COMMENCONS AVEC LA PHOTO D’UNE ENFANT DE MADAGASCAR

CAR LA QUESTION A NOUS POSER EST : QUEL.MONDE ALLONS NOUS DONNER AUX ENFANTS  QUI LE PEUPLENT ?

 

Sur le net : Voici comment aligner votre fréquence avec vos aspirations :

  • Pratiquez la gratitude quotidienne pour élever votre vibration.
  • Méditez pour nettoyer votre esprit des pensées négatives.
  • Entourez-vous de personnes qui reflètent les qualités que vous admirez.
  • Consommez des médias positifs et inspirants.
  • Agissez en harmonie avec vos valeurs et vos désirs.

En ajustant ces aspects de votre vie, vous alignez votre fréquence sur ce que vous souhaitez vraiment exprimer.

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Magnifique discours de R.F.Kennedy

Il affirme vouloir lutter contre le fléau des maladies chroniques qui détruit la vie des américains. Son plaidoyer contre Big Pharma et la censure est remarquable et fait vraiment réfléchir car les pays Occidentaux sont vraiment dans un processus d’autodestruction par une médecine chimique toxique et une alimentation dénaturée et les chiffres que citent Robert Kennedy sont implacables et hallucinants

 

https://youtu.be/kQzwykbLbyo?si=KI-N563085Xu07gS
 

Robert Kennedy Jr et Donald J. Trump : l’union que redoute « Deep State » (« État profond »), les leaders mondialonazis, et leurs sbires psychopathes de Davos

 

L’édito politique de Libre Consentement Éclairé

 

   Dans son discours prononcé le 23 août 2024 à Glendale (Arizona), Robert Kennedy Jr explique qu’il a quitté le Parti démocrate en raison des renoncements aux valeurs démocratiques [et républicaines] de ce parti, ce qui est également le cas de tous les partis politiques français représentés à l’Assemblée nationale.

 

   L’arme parfaite au service de la détérioration définitive du système immunitaire des enfants et des adultes : les « va x ins »

 

   Mais ce n’est pas le seul intérêt de ce discours, car Robert Kennedy Jr explique également comment, en quelques décennies, la santé de la population aux États-Unis s’est incroyablement dégradée.

 

   Et cette dégradation, et l’on comprend, même si Robert Kennedy Jr ne le dit pas, qu’elle est voulue, organisée et mise en œuvre par les milliardaires adeptes de la dépopulation de la Terre qui possèdent, non seulement Big Pharma, mais également toute l’industrie alimentaire.

 

   Le processus politique qui a permis cette incroyable dégradation de la santé de la population aux États-Unis a été « sacralisé » en 1986 avec l’adoption de la « National Childhood Vaccine Injury Act » (« NCVIA »), qui est la scandaleuse loi d’exonération de responsabilité des laboratoires pharmaceutiques pour les effets secondaires des vaccins aux États-Unis.

    

   Cette loi a été signée par le Président Ronald Reagan le 10 novembre 1986, lors de son deuxième mandat qui s’est achevé le 20 janvier 1989, jour de la prestation de serment de George H.W. Bush comme nouveau Président des États-Unis.

 

   Rappelons qu’en 1986, les « Centers for Disease Control and Prevention » (CDC) pour les enfants avant l’entrée à l’école ne concernaient que 7 « va x ins » :

   – Diphtérie, Tétanos, et Coqueluche (DTP),

   – Polio (IPV ou OPV),

   – Rougeole, Oreillons, et Rubéole (MMR).

 

   90 doses de poisons pour les enfants

 

   En 2024, les recommandations des CDC en matière de « va x ins » de routine (hors « C19 », « Monkey Pox, etc.) sont de :

   – pour les enfants, 90 doses de 17 « va x ins » combinés (contenant plusieurs antigènes)

   – pour les femmes enceintes, 4 doses de 4 « va x ins » combinés (contenant plusieurs antigènes)

   – pour les adultes, à 79 ans, s’ils appliquent ces recommandations, ils auront été injectés avec 130 doses de 4 « va x ins » combinés (contenant plusieurs antigènes)

 

   « Mettre fin à l’épidémie de maladies chroniques qui détruit la santé des Américains et ruine notre économie »

  

   En déclarant « Il faut mettre fin à l’épidémie de maladies chroniques qui détruit la santé des Américains et ruine notre économie », Kennedy cite un de ses conseillers, également conseiller de Trump, qui a exposé « la corruption insidieuse » des agences fédérales en charge de la protection de la santé des citoyens des États-Unis (FDA, NIH, HHS, USDA), corruption responsable de cette épidémie de maladies chroniques.

 

   Les agences fédérales corrompues que cite Robert Kennedy Jr jouent toutes un rôle clé dans la régulation et la promotion de la santé, de la sécurité alimentaire, et du bien-être des citoyens aux États-Unis :

   – La FDA (Food and Drug Administration)

   La FDA est l’Agence du gouvernement fédéral des produits alimentaires et médicamenteux. Elle est chargée de la régulation des aliments, des médicaments, des produits biologiques, des dispositifs médicaux, des cosmétiques, des produits du tabac et des produits vétérinaires aux États-Unis. Officiellement, la FDA veille à la sécurité, l’efficacité et la sûreté de ces produits avant qu’ils ne soient commercialisés. En réalité, depuis la présidence de Bill Clinton, il s’agit d’une agence politique aux mains des démocrates et dont les dirigeants sont grassement rémunérés par Big Pharma. Occuper un poste à responsabilité à la FDA vous assure de devenir rapidement multimillionnaire et d’être ensuite employé par un grand laboratoire pharmaceutique.

   -Les NIH (National Institutes of Health)

   Les NIH sont les Instituts nationaux de la santé des États-Unis. Il s’agit d’une agence du gouvernement fédéral officiellement responsable de la recherche biomédicale et de la santé publique. Les NIH sont composés de plusieurs instituts et centres de recherche, chacun se concentrant sur des domaines spécifiques de la santé, tels que le cancer, les maladies cardiaques, et les maladies infectieuses.

   – Le HHS (Department of Health and Human Services)

Le HHS est le Département de la Santé et des Services sociaux des États-Unis. Il s’agit de l’agence gouvernementale officiellement responsable de la protection de la santé de toute la population des États-Unis et de la fourniture de services humains essentiels, en particulier pour ceux qui sont les plus vulnérables. Le HHS supervise des agences telles que la FDA et les NIH.

   – L’USDA (United States Department of Agriculture)

   L’USDA est le Département de l’Agriculture des États-Unis. Cette agence fédérale est officiellement responsable de la mise en œuvre des politiques agricoles, forestières, rurales, et alimentaires. L’USDA est censé travailler sur la sécurité alimentaire, la nutrition, l’agriculture, le développement rural, et la conservation des ressources naturelles. En réalité, c’est également une agence politique aux mains des démocrates et dont les responsables sont à la botte de l’industrie agroalimentaire, en particulier de l’industrie de la transformation des produits alimentaires.

L’accord qui terrorise nos ennemis mortels

 

   L’accord qui est officiellement conclu entre Kennedy et Trump remet très sérieusement en cause le pouvoir de « Deep State », et il terrorise les démocrates et leurs sponsors milliardaires adeptes de la dépopulation de la Planète via l’Agenda 2030.

 

   Avant d’énumérer l’invraisemblable, Robert Kennedy Jr raconte comment il en est venu à se rapprocher de Donald J. Trump et, surtout, pourquoi il accepte de rejoindre son équipe (Trump lui suggéra d’unir leurs forces en tant que « parti de l’unité » des citoyens opposés à la guerre, à la censure, à Big Pharma, à l’industrie agroalimentaire et à « Deep State »…

 

   « J’ai été surpris de découvrir que nous sommes alignés [Robert Kennedy Jr et Donald J. Trump] sur de nombreuses questions clés » déclare-t-il avant d’énumérer les points d’accord entre eux [ce que lui ont refusés les dirigeants du Parti démocrate et de la campagne de Kamala Harris) :

   – la fin des guerres éternelles

   – la fin de la guerre en Ukraine

   – la fin de l’épidémie des maladies infantiles

   – la sécurisation des frontières

   – la protection de la liberté d’expression

   – la fin de la mainmise des entreprises sur les agences de régulation (Kennedy fait référence à la FDA, au NIH, au HHS et à l’USDA)

   – l’interdiction pour les agences de se livrer à des activités de propagande, de censure et de surveillance des citoyens des États-Unis et d’ingérence électorale

77 % des jeunes Américains sont trop handicapés pour servir dans l’armée des États-Unis 

 

(Deuxième partie de l’article sur le ralliement de Robert Kennedy Jr à Donald J. Trump)

 

Par Patrick Ledrappier

 

 

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L’union que redoute « Deep State » (« État profond »), les leaders mondialonazis, et leurs sbires psychopathes de Davos

 

L’édito politique de Libre Consentement Éclairé

 

   Dans la première partie de l’article que consacre Patrick Ledrappier au discours prononcé par Robert Kennedy Jr le 23 août 2024 à Glendale (Arizona), il est surtout question des points importants d’accord entre Robert Kennedy Jr et Donald J. Trump.

   Dans cette deuxième partie, Patrick Ledrappier s’attarde sur l’énumération des graves problèmes de santé à laquelle fait face la population des États-Unis en 2024.

   Cette énumération contient tout ce qui attend l’ensemble des peuples occidentaux, s’ils ne chassent pas rapidement du pouvoir les milliardaires adeptes de la dépopulation de la Planète et leurs sbires qui dirigent leurs gouvernements ainsi que les instances de l’Union européenne, dont la Commission du même nom.

 

 

 

Robert Kennedy Jr justifie son ralliement à Trump au nom de l’obligation morale qu’il a de sauver des millions d’enfants américains.

   Il faut savoir que cette « obligation morale » n’est pas un slogan dans la bouche de Kennedy, il semblerait que ce soit une conviction profondément ancrée en lui, il est d’ailleurs le fondateur et dirigeant de « Children’s Health Defense » (« Défense de la Santé des Enfants »).

 

   Les invraisemblables données sur la santé de la population aux États-Unis, pays où les enfants et les adultes sont les plus vaccinés au monde

   

Avant d’énumérer les données citées par Robert Kennedy Jr lors de son discours à Glendale, rappelons que les États-Unis sont le pays où les enfants et les adultes sont les plus vaccinés au Monde, ce qui devrait en faire, en toute logique, les individus ayant la meilleure santé sur toute la Planète…

 

   Les invraisemblables données citées par Kennedy :

   – en 2024 les 2/3 de la population des États-Unis dépensent plus en soin de santé que n’importe quelle autre population sur la Planète, soit le double des dépenses antérieures ;

   – les États-Unis ont les pires résultats au monde en matière de santé, ils sont classé 79e en matière de santé, derrière le Costa Rica, le Nicaragua, la Mongolie, etc.

   – aucune population au Monde n’a autant de problèmes de santé chroniques que la population des États-Unis ;

    – lors de la fausse pandémie de « C19 », ce sont les États-Unis qui ont enregistré le plus grand nombre de morts au monde (16 % des décès officiellement dus au « C19 » aux États-Unis alors que la population de ce pays ne représente que 4,2 % de la population mondiale) ;

   – les États-Unis ont le taux de maladies chroniques le plus élevé de la Planète et, en moyenne, l’Américain qui est décédé du « C19 » souffrait de 3,8 maladies chroniques ;

   – aux États-Unis, les personnes décédées officiellement du « C19 » étaient victimes d’un effondrement de leur système immunitaire et d’un dysfonctionnement mitochondrial (les mitochondries sont les structures cellulaires responsables de la production d’énergie corporelle) et Kennedy précise à ce sujet qu’aucun pays au monde n’a « quelque chose de similaire » ;

   – en 2024, 2/3 des adultes et des enfants souffrent de maladies chroniques aux États-Unis, soit plus de 222 millions de personnes sur un total de 334 millions d’habitants en 2024, alors qu’il y a 50 ans (années 1974) ce chiffre était inférieur à 1 % (soit moins de 2,1 millions de personnes sur une population de 213 millions d’habitants en 1974) ;

   – entre 1974 et 2024, on est passé de 1 % de la population des États-Unis qui souffrait de maladies chroniques à 66 % ;

   – 74 % des adultes et 50 % des enfants souffrent d’obésité aux États-Unis ;

   – Kennedy précise à ce sujet qu’il y a 120 ans, lorsque quelqu’un était obèse, il était exhibé dans des cirques et qu’au Japon, le taux d’obésité infantile est de 3 % contre 50 % aux États-Unis ;

   – la moitié des Américains (soit 167 millions de personnes) souffrent de diabète ou de prédiabète de type II ;

   – Kennedy précise que le diabète juvénile n’existait pratiquement pas sous la présidence de son oncle (JFK, Président des États-Unis entre le 20 janvier 1961 et le 23 novembre 1963) et alors qu’il était jeune garçon ; 

   – Kennedy ajoute à ce sujet qu’à l’époque un pédiatre devait voir 1 cas de diabète tout au cours de sa carrière qui durait entre 40 et 50 ans, alors que maintenant un enfant sur trois qui franchit la porte du cabinet d’un pédiatre souffre de diabète ou de prédiabète ;

   – Kennedy précise que le dysfonctionnement mitochondrial qui est à l’origine du diabète de type II est également à l’origine de la maladie d’Alzheimer, aujourd’hui classée comme diabète (à ce sujet, la maladie d’Alzheimer n’est pas encore classée comme une forme de diabète dans la littérature médicale conventionnelle, mais certains médecins proposent de parler de « diabète de type III » pour décrire la résistance à l’insuline qui se produit spécifiquement dans le cerveau, ce qui pourrait être lié au développement de la maladie d’Alzheimer) ;

   – le traitement du diabète de type II aux États-Unis rapporte chaque année à Big Pharma plus que le budget militaire de ce pays (Kennedy dit : « cela coûte à ce pays plus que notre budget militaire chaque année) ;

   – il y a une explosion de maladies neurologiques que Kennedy n’avait jamais vue lorsqu’il était enfant, il cite : TDA (Trouble Déficit de l’Attention), TDAH (Trouble Déficit de l’Attention avec Hyperactivité), retard du langage, syndrome de Gilles de la Tourette (tics moteurs et vocaux involontaires et répétitifs), narcolepsie (trouble du sommeil et de l’éveil), TSA (Trouble du Spectre de l’Autisme), Asperger (difficultés dans les interactions sociales et la communication non verbale), autisme ;

   – Kennedy rappelle qu’en l’an 2000, le taux d’autisme était de 1 sur 1500 enfants aux États-Unis et qu’il est aujourd’hui, selon les CDC, de 1 sur 36, alors qu’en Californie 1 enfant sur 22 est autiste ;

   – 77 % des jeunes Américains sont trop handicapés pour servir dans l’armée des États-Unis.

 

   Les maladies chroniques, les puissants alliés des psychopathes des Davos

 

   Cette énumération doit simplement nous rappeler que le programme de dépopulation de la Planète des milliardaires mondialonazis est une réalité.

Une réalité qui a pour nom « Agenda 2030 » dont les objectifs seront bien plus facilement atteints avec des populations occidentales souffrant de maladies chroniques graves, qu’avec des Occidentaux en pleine forme et en pleine santé

 

Un autre son de cloche : LA LETTRE DE SENTA

  

Kennedy s’allie à Donald Trump…Est-il récupéré par le système ou sera-t-il l’acteur d’un possible changement? 

Une lettre difficile à écrire…

Senta Depuydt

Chers lecteurs, 

Je ne peux rester sans réaction face à cette énorme nouvelle. Vous avez tous entendu que Robert Kennedy, Jr suspend sa campagne présidentielle et qu’il appellera ses partisans à voter pour Trump. Je sais que beaucoup de résistants à la tyrannie se réjouissent face à ce qu’ils considèrent être une ‘dream team” et se disent que “le camp du bien” va enfin pouvoir triompher. Personnellement, je reste assez réservée face aux promesses des uns et des autres. 

Bien entendu, je me réjouis à la seule pensée de ne plus devoir supporter l’obscénité permanente que les pseudo-démocrates nous imposent dans leurs discours et dans leurs politiques. Leur obsession à vouloir détruire toute forme d’humanité et de morale, et à supprimer toutes nos libertés est tout bonnement insupportable. 

Cela dit, je considère que Trump fait aussi partie du réseau mafieux, tout comme le parti républicain. A mes yeux, le système bi-partisan et les élections présidentielles sont un théâtre dont l’objectif est d’entretenir l’illusion de la démocratie tout en suscitant des attentes messianiques. Car, tant que les gens attendent la venue des héros qui vont enfin les délivrer de leur misère – ils continuent d’accepter sagement les dérives totalitaires qu’on leur impose. 

Que ce soient les républicains ou les démocrates qui siègent à la Maison Blanche et au Capitole, dans les grandes lignes, c’est de toutes façons le même réseau criminel international qui mène la danse…

Bien entendu, ce n’est pas pour autant qu’il faille baisser les bras (sinon ça ne servait à rien de venir ici-bas). Tout ce que nous entreprenons participe au réveil des consciences et c’est en réalité la seule chose qui importe pour transformer ce monde… Si je ne le pensais pas, je ne me serai pas présentée aux dernières élections en Belgique. 

En attendant, l’annonce de cette alliance entre Trump et Kennedy, me laisse très dubitative..

En quoi j’admire Kennedy

J’ai beaucoup d’admiration pour les efforts herculéens que “Bobby Junior” a déployés lors de sa campagne. Je sais qu’on lui a mis les bâtons dans les roues partout, tout le temps, sans exception. Dans chaque État où il a du récolter des signatures, il s’est battu contre des ‘problèmes techniques’, un lynchage médiatique constant, des procédures pour invalider sa candidature etc. Et tout cela n’est rien à côté du black out médiatique total et de la censure qui lui ont été imposés, ou mêmes les attaques répétées de sa propres famille. 

Après avoir récolté plus d’un million de signatures pour avoir le droit de figurer sur les bulletins électoraux, Kennedy aura clairement démontré que le processus électoral est totalement verrouillé et qu’il est impossible de se présenter en tant que candidat indépendant. (c’est exactement le même genre de discrimination que rencontrent les “petits partis” dans nos propres élections)

En quoi il m’a déçue

Malheureusement Kennedy a fait plusieurs mauvais choix durant sa campagne. D’abord, il a manqué d’audace quant à ses positions sur la vaccination et Big Pharma. Plutôt que d’en faire son cheval de bataille, il a mis cette thématique à l’arrière-plan, préférant parler du rêve américain et tabler sur un passé nostalgique. 

Par ailleurs, il a commis 2 erreurs graves: la 1ère est d’avoir confié la direction de sa campagne à sa belle-fille, Amaryllis Fox, l’épouse de son fils ainé Bobby (dit “Bobby III”). On peut se demander pourquoi il a choisi de faire confiance à cette jeune femme qui n’a aucune expérience dans ce domaine et qui, de surcroît, a passé une dizaine d’années au service de la CIA. C’est un risque qu’il ne pouvait pas se permettre. 

Ensuite, et là c’est bien plus grave, il a déclaré son soutien inconditionnel à Israël et à la guerre que le gouvernement Nethanyaou mène à Gaza. Après avoir proclamé pendant des mois qu’il serait le président de la paix, et qu’il se battrait pour la protection des enfants, ne pas émettre un son sur ces massacres… c’est une forme de lâcheté.

Gaza, l’angle mort de Robert Kennedy, Junior

Je reconnais que la presse l’a traité d’antisémite durant 3 années, en raison de ses positions contre la vaccination, et je sais qu’aux États-Unis, il est impossible de faire de la politique sans cette allégeance. Mais, si c’est pour se soumettre aux volontés des Rothschild et des Rockefeller qui tirent les ficelles de ces gouvernements, à quoi bon vouloir lutter contre l’État profond? 

Accessoirement, je m’interroge aussi sur le choix de Nicole Shanahan en tant que vice-présidente. Elle a certes une personnalité courageuse et un engagement sincère pour la santé des enfants et l’environnement, mais elle reste tout de même une technocrate convaincue. À titre d’exemple: l’ex-épouse de Sergei Brin, co-fondateur de Google, n’avait pas hésité à envisager des solutions transhumanistes telles que les implants cérébraux de type Neuralink d’Elon Musk pour traiter les cas d’autisme non-verbal. 

Pour quelqu’un qui souhaite lutter contre l’état profond, la CIA et la société de contrôle et s’opposer à la guerre et au transhumanisme, tout cela fait beaucoup de concessions, là où il n’aurait pas fallu céder d’un pouce…

La valse avec Trump

En 2016, Trump avait annoncé une commission sur la sûreté des vaccins présidée par Kennedy. À peine arrivé à la Maison Blanche, Bill Gates lui a fait comprendre qu’il n’en serait rien, et le projet qui avait déterminé le vote de nombreux électeurs, est mort dans l’oeuf. 

Trump a ensuite été l’artisan de la PREP ACT qui a autorisé la prise de contrôle du pays par des responsables des politiques sanitaires en cas de pandémie. Il a donné son entière approbation à l’Opération Warp Speed où les militaires ont fabriqué les vaccins les plus inefficaces et les plus dangereux de l’histoire. Et il a promu ces injections Covid comme “un miracle”, sans jamais changer d’avis. 

Kennedy l’a critiqué pour cela durant toute sa campagne. Il a souligné le fait que Trump s’était entouré des pires “créatures du marais” durant son mandat et qu’il s’apprêtait à recommencer, notamment avec la possible nomination du patron de JP Morgan ou du patron Blackrock comme secrétaire au trésor. Quant au choix de JD Vance, comme vice-président, il indique l’arrivée de Peter Thiel (ancien fondateur de PayPal et CEO de Palantir la société qui développe les programmes de surveillance numérique de la CIA) à la Maison Blanche.

Tout cela changerait-il avec l’arrivée de Kennedy? On n’a rien entendu à ce propos depuis l’annonce de leur alliance. 

Bien sûr, Trump va confier à Bobby Junior un poste d’importance dans son administration, dans un domaine où ce dernier compte mener des réformes drastiques, par exemple à la tête du département de la santé, de la justice ou de la CIA.

D’accord, mais c’est facile à promettre. Qu’adviendra-t-il si le Congrès refuse d’entériner cette proposition? Qui dit que Kennedy ne sera pas relégué à la direction de l’une ou l’autre commission sans véritable poids? Par ailleurs, rien ne garantit que leur entente dure longtemps.

Une note d’espoir

Maintenant, sachant que Kennedy est tout de même quelqu’un qui est animé de bonnes intentions (même s’il est mal conseillé et qu’il fait des concessions), il vaut sans doute mieux un gouvernement Trump qui inclut Kennedy, qu’un gouvernement Trump sans Kennedy, et rien n’est pire qu’une victoire de Kamala Harris. 

Car, il y a au moins un point fondamental qu’il faut reconnaître à Trump: ce n’est pas un va-t’en guerre, contrairement aux démocrates. Et là, dans le contexte actuel, si une victoire de Trump diminue le risque d’une 3ème guerre mondiale, on pourra peut-être remercier Bobby Kennedy, d’avoir fait ce choix…

Alors, sans attendre grand chose, je leur souhaite sincèrement de donner le meilleur d’eux-mêmes…


Robert Kennedy Jr. (RFK Jr.) vient d’annoncer la suspension de sa campagne dans la course à l’investiture présidentielle américaine, et son soutien à Donald Trump dans les États ou l’enjeu est le plus grand.

Dans un discours très attendu dont la teneur principale avait été annoncée à l’avance, Kennedy a déclaré les choses suivantes:

  • Le parti démocrate américain est devenu le parti de la guerre, de la censure, de «Big Pharma», «Big Tech», et «Big Agriculture». Le parti a également abandonné la démocratie en annulant les primaires pour masquer le déclin cognitif du président Joe Biden. Ce sont les raisons pour lesquelles il l’a quitté.
  • Le parti démocrate américain rappelle la Russie de Poutine, car son parti contrôle la presse et empêche ses adversaires de se présenter aux élections.
  • Il est sûr qu’il aurait gagné les élections si le système avait été ouvert et honnête, sans manipulation ou propagande, comme il l’a été pour son père et son oncle.
  • S’il reste en lice, les sondages montrent que cela favoriserait le parti démocrate, avec lequel il est en désaccord sur les éléments les plus fondamentaux.
  • Il n’abandonne pas sa campagne totalement; il la suspend simplement. Son nom reste sur les bulletins dans la plupart des États. Dans la dizaine d’États où il risque de péjorer les chances de Donald Trump, il retire son nom des bulletins.
  • La guerre en Ukraine est une autre raison principale pour laquelle il soutient Donald Trump, qui n’est pas un néoconservateur et un va-t-en-guerre contrairement aux représentants du parti démocrate.
  • Il a eu des discussions et des rencontres avec Donald Trump et son équipe concernant les maladies chroniques et la santé, au sujet desquelles une coopération future est possible.
  • Il a essayé d’avoir des discussions similaires avec Kamala Harris et son équipe, mais ils ont refusé même de l’entendre, encore moins de le rencontrer.
  • Le défi des maladies chroniques est parmi les plus graves auxquels le pays est confronté, et les États-Unis sont le plus mauvais élève au monde en la matière. En coopération avec Donald Trump s’il emporte l’investiture, il pense pouvoir pallier ce problème.

La décision de soutenir Donald Trump peut surprendre, dans la mesure où Kennedy s’est opposé dès le début aux injections Covid, alors que Trump est le père de l’opération Warp Speed qui en a facilité et accéléré le développement, la fabrication et la distribution; un bilan dont il s’est d’ailleurs félicité plusieurs fois.

RFK Jr. avait de sucroît accusé Donald Trump d’avoir trahi ses partisans, notamment à cause des personnalités qu’il avait choisies dans son gouvernement. Trump quant à lui avait déclaré que Kennedy était le candidat «le plus radicalement à gauche» de la course à la présidentielle.

Pourtant, et malgré ces différends, les deux candidats se retrouvent à de nombreux égards:

  • Ils ont tous les deux soutenu Hillary Clinton en 2008, et sont tous les deux des anciens membres déçus du parti démocrate.
  • Ils sont tous les deux des «outsiders», décriés par les médias institutionnels subventionnés, et traités de complotistes.
  • Ils ont tous les deux dénoncé des tentatives du parti démocrate de les délégitimer et de saboter leur participation à la présidentielle.
  • Ils dénoncent tous les deux la politique américaine en Ukraine, l’homogénéité cognitive des médias de masse, et la censure des réseaux sociaux.
  • Ils considèrent tous les deux que le parti démocrate représente un danger pour la démocratie.
  • Ils soutiennent tous les deux l’occupation au Proche-Orient et n’ont jamais dénoncé les massacres qui s’y déroulent.

Finalement, et d’un point de vue symbolique, une autre circonstance les rapproche: Kennedy a déclaré qu’il avait trouvé le «courage de Trump inspirant» dans le contexte de la tentative d’assassinat qu’il aurait subie. On sait en effet que l’assassinat de son père et de son oncle a profondément marqué RFK Jr., qui en tient la CIA pour responsable.

En tout état de cause, l’avenir proche dira dans quelle mesure ce nouveau soutien à Donald Trump favorisera sa campagne, et si, en cas de victoire et comme il l’a laissé entendre, il impliquera Kennedy dans son gouvernement

Note de TAL On peut apprécier la grande lucidité de Senta qui connaît bien Robert KENNEDY et espérer la fin de l’Etat Profond… mais ce n’est pas encore gagné !

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Crowdbunker Informations meconnues sur la vaccination des enfants

UN FILM REMARQUABLE ET IRREFUTABLE

 

Les amish ne vaccinent pas et n’ont pas d’autisme

Les mythes sont démontés :fausse pandémie, lavage de cerveaux, décès des nourrissons :58%après vaccins, mort subite du nourrisson avec parents accusés d’avoir tué leur enfant alors que c’était le vaccin, aluminium et mercure toxiques, rapport Corvelva (Italie), nagalase, plus de 100 médecins qui dénoncent (USA° ont été assassinés, etc

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LA GRIPPE ESPAGNOLE REVUE ET CORRIGEE

La “Grippe Espagnole” ne fut jamais une grippe virale mais une pneumonie bactérienne induite par une campagne de vaccinations expérimentales.

Ce qui ressort de cette gigantesque arnaque pseudo-scientifique c’est que Jeffery K. Taubenberger, et son gang de collaborateurs eugénistes, ont pour objectif final et exclusif de développer une vaccination anti-grippale universelle, donc anti-virale, qui serait valable pour toutes les souches de grippes passées, présentes et à venir.Ce n’est pas la peine de chercher des photographies de virus pathogènes “isolés” sur internet. Il n’existe que des modélisations en 3D, des rendus artistiques dotés d’une myriade de couleurs psychédéliques. Les virus pathogènes possèdent-ils, donc, une existence existentielle réelle, au fait? Ou ne sont-ils alors que de pures constructions de laboratoires?Les seules photos que l’on trouve sur internet – ainsi que Stephan Lanka l’a amplement prouvé – des virus pathogènes de la polio, de la rougeole, de la variole, de l’herpès, de l’hépatite A, de la grippe A, du Sida/HIV, de l’Ebola… ne sont que des rendus artistiques, à l’intérieur de cellules, d’une prétendue charge virale.

source http://xochipelli.fr/2023/12/la-grippe-espagnole-de-1918-1920-fut-une-pneumonie-bacterienne/

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Début 2024, la plateforme de publication scientifique Cureus publiait un article fouillé sur la

vaccinationARN.

Celuici énumère tout ce qui a été anormal, dissimulé, frauduleux et méthodologiquement erroné dans la démarche de mise sur le marché et de généralisation “forcée” de la vaccination ARN.

L’article se présente comme une analyse critique et approfondie des essais de vaccination

contre le COVID19, mettant en évidence à la fois les réalisations et les défis rencontrés lors

du développement, de l’autorisation et de la distribution des vaccins à ARNm contre le

COVID19. L’article est notable pour sa revue exhaustive de la littérature existante, y compris

les études récentes qui mettent en lumière les lacunes et les omissions tant dans les premiers

essais cliniques que dans les dissimulations ultérieures de résultats.

Les auteurs de cet article, parmi lesquels figurent Stephanie Seneff et Peter McCullough, sont

connus pour leur position critique envers les campagnes de vaccination antiCovid. Ils ont

souvent été au centre de controverses pour leurs opinions, ce qui rend leur travail sujet à débat

dans la communauté scientifique. Cependant, la publication de leur revue dans un journal

associé à la famille Nature ajoute un niveau de reconnaissance académique qui pourrait

atténuer certaines critiques.

Reprenons les points importants.

1. Rapidité du processus d’autorisation

Le développement et l’autorisation des vaccins à ARNm contre le COVID19 ont été réalisés à

une vitesse sans précédent. Alors qu’;il faut normalement environ 10 ans pour développer

un vaccin antiviral, les vaccins contre le COVID19 ont été autorisés en seulement 7 mois,

battant le record historique de 4 ans établi par le vaccin contre les oreillons de Merck en 1967.

Cette rapidité soulève des inquiétudes quant à l’évaluation complète de l’innocuité des vaccins

sur le long terme, y compris les risques de maladies autoimmunes et de cancer.

2. Absence de tests pour les rappels

L’impossibilité de réaliser des essais cliniques pour les doses de rappel compromet la

compréhension de leur efficacité et de leur sécurité.

3. Conception des essais cliniques

Les objectifs des essais cliniques se sont principalement concentrés sur la réduction de

L’;infection symptomatique, plutôt que sur des critères plus significatifs tels que la réduction de

la mortalité ou des cas graves. Cette lacune doit être mise en perspective avec des exemples

historiques tels que les vaccins contre la polio en 1955 et la grippe en 1976 et 2009, pour

lesquels les infections postvaccination et la transmission n’avaient pas été adéquatement

contrôlées, soulignant l’importance de ces mesures dans l’évaluation de l’efficacité vaccinale..

4. Intérêts économiques

L’article examine comment les intérêts économiques ont pu influencer la prise de risque dans

le développement et la distribution des vaccins. La cession de la responsabilité aux États

acheteurs par les compagnies pharmaceutiques allège les conséquences financières pour ces

dernières, tout en posant des questions sur la prise de décision en matière de santé publique.

5. Terminologie et sécurité

Le terme « vaccin » utilisé pour désigner les produits à ARNm soulève des problèmes de

confusion, car ils ont été initialement conçus et testés pour des traitements de cancers en stade

avancé, et non pour une population saine. Cette approche, relevant davantage de la thérapie

génique que de la prophylaxie vaccinale traditionnelle, amène à questionner la pertinence de

la terminologie et les implications potentielles en termes de sécurité et d’efficacité pour une

utilisation de masse.

6. Contrôle de toxicité

L’article soulève l’absence complète de contrôle de l’immunogène produit par l’organisme

“vacciné” et de la toxicité maintenant connue et documentée de cet immunogène (Spike) ainsi

que de ses effets imprévisibles.

Omissions et dissimulations

Cette revue approfondie et largement citée offre une analyse critique des premiers essais

cliniques sur les vaccins contre le COVID19, mettant en évidence des omissions et des

dissimulations significatives.

Elle constitue une contribution importante à l’examen objectif de la vaccination antiCovid et

devrait contribuer à percer les carapaces du monde scientifique et médical.

Toutefois, il faut noter que de nombreuses informations étaient parfaitement connues avant la

crise sanitaire. Le fait que certains scientifiques souffrent d’amnésie ces dernières années

soulève des questions sur leurs compétences ou leur probité.

Pr Bernard Rentier, virologue et recteur honoraire de l’Université de Liège

MarcHenri Wouters, journaliste pour BAM!

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Crowdbunker :

Un document du Forum économique mondial confirme que 6 milliards d’êtres humains mourront en 2025

 

Comment les mondialistes, avec la CIA, le Pentagone, la fondation Rockfeller et le WEF préparent depuis longtemps et exécutent jour après jour le génocide planétaire qui est leur fierté et leur gloire !

Sur le net : TOUT A FAIT, SIX MILLIARDS d’HUMAINS sont programmés pour mourir en 2025 principalement dans les pays où la vaccination a été forte :
EUROPE, USA – CANADA – Nouvelle Zélande et AUSTRALIE bref que des pays où il y a beaucoup de BLANCS.
Il faudra donc les remplacer par des migrants venus d’Afrique pour l’Europe et des latinos pour l’amérique du nord, des gens malléables à souhait par les maitres du monde.

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ODYSEE : : Naomi Wolf : injections covid

 

Une courageuse journaliste américaine montre que l’histoire du COVID est une guerre menée par la Chine pour affaiblir, avec les vaxxins, et envahir, avec les migrants, les Etats-Unis et les pays européens.

 

https ://odysee.com/@Cielvoile:e/nawo:5?src=embed

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Le rapport du gouvernement lie l’exposition à haut fluorure avec un faible QI chez les enfants

Environ 3 millions de personnes aux États-Unis pourraient boire de l’eau avec une teneur élevée en fluorure, selon l’analyse.

D’après un rapport du National Toxicology Program (NTP), l’exposition aux niveaux élevés de fluorure est « honorablement associée » à un QI plus faible et à d’autres problèmes de développement neurologique.

https://www.theepochtimes.com/health/government-report-links-high-fluoride-exposure-with-low-iq

Note de TAL :  dans le Livre-choc Sida, opium, diamants et empire »

De Nancy Turner Banks

Auparavant, aux Etats-Unis, des industriels ne savaient comment éliminer le fluor qui était un déchet inutile. Ils ont réussi, avec la complicité de scientifiques bien payés, à faire croire que la fluoration de l’eau allait éviter les caries dentaires des populations ! Et ainsi des millions de gens ont été pollués par le fluor, qui est un métal très toxique pour le système nerveux… qu’importe, l’important c’est l’argent ! Il a fallu de nombreuses années et des vies gâchées par centaines de milliers pour qu’on cesse de fluorer l’eau potable…Mais les empoisonneurs n’ont jamais été accusés ni condamnés !

Ensuite l’auteur montre l’escroquerie su sida :

Avec la précision d’un détective et le force d’un historien qui vérifie toutes ses sources, elle brosse un tableau saisissant de la société actuelle où l’argent justifie tous les mensonges, dans tous les domaines. Elle montre de manière irréfutable que le sida est un problème de toxicité du mode de vie, dans les pays riches, et de malnutrition et autres problèmes immunosuppresseurs, dans les pays pauvres. Mais tout l’édifice sida=virusHIV=mort est un château de cartes qui ne résiste pas à un examen objectif. Un virus inexistant, un test diagnostic totalement sans valeur, des traitements chimiques qui renforcent l’intoxication de l’organisme, en un mot une incroyable saga rendue possible par l’ignorance du public et la peur grâce à laquelle on vend n’importe quoi, avec le concours de medias dénués de sens critique et prêt à dire tout ce que les multinationales chimiques leur demandent d’affirmer haut et fort pour augmenter leurs ventes. Nous vivons une époque passionnante parce que chacun peut, grâce à internet et aux livres, avoir accès aux informations qu’il recherche. Mais encore faut-il être ouvert et curieux, capable de se remettre en question. Et ça, c’est difficile 

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CROWDBUNKER / Analyse de la poussières du Sahara KLA.TV

Nous sommes empoisonnés par les chemtrails et les gouvernements et le medias n’en disent rien. Il s’agit d’un « terrorisme du climat » qui bombarde les populations avec des produits toxiques.

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Les studios OMS présentent Monkeypox, le

pilote de la nouvelle saison de Covid-19,

concurrençant ainsi les super productions

actuelles

par Alain Tortosa

Nous l’attendions tous, des rumeurs circulaient sur sa sortie et voilà c’est fait.

Attention, «spoiler»… des éléments qui suivent divulguent des faits importants sur la série. Si

vous désirez garder l’effet de surprise, ne lisez surtout pas ce texte.

Cela fait des mois que durait l’incertitude, allions-nous avoir la grippe de la tomate 1 , la grippe

du poulet 2 , la pleurésie du castor ou l’angine du poulpe ? Le grand vainqueur de cet épisode

pilote diffusé en mondovision est donc :

Tada !

«La variole du singe, Monkeypox de la brume 

Permettez-moi de vous préciser que le scénario n’est pas totalement arrêté. Les studios se

livrent à une guerre sans nom. Des milliards de dollars sont en jeu et il n’est pas possible de se

permettre de gâcher une série.

Ce n’est donc pas un hasard si OMS studios a choisi la période entre la fin des JO et la rentrée

de septembre pour sortir son blockbuster. Il eût été impossible de la diffuser pendant les Jeux

olympiques au risque de gâcher la fête. Notez que durant ceux-ci, les studios ont pris soin ici

et là de nous parler de cas de Covid afin de nous préparer à cette nouvelle sortie.

Nous nous réjouissons tous de cette nouvelle saison, mais permettez-moi de vous faire part de

mes inquiétudes. Quand bien même l’ensemble de ces acteurs ne souhaite que notre bien, nul

ne peut en douter, le risque de flop existe pour autant.

Les productions actuelles

Faisons un point rapide et non exhaustif sur la situation.

 OMS studios a dans ses tiroirs à minima deux séries phares en gestation, la grippe aviaire et

la variole du singe. D’aucuns qui rêvaient d’une épidémie mondiale ravageant les humains ET

les animaux pourraient avoir une petite larme à l’œil du fait de la sortie de Mpox. Je tiens

néanmoins à les rassurer et leur dire que ce n’est que partie remise. La grippe du poulet est un

plan trop génial pour l’abandonner. N’oubliez pas que des pilotes de courte durée sont

diffusés régulièrement afin de maintenir le téléspectateur en haleine. «100 000 poulets abattus

dans le Gers suite à un test PCR» et j’en passe…

 OTAN studios garde quant à lui sa série culte qui fait un carton depuis des années, je vous

rappelle que chaque saison se déroule en un lieu différent afin de la rendre plus attractive et ne

pas lasser.

«War in the Ukraine» est toujours à l’affiche, mais en perte de vitesse. Face à cela les

scénaristes ont eu l’idée de lancer l’opération «j’va faire mieux qu’Napo et envahir la

Russie». L’idée est géniale, le petit pays, même pas peur, qui veut réussir ce que des

millénaires n’ont pas pu accomplir. Ici encore je crains que ce ne soit le dernier souffle d’une

série dont la fin est comptée. Même si cela en attriste plus d’un, il faut se rendre à l’évidence,

il n’y a plus assez de chair à canon, on commence à attaquer les moins de 18 ans et les plus de

65 ans pour qu’ils aillent se faire buter et ça fait désordre. À leur décharge ils ont du faire face

à l’Étoile Studios qui, sans prévenir, a sorti sa super production méga-gore.

Inutile pour autant de s’en faire pour la société de production qui nous régale depuis environ

75 ans de ses super réalisations. Il est un secret de polichinelle d’affirmer qu’ils préparent une

nouvelle série qui devrait se dérouler en Asie. Je sais, cela fait des années qu’ils en parlent

nous laissant sur notre faim, mais ils attendent le bon moment afin de pouvoir rafler tous les

Golden Globes.

Mais les scénaristes d’OTAN studios ont pour autant un manque total d’imagination c’est

systématiquement «les gentils contre les méchants» (encore plus con qu’un Disney), «les

forces du bien contre les forces du mal», «les démocraties contre les dictatures», etc. On a

beau se dire que c’est du vu et revu, que l’on connaît le scénario par cœur, et bien on retombe

dans le piège, on se fait happer par l’atmosphère bon enfant, les spécialistes de plateau, le

dictateur qui génocide trois civils dans un bombardement immonde, le fou rempli de haine qui

sabote ses propres installations sous le regard médusé de sa population, etc.

 Étoile Studios quant à lui a profité du désordre et de la concurrence pour se dire que c’était

l’occasion d’agrandir ses locaux et de créer la série «Un, deux, trois, soleil 

Il a déniché une petite bande de terre de 300 km2 en bord de plage qu’il utiliserait bien.

Profitant du désordre un script a été mis œuvre, certes de très mauvaise qualité, mais qui au

final rencontre un énorme succès d’audience.

Je dois dire qu’ils n’en sont pas à leur coup d’essai pour les scénarios abracadabrantesques.

Rappelez-vous le 11 septembre, la plus grande puissance du monde qui n’a plus un seul avion

de disponible occupés pour des manœuvres aériennes, des pirates de l’air même pas foutus de

poser un Cesna, deux avions qui volent tranquillement sans être dérangés et qui percutent

chacun une tour. On aurait pu imaginer que deux tours s’effondrent, mais dans leur scéna une

troisième tombe toute seule par mimétisme. Bref de la mauvaise série B au scénario

lamentable, mais qui pour autant a eu un succès mondial qui continue encore à faire de

l’audience.

Qu’à cela ne tienne, nous sommes ici dans le plagiat d’eux-mêmes. Un document officiel

décrivant le mode opératoire des terroristes, les postes-frontière abandonnés, l’aviation en

train de prendre l’apéro et hop les méchants qui frappent à la plus grande surprise, la faute à

pas de chance ! À noter que dans le scénario original les terroristes sont tellement nuls que les

auteurs sont obligés de rajouter une scène dans laquelle les hélicoptères de l’armée tirent sur

tout ce qui bouge, des civils en plein concert, histoire de rajouter une peu de carnage et de

viande grillée. Je me dois de préciser à ce stade que c’est du plagiat, rappelons-nous de

l’autoroute de la mort produite par OTAN Studios entre Bassora (en Irak) et Koweït City…

des kilomètres de cadavres brûlés vifs dans une ambiance festive de barbecue et de maïs

grillé. Ça avait plus de gueule que quelques voitures brûlées sur un parking.

Ici encore, malgré la faiblesse du scénario et les déjà-vu, elle a un succès fou. Les épisodes

s’enchaînent à un rythme effréné. Pas le temps de s’ennuyer. Elle est un peu construite

comme la série «24 heures». Feux d’artifice géants avec son et lumière, quartiers rasés,

massacres de civils, viols de prisonniers, enfants déchiquetés, hôpitaux bombardés, opérations

de blessés sans anesthésique, victimes déterrées puis écrasées par des chars pour qu’ils n’aient

pas de sépulture (celle-ci est une de mes préférées cf. reportage Al-Jazeera), bref, que du bon

gore qui ferait passer un «Rambo III» ou un «Apocalypse Now» pour une kermesse à la

paroisse.

Hélas, les scénaristes ont péché par orgueil. Ils ont voulu tellement nous épater par de belles

images qu’à ce rythme il n’y aura bientôt plus personne à massacrer dans la série. C’est ce qui

s’appelle jeter le bébé avec l’eau du bain sauf que là, ils n’ont plus d’eau ni de baignoire et

bientôt plus de bébés !

 Giec Studios et «le dérèglement climatique». Alors là ce n’est plus de la super production,

mais de la méga-super-production. Des moyens colossaux ont été utilisés pour cette série, que

dis-je pour cette épopée. Elle implique quasi tous les pays de la planète. Ici encore on pourrait

trouver le scénario un peu faible :

«Si l’on ne fait rien, c’est la fin du monde, sinon c’est aussi la fin du monde, mais plus tard».

Les auteurs sont pris à leur propre piège. Si dans l’histoire tout s’arrange grâce à la mise en

œuvre d’un maximum de mesures dictatoriales, c’est la fin de la série, et adieu le contrôle des

masses et la poule aux œufs d’or. Il faut dire qu’arriver à faire des milliards de bénéfices avec

de l’air (du CO2) relève du génie. En revanche, si l’on veut continuer à attirer les spectateurs,

il nous faut de la catastrophe ad vitam æternam au risque de lasser. Cette année les scénaristes

ont fait évoluer l’histoire. Au commencement était le «réchauffement climatique» :

«Nous allons tous crever de soif, les déserts vont recouvrir la planète, toute vie terrestre et

marine va mourir, l’eau qui s’évapore de plus en plus du fait de la chaleur ne va pas

retomber sous forme de pluie, mais partir dans l’espace».

Je reconnais que l’idée était pas mal, mais difficile à tenir sur la distance. Ils ont donc

remplacé (sans le dire trop fort aux téléspectateurs) «réchauffement» par «dérèglement».

Tout le monde sait que le climat est «réglé» et qu’il en a toujours été ainsi depuis des millions

d’années. Je tiens aussi à rappeler que le réchauffement est très néfaste pour la vie, celle-ci

explosant dans les déserts arctiques et antarctiques alors même que les régions équatoriales ne

sont que mort et désolation. Donc pour cette nouvelle saison ils ont inventé les températures

sous la normale, la pluie à n’en plus finir, mais aussi les inondations récurrentes. C’est bien

parce que cela simplifie enfin le discours que les plus cons n’arrivaient pas à suivre.

Il faut dire que les débiles de complotistes ne manquaient pas de dire :

«Regarde, il fait froid.»

«Regarde il pleut».

Tout ceci n’a plus lieu d’être dans la dernière saison, le message est beaucoup plus simple :

«Il fait chaud, c’est la faute au dérèglement».

«Il fait froid, c’est la faute au dérèglement».

«Il fait habituel, c’est la faute au dérèglement».

C’est bien, mais ça marque moins les esprits et le nombre de spectateurs qui suivent la série

ne fait que diminuer.

Sans compter que le réflexe saison 1 demeure. Pendant toute la dernière saison, les

protagonistes passent leur temps sous la pluie et en fin de saison le message est : «C’est le

mois le plus chaud depuis la naissance de l’Univers».

Je salue au passage l’imagination des auteurs qui ne prennent plus les températures sous abri

loin d’un point chaud artificiel, mais à 10 cm au-dessus du bitume dans un parking en plein

soleil. Sans compter le remplacement progressif de la température mesurée par la température

ressentie, bien plus précise et scientifique comme vous en conviendrez.

Je ne veux pas être un oiseau de mauvais augure, mais de nombreux spectateurs ont senti la

faiblesse du scénario. Dans les premières saisons, nous avions droit à des annonces

sympathiques comme «les Maldives seront noyées d’ici 10 ans» ou «d’ici 2020 il n’y aura

plus de neige dans les Alpes» et voilà que les hôtels ou les maisons de milliardaires continuent

de fleurir au niveau de la mer et on nous annonce que 12 mètres de neige sont tombés au col

du Galibier ! 3 Il y a bien celles et ceux qui sortent en tee-shirt sous la neige quand on leur

explique que l’on vit un épisode caniculaire, mais avouez qu’ils perdent des spectateurs avec

ce flux d’incohérence.

Les croisements (crossover) entre les séries

Je ne sais pas pour vous, mais moi j’a-do-re quand un personnage récurrent d’une série fait un

passage dans une autre série. Ça surprend, ça crée de l’excitation, bref la clef du bonheur dans

un monde libre.

Et bien les Studios Étoile et les Studios OMS viennent de nous en faire profiter dans un

épisode totalement inattendu de la série aux bons accents de méditerranée, «Un, deux, trois,

soleil !».

La scène se déroule sur la plage en pleine chaleur où ça massacre à tour de bras, vieillards,

femmes, enfants et c’est alors que tombe une nouvelle horrifiante à nous glacer le sang :

«Un premier cas confirmé de polio depuis 25 ans, l’ONU réclame des «pauses humanitaires»

pour vacciner les enfants. La maladie a été diagnostiquée chez un bébé de 10 mois qui n’avait

pas été vacciné».

Attendez, c’est pas fini, c’est génial, il fallait oser !

Imagines la scène avec des bombes qui pleuvent, des hurlements, ça pue le cadavre, des

enfants déchiquetés, par exemple les jambes sous du sable avec des petits pieds qui dépassent

et le corps sur un arbre (j’ai la vidéo pour qui veut) et là tu as un médecin d’OMS

Studios (style super héros beau gosse baraqué sauveur du monde libre, et américain) qui

arrive dans l’hôpital et décide de faire un test de polio sur un bébé de 10 mois

miraculeusement indemne qui vient de perdre toute sa famille en une seule explosion !

Ne rigolez pas, le médecin débile de la série «Un, deux, trois, soleil» aurait essayé de soigner

les blessures des survivants, quel con ! Le superhéros d’OMS studios se dit quant à lui : «Le

plus important c’est de diagnostiquer une polio pour éviter une épidémie 

Vous touchez du doigt la psychologie j’espère.

C’est là que le génie des scénaristes s’associe à la beauté de l’Humanité, qui ne peut que tirer

la larme à l’œil aux plus endurcis d’entre nous. Ah, ils sont forts ces auteurs.

«Cette annonce intervient alors que le secrétaire général de l’ONU s’est joint à l’appel de

l’OMS et de l’Unicef, qui réclament des «pauses humanitaires de 7 jours» dans les combats

à Gaza pour permettre deux campagnes de vaccination contre cette maladie, qui concernent

plus de 640 000 enfants de moins de 10 ans ces prochaines semaines». 4

On croit rêver, mais c’est écrit dans le script, je déconne pas, suivez le lien de la note de bas

de page si vous êtes sceptique. C’est comme s’ils disaient : «Les mecs, on va arrêter de

déchiqueter les bébés et les enfants pendant quelques jours et on reprend dans une semaine le

temps de les vacciner, histoire qu’ils meurent en bonne santé ! Ha, ha, ha 

Dire qu’après cela certains doutent de l’Humanité. Mais je m’égare devant tant d’amour et de

compassion.

L’objet de mon introduction était de dire que la concurrence des différents studios est rude et

qu’il n’est pas facile de garantir le succès d’une nouvelle série.

Monkeypox, Mpox pour les branchés :

Alors que dire de ce pilote de la nouvelle série d’OMS Studios ?

Reprendre les ficelles qui font le succès tout en amenant de l’originalité, disons plutôt en

essayant de faire croire que c’est une nouveauté afin que les téléspectateurs suivent.

Il y a sans doute des limites à la surenchère même si… par exemple après les Dents de la mer

et son requin blanc qui mange des baigneurs, nous avons désormais les mégalodons qui

mangent des baigneurs.

Pour autant un mauvais démarrage d’une série n’implique pas obligatoirement son futur

échec.

Prenez par exemple la série «SIDA» produite en son temps par OMS Studios. Les débuts ont

été décevants : difficile pour tout un chacun de s’identifier aux héros quand ceux-ci passent la

nuit à se droguer et à se faire pénétrer dans leur fondement par des partenaires multiples d’un

soir. Heureusement les scénaristes se sont ressaisis en trouvant l’idée géniale de la

contamination par le sang, sans cet éclair de génie s’en était fini.

Ici encore la série eût pu être un échec total sans l’invention de la trithérapie qui a permis de

provoquer, enfin, un nombre de morts hallucinant. S’en suit ensuite une reculade du nombre

de décès au fur et à mesure que l’on diminuait la dose mortelle des «médicaments».

Il me semble aussi que c’est à cette époque que l’on a théorisé le malade non malade,

le «séropositif», qui devait être «soigné» à vie pour ne pas développer la «maladie» causée

par les médicaments et ne pas mourir. Ils sont même allés jusqu’à inventer l’infecté par le

virus dont il était impossible de détecter le moindre virus chez lui. Du boulot d’artiste !

Le malade asymptomatique

Idée géniale qui a été largement reprise pour la série «Covid» d’OMS Studios avec le

développement à l’infini du malade en pleine santé potentiellement contagieux et sans le

moindre symptôme.

Ainsi chaque téléspectateur pouvait s’identifier dans cet extrait devenu culte :

Ne risque-t-on pas le plagiat avec la nouvelle série Mpox ?

Vous dites-vous cela quand vous regardez une nouvelle saison de «Otan-war» ? Bien sûr que

non et il en sera de même de «Monkeypox dans la brume» versus «Covid 19».

Un jour, je disais à une personne ayant un poste très très élevé dans une boîte de production :

«Mais Master-chef, c’est la même chose que Top-chef !»

Je dois dire qu’avec le recul j’ai un peu honte de moi. Il m’a immédiatement remis en place

pour me dire «mais ça n’a rien à voir 

Une nouvelle pièce : Le malade asymptomatique.

Sur une idée géniale, largement reprise pour la série « Covid » d’OMS Studios, le développement à l’infini du scénario du malade en pleine santé, potentiellement contagieux, et sans le moindre symptôme.
Ainsi chaque téléspectateur peut s’identifier dans cet extrait devenu culte :

  • –  Candide : « Je me sens parfaitement bien, pas le moindre signe de maladie, je me demande si je ne devrais pas me faire tester. »
  • –  Le Savant : « Bien évidemment espèce de dingue criminel, te rends-tu compte que tu pourrais infecter une personne en bonne santé qui à son tour, ignorant sa dangerosité et se croyant en bonne santé, pourrait infecter une autre personne en bonne santé, et ainsi de suite ?! »
  • –  Candide : « Et dois-je me vacciner ? »
  • –  Le Savant : « Absolument, le vaccin protège des formes graves que ta bonne santé et ta jeunesse préviennent. Je te rappelle qu’il est sûr et efficace. Les études ont prouvé que plus tu étais vacciné et moins tu subissais de tests PCR et moins tu étais positif. Si tu ne te vaccines pas, tu pourrais contaminer et mettre en danger une personne vaccinée déjà protégée par sa vaccination sûre et efficace. »
  • –  Candide : « Ah oui, tu as raison, c’est logique. »
  • –  Candide : « Mais mon voisin vacciné ne peut toujours pas aller voir sa mère en maison de retraite ! »
  • –  Le Savant : « C’est à cause des non-vaccinés, il pourrait la contaminer même si son vaccin est sûr et efficace et qu’il protège des formes graves, alors qu’elle est aussi vaccinée par ce même vaccin sûr et efficace qui protège des formes graves. »
  • –  Candide : « C’est là que l’on voit que vous êtes le spécialiste et moi le débile. »
  • –  Candide : « Mais j’ai un autre voisin qui a attrapé le Covid malgré le vaccin. »
  • –  Le Savant : « C’est à cause des non-vaccinés, son vaccin sûr et efficace l’a protégé d’une forme grave. »
  • –  Candide : « Oui mais il a failli mourir. »
  • –  Le Savant : « C’est à cause des non-vaccinés, sans le vaccin il serait mort ! »
  • –  Candide : « Mais que dire du petit Albert7 qui est décédé sur le terrain quelques heures après sa vaccination. »
  • –  Le Savant : « Cela fait partie des mystères de la vie; tu sais, il avait déjà 6 ans et demi, un âge où l’on a des accidents cardiaques, c’était certainement son heure. Dire que des pourritures de complotistes utilisent ce genre de drame pour faire du mal. »
  • –  Candide : «Ah je comprends mieux, merci pour ces informations si précieuses et tellement logiques. »
  • –  Le Savant : « Ne me remerciez-pas, je suis là pour vous. Si vous avez d’autres questions sur des sujets comme le réchauffement climatique, je peux aussi vous éclairer. » 

Cet échange est devenu célèbre au point que les gamins jouent la scène dans les cours de récré !

Et bien croyez-moi ou pas, mais la variole et le Covid n’ont strictement aucun point en

commun, leur simple dénominateur est qu’ils sont tous deux produits par OMS Studios.

«Spoiler»

Stoppez votre lecture si vous voulez garder le suspense.

La suite suppose que les spectateurs accrochent à l’épisode pilote actuellement diffusé et que

la série prenne sa vitesse de croisière dès la rentrée. Pour cela il va nous falloir très vite le

premier décès en Europe.

Si la série est lancée alors nous allons apprendre pêle-mêle dans un consensus scientifique

que :

 Le virus n’est pas dangereux, mais il est peut-être dangereux.

 Il est très contagieux, mais pas trop contagieux ou peut-être pas du tout contagieux.

 Seules les personnes à risque doivent se protéger, mais aussi sans doute toutes les autres.

 Les malades meurent beaucoup entre 3 et 10%, mais la maladie n’est pas dangereuse.

 Il n’y a pas de traitement, mais il y a un traitement.

 Les vaccinés d’avant 1980 sont protégés sauf s’ils ne sont pas protégés.

 Il y a un vaccin efficace, mais il devrait y avoir bientôt un vaccin encore plus efficace.

Les premiers épisodes se verront rassurants :

 Ce n’est que quelques cas

 Nous avons le meilleur système de santé au monde

 Nous avons la chance d’avoir déjà un vaccin alors que pour la série Covid nous avions déjà

la chance d’avoir un vaccin, mais nous attendions le meilleur moment pour le sortir pour

rendre l’intrigue plus captivante

 Nous avons appris de nos maladresses passées

 Nous avons renforcé notre système de santé en fermant des lits et des services

 Aucune raison de s’alarmer, mais soyons prudents, on ne sait jamais

On nous dira aussi dans les épisodes suivants que : «Il est inutile à ce jour de se précipiter

pour se faire vacciner, faire des PCR, porter un masque ou rester chez soi à moins que vous

fassiez partie du panel de personnes pour lesquelles il est important de se faire vacciner, faire

des PCR, porter un masque et rester chez soi».

Les auteurs précisent que les symptômes de la maladie sont spécifiques et ne peuvent en

aucune façon être confondus avec d’autres pathologies comme le Covid et qu’il ne saurait y

avoir plagiat.

Le symptôme principal est l’éruption cutanée qui peut être accompagnée de :

«Fièvre.

Frissons.

Maux de tête.

Épuisement.

 

Ganglions lymphatiques enflés.

Douleurs dorsales, articulaires et musculaires».

Mais attention :

«Parfois, les personnes infectées ne remarquent pas d’éruption cutanée, mais elles peuvent

toutefois avoir un mal de gorge ou une douleur au rectum». 7

Nous apprendrons par la suite que la douleur au rectum pourrait s’expliquer autrement, je

vous laisse découvrir pourquoi.

Il y a aussi le côté enquête qui ajoute du suspense, je cite :

«Les symptômes peuvent ressembler à ceux d’autres maladies infectieuses, notamment :

 La varicelle (et le zona).

 Les infections bactériennes de la peau.

 Les infections transmissibles sexuellement, comme l’herpès, la syphilis, la gonorrhée».

Ils vont bien insister pour nous expliquer que «Mpox dans la brume» est une maladie aux

symptômes spécifiques, mais qui ressemble à d’autres maladies.

En revanche les réalisateurs ne nous ont pas encore révélé quelles sont les maladies qui vont

miraculeusement disparaître durant l’épidémie au profit du Mpox. Je vous rappelle qu’il n’y

avait plus aucune grippe ni maladie respiratoire dans la série Covid.

Petite originalité, les auteurs ont essayé de faire une synthèse entre Covid et SIDA, à la fois

un petit clin d’œil aux séries précédentes, mais aussi afin d’accroître l’intensité dramatique.

Ainsi la transmission du virus peut se faire par le contact (comme le Covid), mais aussi par

voie sexuelle (comme le SIDA). Hey, ils en ont de l’imagination hein !

Mais alors, comment savoir si l’on est contaminé ?

Rassurez-vous la série a prévu des tests PCR fiables (pléonasme).

«Actuellement le diagnostic se fait par PCR spécifique Monkeypox virus à partir des

prélèvements suivants :

 prélèvements cutanéo-muqueux : écouvillonnages et/ou biopsies de lésions cutanées et/ou

lésions muqueuses (génitaux et anaux) ;

 prélèvements de la sphère ORL : écouvillonnages oropharyngés (nasopharyngés possibles).

L’infection à virus Monkeypox est une maladie à déclaration obligatoire». 8

Nous voilà donc rassurés.

Sans surprise le pilote nous laisse volontairement sur notre faim.

Les populations :

 Devront-elles porter un masque obligatoirement ?

 Devront-elles être confinées ?

 Devront-elles subir des PCR dans tous les orifices ?

 Devront-elles être vaccinées pour pouvoir sortir, histoire de tester le nouveau passeport

vaccinal européen ?

Vous le saurez en regardant : «Monkeypox, la série qui n’a rien à voir avec la série Covid

19 

Nous apprendrons aussi durant un épisode que les complotistes délirent totalement en parlant

des effets secondaires des vaccins.

Ne ratez surtout pas cet épisode clef avec la franche rigolade du stagiaire qui s’est amusé à

introduire une liste de faux effets secondaires dans la notice de l’ACAM2000. 9

«Plusieurs événements indésirables graves ont été signalés suite à la première vaccination ou

à une revaccination ultérieure avec le vaccin vivant contre la variole à virus de la vaccine

(ACAM2000). Les événements indésirables graves survenus comprennent :

 

 Myocardite et péricardite.

 Le muscle cardiaque et sa muqueuse deviennent enflammés. La notice indique

que les cas suspects ont été observés à un taux de 5,7 pour 1000

primovaccinés.

 Vaccinie (infection virale provoquée par le vaccin) générale, progressive et

sévère

o Cette condition peut survenir chez les personnes immunodéprimées et

est causée par la réplication incontrôlée du virus de la vaccine. Le virus

provoque des blessures ouvertes et, selon sa gravité, peut entraîner la

mort.

 Eczéma vaccinal entraînant des séquelles permanentes ou la mort

o Cela se produit lorsque le virus de la vaccine se propage et provoque

une éruption cutanée globale et des réactions systémiques.

 Mort fœtale

o Les personnes enceintes qui ont reçu un vaccin vivant contre le virus

sont plus susceptibles de subir un avortement spontané (fausse couche).

 Encéphalite, encéphalomyélite et encéphalopathie

o Il s’agit d’inflammations du cerveau, de la moelle épinière ou des deux.

 Érythème multiforme majeur (EMM), y compris le syndrome de Stevens-

Johnson (SJS)

o L’EMM est une réaction cutanée. Le SJS est un trouble rare et grave

qui affecte la peau, les surfaces humides du corps, les organes génitaux

et les yeux.

 Complications oculaires et cécité

o Lorsque le virus de la vaccine pénètre dans la région oculaire, il peut

provoquer des infections des paupières, un gonflement, une sensibilité à

la lumière, une irritation et des lésions de la cornée, voire une cécité.

Il s’agit de risques graves et certaines personnes qui reçoivent un vaccin vivant contre le virus

de la vaccine sont plus sujettes à ces effets indésirables».

Sachez qu’à l’écriture de ce texte les auteurs n’ont révélé que quelques petits effets

secondaires du nouveau vaccin JYNNEOS 10  afin de ne pas gâcher la surprise et le plaisir.

Notre enquête nous a permis néanmoins d’en divulguer quelques-uns en avant première :

«Incidence inconnue :

 Oppression thoracique.

 Toux.

 Difficulté à avaler.

 Vertiges.

 Évanouissement.

 Rythme cardiaque rapide.

 Urticaire, démangeaisons, éruption cutanée.

 Gonflement ou gonflement des paupières ou autour des yeux, du visage, etc.

 Difficulté à respirer.

 Fatigue ou faiblesse inhabituelle»

Rien de bien méchant donc. Nous ne savons pas encore qui de l’ACAM2000 ou du

JYNNEOS sera le grand vainqueur.

Patientons, tout vient à point à qui sait attendre.

Scoop :

Tout le monde se pose la question quant à l’existence de porteurs asymptomatiques et le pilote

laisse volontairement planer l’incertitude comme le montre l’affirmation suivante : «À l’heure

actuelle, on ne sait pas si une infection asymptomatique peut se produire». 11

Je vous rassure immédiatement, si cette mise en bouche est un succès il y aura alors des

asymptomatiques.

Il est vital pour le succès de la série qu’il existe des tueurs potentiels comme pour la série

Covid-19 avec «les petits enfants qui peuvent tuer leurs grands-parents».

Si les malades et les contagieux ont des symptômes alors adieu les confinements, les masques

obligatoires, les PCR généralisés, la panique et le vaccin (quasi) obligatoire.

Le succès de cette nouvelle production des studios OMS repose EXCLUSIVEMENT sur

l’existence de porteurs asymptomatiques comme dans la série «Covid» qui n’aurait pas eu ce

succès planétaire.

Il suffira alors de compter les cas positifs et non les malades pour pouvoir avoir

une «vraie» épidémie mondiale dont le nombre de cas sera directement proportionnel au

nombre de tests PCR effectués.

Je ne résiste pas non plus à une dernière révélation sur la série. Vous vous rappelez, les

auteurs et téléspectateurs adorent les références à d’autres séries. C’est ainsi que dans Covid-

19, un épisode révèle que le vaccin Comirnaty (Pfizer BioNTech) a parmi ses effets

secondaires 12  celui-ci : «Érythème polymorphe – une réaction cutanée qui provoque des

taches ou des plaques rouges sur la peau. Il peut ressembler à une cible ou à une «cible»

avec un centre rouge foncé entouré d’un anneau rouge plus pâle». 

Toute ressemblance avec les boutons de la variole ne serait que pure coïncidence. Variole

dont l’irruption peut aussi faire penser à un vulgaire zona.

Je vous souhaite donc un bon visionnage. Que la bière et les pop-corn coulent à flots !

Merci

source : Nouveau Monde

https://7milliards.fr/tortosa20240818-episode-pilote-mpox-de-oms-studios.pdf

1. https://www.doctissimo.fr/grippe-de-la-tomate-symptomes-transmission-et-risques-en-

france

2. https://www.pasteur.fr/grippe-aviaire

3. https://www.ledauphine.com/societe/2024/05/18/le-deneigement-du-galibier-un-

travail-de-titan-a-2-400-metres-d-altitude

4. https://www.francetvinfo.fr/a-gaza-un-premier-cas-confirme-de-polio-depuis-25-ans-l-

onu-reclame-des-pauses-humanitaires-pour-vacciner-les-enfants

5. Notons qu’en revanche il y avait plus de décès dans le groupe vacciné que dans le

groupe témoin, mais au moins sans l’étiquette Covid. J’invite les covidistes à ne pas

vérifier au risque d’ébranler leur foi.

6. À lire absolument :

https://7milliards.fr/tortosa20211105-je-m-appelais-albert-j-avais-6-ans.pdf

7. https://www.canada.ca/fr/sante-publique/services/maladies/mpox/symptomes-gestion

8. https://www.eurofins-biomnis.com/services/referentiel-des-examens/MPOX

9. https://www.cdc.gov/vaccine-safety/mpox/cdc-generic-section-5-side-effects

10. https://www.drugs.com/sfx/jynneos-side-effects

11. https://www.canada.ca/fr/sante-publique/services/maladies/mpox/professionnels-sante

12. https://www2.hse.ie/screening-and-vaccinations/covid-19-vaccine/side-effects

par Alain Tortosa

Nous l’attendions tous, des rumeurs circulaient sur sa sortie et voilà c’est fait.

Attention, «spoiler»… des éléments qui suivent divulguent des faits importants sur la série. Si

vous désirez garder l’effet de surprise, ne lisez surtout pas ce texte.

Cela fait des mois que durait l’incertitude, allions-nous avoir la grippe de la tomate 1 , la grippe

du poulet 2 , la pleurésie du castor ou l’angine du poulpe ? Le grand vainqueur de cet épisode

pilote diffusé en mondovision est donc :

Tada !

«La variole du singe, Monkeypox de la brume  

Permettez-moi de vous préciser que le scénario n’est pas totalement arrêté. Les studios se

livrent à une guerre sans nom. Des milliards de dollars sont en jeu et il n’est pas possible de se

permettre de gâcher une série.

Ce n’est donc pas un hasard si OMS studios a choisi la période entre la fin des JO et la rentrée

de septembre pour sortir son blockbuster. Il eût été impossible de la diffuser pendant les Jeux

olympiques au risque de gâcher la fête. Notez que durant ceux-ci, les studios ont pris soin ici

et là de nous parler de cas de Covid afin de nous préparer à cette nouvelle sortie.

Nous nous réjouissons tous de cette nouvelle saison, mais permettez-moi de vous faire part de

mes inquiétudes. Quand bien même l’ensemble de ces acteurs ne souhaite que notre bien, nul

ne peut en douter, le risque de flop existe pour autant.

Les productions actuelles

Faisons un point rapide et non exhaustif sur la situation.

 OMS studios a dans ses tiroirs à minima deux séries phares en gestation, la grippe aviaire et

la variole du singe. D’aucuns qui rêvaient d’une épidémie mondiale ravageant les humains ET

les animaux pourraient avoir une petite larme à l’œil du fait de la sortie de Mpox. Je tiens

néanmoins à les rassurer et leur dire que ce n’est que partie remise. La grippe du poulet est un

plan trop génial pour l’abandonner. N’oubliez pas que des pilotes de courte durée sont

diffusés régulièrement afin de maintenir le téléspectateur en haleine. «100 000 poulets abattus

dans le Gers suite à un test PCR» et j’en passe…

 OTAN studios garde quant à lui sa série culte qui fait un carton depuis des années, je vous

rappelle que chaque saison se déroule en un lieu différent afin de la rendre plus attractive et ne

pas lasser.

«War in the Ukraine» est toujours à l’affiche, mais en perte de vitesse. Face à cela les

scénaristes ont eu l’idée de lancer l’opération «j’va faire mieux qu’Napo et envahir la

Russie». L’idée est géniale, le petit pays, même pas peur, qui veut réussir ce que des

millénaires n’ont pas pu accomplir. Ici encore je crains que ce ne soit le dernier souffle d’une

série dont la fin est comptée. Même si cela en attriste plus d’un, il faut se rendre à l’évidence,

il n’y a plus assez de chair à canon, on commence à attaquer les moins de 18 ans et les plus de

65 ans pour qu’ils aillent se faire buter et ça fait désordre. À leur décharge ils ont du faire face

à l’Étoile Studios qui, sans prévenir, a sorti sa super production méga-gore.

Inutile pour autant de s’en faire pour la société de production qui nous régale depuis environ

75 ans de ses super réalisations. Il est un secret de polichinelle d’affirmer qu’ils préparent une

nouvelle série qui devrait se dérouler en Asie. Je sais, cela fait des années qu’ils en parlent

nous laissant sur notre faim, mais ils attendent le bon moment afin de pouvoir rafler tous les

Golden Globes.

Mais les scénaristes d’OTAN studios ont pour autant un manque total d’imagination c’est

systématiquement «les gentils contre les méchants» (encore plus con qu’un Disney), «les

forces du bien contre les forces du mal», «les démocraties contre les dictatures», etc. On a

beau se dire que c’est du vu et revu, que l’on connaît le scénario par cœur, et bien on retombe

dans le piège, on se fait happer par l’atmosphère bon enfant, les spécialistes de plateau, le

dictateur qui génocide trois civils dans un bombardement immonde, le fou rempli de haine qui

sabote ses propres installations sous le regard médusé de sa population, etc.

 Étoile Studios quant à lui a profité du désordre et de la concurrence pour se dire que c’était

l’occasion d’agrandir ses locaux et de créer la série «Un, deux, trois, soleil 

Il a déniché une petite bande de terre de 300 km2 en bord de plage qu’il utiliserait bien.

Profitant du désordre un script a été mis œuvre, certes de très mauvaise qualité, mais qui au

final rencontre un énorme succès d’audience.

Je dois dire qu’ils n’en sont pas à leur coup d’essai pour les scénarios abracadabrantesques.

Rappelez-vous le 11 septembre, la plus grande puissance du monde qui n’a plus un seul avion

de disponible occupés pour des manœuvres aériennes, des pirates de l’air même pas foutus de

poser un Cesna, deux avions qui volent tranquillement sans être dérangés et qui percutent

chacun une tour. On aurait pu imaginer que deux tours s’effondrent, mais dans leur scéna une

troisième tombe toute seule par mimétisme. Bref de la mauvaise série B au scénario

lamentable, mais qui pour autant a eu un succès mondial qui continue encore à faire de

l’audience.

Qu’à cela ne tienne, nous sommes ici dans le plagiat d’eux-mêmes. Un document officiel

décrivant le mode opératoire des terroristes, les postes-frontière abandonnés, l’aviation en

train de prendre l’apéro et hop les méchants qui frappent à la plus grande surprise, la faute à

pas de chance ! À noter que dans le scénario original les terroristes sont tellement nuls que les

auteurs sont obligés de rajouter une scène dans laquelle les hélicoptères de l’armée tirent sur

tout ce qui bouge, des civils en plein concert, histoire de rajouter une peu de carnage et de

viande grillée. Je me dois de préciser à ce stade que c’est du plagiat, rappelons-nous de

l’autoroute de la mort produite par OTAN Studios entre Bassora (en Irak) et Koweït City…

des kilomètres de cadavres brûlés vifs dans une ambiance festive de barbecue et de maïs

grillé. Ça avait plus de gueule que quelques voitures brûlées sur un parking.

Ici encore, malgré la faiblesse du scénario et les déjà-vu, elle a un succès fou. Les épisodes

s’enchaînent à un rythme effréné. Pas le temps de s’ennuyer. Elle est un peu construite

comme la série «24 heures». Feux d’artifice géants avec son et lumière, quartiers rasés,

massacres de civils, viols de prisonniers, enfants déchiquetés, hôpitaux bombardés, opérations

de blessés sans anesthésique, victimes déterrées puis écrasées par des chars pour qu’ils n’aient

pas de sépulture (celle-ci est une de mes préférées cf. reportage Al-Jazeera), bref, que du bon

gore qui ferait passer un «Rambo III» ou un «Apocalypse Now» pour une kermesse à la

paroisse.

Hélas, les scénaristes ont péché par orgueil. Ils ont voulu tellement nous épater par de belles

images qu’à ce rythme il n’y aura bientôt plus personne à massacrer dans la série. C’est ce qui

s’appelle jeter le bébé avec l’eau du bain sauf que là, ils n’ont plus d’eau ni de baignoire et

bientôt plus de bébés !

 Giec Studios et «le dérèglement climatique». Alors là ce n’est plus de la super production,

mais de la méga-super-production. Des moyens colossaux ont été utilisés pour cette série, que

dis-je pour cette épopée. Elle implique quasi tous les pays de la planète. Ici encore on pourrait

trouver le scénario un peu faible :

«Si l’on ne fait rien, c’est la fin du monde, sinon c’est aussi la fin du monde, mais plus tard».

Les auteurs sont pris à leur propre piège. Si dans l’histoire tout s’arrange grâce à la mise en

œuvre d’un maximum de mesures dictatoriales, c’est la fin de la série, et adieu le contrôle des

masses et la poule aux œufs d’or. Il faut dire qu’arriver à faire des milliards de bénéfices avec

de l’air (du CO2) relève du génie. En revanche, si l’on veut continuer à attirer les spectateurs,

il nous faut de la catastrophe ad vitam æternam au risque de lasser. Cette année les scénaristes

ont fait évoluer l’histoire. Au commencement était le «réchauffement climatique» :

«Nous allons tous crever de soif, les déserts vont recouvrir la planète, toute vie terrestre et

marine va mourir, l’eau qui s’évapore de plus en plus du fait de la chaleur ne va pas

retomber sous forme de pluie, mais partir dans l’espace».

Je reconnais que l’idée était pas mal, mais difficile à tenir sur la distance. Ils ont donc

remplacé (sans le dire trop fort aux téléspectateurs) «réchauffement» par «dérèglement».

Tout le monde sait que le climat est «réglé» et qu’il en a toujours été ainsi depuis des millions

d’années. Je tiens aussi à rappeler que le réchauffement est très néfaste pour la vie, celle-ci

explosant dans les déserts arctiques et antarctiques alors même que les régions équatoriales ne

sont que mort et désolation. Donc pour cette nouvelle saison ils ont inventé les températures

sous la normale, la pluie à n’en plus finir, mais aussi les inondations récurrentes. C’est bien

parce que cela simplifie enfin le discours que les plus cons n’arrivaient pas à suivre.

Il faut dire que les débiles de complotistes ne manquaient pas de dire :

«Regarde, il fait froid.»

«Regarde il pleut».

Tout ceci n’a plus lieu d’être dans la dernière saison, le message est beaucoup plus simple :

«Il fait chaud, c’est la faute au dérèglement».

«Il fait froid, c’est la faute au dérèglement».

«Il fait habituel, c’est la faute au dérèglement».

C’est bien, mais ça marque moins les esprits et le nombre de spectateurs qui suivent la série

ne fait que diminuer.

Sans compter que le réflexe saison 1 demeure. Pendant toute la dernière saison, les

protagonistes passent leur temps sous la pluie et en fin de saison le message est : «C’est le

mois le plus chaud depuis la naissance de l’Univers».

Je salue au passage l’imagination des auteurs qui ne prennent plus les températures sous abri

loin d’un point chaud artificiel, mais à 10 cm au-dessus du bitume dans un parking en plein

soleil. Sans compter le remplacement progressif de la température mesurée par la température

ressentie, bien plus précise et scientifique comme vous en conviendrez.

Je ne veux pas être un oiseau de mauvais augure, mais de nombreux spectateurs ont senti la

faiblesse du scénario. Dans les premières saisons, nous avions droit à des annonces

sympathiques comme «les Maldives seront noyées d’ici 10 ans» ou «d’ici 2020 il n’y aura

plus de neige dans les Alpes» et voilà que les hôtels ou les maisons de milliardaires continuent

de fleurir au niveau de la mer et on nous annonce que 12 mètres de neige sont tombés au col

du Galibier ! 3 Il y a bien celles et ceux qui sortent en tee-shirt sous la neige quand on leur

explique que l’on vit un épisode caniculaire, mais avouez qu’ils perdent des spectateurs avec

ce flux d’incohérence.

Les croisements (crossover) entre les séries

Je ne sais pas pour vous, mais moi j’a-do-re quand un personnage récurrent d’une série fait un

passage dans une autre série. Ça surprend, ça crée de l’excitation, bref la clef du bonheur dans

un monde libre.

Et bien les Studios Étoile et les Studios OMS viennent de nous en faire profiter dans un

épisode totalement inattendu de la série aux bons accents de méditerranée, «Un, deux, trois,

soleil !».

La scène se déroule sur la plage en pleine chaleur où ça massacre à tour de bras, vieillards,

femmes, enfants et c’est alors que tombe une nouvelle horrifiante à nous glacer le sang :

«Un premier cas confirmé de polio depuis 25 ans, l’ONU réclame des «pauses humanitaires»

pour vacciner les enfants. La maladie a été diagnostiquée chez un bébé de 10 mois qui n’avait

pas été vacciné».

Attendez, c’est pas fini, c’est génial, il fallait oser !

Imagines la scène avec des bombes qui pleuvent, des hurlements, ça pue le cadavre, des

enfants déchiquetés, par exemple les jambes sous du sable avec des petits pieds qui dépassent

et le corps sur un arbre (j’ai la vidéo pour qui veut) et là tu as un médecin d’OMS

Studios (style super héros beau gosse baraqué sauveur du monde libre, et américain) qui

arrive dans l’hôpital et décide de faire un test de polio sur un bébé de 10 mois

miraculeusement indemne qui vient de perdre toute sa famille en une seule explosion !

Ne rigolez pas, le médecin débile de la série «Un, deux, trois, soleil» aurait essayé de soigner

les blessures des survivants, quel con ! Le superhéros d’OMS studios se dit quant à lui : «Le

plus important c’est de diagnostiquer une polio pour éviter une épidémie 

Vous touchez du doigt la psychologie j’espère.

C’est là que le génie des scénaristes s’associe à la beauté de l’Humanité, qui ne peut que tirer

la larme à l’œil aux plus endurcis d’entre nous. Ah, ils sont forts ces auteurs.

«Cette annonce intervient alors que le secrétaire général de l’ONU s’est joint à l’appel de

l’OMS et de l’Unicef, qui réclament des «pauses humanitaires de 7 jours» dans les combats

à Gaza pour permettre deux campagnes de vaccination contre cette maladie, qui concernent

plus de 640 000 enfants de moins de 10 ans ces prochaines semaines». 4

On croit rêver, mais c’est écrit dans le script, je déconne pas, suivez le lien de la note de bas

de page si vous êtes sceptique. C’est comme s’ils disaient : «Les mecs, on va arrêter de

déchiqueter les bébés et les enfants pendant quelques jours et on reprend dans une semaine le

temps de les vacciner, histoire qu’ils meurent en bonne santé ! Ha, ha, ha 

Dire qu’après cela certains doutent de l’Humanité. Mais je m’égare devant tant d’amour et de

compassion.

L’objet de mon introduction était de dire que la concurrence des différents studios est rude et

qu’il n’est pas facile de garantir le succès d’une nouvelle série.

Monkeypox, Mpox pour les branchés :

Alors que dire de ce pilote de la nouvelle série d’OMS Studios ?

Reprendre les ficelles qui font le succès tout en amenant de l’originalité, disons plutôt en

essayant de faire croire que c’est une nouveauté afin que les téléspectateurs suivent.

Il y a sans doute des limites à la surenchère même si… par exemple après les Dents de la mer

et son requin blanc qui mange des baigneurs, nous avons désormais les mégalodons qui

mangent des baigneurs.

Pour autant un mauvais démarrage d’une série n’implique pas obligatoirement son futur

échec.

Prenez par exemple la série «SIDA» produite en son temps par OMS Studios. Les débuts ont

été décevants : difficile pour tout un chacun de s’identifier aux héros quand ceux-ci passent la

nuit à se droguer et à se faire pénétrer dans leur fondement par des partenaires multiples d’un

soir. Heureusement les scénaristes se sont ressaisis en trouvant l’idée géniale de la

contamination par le sang, sans cet éclair de génie s’en était fini.

Ici encore la série eût pu être un échec total sans l’invention de la trithérapie qui a permis de

provoquer, enfin, un nombre de morts hallucinant. S’en suit ensuite une reculade du nombre

de décès au fur et à mesure que l’on diminuait la dose mortelle des «médicaments».

Il me semble aussi que c’est à cette époque que l’on a théorisé le malade non malade,

le «séropositif», qui devait être «soigné» à vie pour ne pas développer la «maladie» causée

par les médicaments et ne pas mourir. Ils sont même allés jusqu’à inventer l’infecté par le

virus dont il était impossible de détecter le moindre virus chez lui. Du boulot d’artiste !

Le malade asymptomatique

Idée géniale qui a été largement reprise pour la série «Covid» d’OMS Studios avec le

développement à l’infini du malade en pleine santé potentiellement contagieux et sans le

moindre symptôme.

Ainsi chaque téléspectateur pouvait s’identifier dans cet extrait devenu culte :

Ne risque-t-on pas le plagiat avec la nouvelle série Mpox ?

Vous dites-vous cela quand vous regardez une nouvelle saison de «Otan-war» ? Bien sûr que

non et il en sera de même de «Monkeypox dans la brume» versus «Covid 19».

Un jour, je disais à une personne ayant un poste très très élevé dans une boîte de production :

«Mais Master-chef, c’est la même chose que Top-chef 

Je dois dire qu’avec le recul j’ai un peu honte de moi. Il m’a immédiatement remis en place

pour me dire «mais ça n’a rien à voir 

separateur1

Requiem pour une connerie finie

 

1724750024 blog de tal 135 final 3Bonjour tout le monde ! C’est le jour de la rentrée pour l’infolettre mais j’ai trop de casseroles sur le feu pour la rédiger moi-même, étant notamment accaparé par le bouclage du mensuel Néosanté de septembre.  Ne pestez pas car je vais vous laisser en très bonne compagnie, celle d’Eusèbe Rioché. Pour rappel, ce brillant scientifique pluridisciplinaire est l’auteur du livre « Covid-19, guerre ouverte contre les peuples » (Éditions Marco Pietteur). Nous l’avions interviewé en exclusivité, il y a un an, lors de la sortie de cet ouvrage dévoilant magistralement l’imposture plandémique. Plus récemment, il a prêté main forte à Pierre Chaillot pour son article « Des souris et des fous ». Dans cette nouvelle contribution, Eusèbe revient sur la politique de confinement adoptée dans de nombreux pays durant la mascarade. De façon méthodique et implacable, en se basant sur des chiffres officiels incontestables, il expose que cette mesure hautement liberticide n’a donné aucun résultat sanitaire positif, que du contraire ! Dans une infolettre d’avril 2022, nous avions déjà enterré sans fleur ni couronnes la prétendue efficacité du lockdown. Aujourd’hui, nous pouvons planter les derniers clous dans le cercueil et inhumer définitivement ce grand délire covidiste.  À l’heure où les même marioles covidingues agitent le spectre de la variole et mettent en place un passeport vaccinal européen, il n’est certes pas superflu d’expédier par le fond l’utilité de séquestrer les populations. Le confinement, c’est une connerie finie qu’il ne fallait pas faire et qu’il ne faudrait surtout pas refaire !

Yves Rasir

PS : Pour ceux que cela intéresse, je participe demain matin à un débat sur le film « Les Survivantes » avec Jean-Jacques Crèvecœur. Cela se passe sur le plateau de KAIROS-TV :  
https://www.kairospresse.be/dkript-hebdo-le-face-a-face-crevecoeur-rasir/

Le confinement sur la sellette

Par  Eusèbe Rioché

 

Origine de la notion de confinement

Ce début de XXIe siècle a vu naître le concept étrange de confinement. Auparavant, il était inconnu de la littérature médicale. On évoquait cependant des notions en apparence voisine, comme la quarantaine, connue depuis plus d’un millénaire. La quarantaine consiste à mettre les personnes malades à l’écart des bien-­portants, afin d’éviter l’éventuelle contamination des individus sains. D’autres méthodes d’isolation des malades ont existé, parfois brutales, à l’instar de la serrade, c’est-­àdire l’enfermement généralisé de tout un quartier, parfois d’une ville entière, les habitants séquestrés dans leur domicile, souvent insalubre, sans possibilité d’en sortir : accès murés, rues condamnées, fuyards tirés à vue par l’armée… La serrade fut appliquée pendant différentes épidémies de peste : en 1478 en Catalogne, en 1628 et 1720 en France notamment, avec un résultat jugé quasi nul. En réalité, la serrade a aggravé les épidémies en contraignant les habitants à vivre dans des conditions effroyablement destructrices pour leur organisme. Pourtant, il ne s’agissait pas de confinement, car le principe voulait toujours qu’on séparât les malades des bien-­portants : seules les zones urbaines frappées par la peste étaient serrées.

Le confinement est de tout autre nature que la quarantaine ou la serrade, qui sont destinées à protéger les uns, sans symptômes, en isolant les autres, les cas déclarés. Bien au contraire, le confinement ne sépare pas les malades des personnes saines : il enferme ensemble, indistinctement aux mêmes endroits, malades et non-­malades. On séquestre sans distinction la totalité du territoire, en prétendant protéger la population d’elle-­même. Des camps de séquestration sont parfois érigés pour concentrer toute la population, comme cela s’est produit en Chine à la faveur de leur politique zéro Covid. Comment imaginer qu’une telle promiscuité, une telle brutalité, puisse avoir un quelconque effet bénéfique ? On ne recèle a priori aucune logique dans le principe confinateur, et pourtant, il a été décrété comme la solution ultime pour atténuer les pandémies.

La démarche scientifique permet à l’occasion de mettre en évidence des principes contraires à l’intuition. Qui sait, peut-­être que le confinement, sous son apparente absurdité, révélerait une quelconque efficacité à la lumière de l’observation critique et rigoureuse. En Chine, le 1er mai 2009, un touriste mexicain en vacances à Hong Kong avait été testé positif à la grippe porcine. L’hôtel Metropark où il résidait avait été entièrement confiné, calfeutré, littéralement mis sous cloche, en vain : la grippe s’est répandue dans toute la ville comme toutes les grippes par le passé. La quarantaine n’a servi à rien : même l’isolement des malades potentiels est inutile. Pire encore, il contribue à l’aggravation des épidémies, réelles ou supposées. Dans le cadre d’une épidémie de rougeole au Kenya, les docteurs Peter Aaby et Johannis Leeuwenburg ont mis en évidence ce qu’ils interprètent comme une augmentation de la virulence du morbillivirus incriminé [1] : les malades supposément infectés chez eux avaient trois fois plus de chances de mourir que ceux ayant eu des contacts hors de leur domicile. Suivant la théorie virale, les auteurs attirent l’attention sur la possible influence de l’intensité de l’exposition au pathogène sur sa létalité, qui semble plus importante en milieux confinés comme le sont les environnements domestiques. Qu’il y ait virus ou non, le fait demeure : vivre dans un lieu confiné augmente la létalité de la maladie. Les rares autorités assez folles pour mettre en place un confinement l’ont payé de la vie de leurs administrés.

En réalité, tout le monde sait depuis longtemps que le confinement est parfaitement inutile, et même nuisible. Un groupe de spécialistes a publié en 2006 un état de l’art de la gestion des épidémies de grippe [2] ; or ils sont très clairs : le confinement à grande échelle ne sert à rien et n’a jamais fonctionné. Bien au contraire, il se révèle dangereux, car il désorganise la société, qui devient incapable de réagir à l’urgence. Ils ajoutent que fermer les aéroports, les gares et les routes est parfaitement inutile, sinon à paralyser le pays. La distanciation sociale n’est appuyée par aucune étude ; ainsi, l’interdiction des rassemblements est sans fondements. Les deux seules mesures réellement efficaces sont la prise en charge hospitalière des malades graves et l’organisation de soins à domicile pour les malades légers. Avant l’année 2020, l’état de l’art était formel : le confinement est une folie. Alors pourquoi s’est-­il imposé comme une solution incontournable ?

Une enquête journalistique publiée dans le New York Times [3] révèle la sombre histoire du confinement. C’est en 2006, à la demande de Georges W. Bush, alors président des États-­Unis d’Amérique, que deux médecins, Richard Hatchett et Carter Mecher, ont commencé à promouvoir le confinement comme solution essentielle aux pandémies futures. Le premier modèle simulant l’efficacité du confinement fut le fruit d’un projet de lycée ayant dégénéré, porté officiellement par une adolescente de 14 ans, commodément cornaquée en coulisses par son père alors chercheur aux laboratoires Sandia, dont le thème de recherche concernait plutôt la diffusion de contaminants chimiques dans les villes. Ce travail indigent a servi d’argument publicitaire aux politiques de confinement. En parallèle, des modèles hautement douteux ont été promus par des professeurs se trompant systématiquement sur tout, par exemple Neil Ferguson, professeur à l’Imperial College de Londres. Cet individu, dont la ­compétence est à mettre en doute, promet depuis près de vingt ans des centaines de milliers de morts à chaque grippe annuelle. En France, c’est Simon Cauchemez, son ancien élève, qui a promis 400 000 morts en 2020, et a soutenu la chose en tant que membre du Conseil scientifique du gouvernement Macron. Où sont-­ils, ces morts ? Depuis près de vingt ans, de dangereux incompétents racontent les pires absurdités, avec la bénédiction de l’élite gouvernementale planétaire, afin d’effrayer la population. L’origine pseudo-­scientifique du confinement cache en fait une stratégie liberticide de contrôle des populations.

On ne peut alors en aucun cas s’étonner des observations faites après la mise en place des confinements « anti-Covid » de l’année 2020. Un article de John Ioannidis et al. [4], publié en janvier 2021, étudie les résultats des stratégies de ­confinement pour réduire la dangerosité supposée du « Covid-19 ». Les auteurs comparent différents pays suivant les choix qu’ils ont appliqués : l’Angleterre, la France, l’Allemagne, l’Iran, l’Italie, les Pays-­Bas, l’Espagne, la Corée du Sud, la Suède et les États-Unis. Parmi ces pays, seuls la Corée du Sud et la Suède n’ont pas pratiqué de confinement généralisé dur. La conclusion de ce travail est que les stratégies de confinement n’ont apporté aucun bénéfice dans la gestion sanitaire du « Covid-19 ».

Une grande étude séro-épidémiologique, menée par le ministère de la Santé espagnol en collaboration avec l’Institut de santé Carlos III [5], conclut que le virus « SARS-­CoV-2 » se propage davantage dans les populations confinées que dans celles laissées libres. Les taux de contamination attribués au « SARS-­CoV-2 » ont été mesurés par tests sérologiques dans différentes sous-­populations. Les contaminés étaient identifiés, non par leurs symptômes – la plupart n’étaient pas malades –, mais par des anticorps jugés caractéristiques d’une infection au « SARS-CoV-2 ». Les populations actives confinées ont ces anticorps dans une proportion de 6,3 %, tandis que les travailleurs non confinés sont 5,3 % dans le même cas. Une différence de 1 % sur 6,3 % est significative ; le confinement accentue les manifestations des marqueurs attribués au « SARS-CoV-2 ». Du point de vue de la théorie virale, le confinement cause ce qu’il est censé éviter. Il faut tout de même noter que les tests, quels qu’ils soient, ont peu de pertinence, voire n’en ont pas du tout [6] : lancer un dé ou une pièce en l’air offre à peu près les mêmes résultats, preuve que personne ne sait précisément ce que mesurent les tests « Covid ». L’incohérence du phénomène « Covid » apparaît d’autant plus flagrante, car la version officielle est infirmée par ses propres méthodes.

Les autorités sanitaires françaises ont observé des phénomènes inquiétants liés au confinement. Le groupement d’intérêt scientifique EPI-­PHARE a été constitué fin 2018 par l’ANSM et la Cnam pour mener des études de pharmaco-épidémiologie à partir des données de santé. Il a publié plusieurs rapports concernant l’usage des médicaments durant la crise de la « Covid-19 ». Le rapport 4 du 5 octobre 2020 [7], couvrant la période de confinement du 16 mars au 10 mai 2020, résume ainsi la situation : « L’épidémie de Covid-19 avec toutes ses conséquences organisationnelles dans la filière de soins et sur la population en général a profondément déstabilisé la consommation de médicaments de ville en France. »

La consommation de tous les médicaments a baissé significativement, à l’exception des anxiolytiques et des hypnotiques, dont la consommation a augmenté. Plusieurs classes thérapeutiques usuelles ont subi une baisse importante du nombre de prescriptions, parmi lesquelles on trouve : les anti-­inflammatoires non stéroïdiens, les antiulcéreux inhibiteurs de la pompe à protons, la corticothérapie orale, le Paracétamol et les antibiotiques systémiques. L’instauration de traitements cardiovasculaires et antidiabétiques pour les nouveaux malades a fortement diminué durant le confinement. Cependant, la délivrance des traitements de maladies chroniques comme l’épilepsie, la maladie de Parkinson, la sclérose en plaques, l’hypothyroïdie et les traitements médicamenteux de ville du cancer est restée globalement stable. L’étude EPI-­PHARE confirme une très forte diminution générale de la délivrance et de l’utilisation de produits qui nécessitent une administration par un professionnel de santé. Cet effondrement de la consommation sur toute la période du confinement n’a pas fait l’objet d’un rattrapage après coup.

Impact du confinement sur la mortalité par « Covid-19 »

Aussi bien en théorie qu’en pratique, il est clair que le confinement est inutile, même dangereux. Mais à quel point est-­il néfaste ? Nous nous proposons d’étudier ce point en mettant la théorie du confinement face à ses propres prétentions. Plus précisément, nous allons exploiter ce qu’on appelle un raisonnement par l’absurde. Nous allons supposer que la théorie du confinement fonctionne, puis en déduire les conséquences qui s’imposent. En termes triviaux, nous allons jouer aux cons, avec toute la rigueur scientifique requise.

Commençons par observer les conséquences des confinements sur la mortalité étiquetée « Covid-19 ». Les données européennes nous offrent un panorama cohérent sur un ensemble de pays homogènes qui, de surcroît, nous fournissent des statistiques de qualité. Les données de mortalité par « Covid-19 » sont fournies par Our World In Data [8], un institut anglais collectant toutes les données officielles des différents pays du monde. Quant aux informations sur les politiques de confinement, elles sont rigoureusement répertoriées par une équipe de l’université d’Oxford en Angleterre, puis colligées sous la forme d’une base de données : l’Oxford Covid-19 Governement Response Tracker (OxCGRT) [9]. Le niveau de confinement y est défini par la variable codée C6, « stay at home requirement », c’est-­àdire « obligation de rester à la maison », et hiérarchisée en quatre niveaux :

 niveau 0 : aucune mesure ;

 niveau 1 : recommandation de ne pas quitter le foyer ;

 niveau 2 : ordre de ne pas quitter le foyer sauf pour les activités essentielles (achat de nourriture, exercice quotidien, etc.) ;

 niveau 3 : ordre de ne pas quitter le foyer sauf exceptions très limitées (une sortie par semaine, une seule personne en sortie par foyer, etc.).

Fort de cette méthodologie, nous avons calculé la mortalité par « Covid-19 » et le niveau de confinement moyen par pays sur toute la période épidémique de la première vague, celle qui coïncide avec les plus importants confinements de l’année 2020. Les résultats sont reproduits dans le tableau suivant.

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Le graphique qui suit résume l’impact du confinement sur la mortalité estampillée « Covid-19 ». On constate que les pays ayant peu confiné ont une mortalité inférieure à 23 morts pour 100 000. Quant à ceux qui ont confiné, la mortalité moyenne est en général plus du double. En moyenne, le confinement corrèle avec un doublement du nombre de morts déclarés « Covid-19 ».

On constate que le cas de la Suède est particulier : il s’agit du seul pays européen qui a peu confiné et qui pourtant a subi une forte mortalité par « Covid-19 ». Cette étrangeté sera étudiée par la suite.

On constate déjà, grâce au raisonnement par l’absurde, que les confinements stricts sont associés à exactement l’inverse de ce qu’ils étaient censés provoquer, ils sont corrélés à une explosion de la mortalité par « Covid-19 » en comparaison des pays qui n’ont pas confiné strictement. Du point de vue de la mortalité par « Covid-19 », le confinement est un échec.

Impact du confinement sur la dynamique épidémique

Les autorités promouvant le confinement ont avancé qu’il permettrait d’affaiblir la dangerosité du virus en « aplatissant » la courbe épidémique, c’est-­àdire en modifiant la dynamique de propagation du virus. Pour éprouver cette hypothèse, alors présentée comme un fait irréfutable, nous allons calculer les paramètres épidémiques dans chaque pays européen. Pour cela, nous allons modéliser les épidémies de chaque pays à l’aide d’un modèle épidémique SIRD, dérivé du modèle SIR de William Kermack et Gray McKendrick [10].

L’acronyme SIRD provient des quatre catégories d’individus considérés par le modèle :

 les susceptibles (S) : ce sont les personnes saines pouvant être infectées par le virus ;

 les infectés (I) : il s’agit des personnes malades à cause du virus ;

 les rétablis (R) : ces individus ne sont plus infectés, car ils sont guéris ;

 les décédés (D) : ce sont les infectés qui n’ont pas survécu à la maladie. Chaque individu passe au fil du temps d’un groupe à l’autre suivant des lois temporelles exprimées mathématiquement sous la forme d’un système d’équations différentielles. Ce n’est pas le lieu ici d’entrer dans les raffinements des détails mathématiques. Nous représenterons alors ces lois de manière simplifiée par le schéma suivant.

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On identifie les quatre groupes d’individus par leurs lettres, comme expliqué plus haut. Les individus changent de groupe suivant des probabilités associées aux flèches du schéma. On remarque que la probabilité de rester décédé est de 1 : dans ce modèle, on ne ressuscite pas. De même, le malade rétabli est considéré comme immunisé : sa probabilité de rester dans le même groupe est de 1. La dynamique épidémique est paramétrée par quatre grandeurs, variant entre 0 et 1, et désignées traditionnellement par trois lettres grecques :

 β (bêta) : il s’agit d’un facteur multiplicatif qui conditionne la probabilité de tomber malade ;

 γ (gamma) : c’est la probabilité de ne plus être malade, soit par guérison, soit suite au décès ;

 δ (delta) : cette quantité est la probabilité de décéder quand on est malade.

Le but de toute politique anti-épidémique est alors de faire baisser β et δ, tout en faisant augmenter γ. Autrement dit, il faut faire baisser les probabilités de tomber malade et de mourir, tout en faisant augmenter les chances d’en sortir. Le paramétrage d’un modèle à partir de données réelles demande quelques précautions basiques. Les chiffres issus de la réalité sont souvent bruités, inexploitables en l’état. En particulier, dans notre cas, les données de mortalité doivent être lissées pour pouvoir être interprétées convenablement. C’est une démarche tout à fait banale qui est peu expliquée au grand public. Le graphique suivant montre la différence entre les données brutes et les données lissées qui entrent dans la modélisation de décès par « Covid-19 ».

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Une fois les données préparées, on obtient par modélisation une courbe idéale représentant les décès uniquement en fonction des trois paramètres β, γ et δ, comme représentées ci-­dessous.

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Le modèle est très proche des décès issus de la réalité. Mais il ne faut pas en déduire qu’on a alors affaire à une épidémie, qu’un virus sévit et qu’on a découvert ses propriétés intimes. Les modèles ont tous leurs limites, qui sont déterminées par les hypothèses qui président à leur définition. Le moindre détail est important, parfois fondamental dans le résultat final. Un modèle, même précis, appliqué n’importe comment, peut mener à des déductions absurdes. Le graphique suivant montre ce que produit la modélisation de la canicule de 2003 si on la considère comme une épidémie.

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La précision du modèle est stupéfiante, supérieure même à celle du cas du « Covid-19 » ! De plus, les paramètres sont parfaitement pertinents. Malheureusement, l’interprétation épidémique est sans fondements. Le modèle est biaisé par le fait que la relation entre le nombre de malades et la température caniculaire est exactement la même que dans le modèle, pour une raison toute naturelle : la population soumise à la chaleur du Soleil réagit en fait linéairement, comme un thermomètre, l’humain en sueur jouant un rôle analogue à celui de la grenouille dans son bocal. Il ne faut jamais prendre pour argent comptant un modèle sans en avoir éprouvé la pertinence en confrontant ses hypothèses aux mécanismes réels. Parfois, ces mécanismes restent inconnus, et dans ce cas le modèle n’est que l’expression d’une vague théorie. Nous avons décidé par hypothèse que le « Covid-19 » était causé par un virus et que ce dernier était responsable de la totalité des morts enregistrées. C’est notre hypothèse de raisonnement par l’absurde, et les conséquences de cette modélisation éprouveront sa pertinence.

Du modèle, on peut construire une formule mathématique compliquée qui permet, à partir de données de décès réels, de déterminer les paramètres épidémiques associés, du moins ceux qui rapprochent le plus le modèle des chiffres réels. On obtient alors tous les paramètres β, γ et δ pour tous les pays européens considérés. En les divisant comme précédemment en deux groupes, ceux qui ont confiné plutôt facultativement et ceux qui ont confiné obligatoirement, on peut comparer les effets du confinement sur ces paramètres. Les trois figures suivantes résument cette comparaison.

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Les résultats sont désastreux pour l’hypothèse du confinement : rien de ce qui était promis ne s’est réalisé ! Bien au contraire, la dynamique épidémique s’est gravement dégradée. Le paramètre β, qui concerne l’infectiosité du virus, n’a pas bougé d’un pouce. Ainsi, le confinement ne réduit absolument pas la contagiosité. Le paramètre γ, lui, a beaucoup baissé : on se rétablit moins bien de la maladie dans les pays qui ont confiné. Enfin, en ce qui concerne δ, la probabilité de décès, c’est une catastrophe : elle est multipliée par deux ! Encore une fois, la stratégie de confinement se révèle être un échec cuisant.

Impact du confinement sur la mortalité toutes causes

Précédemment, nous n’avons considéré que les décès estampillés « Covid-19 » par les autorités. Ceux-­ci sont hautement discutables, pour ne pas dire douteux. En effet, les diagnostics et autres tests sont d’une précision très faible, et de nombreuses personnes sont mortes non pas « du Covid » mais « avec le Covid ». Pour avoir une vision correcte de l’efficacité – ou plutôt de la dangerosité – du confinement, il faut se référer aux décès toutes causes, les seuls qui importent. À quoi servirait-­il de sauver les covidés s’il fallait pour cela exterminer le reste de la population ? Un pays bien géré ne tolère pas les victoires à la Pyrrhus.

Nous avons donc évalué, en fonction du confinement, l’écart à la mortalité moyenne de l’année 2020 pendant les périodes de confinement de l’année. Eurostat nous a fourni toutes les données de démographiques nécessaires [11, 12]. Le résultat est édifiant, comme reproduit dans le graphique suivant.

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On constate avec horreur que les pays qui ont confiné ont souffert d’une mortalité toutes causes confondues parfois jusqu’à 30 % supérieure à celle des pays qui n’ont pas confiné. Ils sont systématiquement victimes de surmortalités massives. Aussi bien en théorie qu’en pratique, historiquement et scientifiquement, le confinement est un désastre absolu !

Le confinement, un révélateur plus qu’une cause

Les pays ayant confiné ont également appliqué toute une série de mesures toutes plus absurdes les unes que les autres. On ne peut donc pas en l’état supposer un lien de causalité entre le confinement et l’augmentation de la mortalité, car d’autres facteurs sont entrés en jeu au même moment. Le cas de la Suède montre que, même sans confinement obligatoire, l’organisation d’abandons de soins est un facteur déterminant dans l’augmentation de la mortalité.

L’Oxford Covid-19 Government Response Tracker a défini huit indicateurs concernant les mesures de contrôle géographique des populations, dont fait partie le confinement :

– C1 : fermeture des écoles ;

– C2 : fermeture des lieux de travail ;

– C3 : annulation des événements publics ;

– C4 : restriction de la taille des rassemblements ;

– C5 : fermeture des transports publics ;

– C6 : confinement à domicile ;

– C7 : restriction des déplacements nationaux ;

– C8 : restriction des déplacements internationaux.

Tout comme l’indicateur C6 de confinement déjà évoqué, tous ces indicateurs sont quantifiés sous la forme de quatre niveaux numérotés de 0 à 3 :

– niveau 0 : aucune mesure ;

– niveau 1 : recommandation de la mesure ;

– niveau 2 : ordre d’appliquer la mesure en dehors des activités nécessaires ;

– niveau 3 : ordre d’appliquer la mesure sauf exceptions très limitées.

L’étude de ces niveaux pendant la première vague en Europe nous a permis de découvrir qu’à l’exception de l­’indicateur C5 concernant la fermeture des transports publics, tous les indicateurs ont un score plus élevé que celui du confinement à domicile sur au moins 72 % de la période épidémique.

En dehors de l’indicateur C5, sauf exceptions, la mise en place de confinements implique en général celle de toutes autres mesures de contrôle géographique des populations. Le confinement constitue ainsi, non pas forcément la cause, mais surtout le révélateur d’une politique globale de contrôle géographique. Quand un gouvernement confine sa population, il a tendance à lui interdire toute autre activité à l’exception des déplacements en transports en commun. Cette exception s’explique facilement. Pour assurer la continuité des activités vitales au pays, il est nécessaire d’autoriser le transport des travailleurs jugés nécessaires. Il convient donc de relativiser les conclusions concernant l’impact du confinement sur les paramètres épidémiques et sur la mortalité. Le confinement s’inscrit toujours dans une politique globale qui inclut directement ou indirectement des maltraitances, par exemple des abandons de soins. En effet, quand on est assigné à résidence, l’accès aux structures de soins devient bien plus difficile ; il se révèle parfois impossible.

Le cas de la Suède face à la Norvège

La Suède a été présentée dans les médias comme le mauvais élève européen, le vilain pays qui n’a pas voulu confiner sa population pendant la première vague. Au sens strict, c’est-­àdire selon la définition rigoureuse de l’Oxford Covid-19 Government Response Tracker, la Suède a appliqué un confinement de niveau 1 sur 4 : elle a encouragé lourdement ses habitants à s’enfermer à domicile pendant plusieurs semaines ; mais en réalité chacun était légalement libre de ses mouvements. Elle a également mis en place des mesures supplémentaires, comme la fermeture des lycées. De son côté, la France a mis en place un confinement strict où chacun avait le devoir de rester chez lui, ne pouvant sortir que pour assurer des activités essentielles. Malgré tout, la Suède et la France ont souffert en 2020 d’une mortalité quasi identique, y compris pendant les périodes dites épidémiques. Quant à leur palmarès, il est identiquement désastreux.

Il n’y a eu objectivement aucune différence entre la France et la Suède en matière de mortalité en 2020. Le confinement, qu’il soit obligatoire ou facultatif, n’a visiblement rien changé du tout dans ces deux pays. Notons tout de même qu’en Suède 53 % des plus de 70 ans décédés officiellement du « Covid-19 » sont morts en maison de retraite et non à l­ ’hôpital [13]. La moitié des plus de 70 ans n’ont donc pas bénéficié d’une prise en charge hospitalière : ils ont été victimes d’abandon de soins.

Une commission gouvernementale suédoise, la Coronakommission, dont la mission était de faire le bilan de la crise du « Covid-19 », a publié ses conclusions à propos de la première vague [14]. Le compte rendu est édifiant : la Suède a refusé l’accès aux soins à de nombreuses personnes âgées. Environ 20 % d’entre elles n’ont même pas été auscultées par un médecin. Dans les établissements d’hébergement pour personnes âgées, moins de 10 % des patients ont été reçus dans un lieu de soins. Les statistiques de mortalité officielles montrent que pendant la première vague, 53 % des décès « Covid-19 » des plus de 70 ans ont eu lieu en maison de retraite, hors de l’hôpital. Plus de la moitié des personnes âgées n’ont pas été soignées ou ont été dirigées directement vers des soins palliatifs. Le rapport de la Coronakommission affirme clairement l’échec du gouvernement :

« The strategy of protecting the elderly has failed. »

La stratégie de protection des personnes âgées a échoué ! Ce constat pousse à considérer que le facteur déterminant dans la maîtrise de la mortalité dans le contexte du « Covid-19 » est la qualité, ou plutôt la simple existence, de la prise en charge médicale.

La Suède et la Norvège ont une population qualitativement comparable. Mais ces deux pays n’ont pas appliqué les mêmes politiques de soins. La Norvège n’a pas confiné, n’a même pas invité à le faire, et n’a pas abandonné ses anciens. Contrairement au reste du monde et à l’instar de la Corée du Sud, la Norvège a testé les cas potentiels, puis a isolé les malades pour les soigner, soit exactement ce que la médecine moderne préconise de faire depuis longtemps pour n’importe quelle grippe. La mortalité alléguée du « Covid-19 » pendant la première vague y est insignifiante : 4,7 décès pour 100 000, l’un des taux les plus bas d’Europe. En Suède, cette mortalité est de 55,6 pour 100 000, soit 11,8 fois plus élevée. En comparaison, la France exhibe une mortalité de 44,3 décès pour 100 000, soit 9,4 fois plus élevée qu’en Norvège. Il est alors surprenant de voir la Suède comme un contre-­exemple des politiques sanitaires préconisées par l’OMS, alors qu’à l’instar de tous les autres pays ayant embrassé le narratif covidiste, la Suède a appelé à la distanciation sociale et a écarté les personnes âgées de l’accès aux soins.

En réalité, le bon élève européen, c’est la Norvège. La Norvège n’a pas confiné du tout sa population et n’a organisé aucune propagande à ce sujet. Ce pays a géré la première vague du « Covid-19 » sans organiser de maltraitance, sans exploiter de mesures inédites et aberrantes. Au cœur de la paranoïa épidémique, il a appliqué des mesures saines, comme la quarantaine, ayant permis un suivi et un soin accru des personnes symptomatiques. Il a également fermé ses frontières, mesure inutile, mais sans danger pour la santé de la population. Le résultat est sans appel : la Norvège a officiellement une mortalité « Covid-19 » parmi les plus basses du monde, de l’ordre d’une grippe insignifiante.

Ce qui est présenté ici doit paraître incongru, voire mensonger, pour un individu uniquement nourri à la propagande médiatique. Les médias de toutes sortes, ainsi que le grand public, qu’il soit pour ou contre le confinement, s’acharnent à croire que la Suède n’a pas confiné sa population pendant la première vague de « Covid-19 ». Pourtant, la consultation du site officiel de l’agence de Santé publique de Suède affirme le contraire [15]. On y lit ce qui suit :

 « Il est de la responsabilité de chacun de prévenir la propagation de la maladie Covid-19 » ;

 « Restez à la maison même si vous avez juste un peu froid » ;

 « Gardez vos distances avec les autres, à l’intérieur comme à l’extérieur » ;

 « Si vous avez 70 ans ou plus, il est particulièrement important de limiter vos contacts sociaux et d’éviter les lieux de rassemblement » .

Tout ceci confirme le choix de l’Oxford Covid-19 Government Response Tracker de prêter à la Suède la mise en place d’un confinement de niveau 1, c’est-à-dire l’injonction officielle de se confiner, avec une absence de sanction en cas de désobéissance. Il convient de noter que la Suède est un pays de culture protestante, dans lequel les suédois engagent leur responsabilité morale personnelle face aux injonctions de l’autorité : on y obéit pour bien faire, non pas pour éviter une punition. L’injonction du gouvernement à se confiner, même si elle n’est pas comminatoire, y a un poids bien plus important que dans un pays de culture catholique.

De même, il s’avère que la croyance populaire se trompe tout aussi profondément concernant la Norvège. Le site officiel d’information du ministère de la Santé norvégien est sans équivoque sur la question du confinement [16] :

 « Faites quelque chose d’agréable seul, avec un ami ou en famille. Il peut s’agir de n’importe quoi : regarder un film, se promener ou nettoyer un placard » ;

 « Faire une promenade ou faire d’autres activités de plein air » .

Le gouvernement norvégien ne peut pas davantage s’éloigner d’un quelconque confinement qu’en encourageant ses administrés à voir leur famille, leurs amis, et à aller se promener avec eux. On notera que l’intitulé exact du ministère de la Santé norvégien est « ministère de la Santé et des Services de soins ». La Norvège est le seul pays à ma connaissance qui intègre explicitement le soin dans ses missions régaliennes. C’est pourtant le soin la clé de la santé, et surtout de la survie, durant la période de la crise du «Covid-19», car c’est bien l’absence de soins – le refus de soins même   qui a mené d’innombrables personnes âgées à la mort.

À cause de la propagande autour du « Covid-19 », il est devenu déraisonnable de lire les journaux : ce qu’on y lit est totalement faux. Les sources rigoureuses, comme les bases de données universitaires et les textes de lois appliqués, nous informent de la réalité. La Suède a bel et bien appelé sa population à se confiner (sans obligation, il est vrai). Elle a de plus imposé un confinement extrêmement destructeur aux plus de 65 ans dans les maisons de retraite, entraînant un abandon de soins mortel. La Suède est peut-­être le seul pays à avoir reconnu ses erreurs dans la gestion du « Covid-19 » par l’entremise de la Coronakommission, affirmant que les choix politiques du gouvernement ont causé une hécatombe. Inversement, la Norvège n’a pas demandé à sa population de se confiner. La Norvège a pratiqué la quarantaine, c’est-à-dire l’isolement des souffrants. Les personnes saines étaient libres et les personnes malades étaient suivies de près par leur médecin. Les Norvégiens ont donc redoublé de soins auprès des patients, principalement des personnes âgées. En ne confinant pas la population générale et en soignant ses malades, la Norvège a rendu le « Covid-19 » inexistant.

Bilan du confinement

Si l’on croit à l’hypothèse virale, on est mené à conclure que les mesures de confinement en Europe ont eu des conséquences dramatiques sur la dynamique du « SARS-CoV-2 ». Il faut donc remettre en question la rationalité de l’OMS et des gouvernements qui l’ont suivie. Ces mesures sont corrélées à une augmentation très significative de la mortalité par « Covid-19 » aussi bien que de la mortalité toutes causes.

Les pays européens n’ayant appliqué aucune mesure de confinement (niveau 0 de l’OxCGRT) sont si peu nombreux qu’il est impossible d’effectuer une statistique en s’appuyant sur eux. Dans nos données, il n’y en a qu’un : la Norvège, avec une mortalité par « Covid-19 » très faible, de l’ordre de 4,7 décès pour 100 000, tandis que le seul pays ayant atteint le niveau maximal de confinement lors de la première vague, l’Italie, a une mortalité par « Covid-19 » très haute, de 57,6 décès pour 100 000. Or les mortalités les plus élevées sont mesurées dans les pays qui ont pratiqué les confinements les plus stricts.

Il n’y a pas nécessairement de lien de cause à effet direct entre le confinement et la mortalité, même si l’assignation à résidence peut, dans certains cas, avoir contribué à la constitution d’un environnement délétère. Nous avons observé que les confinements sont toujours accompagnés de nombreuses autres mesures potentiellement néfastes pour les populations. Le confinement apparaît comme un indicateur dépréciatif majeur de la prise en charge des personnes fragiles. Plus un pays confine, plus il met en place tout un ensemble de nuisances, et plus les conséquences sanitaires y sont désastreuses. Le confinement n’est qu’une nuisance parmi d’autres qui, par exemple, peut dissuader les malades d’aller consulter leur médecin.

Il convient tout de même de noter que, chez les personnes les plus vulnérables, le confinement est potentiellement mortel. C’est en particulier le cas chez les personnes âgées en EHPAD. Enfermées dans de minuscules chambres, parfois sous contention, l’immobilité forcée leur a causé très rapidement une importante fonte musculaire et des thromboses. L’impossibilité de voir leurs proches, remplacés par de rares visites de la part d’un personnel apeuré, masqué, a induit des dépressions profondes caractérisées parfois par des désirs suicidaires. Cet effondrement physique et psychique a provoqué la mort de nombreux pensionnaires dans les maisons de retraite confinées.

L’homogénéité des populations des pays européens, surtout quand ils sont frontaliers, montre que les différences dans les conséquences sanitaires ne peuvent pas être imputées à une éventuelle épidémie mais aux mesures de contrôle des populations. L’exemple de la Suède et de la Norvège est édifiant : leurs décès par « Covid-19 » varient d’un facteur dix ! Mais le cas de la France et de l’Allemagne est du même acabit, avec un facteur de différence entre 4 et 5. On ne peut être étonné d’en venir à cette conclusion : les pays qui ont maltraité leur population sont ceux qui s’en sont les plus mal sortis.

[1]. Aaby, P., Leeuwenburg, J., « Patterns of transmission and severity of measles infection: A reanalysis of data from the machakos area, Kenya », The Journal of Infectious Diseases, vol. 161, no 2, p. 171-174, février 1990. https://www.jstor.org/stable/30126070.

[2]. Inglesby, Th., V., Nuzzo, J. B., O’Toole, T., Henderson, D. A., « Disease mitigation measures in the control of pandemic influenza », Biosecurity and Bioterrorism: Biodefense Strategy, Practice, and Science, vol. 4, n o 4, 18 décembre 2006. https://doi.org/10.1089/bsp.2006.4.366.

[3]. Lipton, E., Steinhauser, J., « The untold story of the birth of social distancing », New York Times, 22 avril 2020. www.nytimes.com/2020/04/22/us/politics/social-­distancing-­coronavirus.html.

[4]. Bendavid, E., Oh, Ch., Bhattacharya, J., Ioannidis, J. P. A., « Assessing mandatory stay-­at-­home and business closure effects on the spread of Covid-19 », European Journal of Clinical Investigation, 5 janvier 2021, https://doi.org/10.1111/eci.13484.

[5]. ENE-­Covid, « Estudio ENE-­Covid-19 : primera ronda », Estudio Nacional de sero-­Epidemiología de la infección por SARS-­CoV-2 en España (ENE-Covid), rapport du premier tour, 13 mai 2020. https://web.archive.org/web/20230119111635/https://coronakommis-sionen.com/wp-­content/uploads/2020/12/summary.pdf.

[6] Chaillot P., « COVID-19, ce que révèlent les chiffres officiels », éditions l’Artilleur, 18 janvier 2023.

[7]. EPI-­PHARE, « Usage des médicaments de ville en France durant l’épidémie de la Covid-19 – point de situation jusqu’au 13 septembre 2020 », rapport 4, 5 octobre 2020, https://www.epi-­phare.fr/app/uploads/2020/10/epi-­phare_rapport_4_medicaments_covid-1.pdf.

[8]. Our World In Data, « Data on Covid-19 », jeu de données complet, 25 juin 2021, https://github.com/owid/covid-19-data/blob/master/public/data/README.md.

[9]. Oxford Covid-19 Government Response Tracker (OxCGRT), Blavatnik School of Government, University of Oxford, 30 avril 2021, https://github.com/OxCGRT/covid-­policy-­tracker.

[10]. Kermack, W. O., McKendrick, A. G., « A contribution to the mathematical theory of epidemics », Proceedings of the Royal society A, vol. 115, no 772, p. 700-721, 1er août 1927, https://doi.org/10.1098/rspa.1927.0118.

[11]. Eurostat, « Population au 1er janvier par âge et sexe », indicateur DEMO_PJAN, https://ec.europa.eu/eurostat/web/products-­datasets/-/demo_pjan.

[12]. Eurostat, « Décès par semaine, sexe et groupe d’âge de 5 ans », indicateur DEMO_R_MWK_05, https://ec.europa.eu/eurostat/web/products-­datasets/-/demo_r_mwk_05.

[13]. Socialstyrelsen, « Statistics on number of Covid-19 deaths », onglet « Place of death », https://web.archive.org/web/20201219102624/https://www.socialstyrelsen.se/globalassets/1-globalt/covid-19-statistik/engelska-­sidan/statistik-­covid19-avlidna-­engelska.xlsx

[14]. Coronakommissionen, « Äldreomsorgen under pandemin », SOU 2020 : 80, résumé, décembre 2020, https://web.archive.org/web/20230119111635/https://coronakommissionen.com/wp-­content/uploads/2020/12/summary.pdf.

[15]. Folkhälsomyndigheten, « Bromsa smittan  det här kan du som privatperson göra », traduction : « Ralentissez l’infection  vous pouvez le faire en tant que particulier », Agence de Santé publique du gouvernement de Suède, 17 juin 2020.

[16]. Helsenorge, « Råd for koronahverdagen », traduction : « Conseils pour la vie quotidienne avec le Covid », santé Norvège, ministère de la Santé et des Services de soins de Norvège, 29 juin 2020.

Note de Tal  Bravo à Yves RASIR pour cet article qui met un terme à tous les mensonges du « confinement »

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Alerte : Moderna cherche cobayes pour un

pseudo vaccin à ARN anti Mpox (anti-

variole du singe)

par le Dr. Gérard Delépine

La déclaration de l’OMS d’une urgence mondiale pour la variole du singe (Mpox) a permis

aux fabricants de vaccins d’engranger de généreuses subventions, des commandes

considérables et de belles plus-values boursières.

Et Moderna en profite pour tenter de promouvoir un traitement à ARN qu’elle qualifie à son

habitude de vaccin, en osant se vanter des résultats de son produit lors du covid !

Le Mpox est une maladie bénigne, peu contagieuse et

facilement évitable. 1

L’AFP essaie de nous effrayer en insistant sur la contamination des enfants et avançant un

taux de mortalité estimé à 3,6% sans souligner que ce taux n’a été observé qu’en Afrique dans

des pays en guerre qui manquent cruellement d’hôpitaux, de soignants, de médicaments, de

nourriture, et que la majorité des morts souffraient aussi du sida.

En Occident, c’est une maladie bénigne. En Europe et aux USA, lors de l’épidémie de 2022,

sur plus de 18 500 cas, aucune complication mortelle n’a été signalée. En France, aucun des

plus de 5000 malades recensés au 27 avril 2023 n’est décédé. Cette bénignité contredit

totalement l’image de nouvelle peste que l’OMS et les médias tentent d’imposer.

C’est une maladie peu contagieuse. Elle se propage essentiellement (voire exclusivement)

par contact direct a peau à peau en touchant les boutons (pustules) d’une personne infectée ou

des objets qu’elle a contaminés (linge, couverts, etc.). Le virus pénètre dans l’organisme par

des microlésions de la peau. La transmission peut aussi s’effectuer par contact avec des

fluides corporels et peut être par les gouttelettes respiratoires après un proche contact

prolongé. Les malades sont contagieux tant qu’ils présentent des pustules (près de 3 semaines.

En Europe, elle touche essentiellement les homosexuels mâles surtout multipartenaires ou

souffrant du sida comme l’a confirmé l’ONU qui précisait en 2022 que 98% des cas

(5996/6099) s’identifiaient comme gays. 2

C’est une maladie facilement évitable par des précautions simples.

Les hétérosexuels et les lesbiennes qui ne vivent pas au contact des singes, ni des malades, ont

infiniment peu de risque de se contaminer.

En France, comme dans tous les pays riches, les gays et les travailleurs du sexe qui

représentent les populations à risque sont généralement bien informés par leurs associations et

savent que pour ne pas s’infecter il suffit de respecter les recommandations des autorités

sanitaires comme celles de San Francisco en 2022 3  : «éviter les contacts cutanés ou de

partager son lit avec un étranger tant que l’épidémie dure» ou celles de New York :

«demandez à vos partenaires sexuels s’ils ont une éruption cutanée ou d’autres symptômes

compatibles avec le monkeypox. Évitez tout contact peau à peau avec une personne qui

présente une éruption cutanée ou d’autres symptômes liés à la variole du singe». 4

En France les personnes à risque ont été sensibles aux messages de prévention et aux

recommandations, notamment celles avec plus de dix partenaires sexuels au cours des trois

derniers mois. Leurs comportements sexuels ont ainsi significativement changé avant et après

le 9 mai conduisant à une diminution de la proportion de personnes ayant plus de 10

partenaires dans les 3 derniers mois

L’efficacité de ces précautions est confirmée par Heymann, expert de l’OMS 5  :

«les mesures individuelles pour atténuer les risques – en faisant attention si les partenaires

sexuels ont des lésions génitales, par exemple – sont la meilleure approche».

Mais très curieusement les déclarations de l’UE et de l’OMS oublient trop souvent de rappeler

les modes de contamination, les mesures d’hygiène simples à respecter pour éviter la maladie

et les groupes à risque, officiellement pour éviter de les stigmatiser.

Contrairement à ce qu’affirment l’OMS et l’ONU, les vaccins sont peu efficaces

Sous l’influence de donateurs comme Bill Gates qui lui assurent l’essentiel de son budget

l’OMS, comme l’ONU poussent les populations vers

le dépistage et des vaccins dont ni l’innocuité ni

l’efficacité n’ont été correctement évaluées. L’absence

d’essais randomisés publiés à ce jour, la rareté de la maladie, le faible nombre de personnes

vaccinées et suivies et le trop faible recul dont on dispose actuellement ne permettent en effet

d’obtenir aucune certitude scientifique.

En France, les avocats du vaccin Ankara s’appuient sur une étude purement observationnelle

(non randomisée) ANRS-174-DOXYVAC 6 incluant seulement 472 homosexuels qui compare

les taux de contamination sur deux périodes consécutives (avant et après mai 2022). Ils se

félicitent de la diminution du taux de contamination qu’ils attribuent à la vaccination sans

aucune preuve réelle du fait de l’évolution décroissante spontanée de nombreuses épidémies,

et des modifications des pratiques sexuelles adoptées par les personnes à risque.

Aux États-Unis, le vaccin antivariolique de deuxième génération ACAM2000 a été autorisé

par la Food and Drug Administration (FDA) et acheté pour le Strategic National Stockpile

(SNS) pour être utilisé lors d’une urgence impliquant la variole. La vaccination avec

ACAM2000 est également recommandée pour certains personnels de laboratoire et de soins.

Mais aucun essai randomisé n’a étudié son efficacité.

Il en est de même du vaccin JYNNEOS qui n’a été autorisé sur le marché que sur une étude

cas clinique de valeur très discutable. 7

De plus ces vaccins de deuxième génération ne sont pas dénués de risque :

«Risque documenté de myocardite après la réception des vaccins ACAM2000… et du risque

inconnu de myocardite après JYNNEOS» 8 ; «la prévalence incertaine de l’infection par le

virus de l’immunodéficience humaine (VIH) ou d’autres formes d’immunosuppression dans

les zones d’endémie du monkeypox présente un risque de complications vaccinales graves,

notamment l’eczéma vaccinatum 9 et la vaccine évolutive, cette dernière étant un effet

indésirable événement au cours duquel la réplication incontrôlée du virus de la vaccine

entraîne généralement la mort». 10

IMVAMUNE est un vaccin antivariolique qui a été testé chez des personnes infectées par le

VIH et chez des personnes atteintes de dermatite atopique lors de six essais cliniques publiés

qui ont démontré sa sécurité et l’immunogénicité contre ces maladies. Contre le

monkeypox, l’efficacité d’imvamune a été démontrée

sur des animaux, mais n’a jamais été l’objet d’essais

randomisés chez l’homme. Il reste donc

expérimental chez l’homme, même si les agences en

ont autorisé sa mise sur le marché.

Le rapport de Santé Publique France du 27 avril 2023 11 permet de douter de l’efficacité de la

vaccination en vie réelle, puisque sur un cluster tourangeau de 19 malades, 10 avaient été

vaccinés ! Des infections par Mpox peuvent survenir chez des personnes ayant reçu un

schéma complet de vaccination, et il est important de penser à ce diagnostic en cas de lésions

typiques de Mpox, y compris chez des personnes correctement vaccinées.

Un essai randomisé de vaccins contre le Mpox ne fait pas courir de risque aux non vaccinés et

est donc parfaitement éthique si les participants sont parfaitement informés des buts de l’essai,

de la composition du vaccin et de ses risques. Et c’est précisément ce qui pose un problème

aux candidats à l’essai.

L’essai Mpox de moderna n’utilise pas un vaccin, mais un médicament à ARN

MPower, l’essai de Moderna contre le Mpox est en cours de lancement au Royaume-Uni pour

obtenir l’autorisation de sa mise sur le marché avec l’appui du National Institute for Health

and Care Research, de la West NHS Foundation Trust.

Contrairement à qu’ils prétendent, il ne s’agit pas

d’un vaccin selon la définition de Pasteur. Il ne

contient ni d’antigènes issus du virus, ni de virus

atténué mais un ARN, comme pour les injections

contre le Covid. Il s’agit donc en réalité d’un

médicament à ARN. 12

Des chercheurs de l’University Hospital Bristol et de la West NHS Foundation Trust

prétendent sans sourciller que la maladie serait «une menace mondiale pour la santé publique,

et il est urgent de  faire davantage de vaccins pour prévenir de futures épidémies». Alors que,

comme nous l’avons vu, elle ne menace réellement que certains africains et une infime

minorité d’occidentaux qui peuvent l’éviter en adoptant un mode de vie plus prudent.

Moderna et ses chercheurs espèrent ainsi obtenir le même soutien institutionnel à leur

recherche que celui observé pour le Covid-19. Ils recherchent les cobayes humains

indispensables à leur essai. Mais il n’est pas certains que les homosexuels mâles qui

s’intéressent à la maladie acceptent de prendre le risque que font courir les médicaments à

ARN pour au mieux éviter des pustules qu’ils ont appris à reconnaître. Les myocardites et les

complications neurologiques des injections à ARN contre le Covid sont tellement plus

dangereuses que le Mpox.

D’abord ne pas nuire constitue le premier devoir du

médecin. En Grande-Bretagne, proposer en 2024 une

technique à risque pour éviter une maladie bénigne

déroge à ce principe intangible que tout médecin a

juré de respecter.

Mais il s’agit de chercheurs et d’industriels pour lesquels les motivations ne sont pas

médicales mais prioritairement financières…

source : Docteur Nicole Delépine

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Un pneumologue Allemand dévoile la vérité, et détruit tout leur narratif sur la variole du singe.
La variole du singe est en fait un zona qui est lui-même un effet secondaire indésirable très fréquemment du vaccin covid.
La variole du singe n’est là que pour cacher les effets secondaires des vaccins covid !
Le pneumologue Allemand Dr Wolfgang Wodarg :
Ce qu’on nous vend comme la variole du singe est dans la plupart des cas ce qu’on appelle le zona; l’un des effets secondaires les plus fréquent du vaccin covid.
La variole du singe est commercialisée pour cacher les effets secondaires.
Source https://www.youtube.com/post/UgkxA0ml5jVP1zRyagjsVUIIrWCg9HYvM6CqSe connecter pour répondre61

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