergentes » en encourageant le développement de vaccins.
C’est un mensonge.
La recherche de type gain de fonction pratiquée dans ces laboratoires altère génétiquement ces virus animaux, leur donnant les moyens de faire facilement et facilement ce qu’ils font rarement dans la nature: sauter d’espèces en espèces, se propager facilement chez les humains et tuer les humains en nombre significatif.
En substance, ces chercheurs prennent des virus naturellement présents chez les animaux, et qui présentent un risque minimal à limité pour les humains, et les modifient pour les rendre hautement transmissibles et mortels pour les humains.
Pourquoi ?
Il n’y a aucune raison légitime à cette recherche. C’est vraiment aussi simple : si l’on veut vraiment protéger la population mondiale de Godzilla, on ne crée pas délibérément et systématiquement Godzilla en laboratoire.
Une telle recherche n’a aucun sens en ce qui concerne le développement de vaccins non plus. Si l’on s’inquiète des pathogènes existants, il convient de développer des traitements qui combattent eux-mêmes ces agents pathogènes existants.
Les agents pathogènes naturels ont déjà de nombreuses cibles pour les interventions – que ces interventions impliquent de réutiliser des médicaments existants ou de développer de nouveaux médicaments-
Nous avons déjà des médicaments existants qui sont connus pour être efficaces contre les virus. La recherche sensée, éthique, voire saine, se concentrerait sur des stratégies consistant à cibler les fentes existantes dans les armures potentielles des pathogènes, plutôt que de créer de nouvelles superbactéries mortelles dans le laboratoire.
Malheureusement, il y a beaucoup moins d’argent à gagner et peu de pouvoir à saisir en utilisant l’approche saine. Contrairement aux affirmations alarmistes, il n’y a tout simplement pas beaucoup de pandémies naturelles.
Et les énormes bénéfices que Big Pharma et les enquêteurs recherchent ne proviennent que de nouveaux produits brevetés, nouveaux, – en particulier du type qui peut être mis sur un modèle d’abonnement, comme les vaccins annuels.
La pandémie de COVID-en-guise de répétition générale
Les patients qui ont été testés positifs ont été informés de rester à la maison sans traitement. Les traitements médicamenteux génériques existants avec d’excellents profils de sécurité, tels que l’hydroxychloroquine et l’ivermectine, ont été impitoyablement supprimés par les autorités – mais uniquement pour une utilisation contre le virus.
Lorsque les patients sont tombés gravement malades, ils ont été admis à l’hôpital et traités avec des médicaments brevetés administrés selon des protocoles orientés qui se sont par la suite révélés être toxiques pour les patients, mais très rentables pour les fabricants de médicaments et les titulaires de brevets.
Pendant ce temps, les systèmes hospitaliers ont été récompensés pour leur obéissance avec d’importants bonus pour chaque diagnostic de COVID-19 fait et chaque décès du COVID-19 qu’ils ont présidé.
Les « vaccins » propriétaires ont été fabriqués en un temps record (traduction: beaucoup trop rapidement), et la campagne la plus scandaleuse et coercitive pour imposer un traitement médical dans l’histoire a été déclenchée, pour contraindre le monde entier à accepter un « vaccin » expérimental, précipité et mal nommé sur la base de la nouvelle plateforme de thérapie génique de l’ARNm. Les résultats ont été dévastateurs.
Selon le système de notification des effets indésirables des vaccins (VAERS) des Centers for Disease Control and Prevention (CDC), les injections de COVID-19 ont entraîné des événements indésirables à un taux de 117,6 fois plus élevé que le vaccin contre la grippe.
Au 30 mai, plus de 1,6 million d’événements indésirables ont été signalés à VAERS pour les injections de COVID-19, ainsi qu’à 38 559 décès et 4 487 fausses couches.
Ces chiffres éclipsent les rapports VAERS pour tous les autres vaccins combinés. Quoi qu’il en soit, les injections d’ARNm du COVID-19 étaient historiquement toxiques et des interventions mortelles.
Ces données se sont accumulées en dépit du fait que VAERS est un système très laborieux dans lequel déposer un rapport et le fait que le personnel de santé qui a insisté pour déposer des rapports appropriés de VAERS a été harcelé et parfois même licencié pour avoir fait celà.
En outre, la compilation et la publication de ces données ont été supprimées par les autorités et n’ont été révélées au public que par des enquêteurs indépendants.
En outre, il existe une erreur de sous-déclaration bien établie liée à VAERS d’au moins un et peut-être deux ordres de grandeur.
Aujourd’hui, plusieurs injections de COVID-19 qui ont été présentées à plusieurs reprises par les autorités comme « sûres et efficaces » ont été retirées du marché, y compris les produits Johnson et Johnson et Astrazeneca. Ironiquement, les plus dangereux restent.
Pourquoi ? Parce que les survivants sont des produits à base d’ARNm.
La plateforme d’ARNm sur laquelle sont créées les injections « survivantes » du COVID-19 présente un potentiel de gain financier presque illimité, car elle fournit une plateforme presque « plug and play » pour les thérapies géniques qui peuvent être commercialisées contre de nombreux agents pathogènes infectieux à l’avenir, ainsi que contre les cancers et d’autres maladies.
La capture de la médecine et des universités
Comme on l’a vu plus haut, les systèmes hospitaliers ont été entraînés dans ce travail peu recommandable par de puissantes incitations financières de la part de la Big Pharma et d’organismes gouvernementaux capturés. Mais les hôpitaux ne sont pas les seules institutions autrefois dignes de confiance qui ont été attirées.
Des décennies avant la COVID-19, de nombreuses universités ont été impliquées dans la recherche sur les armes biologiques, avec des laboratoires de gain de fonctions très rentables apparaissant dans de nombreuses institutions prestigieuses.
Ces laboratoires sont financés par de multiples sources problématiques: des organismes gouvernementaux tels que le Dr. La branche des National Institute of Allergy and Infectious Diseases d’Anthony Fauci, en disgrâce, des promoteurs/investisseurs de vaccins privés tels que Bill Gates, les promoteurs/investisseurs privés de vaccins.
Les travaux sur la création du SARS-CoV-2 – le virus qui cause le COVID-19 – n’ont pas eu lieu à Wuhan mais au Ralph Baric Lab de l’Université de Caroline du Nord à Chapel Hill.
Au cours de cette écriture, le même scénario subit une reprise terrifiante avec le virus de la grippe H5N1, communément appelée « grippe aviaire » ou « grippe aviaire ». Comme mentionné précédemment, au moins cinq laboratoires aux États-Unis manipulent ce virus, ainsi que plusieurs autres laboratoires à l’étranger.
Si la grippe aviaire sort du laboratoire et devient une pandémie, voici deux scientifiques clés (et leurs laboratoires associés) à demander des comptes :
Yoshihiro Kawaoka, Ph.D., du Département des sciences pathobiologiques de l’École de médecine vétérinaire de l’Université du Wisconsin, travaille depuis 2006 à des études de plus en plus fonctionnelles avec la grippe aviaire.
Il est financé par le gouvernement japonais, ainsi que par Daiichi Sankyo Pharmaceuticals, Fuji Corporation et la Fondation Gates, entre autres sources. Kawaoka est cofondateur de la société de vaccins FluGen. Il détient 57 brevets américains, dont beaucoup sont sur des séquences génétiques de la grippe aviaire à utiliser pour la vaccination contre la grippe aviaire humaine.
Étonnamment, le laboratoire Kawaoka a été responsable de deux fuites antérieures connues de la grippe aviaire. Dans la première, survenue en novembre 2013, un travailleur de laboratoire était coincé avec une aiguille contaminée. Bien que cela n’ait heureusement pas conduit à une épidémie, les protocoles n’ont pas été suivis à la fois avant et après cet accident, ce qui a conduit à une enquête du NIH qui aurait dû fermer complètement les recherches.
Dans le deuxième accident, un travailleur de laboratoire en formation a perdu un lien avec son tube respiratoire et a été exposé à de l’air infecté par des gouttelettes respiratoires provenant de furets infectés par une altération de la grippe aviaire. Bien que cela n’ait pas conduit à une infection, les protocoles n’ont pas été correctement suivis une fois de plus et le NIH n’a pas été correctement informé de l’accident.
Aussi alarmant que soit celui d’un tel accident et d’un tel laboratoire de lutte contre les protocoles, il est scandaleux que le laboratoire de Kawaoka travaille maintenant avec le même sous-clêle (2.3.4.4b) du virus H5N1 qui a infecté les bovins dans 12 États ainsi que trois travailleurs laitiers.
On ne peut que se demander ce que le président de l’université du Wisconsin, Jay Rothman, et le conseil des régents de l’université du Wisconsin savent (et ne savent pas) sur les activités du laboratoire Kawaoka, et comment ils peuvent justifier le parrainage de ces « recherches » potentiellement catastrophiques à l’université qu’ils supervisent.
Professeur R. A.M. (Ron) Fouchier, Ph.D., chef adjoint du département de Viroscience au centre médical universitaire Erasmus de Rotterdam, aux Pays-Bas, est arrivé à l’avant-garde de la recherche sur la grippe aviaire à la fin de 2011 lorsqu’il a réussi à créer une souche du virus qui pourrait transmettre dans les furets via des gouttelettes respiratoires en aérosol.
Il s’agissait d’une étape majeure vers le développement d’un virus qui pourrait être transmis chez l’homme, car les systèmes immunitaires des furets et des humains ont des similitudes considérables.
Cette recherche scandaleusement dangereuse a fait des critiques considérables par Fouchier, même de certaines des figures pro-vaccins les plus importantes de la recherche médicale. La Fondation pour la recherche sur les vaccins a écrit une lettre à la Maison Blanche d’Obama en mars 2013 condamnant le travail de Fouchier, le qualifiant de « moralement et éthiquement mauvais », et affirmant la nécessité de :
« Considérer les questions éthiques soulevées par la recherche sur le gain de fonctions H5N1, en particulier les expériences visant à accroître la transmissibilité des virus H5N1 afin qu’ils puissent être transmis entre les humains aussi facilement que la grippe saisonnière… [ce qui pourrait provoquer une pandémie mondiale de proportions épiques qui éclipserait la pandémie de grippe espagnole de 1918 qui a tué plus de 50 millions de personnes. »
Notamment, cette lettre a été signée par plusieurs promoteurs de vaccins prééminents tels que le Dr « Parrain des vaccins ». Stanley Plotkin et le célèbre défenseur du vaccin Dr. Paul Offit.
Le travail de gain de fonctions de Fouchier était si alarmant que même les défenseurs des vaccins les plus zélés ont pris des mesures inhabituellement fortes pour l’arrêter.
Un arrêt temporaire de la recherche sur le gain de fonctions s’ensuivit aux États-Unis mais n’a pas duré.
Fouchier n’a pas suivi leur mise en garde, et personne à l’université Erasmus ou ailleurs ne l’a arrêté. Fouchier a poursuivi son travail de gain de fonction avec différentes souches de grippe aviaire et a amassé 20 brevets américains, dont beaucoup se concentrent sur ses expériences de gain de fonction.
L’état actuel de la grippe aviaire aux États-Unis
La grippe H5N1, en particulier le sous-clade 2.3.4.4b, le génome B3.13, infecte actuellement plus de 90 troupeaux de bovins dans 12 états différents. Le premier rapport sur le virus chez les bovins se trouvait à Marc h.
Les tests de PCR transcriptase inverse sont revenus positifs pour l’ARN du virus dans les sécrétions nasales et le lait des vaches. Cependant, les bovins semblent se remettre du virus avec un traitement symptomatique et le taux de mortalité est proche de zéro. L’infection active n’a pas été rapportée chez les bovins de boucherie.
Il y a eu trois cas de transmission de la vache à l’homme du virus, où les humains infectés travaillaient avec du matériel laitier. Les deux premiers cas (Texas et Michigan) ont entraîné une conjonctivite (œil rose) qui s’est dissoute d’elle-même en trois jours. Dans ces cas, l’ARN viral a été détecté dans les sécrétions oculaires mais pas dans les écouvillons nasaux.
Le troisième cas (Michigan) a entraîné une toux sans fièvre et une gêne oculaire avec un écoulement aqueux. Étrangement, la séquence génomique complète de H5N1 pour ce cas n’a pas encore été libérée, malgré le fait que le cas a été rapporté il y a quelques semaines. Les deux autres cas semblent correspondre à la souche infectant les bovins.
Plusieurs scientifiques ont proposé que la souche actuelle de H5N1 (subclade 2.3.4.4b, génome B3.13) circulant à travers le bétail et jusqu’à trois humains aux États-Unis aurait pu fuir des États-Unis. Département de l’agriculture (USDA) Laboratoire de recherche sur la volaille du Sud-Est (SEPRL) à Athènes (Géorgie).
Hulscher et al. soulignent que le virus est apparu en Caroline du Sud très peu de temps après l’identification à Terre-Neuve-et-Labrador.
Le timing n’a pas de sens pour la propagation naturelle parce que les deux identifications se sont produites en décembre 2021, ce qui signifie que le virus doit avoir transporté en quelque sorte près de 1 700 miles le même mois – à moins qu’il ne soit en quelque sorte divulgué de l’installation SEPRL.
Il n’existe pas d’informations accessibles au public pour les identifications de Terre-Neuve, ce qui est très regrettable.
Toutefois, les projets de recherche sur le gain de fonctions impliquant le H5N1 ont commencé au SEPRL en avril 2021 et se sont poursuivis jusqu’en décembre 2021. Aucune information d’ordre n’a été rendue publique de la part de ces projets et les fonctionnaires de l’USDA affirment que de telles informations n’existent pas.
Très peu de temps après l’identification de la Caroline du Sud, le virus s’est propagé à un dauphin à bec que le goulet d’eau au large des côtes de la Floride et se déplaçait précipitamment à travers les oiseaux sauvages et les volailles dans le sud-est et le Midwest.
Très récemment, le virus H5N1 isolé des bovins aux États-Unis a été envoyé au Royaume-Uni pour y subir d’autres tests. Une fuite de laboratoire dans ce cas pourrait conduire à une catastrophe étant donné la propagation rapide de la souche observée aux États-Unis.
La principale préoccupation est la libération accidentelle ou volontaire d’un clade H5N1 développé en laboratoire qui est conçu pour transmettre l’homme à l’homme. À ce stade, les récits d’individus comme Fouchier expliquant la situation actuelle de la grippe aviaire ne s’additionnent pas.
Ils proposent que le virus ait traversé d’Europe à Terre-Neuve et infecté une ferme d’exposition en décembre 2021.
Le 4 juin, le Dr. Deborah Birx a déclaré à CNN que chaque vache aux États-Unis devrait être testée chaque semaine contre la grippe aviaire et que chaque travailleur devrait également être testé en piscine.
Birx a fait cette recommandation absurdement impraticable malgré les faits que a) il y a peu ou pas de mortalité chez les bovins infectés par la grippe aviaire, b) les États-Unis. La Food and Drug Administration (FDA) n’a pas encore modifié les directives concernant la consommation de lait cru ou pasteurisé et c) que cette utilisation irresponsable des tests de diagnostic générerait un grand nombre de faux résultats positifs.
Même si l’on considère ses performances pendant la COVID-19, Birx doit savoir que ces tests nouveaux détruiront la fiabilité des tests de PCR, dont la spécificité est très discutable au départ.
La réalisation de telles recommandations impraticables et contre-productives est une quintessence de la « porno de la peur », et demander à des faire des tests semble être une tentative délibérée de provoquer la panique, et peut-être même de générer des cas faussement positifs.
Un autre exemple de l’approche «préparation à la pandémie » a été l’affirmation récente de l’Organisation mondiale de la santé (OMS) selon laquelle un patient au Mexique est mort en avril 2024 en raison de la grippe H5N2.
Même en écartant la question pertinente, étant donné que le virus H5N2 est une souche entièrement différente de celle du virus H5N1, la réclamation était fausse. Le Secrétaire mexicain à la santé a purement et simplement réfuté l’affirmation de l’OMS. L’OMS a par la suite reconnu que leur affirmation était incorrecte.
La déclaration initiale et fausse de l’OMS a été largement rapportée dans les médias traditionnels. Cependant, leur rétractation a été pour la plupart enterrée, et les rares rapports de la rétractation qui ont été publiés ont été trompeurs.
Un rapport de l’ABC d’une Mary Kekatos reconnaissant la rétractation à tort affirmant que l’OMS avait déclaré que le patient était « mort avec la souche H5N2 de la grippe aviaire ».
Juste une semaine plus tôt, Kekatos elle-même avait écrit un article sur la description de l’OMS de l’affaire intitulée « 1er cas humain mortel de sous-type de grippe aviaire confirmé au Mexique : OMS ».
Il convient de noter que le rapport initial de l’OMS décrit explicitement « un cas d’infection humaine par le virus de la grippe aviaire A(H5N2) confirmé ».
Même dans les rares cas où les médias traditionnels rapportent des données réfutant la pandémie de « peur de la pornographie », ils semblent incapables ou peu disposés à le faire avec une honnêteté transparente, et même ces admissions malhonnêtes sont enterrées dans les résultats de recherche sur Internet.
Sur une note plus rationnelle, le Dr. Robert Redfield, ancien directeur du CDC au cours de la première année de COVID-19, a prédit dans une interview à NewsNation que la prochaine pandémie serait la grippe aviaire.
Redfield estime qu’il s’agira d’une version de Bird divulguée en laboratoire, déclarant que « la «recette» pour rendre la grippe aviaire très infectieuse pour l’homme est déjà bien établie», rappelant que la recherche sur le gain de fonctions du virus de la grippe aviaire a été menée en 2012 contre ses recommandations., Conclusion et recommandations
Si, en fait, n’importe quel laboratoire devait libérer le virus de la population par arme dans la population, ce serait l’acte pur et simple d’incendies biologiques au moins l’équivalent de l’évasion initiale du laboratoire de SRAS-CoV-2 du laboratoire Wuhan, et étant donné le précédent établi par la catastrophe de la COVID-19, même une libération accidentelle constituerait un acte inexcusable de meurtre de masse.
Le risque de cette recherche est si grand, la probabilité de fuites – qu’elles soient accidentelles ou délibérées – est si bien établi et si élevé, et les enjeux de la vie humaine sont si potentiellement catastrophiques, qu’il faut arrêter complètement la recherche sur le gain de fonctions.
Dr. Jane Orient, directrice exécutive de l’American Association of Physicians and Surgeons, a formulé les recommandations de bon sens ci-après en réponse à la poursuite du « porno à la papale » H5N1 promue par des personnes telles que Deborah « Scarf Lady » Birx et l’OMS, et les avertissements de l’ancien directeur du CDC, Robert Redfield :
« Nous devons annuler la panique, surveiller et isoler les animaux malades. Même chose pour les humains. Recherche et utilisation de médicaments à des fins de traitement.
« Différez les responsables de la débâcle de la COVID. Permettre la libre discussion des avis.
« Détruisez les stocks viraux dangereux et sécurisez les laboratoires, et sachez qui paie pour la recherche. »
Dans cet ordre d’idées, voici nos recommandations
- Citant la Convention internationale sur les armes biologiques de 1975, a immédiatement mis fin à TOUTES les recherches sur les gains de fonctions aux États-Unis. En tant que Dr. Oriente déclare que cette action doit inclure la sécurisation des laboratoires et la destruction des stocks viraux. Toute résistance ou ingérence dans ce domaine devrait être passible d’une sanction pénale pour les violations du Code de Nuremberg.
- Demandez immédiatement qu’il en soit de même dans tous les laboratoires internationaux (en particulier, mais sans s’y limiter, le laboratoire de Fouchier aux Pays-Bas et l’Institut de virologie de Wuhan). Toujours, annoncer que toute résistance à quelque niveau que ce soit sera considérée comme une violation du Code de Nuremberg.
- Adopter une législation rapide selon laquelle toute propriété intellectuelle associée à une recherche sur les plus-values de fait complète réside entièrement dans le domaine public. Tout vaccin ou thérapeutique développé à partir de telles recherches sera générique et non propriétaire.
- Cesser tous les financements actuels et interdire tout financement futur pour la manipulation génétique des agents pathogènes.
- Les approches de bon sens des virus respiratoires doivent être rétablies, en mettant l’accent sur une bonne hygiène, l’isolement des malades (et non les sains), l’utilisation intelligente et gratuite des thérapies existantes, une approche locale-régionale (et non globale) de la santé publique et l’élimination complète de celles qui ont un bilan d’échec et/ou de malhonnêteté au cours de la période COVID-19 de l’ensemble du processus, y compris l’OMS.
Le moment est venu pour les citoyens d’exprimer haut et fort leurs préoccupations sur cette question aux élus et aux autres personnes compétentes.
Par exemple, les résidents du Wisconsin devraient laisser le gouverneur du Wisconsin Tony Evers, les sénateurs Ron Johnson (R-Wis.) et Tammy Baldwin (D-Wis), et leurs législateurs d’État savent ce qu’ils ressentent pour le laboratoire Kawaoka.
En outre, le président de l’Université du Wisconsin, Rothman, et le conseil des régents devraient entendre tous les anciens de Badger qui ne veulent pas que leur alma mater soit la source de la prochaine pandémie.
L’État de Floride a interdit la recherche de gain de fonctions à l’intérieur de ses frontières. Bien sûr, le gouvernement fédéral devrait faire pression pour agir définitivement pour mettre fin à ces recherches dans le pays et à l’étranger, mais d’autres États devraient toujours suivre l’exemple de la Floride sur cette question. Chaque entité politique, grande et petite, qui interdit la recherche sur le gain de fonctions fait un pas important dans la bonne direction.
Les incendiaires doivent être tirés par les pompiers. Toute l’opération fondée sur la peur et la tromperie, qui est « la préparation à la pandémie », doit être arrêtée. Si ce n’est pas le cas, l’expérience de la COVID-19 se transformera d’un traumatisme unique en son terme à une catastrophe d’origine humaine récurrente.
Initialement publié par Brownstone Institute.
Clayton J. Baker, M.D., est un médecin de médecine interne avec un quart de siècle de pratique clinique. Il a reçu de nombreuses nominations médicales universitaires, et son travail est paru dans de nombreuses revues, y compris le Journal of the American Medical Association et le New England Journal of Medicine. De 2012 à 2018, il a été professeur associé de médecine des sciences humaines et de la bioéthique à l’université de Rochester.
Brian Hooker, Ph.D., est directeur scientifique à la Défense de la santé des enfants et professeur émérite de biologie à l’Université Simpson de Redding, en Californie.
LE CONDITIONNEMENT COLLECTIF
Michel DOGNA
Mode d’emploi qui marche super bien
Ce texte visionnaire est souvent attribué à Aldous Huxley, auteur du Meilleur des mondes ou à Gunther Anders (1956), Extrait de l’obsolescence de l’homme. En fait, il date de 2007 et c’est Serge Carfantan, philosophe et professeur de philosophie qui en est l’auteur (Leçon 163 : Sagesse et révolte).
« Pour étouffer par avance toute révolte, il ne faut pas s’y prendre de manière violente. Les méthodes du genre de celles d’Hitler sont dépassées. Il suffit de créer un conditionnement collectif si puissant que l’idée même de révolte ne viendra même plus à l’esprit des hommes.
L’idéal serait de formater les individus dès la naissance en limitant leurs aptitudes biologiques innées. Ensuite, on poursuivrait le conditionnement en réduisant de manière drastique l’éducation, pour la ramener à une forme d’insertion professionnelle. Un individu inculte n’a qu’un horizon de pensée limité et plus sa pensée est bornée à des préoccupations médiocres, moins il peut se révolter. Il faut faire en sorte que l’accès au savoir devienne de plus en plus difficile et élitiste. Que le fossé se creuse entre le peuple et la science, que l’information destinée au grand public soit anesthésiée de tout contenu à caractère subversif.
Surtout pas de philosophie. Là encore, il faut user de persuasion et non de violence directe : on diffusera massivement, via la télévision, des divertissements flattant toujours l’émotionnel ou l’instinctif. On occupera les esprits avec ce qui est futile et ludique. Il est bon, dans un bavardage et une musique incessante, d’empêcher l’esprit de penser. On mettra la sexualité au premier rang des intérêts humains. Comme tranquillisant social, il n’y a rien de mieux.
En général, on fera en sorte de bannir le sérieux de l’existence, de tourner en dérision tout ce qui a une valeur élevée, d’entretenir une constante apologie de la légèreté ; de sorte que l’euphorie de la publicité devienne le standard du bonheur humain et le modèle de la liberté. Le conditionnement produira ainsi de lui-même une telle intégration, que la seule peur – qu’il faudra entretenir – sera celle d’être exclus du système et donc de ne plus pouvoir accéder aux conditions nécessaires au bonheur.
L’homme de masse, ainsi produit, doit être traité comme ce qu’il est : un veau, et il doit être surveillé comme doit l’être un troupeau. Tout ce qui permet d’endormir sa lucidité est bon socialement, ce qui menacerait de l’éveiller doit être ridiculisé, étouffé, combattu.
Toute doctrine mettant en cause le système doit d’abord être désignée comme subversive et terroriste et ceux qui la soutienne devront ensuite être traités comme tels. On observe cependant qu’il est très facile de corrompre un individu subversif : il suffit de lui proposer de l’argent et du pouvoir ».
N’est ce pas strictement ce qui nous arrive ?
Dr David A. Hughes :
« Qu’y a-t-il dans les
soi-disant “vaccins” COVID-19 ? » —
Preuves d’un crime mondial contre
l’humanité
Par Guy Boulianne, éditeur et journaliste indépendant
Voici un article du Maître de conférences en relations internationales, Dr David
A. Hughes, intitulé “Qu’y a-t-il dans les soi-disant « vaccins » COVID-19 ?
Partie 1 : Preuve d’un crime mondial contre l’humanité” (What is in the so-
called COVID-19 “Vaccines”? Part 1: Evidence of a Global Crime Against Humanity). Cet article a été publié dans le dernier numéro du “Journal
international de la théorie, de la pratique et de la recherche sur les vaccins” (International Journal of Vaccine Theory, Practice, and Research). L’IJVTPR
est une revue savante en libre accès à comité de lecture concernant le développement, la distribution et le suivi des vaccins et de leurs composants.
Tout le contenu est disponible gratuitement et sans frais pour l’utilisateur ou son institution. Les utilisateurs peuvent lire, télécharger, copier, distribuer, imprimer, rechercher ou créer un lien vers les textes intégraux des articles, ou les utiliser à
toute autre fin licite. L’autorisation de l’éditeur ou de l’auteur n’est pas requise, mais les demandes de renseignements et les lettres nous informant de l’utilisation légale de l’un de nos documents publiés sont les bienvenues. Toutes les œuvres sont sous licence Creative Commons License 4.0 NC ND.
David Hugues est né et élevé dans le Lincolnshire. Sa carrière universitaire l’a conduit à travers le monde avant de finalement rentrer chez lui. Après avoir
terminé ses études de premier cycle et de maîtrise à Oxford, David a fait son premier doctorat en études allemandes à Duke University (USA) où il a reçu
deux bourses de recherche de 12 mois pour étudier en Allemagne. Avant de venir à Lincoln, David a obtenu un deuxième doctorat. en relations internationales de l’Université d’Oxford Brookes. Il a ensuite travaillé à l’Université d’East Anglia, au Royal Holloway, à l’Université de Londres, où il
a remporté un prix d’excellence en enseignement, et à l’Université de
Nottingham Trent. Membre de l’Académie de l’enseignement supérieur, David a enseigné toute la gamme des modules de relations internationales et croit fermement qu’il faut amener les étudiants à penser de manière critique.
David Hugues est le responsable du programme de la maîtrise en relations internationales. Auparavant, il a siégé au conseil académique de l’Université et
au comité des affaires académiques du Collège des sciences sociales et a agi en tant que responsable des affaires académiques pour l’École des sciences sociales et politiques. Il a également agi en tant que tuteur de niveau 2, responsable de
l’apprentissage numérique et représentant de l’école au Centre de développement professionnel. Il est spécialisé dans le Covid-19; la propagande; la guerre psychologique; l’impérialisme américain et le marxisme.
Résumé
Entre juillet 2021 et août 2022, des preuves d’ingrédients non divulgués dans les
“vaccins” COVID-19 ont été publiées par au moins 26 chercheurs/équipes de
recherche dans 16 pays différents sur les cinq continents à l’aide d’analyses
spectroscopiques et microscopiques. Bien qu’ils fonctionnent en grande partie
indépendamment les uns des autres, leurs résultats sont remarquablement
similaires et mettent en évidence le danger clair et présent auquel la
population mondiale s’est fait mentir concernant le contenu des « vaccins »
COVID-19. Cela soulève de graves questions sur le véritable objectif des injections expérimentales dangereuses qui ont jusqu’à présent été administrées à 5,33 milliards de personnes (plus des deux tiers de la race humaine), y compris des enfants, apparemment sans leur consentement éclairé concernant le contenu.
Les découvertes surprenantes incluent des structures géométriques à arêtes
vives, des structures fibreuses ou tubulaires, des formations cristallines, des « microbulles » et une éventuelle nanotechnologie à auto-assemblage. Le sang
des personnes qui ont reçu un ou plusieurs “vaccins” COVID-19 semble, cas après cas, contenir des corps étrangers et être gravement dégradé, les globules rouges étant généralement en formation de rouleaux. Prises ensemble, ces 26 études constituent un argument puissant pour que toute la force
de l’investigation scientifique soit portée sur le contenu du “vaccin” COVID-19.
Si les conclusions de ces 26 études sont confirmées, alors les implications politiques sont tout simplement révolutionnaires : un crime mondial contre l’humanité a été commis, dont chaque gouvernement, chaque régulateur, chaque
organisation médiatique établie et toutes les professions ont été complices.
[Voir aussi :
►Un groupe international de scientifiques a découvert que douze marques d’injections de Covid contiennent de l’hydrogel et de l’oxyde de graphène réduit
►Les jeux sont faits : la véritable origine de ce qu’ils appellent Covid-19
►Le VACCIN COVID comme boîte à outils pour fabriquer l’homme que vous serez demain et le dossier Vaccins et virus]
Introduction
En l’espace de 13 mois (juillet 2021-août 2022), des preuves matérielles d’ingrédients non divulgués dans les « vaccins » COVID-19 ont été rendues
publiques par des chercheurs indépendants en Espagne (Pablo Campra, rapports ici et ici; La Quinta Columna, rapports ici, ici, ici et ici), les États-
Unis (Carrie Madej, Robert O. Young, son reportage ici, « Andy Vie », et un chercheur anonyme), l’Afrique du Sud (Zandre Botha), la Pologne (Franc Zalewski), l’Autriche (ici), Australie (scientifiques, médecins et chercheurs anonymes), Israël (Shimon Yanowitz), Nouvelle-Zélande (Robin Wakeling,
suivi ici, et le groupe anonyme Life of the Blood), Allemagne (Bärbel
Ghitalla, Andreas Noack, Holger Reissner, et le Vaccines Education Working Group), Argentine (Martin Monteverde et collègues), Chili (rapport ici),
Royaume-Uni (Philippe van Welbergen, Richard D. Hall et Robert Verkerk),
Canada (Daniel Nagase), France, Corée du sud (ici et ici), et l’Italie.
C’est plus que suffisamment de preuves, provenant d’au moins 26
chercheurs/équipes de recherche distincts dans 16 pays différents sur les cinq continents, pour mettre en évidence le danger clair et actuel auquel la population mondiale s’est fait mentir concernant le contenu des “vaccins” COVID-19.
Quel est le véritable objectif des injections expérimentales
dangereuses qui ont jusqu’à présent été administrées à 5,33 milliards de
personnes (70 % de la race humaine), y compris des enfants et des nourrissons ?
Examiné sous un grossissement puissant, le contenu des flacons semble contenir une variété d’objets et de structures inhabituels pour lesquels les ingrédients déclarés du “vaccin” ne tiennent pas compte. Ceux-ci comprennent des structures géométriques à arêtes vives, des structures fibreuses ou tubulaires, des formations cristallines et des « microbulles ». Le sang des personnes ayant reçu un ou plusieurs « vaccins » COVID-19 apparaît, cas après cas (94 % des cas selon Giovannini et al. 2022), contenir des corps étrangers et être gravement dégradé, avec des globules rouges généralement en formation de Rouleaux. Les
effets sur le sang sont si prononcés qu’une étude a révélé que l’intelligence artificielle peut être entraînée pour détecter la différence entre le sang « vacciné
» et « non vacciné » avec un taux de précision de plus de 98 %.
Certains chercheurs affirment que les artefacts non divulgués contenus dans les « vaccins » COVID-19 s’auto-assemblent en nanotechnologie.
Les résultats présentés dans cet article déplacent le débat sur les « vaccins » COVID-19 vers un nouveau territoire. Les dangers des injections résident non seulement dans les ingrédients déclarés — le PEG toxique des nanoparticules lipidiques,
l’ARNm qui programme le corps humain pour produire des protéines de pointe nocives, etc. (cf. Seneff & Nigh, 2021) — mais aussi, et peut-être pour
une bien plus grande mesure, dans les ingrédients non divulgués. Dans ce qui suit, plus de 100 pages d’images microscopiques démontreront au-delà de
tout doute raisonnable que les “vaccins” COVID-19 ne sont pas ce qu’on nous a dit qu’ils sont, c’est-à-dire des moyens sûrs et efficaces de prévenir la maladie.
Au contraire, ils semblent être fortement chargés de corps étrangers, ainsi que
d’instructions permettant aux cellules humaines de fabriquer des corps étrangers, qui s’avèrent profondément nocifs pour la santé humaine.
Ces corps étrangers sont présents dans toutes les grandes marques : BioNTech-Pfizer, Moderna, AstraZeneca, Johnson & Johnson, et autres. Il apparaît donc, d’après ce que nous savons jusqu’à présent, que tous les fabricants, tous les régulateurs et tous les gouvernements, avec le soutien des médias de
l’establishment, sont complices de, et doivent activement avoir conspiré pour commettre, ce qui équivaudrait au crime le plus grave contre l’humanité de tous les temps, c’est-à-dire la tentative d’injection de toute la race humaine (à l’exception des auteurs) avec des substances/technologies toxiques non
divulguées sans le consentement éclairé de quiconque. Il ne peut y avoir de recherche plus urgente à notre époque que celle des « vaccins » COVID-19.
IJVTPR-Covid-19-Part1-Global-Crime
Conclusion
Cet article présente les preuves de 26 études sur le contenu des « vaccins» COVID-19 menées dans 16 pays différents sur cinq continents sur une période
de 13 mois, de juillet 2021 à août 2022. Toutes convergent vers des résultats similaires pointant vers des ingrédients non divulgués. dans les “vaccins”.
Pfizer suivi de Moderna semblent être les pires coupables, bien que tous les « vaccins » COVID-19
correspondent au modèle. La conclusion inévitable est que le public de tous les pays s’est fait systématiquement mentir sur le contenu des vaccins » COVID-19.
Implications scientifiques
Prises ensemble, ces 26 études constituent un argument puissant pour que toute la force de l’investigation scientifique soit portée sur le contenu du “vaccin”
COVID-19. Comme Lee et al. l’ont dit, « d’autres études, y compris la pleine force des outils de la nanoscience, la nano-ingénierie hybride de vers trans
synthétiques et d’autres approches, devraient être menées dès que possible
» (2022, 260). Il faut faire plus et mieux. Il y a, pour citer Wakeling, « beaucoup
plus de possibilités pour plus de travail pour plus de gens […] Beaucoup plus derecherche citoyenne, un débat solide et une diligence raisonnable sont
nécessaires avant de tirer des conclusions ou de prendre des décisions ».
Pourtant, les signes semblent sombres. Le plus troublant de tous est la prise de sang. Étude après étude, pays après pays, exactement les mêmes résultats apparaissent dans le sang « vacciné », c’est-à-dire des tubes géants, laids, contre nature et translucides assis grotesquement parmi les
globules rouges décimés qui ont été envoyés dans la formation Rouleaux.
Merriam-Webster définit un poison comme « une substance qui, par son action chimique, tue, blesse ou altère généralement un organisme ». Cela semble être le cas ici. Il semble y avoir très peu d’exceptions. Pratiquement
tous les échantillons de sang « vacciné » examinés dans ces multiples études semblent avoir succombé au même sort, alors qu’aucun échantillon « non
vacciné » (autre qu’une poignée revendiquée par van Welbergen) ne semble montrer autre chose que des globules rouges sains. Étant donné que la formation de Rouleaux de globules rouges est normalement associée aux patients atteints de maladies chroniques, « entraîne une altération de la perfusion et de l’oxygénation des tissus », et peut entraîner des caillots sanguins potentiellement
mortels (Kibria et al. 2014 ; Wagner et al. 2013), ces résultats sont dévastateurs,
surtout compte tenu du fait que 5,33 milliards de personnes — plus des deux tiers de la population mondiale — ont reçu l’injection. Quel avenir pour ces personnes ?
Lee et al. (2022, pp. 258-9) citent des études démontrant les dommages graves causés par les « vaccins » COVID-19, y compris le syndrome d’immunodéficience acquise induite par un vaccin (VAIDS), une sensibilité
accrue à diverses infections et cancers, la myocardite et des anomalies neurologiques. Les données de diverses armées révèlent également une
augmentation descrises cardiaques, en hausse de 269 % ; cancers en hausse de 300 % ; péricardite en hausse de 175 % ; l’embolie pulmonaire a augmenté de 467 % ; Syndrome de Guillain-Barré en hausse de 250 % ; irrégularités menstruelles en hausse de 476 % ; la sclérose en plaques a augmenté de 487 % ;
les signalements de douleurs thoraciques ont augmenté de 1 529 % ; la respiration laborieuse observée a augmenté de 1 052 % — tout cela par rapport aux données de base obtenues avant l’administration de tout vaccin COVID-19
(Lee et al. 2022, p. 258 ; voir également Salazar, 2022).
Encore une fois, qu’est-ce que cela présage pour l’avenir ? S’agit-il de sociétés aux prises avec des maladies chroniques là où il y a eu une forte adoption du «
vaccin », dans le contexte de systèmes de santé déjà surchargés?
Des études sur de grands échantillons de sang de patients ayant reçu un ou plusieurs « vaccins » COVID-19, ainsi que sur du sang « non vacciné » et le
contenu du « vaccin » lui-même, doivent maintenant avoir lieu en priorité. En ce qui concerne le premier, des études suffisamment puissantes sont nécessaires
pour enregistrer le nombre d’injections reçues et quand, le(s) fabricant(s), le temps écoulé depuis la dernière injection, l’âge et le sexe du patient, la présence
de problèmes de santé sous-jacents, la nature et l’étendue des déformations sanguines, etc. Il est impératif d’établir dans quelle mesure la signature sanguine
identifiée ci-dessus est présente dans la population des personnes « vaccinées ».
Est-il vrai qu’il existe une différence qualitative entre le sang des patients « vaccinés » et « non vaccinés » ? Si c’est le cas, alors de grandes questions éthiques se posent, comme s’il devrait y avoir des approvisionnements
séparés en sang « vacciné » et « non vacciné » et qui reçoit quel type en cas de transfusion ?
Quelles sont les grandes “fibres” translucides qui semblent apparaître dans presque tous les échantillons de sang des patients “vaccinés” mais pas des patients “non vaccinés” ? D’où viennent-ils ? Comment en sont-ils arrivés à
être si gros (certains approchant apparemment 1 mm), étant donné qu’aucun élément trouvé dans les « vaccins » eux-mêmes n’est aussi gros ? Continuent-ils à grandir ? Comment est-il possible qu’une ou plusieurs injections de 0,25 mL
de « vaccin » créent autant de corps étrangers dans le sang ? La programmation de l’ARNm n’est-elle pas seulement la production de protéines de pointe, mais
également la production et l’auto-assemblage d’autres structures ?
Plus important encore, les objets étrangers présentés ci-dessus restent-ils dans le corps humain ou sont-ils finalement filtrés.
Des études soigneusement conçues et suffisamment puissantes sont donc nécessaires pour tester le sang « vacciné » au fil du temps. Si les corps étrangers sont
progressivement filtrés, alors le « programme de rappel » vise-t-il à conditionner la population à accepter des injections régulières pour que la technologie puisse
être « rechargée » ? Peut-on trouver des remèdes ou des traitements pour aider à se débarrasser de ces corps étrangers ? Peut-on faire quelque chose pour inverser les formations de rouleaux et de bavures des globules rouges vues ci-dessus ?
Celles-ci semblent maintenant être parmi les questions médicales les plus urgentes de notre époque.
Il est important de mener des études approfondies sur le sang « non vacciné ». Si van Welbergen a raison de dire que même les personnes “non vaccinées”
peuvent afficher le type de signature d’analyse sanguine observée chez les “patients vaccinés” (il est le seul scientifique de cet article à faire cette
affirmation), alors soit l’excrétion de contaminants est réelle, soit les gens sont empoisonnés par d’autres moyens que le « vaccin ».
En termes d’analyse du contenu des « vaccins » COVID-19, la première priorité doit être d’utiliser les équipements de microscopie et de spectroscopie les plus avancés disponibles afin de confirmer ou de discréditer les images extraordinaires produites par Life of the Blood à un grossissement de 4 000x. S’il
est vrai que chaque goutte de “vaccin” contient une flotte de nano antennes apparentes, de “cordons” et de “cartes mères”, alors une analyse plus approfondie est nécessaire pour confirmer ce qu’il en est. Il s’agit de savoir si
les corps étrangers présents dans les injections sont bien une forme de nanotechnologie, s’il y a bien auto-assemblage de composants et, si oui, comment cela se fait. S’il s’agit de nanotechnologies, pourquoi y a-t-il tant d’objets dans les « vaccins » mesurant dans la gamme du micron ? Nous avons
besoin de confirmation pour savoir si oui ou non le graphène/oxyde de
graphène/hydroxyde de graphène, ainsi que d’autres métaux comme le bismuth, le titane, le silicium et l’antimoine, sont présents dans les « vaccins ». Nous devons savoir si les « vaccins » contiennent des parasites et d’autres organismes
vivants. Nous devons savoir ce que sont les « gousses », « éclats » et « œufs » identifiés ci-dessus. Et, à la lumière de l’analyse de Wakeling du “vaccin” Afluria Quad, nous devons examiner d’autres “vaccins” non COVID pour
découvrir dans quels autres types de “vaccins” ces composants non déclarés sont présents.
Si les résultats ci-dessus sont confirmés, nous devons savoir qui est responsable des ingrédients non divulgués dans les « vaccins », où se trouvent leurs laboratoires, et nous devons mettre ces laboratoires en pièces.
https://vk.com/video_ext.php?oid=470962009&id=456241084&hash=057e1b8ae37bc30c&hd=2
Comité spécial sur la pandémie de COVID-19 (Special Committee on COVID- 19 pandemic) avec la présidente des marchés internationaux chez Pfizer,
Janine Small. Parlement européen. (10 oct. 2022)
Implications politiques
Le rôle des régulateurs dans tout cela, incarné par leur mantra selon lequel les « vaccins » COVID-19 sont « sûrs et efficaces », est horrible. Comme le notent
les chercheurs autrichiens, de simples microscopes optiques avec un grossissement relativement faible sont suffisants pour capturer des preuves de particules surdimensionnées. Pourquoi donc l’Institut Paul Ehrlich n’a-t-il pas
détecté ces particules ? La Quinta Columna demande de la même manière : étant donné qu’il existe des « multitudes de particules de taille microscopique » dans les « vaccins » COVID-19, pourquoi l’EMA n’a-t-elle pas relevé cela ? C’est pareil partout dans le monde. Les médecins coréens, par exemple, écrivent :
« Il est étonnant pour nous, en tant que médecins cliniciens et chercheurs en
exercice, qu’il n’y ait pas eu d’évaluation microscopique intensive jusqu’à
l’échelle nanométrique avant l’autorisation de mise sur le marché des vaccins
COVID-19 au ministère de la sécurité alimentaire et médicamenteuse en Corée
du Sud […] et ailleurs dans le monde. » (Lee et al. 2022, p. 261)
Van Welbergen souligne le rôle de Dame June Raine à la tête de la MHRA britannique : elle a approuvé l’EUA pour le “vaccin” Pfizer bien qu’elle ait
admis sur la BBC qu’elle n’avait aucune idée de ce qu’il contenait. Lorsqu’elle a été pressée de demander à Pfizer les ingrédients, Pfizer a simplement refusé de
les divulguer, mais Raine a publiquement défendu Pfizer. Le CDC américain insiste, contrairement aux preuves spectroscopiques ci-dessus, sur le
fait que les « vaccins COVID-19 ont subi – et continuent de subir – la surveillance de sécurité la plus intensive de l’histoire des États-Unis » et qu’ils ne contiennent « aucun métal tel que le fer, le nickel, le cobalt, titane, alliages
de terres rares, ou tout produit manufacturé comme la microélectronique, les
électrodes, les nanotubes de carbone ou autres nanostructures, ou les nanofils semi-conducteurs ». Les alternatives éprouvées, sûres et efficaces aux « vaccins », telles que l’hydroxychloroquine et l’ivermectine, ont été rigoureusement supprimées. Robert Verkerk le dit simplement :
les régulateurs sont « en profondeur ».
Cependant, il n’y a pas que les régulateurs. Comme l’observe Wakeling, « des preuves ont été présentées aux gouvernements, aux organismes de réglementation et aux tribunaux, sans aucun effet. Ce n’est pas pris au sérieux.
» Pratiquement tous les gouvernements du monde, en particulier en Occident, ont déployé des efforts considérables pour administrer les injections de «COVID-19 » au plus grand nombre de personnes possible, y compris en étendant le déploiement aux enfants en l’absence de toute preuve scientifique crédible pour le faire. (Hugues, 2022). Dans certains pays, la « vaccination » est
devenue une condition d’emploi dans certaines professions ou de formation.
Une tentative transnationale est toujours en cours pour introduire des « passeports vaccinaux » qui rendraient la participation quotidienne à la société
dépendante de la prise régulière de ces poisons (Tony Blair en est le champion au Royaume-Uni et a reçu le rare honneur de l’Ordre de la Jarretière pour ses
efforts). La profession juridique n’a pratiquement rien à dire sur les tentatives illégales et inconstitutionnelles de gouvernements après gouvernements d’imposer une « vaccination » de masse. Les médias de l’establishment ont
facilité une attaque de propagande 24 heures sur 24, 7 jours sur 7, terrorisant et faisant honte au public pour qu’il se conforme et diabolisant les « refuseniks »
prétendument responsables d’une « pandémie de non vaccinés ». La profession médicale a été responsable de l’administration des injections (médecins
généralistes britanniques incités à hauteur de 12,58 £ par injection) et de ne pas avoir fourni les informations nécessaires au consentement éclairé. Le milieu
universitaire a maintenu son silence rigoureux habituel lorsqu’il s’agit de vraiment dire la vérité au pouvoir. En somme, toutes les professions ont manqué
simultanément à leur devoir envers le public. Tous sont complices de ce qui se
joue actuellement.
A moins que les 26 chercheurs et équipes de recherche évoqués dans cet article ne se trompent tous lourdement, nous nous penchons sur ce que le médecin néo-
zélandais Matt Shelton appelle « le plus grand crime de l’histoire, sûrement », c’est-à-dire l’injection de milliards de personnes, sans leur consentement éclairé, avec des substances non divulguées qui
causent manifestement des dommages et dont l’objectif secret ne peut être que néfaste. À tout le moins, nous assistons à la violation la plus flagrante du Code de Nuremberg et à ce que
Richard D. Hall appelle « le plus grand crime jamais commis contre l’humanité
», certainement en termes de nombre de personnes touchées.
De plus, selon Holger Reissner (à 42 minutes, faisant écho à la métaphore de la « micro
lame de rasoir » d’Andreas Noack), la nature semblable à un éclat d’obus du prétendu oxyde de graphène à l’intérieur du corps provoque des souffrances
inutiles et donc, si sa présence est prouvée, constitue un crime de guerre en violation des Conventions de Genève. Selon Maria Zee, si les régulateurs
savaient que l’oxyde de graphène, une substance toxique, était présente
dans les “vaccins”, ils sont responsables d’un génocide.
Les allégations de crimes contre l’humanité, de crimes de guerre et de génocide attirent nécessairement l’attention sur les militaires et soulèvent de sombres
questions quant au véritable objectif des « vaccins », dont nous savons qu’ils n’empêchent ni la transmission ni l’infection du « SARS-CoV-2 » (subramanien
et Kumar, 2021 ; Wilder-Smith, 2021). Même le Premier ministre britannique a affirmé : « Cela ne vous empêche pas d’attraper la maladie et cela ne vous protège pas de la transmettre. » En d’autres termes, les “vaccins” COVID-
19 ne sont pas en fait des vaccins, car ils ne confèrent pas d’immunité et promettent simplement de réduire les symptômes, comme un médicament ou un traitement. Ce n’est qu’en modifiant la définition de « vaccin » que le CDC a pu les inclure dans cette catégorie (Hughes, 2022, p. 210). Bill Gates, Anthony Fauci et d’autres ont admis que l’efficacité des vaccins “COVID-19” s’estompe en quelques mois, mais plutôt que d’abandonner un produit défectueux, ils l’ont utilisé comme prétexte pour pousser des “injections de rappel” — de plus en plus d’injections dans plus et plus la population (Loffredo, 2021). Pourquoi ? Quel est le véritable programme ici ? Ce sujet est abordé dans la partie 2 de
cet article, qui traite des motifs du crime mondial contre l’humanité qui a apparemment eu lieu.
SOURCE — Dr David Hughes : « What is in the so-called COVID-19
“Vaccines”? Part 1: Evidence of a Global Crime Against Humanity ». In:
International Journal of Vaccine Theory, Practice, and Research (COVID
Aftermath). Vol. 2 No. 2 (2022), pages 455-586.
Crowdbunker : info soin Graphene
Ricardo DELGADO de la quinta columna
montre la valeur du glutathion pour éliminer le graphène.
Il conseille de prendre de la NAC pour que le corps fabrique plus de glutathion.
Prendre aussi du zinc et de l’astaxanthine ainsi que de la carcétine ou d’autres antioxydants comme la Vit D3
Il ajoute le charbon marie pour le foie et la mélatonine pure, le soir. Le drame est que la 5Gva être toujours plus activée, ce qui v a stimuler la toxicité du graphène…
LES VARIANTS
Un texte du début 2021 mais qui reste un morceau d’anthologie :
Heureuse année malgré le dernier communiqué d’Olivier Veran il y a 10mn sur France Info : Plusieurs variants ont été détectés simultanément ; il faut s’y préparer.
– Le variant Travolta donne toujours de la fièvre, mais seulement le samedi soir.
– Le variant Suisse reste neutre, quel que soit le test PCR, antigénique ou sérologique.
– Pour le variant Bordelais, pas de souci on a les Médoc.
– Le variant Normand est difficile à prévoir : “P’têt ben qu’oui, p’têt ben qu’non”.
– Le variant Belge serait redoutable, ça finit généralement par une mise en bière.
– Ne craignez plus le variant Chinois, il est cantonné.
– Par contre, le variant SNCF arrivera plus tard que prévu.
– Contrairement aux apparences, le variant du Bénin serait grave voire dangereux.
– En ce qui concerne le variant Italien, vous en prenez pour Milan.
– De son côté, le variant Ecossais se tient à carreau.
– Apparemment, avec le variant Japonais, il y a du sushi à se faire.
– On parle de l’émergence d’un variant Colombien, mais il semblerait que ce soit de la poudre aux yeux.
– S’agissant du variant Moscovite, c’est un méchant virusse.
– Pour sa part, le variant Corse s’attaque au bouleau puisqu’il est transmis par l’écorce.
– Le premier symptôme du variant Breton, c’est quand on commence à entendre le loup, le renard et la belette
Le système de surveillance et de contrôle de l’information de l’ONU vise à centraliser la censure en vue d’une domination mondiale.
Antonio Guterres, le secrétaire général des Nations unies (ONU),
vient de publier le dernier plan de jeu des mondialistes pour le
contrôle de la population, la surveillance et la censure. Le plan de jeu, intitulé Principes mondiaux pour l’intégrité de l’information,
cherche à mettre fin à la « mésinformation nuisible, à la désinformation et aux discours de haine » en ligne, tout en « faisant
respecter les droits de l’homme tels que la liberté d’expression. »
Guterres a présenté le plan de match avec un sentiment d’urgence, ordonnant aux gouvernements, aux entreprises technologiques, aux médias et aux annonceurs de prendre le contrôle et d’établir des récits officiels, tout en étouffant les voix de l’opposition. L’ONU soutient le
contrôle algorithmique de Big Tech sur le flux d’informations en ligne et cherche à contrôler davantage le discours en ligne. Un groupe mondial d’élites cherche à supprimer ce qu’il estime être de la désinformation et cherche à discréditer et à démonétiser les voix dissidentes. Toute la censure émanant des systèmes de pouvoir mondiaux est une guerre contre la liberté d’expression, mais c’est aussi une guerre contre la vérité, de sorte que ces systèmes de pouvoir ne peuvent pas être tenus responsables de leurs abus.
Le système de surveillance et de contrôle de l’information de l’ONU
cherche à centraliser la censure en vue d’une domination mondiale
L’ONU met en place un système de surveillance et de contrôle de
l’information qui élabore des récits autoritaires limitant l’accès à des
connaissances vitales. Ces systèmes de contrôle ne se contentent pas de censurer, ils apprennent aux gens ce qu’il faut dire, comment se comporter et ce qu’il faut penser. L’ONU veut créer un monde de simulacres qui abandonnent leur souveraineté et s’inclinent devant des entités manipulatrices et abusives et de fausses autorités.
Ces algorithmes ou processus d’examen automatisés seront
programmés pour filtrer et supprimer les contenus jugés répréhensibles ou politiquement sensibles. Il peut s’agir de bloquer des sites web, des messages sur les médias sociaux ou des plateformes entières qui critiquent le gouvernement, encouragent la dissidence ou abordent des
sujets sensibles tels que les violations des droits de l’homme ou l’opposition politique.
En période d’agitation politique ou lors de crises fabriquées, les
gouvernements peuvent imposer des fermetures d’Internet ou
restreindre l’accès à des sites web ou à des plateformes de médias
sociaux spécifiques. Cette tactique réduit au silence les voix dissidentes, empêche la diffusion d’informations sur les manifestations ou les abus
des gouvernements et limite la capacité des citoyens à communiquer et à s’organiser. Des exemples de cette tyrannie ont été observés sur la plateforme de médias sociaux Facebook, lorsque Meta a ciblé et fermé des groupes communautaires qui discutaient des lésions causées par le vaccin contre le COVID-19. Toute opposition aux injonctions de
vaccination a été tournée en dérision en tant que « mésinformation » et tous les groupes qui se sont organisés pour la liberté médicale ont été fermés de manière algorithmique ou leur portée a été sévèrement restreinte.
En outre, les technologies de surveillance peuvent être utilisées pour contrôler les activités en ligne en temps réel, suivre les empreintes numériques des individus et identifier les voix dissidentes ou les activistes. Cette surveillance a un effet dissuasif et dissuade les individus d’exprimer des opinions controversées ou de participer au discours politique en ligne.
En manipulant les résultats de recherche, les gouvernements et les sociétés pharmaceutiques peuvent influencer les algorithmes des moteurs de recherche afin de privilégier ou d’occulter certaines
informations sur les traitements des maladies infectieuses, des maladies cardiaques, du cancer et d’autres maladies chroniques. En contrôlant les informations qui apparaissent en tête des résultats de recherche, les entreprises pharmaceutiques peuvent façonner la perception du public,
supprimer les points de vue alternatifs ou promouvoir la propagande et les récits officiels afin que les gens restent malades et reviennent pour obtenir davantage de médicaments et de vaccins qui ne fonctionnent pas.
Les Nations unies abuseront de leur pouvoir pour commander des récits et contourner l’obligation de rendre des comptes pour les actions totalitaires.
Les gouvernements peuvent promulguer des lois et des règlements qui imposent des restrictions sur le contenu numérique, en exigeant par
exemple que les plateformes retirent les contenus « nuisibles » ou « offensants ». Ces lois peuvent être vagues et interprétées de manière large, ce qui permet aux autorités de cibler les journalistes, les militants ou les citoyens ordinaires qui expriment des opinions divergentes. C’est
ce que l’on a vu aux États-Unis lorsque le régime Biden a ciblé la
« douzaine de désinformateurs » qui ont été retirés des plateformes de médias sociaux et démonétisés. Le régime Biden a également dressé une « liste d’interdiction de promotion » pour les livres qui abordaient la question de la vaccination. Le gouvernement fédéral a contraint l’un des
plus grands distributeurs de livres, Amazon, à restreindre l’accès à ces
ouvrages.
Les autorités peuvent cibler de manière sélective les journalistes, les défenseurs des droits de l’homme, les militants ou les membres de communautés marginalisées en les harcelant, en les intimidant ou en les menaçant de poursuites judiciaires. Cela crée un climat de peur et d’autocensure, où les individus s’abstiennent d’exprimer des opinions divergentes ou de plaider en faveur du changement social. L’ONU peut réduire la vitesse de l’internet ou bloquer les canaux de communication tels que les applications de messagerie ou les services VoIP pendant les périodes de troubles et d’incertitude. Cela limite la capacité des individus à communiquer en toute sécurité, à partager des informations ou à coordonner des manifestations ou des actions militantes.
Comme leurs prédécesseurs, ces systèmes de contrôle de l’information
soutenus par l’ONU seront mis en œuvre sans transparence ni
responsabilité, et leurs cibles ne bénéficieront d’aucune procédure
régulière. Cette absence de contrôle permet aux détenteurs du pouvoir de manipuler les flux d’informations sans contrôle public, ce qui exacerbe l’impact de la censure sur les processus démocratiques et les libertés civiles.
Avec cette mesure, l’ONU et ses alliances militaires déclarent pratiquement la guerre à la presse, aux analystes et au journalisme
indépendant.
Traduction de Natural News par Aube Digitale
https://www.aubedigitale.com/lonu-declare-la-guerre-a-la-liberte-
dexpression-pour-censurer-la-verite-detourner-lobligation-de-rendre-des-comptes.
Quel est le rapport entre la 5G et l’oxyde de graphène et la nanotechnologie dans les vaccins Covid ? Interview avec Ricardo Delgado Martin
OU
Comment on fabrique des pandémies !
Kla.TV : Très bien, alors commençons. Bienvenue Ricardo Delgado Martin. Une brève présentation de vous. Ricardo Delgado Martin est le fondateur et le directeur de « la Quinta Columna » (La Cinquième Colonne). Il est diplômé en biostatistiques de l’Université de Séville. Il est titulaire d’un Master en Biostatistiques, diplômé d’études universitaires supérieures en Biologie de la Santé, en Microbiologie Clinique, en Épidémiologie et Immunologie Clinique appliquées, à l’Université Européenne Miguel de Cervantes. C’est également un expert universitaire en génétique à la clinique de l’Université Antonio de Nebrija. Il a un Certificat de contribution scientifique de l’Université de Séville et un Master de troisième cycle en psychologie de l’enfant, un Master en banque et finance de l’Institut supérieur des techniques et pratiques bancaires. Master en formation personnelle, autrement dit, un grand dossier complet. M. Delgado : Merci Angel pour l’invitation, merci également à la chaîne Kla.tv pour la possibilité de présenter nos recherches. Kla.TV : Ricardo, si vous deviez vous décrire, qui est Ricardo Delgado Martin selon vous ? M. Delgado : En fait, puisque l’être humain est probablement soumis à une évaluation et à un changement constants, nous pouvons dire qu’une personne, proche de l’éveil, dans le sens où nous avons réalisé, nous avons constaté que le monde dans lequel nous vivons n’est pas exactement celui qu’on nous a dit. A partir d’un certain moment, j’ai dû laisser de côté tous les grands dogmes et paradigmes officiels qui viennent de ce qu’on appelle la science. Kla.TV : Qu’est-ce que la biostatistique ? M. Delgado : La biostatistique est une branche des statistiques, qui est elle-même une branche des mathématiques, une science exacte, et il s’agit plutôt d’un sujet d’épidémiologie appliqué au domaine de la santé. C’est pratiquement la même chose, ce sont des synonymes. Kla.TV: Très bien. Comment vous est venue l’idée de fonder la plateforme « La Quinta Columna » ? M. Delgado : Cela provient du besoin urgent de former un collectif humain, un groupe d’êtres humains conscients qui ne partagent absolument pas la réalité qu’ils veulent peindre avec ce soi-disant agenda 2030. Puis, à partir de là, petit à petit, la chaîne s’est développée de manière exponentielle, surtout lorsque nous avons décidé d’analyser les flacons, d’abord de Pfizer, puis ceux d’Astra Zeneca, de Moderna et également de Johnson. Dès lors, nous avons, en toute logique, commencé à fournir des informations basées sur l’observation, et à laisser de côté tout ce qui provenait de la version officielle et des articles scientifiques des laboratoires pharmaceutiques eux-mêmes. Kla.TV : J’avais justement cette question : Quelle est votre mission, mais vous avez déjà répondu à cette question. Je suppose que c’est la reconnaissance de toutes ces incohérences et de ces doutes, etc., c’est ce que j’imagine. M. Delgado : À partir d’aujourd’hui, nous pouvons énoncer encore plus clairement la mission de la « Quinta Columna . Il s’agit littéralement de sauver autant d’êtres humains que possible. Car là où ils veulent nous emmener, cela va de la perte de toute forme d’identité et d’humanité intrinsèque, au transhumanisme ou à l’extinction de l’espèce humaine, telle que nous la connaissons. Kla.TV : Pourquoi pensez-vous qu’il n’y a pas plus de biostatisticiens comme vous, ou de personnes dans le monde de la recherche ? Une science dédiée à ces sujets qui analyse et recherche ce sujet concernant le vaccin et l’épidémie, etc. M. Delgado : Il y en a, le problème est que ceux qui savent se taisent, et c’est ce silence complice qui cause la perte d’un grand nombre de vies, et le reste justement obéit et travaille pour le système, bien sûr avec de grosses sommes d’argent sur la table, l’argent du sang, pour le dire précisément. Kla.TV : Eh bien, si nous revenons au début des événements, c’est-à-dire à tout ce que nous avons vécu à travers la prétendue pandémie, comment pourrait-on mieux expliquer, ou présenter ainsi à travers les médias officiels, ce qui nous a été dit, ou ce qui ne nous a PAS été dit, dans ce sens ? M. Delgado : Eh bien, on nous a dit que tout est la conséquence d’un coronavirus qui n’existe pas et que nous avons donc une pandémie, mais la réalité est évidente : un composé chimique toxique a été introduit à l’intérieur du corps, il s’agit d’un génocide. Premièrement, il y a la campagne contre la grippe pour les maisons de retraite puis ensuite vers l’ensemble de la population mondiale. Par conséquent, si nous introduisons un composé chimique qui a une capacité radio modulable qui agit à l’intérieur du corps comme un agent pathogène, nous parlons d’un acte prémédité et conscient, et bien sûr, d’un génocide et non pas d’une pandémie. C’est la raison pour laquelle ils peuvent savoir exactement avec une précision absolue lorsqu’il va y avoir une vague, une deuxième, une troisième qu’ils appellent « variants », et qui n’est qu’une justification des décès causés et de la maladie avec ce qu’ils appellent des vaccins, qui, logiquement, n’en sont pas du tout. Kla.TV : D’accord. A partir de quel moment, ou plutôt à quel moment avez-vous vraiment commencé à soupçonner que quelque chose n’allait pas ? À quel moment avez-vous eu ces doutes ou commencé à ne plus trouver de logique dans tout ce qu’on nous raconte et dans ce que nous vivons ? M. Delgado : Eh bien, pratiquement depuis le début. Au départ, nous pensions qu’il pouvait effectivement exister un type d’agent biologique qui n’était pas ce qu’on nous avait dit. Nous avons commencé à analyser les chiffres en utilisant précisément ceux que peuvent donner les schémas épidémiologiques, nous avons fait des comparaisons avec la grippe saisonnière commune et nous avons pris en compte les contre-mesures qui étaient prises et nous avions également celles de la fameuse grippe A de 2009/2010. Tout cela nous a fait soupçonner qu’il y avait derrière cela une opération majeure : le célèbre Event 201 organisé à New York le 18 octobre par la Fondation Bill et Melinda Gates, l’Université John Hopkins et le Forum économique mondial, et c’est très important. Tout cela était très suspect, et d’autant plus lorsque nous avons analysé le vaccin, c’est-à-dire lorsqu’ils ont commencé à l’injecter et que nous avons vu d’abord l’effet magnétique exacerbé, d’abord dans la zone d’injection, puis propagé à la zone du plexus solaire supérieur, et enfin à la tête qui est le tissu électriquement conducteur du corps. Nous avons donc commencé à voir qu’il pouvait réellement y avoir un matériau ou un nanomatériau qui était injecté à l’homme, et sur la base de tout ce que nous savions déjà, nous en sommes venus à l’hypothèse, avec d’amples indications, qu’il s’agissait d’un dérivé du graphène et enfin nous l’avons prouvé par une analyse préliminaire puis par une analyse finale que nous développerons un peu plus tard. Kla.TV : Nous avons donc entendu dire que jusqu’à présent, le virus du SRAS Cov2, c’est-à-dire le virus censé causer ce COVID 19, n’a jamais été isolé ni séquencé. Que signifie isoler ou séquencer un virus ? M. Delgado : Dans ce nouveau cas, le séquençage et l’isolement d’un agent biologique viral de type Covid signifierait avoir la séquence exacte des nucléotides et la combinaison de toutes ces paires qui ne donnaient pas l’impression qu’il s’agissait de 29 800, ou environ 30 000 paires de nucléotides. C’est un format ADN, c’est-à-dire qu’il n’y en a pas. Ce que vous avez est une construction virtuelle assemblée avec un algorithme informatique qui s’appelle aussi MUSCLE, c’est-à-dire que ce sont des virus en silicium ou des virus chimériques, c’est comme ça qu’ils s’appellent, ils n’existent que dans l’ordinateur. Le SRAS Cov2 n’existe pas dans la nature. Ils ont extrait du matériel génétique du mucus de 3 patients atteints de pneumonie ou de 3 patients décédés de pneumonie à Wuhan, précisément différents types de pneumonie, et ils ont essayé de faire une séquence, mais avec seulement une graine initiale, et ils ont extrapolé à partir de là, mais ils n’ont pas eu besoin de le faire, ils ont des logiciels informatiques ! Mais pas seulement avec cet agent biologique, mais aussi avec tous les précédents. Il n’existe donc aucune véritable connaissance du séquençage de la nature du SRAS Cov2. Personne ne l’a. S’ils l’avaient eue, ils auraient fabriqué un vaccin traditionnel atténuant l’agent. Il n’existe pas non plus de laboratoire capable d’en avoir une culture et il existe déjà environ 180 institutions dans le monde dont le ministère de la Santé, les institutions universitaires de tout type, etc. mais aucune ne dispose de séquençage du SRAS Cov2. Néanmoins, ils se permettent de nous renseigner sur les variants et sous-variants ! Kla.TV : Exactement, donc à un moment donné de l’histoire, à notre connaissance, y a-t-il eu le séquençage d’un virus quelconque ? D’une manière générale, sait-on que certains virus, par exemple, Ebola ?… M. Delgado : Il est possible qu’il y en ait un, Angel, il est possible qu’il y ait un véritable séquençage d’un agent biologique, parce que nous devons également nous demander si ce que nous appelons virus est la conséquence de maladies ou la cause de maladies plutôt que le produit. Il est probable que la virologie actuelle est littéralement découpée et jetée à la poubelle. Nous avons fait croire à tout le monde en fonction des intérêts pharmaceutiques, d’abord la Fondation Rockefeller et maintenant la Fondation Bill et Melinda Gates qui prend le relais, que ce que nous appelons virus ou agents viraux sont la cause de la maladie, alors qu’ils en sont très probablement la conséquence. Et la maladie est causée par des phénomènes de radiation, d’intoxication, etc. comme c’est le cas comme nous allons le voir maintenant avec ce qu’on appelle Covid19. Kla.TV : Alors dès le début il faudrait, comme ils disent, prendre avec des pincettes, qu’il y a peut-être un virus de la grippe, de la variole, de la rougeole, du SIDA, d’Ebola, etc. Je ne sais pas vraiment, si cela en soi a été, comme jamais auparavant, séquencé ou isolé, comme vous dites. M. Delgado : Et il n’y a pas non plus de mythe de contagion en tant que tel, et de plus, il n’a jamais été établi qu’une personne soi-disant infectée par la grippe puisse contracter ou transmettre la maladie à une autre personne par voie aérienne, car il a été démontré que l’information voyage, l’information génétique en tant que messager d’alerte, c’est-à-dire que ce que nous appelons le Coronavirus – ces types d’agents viraux, sont probablement des messages d’alerte inter-espèces pour alerter qu’il existe un phénomène tel que les ondes, qui affecte tout le monde. Le virus synthétise alors une protéine qui va protéger l’individu, non pas pour le tuer, mais pour le protéger. Kla.TV : Afin de préparer l’organisme et le corps humain à réagir d’une certaine manière ou sous une certaine forme. M. Delgado : Exactement, mais ce qui le tue ou le rend malade, c’est les ondes. Il est probable que la grippe commune est saisonnière, il s’agit probablement d’une sorte de rayonnement solaire naturel qui est par exemple, typique en hiver. Kla.TV : Nous posons la question automatiquement, par exemple concernant les vaccins qui nous ont été administrés depuis des générations, qu’est-ce qui a vraiment été injecté à l’être humain, si toutes ces causes virales n’ont vraiment aucune justification ou n’existent pas en tant que telles ? M. Delgado : Je vais vous répondre très rapidement : le mercure sous forme de thimérosal a augmenté la prolifération d’enfants souffrant de troubles nerveux. L’aluminium, c’est précisément à cela que le corps réagit de manière allergique et non à aucun virus atténué, est responsable d’une épidémie d’autisme depuis précisément le moment où il a commencé à être injecté. Dans les vaccins traditionnels dont nous parlons, il existe des solvants qui sont censés dissoudre la membrane lipidique cellulaire, de sorte que l’adjuvant rend le vaccin plus efficace. C’est ce qu’ils nous disent. Des détergents tels que le Polysorbate 80 et le Triton X 100 ont été introduits dans les vaccins traditionnels, mais maintenant il existe ce qu’ils appellent la technologie de l’ARN messager. Il n’y a pas d’ARN messager du tout, la seule chose qui existe est la micro technologie et le graphène. Le graphène est un autre matériau particulièrement toxique à l’intérieur du corps qui s’ajoute à toute cette opération machiavélique qui dure depuis longtemps. Kla.TV : Très bien, en ce qui concerne cet agent toxique, l’oxyde de graphène dont vous parlez, que provoque exactement l’oxyde de graphène dans l’organisme humain ? M. Delgado : La première chose que nous devons comprendre est que lorsque l’oxyde de graphène est à l’intérieur du corps en contact avec des cellules vivantes, il a un comportement magnétique exponentiel, c’est pourquoi nous avons envoyé depuis “La Quinta Columna” un message lorsque nous avons vu de nombreux cas autour de nous. Le phénomène typique où des cuillères et des objets métalliques se collaient carrément sur la zone de la piqûre et ensuite, comme je l’ai dit, dans la zone de la poitrine et de la tête, mais c’était aussi mesurable et ça l’est toujours avec des appareils de mesure électromagnétiques comme celui-ci. Ils émettaient de fortes sources de rayonnement électromagnétique. Nous savons donc que le graphène augmente le signal des antennes téléphoniques en Gigahertz et, avec l’effet transistor, les convertit ou les transfère en Terahertz, afin précisément qu’une micro technologie qui se trouve à l’intérieur du vaccin puisse fonctionner. Le graphène dans le corps entier active la coagulation sanguine, il est utilisé pour réduire les plaquettes et activer la coagulation et il a donc un effet thrombosinopénique. Toutes sortes de maladies apparaissent suite aux thromboses générées par la coagulation due au graphène qui favorise les dommages causés par les ondes. Et les ondes génèrent déjà l’effet de bobine, en empilant les globules rouges, les érythrocytes. Si le graphène l’augmente, vous aurez un effet cumulatif sur la coagulation, en conséquence, il va y avoir des AVC, des embolies, toutes sortes de phénomènes d’accidents cardiovasculaires et cérébrovasculaires, des embolies également en cas de manque d’approvisionnement en sang. Mais le graphène est aussi mutagène à l’intérieur de l’organisme, il a la capacité de moduler des gènes, il génère de la mutagenèse, des altérations chromosomiques et des cancers. Il génère également l’infertilité masculine et féminine. Dans le sperme masculin, il affecte la motilité des spermatozoïdes et génère la stérilité dans pratiquement toute la population, la neurodégénérescence aussi et bien sûr, le cancer mais aussi des arythmies dans le cœur car c’est un matériau supraconducteur et il va se loger précisément là où le magnétisme est provoqué, c’est-à-dire dans le système nerveux central formé par la moelle épinière et les neurones. Dans la tête comme je dis, c’est la neurodégénérescence. Il a plus de capacités dont nous verrons plus tard le but final, et lorsqu’il entre en activité électrique dans le cœur en raison de l’activité cardiaque, le graphène va y être dirigé, agissant comme un supraconducteur, et c’est ce dont il s’agit. Donc, tout le monde connaît déjà les batteries au graphène. Le graphène est aussi un condensateur énergétique : il va stocker l’énergie qu’il reçoit de son environnement, notamment des antennes de téléphonie mobile. Il reçoit cette énergie et peut la décharger. S’il génère des décharges dans le cœur, cela aura pour effet de perturber le rythme cardiaque, provoquant un évanouissement dû au manque d’irrigation cérébrale et, par conséquent, un collapsus, une syncope, un évanouissement, une arythmie avec mort subite et brutale, et c’est également ce que nous voyons aujourd’hui. Et j’oublie l’essentiel : à moyen terme, le graphène est radio dépendant, c’est-à-dire qu’il va absorber le rayonnement micro-onde et en multiplier à la fois la fréquence et ses dégâts. Dès qu’il pénètre dans l’organisme, il commence à libérer des radicaux libres. Le moment venu, il va dépasser un certain seuil du système immunitaire et générer ce qu’on appelle une tempête de cytokines, la fameuse tempête de cytokines à l’intérieur du corps. Comme il s’agit d’une substance toxique, le système immunitaire réagit par une inflammation pour tenter d’empêcher la prolifération de la substance toxique, donc une inflammation systémique ou multi-organique. La tempête de cytokines est éliminée par les poumons. Dieu merci, le corps humain a la capacité de l’éliminer, mais une fois irradié dans les poumons, il génère une pneumonie bilatérale. Nous avons donc déjà un Covid-19 sévère. Le vrai Covid. Kla.TV : Puisque nous parlons d’un syndrome aigu d’irradiation, selon certaines émissions que je vous ai entendu citer, il n’y a pas de législation au niveau de chaque pays, sur la quantité qui peut être émise, ni sur les antennes : quelles valeurs peuvent être émises afin qu’elles n’affectent pas les êtres humains, la santé humaine. Savez-vous quelque chose à ce sujet ? Parce que bien sûr, nous parlions il y a des années d’antennes 2G, 3G, 3G+, 4G, mais à un moment donné, j’imagine que ce rayonnement est évalué de manière à ce que nous puissions savoir s’il est nocif ou non. Jusqu’où peut-on dire qu’il est nocif et qui peut nous protéger de ces ondes ? Officiellement parlant, à qui devrions-nous nous adresser ? M. Delgado : Eh bien, en théorie, aux organismes du comité des radiofréquences dans notre pays par exemple en Espagne ou au Conseil de l’Environnement. Les valeurs qui causent des dommages ces derniers temps dépassent même 500 et mille fois celles autorisées dans notre pays. Les chiffres changent ou varient un peu d’un pays à l’autre au sein de l’Union européenne, mais ceux qui sont déjà donnés comme autorisés dépassent de loin ceux qui affectent la biologie humaine. Par exemple, j’ai là en ce moment si vous regardez l’écran, je ne sais pas si vous voyez quelque chose… enfin, les volts par mètre ou en microwatts par cm², c’est 13, à l’intérieur de la maison il faudrait que ce soit 0,1, c’est-à-dire qu’on parle de 130 fois plus. Maintenant, même si nous avons mis du tissu antiondes sur cette fenêtre et de l’autre côté à l’arrière, je veux dire, c’est fou, ils ont transformé le monde en une soupe électromagnétique. Si nous introduisons également à l’intérieur du corps un matériau qui élève le rayonnement de 3 magnitudes d’onde, qui convertit le Gigahertz des antennes téléphoniques en Terahertz, et c’est précisément là que fonctionne la micro technologie que nous avons également trouvée dans le vaccin, alors nous avons un effet aigu, le syndrome d’irradiation. C’est pourquoi la symptomatologie et le tableau clinique du syndrome aigu d’irradiation correspondent exactement au syndrome Covid. Et un syndrome d’irradiation chronique résultant du fait que la personne ou l’individu est constamment irradié est ce qu’ils ont appelé Covid long. Covid long ou Covid persistant. Kla.TV : En parlant de radiations et de virus, comment expliqueriez-vous ce qui s’est déroulé en 1918 ou 19, je pense à la fameuse grippe, la grippe espagnole, je veux dire, que s’est-il passé alors ? Parce que si nous regardons parfois dans les livres d’histoire, nous voyons des gens avec des protections, avec des masques, etc. Que s’est-il passé, que s’est-il passé exactement à ce moment-là ? M. Delgado : Eh bien, c’est à ce moment-là que les premières ondes radio du spectre électromagnétique ont commencé à être émises globalement et massivement impactant la biologie humaine. A ce moment-là, il y a eu la première altération globale de l’être humain ; en fait, elle a commencé précisément dans les casernes militaires des États-Unis qui ont été le foyer de la prétendue épidémie de ce qu’ils ont appelé le virus H1N1 de la grippe espagnole, ou son variant à ce moment-là. Tout a commencé là, chaque fois qu’il y a eu un saut technologique avec une nouvelle émission de rayonnement micro-ondes. Dans ce cas déjà, nous avons eu une épidémie ou ce qu’ils ont appelé une pandémie. La pandémie de Hong Kong est liée à la pandémie de 1958, qui elle aussi correspondait à une nouvelle émission radiofréquence. La 4G, la 4G+ a coïncidé avec la grippe de 2018. Je me souviens qu’en 2018, le Covid-19 était déjà apparu, au cas où vous ne le sauriez pas, des pneumonies bilatérales sont apparues, des inflammations sur tout le corps pire qu’en 2020. En 2018, selon toute vraisemblance, ils ont déjà introduit du matériel radio modulable avec le vaccin contre la grippe et l’irradiation qui s’en est suivie avec la 4G+. Là, ils ont vu que cela fonctionnait, et lors de la campagne suivante, la campagne 2019-2020, ils ont globalement donné le vaccin à teneur réduite en oxyde de graphène contre la grippe aux personnes âgées dans les maisons de retraite, ce que le Dr Campra a découvert par la suite. Kla.TV : Alors, parlons encore de la grippe espagnole, de cet événement très connu. C’est arrivé et il n’y avait pas de vaccins, il n’y avait absolument rien de cela. Comment se fait-t-il que l’être humain ait la capacité de s’adapter à cela ? Et pourquoi tout à coup, après qu’un nombre effarant de personnes soient mortes soi-disant à cause de la fameuse grippe, que s’est-il passé là, c’est-à-dire comment les êtres humains ont-ils pu s’adapter ? Parce que je comprends donc que les antennes émettaient toujours. C’est-à-dire que notre capacité d’adaptation nécessite un certain temps chez la plupart des gens, mais bien sûr, comment pourrait-on mieux expliquer cela ? Chaque fois qu’il y a une nouvelle radiation, un élargissement du spectre se produit, à partir de ce moment-là, nous avons plus la possibilité de tomber malade ou de ne pas nous adapter, et peut-être que seuls certains sont capables de faire face à cette nouvelle exposition, pour ainsi dire. M. Delgado : Lorsqu’il y a une nouvelle altération de l’environnement, certains survivent, résistent et d’autres meurent, comme c’est le cas dans la nature. Sauf que cela ne correspond pas à la nature, il s’agit d’une nouvelle altération artificielle du milieu. Dans le concept de l’épigénétique, c’est une adaptation par la modulation rapide des gènes, on pense alors à tort qu’on a affaire à un virus ou Coronavirus, qui mais ce n’est qu’une réadaptation de notre ADN par une protéine de synthèse lorsqu’elle est soumise ou irradiée dans ce cas avec une nouvelle longueur d’onde qui n’est pas celle du tissu normal, celle naturelle du soleil par exemple. Kla.TV : Alors ce nouveau rayonnement, la 5G, en quoi est-elle clairement différente de la 2G ou de la 3G, c’est-à-dire quelle est l’ampleur ou de quoi parlons-nous en comparaison ? M. Delgado : Eh bien, il n’y a absolument aucune comparaison possible avec quoi que ce soit. Depuis la 4G+ et surtout la 5G, outre le fait qu’il y a infiniment plus d’électricité ambiante artificielle, infiniment plus de millions d’antennes placées partout dans le monde, il y a un nombre exponentiel élevé de volts par mètre qui traversent la biologie humaine, le règne végétal et tous les êtres vivants en général. Nous voyons également des oiseaux tomber lorsqu’ils changent de fréquence. Surtout, ils tombent en ayant fondu et d’ailleurs, certaines antennes de téléphonie mobile brûlent à cause des ondes qu’elles émettent. On parle aussi de micro-ondes, mais avec beaucoup plus de puissance et également au format AX. Autrement dit, c’est un rayon. La 5G est scalaire et millimétrique, elle envoie un faisceau directement vers la personne qui se connecte ou possède un smartphone. Mais ce n’est pas seulement vers le téléphone, c’est aussi vers les gens, d’après ce que nous savons maintenant. Kla.TV : Mais ce faisceau dont vous parlez, et auquel vous faites référence, cela signifie qu’il n’émet pas toujours. Je veux dire, ce que j’ai du mal à comprendre c’est qu’une antenne normalement si elle fonctionne, elle est censée émettre en permanence, et si elle est en 5G, en quelque sorte, elle devrait toujours émettre. Mais vous me dites que peut-être, ce n’est pas sa finalité, ce n’est pas de diffuser en permanence mais de diffuser seulement à une certaine heure de la journée, à une certaine heure, je ne sais pas. C’est ce que je n’ai pas…. M. Delgado : Ce faisceau, il émet toujours dans un format vectoriel à gradient directionnel, c’est-à-dire qu’il y a un courant qui vous traverse constamment. Mais si un certain type d’appareil électronique doit être connecté à cette fréquence parce que c’est un objet intelligent, par exemple, une couche de bébé intelligente, elle va nous dire quand elle est mouillée ou non, si l’enfant a fait ses besoins ou pas. Dans ce cas, la couche reçoit un faisceau pour tirer cette information automatiquement ou parce qu’elle est requise par l’utilisateur et bien sûr, ce faisceau est une impulsion électromagnétique qui est peut-être aussi la chose la plus dangereuse. Les changements brusques sont les plus dommageables. Ainsi, lorsqu’une personne entre à l’intérieur d’un supermarché avec un certain niveau de rayonnement, elle est protégée par les murs. C’est la raison pour laquelle nous constatons de nombreux évanouissements et syncopes à la sortie des supermarchés, où il y a aussi beaucoup d’ondes. Kla.TV : Alors pour lui donner un nom, nous parlerons donc d’une dose que nous recevons, une dose supérieure à ce qui est sain, à laquelle le corps humain pourrait s’adapter, c’est ça en quelque sorte ? M. Delgado : Exactement. Des doses mesurées en milli sievert, c’est-à-dire que le rayonnement est nocif, soit sous forme d’impulsions, soit à moyen terme, parce que la dose de rayonnement qui s’accumule est absorbée par les tissus. C’est ce qui finit par générer des cancers qui prolifèrent. Tous les dommages causés par les ondes sont précisément ce qui a été décrit comme étant le Covid 19, et ses variants respectifs, car il s’agit d’un syndrome aigu de radiation. Lorsque nous avons vu les études officielles où le syndrome d’irradiation aiguë était comparé au Covid 19… le problème est qu’ils ne l’ont pas vu comme un agent causal, comme la véritable cause, parce qu’ils ne savaient pas, ou ils n’étaient pas conscients que ce dérivé du graphène, l’oxyde de graphène réduit, a été introduit, ce qui augmente les dommages causés par les ondes. En fait, même si c’est proche du rayonnement Tcherenkov, c’est-à-dire environ mille fois plus, le graphène augmente les dommages causés par les rayonnements. Et tout ce que je dis est tiré d’articles scientifiques que j’ai collectés dont le projet CORDIS de l’Union européenne, et nous pourrons continuer plus tard. Kla.TV : Alors juste pour revenir un peu en arrière, Wuhan, quand toute cette histoire macabre a commencé, pour ainsi dire, est-ce là que le rayonnement 5G a été émis pour la première fois ? M. Delgado : Exactement en novembre, fin novembre 2019, à Wuhan, cela a coïncidé, avec l’apparition de ce qu’ils ont appelé un coronavirus inexistant, comme nous l’avons dit dans l’introduction, avec la simple mise en œuvre de la technologie 5G dans une ville de 11 millions d’habitants qu’était Wuhan. Vous me direz que c’est une coïncidence que la prétendue épidémie de coronavirus apparaisse à Wuhan, au même moment et au même endroit où cette technologie a été mise en œuvre pour la première fois avant la vaccination de tous les Chinois contre la grippe ; il faut aussi dire que dans le vaccin contre la grippe, il y avait déjà ce matériau, l’oxyde de graphène, qui est également répertorié dans les brevets. Kla.TV : Ok, ce que vous venez de dire est très intéressant, ou très inquiétant, comment mieux le dire ? Nous avons entendu parler de l’analyse du Dr. Campra qui a trouvé de l’oxyde de graphène. Comment et pour quelles raisons la recherche sur les composants des différents vaccins a-t-elle commencé, c’est-à-dire, quelle en était la raison exactement ? M. Delgado : Eh bien, le Dr Sevillano, qui est un membre important de la Quinta Columna et qui nous accompagne tous les soirs dans les émissions en direct, a déclaré : « Quand ils commenceront à injecter les personnes, nous réaliserons vraiment ce qui se passe. » Jusque-là, nous savions que des personnes tombaient à proximité des antennes de téléphonie mobile ; en effet, 8 antennes sur 10 ont été placées dans les maisons de retraite, on comprend maintenant pourquoi. Nous sommes allés jusqu’à estimer la mortalité en Ehpad. Un autre cofacteur était le vaccin contre la grippe. Il y a eu certains rapports, comme celui de Barbastro, une région ici à Teruel en Espagne, et nous avions noté que pratiquement tous ceux qui n’avaient pas été vaccinés contre la grippe avaient survécu. Il y a eu une mortalité très élevée liée au Covid-19 pour ceux qui ont été vaccinés contre la grippe et une morbidité également due à la maladie. Il y avait des maisons où 80 personnes âgées sont mortes en 4 heures. Aucun agent biologique ne peut faire cela, pas même Ebola mais les ondes, si… Kla.TV : Disons, la coïncidence, appelons ça une coïncidence, je ne sais pas… En même temps, il est difficile de penser que ce soit un agent infectieux, qui est la version officielle donnée par certains, qui puisse provoquer une telle chose dans un tel groupe. M. Delgado : Ce n’est pas la façon dont nous voyons les choses, ni les médecins ni le personnel sanitaire qui ont vu la situation ; beaucoup d’entre eux sont d’accord avec la thèse de la Quinta Columna. Je précise avec la thèse, pas l’hypothèse. Mais quand ils ont commencé les injections et que le phénomène magnétique s’est aggravé, on s’est rendu compte que ce matériau était magnétique, que c’était un conducteur, un supraconducteur et que c’était un condenseur énergétique. De plus, il dégageait des différences de potentiel, une tension importante dans la tête des personnes inoculées. J’ai pu précisément faire l’expérience avec mes parents et avec un multimètre, des courants alternatifs jusqu’à 0,3 et 0,4 Volts sont apparus. C’était fou. Ils pouvaient même allumer une petite LED. Ensuite on a cherché les matériaux : il y en avait un autre aussi, c’était une merveille, c’était le matériau miracle, c’était le graphène, c’était tendance, c’était magnétique à l’intérieur du corps, c’était un supraconducteur, c’était un condensateur d’énergie : il servait pour les futures batteries et il avait également des applications biomédicales dans le domaine des neurosciences qui sont le but de ce fameux transhumanisme qui a suivi. Nous avons reçu un flacon de Pfizer, grâce à la médiation de Rafa Navarro, un policier d’Alicante. Nous étions à un point intermédiaire, la transitivité bien sûr, nous avons fait appel à certaines universités et au Dr Campra, professeur à l’Université d’Almeria. Le Dr Campra de Madrid, diplômé en sciences chimiques mais aussi en sciences biologiques, était responsable de la recherche. Nous lui avons dit : Recherchez comme hypothèse ou soupçon, un dérivé du graphène dans l’échantillon. Et effectivement une semaine plus tard, même s’il doutait au départ qu’il puisse y avoir ce matériau, il nous a dit : Félicitations ! C’est probable. Il existe très probablement des preuves sérieuses de la présence d’un dérivé de graphène dans l’échantillon provenant du rapport préliminaire qui consistait en une analyse microscopique à transmission, une analyse par microscopie électronique TEM, S-TEM et une compatibilité de séquence de lumière ultraviolette. Mais ce n’est que 4 mois plus tard, que non seulement un flacon de Pfizer mais aussi 7 flacons de 4 marques différentes (Pfizer, Astra Zeneca, Moderna et Janssen) qui sont les plus commercialisés dans notre pays, ont été soumis à une Micro Technique Raman qui donnait déjà les pics caractéristiques de tous les matériaux du point de vue physique. Et l’oxyde de graphène réduit est apparu sans équivoque et de manière concluante. Kla.TV : Dans tous les échantillons de différentes marques ? M. Delgado : Dans chacun d’eux. Dans chacun d’eux. Cette matière est assez abondante dans le corps, mais qui plus est, voici la partie inquiétante. Le graphène est l’explication de ce qu’ils ont appelé le syndrome Covid et toutes les morts immédiates et subites auxquelles nous assistons, en dehors de tous les cas de cancer de nos jours. Mais nous avons dit que le graphène lié au domaine des neurosciences est utilisé pour convertir le signal Gigahertz en Terahertz. L’effet secondaire est le syndrome Covid. Mais ces Terahertz sont utilisés pour les micro et nanotechnologies afin qu’ils puissent fonctionner, c’est-à-dire à l’échelle nanométrique et micrométrique. A cette très petite échelle, ces appareils dans le domaine des nanocommunications et des réseaux intracorporels ne peuvent que travailler dans le groupe Terahertz. C’est la raison pour laquelle ils ont introduit l’oxyde de graphène dans tout le corps. Kla.TV : La batterie, l’énergie nécessaire au fonctionnement de cette nanotechnologie. M. Delgado : Exactement, même si cette énergie a généré la mort de millions de personnes et une épidémie qu’ils ont qualifiée ou présentée comme due à un coronavirus, ce n’est qu’un écran de fumée pour continuer à tromper les gens. Kla.TV : Ricardo, cela soulève une question, excusez-moi. Les gens qui n’ont pas été vaccinés, nous n’allons pas appeler cela un vaccin, évidemment. Ils n’ont pas été vaccinés, ni injectés, ni graphénisés, mais ils ont quand même contracté le Covid, comment expliquez-vous cela ? M. Delgado : Nous devons ici faire une parenthèse. Quand on parle de Covid, on parle d’inflammations sur tout le corps. Le vrai Covid, ce sont des inflammations sur tout le corps, une dyspnée, des difficultés respiratoires, car vous avez des niveaux de saturation bien en dessous de la normale, c’est plutôt une pneumonie bilatérale et une tempête de cytokines. Pour le reste, il y a des symptômes mais tout n’est pas équivalent à un test PCR positif, un autre outil qui a été utilisé pour poursuivre cette tromperie massive en faisant croire que tout est positif. Kla.TV : Oui, il semble que tout ait donné un résultat positif pour le Covid, y compris la grippe – il semble que nous n’ayons pas entendu parler de cas de personnes qui avaient seulement la grippe. M. Delgado : Cela faisait longtemps que nous ne pouvions pas croire à ce qui venait des médias, ni aux chiffres ni aux statistiques, probablement tous manipulés. Ici, 47 000 euros ont été payés pour chaque admission et pour chaque décès Covid dans les hôpitaux. Par conséquent, des tentatives ont été faites auprès des patients atteints de pneumonie de faire jusqu’à 15 et 16 PCR, pour tenter de les rendre positifs. Finalement, ce qu’ils ont choisi, c’est de le faire avec de l’eau du robinet, ils obtiennent ainsi leur précieux résultat positif, très facilement. Idem pour le test antigénique. Le test d’antigène déclenche l’immunoglobuline ; nous pourrions dire que c’est plus proche de la réalité, mais le fait est que le graphène déclenche les immunoglobulines à l’intérieur du corps. Ce qu’ils font, c’est que si vous introduisez de la ciguë ou n’importe quel produit toxique, les anticorps neutralisants agiront comme s’il s’agissait d’un pathogène biologique alors que c’est un composé chimique toxique. Donc, ça déclenche les immunoglobulines, vous avez des anticorps neutralisants, et ils vous disent que le vaccin fonctionne. Bien sûr, quand le corps arrive à éliminer ça, au bout de quelques mois, ils vous disent que vous n’avez plus d’anticorps, il faut que vous preniez la deuxième dose, ou la troisième, ou la quatrième, etc. Kla.TV : C’est-à-dire que le graphène se dégrade d’une certaine manière, puis retourne à la charge, afin que cette énergie puisse continuer à s’accumuler dans l’organisme ? M. Delgado : Exactement. En fait, la seule façon d’échapper aux doses est de se retrouver aux soins intensifs de l’hôpital, ou au cimetière, ce que nous voyons malheureusement avec d’innombrables proches, très proches d’ailleurs, qui n’ont pas voulu croire disent-ils, mais il ne s’agit pas de croire ! Nous avons déjà démontré et mis en évidence tout ce qu’il y a à l’intérieur des vaccins. Et aussi une autre chose, le graphène n’a pas seulement été injecté ! Rappelez-vous que tous les éléments de la prétendue protection ou prévention de la maladie contenaient du graphène : les masques contenaient du graphène et ils ont été rappelés. Le FPP2 en contient toujours. (Les gels hydro-alcooliques avec lesquels les enfants se lavaient compulsivement les mains, contiennent également des dispersions d’oxyde de graphène. Les tests PCR sont fabriqués par Nanographic, une entreprise qui commercialise et produit du graphène, les tests antigéniques également. Autrement dit, cela a été introduit partout, également par inhalation. Il y a des gens qui ont présenté le phénomène magnétique sur la poitrine alors qu’ils n’avaient pas été vaccinés, et nous ne doutons pas qu’ils aient également été fumigés. Il existe des brevets pour la dispersion de l’oxyde de graphène dans les biocides, les fongicides, dans les produits phytosanitaires, les pesticides, ainsi que pour améliorer la combustion du kérosène liquide brûlé dans les avions. Donc, ils l’ont probablement fumigé… Kla.TV : A travers ces traînées qu’on voit parfois dans le ciel, qu’on ne connaît pas, je veux dire, on pense que c’est de l’évaporation, etc. Mais en réalité, bien sûr, quand elles persistent, quand elles semblent durer plus longtemps et, à partir de ce moment-là, il faut évidemment se méfier. M. Delgado : Bien sûr. En fait, ce ne sont pas de traînées de condensation de vapeur d’eau normales provenant d’avions qui disparaissent immédiatement. Elles durent jusqu’au lendemain, et tout ce matériau, ainsi que les métaux lourds génèrent également des pneumopathies, tombent au sol et s’incrustent dans les poumons des patients. Kla.TV : Eh bien, Ricardo, qu’en est-il des autres vaccins prévus au calendrier, peut-on leur faire confiance en général ou bien…? M. Delgado : Non. Depuis 2018, avec l’introduction de cette technologie, nous avons découvert qu’elle n’affecte pas seulement le vaccin contre le Covid. Nous avons déjà examiné le vaccin contre la grippe. Hier, ils nous ont envoyé plus d’images, et ces objets ressemblant à du graphène, non identifiés dans ce cas, mais à coup sûr dans les vaccins Covid ; nous avons la caractéristique de ceux du Covid, et une fois que nous connaissons l’image, le relief que forme le graphène, la façon dont il se replie sur lui-même, il est très probable qu’il est inclus dans le calendrier prévu des vaccins, car, en plus, le phénomène magnétique s’observe après la piqûre, même dans le vaccin des enfants. Le vaccin antipneumococcique, Pneumovax, je pense qu’il s’appelle Prevenar 13, Vaxigrip qui est un vaccin anti-grippe, tous ces vaccins contiennent également du graphène. Il s’agit probablement d’une nanotechnologie appliquée aux flacons. Ainsi, depuis 2018 jusqu’à ce jour, le conseil, ou la recommandation de la « Quinta Columna » est surtout de ne rien se faire injecter. Kla.TV : D’accord. Ces personnes qui se sont conformées aux deux premiers vaccins, puis aux rappels et qui ont encore des doutes, je ne sais pas s’ils ont pris les trois vaccins ou s’ils vont continuer à se faire vacciner, que diriez-vous à ces gens ? M. Delgado : Eh bien, ils ont eu beaucoup de chance. Parce que la semaine dernière, je parlais à quelqu’un qui m’a dit qu’il avait reçu deux doses, une de Pfizer et une de Moderna, et qu’il était vivant. Avant-hier encore, nous sommes allés aux obsèques de cette personne. Mort subite et immédiate à l’âge de 36 ans. Encore un autre cas, 34 ans, un garçon qui a eu un cancer fulgurant. Rappelons que le graphène augmente les dommages causés par les radiations et que l’un des effets des radiations est le cancer. Ils arrivent en masse. Il se peut qu’une personne reçoive trois doses, et qu’absolument rien ne lui arrive car elle vit dans un environnement où elle n’a pas de radiations cumulées ; par conséquent, elle n’absorbera pas ce rayonnement. C’est l’arme parfaite pour tuer. Cependant, une personne qui reçoit une dose unique et qui est impactée par des radiations parce qu’elle a une antenne téléphonique et que la durée, disons, d’exposition, est très longue, développera très probablement soit une mort subite comme conséquence de la décharge de graphène dans le cœur, soit une péricardite, une myocardite lorsqu’il enflamme ce tissu, ou une mort subite, toujours en raison de la même conséquence. Ou le fameux Covid long à moyen terme, surtout lorsqu’il commence à l’éliminer par les poumons. Au bout d’un mois et demi, ce matériel commence à être éliminé par les poumons, certaines enzymes entrent en jeu, comme la myéloperoxydase qui tentent de le dégrader, mais, comme il a été irradié alors qu’il était dans les poumons, il génère des inflammations pulmonaires appelées « pneumonie bilatérale ». Kla.TV : C’est-à-dire qu’avec la deuxième et la troisième dose, ce qui se passe en réalité, c’est que ces gens accumulent des radiations, et il arrive un moment où, s’ils reçoivent une irradiation très aigüe, très forte, très intense, disons, c’est là, j’imagine, que les problèmes commencent. Ils ne pourront peut-être pas réagir à temps car il semble que cela provoque des arythmies ? M. Delgado : Foudroyant, c’est foudroyant, oui. Faire du sport, c’est foudroyant car, quand on fait du sport, c’est le cœur qui entre en jeu, et les impulsions électriques cardiaques sont beaucoup plus élevées, alors, comme le graphène est super conducteur, il va y être dirigé. Et une fois là, lorsque vous aurez terminé l’activité, cela générera un choc arythmique mortel ; même avec le défibrillateur, ils ne ramènent pas les gens, idem pour des jeunes dans la vingtaine, des ados, des trentenaires, des sportifs. Il absorbe aussi tous types de rayonnements : les ultrasons, les infrasons, etc… C’est donc la roulette russe. Il n’y a rien dans le vaccin qui mène à développer une quelconque forme d’immunité, bien au contraire ; c’est juste un composé chimique toxique et une micro technologie pour en plus, étiqueter les gens. Kla.TV : D’accord, et à partir de là, pour ces personnes, comme je vous l’ai dit, les deuxième ou troisième doses qu’ils appellent le rappel, puis la pathologie qu’ils appellent le Covid long, ça semble vouloir dire Covid persistant ou quelque chose comme ça ? M. Delgado : C’est ça, du point de vue biologique, nous ne connaissions pas d’agent biologique qui était persistant. Je veux dire, la grippe commune est un autre type de coronavirus, comme ils disent, même si l’oxyde de graphène génère l’effet coronavirus, ils tirent probablement leur nom de là, ils ont dit, “disons que c’est un coronavirus”. N’importe quel coronavirus, soit met fin à la vie de l’hôte, soit l’hôte développe une immunité contre lui, point final. Il n’y a pas de séquelles à vie. Ce qui a des séquelles à vie, ce sont les radiations, et c’est un syndrome, cela devient un syndrome d’irradiation chronique qui figure dans la littérature médico-scientifique depuis plus de 70 ans. Ce n’est pas nouveau. Kla.TV : Très bien, alors, par exemple, au sein d’une même famille, il peut y avoir des membres qui ont développé ce Covid long, ou le Covid pour lui donner un nom d’une manière générale, je suppose que c’est l’affaire de chacun de savoir comment cela est arrivé. M. Delgado : Bien sûr. Cela dépend du rayonnement que vous absorbez, mais aussi des variables intrinsèques de l’individu lui-même tels les niveaux de glutathion. Le glutathion est un antioxydant qui agit précisément contre l’oxyde de graphène car celui-ci génère des radicaux libres. Ainsi, s’il génère des radicaux libres, il oxydera toutes sortes de molécules, provoquant leur mort, et d’autre part, le glutathion endogène, c’est la raison pour laquelle le NAC agit contre le Covid, parce que c’est un précurseur du glutathion ou vitamine D, c’est pour ça que les patients Covid ont de faibles niveaux en vitamine D, parce qu’ils épuisent leurs ressources en essayant de dégrader l’action de l’oxyde de graphène. C’est pourquoi les personnes vaccinées ou celles qui ont effectivement le Covid sont si fatiguées ! Parce que le corps, le système immunitaire travaille constamment, essayant de dégrader l’action du toxique. Donc plus de glutathion chez les jeunes pas trop âgés, beaucoup de glutathion, de sorte qu’ils auront plus de difficulté à avoir réellement le Covid 19. À partir de 65 ans, les niveaux de glutathion chutent, c’est pour ça que ça les a affectés, mais maintenant, ça touche aussi les jeunes s’ils sont vaccinés. Kla.TV : Comment expliquez-vous qu’au début de la pandémie, je me souviens que même les autopsies étaient interdites dans les hôpitaux, comment expliquez-vous que c’était même accepté dans les hôpitaux, que les autopsies ne soient pas pratiquées, qu’ils devaient être incinérés directement ? J’ai entendu, je ne sais pas si c’est vrai que certains médecins, je pense italiens, je ne sais pas s’ils étaient du nord de l’Italie, de Milan, qu’ils sont allés contre cette règle. Qu’ont-ils découvert ? Vous pourriez peut-être mieux m’expliquer. M. Delgado : Oui, Pascual Baco était le médecin, ou l’équipe médicale, qui a ignoré les directives et protocoles génocidaires de l’Organisation mondiale de la santé de l’époque et a pratiqué des autopsies. C’est incompréhensible. La seule explication était qu’on voulait cacher l’arme du crime. Aujourd’hui, si on pratique l’autopsie d’un vrai patient Covid victime d’un syndrome d’irradiation aiguë, on trouvera, et d’ailleurs c’est déjà le cas, de l’oxyde de graphène. Nous avons également trouvé de l’oxyde de graphène dans le sang des personnes injectées. Les équipes allemandes l’ont confirmé, de même que nous avons vu ces images de micro-feuillets d’oxyde de graphène dans tout le corps, après la piqûre. Ensuite, nous avons eu l’occasion de parler à différentes reprises avec Pascual Vasco, ce médecin, quand ils ont fait les autopsies, ils ont découvert que ce qu’ils appelaient Covid était un phénomène thrombotique, ça coagulait le sang, mais c’est le graphène qui fait ça ! Le graphène active la coagulation sanguine. En fait, il est destiné à être utilisé comme traitement antiplaquettaire, n’est-ce pas ? Il provoque également une réduction des plaquettes, c’est-à-dire tout ce qu’ils ont dit que le vaccin faisait au départ, bien sûr, parce qu’il en contient. Kla.TV : Ça ne les intéressait pas, je suppose, à découvrir ce qu’ils faisaient, ou qu’ils appliquaient un protocole, j’imagine très faux, parce que cela semble être… M. Delgado : En fait, on nous a dit de ne pas utiliser l’ibuprofène, qui est un anti-inflammatoire, alors que ce que l’ibuprofène sert précisément à prévenir, c’est l’inflammation provoquée par le Covid, en tant que premier signe de la maladie. De plus, le paracétamol est toujours administré, et le paracétamol, c’est le contraire, il est contre-indiqué car c’est l’antidote de la N-acétylcystéine, qui serait efficace. . Kla.TV : Donc, l’un est un oxydant et l’autre est un antioxydant. M. Delgado : Exactement. Exactement… Kla.TV : D’accord. Mis à part l’oxyde de graphène, qu’a-t-on trouvé d’autre dans la composition ou les ingrédients du prétendu vaccin ? M. Delgado : Eh bien, le Dr Campra a commencé à identifier des modèles artificiels. Par la suite, il a lui-même publié un autre rapport. La « Quinta Columna » a publié un autre rapport daté du 14 janvier de l’année 2022 avec des échantillons très, très, très clairs de microcircuits ; nous avons même identifié ces modèles en comparant avec la littérature scientifique, avec les micro-rectennes, qui sont des ponts redresseurs à diodes, qui font passer du courant alternatif en courant continu. Nous rappelons qu’avec un multimètre, dans la tête des inoculés, nous pouvions mesurer des courants alternatifs allant jusqu’à 0,3 et 0,4 volts. Mais pour que cette micro-technologie fonctionne, cela se fait en courant continu. Nous avons donc découvert ces redresseurs de courant, nous avons trouvé ces formats de micro-rectennes, également des micro-antennes, également le cryptage des communications Codex, des supports logiques, des micro-routeurs qui émettent des adresses MAC (media access control), et n’importe qui peut vérifier cela maintenant. Toute personne vaccinée peut par exemple télécharger l’application Scanner Bluetooth et activer le GPS, puis le Bluetooth, et elle vérifiera que toutes les personnes vaccinées autour d’elle émettent une adresse MAC qui ne correspond à aucun fabricant d’aucun appareil qu’ils ont chez eux. Nous parlons donc de tous les individus qui ont été étiquetés. Nous savons que ce qui est émis, ou ce qu’ils émettent, ce sont au moins des données biomédicales telles la fréquence cardiaque et l’indice glycémique. Mais ils peuvent aussi émettre des signaux vers vous, rappelez-vous que tous ceux qui possèdent un routeur…. Kla.TV : Donc, cela va dans les deux sens. M. Delgado : Dans deux directions. Exactement. Si je veux voir mes voisins, cela s’affiche toujours sur mon téléphone ou lorsque la voisine vaccinée arrive, je sais quand elle est là et quand elle n’est pas là. Kla.TV : Peut-il y avoir une personne non vaccinée, ou au moins… ok. M. Delgado : Voici ma télévision d’un côté, et tous les numéros qui apparaissent sont des adresses MAC, des codes MAC de personnes vaccinées. Nous pouvons même cliquer à l’intérieur de l’une d’elles et connaître la distance approximative qui nous sépare. Kla.TV : Donc ces adresses sont censées se trouver dans votre environnement actuel ou dans votre quartier ? Et peut-être auriez-vous l’audace de leur demander s’ils ont été vaccinés ? M. Delgado : Oui, effectivement. Ce sont des adresses dynamiques. Elles changent toutes les 50 à 52 secondes. Rappelons que dans chaque dose, nous trouvons des dizaines de ces microcircuits dans une seule gouttelette et qu’avec une qualité de grossissement de 100 à 120 grossissements, c’est très clair. Autrement dit, ils ont marqué tous les individus. Mais ils les ont également marqués au niveau intracorporel puis intraneuronal et c’est la chose la plus dangereuse. Il existe de nombreux articles scientifiques. Ils sont tous rassemblés dans les recherches de la « Quinta Columna ». L’oxyde de graphène traverse la barrière hémato-encéphalique qui sépare le cerveau de l’extérieur et le protège des agents pathogènes et des produits chimiques. On comprend désormais pourquoi les tests PCR passent tous par le nez, pourquoi les patchs en oxyde de graphène réduit pour les diabétiques qui souhaitent ne plus se faire piquer et remplacer l’aiguille par ceux-ci. Tout passe par la tête. Le but de toute cette opération est le contrôle comportemental dans le domaine des neurosciences de l’ensemble de la population mondiale. Lorsque l’oxyde de graphène fait moins de 45 nanomètres de long, il va traverser la barrière hémato-encéphalique et se déposer dans les neurones avec lesquels il a beaucoup d’affinité car il a des impulsions électriques et c’est un supraconducteur. Cet oxyde de graphène remplace le réseau neuronal naturel par un réseau neuronal artificiel. La personne est donc parasitée numériquement. Elle peut être connectée à un cloud ou au Meta comme l’appelle Mark Zuckerberg, et être contrôlée grâce à une intelligence artificielle. Cet oxyde de graphène comme nous l’avons dit est magnétique, c’est un support magnétique. Il a donc une capacité de mémoire – flash ! Les souvenirs peuvent être effacés, l’activité neuronale est enregistrée sous forme d’impulsions électriques et surveillée sur un écran de manière à ce que nous puissions même savoir ce que pense l’individu. Vous pouvez effacer des souvenirs et insérer des émotions, insérer des sentiments, insérer des pensées, brisant la synapse neuronale, ce que fait l’oxyde de graphène, et tout cela à distance et sans fil en utilisant bien sûr la technologie 5G. Nous comprenons maintenant pourquoi le président chilien Sebastián Piñeira, lors de l’annonce de la 5G, a parlé d’insérer des émotions et des pensées en même temps qu’il proposait la loi sur les neuro-droits avant la réforme constitutionnelle au Chili. Cela se fait d’ailleurs dans tous les pays. Si les gens ne sont pas conscients de ce qui se passe, je le répète : l’espèce humaine telle que nous la connaissons est perdue et va s’éteindre pour devenir un automate dirigé par une intelligence artificielle selon le bon vouloir des 4 ou 5 du Forum de Davos. Elon Musk, Mark Zuckerberg, Klaus Schwab, etc. Kla.TV : J’imagine que le graphène peut influencer nos décisions à un moment donné, nos pensées comme ils le souhaitent et nous incliner dans un sens ou dans l’autre selon le sujet qui les intéresse. M. Delgado : Cela surprendrait-il quelqu’un s’ils essayaient réellement de nous conditionner à travers les médias, d’acheter telle ou telle chose, de voter pour tel ou tel président, etc. ; s’ils pouvaient le faire avec la technologie et par injection… C’est ce qui se fait actuellement alors que les gens n’en n’ont pas conscience. Cela se fait de manière sournoise. Et oui, à ma connaissance, on peut rendre l’individu ou le groupe d’individus ou la population en général plus docile, plus malléable. On peut les rendre plus dépressifs, plus souples, plus malléables, comme je l’ai dit, plus agressifs. Cela se fait en brisant les synapses neuronales et en excitant certaines zones du cerveau qu’ils connaissent très bien. Rappelons que le Graphene Flagship, une organisation européenne, a dépensé depuis 2013 deux milliards d’euros pour le graphène et 1 000 millions d’euros supplémentaires pour la connaissance du cerveau. Il y a toutes les universités là-bas, dont beaucoup en Espagne. L’Espagne est l’un des pays qui participe le plus, également avec la contribution du neuroscientifique Rafael Yuste, qui a rencontré Obama en 2015 et a donné la clé du cerveau de pratiquement toute l’humanité à l’élite psychopathe de l’Agenda 2030. Kla.TV : Existe-t-il également une possibilité que la nanotechnologie dont vous parlez et le graphène puissent nous être donnés par d’autres moyens que par injection ? Surtout la nanotechnologie car même si le graphène peut se dégrader à un moment donné en fonction, comme vous le dites, du niveau de glutathion de chaque individu, il y a peut-être cette partie dont je sais qu’elle ne se dégrade pas au sein de l’organisme humain. M. Delgado : Les nouveaux cachets auront très probablement également un support magnétique et auront la nanotechnologie de l’oxyde de graphène, de nouveaux cachets comme nouveau traitement qu’ils avaient déjà annoncé en 2018 et qui auront probablement également des microcircuits. Les aiguilles qui ont été éliminées chez les diabétiques qui ont alors eu un grand espoir, ont été remplacées par un patch d’oxyde de graphène réduit à l’intérieur de la joue, soit l’endroit le plus proche du cerveau. La majorité de la population n’est pas consciente de cette folie. Nous devons donc réveiller tout le monde et leur faire comprendre de quoi il s’agit. Et maintenant, nous constatons que ceux qui ont été piqués ne le feront probablement plus parce qu’ils ont vu ce qui se passe autour d’eux et la symptomatologie qu’ils ont acquise, s’ils peuvent encore être en vie pour raconter l’histoire. Mais disons que la fierté humaine, le fait de ne pas reconnaître et de ne pas être honnête, qui se mêle à la vertu de l’intelligence, c’est déjà beaucoup demander à un être humain aujourd’hui, et le résultat fait que ces gens se taisent et ne peuvent pas alerter les personnes autour d’eux. Ce que vous voyons est très triste, très triste. Kla.TV : Vous m’avez parlé du président du Chili, je ne me souviens pas du nom que vous m’avez donné. M. Delgado : Sebastian Piñeira. Kla.TV : Sebastian Piñeira, oui, exactement. Ils disent avoir adopté une loi sur les neuro-droits et la protection des mutants mais ai-je bien lu ? De quoi s’agit-il exactement ? M. Delgado : Eh bien, quiconque en a conscience, si cette information était diffusée à la télévision, ce qui aurait été une information publique, les gens commenceraient probablement à faire un lien avec tout ce que nous avons fait ici directement avec l’analyse des vaccins. Mais nous parlons avec évidence et je répète encore une fois que tout ce que nous disons ici est entièrement démontré et prouvé. Quiconque souhaite obtenir des preuves peut se rendre sur La Quinta Columna.net. ou nous écouter tous les soirs sur notre chaîne Telegram. Peut-on se demander si nos pensées et nos sentiments sont en danger ? Eh bien oui! Les neurosciences et les nanotechnologies ont progressé considérablement dans le dos de la société civile. Il est désormais possible de surveiller ce que pense une personne en fonction des signaux qu’elle émet. Ce que fait le graphène, c’est qu’il amplifie ces signaux que les microcircuits captent et surveillent. Mais pas seulement ! C’est bidirectionnel. D’une part, nous pouvons recevoir les signaux des individus vaccinés, comme illustré ici, mais nous pouvons également leur envoyer des signaux. Lorsque ces émissions de signaux sont dans la tête, lorsque l’oxyde de graphène est fixé dans les neurones, ils peuvent modifier le comportement des synapses neuronales afin que nous puissions faire de l’individu un automate contrôlable, nous pouvons mettre en échec le cerveau d’une personne, ou d’un groupe ou d’une communauté entière au gré d’une intelligence artificielle qui logiquement programme quelqu’un. Tout cela peut être fait ! Et ils ont utilisé l’ignorance et le manque de connaissances de 99 % de la population, y compris de la communauté médicale pour introduire la nanotechnologie et le graphène, bien que l’effet collatéral de l’introduction du graphène accroît les dommages causés par les ondes qu’ils ont fait passer pour le coronavirus et qu’ils ont appelé Covid-19. C’est la chose la plus importante qu’on puisse dire en ce moment. Il n’y a pas d’informations plus importantes que celles que nous donnons ici parce que l’avenir de l’espèce humaine tout entière dans toute l’histoire de l’humanité dépend de cette information. En ce moment, c’est un cauchemar et tous ceux qui en sont conscients regardent au microscope et le vérifient par eux-mêmes. Probablement, dans quelques jours, nous aurons une réunion avec plus de 100 médecins qui vont regarder au microscope. Pouvons-nous dire si cela servira à quelque chose ? Et bien probablement pour sauver au moins ces familles, ce groupe de familles et leur faire vraiment prendre conscience de ce qui se passe. Mais c’est fou, tellement odieux et dégradant et humiliant pour l’être humain qu’on n’arrive tout simplement pas à le croire. Kla.TV : Si les vaccinés faisaient une prise de sang, que trouveraient-ils ? M. Delgado : Eh bien, s’ils font un test sanguin, par exemple un D-dimère, ils verront une implication de la protéine fibrine en raison du déclenchement de la coagulation très élevée, ce qui est très inquiétant. Et cela peut être fait par n’importe qui, c’est un test qui coûte seize euros en pharmacie. Mais si vous effectuez une analyse au microscope optique, vous découvrirez ce matériau, l’oxyde de graphène ou micro-oxyde de graphène dans le sang. Par conséquent, nous verrons les globules rouges qui sont bien visibles au microscope optique et les érythrocytes pratiquement déformés, détruits, amorphes et aussi entassés. Rappelons que le graphène renforce l’irradiation, et l’un des effets des irradiations est de générer l’effet rouleau, qui est la coagulation du sang par l’empilement de globules rouges. Nous allons donc voir des thrombus, cela génère des thrombus, et si vous avez des thrombus, vous avez toutes sortes d’accidents cardio-cérébrovasculaires. Vous avez des embolies cérébrales et pulmonaires, vous avez des hémorragies dues au colmatage d’une artère quelque part et la pression monte ailleurs, vous avez des accidents vasculaires cérébraux, vous avez des crises cardiaques, vous avez une ischémie, toutes sortes de manque d’irrigation sanguine, c’est en fait ce que nous constatons. Kla.TV : À tous ceux qui ne croient pas avoir été inoculés avec du graphène et des nanotechnologies, que diriez-vous ? M. Delgado : Eh bien, je comprends tout d’abord qu’il existe un principe que nous étudions également en psychologie, qui est le principe du déni et que surtout, chaque personne a littéralement peur, car c’est un élément instinctif de la survie de l’être humain que de reconnaître qu’il a commis une erreur. Non seulement cela, mais c’est une sorte de protection, sachant qu’ils ont probablement envoyé leurs parents à la mort, et aussi qu’ils avaient l’intention de le faire avec leurs enfants, s’ils ne l’ont pas déjà fait faire, avec pour le moins, beaucoup de problèmes concernant tout ce que nous savons. Toutes ces informations vont les démolir d’un seul coup, vont démolir toutes les fondations qu’ils ont construites tout au long de leurs trente, quarante ou cinquante ans. Pourquoi ? Parce qu’auparavant, ils croyaient aux institutions, tout le monde, moi y compris, croyait aux institutions. Nous n’avions aucune raison de penser à ce qui se faisait réellement. Mais le doute et la suspicion nous ont fait analyser rapidement et réaliser qu’il y a eu un changement depuis ce qu’on appelle l’Agenda 2030. Et quand ils parlent de développement durable de la société, ils entendent le maintenir en éliminant littéralement les gens et contrôler le comportement de ceux qui restent. La quatrième révolution industrielle. Je leur dirais de regarder au microscope. Ou sinon, d’ici, depuis la Cinquième Colonne, nous leur proposons de venir chez nous s’ils veulent, pour voir un, deux, trois, dix vaccins. Autant qu’ils voudront. Tous les vaccins que nous avons regardés et recréés en Nouvelle-Zélande, en Allemagne, au Royaume-Uni, en Argentine et au Chili ont tous la même composition ! Kla.TV : Bien sûr, j’ai du mal à croire que tant de médecins qui injectent des vaccins et qui savent également qu’il s’agit là d’un vaccin expérimental…ils devraient avoir un doute, ils sont médecins et ils font une expérience. Donc, si je donne ce vaccin à cette personne, peut-être que ça ne fonctionnera pas ou peut-être qu’elle aura pour le moins des effets secondaires. Et ce qu’on ne comprend pas, c’est qu’il n’y a pas plus de protestations dès le départ, pas plus de refus de proposer quelque chose d’expérimental. C’est-à-dire sans aborder la question de ce qui est dedans ou de ce qui n’est pas dedans alors qu’un médecin prête le serment d’Hippocrate. Comment cela n’aurait-il pas pu être envisagé dès le début ? Après tout, il s’agit d’une expérience! M. Delgado : Eh bien, ils ne le recommandent pas aujourd’hui. Il n’est plus recommandé par tant de gens parce qu’ils en ont conscience. Dans notre pays, les 4 premiers médecins qui l’ont recommandé sont décédés. Ils ne sont plus là. Chez nous, nous enterrons un ou deux médecins tous les deux jours. Il y avait des jeunes, des infirmières, des médecins, des chefs de service de chirurgie, etc. Je me souviens de certains noms de ceux qui sont décédés. C’est toujours pareil. Les médecins ont également été payés. Les médecins sont répertoriés dans les politiques de transparence de Pfizer et de Moderna car ils ont reçu une grande somme d’argent par l’intermédiaire de l’organisation à laquelle ils appartiennent, que ce soit le service de santé andalou ou le service public de santé ou individuellement. Ils ont reçu de l’argent pour avoir recommandé cela ! Je pense que c’est, pour eux, une expérimentation de voir à quel point la biologie humaine résiste. Je vais être clair, regardez le degré de dégradation auquel ils ont dévalorisé l’être humain et l’énorme tromperie à laquelle ils ont soumis la population entière. Ils ont dit du vaccin qu’il pouvait provoquer le développement de la maladie. Vous comprendrez pourquoi ce sont justement les vaccinés qui occupent 90 % des unités de soin intensif et les autres 10 % sont dans les cimetières. Ils ont dit que, comme ils ont vacciné beaucoup de gens, c’est normal qu’ils ne se sentent pas bien. Comment ça, c’est normal ? Ceux qui ont reçu trois doses s’entendent dire : « Il vous manque la quatrième ». De celui qui est mort avec la deuxième, ils ont dit, “il aurait dû prendre la troisième”. Kla.TV : Bien sûr, il y a toujours une excuse pour continuer à se faire vacciner et continuer à se soumettre au plan 2030 en fin de compte, car c’est celui-là qui semble, d’une manière ou d’une autre, fixer le cap. Au niveau politique, nous savons déjà que personne ne s’est prononcé ou du moins, presque personne ne s’est prononcé sur ces questions de contenu ou d’analyse des vaccins, etc., surtout lorsqu’il y a un pourcentage de la population qui a crié à haute voix après le « Rapport Campra », comment sommes-nous arrivés dans cette situation ? Est-ce possible de porter plainte devant un tribunal qui la prendra au sérieux et qui lui donnera réellement suite ? M. Delgado : Nous nous proposons chaque jour, le Dr Sevillano, le Dr Campra et moi-même, pour aller au tribunal lorsque nous sommes appelés par le parquet ou par un juge ou magistrat pour témoigner. Nous avons déjà déposé 550 plaintes devant les tribunaux, au Commissariat de Police Nationale qui a pris l’ordre et qui de toute façon, y est obligé, et à la caserne de la Garde Civile. Certaines plaintes ont été portées devant la Haute Cour de Justice, plus précisément ici en Andalousie. Et il y en a qui progressent, mais très légèrement. C’est-à-dire que normalement les juges la gardent dans le tiroir, et quand ils font un appel à témoigner, ils ne l’ont même pas lue. Il est probable qu’ils aient pour slogan de garder le silence sur tout ce qui se passe ici. Au Royaume-Uni, les gens bénéficient même d’une traçabilité et d’une consignation. Ils ont également découvert le graphène et la microtechnologie dans les vaccins et pourtant ils ont particulièrement du mal à faire reconnaître leur plainte ou à ouvrir un procès alors qu’il est démontré et prouvé que tout le monde est tué et que ça n’a rien à voir avec une pandémie ou un coronavirus. Et c’est pourquoi ils savent quand les deuxième, troisième, quatrième et cinquième vagues apparaissent parce qu’ils doivent simplement stimuler la qualité de fréquence du matériel qu’ils contiennent. Et maintenant, ils vous le disent, et il y aura bien sûr d’autres pandémies. Lorsqu’ils excitent de manière technologique ce matériau à l’intérieur, ils peuvent créer et générer toutes les épidémies qu’ils souhaitent, variants de sous-variants, comme ils veulent. Et ils diront encore une fois aux gens qu’il s’agit d’un coronavirus ou d’un variant Omicron ou Deltacron ! Kla.TV : Eh bien Ricardo, pour conclure : quelles sont nos possibilités, nous citoyens ordinaires, à la base, je ne sais pas comment l’appeler, pour contrecarrer de manière efficace toute cette planification macabre actuellement en cours? M. Delgado : Eh bien, la vérité est que c’est extrêmement difficile. Nous nous sommes arrangés pour que de nombreuses personnes se réunissent demain. Nous avons organisé des groupes par provinces et les gens apprennent à se connaître car c’est également bien de faire monter un peu la vibration, compte tenu de la torture psychologique quotidienne par les médias officiels qui servent le forum économique mondial à travers Vanguard et Blackrock. Certains disent : Comment se fait-il que tous les médias disent la même chose ? Parce que tous les médias sont dirigés par le même gars, c’est aussi simple que ça! Sauf pour les médias alternatifs comme Kla.tv et très peu d’autres. Nous en sommes très reconnaissants. Celui qui veut chercher des informations se tourne donc logiquement vers les groupes d’information alternatifs. Nous devons faire quelque chose d’important. Il y a des actions collectives comme des entretiens comme celui que nous faisons actuellement, des plaintes. Nous avons épuisé toutes les voies d’un État de droit démocratique. Mais sommes-nous vraiment dans un Etat de droit démocratique ? Ou est-ce une tyrannie ? Quoi qu’il en soit, que pouvons-nous dire que les gens ne savent pas déjà ? Même ceux qui ont tout gobé. C’est très difficile. Nous devons rechercher une formule commune afin d’une part d’augmenter la masse critique plus que ce que nous faisons actuellement, mais ces gens sont allés jusqu’à payer des personnes pour qu’en tant que porte-parole dans les médias ils mentent et continuent de tromper une grande partie de la population. Une tromperie qui n’est pas une tromperie idéologique ou politique, il s’agit d’une tromperie majeure qui conduit la personne et sa famille à la mort. C’est ce que nous constatons. C’est que cette tromperie n’est pas n’importe quelle tromperie, c’est une tromperie qui mène à la mort. Kla.TV : J’ai entendu dire qu’au Royaume-Uni, ils semblent avoir fait une analyse similaire à celle effectuée par le Dr. Campra, mais j’ai lu qu’elle était même légalement protégée. M. Delgado : … sous surveillance légale. Parce que nous avons aussi la traçabilité et la consignation. Les gens qui ont produit la fiole… nous sommes prêts à témoigner et à jurer la vérité devant un tribunal. Mais là-bas, ils ont la consignation, c’est-à-dire qu’il y a un notaire qui a suivi toutes les traces. … Pourtant, ils auraient dénoncé cela, mais pensez-vous que cela changera quelque chose ? Parce que ce que nous voyons est le quatrième vaccin, le cinquième de la grippe, qui sera le sixième parce qu’il comporte également ce matériau, c’est-à-dire que c’est ce qui est prévu, et quand nous introduisons un matériau de façon globale et simultanée dans la population mondiale entière et que nous l’irradions, cela génère une épidémie, une pandémie, tout ce qu’ils veulent. C’est aussi clair que ça. Kla.TV : Eh bien, j’aimerais que vous donniez un peu d’espoir avec tout ce que vous racontez et que vous voyiez une lumière au bout du tunnel ou quoi que ce soit d’autre. Si c’est une lumière et qu’elle nous mène à un port sûr, alors nous accueillerions favorablement une idée qui pourrait, je ne sais pas, que vous pourriez transmettre et qui pourrait être vraiment efficace comme phrase finale. M. Delgado : À l’heure actuelle, nous devons trouver un moyen de garder espoir dans cette situation, ce qui est très difficile parce que cette technocratie contrôle pratiquement tout, les institutions politiques, judiciaires, financières, de communication, médiatiques, etc. Mais peut-être qu’une solution serait de créer une société alternative de personnes conscientes qui ne croient à absolument plus rien de ce qui est régurgité par les médias officiels. Voyons s’ils nous laissent faire, augmenter la masse critique, être entre nous, rester confiants et tenter de convaincre. Ne pas essayer de convaincre pour convaincre, c’est-à-dire que les informations de La Quinta Columna ne tentent jamais de convaincre qui que ce soit, il faut se convaincre soi-même. On dit bien sûr « regardez dans le microscope ». N’importe quel microscope normal fera l’affaire, s’il y a une trace de vaccin, regardez au microscope et vous êtes censés ne rien voir… On nous dit que les nanoparticules lipidiques de taille nanométrique ne sont visibles qu’au microscope électronique, et bien non ! Là, au microscope optique, vous pouvez tout voir, à la fois le graphène et la microtechnologie. Vérifiez si une adresse MAC est émettrice et si elle a marqué quelqu’un comme du bétail, comme du bétail directement depuis votre téléphone, de même avec vos amis. Nous ne pouvons pas faire grand-chose de plus. Il s’agit actuellement de résister et d’aller vivre en milieu rural loin de toutes les ondes électromagnétiques. Kla.TV : Eh bien, je pense que toutes les questions auxquelles vous avez répondu ont été assez intéressantes et nous n’avons plus de questions pour le moment. Il y a beaucoup d’informations que nous devons diffuser en ce moment et soyez assuré que Kla.tv se chargera de diffuser ce message. Merci d’avoir accepté cette interview, merci beaucoup, et espérons que si à un moment donné dans le futur nous pouvons en avoir une deuxième, eh bien, nous espérons que nous pourrons compter sur vous. M. Delgado : Il y a sûrement plus d’informations et la capacité de les développer, car beaucoup d’informations doivent être données progressivement pour que tout le monde puisse les assimiler. Et merci aussi Angel et un grand merci à cette production de Kla.tv de m’avoir donné l’opportunité de diffuser le travail de recherche pionnier de La Quinta Columna dans le monde. Kla.TV : Merci beaucoup, Ricardo,
👉 PROTECTIONS EFFICACES CONTRE LA 5G ET L’ÉLECTROSMOG ⚠️
Ana Maria Mihalcea,
AGENDA 2030 IS ABOUT NANOTECHNOLOGY AND HUMAN BARCODING
THAT’S WHAT THESE “INJECTIONS” AND “PANDEMICS”ARE ALL ABOUT: THEY ARE AIMED AT INJECTING, INSTILLING, INHALING, INGESTING TOXIC NANOMATERIALS.
The risk evaluation for exposure to nanotechnology products is hindered by the law-protected secrecy of product formulations
https://web.archive.org/web/20040926172352/http://www.nanoscience.gatech.edu:80/dfmoore/nanodangers.ppt
When nanotubes, hailed as the harbinger of nanotech, were injected into rats, 15% of them died quickly. “The highest death rate we had ever seen”.
https://web.archive.org/web/20100619234814/http://www.che.tamu.edu/orgs/groups/Seminario/nanotechnology/PLong_G4_Nanotoxicology_Diego_Gomez.ppt
Graphénisation de l’Atmosphère
2013: confirmation de la présence d’Oxyde de Graphène dans la majorité des analyses d’échantillons de neige et d’eau de pluie
Une vidéo chez Alcyon Pléiades [45]…
Plan de Stérilisation Humaine & de Restriction de la Liberté (https://www.youtube.com/watch?v=t9uhdsg_D2k)
Les extraits concernant la confirmation de la présence d’Oxyde de Graphène dans les analyses d’échantillons de neige et d’eau de pluie sont ici: [61] [62] [63] Selon Dane Wigington, en 2013, l’Oxyde de Graphène était présent dans la majorité des 500 tests effectués dans le Midwest des USA.
Que va dire MomotChi – la célèbre dompteuse de Tchat-Bottés et autres Troll-Bots???
Dane Wigington en 2013: « 50 millions de tonnes d’aluminium, baryum et strontium sont pulvérisées dans l’air chaque année sur la planète ».
Dr Geanina Hagima. Analyse de l’eau de pluie en Roumanie:
Oxyde de graphène, baryum, strontium, silice, aluminium, etc
Bien qu’il y ait beaucoup à rechercher et à confirmer, je présenterai quelques nouvelles informations durement gagnées. Depuis environ deux ans, je constate, avec des gens du monde entier, que la poussière que nous inhalons est magnétisable et qu’il y a des jours où les avions remplissent le ciel de stries persistantes. De plus, nous avons constaté que les sédiments présents dans l’eau de pluie sont magnétisables à 100 %, ce qui ne peut pas être un phénomène naturel. J’ai demandé à plusieurs institutions, dont l’INSP, si elles pouvaient effectuer des déterminations de métaux et de graphène dans la poussière. Soit ils n’ont pas répondu, soit ils ont déclaré qu’ils n’avaient pas la possibilité de prendre de telles décisions, ne montrant aucun intérêt pour ce sujet important.
Afin d’identifier la composition des particules magnétisables présentes dans l’eau de pluie, nous avons collecté en juillet 2023, à Pitesti, l’eau de pluie dans un récipient placé sur la fenêtre du toit de la maison, afin qu’elle ne soit pas contaminée par de la terre ou d’autres fragments. J’ai découvert qu’après chaque pluie, j’identifiais 100 % de sédiments magnétisables dans le pot. Après plusieurs tentatives, nous avons trouvé un laboratoire qui effectuait une analyse semi-quantitative de l’eau de pluie filtrée (sans sédiments) pour rechercher des métaux pouvant expliquer la magnétisation, puis un examen au microscope électronique des sédiments . Lors de l’analyse semi-quantitative, plusieurs éléments ont été identifiés, notamment :baryum, strontium, aluminium, fer, cuivre, zinc, calcium, nickel et quantités faibles mais identifiables de lithium, d’arsenic .
[ extrait de :
Nouvelles des Brigades Anti-Graphène. Août 2023
https://xochipelli.fr/2023/08/nouvelles-des-brigades-anti-graphene-aout-2023/
par xochipelli 2 août 2023
“11 septembre”: la technologie alimente de nouvelles théories
Des recherches plus récentes exposeraient la catastrophe des tours jumelles à des conclusions qui s’éloignent du point de vue officiel.
La plupart des gens se souviennent de ce qu’ils faisaient le 11 septembre 2001, le fameux jour où les tours du World Trade Center se sont effondrées. Au-delà du choc suscité par cet événement, de nombreux citoyens s’attellent toujours à comprendre les arrière-plans de la catastrophe.
Ainsi l’ “Association 11 septembre en question” a-t-elle organisé dernièrement une rencontre à Genève au cours de laquelle tel scientifique travaillant dans le secteur de l’Énergie a présenté une vision revisitée des théories officiellement diffusées, en les mettant à l’épreuve de données scientifiques inédites. Œuvrant derrière les initiales K-J pour conserver l’anonymat, avec l’accord de l’association précitée, cet expert connu de notre rédaction intervient sur internet pour exposer ce qu’il présente comme de nombreuses failles et incohérences des principales théories en circulation. Du fait de la connaissance que nous avons des nouvelles technologies, il entend également ouvrir la porte à des éventualités peu connues à ce jour. Il s’appuie notamment sur les recherches de l’ingénieure Judy Wood développées dans son livre “Where did the towers go?” et de Mark Conlon.
23 ans après la destruction des tours du World Trade Center, comprendre le 11 septembre aujourd’hui, selon K-J, peut nous aider à mieux décrypter les crises et conflits tels que ceux qui se sont développés à l’échelle mondiale, de la crise Covid à la guerre en Ukraine.
Lors de son exposé, K-J a engagé le débat sur deux grandes questions :
L’effondrement des tours a-t-il été créé par des armes à énergie dirigée ?
Selon les preuves disponibles rassemblées dans l’ouvrage précité de Judy Wood, il semble impossible que l’effondrement des bâtiments du World Trade Center ait été causé par le choc des avions ni par des explosifs installés au cœur des tours. Il apparaîtrait plutôt que l’effondrement soit le résultat d’une démolition contrôlée, mais pas de la façon classique que nous connaissons, soit avec des explosifs. Une nouvelle technologie aurait été utilisée. La question étant de savoir laquelle. Certains éléments apporteraient des réponses hypothétiques tout en soulevant de nouvelles questions:
- Un ouragan de catégorie 3 appelé “Erin” a été repéré proche de New York le 11 septembre. Connu dès le 7 septembre, sa présence n’a pas été médiatisée. L’ouragan a pris une trajectoire qui semble impossible. Pourquoi, comment ? S’agit-il d’un exemple de manipulation artificielle du climat ? Il reste à le découvrir. Mais la présence de cet ouragan aurait permis la création d’un champ statique nécessaire à l’exploitation des technologies utilisées pour l’effondrement des bâtiments du World Trade Center.
- Le jour du 11 septembre, il est constaté par les appareils de mesure que le champ magnétique terrestre a été aussi complètement perturbé. Une fois encore, cela semble être le fait d’une manipulation artificielle. Mais quelle technologie permettrait ce résultat ?
- Par ailleurs, le choc sismique provoqué par l’effondrement aurait dû être 30 fois plus fort pour chaque bâtiment. Ce faible choc sismique, en considération de la masse des édifices, peut s’expliquer dans la mesure où les bâtiments se sont transformés en poussière en s’effondrant avant le choc au sol. De même, il est impossible qu’une telle masse produise aussi peu de débris au sol après sa chute. Il s’agirait donc d’une “poussiérisation”, pour reprendre le terme de Judy Wood, plutôt que d’un effondrement ou d’une pulvérisation.
Pour Judy Wood, les nouvelles technologies utilisées pour créer la catastrophe du 11 septembre s’appuient sur l’utilisation de l’énergie libre de Tesla, notamment de l’effet nommé Tesla-Hutchison qui démontre la dissociation moléculaire de matériaux réalisée avec un système à énergie dirigée.
Les avions qui ont percuté les tours étaient-ils réels ou pas?
Contrairement à ce que proposent certaines théories, trop de preuves irréfutables existent et démontrent la réalité ou la présence “des avions” ou d’objets volants dans le ciel. Mais la théorie selon laquelle ils seraient des avions classiques ne fonctionne pas non plus sur la base des preuves disponibles. De fait, s’agit-il réellement d’avions? Pourrait-il s’agir d’hologrammes? Ou plus exactement d’une technologie de projection? K-J n’exclut pas que “les avions” en soi puissent être des armes à énergie dirigée. Une technologie qui aurait déjà été utilisée lors de la première guerre d’Irak.
En conclusion de son exposé, K-J a invité le public à ne jamais s’enfermer dans des concepts, simplement parce qu’ils sont connus et confortables :
En ne cherchant pas à expliquer ce que l’on observe uniquement à partir de systèmes que l’on connaît déjà, nous pouvons rester ouverts à de nouveaux concepts et à l’existence de technologies peu connues jusqu’ici. De cette façon, nous pouvons garder une pensée souveraine en toute situation.
Pour en savoir plus
Sur les recherches de Judy Wood : La vidéo de Jeanne Traduction avec Judy Wood
Sur la question des avions : Le site web de Mark Conlon 911planesresearch.blogspot.com
Le magazine Nexus n°152/mai-juin 2024 a publié un dossier détaillant les principales conclusions de Judy Wood.
Les émissions de K-J : avec Akina sur le Front Médiatique, sur la chaine youtube Histoire et révélations
Les “bébés Covid” entrés en maternelle montrent un retard de développement.
La Dépêche,
.
Le constat est sans appel pour les enseignants qui les accueillent depuis cette année : les “bébés Covid” rencontrent un retard de développement cognitif, a repéré Slate, reprenant des informations du New-York Times. C’est ce que démontre une nouvelle étude américaine parue au mois de juin, qui met en lumière les conséquences engendrées par les confinements successifs, sur les capacités d’adaptation des enfants nés à cette période…
Les «bébés Covid» sont désormais à l’école, et ils ont du mal à suivre.
Certains enfants peuvent à peine parler ou jouer avec les autres.
Les nourrissons ont beau ne pas beaucoup quitter la maison, ils gardent tout de même des séquelles du confinement. Le New York Times a parlé avec une trentaine d’instituteurs, pédiatres et experts de la petite enfance. Leurs expériences confirment ce que la recherche scientifique a commencé à identifier: les «bébés Covid» accusent des retards de développement. Les enfants nés pendant le confinement peinent ainsi, plus que les autres générations au même âge, à tenir un crayon, identifier les formes et les couleurs, communiquer leurs besoins, aller aux toilettes, gérer leurs émotions et interagir avec les autres…
The Pandemic’s Babies and Toddlers Are Now School-Age, and Behind
= Les bébés et les tout-petits de la pandémie sont désormais en âge d’aller à l’école et ont du retard
https://sg.news.yahoo.com/pandemic-babies-toddlers-now-school-113402407.html
https://www.nytimes.com/interactive/2024/07/01/upshot/pandemic-children-school-performance.html
Student Growth in the Post-COVID Era
Research Report: June 2024
Les bienfaits de la saleté pour la santé
📝 EN BREF
- Les preuves démontrent que se salir est l’une des clés d’un système immunitaire sain, d’un taux plus faible d’allergies et d’asthme et d’une meilleure humeur, car cela peut aider à ensemencer votre microbiome cutané et intestinal avec des microbes bénéfiques.
- L’hypothèse de l’hygiène propose que sans exposition aux bactéries, vous courez un risque plus élevé de maladie. À l’inverse, le Farm Effect propose que les enfants et les adultes qui sont régulièrement exposés à la saleté et aux animaux courent un risque plus faible de subir le même phénomène.
- Un jour, la population actuelle sera peut-être connue comme la génération intérieure, car la plupart des gens passent jusqu’à 90 % de leur temps à l’intérieur.
- Le jardinage réduit le stress et vous expose à Mycobacterium vaccae présent dans le sol, dont des études cliniques et animales ont démontré qu’il possède des propriétés anti-inflammatoires qui peuvent affecter l’humeur.
- Profiter du plein air peut aider à réduire vos réactions allergiques saisonnières. Pensez à prendre des probiotiques, à éviter les savons antibactériens, à manger des aliments biologiques et fermentés, et à vous salir les mains dans votre jardin.
🩺Par le Dr. Mercola
L’une des clés d’un système immunitaire sain, d’un taux d’allergies réduit et d’une meilleure humeur pourrait être de se salir. Mais pas n’importe quelle saleté. Il ne s’agit pas de la poussière de votre maison ou de la graisse du garage. La terre dont je parle se trouve dans le jardin, ou dans vos pots si vous vivez en appartement.
Selon l’Asthma and Allergy Foundation of America, environ 1 adulte sur 3 et 1 enfant sur 4 aux États-Unis souffrent d’allergies saisonnières, d’eczéma ou d’allergies alimentaires. En 2021, 81 millions de personnes ont été diagnostiquées comme souffrant de rhinite allergique saisonnière, soit 26 % des adultes et 19 % des enfants. Les allergies saisonnières sont à l’origine de 3,1 millions de journées de travail manquées et coûtent 8 milliards de dollars par an. En d’autres termes, il n’y a rien à redire.
Votre microbiome intestinal, qui est affecté par votre exposition à la saleté, influence également votre humeur, y compris la dépression et l’anxiété. Il existe une relation cruciale entre l’anxiété et la dépression. En 2020 et 2021, les chercheurs estiment que la prévalence de l’anxiété passera de 26,9 % à 31,9 % et celle de la dépression de 28 % à 33,7 %. Ces pourcentages représentent une grande partie de la population américaine.
La première ligne de traitement des allergies saisonnières, de l’anxiété et de la dépression est constituée de médicaments, dont beaucoup sont accompagnés d’une longue série d’effets secondaires. La bonne nouvelle? Des données solides suggèrent qu’en cultivant soigneusement votre microbiome intestinal, vous pouvez influencer le risque et la gravité des allergies et des troubles de l’humeur.
Pourquoi un peu de saleté peut être bon pour la santé
C’est ce qu’on appelle l’effet de ferme ou l’hypothèse de l’hygiène. L’idée de base est que plus vous êtes exposé à la terre et à la saleté, plus votre microbiome intestinal est diversifié et plus votre système immunitaire est fort, ce qui affecte de nombreux processus physiologiques.
L’exposition aux microbes pendant la jeunesse peut réduire considérablement le risque d’asthme et d’inflammation allergique à l’âge adulte. Les chercheurs ont proposé que l’exposition aux microbes associés aux animaux soit un élément clé, mais l’analyse des données publiées révèle des lacunes potentielles et remet en question les expositions spécifiques qui offrent le meilleur effet protecteur.
Une étude publiée en 2016 dans The New England Journal of Medicine a mis en évidence des différences significatives. Les chercheurs ont analysé les taux d’asthme et d’allergies dans les communautés amish et huttérites, qui vivent principalement au Canada et dans le nord-ouest des États-Unis. Bien que les deux communautés vivent de l’agriculture, les familles amish utilisent des méthodes traditionnelles, y compris des outils électriques pour le bétail, tandis que les huttérites utilisent des machines agricoles modernes.
Les chercheurs ont constaté que seuls 10 % des écoliers amish avaient été diagnostiqués comme souffrant d’asthme et d’allergies, alors que jusqu’à 30 % des enfants huttérites souffraient de ces affections. Les chercheurs ont conclu que la poussière des champs pouvait protéger les enfants amish, tandis que le fait d’être à l’abri de l’exposition pouvait accroître la vulnérabilité des enfants huttérites.
Une bonne hygiène a sa place
Le contact avec la nature favorise l’ensemencement du microbiome
Un jour, la population actuelle sera peut-être connue sous le nom de “génération de l’intérieur”. Une enquête menée par la société de fabrication de fenêtres VELUX a révélé que près d’un Américain sur quatre passe toute sa journée à l’intérieur, sans jamais sortir.
En moyenne, les 16 000 personnes interrogées dans 14 pays pensaient passer 18 % de leur journée à l’intérieur, alors que la réalité était de 90 %. Peter Foldbjerg, responsable de la lumière du jour, de l’énergie et du climat intérieur chez VELUX, a déclaré dans un communiqué de presse :
« Avec les pressions de la vie moderne, nous faisons tous partie de la génération intérieure et nous devons comprendre les implications de la vie à l’intérieur et à l’extérieur sur notre santé et notre bien-être lorsqu’il s’agit d’air pollué.
Notre société fonctionne 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7, ce qui nous a déconnectés des rythmes naturels – notre rythme circadien, terme neurophysiologique désignant l’horloge biologique de 24 heures qui anticipe et adapte notre physiologie aux différentes phases de la journée, au cycle de sommeil et d’éveil. Tout cela a un impact sur la qualité de notre sommeil et sur notre santé en général ».
Ainsi, si la première étape consiste à sortir, la seconde pourrait être de mettre les mains dans la terre. Les scientifiques ont découvert le large éventail d’effets bénéfiques des microbes sur la santé mentale et physique. Christopher Lowry, professeur de physiologie intégrative à l’université de Boulder (Colorado), a déclaré au New York Times que lorsque nous sommes à l’extérieur, « nous respirons une énorme quantité de diversité microbienne ».
Une étude finlandaise a révélé que les enfants qui fréquentaient des crèches orientées vers la nature présentaient une plus grande biodiversité dans leur microbiome cutané et leur communauté bactérienne intestinale. Les chercheurs ont trouvé des corrélations entre le microbiote intestinal et leurs systèmes immunologiques, concluant que les résultats :
Les graisses anti-inflammatoires d’une bactérie vivant dans le sol pourraient influer sur l’humeur
L’exposition au sol peut non seulement favoriser les allergies et l’asthme, mais aussi affecter votre humeur. Dans un article de 200417 publié dans les Annals of Oncology, des médecins ont rapporté l’effet de l’injection de SRL172 (Mycobacterium vaccae tué) en même temps que la chimiothérapie pour traiter le cancer du poumon non à petites cellules.
Les chercheurs ont émis l’hypothèse que cela pourrait aider l’organisme à lutter contre le cancer, sur la base d’études antérieures dans lesquelles la suspension a été utilisée chez des personnes atteintes de tuberculose pulmonaire résistante aux médicaments et pour stimuler la réponse du système immunitaire.
En 2010, Dorothy Matthews des collèges Sage, a présenté ses résultats à la réunion annuelle de l’American Society for Microbiology. Ils ont découvert que les bactéries semblaient stimuler l’hippocampe, qui est responsable de la mémoire spatiale et a changé l’humeur des souris car elles démontraient moins de comportement lié à l’anxiété.
« Cela montre simplement que nous avons évolué avec la saleté en tant que chasseurs-cueilleurs », dit-elle. “Alors, éteignez votre télévision et allez travailler dans votre jardin ou marcher dans les bois.
Les activités de plein air peuvent réduire les réactions allergiques saisonnières
Heureusement, il n’est pas nécessaire de vivre dans une ferme pour ressentir l’Effet Ferme. Si la prise de probiotiques et de prébiotiques peut contribuer à réensemencer votre microbiome intestinal et influer sur votre santé globale, plusieurs autres mesures peuvent prévenir les dommages et contribuer à améliorer la diversité de votre microbiome.
Arrêter d’utiliser des savons et des détergents antibactériens — L’eau et le savon ordinaires permettent de se nettoyer les mains, et rien ne prouve que le savon antibactérien offre plus d’avantages.
Assainir son alimentation – Choisissez des aliments issus de l’agriculture biologique et éliminez les produits cultivés avec des semences génétiquement modifiées ou pulvérisés avec des pesticides et des insecticides, car ils détruisent vos bactéries intestinales.
Manger des aliments fermentés – Les légumes fermentés sont peu coûteux et faciles à préparer à la maison. Ils présentent de nombreux avantages pour la santé, notamment le développement du microbiome intestinal.
Allez jardiner – Quel que soit l’endroit où vous vivez, vous pouvez jardiner. Même dans un appartement, vous pouvez cultiver des plantes en pots et vous salir les mains. N’oubliez pas de laisser les gants de jardinage pour tailler les plantes à épines et d’utiliser vos mains nues pour planter.
Se salir – Les enfants adorent se salir, et les adultes peuvent s’en inspirer. Pensez à jouer dans la terre ou la boue, à faire des tartes à la boue, des hôtels à insectes, des jardins de fées ou même de l’art de la boue. Pratiquez un sport de boue comme les courses de boue, le vélo de montagne ou la randonnée. L’idée est simplement de se salir. « Je pense que nous sous-estimons la quantité d’exposition que nous recevons simplement en étant à l’extérieur»
, a déclaré M. Lowry.
Toutes les saletés ne sont pas bonnes à prendre — Évitez de salir les zones polluées qui contiennent des contaminants nocifs et peuvent être malsaines pour les enfants et les adultes. N’utilisez pas de désherbant chimique ou de glyphosate et choisissez la meilleure terre possible pour vos pots et jardins surélevés afin de bénéficier des mêmes avantages que vos plantes.
🔍Sources et références
- The Journal of Allergy and Clinical Immunology, 2021; 148(1)
- The New England Journal of Medicine, 2016; 375
- PR Newswire, May 15, 2018
- The New York Times, April 17, 2024
- Science Advances, 2020;6(42)
- Respiratory Medicine, 2001; 95(6)
SUR LE NET :. Je ne vis pas dans une relation globale. Je vis avec les gens de ma vie, les gens de ma communauté, les gens que je connais et les gens que je choisis… c’est bien de penser globalement, mais rappelez-vous que chaque fois qu’il y a une crise mondiale qui ne se prête qu’à une solution mondiale, c’est le pouvoir qui vous dit quoi faire, car vous ne pouvez rien faire contre la crise mondiale ou contre la solution mondiale.
Ceux-ci sont utilisés pour contrôler la conduite. Et donc, vivre aussi localement que possible est un très merveilleux antidote à la peur qui nous est aspergée par une lance à incendie 24 heures sur 24 ».
Note de TAL :Eteignez cette télévision qui n’a qu’un but : vous hypnotiser avec la peur de drames à venir pour vous faire obéir aux psychopathes qui veulent tuer ou contrôler tous les êtres humains. Informez vous sur les sites qui n’ont pas encore été censurés et agissez localement !
Les 5 BONNES RAISONS pour lesquelles vous ne perdez jamais de poids et ce qu’il faut faire !
Roland REYMONDIER
Chers ami-e-s,
S’il est un problème invalidant pour des millions de personnes c’est bien celui du poids.
Que se passe-t-il au niveau métabolique pour qu’on reste au point mort et que pas plus des cures d’eau que des régimes draconiens ne viennent à bout d’un excès de poids.
J’ai voulu tenter de répondre à ces questions au travers de travaux scientifiques estimables.
Bonne lecture et vraies solutions….
Q : Quel est le premier facteur de prise de poids que les gens devraient rechercher si leurs efforts de perte de poids sont au point mort ?
R : Le premier facteur – et il est important – est la toxicité du foie. Si vous avez un bourrelet de graisse autour de la taille, il se peut que vous ayez ce que l’on appelle communément une « stéatose hépatique ». Qu’est-ce que cela signifie ? Cela signifie que votre foie a cessé de transformer les graisses et a commencé à les stocker. Lorsque le foie est paresseux, tous les organes de votre corps sont affectés, et vos efforts de perte de poids seront bloqués sous presque tous les angles.
Le foie remplit de nombreuses fonctions, notamment le métabolisme des glucides, des protéines et des graisses, ainsi qu’une fonction essentielle de désintoxication pour neutraliser la myriade de toxines qui assaillent notre corps chaque jour. Mais lorsque le foie est surchargé de polluants et de déchets métaboliques, il ne fonctionne plus comme il le devrait et des déséquilibres hormonaux se développent, la graisse s’accumule dans le foie, sous la peau et dans d’autres organes. La cellulite, la prise de poids et l’accumulation de graisse au niveau du ventre sont des signes que votre foie peut être en surcharge toxique, ce qui peut vraiment mettre à mal vos moteurs métaboliques.
Dans le métabolisme des protéines, le foie convertit les acides aminés des aliments en diverses protéines qui ont de nombreuses répercussions sur votre poids. Les protéines jouent un rôle important dans le processus de désintoxication, en aidant à transporter les déchets vers le foie en vue de leur désintoxication et de leur élimination par les reins. De nombreux aliments et d’autres facteurs sont très durs pour le foie, notamment l’excès de sucre, les graisses trans, les médicaments, l’insuffisance de fibres et l’abus de caféine et d’alcool. Ce n’est qu’en rétablissant le bon fonctionnement de votre foie que vous perdrez cette graisse.
Q : Si nous avons un foie fatigué et toxique, comment LA LEVURE PANAKTIV peut nous aider ?
R : LA PANAKTIV nettoie votre foie et remet vos brûleurs métaboliques en marche grâce à une combinaison d’acides aminés soufrés, de choline, d’inositol et vitamines B.
Cela m’amène au deuxième facteur caché de prise de poids dont presque personne ne parle : la bile et la vésicule biliaire.
On ne peut pas parler du foie sans parler de la bile. L’une des raisons pour lesquelles votre foie peut stocker de la graisse est un manque de bile ou une bile congestionnée, ce qui signifie qu’elle est trop épaisse et boueuse. En réalité, sans bile appropriée, votre organisme ne peut pas traiter les graisses alimentaires. Quelle que soit la quantité de bonnes graisses que vous consommez, votre corps ne peut pas les utiliser sans une bile adéquate. C’est la raison pour laquelle de nombreuses personnes ne parviennent pas à suivre les régimes modernes riches en graisses (paléo, régime cétogène, etc.) – la bile est le chaînon manquant.
Votre foie, dans son infinie sagesse, synthétise et sécrète environ un quart et demi de bile par jour, qu’il stocke ensuite dans la vésicule biliaire. La bile est la clé de l’absorption et de l’assimilation des graisses. Elle sert également de décharge toxique pour les produits chimiques, les hormones, les médicaments, les métaux lourds et autres toxines en excès qui doivent être éliminés de l’organisme.
Rappelez-vous que ce sont les graisses, et non les glucides, qui constituent le carburant préféré des milliards de cellules de votre corps. Les membranes cellulaires et les organes vitaux sont constitués de graisses, le cerveau en contenant plus de 50 %. Sans bile adéquate, votre corps ne peut pas absorber les vitamines liposolubles comme la vitamine A (qui combat les infections), la vitamine E (la vitamine de la fertilité), la vitamine K (qui soigne les os) et la vitamine D (la vitamine qui ressemble à une hormone de guérison, qui augmente l’immunité et prévient les cancers du sein et du côlon), ainsi que les acides gras essentiels, y compris les merveilleux oméga-3.
La bile est également le détoxifiant le plus négligé – l’un des principaux mécanismes de détoxification du foie – et les conséquences d’un manque de bile vont donc bien au-delà de l’incapacité à perdre du poids. La quantité de bile que votre corps peut produire est directement proportionnelle au nombre de toxines qu’il peut éliminer.
Nous savons aujourd’hui qu’au moment où les personnes développent des allergies, de l’arthrite et des inflammations articulaires, elles présentent une carence en bile de 75 %, et qu’au moment où elles développent une maladie chronique majeure telle que le cancer ou une maladie cardiaque, leur production de bile est compromise à hauteur de 90 %, ce qui est énorme. Si vous faites partie des millions de personnes qui n’ont pas de vésicule biliaire, ou si vous avez des problèmes de digestion des graisses ou de désintoxication, la bile peut être le chaînon manquant.
Si vous avez subi une opération de la vésicule biliaire, vous vous dites peut-être : « Mais attendez, mon médecin m’a dit que je pouvais très bien vivre sans ma vésicule biliaire ». Eh bien, c’est possible, mais vous ne pouvez pas être en bonne santé sans une bile qui circule librement. Ce liquide miraculeux est nécessaire pour décomposer correctement les graisses en acides gras utilisables et maintenir un taux de cholestérol sain. Si votre foie ne peut pas éliminer les graisses, il est fort probable qu’il ne puisse pas non plus dégrader les hormones ou d’autres déchets métaboliques, ce qui peut entraîner des bouffées de chaleur, des sueurs nocturnes, des kystes, des migraines, une dépression, une prise de poids et d’autres problèmes.
Q : Il semble que la bile change la donne. Que pouvons-nous faire pour résoudre ce problème ? Et que se passe-t-il si nous n’avons plus de vésicule biliaire ?
R : Que vous ayez encore votre vésicule biliaire ou non, il existe des stratégies pour augmenter à la fois la qualité et la quantité de votre bile. J’ai trouvé une combinaison de nutriments comme la choline, l’inositol, les acides aminés soufrés de LA PANAKTIV, ainsi que le soufre de l’huile de Haarlem . Ces nutriments agissent en synergie pour fluidifier la bile et augmenter sa production, ce qui permet à votre organisme d’utiliser correctement ces merveilleuses graisses. Une bile saine réduit également le risque de calculs biliaires et de calculs du canal biliaire, qui sont à l’origine de tant d’opérations de la vésicule biliaire aujourd’hui.
En ce qui concerne les aliments complets, vous pouvez manger plus de betteraves et augmenter votre consommation d’aliments riches en choline tels que les œufs, le poulet et les feuilles de chou. Ajoutez une ou deux cuillères à soupe de lécithine à vos smoothies, car la lécithine est super riche en choline et excellente pour le système nerveux.
Q : J’ai abordé deux facteurs cachés de prise de poids : le foie et la bile. Quel est le prochain facteur dont nous devrions être conscients ?
R : De nombreuses personnes transportent 4,5 à 6,8 kilos supplémentaires de liquide piégé dans leurs tissus corporels, ce qui contribue aux ballonnements, aux bouffissures et à la cellulite. Le dr Elson Haas, MD, a inventé un terme pour cela : la « fausse graisse ». Certains d’entre nous – environ 15 à 25 % – sont plus sensibles au sel que d’autres.
La rétention d’eau peut être causée par un excès de sodium, des sensibilités alimentaires, des hormones, un stress surrénalien et un dérèglement de l’insuline.
La dominance œstrogénique est bien connue pour créer de la rétention d’eau et de sodium. Les œstrogènes modifient la façon dont l’organisme métabolise l’acide aminé tryptophane, nécessaire à la production de sérotonine. Une carence en sérotonine peut entraîner des fringales, une prise de poids et une dépression.
Les sensibilités alimentaires, en particulier l’intolérance au gluten, à la caséine ou au lactose, peuvent amener l’organisme à retenir des liquides supplémentaires. La production d’histamine et d’autres substances chimiques provoque l’expansion et la contraction des vaisseaux sanguins, ce qui entraîne une fuite de liquide dans les tissus et déclenche une inflammation et un gonflement. Cette fuite de liquide s’accompagne souvent de protéines, qui attirent le sodium et encore plus de liquide.
L’excès de sel peut entraîner une rétention d’eau et une « fausse graisse ».
Comme l’excès de sel peut provoquer une rétention d’eau et de la « fausse graisse », mon approche vous encourage à remplacer le sel de table par des herbes (persil, coriandre, fenouil et anis), du jus de citron et d’un gomasio avec algue riche en iode. Si vous utilisez du sel, veillez à ce qu’il s’agisse de sel de mer naturel plutôt que de sel de table, car le sel de mer est moins riche en sodium et apporte d’autres minéraux. Utilisez-le avec parcimonie.
Les fausses graisses peuvent être réduites en profitant des aliments que la nature a conçus comme parfaits pour l’homme. Consommez davantage de légumes et de fruits frais, qui sont généralement riches en potassium. Le potassium est un minéral important qui aide à équilibrer le sodium dans l’organisme. Achetez des produits locaux et, dans la mesure du possible, des produits biologiques pour une saveur et une nutrition optimales. Évitez les aliments transformés, en particulier les bouillons et les soupes commerciales, le pain, les biscuits salés, les fromages, les chips et la charcuterie. Les olives et les cornichons peuvent également avoir une teneur élevée en sel. Les plats préparés dans les restaurants sont également très riches en sel, il est donc préférable d’utiliser sa propre cuisine.
Q : Si une personne ne parvient pas à perdre du poids malgré tous ses efforts, se pourrait-il qu’elle consomme le mauvais type de graisse, voire la mauvaise combinaison de « bonnes graisses » ?
Comparée à d’autres huiles telles que l’huile d’olive ou l’huile de carthame, l’huile de chanvre est celle qui contient la plus grande quantité d’AGL. (kostrez/shutterstock)
R : Absolument ! Le quatrième facteur caché concerne l’insuffisance d’acides gras oméga-6. Mais attendez… Je sens déjà le regard sévère des gourous de la nutrition contemporaine qui, depuis des années, nous mettent en garde contre la surconsommation d’acides gras oméga-6 et la sous-consommation d’acides gras oméga-3 – mais cette question est généralement trop simplifiée et mal comprise.
Les gens reçoivent aujourd’hui une énorme dose d’oméga-6 de mauvaise qualité, provenant en grande partie d’aliments transformés qui contiennent des huiles végétales bon marché, rances, hautement raffinées (et généralement génétiquement modifiées) qui produisent des inflammations, c’est-à-dire des oméga-6. C’est la raison pour laquelle nos ratios oméga-6/oméga-3 sont si déséquilibrés. Cependant, l’augmentation des oméga-3 ne résout que la moitié du problème.
En ce qui concerne les graisses bénéfiques, l’huile de coco et l’acide linoléique conjugué (ALC) ont fait les gros titres ces derniers temps, mais l’acide gamma linoléique (AGL) est une rock star secrète qui n’est jamais mentionnée lorsqu’il s’agit de perte de poids – et c’est un oméga-6. Aujourd’hui, la plupart des gens, même les plus soucieux de leur santé, ont un taux d’AGL très faible. Vous savez mon attachement à l’huile d’ONAGRE et c’est d’elle dont il s’agit !
L’AGL a des effets anti-inflammatoires et aide même à soulager le syndrome prémenstruel, mais en ce qui concerne le métabolisme, l’AGL n’a pas son pareil pour stimuler la « graisse brune ». La graisse brune est le type de graisse métaboliquement active qui est le plus souvent en sommeil chez les personnes en surpoids. La graisse brune se trouve à l’intérieur et autour des organes et contient un plus grand nombre de mitochondries, qui augmentent la dépense énergétique. Dans les années 1980, on a découvert que l’AGL stimulait l’activité de la graisse brune.
La plupart des gens consomment beaucoup de précurseur de l’AGL, l’acide linoléique (AL), mais leur corps n’a pas la capacité de convertir l’AL en AGL pour plusieurs raisons, notamment d’ordre génétique. La conversion de l’AGL est également compromise par la surconsommation de sucre et de céréales raffinées, la résistance à l’insuline, les problèmes de thyroïde ou d’hypophyse, la suralimentation, les régimes végétaliens, les carences en protéines et en vitamines, le stress et d’autres facteurs. Notre capacité à effectuer cette conversion diminue généralement avec l’âge. Si vous êtes bloqué dans vos efforts de perte de poids, un supplément d’AGL peut être la solution pour relancer la machine. Les meilleures sources naturelles sont l’huile de bourrache et l’huile de cassis.
Q : C’est incroyable, une solution si simple ! Alors, dites-nous quel est le cinquième facteur caché ?
R : Enfin, les parasites peuvent saboter votre santé et vos efforts de perte de poids. Les parasites sont une épidémie cachée qui provoque souvent une prise de poids, des envies de sucre, de l’anxiété et de l’insomnie, et ils font des ravages dans votre système digestif. Parmi les facteurs de risque d’exposition aux parasites, citons les voyages, les animaux de compagnie, les crèches, les restaurants, les aliments crus ou insuffisamment cuits (en particulier le porc et les sushis) et la consommation d’eau du robinet.
Les infections parasitaires sont au cœur de mon travail depuis 1991. Malheureusement, de nombreuses personnes considèrent encore les parasites comme un problème du tiers-monde, mais la science dit le contraire. Une étude publiée dans The American Journal of Tropical Medicine and Hygiene a révélé que 32 % des 2896 personnes testées étaient positives aux infections parasitaires, et au moins 48 États ont lutté contre des épidémies mesurables. Il est temps d’attirer l’attention sur cette épidémie.
Les parasites peuvent faire bien plus que bloquer vos efforts de perte de poids.
Les parasites peuvent faire bien plus que bloquer vos efforts de perte de poids. Ces organismes sont les agents les plus immunosuppresseurs connus de l’humanité. Ils consomment vos précieux nutriments, produisent des déchets toxiques et finissent par ravager vos cellules et vos tissus. Les parasites sont particulièrement toxiques pour le foie et peuvent provoquer des calculs biliaires.
UNE PRISE RÉGULIÈRE D’HUILE DE HAARLEM VA VOUS DÉBARRASSER DE TOUS CES PARASITES
Une infection parasitaire met votre système immunitaire en ébullition, produisant un flot de cytokines qui déclenchent toutes sortes de symptômes : envies de sucre, prise de poids, ballonnements, constipation, sensibilités alimentaires, dépression, migraines, crises d’épilepsie, allergies, éruptions cutanées, et j’en passe. Les cytokines pénètrent la barrière hémato-encéphalique et affectent négativement vos neurotransmetteurs, tels que la dopamine et la sérotonine. Si vous présentez ces symptômes, il est important de procéder à un nettoyage des parasites intestinaux. Si vous souhaitez obtenir un diagnostic définitif, envisagez d’obtenir un bilan gastro-intestinal élargi.
Il existe de nombreuses approches naturelles pour expulser ces envahisseurs indésirables de votre corps, dont le zinc et la vitamine A et surtout l’HUILE DE HAARLEM.
La bonne nouvelle, c’est qu’en s’attaquant à ces facteurs et à d’autres facteurs cachés de prise de poids, de nombreuses personnes ont mis fin à des mois, voire des années de frustration, en remettant enfin leur corps sur la bonne voie en termes de poids et de santé globale.
L’édito politique de Libre Consentement Éclairé
Pierre Lefevre
Impossible n’est pas Candace Owens…
« Tout comme Tucker Carlson, Candace Owens est une véritable star aux États-Unis.
» Son statut de star, elle ne le doit qu’à son travail, qu’à son intelligence, qu’à sa finesse d’esprit et à sa capacité à rendre très intelligible tout ce que les démocrates et les mondialonazis s’évertuent à rendre compliqué, et incompréhensible, afin de n’être tenus responsables d’aucun des crimes qu’ils commanditent et/ou commettent. »
« Rendre intelligible tout ce que les démocrates et les mondialonazis s’évertuent à rendre compliqué, et incompréhensible… »
C’est ce que vient de faire une nouvelle fois la très jolie Candace Owens en proposant à ses lecteurs un T-Shirt à l’effigie de l’homme de l’année : Madame Jean-Michel Trogneux, épouse Macron.
En France, vu le climat ambiant, le tout sous les « hourra » des politiciens professionnels et de leurs caniches médiatiques, celui qui se serait permis d’étaler ainsi ce qui passe, de plus en plus aux yeux de monde, pour une vérité, se serait très vraisemblablement vu :
– Mis en garde à vue pendant 48 heures (au minimum).
– Interdit bancaire.
– Interdit des plateformes comme X ou FB.
– Mis au chômage sans indemnités et sans droit au RSA.
– Jugé en comparution immédiate.
– Condamné à une peine de prison ferme.
L’homme de l’année disponible à l’achat sur le site de Candace Owens
Et ensuite ? (« What’s Next ? »)
Et ensuite ?
Et si Candace Owens essayait de répondre à cette question : un système électoral frauduleux a-t-il été mis en en place en France par la « pourriture étatique française » avec, d’une manière ou d’une autre, la complicité de tous les partis politiques (il est très étrange que le RN ne communique absolument pas sur les cas de fraude documentés lors des dernières élections, comment ne pas y voir une complicité ?).
Site de Candace Owens, cliquez sur « Impossible n’est pas Candace Owens »
Affaire Trogneux : Candace Owens revient à la charge
https://www.medias-presse.info/affaire-trogneux-candace-owens-revient-a-la-charge/192023/
Aucune preuve que Brigitte Macron a existé pendant
les 30 premières années de sa vie !!
« Vous n’envoyez pas d’agents des services secrets pour intimider les journalistes travaillant sur un article, à moins que vous n’ayez peur de ce qu’ils pourraient révéler. Les médias vous mentent sur l’histoire de Brigitte Macron. C’est sinistre et pervers. »
Le mensonge est si gros que la plupart ne peuvent pas y croire !!
Un pilote témoigne que Bill Gates pulvérise de l’ARNm « Air Vax » sur l’humanité via des chemtrails
Prepareforchange
Bill Gates pulvérise de l’ARNm en suspension dans l’air sur des populations urbaines denses et des zones rurales à faible taux de vaccination, selon un pilote de ligne aérienne commerciale qui s’est manifesté pour dénoncer les opérations de chemtrails en Amérique du Nord et en Europe…
… https://rumble.com/embed/v53ucoo/?pub=1ouhku…
RESVÉRATROL liposomal
Les bienfaits d’un bon vin rouge… sans l’alcool
Bon pour les artères et pour le cœur
Michel DOGNA
Le resvératrol a été isolé pour la première fois en 1939 par Takaoka, après avoir été extrait du Veratrum grandiflorum O. Loes (racine de l’hellébore blanc).
En 1963, le resvératrol a été identifié dans la racine de renouée du Japon (Polygonum cuspidatum). Cette plante herbacée d’Asie orientale a été utilisée depuis des siècles par les Chinois et les Japonais. Le rhizome de la renouée du Japon est aujourd’hui reconnu comme étant le végétal le plus riche en resvératrol.
L’HISTOIRE DU « FRENCH PARADOX »
Dans les années 1990, le resvératrol fut médiatisé dans le monde entier car certains chercheurs Français pensaient avoir trouvé l’explication du « French Paradox ». Le « paradoxe français » est un terme élaboré en 1992 à partir des données épidémiologiques montrant que les Français présentent une faible incidence de maladies coronariennes malgré la consommation d’une alimentation riche en graisses saturées.
Cela a incité les chercheurs à réfléchir à une explication possible, et a conduit en 1992 Renaud et De Lorgeril à proposer qu’une consommation modérée de vin rouge (près de 57% de la consommation globale de boissons alcoolisées en France) expliquait cet écart apparent.
Dans une enquête menée par l’Organisation Mondiale de la Santé en 2009, le ratio de mortalité liée à la maladie coronarienne s’est avéré être deux à trois fois plus faible en France qu’aux États-Unis, au Royaume-Uni et en Suède. Après ces observations, des milliers d’études ont été réalisées sur ce sujet.
Les deux meilleures sources connues de resvératrol
Thé itadori : 0,974 mg/100 g de plantes
Vin rouge : 0, 847 g qui en est la principale source alimentaire (98%)
ACTIONS GÉNÉRALES DU RESVÉRATROL
Le resvératrol est l’un des polyphénols les plus connus. C’est un oestrogène et un puissant anti inflammatoire naturel grâce à l’acide ellagique qu’il contient.
- Le resvératrol inhibe les radicaux libres
- Il augmente l’énergie globale
- Il renforce l’immunité
- Il réduit les troubles associés à une inflammation incontrôlée
- Il garde la peau jeune et saine
- Il fait perdre du surpoids en limitant la synthèse des lipides
- Il protège les parois des vaisseaux sanguins de l’oxydation et de l’inflammation, et lutte contre l’agrégation plaquettaire (French paradox)
- Il régule la glycémie en agissant sur le transport du glucose et la production d’insuline
- Il réduit les dommages oxydatifs causés aux cellules, à leurs mitochondries, à leurs membranes et à leur ADN
- Il améliore les niveaux d’autres enzymes antioxydantes importantes
- Il déclenche la production de nouvelles mitochondries, ce qui améliore les niveaux d’énergie et réduit le stress oxydatif des cellules
- Il rajeunit les cellules vieillissantes et restaure leur capacité à se diviser
- Il agit favorablement dans les cancers hormono-dépendants (organes génitaux hommes et femmes)
- En usage externe, il réduit le vieillissement cutané en particulier du visage, en activant la production de collagène
NOTA
1 – La forme liposomale du Resvératrol améliore son absorption
2 – Contrairement au vin, il est sans danger à fortes doses
Alors les amis, si vous appréciez le vin rouge de qualité, non frelaté bien sûr ou bio, associez l’utile à l’agréable. Mais attention : un verre, c’est bon pour la santé, le reste de la bouteille, c’est juste bon pour le moral.
Si vous n’aimez pas le vin rouge, ou si vous trouvez les vins bios ou de qualité trop coûteux pour consommer aux repas, pensez au Resvératrol…
INDICATIONS DU RESVÉRATROL
- Athéromes artériels
- Cardiovasculaire : pathologies
- Cellulaire : dommages oxydatifs
- Cérébral : fonction cognitive déficiente
- Diabète de type 2
- Glycémie en hypo ou hyper
- Immuno-déficience
- Inflammations : terrain général
- Insuline : résistance à
- Pancréas faible
- Peau malsaine ou flétrie
- Poids excessif
- Syndrome métabolique (bedaine de graisse)
- Vieillissement organique prématuré
POSOLOGIE
Flacon 250 ml
5 ml par jour (1 cuillère à soupe) = 150 mg de resvératrol
Nota : il faudrait environ 15 litres de vin rouge par jour pour obtenir 150 mg de resvératrol. Là, vous pouvez souffler dans le ballon de la police sans problème.
COMMANDES
Madame Zelensky et sa BUGATTI
Lors de la visite officielle de la délégation ukrainienne à Paris début juin, spécialement pour le couple Zelensky, Bugatti Automobiles a organisé avec le concessionnaire parisien une avant-première de la nouvelle hypercar Bugatti Tourbillon (la première publique a eu lieu deux semaines plus tard, le 20 juin). Selon un représentant du concessionnaire, Zelenskaïa a été ravie de la nouvelle voiture et a passé une pré-commande, devenant ainsi l’acheteur de la première des 250 voitures prévues pour la production.
Ukrainiens, pourquoi mourez-vous au front ? Voici la réponse !
L’épouse de Zelensky a acheté la nouvelle Bugatti Tourbillon pour 4,5 millions d’euros.
Avec notre argent !
De plus en plus de jeunes parents particulièrement informés ne sont plus d accord de vac 💉ciner leurs enfants : 🩸💉💉🩸💉💉 🩸 : Saviez-vous ce que l’on injecte à votre bel enfant durant les premières années de sa vie ?
• 17 500 mcg de 2-phénoxyéthanol (antigel) • 5 700 mcg d’aluminium (neurotoxine) • Quantités inconnues de sérum de veau fœtal (sang de veaux avortés) 🩸🐄🐮 • 801,6 mcg de formaldéhyde (cancérogène, agent d’embaumement) ⚰🪦⚱ • 23 250 mcg de gélatine (abats moulus) 🫁🫀🧠 • 500 mcg d’albumine (sang humain) 🩸🤰 • 760 mcg de L-glutamate monosodique (cause le diabète et l’obésité) • Quantités inconnues de résidus cellulaires WI-38 (lignées cellulaires avortées d’ embryon de fille humaine) 🩸👼 •plus de 10 mcg de néomycine (antibiotiques) •plus de 0,075 mcg de polymyxine B (antibiotiques) •plus de 560 mcg de polysorbate 80 (cancérogène) • 116 mcg de chlorure de potassium (utilisé en injection létale) •188 mcg de phosphate de potassium (engrais liquide) • 260 mcg de bicarbonate de sodium (bicarbonate de soude) • 70 mcg de tétraborate de sodium (Borax, utilisé comme insecticide) • 54 100 mcg de chlorure de sodium (sel de table) • Quantités inconnues de citrate de sodium (additif alimentaire) • Quantités inconnues d’hydroxyde de sodium (dangereux) • 2 800 mcg de phosphate de sodium (toxique pour tout organisme) • Quantités inconnues de phosphate de sodium monobasique (toxique pour tout organisme) • 32 000 mcg de sorbitol (ne pas utiliser pour injection) • 0,6 mcg de streptomycine (antibiotiques) •Plus de 40 000 mcg de saccharose (sucre de canne) • 35 000 mcg de protéines de levure • 5 000 mcg d’urée (déchet de l’urine humaine) •Autres résidus chimiques Je suis pleinement conscient que les vaccins peuvent contenir les produits chimiques, additifs, conservateurs et/ou agents de remplissage suivants : *hydroxyde d’aluminium *phosphate d’aluminium *sulfate d’ammonium *amphotéricine B * tissus animaux tels que : sang de porc, sang de cheval et/ou cerveaux de lapin/singe 🩸🐷🐽🩸🐴🐎 🧠🐰🐇🧠🐵 🙈🙊 🙉 * chlorhydrate d’arginine * rein de chien et/ou rein de singe 🐵 🐕
sulfate d’ammonium *amphotéricine B * tissus animaux tels que : sang de porc, sang de cheval et/ou cerveaux de lapin/singe 🩸🐷🐽🩸🐴🐎 🧠🐰🐇🧠🐵 🙈🙊 🙉 * chlorhydrate d’arginine * rein de chien et/ou rein de singe 🐵 🐕🦺 🙈🙊 🦮 🙉 * phosphate dibasique de potassium. *embryon de poule, œuf de poule et/ou œuf de canard. 🐤 🐔 🐣 🐓 🐥🐓 * sérum de veau (bovin) 🐄🐮 *bêtapropiolactone *sérum fœtal bovin 🐮🐄 * formaldéhyde * formol * Gélatine *sulfate de gentamicine *glycérol * cellules diploïdes humaines (dérivées de tissus fœtaux humains avortés) 👶 🪦⚱ ⚰ 👼 *hydrocortisone *gélatine hydrolysée * mercure, thimérosol/thimérosal, Merthiolate(r)) comme conservateur * glutamate monosodique = glutamate de sodium (MSG) * phosphate de potassium monobasique * néomycine * sulfate de néomycine *éthoxylate de nonylphénol * éthoxylate d’octylphénol * octoxynol 10 *indicateur rouge de phénol * phénoxyéthanol (antigel) * chlorure de potassium * diphosphate de potassium *monophosphate de potassium * polymyxine B *polysorbate 20 *polysorbate 80 * hydrolysat pancréatique porcin (porcin) de caséine 🐷 v 🐽 * restes de protéines MRC5 (embryon humain avorté vivant de garçon) 👶🤯⚰🪦 * désoxycholate de sodium *sorbitol * phosphate de tri(n)butyle * Cellules VERO, dans une lignée de cellules rénales de singe 🐵🙈🙉🙊 et * globules rouges lavés de mouton 🐑
Le pire étant les 11 injections imposées aux bébés qui représentent à présent entre 4 et 5000 microgrammes d’hydroxyde d’aluminium dans les 0,75 litres de sang de bébé*. Pour que l’eau du robinet soit potable , elle ne doit pas dépasser 200 microgrammes dans 1 litres d’eau** SOIT 20 FOIS MOINS… Sachant que l’aluminium est neurotoxique et QUE depuis 2013, nous sommes passé d’un autiste sur 150 bébé à un sur 40 en 2024 avec le seul changement qui est l’augmentation de cet alu: TOUT EST CLAIR…
Note de TAL : Je n’ai pas trouvé la référence de cet article mais l’article substances dans les vaccins, sur santeglobale.world dit à peu près la même chose
ARTICLE
LUMIERE SUR LA RUBEOLE
Faits marquants
- La rubéole est généralement une maladie légère et spontanément résolutive chez les enfants et les adultes.
- Il s’agissait du premier vaccin administré au profit d’autres personnes plutôt que du receveur.
- La création du vaccin contre la rubéole a inauguré l’utilisation de lignées cellulaires humaines avortées à partir d’avortements pour le développement de vaccins.
- Les scientifiques n’étaient pas d’accord sur la probabilité d’anomalies congénitales chez les bébés de femmes qui contractaient la rubéole pendant la grossesse.
- Le vaccin contre la rubéole d’aujourd’hui a été créé à l’aide de cellules d’un fœtus avorté par une mère spécifiquement parce qu’elle a été exposée à la rubéole à huit semaines et craignait le résultat, puis cultivée sur un milieu cellulaire d’un autre bébé avorté.
- L’épidémie de rubéole de 1965 a fait de l’avortement une discussion nationale. Une fois que la rubéole a été identifiée comme une menace pour un enfant en pleine croissance in utero, les conversations sur l’avortement sont devenues médicalisées et politisées.
- Le vaccin contre la rubéole a été précipité sur les conseils d’un scientifique qui a déclaré qu’il empêcherait la prochaine pandémie de rubéole inévitable et à approche rapide.
- L’immunité naturelle semblait disparaître de la conversation une fois que le vaccin était sur la table. Nous trouvons que cela se produit dans la plupart de nos histoires.
- Des études menées en 1991 et 2002 ont mis en évidence une corrélation statistiquement significative entre la réception du vaccin contre la rubéole et le développement d’arthrite chronique.
Article complet sur https://healthfreedominstitute.com/rubella/
YOUTUBE : Tout ce que vous devez savoir sur le climat et la nourriture!
Jean-Michel Jacquemin revient pour la troisième fois sur la chaîne, afin de nous parler de deux autres chapitres de son dernier livre : ‘Ne leur pardonnez pas, ils savent très bien ce qu’ils font depuis très longtemps’. Cette fois-ci, il aborde la question du climat et de la nourriture. Jean-Michel nous explique pourquoi la crise climatique n’est pas ce qu’on nous dit, les mensonges entourant le réchauffement climatique, et comment le climat est lié à notre alimentation et aux vérités qu’elle cache. ‘Climat et nourriture : mensonges’, une interview qui ne vous laissera pas indifférents.
Se procurer le livre de Jean-Michel : https://www.editionsnouvelleterre.com/
Toute l’arnaque du CO2 est clairement démontrée ainsi que la folie des aliments de synthèse promus par Bill Gates…
Ou comment nous nous laissons diriger par quelques milliardaires qui contrôlent les politiciens et maintiennent les foules dans la peur et la soumission aux dogmes que colportent les medias et institutions corrompus.
L’« Accord d’espoir » international appelle à la suspension immédiate des vaccins à ARNm contre la COVID
Un groupe international de professionnels de la santé, de scientifiques et d’universitaires a lancé l’Accord de l’espoir, exigeant la suspension immédiate des vaccins à ARNm contre la COVID-19 et le retour des « soins de santé et de la science du peuple, pour le peuple, par le peuple », selon le commentateur de la santé John Campbell, Ph.D.
Un groupe de professionnels de la santé, de scientifiques, d’universitaires et de citoyens concernés a lancé The Hope Accord , une initiative internationale appelant à la suspension immédiate des vaccins à ARNm contre la COVID-19 et à une réévaluation complète de leur sécurité et de leur efficacité.
L’accord a recueilli la signature d’éminents experts médicaux et chercheurs qui soutiennent que les nouvelles preuves suggèrent que ces nouveaux produits vaccinaux pourraient contribuer à l’augmentation des taux d’ invalidité et de mortalité excessive .
John Campbell, Ph.D., un ancien enseignant en soins infirmiers et commentateur populaire dans le domaine de la santé, a décrit l’accord dans une vidéo du 5 juillet comme « un nouveau mouvement international… développé par des médecins et des scientifiques intelligents ». Mais il a souligné que l’accord était « ouvert à la signature de tous ».
Les signataires de l’accord, parmi lesquels des « professionnels reconnus et très réputés » tels que la pathologiste diagnostique Clare Craig , le Dr Kat Lindley et le Dr Bret Weinstein , appellent à un retour à ce qu’ils considèrent comme une éthique médicale fondamentale et à la transparence scientifique.
Ce mouvement intervient dans un contexte de débats en cours sur les impacts à long terme de la réponse mondiale au COVID-19 et sur le déploiement rapide de nouvelles technologies vaccinales.
L’Accord Hope définit cinq revendications principales, chacune répondant à ce que les signataires considèrent comme des problèmes critiques dans le paysage médical et scientifique actuel
Suite de l’article sur https://childrenshealthdefense.org/defender/hope-accord-suspension-covid-vaccines-john-campbell/
Au 9 juillet, l’Accord Hope comptait plus de 33 000 signatures, dont près de 4 000 de médecins et d’autres professionnels de la santé, plus de 1 000 de scientifiques et d’universitaires et plus de 28 000 de membres du public concernés. Campbell a mis en avant certains des signataires fondateurs éminents dans sa présentation vidéo.
Il a souligné que l’accord vise à être « une sorte de mouvement populaire international », ouvert à la signature de tous, quel que soit leur parcours professionnel.
Il a encouragé les téléspectateurs à envisager de signer l’accord s’ils sont d’accord avec ses principes, soulignant son potentiel à influencer les futures approches des défis de santé publique et du discours scientifique.
Accord à signer sur https://thehopeaccord.org/
A DIFFUSER AU MAXIMUM !!
Holocauste par vaxxin :
Des données officielles que le gouvernement britannique a tenté de faire disparaître a révélé que des millions d’enfants dans le monde ont été rendus infirmes, tués, ou risquent fortement de mourir dans un futur proche pour toute cause.
Vaxxine holocaust : Official government data the UK government tried to bury has revealed that millions of children worldwide have been maimed and killed and are at massively elevated risk of dying of all causes in the near future.
Source : The People’s Voice
Youtube :Rencontre avec Thierry Casasnovas dans la calanque du Bon Dieu
Dominique Guyaux – Alimentation Sensorielle
Dans la calanque du Bon Dieu avec Thierry Casasnovas. Île de Porquerolles, un lieu magique, une énergie de cathédrale…. Alors, si par cette vidéo je réussis à attiser votre curiosité, je vous invite dans le monde des cueilleurs, dont vous faites partie, et dans leur histoire, dont vous êtes les acteurs, en suivant les liens ci-après. Pour commander le roman autobiographique de Dominique Guyaux : https://alimentationsensorielle.fr/qu…
Commentaire : Merci pour cet entretien qui fait rêver….dans tous les sens du terme (les propos échangés/la bienveillance et l’amitié qui se dégagent/le cadre etc….). A la fin de celui ci vous évoquez Nova. Je me permets d’apporter un peu d’eau à votre moulin même si cette classification n’est pas nouvelle. En effet, l’excellent Dr es sciences français Anthony Fardet, grand pourfendeur de l’alimentation transformée, y consacre tout un chapitre dans son livre “Pourquoi tout compliquer ? Bien manger est si simple!” On y apprend que 4 grands pays (Brésil, Pérou, Uruguay, Canada) ont adopté ce principe d’étiquetage qui va de l “aliment pas ou très peu transformé” à l “Aliment ultra transformé à éviter”. Je me rends compte que dans son précédent livre de 2019 “halte aux aliments ultra transformés, mangeons vrai” il évoquait déjà le sujet.
DE PREPAREFORCHANGE :
In Italy, a newly published peer-reviewed study suggests a 37% reduction in life expectancy for people who received a COVID-19 vaccine.
https://www.rumormillnews.com/cgi-bin/forum.cgi?read=242944
Et ce qui a encore été démontré, c’est que le graphène et les électrodes des nanotubes de carbone forment des supraconducteurs qui servent comme un axone artificiel, comme si elles construisaient un réseau neuronal, une plate-forme de traitement parallèle dans le cerveau afin que votre traitement du signal ne passe pas par vos propres neurones, mais cela passe par cette plateforme artificielle contrôlée par l’IA. C’est ainsi que vous créez des cyborgs, des zombies, et cetera, qui suivent simplement les instructions parce que cette technologie est bidirectionnelle. Elle transmet des informations, mais elle peut aussi en recevoir.