« La tendresse et la bonté ne sont pas des signes de faiblesse, mais d’une force immense. »

Khalil Gibran

Effondrement de la population mondiale

https://www.facebook.com/reel/2760829204115377

 Des medias subventionnés

En 2024, l’État français a injecté 195,8 millions d’euros dans la presse écrite via son budget officiel, sans compter les mécanismes fiscaux qui agissent comme une perfusion permanente. La TVA « super-réduite » à 2,1 %, les aides au transport et à la diffusion (130,1 M€) ou encore les enveloppes destinées au portage forment un réseau d’assistance qui sécurise les flux des grands titres. Ces sommes ne sont pas marginales : elles structurent le paysage médiatique, garantissent la survie de journaux déficitaires et entretiennent un modèle économique incapable de vivre sans argent public.

Dans le même temps, le marché est verrouillé par une poignée de milliardaires. Le Parisien et Les Échos sont dans le giron de Bernard Arnault, Le Figaro dans celui de la famille Dassault, tandis que d’autres quotidiens appartiennent à Bouygues, Niel ou Pinault. Cette concentration n’a rien de neutre : elle verrouille l’amont de la production éditoriale et impose un filtre constant sur ce qui devient « l’information ». Les choix de Une, les sujets prioritaires, le traitement des crises suivent des lignes éditoriales dictées autant par des intérêts financiers que par des considérations journalistiques.

La diffusion physique s’effrite inexorablement : 2,6 milliards d’exemplaires en 2024, soit 7,1 millions par jour, bien loin des chiffres des décennies passées. Pourtant, l’influence reste intacte grâce au numérique. Les marques de presse cumulent 78 millions de visites quotidiennes sur leurs plateformes et saturent l’espace via notifications, réseaux sociaux, podcasts et vidéos. L’audience papier décline, mais la fréquence et l’omniprésence des contenus imposent un récit unique à une population connectée en continu.

L’argent public amplifie cette emprise. Les subventions assurent la fluidité logistique et financière, ce qui permet aux groupes déjà puissants de maintenir une visibilité massive même lorsque l’économie de marché ne le justifie plus. Dans un écosystème où les coûts fixes écrasent les marges, ces aides sont l’arme invisible qui permet de tenir l’espace médiatique jour et nuit. Le résultat est clair : peu de titres réellement concurrents, beaucoup de marques omniprésentes, et une uniformité de discours qui façonne la perception collective.

Officiellement, ces aides défendent le « pluralisme ». Dans les faits, elles renforcent surtout les acteurs qui disposent déjà des infrastructures industrielles et publicitaires pour capter l’argent public. Les grands groupes transforment ces subventions en domination éditoriale : contrôle des canaux de diffusion, mainmise sur les régies publicitaires, accès privilégié aux décideurs politiques et économiques. La structure même du financement écarte les médias indépendants incapables de franchir les seuils d’accès à ces guichets.

La concentration capitalistique verrouille le système. Les propriétaires imposent leur influence par des choix managériaux, la pression sur les rédactions, la sélection des sujets « acceptables » et l’omission de ce qui dérange leurs intérêts. Les rares contre-pouvoirs se heurtent à un mur de silence ou à des campagnes de décrédibilisation. Dans cette équation, l’argent public joue un rôle central : il ne sauve pas l’information, il finance la mécanique qui façonne, filtre et répète le récit dominant à l’échelle nationale.

 ARTICLE DE Géopolitique Profonde 

 

 

Le PDG de Toyota lâche une bombe : 1 600 km d’autonomie, recharge en 5 minutes !

 

Le PDG de Toyota vient de faire une annonce qui pourrait bouleverser toute l’industrie automobile. Une batterie révolutionnaire, capable de parcourir jusqu’à 1 600 km avec une seule charge… et de se recharger en à peine 5 minutes. Face à cette avancée technologique majeure, Tesla est-il en danger ? Elon Musk va-t-il devoir réagir pour sauver son empire ? Dans cette vidéo, on décrypte la technologie des batteries à électrolyte solide développée par Toyota, les implications pour le marché mondial des véhicules électriques, et pourquoi cette innovation pourrait marquer la fin de la domination de Tesla. Préparez-vous à une révolution silencieuse… mais implacable.

Les médias accusent le Covid et la grippe de l’explosion de cancers, en oubliant les «vaccins»

par Yoann

Dans une campagne de propagande orchestrée, les médias subventionnés et alignés sur la macronie nous font croire que l’augmentation alarmante des cancers est due au Covid-19 et à la grippe, qui réveilleraient des cellules cancéreuses dormantes. Mais ce récit mensonger occulte délibérément le rôle des injections ARNm dites «vaccins» covid, responsables d’une vague de «turbo-cancers» fulgurants dans une population jeune et en bonne santé.

Les chaînes comme CNews, financées par des subventions publiques et alignées sur le pouvoir macronien, propagent une étude déformée publiée dans Nature, affirmant que des infections virales comme le Covid ou la grippe activent des cellules cancéreuses dormantes via la libération d’interleukine-6.

Ce discours vise à détourner l’attention des véritables coupables : les «vaccins» qui, selon des analyses indépendantes, accélèrent la mortalité par cancer après les doses multiples. En ignorant les données sur les effets secondaires, ces médias protègent les intérêts des laboratoires pharmaceutiques et du gouvernement, laissant les citoyens dans l’ignorance face à une épidémie de cancers agressifs.

Des oncologues du monde entier rapportent une explosion de «turbo-cancers» – des tumeurs fulgurantes chez des jeunes de 20 ans auparavant en parfaite santé – depuis le déploiement massif des vaccins ARNm en 2021. Des pathologistes ont observé une croissance explosive de tumeurs post-injection lors d’autopsies, tandis que des données montrent une hausse de la mortalité toutes causes confondues chez les adultes en âge de travailler. Contrairement au narratif officiel qui en rend responsable le virus, ces injections modulent l’immunité innée et suppriment les défenses anti-tumorales, favorisant des rechutes rapides et mortelles.

L’étude citée par les médias recommande même la vaccination pour prévenir les infections (!), tout en masquant le fait que les vaccins covid eux-mêmes déclenchent des mécanismes cancérigènes via la production de protéines spike toxiques et l’altération de l’ADN. Des médecins alertent sur au moins trois voies par lesquelles ces injections initient ou accélèrent les cancers, un phénomène baptisé «turbo-cancer» par la communauté médicale indépendante. Ce silence complice des autorités macroniennes et des médias subventionnés coûte des vies, transformant une crise sanitaire en scandale d’État. Il devient vital de ne pas croire au discours dominant.

source : Le Média en 4-4-2

INCREDIBLE: A GROUP OF DOCTORS WHO DEFIED THE COVID NARRATIVE HAS JUST COMPILED 18 ALTERNATIVE CANCER TREATMENTS THAT WORK! –

amg-news.com – American Media Group

https://amg-news.com/incredible-a-group-of-doctors-who-defied-the-covid-narrative-has-just-compiled-18-alternative-cancer-treatments-that-work-2/

Combattre le cancer avec la science et une sagesse non conventionnelle

Nous avons tous entendu ces histoires déchirantes. Un proche à qui l’on diagnostique un cancer et qui se retrouve dans un tourbillon de chimiothérapie, de radiothérapie et, trop souvent, de désespoir. Et s’il existait d’autres solutions, des interventions éprouvées et soutenues par la science qui ne font pas partie du discours dominant ? Et si vous pouviez lutter contre le cancer avec des outils à la fois efficaces et accessibles ? Préparez-vous à découvrir 18 traitements alternatifs du cancer qui ébranlent les fondements de la médecine moderne. Il ne s’agit pas de simples théories, mais de stratégies puissantes, étayées par la recherche, qui pourraient bien sauver des vies.

1. Gestion du glucose et régime cétogène : Affamer les cellules cancéreuses

2. L’exercice : Le stimulant immunitaire naturel

3. Réduction du stress, sommeil et soleil : Un trio de combattants contre le cancer

4. La vitamine D3 : Un nutriment essentiel pour lutter contre le cancer

5. Le propranolol : Un allié surprenant dans le traitement du cancer

6. La mélatonine : plus qu’une aide au sommeil

7. La metformine : un médicament contre le diabète aux vertus anticancéreuses

9. L’ivermectine : au-delà des gros titres

10. Mebendazole/Fenbendazole/Albendazole : Médicaments antiparasitaires à potentiel anticancéreux

11. Le thé vert : La boisson anticancéreuse de la nature

12. Acides gras oméga-3 : essentiels pour la prévention du cancer

13. La berbérine : Un combattant naturel du cancer

14. L’atorvastatine ou la simvastatine : des médicaments hypocholestérolémiants aux propriétés anticancéreuses

15. Le sildénafil, le tadalafil et le vardénafil : Des médicaments contre les troubles de l’érection devenus des agents anticancéreux

16. Le disulfirame : Un ancien médicament contre l’

17. Ashwagandha : Une plante ancienne aux vertus anticancéreuses modernes

18. L’itraconazole : Un antifongique au potentiel anticancér

 

Note de TAL :Détails de  chaque produit dans l’article (en anglais)

Liste non   exhaustive . Il faudrait rajputer le jeûne, les produits BELJANSKY, le travail sur les émotions et les blessures du passé sans oublier  le MORINGA  et la SPIRULINE !

Sur x 

Robert Kennedy Jr : « Les médicaments sont payés pour vacciner… Nous avons besoin d’un remboursement réduit que plus de 36.000 médicaments ont vu leurs remboursements Medicare modifiés en fonction des taux de vaccination infantile. Plus ils vaccinent, plus ils sont payés. Ce n’est pas de la médecine. C’est de la coercition. » (En France un médicament qui ne vaccin pas n’est plus médicament. Et pendentif son cursus de plus de 10 ans pour devenir médecin, il n’a rien appris des vaccins. Juste deux petites heures pour connaître le calendrier vaccinal et où injecter.)

Robert Kennedy Jr. frappe fort : il stoppe 22 projets de vaccins ARNm jugés inutiles et dangereux

https://blog.editionsmarcopietteur.com/sante-publique-et-societe/robert-kennedy-jr-vaccins-arnm/?utm_source=brevo&utm_campaign=EDMP_110825%20-%20livresSabatier_ARNm-Kennedy&utm_medium=email&utm_id=320

La nouvelle est tombée comme un coup de tonnerre : à peine quelques semaines après sa prise de fonction comme secrétaire à la Santé des États-Unis, Robert Kennedy Jr a annoncé l’arrêt immédiat de 22 projets de vaccins à ARNm financés sur fonds publics.

Pour lui, ces programmes sont « inutiles, inefficaces et dangereux ».
Cette décision historique secoue à la fois les milieux scientifiques, la classe politique et les médias du monde entier, car elle marque un virage radical dans la politique sanitaire américaine, jusqu’ici alignée sur les intérêts de l’industrie pharmaceutique.

Kennedy Jr, avocat spécialisé en santé environnementale et militant de longue date pour la transparence médicale, ne s’est jamais caché de ses critiques envers le développement précipité des vaccins à ARNm.

Mais agir depuis les plus hautes instances du gouvernement, c’est autre chose : il envoie un signal clair, non seulement aux États-Unis, mais à tous les pays qui ont embrassé cette technologie sans débat public approfondi.

Selon le communiqué officiel, ces 22 projets — développés pour diverses maladies infectieuses et certaines formes de cancer — n’ont pas apporté de preuves solides de leur efficacité. Kennedy évoque un déséquilibre flagrant entre les risques potentiels et les bénéfices espérés.
Les effets secondaires graves, bien que minoritaires dans les données officielles, restent mal documentés et souvent sous-déclarés.

Il souligne également l’opacité des laboratoires qui refusent, dans certains cas, de fournir leurs données brutes pour évaluation indépendante. Les protocoles d’essai, souvent raccourcis ou biaisés par des conflits d’intérêts, laissent planer de sérieux doutes sur la fiabilité des conclusions publiées.
Pour Kennedy, continuer à injecter des milliards de dollars publics dans de tels programmes serait un gaspillage dangereux.

« Il n’y a aucune raison valable de poursuivre des recherches qui n’ont pas démontré leur efficacité, surtout si elles comportent des risques sanitaires sérieux », a-t-il déclaré lors de la conférence de presse.

Cette annonce n’est pas qu’une rumeur relayée par les réseaux sociaux.
Elle est confirmée par un communiqué officiel du Department of Health and Human Services (HHS) américain, qui précise que l’agence BARDA met fin à ses programmes de développement sur la technologie de l’ARN messager.

Dans ce document, le HHS indique clairement que cette décision marque « une transition stratégique » vers d’autres approches, tout en réduisant les investissements liés à l’ARNm. Lire le communiqué officiel ici.

L’annonce a provoqué une levée de boucliers immédiate de la part des géants pharmaceutiques.

Pour eux, cette décision met en péril « l’innovation médicale » et « la compétitivité américaine ».
Oui, ils osent encore, malgré toutes les preuves! Plus c’est gros, plus ça passe!
Mais derrière ces arguments se cache une réalité : la technologie ARNm représente pour l’industrie un marché colossal, potentiellement appliqué à des dizaines de maladies.

En stoppant ces programmes, Kennedy s’attaque directement à l’un des plus puissants lobbies au monde.
Cela lui vaut déjà des attaques virulentes dans la presse traditionnelle, qui le dépeint comme un « populiste anti-science ».
Pourtant, il insiste sur le fait qu’il ne s’agit pas d’un rejet aveugle de toute vaccination, mais d’un appel à la rigueur scientifique et à la prudence.

Vous pouvez d’ailleurs le vérifier en lisant les livres de nos différents auteurs sur le sujet!
Tout est écrit noir sur blanc! Ce vaccins à ARNm est un fiasco total et on ne peut pas continuer à injecter de telles substances si peu maîtrisées et pas assez testées sur la population! Nous avons assez joué aux cobayes!

Réorienter la santé publique

L’arrêt des projets n’est pas une fin en soi. Kennedy Jr a annoncé que les budgets libérés seraient réaffectés à des recherches indépendantes, sans financement industriel, sur des traitements éprouvés et des approches de prévention non médicamenteuses.

Il évoque par exemple le renforcement de la recherche sur l’immunité naturelle, la nutrition, la lutte contre les polluants environnementaux et les médecines complémentaires. Objectif : reconstruire une santé publique centrée sur le patient, et non sur les actionnaires.

Ce geste pourrait avoir des répercussions bien au-delà des frontières américaines. Dans de nombreux pays, la technologie ARNm est en cours de déploiement ou de recherche active pour des maladies variées. La décision américaine pourrait inciter certains gouvernements à réévaluer leurs priorités et leurs contrats avec l’industrie.

Si d’autres nations suivaient l’exemple, cela pourrait enclencher un ralentissement stratégique de la course aux vaccins ARNm, donnant le temps nécessaire pour mener les études de sécurité à long terme qui manquent cruellement aujourd’hui.

Cette annonce ne se résume pas à une question technique de santé publique : elle interroge notre rapport à la science, à la démocratie et à la liberté médicale. Accepter des technologies médicales expérimentales sans débat public ni transparence, c’est accepter de devenir un cobaye involontaire.

Kennedy Jr rappelle que la confiance dans la médecine ne peut renaître que par une information complète, honnête et indépendante. Il appelle les citoyens à s’informer par eux-mêmes, à poser des questions et à ne pas laisser des décisions vitales être prises uniquement par des instances potentiellement soumises à des intérêts économiques.

Pour approfondir :

Pour aller plus loin dans la compréhension de cette manipulation à grande échelle, nous vous recommandons:

 CROWDBUNKERcrowdbunje Live publique 10/08/2025 de Dieudonné, Alain Soral et Vincent Reynouard, on était 15 000 en direct  crowdbunker

 

Comment la justice, en France, ne respecte plus le droit à s’exprimer et condamne des gens à cause de leurs idées …Hallucinant !  Les tribulations de ces trois auteurs dépassent l’imagination !           

Le Droit du plus fort s’exerce d’une manière vraiment obscène…La mafia criminelle sioniste est une dictature qui contrôle la justice et la société. Dès que vous osez défendre la Palestine, ou contester l’idéoloqie raciste, expansive, théocratique du « peuple » élu des sionistes, on vous condamne pour « antisémitisme » ou « incitation à la haine » ! La guerre contre l’Iran a montré qu’Israel peut perdre, voire disparaître, et de plus en plus  de gens s’en rendent compte. Une petite élite sioniste veut contrôler le monde et la majorité des juifs et des habitants du monde subissent leur loi. Mais les consciences s’éveillent et ne veulent plus se laisser dominer par ce groupuscule de psychopathes qui font plus de destructions et de morts qu’Hitler, Staline  ou MaoTse Toung !  !

 

Crowdbunker : Candace OWENS  Le FRANKISME

Elle démontre que les frankistes sont des satanistes (aussi appelés sionistes) qui pratiquent le viol, l’inceste, la torture, la pédophilie et le meurtre pour contrôler les religions, les institutions internationales, le multinationales afin de dominer le monde entier. 

https://lemediaen442.fr/les-macron-contre-candace-owens-une-enquete-privee-couteuse-via-le-cabinet-nardello-co-ne-trouve-rien/ Actualités internationales 13 Août 2025 Les Macron contre Candace Owens : une enquête privée coûteuse via le cabinet Nardello & Co… ne trouve rien ! Les Macron ont payé des enquêteurs américains pour trouver des preuves contre Candace Owens avant un procès aux États-Unis. Résultat : aucun lien compromettant, mais une polémique amplifiée. mise à jour le 13/08/25 https://cdn-production.lemediaen442.fr/2025/08/12175559/100000-57-12-copie.webp Zéro preuve… mais un joli chèque aux enquêteurs… Selon le Financial Times, Emmanuel et Brigitte Macron semblent décidés à ne rien laisser passer. Après avoir déjà enchaîné les procès en France — souvent perdus, notamment face à Natacha Rey ou Amandine Roy — le couple présidentiel s’attaque désormais à l’influenceuse américaine Candace Owens. L’accusation : avoir propagé « des fictions extravagantes et diffamatoires » selon lesquelles la Première dame serait née de sexe masculin. Rien que ça. Et pour s’assurer que l’affaire tienne, les Macron ont mis les moyens : avocats de renom, relations publiques internationales et… enquêteurs privés américains. Une enquête XXL, un résultat… minimal Le cabinet Nardello & Co, dirigé par l’ancien procureur fédéral Dan Nardello, a été mandaté pour fouiller la vie de Candace Owens. Mission : trouver des liens compromettants avec la Russie ou des figures d’extrême droite susceptibles d’appuyer la plainte. Bilan ? Aucun lien personnel ou professionnel direct avec Moscou. Oui, Owens a déjà interagi sur X avec le philosophe russe Alexandre Douguine. Spoiler : tweeter avec des Russes est toujours légal. Oui, elle a parlé sur scène en 2019 à Paris lors d’un événement d’extrême droite où se trouvait Marion Maréchal. Et oui, elle a été mentionnée par des médias d’État russes… comme à peu près toute figure politique conservatrice américaine un tant soit peu connue. Bref, beaucoup de recherches, peu de munitions. Owens elle-même s’en amuse sur X : « Malgré l’embauche d’anciens procureurs fédéraux pour enquêter sur moi, les Macron n’ont rien trouvé. L’article conclut que tweeter avec des Russes est toujours légal. » Les Macron sur tous les fronts… sauf celui de la victoire judiciaire Ce n’est pas la première fois que le couple présidentiel s’engage dans un bras de fer médiatico-judiciaire contre des personnalités qui alimentent la rumeur sur Brigitte Macron. En France, leurs procédures contre certaines figures, comme Natacha Rey, n’ont pas abouti comme prévu. Et à chaque fois, la manœuvre attire davantage l’attention sur les accusations… plutôt que de les faire disparaître. Cette fois, la bataille se joue aux États-Unis, dans le Delaware, où Emmanuel et Brigitte Macron sont prêts à se déplacer pour témoigner en personne. Un geste rarissime pour un chef d’État en exercice, mais qui pourrait aussi être interprété comme un signe… de fébrilité. Quand Owens retourne la situation Dans ses podcasts et sur les réseaux sociaux, Owens revendique son droit à enquêter et à s’exprimer, estimant que les Macron cherchent à « museler » leurs détracteurs. Elle raille le budget dépensé pour prouver qu’elle a simplement retweeté deux fois un intellectuel russe ou partagé une scène avec Marion Maréchal : « Combien ça leur a coûté de découvrir ça ? » Pour une administration française qui aime donner des leçons de démocratie et de liberté d’expression, l’image n’est pas idéale. Un pari risqué pour l’Élysée À force de multiplier les plaintes contre des journalistes, influenceurs et personnalités politiques, les Macron prennent le risque de nourrir encore davantage la « rumeur » qu’ils cherchent à étouffer. Pire : ils offrent à leurs adversaires une tribune mondiale. Et Candace Owens, connue pour son sens de la provocation, n’a pas l’intention de lâcher le micro. par Le Média en 4-4-2

Becoming Brigitte S02E12 – INFO DE DINGUE ! UN NOUVEAU TROGNEUX DANS L’AFFAIRE CHIBRITTE” 

Youtube : en anglais sous-titré en français : BREAKING NEWS! The Macrons Hired A Detective To Investigate Me. | Candace Ep 227

Brigitte and Emmanuel admit they hired a former US Federal prosecutor to investigate me, a new scandal is happening in Latvia, and Israel kills 5 Al Jazeera journalists in a strike on Gaza.

Note de TAL : Candace prouve que dire la vérité est nettement plus bénéfique que répéter des mensonges ! 

PRIERES, MEDITATIONS ET RITUELS POUR LA PALESTINE

Israël se prépare à occuper toute la bande de Gaza

Benyamin Nétanyahou a annoncé sa volonté d’engager son pays dans une guerre d’occupation totale, dont la mise en œuvre a été examinée par le cabinet de sécurité réuni jeudi. Celle-ci ciblerait le quart du territoire qui n’est pas encore sous le contrôle de l’armée israélienne, à commencer par la ville de Gaza. Un tournant aux conséquences préoccupantes.

Gaza bombardée, Gaza affamée, Gaza occupée. Benyamin Nétanyahou a annoncé, jeudi 7 août, une nouvelle étape dans la guerre contre l’enclave palestinienne où survivent, dans des conditions extrêmement difficiles, 2,1 millions de personnes. Après vingt-deux mois d’une guerre au bilan humain terrible, comptant plus de 61 000 morts et 146 000 blessés, le chef du gouvernement israélien entend désormais occuper l’intégralité du territoire gazaoui. Au prix de nouvelles offensives militaires meurtrières. Au prix du déplacement forcé de centaines de milliers d’habitants de la bande de Gaza. Au risque d’ouvrir une crise politique en Israël. Au risque aussi d’isoler plus encore l’Etat hébreu, sur le plan diplomatique, dans ses relations avec les pays arabes comme avec le reste du monde.

« Nous avons l’intention, pour assurer notre sécurité, de chasser le Hamas, de permettre à toute la population de se libérer du [mouvement palestinien] et de passer à une gouvernance civile qui n’est pas celle du Hamas ni de quiconque prônant la destruction d’Israël », a expliqué Benyamin Nétanyahou, sur la chaîne américaine conservatrice Fox News, avant la réunion du cabinet de sécurité israélien. « Nous ne voulons pas garder [Gaza] (…) nous voulons mettre en place un périmètre de sécurité, mais ne voulons pas gouverner [l’enclave] », a-t-il déclaré. « Nous voulons remettre [le territoire] aux forces arabes qui le gouverneront correctement sans nous menacer et en offrant une bonne vie aux habitants de Gaza ».

Article : Le Monde, le 08/08/25

Photo : Rafah, Palestine, le 21/01/25

Le lieutenant-colonel Tony Aguilar des Bérets Verts fond en larmes : La vérité sur Israël éclate comme un tsunami 

https://www.facebook.com/carlos.piscinas/videos/23972186955815859

 

CROWDBUNKER / Cet officier de l’armée américaine fait des révélations graves sur Trump et Netanyahu

Il a filmé comment les soldats israeliens tirent sur ceux qui viennent chercher de la nourriture. Des images effroyables !

Voir aussi :

 

Crowdbunker : RÉVÉLATIONS SUR LES MASSACRES DE LA FONDATION HUMANITAIRE DE GAZA, QU’ISRAËL TENTE DE DISSIMULER

PARTISANS D’ISRAEL

Les partisans d’Israël ne discutent jamais de bonne foi, du moins pas ceux que vous êtes susceptible de rencontrer en ligne. Leur objectif n’est jamais de communiquer ou d’avoir une conversation, mais de promouvoir les intérêts d’un État génocidaire qui pratique l’apartheid. Pour y parvenir, ils diront tout ce qu’il faut dire et feront semblant de croire tout ce qu’il faut faire semblant de croire. Si vous vous engagez dans une conversation avec eux, vous n’avez pas une conversation normale avec une personne normale, mais une conversation avec une opération psychologique visant à manipuler l’opinion publique. Vous gaspillez votre énergie mentale et émotionnelle dans un trou noir, et ils sont ravis que vous gaspilliez votre énergie de cette manière.

Vous ne changerez jamais l’opinion d’un sioniste avec des faits et de la logique, ni ne le convaincrez de reconsidérer sa position à l’aide d’arguments solides. C’est une chose rare à accomplir sur n’importe quel sujet, car l’esprit humain a généralement tendance à privilégier le maintien de ses idées préconçues, mais lorsqu’il s’agit des partisans d’Israël c’est du jamais vu. Ils ne vous écoutent même pas vraiment, ils vous mitraillent simplement avec tous les mots qui, selon eux, contribueront à améliorer l’image publique d’Israël et à saper la confiance du public dans ses détracteurs.

Toute personne normale et ouverte d’esprit peut prendre connaissance des faits et parvenir à une compréhension honnête et morale de cette question. Mais vous ne ferez jamais changer d’avis un partisan d’Israël, quoi que vous disiez, car les partisans d’Israël ne s’intéressent pas aux faits ou à la moralité comme le font les gens normaux.

Les Israéliens et leurs partisans comprennent beaucoup mieux que la moyenne des gens le pouvoir de manipulation de l’opinion publique mondiale. La conscience humaine est dominée par le récit mental, donc si vous pouvez contrôler les récits que les humains racontent sur ce qui se passe dans le monde, vous pouvez contrôler les humains. Les manipulateurs habiles comprennent que le pouvoir est la capacité de contrôler les événements, mais que le véritable pouvoir est la capacité de contrôler ce que les gens pensent réellement des événements.  Heureusement, il y a des limites à la manipulation que l’on peut utiliser pour dissimuler ce que les gens voient sous leurs yeux. À court terme, la situation semble sombre, mais à long terme, j’ai du mal à imaginer qu’Israël puisse s’en remettre. Tous les jeunes qui ont été témoins du premier génocide diffusé en direct dans l’histoire dirigeront un jour le monde, et ils ne voudront rien avoir à faire avec l’État d’Israël.

source : Caitlin Johnstone via Le Grand Soir

crowdbunker

TOUJOURS PAS CONVAINCU DU VACCIN GÉNOCIDAIRE (preuves)

Le ministre français la santé affirme

que les vaxxins n’ont pas d’effet secondaires mais les preuves de la toxicité des injections est de plus en plus prouvée. Raoult montre que les vaxxins n’empêchent pas la transmission. Un député européen montre que les autorités ont menti à tour de bras sur ce sujet. Certains lots sont mortels, d’autres non.

Une émission qui date d’un an mais est toujours d’actualité.

THE SECRET COVENANT: CABALISTIC JEWS PLANS FOR HUMANITY (EN ANGLAIS)

https://odysee.com/@SkyDomeAtlantis:4/trim.C52DFC41-8707-4B71-A7E2-8EBA63B3BC6F:7

Les plans machiavéliques des sionistes-mondialistes décrits avec précision

Yves Rasir

Il y a quelques semaines, j’ai partagé sur Facebook l’annonce faite par Donald Trump d’un changement de composition du Coca-Cola aux États-Unis. Selon lui-même, le président des USA aurait en effet obtenu de la compagnie d’Atlanta qu’elle modifie la recette de sa boisson ultra populaire en remplaçant le sirop de maïs par du sucre de canne, comme c’est le cas en Europe et dans d’autres pays. Dans ma publication, je saluais l’initiative et je soulignais que le passage au saccharose était une très bonne chose pour la santé des Américains. En abandonnant le fructose dans les sodas, la multinationale ferait un grand pas diététique et elle aiderait l’Amérique à devenir « healthy again ». Par ricochet, l’omniprésence du sirop de maïs serait remise en cause et le monde entier profiterait de la dévaluation de cet additif alimentaire aux effets sanitaires désastreux.

À ma grande surprise, ma sortie sur le réseau social a quasiment fait scandale. Je me suis ramassé de nombreux commentaires disant en substance que ce changement d’ingrédient sucrant ne changerait rien, qu’ « un sucre restait un sucre », que les poisons s’équivalaient et que j’étais en train d’applaudir naïvement le remplacement de la peste par le choléra. Plus étonnant encore, certains commentateurs faisaient valoir que le fructose venant des fruits ou du maïs était probablement plus sain que le saccharose extrait de la canne à sucre ou de la betterave sucrière. Ces commentaires m’ont très fort étonné  car je pensais mes contemporains beaucoup mieux informés sur les défauts et désavantages du fructose simple ajouté. Il est visiblement urgent de rectifier quelques croyances et de remettre certaines pendules nutritionnelles à l’heure ! 

Qu’est-ce d’abord que le sirop de maïs riche en fructose ou high fructose corn syrup (HFCS) ? C’est un édulcorant fabriqué industriellement à partir de la tige de maïs. Inventé aux États-Unis dans les années 60, il résulte d’un procédé chimique permettant de convertir en fructose l’amidon du maïs. Résultat : un sirop liquide contenant entre 42 et 55 % de fructose, le reste étant du glucose. Moins cher que le sucre de canne et de betterave, plus soluble et plus stable, il est surtout 2,5 fois plus sucrant que ses rivaux, ce qui a tout de suite séduit l’industrie agro-alimentaire. Entre 1970 et 1990,  sa consommation a été multipliée par plus de 1 000 chez l’Oncle Sam ! Il compose aujourd’hui la majorité des sucres ajoutés dans les sodas, snacks, biscuits, confiseries, sauces et autres produits transformés. 

Certes, le fructose est un sucre simple, ou monosaccharide, naturellement présent dans le miel, les fruits et certains légumes. Ce n’est donc pas le diable. Mais à l’état naturel, il est associé à des fibres, vitamines, antioxydants et autres flavonoïdes bénéfiques. Dans le sucre ordinaire (saccharose), le glucose et le fructose sont liés et ils traversent le tube digestif pour être absorbés simultanément dans l’intestin grêle. Sous sa forme isolée et concentrée, le fructose se comporte très différemment : il va directement au foie . Il contourne les étapes classiques du métabolisme glucidique, en particulier la régulation par l’insuline, et intègre en droite ligne le processus de lipogenèse hépatique, c’est-à-dire la fabrication de graisses dans le foie.

Ce mécanisme entraîne une accumulation de triglycérides dans les cellules hépatiques. Selon une étude publiée en 2016 dans la revue Hepatology, cette surcharge graisseuse peut aboutir à une stéatose hépatique non alcoolique (ou NASH), une affection désormais considérée comme l’une des principales causes de maladies chroniques du foie dans le monde,  touchant environ 1 adulte sur 4. Pire encore : cette graisse hépatique favorise l’inflammation, l’insulinorésistance et le stress oxydatif, créant ainsi un cercle vicieux qui affecte globalement l’organisme. Comme le rappelle volontiers l’hépatologue français Dominique Lannes, « ce qu’on appelait hier le foie gras des alcooliques devient aujourd’hui celui des enfants obèses ». 

Les corrélations entre l’explosion de la consommation de HFCS et la hausse des taux d’obésité sont évidentes. En 2004 déjà, une étude épidémiologique parue dans The American Journal of Clinical Nutrition  établissait une association entre la montée du HFCS dans les boissons sucrées et la flambée des cas d’obésité aux États-Unis. Le mécanisme est double : d’une part, le fructose n’induit pas la même réponse hormonale que le glucose. Il ne stimule que faiblement la sécrétion d’insuline et celle de leptine, l’hormone de la satiété. Résultat : on continue à manger sans ressentir de signal d’arrêt. D’autre part, en augmentant la lipogenèse, le fructose favorise l’accumulation de graisse viscérale — la plus délétère sur le plan métabolique. Une étude publiée en 2009 dans le Journal of Clinical Investigation a montré qu’en deux semaines seulement, des volontaires consommant des boissons sucrées au fructose voyaient leur taux de triglycérides, leur résistance à l’insuline et leur masse grasse viscérale augmenter significativement.

Le fructose, à l’inverse du glucose, n’élève pas immédiatement la glycémie. C’est d’ailleurs l’un des arguments utilisés par les défenseurs des produits à base de HFCS : un index glycémique faible. Mais cette vision est trompeuse car c’est précisément cette absence de stimulation insulinique qui constitue l’inconvénient. Une consommation chronique de fructose engendre une insulinorésistance hépatique  : le foie, saturé de graisses, répond de moins en moins à l’insuline. Cela force le pancréas à en produire davantage, entraînant à terme un épuisement des cellules β. 

Ce mécanisme est l’un des moteurs du développement du diabète de type 2. Un essai clinique mené en 2010 sur des adolescents a montré qu’une consommation régulière de boissons au HFCS augmentait dramatiquement la résistance à l’insuline et les marqueurs inflammatoires. Et en 2012, une enquête épidémiologique mondiale  a révélé que les pays à forte consommation de sirop de maïs enregistraient une prévalence du diabète environ 20 % supérieure à celle des pays à consommation faible. Qui oserait encore dire que Donald Trump, aiguillonné par son ministre de la santé Robert Kennedy, n’a pas mis le doigt sur une problématique cruciale ? 

Au-delà du métabolisme, le fructose interagit puissamment avec notre cerveau. Plusieurs études en imagerie cérébrale ont mis en évidence que le « sucre de fruit » activait les circuits de la récompense – notamment le noyau accumbens – de manière similaire à certaines drogues, en libérant de la dopamine. Une autre étude  a montré que, comparé au glucose, le fructose activait moins les zones du cerveau associées à la satiété, tout en maintenant une forte stimulation des circuits de la récompense. Ce déséquilibre favorise une surconsommation et pourrait expliquer en partie les troubles alimentaires compulsifs.Une recherche publiée dans Neuroscience & Biobehavioral Reviews va encore plus loin et évoque un « potentiel addictif » du fructose sensiblement supérieur à celui du glucose.

Ce n’est pas tout. Chez l’animal, une étude sur des rats  nourris avec un régime riche en fructose a mis en évidence une altération de la plasticité synaptique et une baisse significative des capacités de mémorisation, en lien avec une réduction de la neurogenèse hippocampique. Une autre étude de l’université de Princeton  a révélé que les jeunes rats ayant consommé du HFCS montraient des signes précoces de syndrome métabolique et de troubles comportementaux. L’auteur de cette recherche a conclu que le fructose faisait autant de ravages que l’éthanol ! Chez l’homme, les données sont encore préliminaires, mais des corrélations commencent à apparaître entre consommation de sucres ajoutés et déclin cognitif. Une étude de l’université de Californie  a par exemple mis en évidence une association entre consommation élevée de boissons sucrées et risque accru de maladie d’Alzheimer. Il ne fait plus guère de doute que le HFCS occasionne également des dommages à l’étage cérébral. 

En Europe, on l’a dit, la Coca-Cola Company n’ajoute pas de sirop de maïs dans son produit phare. Mais ça ne veut pas dire que cet édulcorant malfaisant est moins présent dans nos cannettes et nos assiettes. En 2017, l’Union Européenne a aboli son système des quotas sucriers et a notamment supprimé les freins à la production d’isoglucose. Or c’est l’une des dénominations « cachées » du HFCS ! Sur les étiquettes, il est également dissimulé sous les noms de « sirop de fructose », de « sirop de glucose-fructose », voire de «  sucres invertis ». Une telle opacité empêche bien sûr les consommateurs d’évaluer correctement leur exposition. 

L’Europe va-t-elle subir le même sort que la Chine ? Dans l’empire du Milieu, la consommation de boissons sucrées à base de fructose a explosé ces 30 dernières années. Bilan : une hausse vertigineuse du taux d’obésité infantile  (+ 300 % depuis 1995, selon l’OMS) et des cas de diabète chez les adolescents, deux tendances qui se dessinent également sur notre continent. À ce tableau noir, il faut encore ajouter que le fructose isolé augmente le taux d’acide urique (ce qui peut entrainer la goutte et des problèmes rénaux), qu’il consomme une grande quantité de vitamines et minéraux (zinc, chrome, vitamine B, vitamine D…) et qu’il augmente la teneur en graisses d’organes autres que le foie (les poumons et le cœur), ce qui accroit le risque d’hypertension artérielle et de maladies cardiovasculaires. 

Bref, on peut franchement féliciter Donald Trump d’avoir cassé du sucre sur le dos du High Fructose Corn Syrup et d’avoir exigé qu’il soit évacué de sa boisson préférée. Ce faisant, il a montré que son administration ne craignait pas d’affronter Big Food en plus de Big Pharma. Si mes vœux se réalisent, ce coup de projecteur négatif sur le HFCS devrait faire prendre conscience de ses nuisances  et mener progressivement à son remplacement dans les autres produits manufacturés. Le retour au saccharose n’est évidemment pas une solution idéale. Le recours massif à des sources de fructose plus naturelles (sirop d’agave ou d’érable, jus de fruits concentré…) n’est pas non plus très souhaitable. Se rabattre sur les édulcorants artificiels comme l’aspartame ou l’acésulfame K , ce serait encore une plus mauvaise idée.

Mais si c’était la deuxième chance de la stévia  ? En 2015, Coca-Cola a lancé en fanfare sa version « green » partiellement édulcorée avec les feuilles de cette plante à la fois très sucrante et pas du tout calorique. Aujourd’hui, ce « coca vert » a disparu des rayons car ce fut un échec commercial magistral, le consommateur n’ayant pas apprécié l’arrière-goût de réglisse et la légère amertume procurés par le végétal. Sa riche composition (vitamines, minéraux, oligo-éléments..) et ses nombreuses vertus médicinales (hypotensive, antioxydante, anti-inflammatoire…)  en font pourtant un édulcorant naturel de premier choix. Maintenant que le président américain a mis les pieds dans le plat et sérieusement écorné le sirop de maïs, ce serait peut-être le moment d’impulser un changement de mentalité et de retenter le pari stévia. Allô, Atlanta ?

https://www.youtube.com/watch?v=90oER8Jfo0A

Traoé affirme la dignité africaine aux Nations Unies d’une manière magnifique. « La politique sans âme n’est que du calcul, et vous nous avez beaucoup calculés » , a-t-il dit notamment.

Une interview explosive : RFK Jr. lève le voile sur les vaccins avec Tucker Carlson

https://www.francesoir.fr/politique-monde-societe-sante/une-interview-explosive-rfk-jr-leve-le-voile-sur-les-vaccins-avec

 

Le 30 juin 2025, Robert F. Kennedy Jr. (RFK Jr.), Secrétaire américain à la Santé et aux Services humains, a accordé une interview d’une heure et demie à Tucker Carlson, diffusée sur la plateforme de ce dernier. Cette discussion, largement relayée sur X, le 1ᵉʳ juillet 2025, a suscité une controverse majeure en abordant les allégations sur la sécurité des vaccins, notamment un potentiel lien avec l’autisme, ainsi que des critiques acerbes envers les institutions de santé publique comme les Centres pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC). 

Le vaccin contre l’hépatite B et l’autisme

RFK Jr. a commencé l’entretien en évoquant une étude interne du CDC datant de 1999, dirigée par le chercheur belge Thomas Verstraten. Selon lui, cette étude aurait révélé une augmentation alarmante de 1 135 % du risque d’autisme chez les garçons vaccinés contre l’hépatite B à la naissance.

Cependant, Kennedy affirme que les responsables du CDC auraient manipulé les données en excluant les enfants plus âgés, trop jeunes pour être diagnostiqués, afin de masquer ce lien. Cette accusation, bien que spectaculaire, reste contestée par la communauté scientifique, qui a maintes fois démenti tout lien causal entre vaccins et autisme.

Corruption au sein du CDC et système VAERS

L’entretien s’est ensuite tourné vers une critique systémique du CDC. RFK Jr. a révélé que l’agence aurait délibérément enterré une étude financée par le CDC, menée par le chercheur Ross Lazarus, qui comparait un système de détection automatisé des effets secondaires des vaccins à la base de données VAERS (Vaccine Adverse Event Reporting System). Cette étude aurait montré que VAERS ne détectait que moins de 1 % des effets indésirables liés aux vaccins, tandis qu’un système plus sophistiqué estimait qu’1 vaccin sur 37 causait un effet indésirable, et que 2,6 % de toutes les vaccinations entraînaient un effet indésirable. 

Face à ces résultats, le CDC aurait fermé ce système en 2010, préférant conserver VAERS malgré ses lacunes. Kennedy a également dénoncé une corruption financière au sein de la médecine pédiatrique. Il a affirmé que 50 % des revenus des pédiatres proviennent des vaccins, avec des bonus liés aux taux de vaccination élevés, expliquant pourquoi certains rejettent les parents réticents. 

Cette dépendance financière, selon lui, compromet l’indépendance médicale. 

Révélations sur les essais cliniques et les conflits d’intérêts

L’interview a abordé des scandales spécifiques, notamment les données des essais cliniques du vaccin Pfizer contre la COVID-19. RFK Jr. a cité une analyse montrant un taux de mortalité supérieur de 23,5 % dans le groupe vacciné par rapport au groupe placebo sur six mois, avec 21 décès dans le groupe vacciné contre 17 dans le groupe placebo. Il a critiqué l’assertion de Pfizer d’une efficacité de « 100 % » basée sur une réduction relative du risque, arguant que, en termes absolus, il fallait 22 000 vaccinations pour sauver une vie. 

Un autre exemple frappant concerne Paul Offit, membre du comité consultatif sur l’immunisation (ACIP) du CDC. Kennedy a accusé Offit d’avoir voté pour inclure le vaccin contre le rotavirus dans le calendrier vaccinal tout en développant son propre vaccin, RotaTeq, qu’il a vendu à Merck pour 186 millions de dollars, se « votant ainsi riche ».

 Accusations contre Fauci et la Manipulation des Virus

RFK Jr. a également ciblé Anthony Fauci, l’ancien directeur de l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses. Il a affirmé que Fauci avait financé des recherches, notamment par le biais de Ralph Baric de l’Université de Caroline du Nord, pour développer la technique de « seamless ligation » (ligation sans couture), permettant de manipuler des virus en laboratoire sans laisser de traces génétiques. Selon Kennedy, cette technologie aurait été utilisée pour dissimuler les origines artificielles de virus, une accusation qualifiée par Carlson de potentiellement liée à la guerre biologique.

 Une Vision Nouvelle pour la Santé Publique et Trump

Malgré ces critiques, Kennedy a partagé une vision optimiste de son rôle sous l’administration Trump. Il a expliqué que Trump choisit ses collaborateurs en étudiant trois clips de leurs performances télévisées, soulignant sa capacité à repérer les talents. Kennedy a loué Trump comme un homme empathique, curieux et populiste, contrastant avec l’image d’un narcissiste cupide.

UN AUTRE SON DE CLOCHE

Le secrétaire du département américain de la Santé et des Services sociaux (HHS), Alex Azar, a annoncé cette semaine que l’administration Trump mettait fin à ses contrats avec la BARDA, d’un montant total de 500 millions de dollars, pour le développement de vaccins à ARNm. Les médias traditionnels et les médias alternatifs ont réagi très vivement à cette annonce, affirmant que le gouvernement avait désormais cessé de financer tous les vaccins à ARNm. Mais leurs réactions ont été diamétralement opposées, allant de l’horreur chez les médias traditionnels financés par l’industrie pharmaceutique à la joie chez les médias alternatifs. Les deux camps ont tort de supposer que tout le financement des vaccins à ARNm prend fin. Écoutez ce que Kennedy a réellement dit dans son annonce, ou lisez la transcription. L’argent est simplement réaffecté au développement d’autres vaccins. Si l’on examine ce que le secrétaire du HHS a fait depuis sa nomination, on constate clairement que M. Kennedy veut PLUS de vaccins, et non moins. Le mois dernier (juillet 2025), lorsque Kennedy a approuvé le vaccin à ARNm contre la COVID-19 de Moderna, « Spikevax », destiné à être injecté aux bébés de 6 mois à 11 ans, j’ai signalé qu’il y avait désormais PLUS de vaccins contre la COVID-19 approuvés par la FDA sous Kennedy qu’à n’importe quel moment sous l’administration Biden. Comme on pouvait s’y attendre, les médias corporatifs financés par l’industrie pharmaceutique ont immédiatement confronté Trump à ce sujet, et écoutez ce que Trump a déclaré en réponse à la nouvelle selon laquelle le développement du vaccin à ARNm à la BARDA était interrompu par son administration. Non seulement Trump a confirmé que cela ne s’était PAS produit, en disant « nous allons examiner cela », mais il a également déclaré

par Viktor Mikhin

Washington a financé pendant des décennies la machine militaire israélienne, garantissant l’impunité de Tel-Aviv.

Depuis le 7 octobre 2023, avec le soutien direct des États-Unis et de leurs alliés occidentaux, Israël a lancé une campagne de terreur sans précédent contre le peuple palestinien. Sous le faux prétexte de la «lutte contre le terrorisme», des familles entières sont exterminées, des quartiers entiers sont rasés, et toutes les normes du droit international sont systématiquement violées. Mais au lieu de renforcer son pouvoir, Tel-Aviv ne fait que démontrer au monde sa vulnérabilité. Les faits montrent et prouvent que l’agression militaire d’Israël n’est qu’une illusion de force et la réalité d’un échec.

Washington a financé pendant des décennies la machine militaire israélienne, la transformant en l’un des appareils militaires les plus puissants et impunis au monde. Depuis 1948, les États-Unis ont accordé à Israël plus de 260 milliards de dollars (en comptant l’aide militaire et économique), et depuis 2016, l’aide annuelle s’élève à 3,8 milliards, dont 3,3 milliards sont directement injectés dans le secteur militaire.

L’impunité d’Israël sur la scène internationale a également été assurée par Washington. Les États-Unis ont bloqué plus de 50 fois les résolutions du Conseil de sécurité de l’ONU condamnant les actions d’Israël, y compris les demandes de cesser la construction de colonies dans les territoires occupés et d’enquêter sur les crimes de guerre. Même pendant les opérations à Gaza (2008-2009, 2014, 2021, 2023-2025), les États-Unis ont continué à fournir des armes à Israël, y compris des bombes aériennes de gros calibre, des missiles modernes et d’énormes quantités de munitions. En 2023, après le début de l’opération «Lames de fer», l’administration Biden a approuvé en urgence le transfert de 14 000 obus de chars et de bombes aériennes, contribuant directement à l’escalade de la violence. L’administration Trump, qui lui a succédé, continue d’approvisionner massivement Israël en armes modernes sous le faux slogan de «légitime défense».

La vérité est qu’on ne sait pas vraiment qui attaque Israël et occupe son territoire. Pendant ce temps, le monde entier voit de ses propres yeux comment Netanyahou et sa clique déclenchent guerre après guerre, bombardent constamment la Syrie, commettent des actes d’agression contre l’Iran, et détruisent le peuple palestinien avec des bombes et des missiles. Ils utilisent même la famine comme arme, lorsque Tsahal empêche les organisations internationales de fournir de la nourriture à la bande de Gaza occupée.

Les médias occidentaux comme CNN, BBC et The New York Times répètent souvent la rhétorique israélienne sur le «droit à la légitime défense», ignorant l’ampleur des destructions à Gaza. Pourtant, ces soi-disant médias démocratiques et impartiaux n’ont jamais évoqué le droit du peuple palestinien à se défendre, alors qu’Israël viole depuis 1948, de manière éhontée et impunie, non seulement les droits légitimes des Palestiniens, mais aussi toutes les lois internationales imaginables. Comme l’a déclaré avec arrogance Netanyahou, le peuple israélien est au-dessus de toutes les règles internationales et ne fera que ce qu’il estime nécessaire.

En 2023, CNN et BBC ont initialement propagé de fausses informations sur des «40 bébés décapités», mensonge ensuite démenti, mais déjà utilisé par Netanyahou pour justifier les bombardements barbares contre des civils palestiniens. Pourquoi ces médias occidentaux ne comptent-ils pas et ne publient-ils pas le nombre de bébés et d’enfants palestiniens tués dans ces bombardements, alors qu’ils sont bien plus nombreux que ces «40 bébés décapités» ?

Aux États-Unis même, la résistance à la politique de soutien à Israël grandit. Depuis 2023, des mouvements étudiants à Harvard, Columbia et UCLA exigent la rupture des liens avec les entreprises israéliennes et l’arrêt de l’aide militaire. En réponse, les administrations universitaires font appel à la police, ce qui ne fait qu’amplifier les protestations.

Chez les démocrates aussi, une fracture se dessine. Des politiciens comme Alexandria Ocasio-Cortez et Rashida Tlaib qualifient ouvertement les actions d’Israël d’«apartheid» et de «génocide». Ce qui, d’ailleurs, correspond à la vérité que Trump et les médias sous son contrôle tentent d’étouffer. Les sondages montrent que 48% des jeunes démocrates soutiennent des sanctions contre Israël.

Une question revient de plus en plus en Amérique : combien d’enfants et de bébés palestiniens doivent encore mourir pour que les États-Unis cessent de financer ce massacre ? Mais le grand «pacificateur» Trump, sourd à ces appels du peuple américain, en inondant Tsahal d’armes ultra-modernes, est un complice direct de la guerre génocidaire d’Israël contre des civils, des vieillards, des femmes et des enfants. Bravo, Monsieur Trump, le prix Nobel de la paix vous attend !

Comme dit le proverbe, «qui se ressemble s’assemble». Dans cette politique, les États-Unis sont activement soutenus par les prétendus «humanistes» hypocrites d’Europe. L’UE affiche depuis des années son attachement aux «droits de l’homme», tout en restant un fournisseur clé d’armes et de technologies pour l’armée israélienne.

L’Allemagne est le plus grand allié européen d’Israël. En 2023, Berlin a autorisé des exportations d’armes à hauteur de 326 millions d’euros, incluant des composants pour avions de combat et systèmes de défense antimissile. Pourtant, l’Allemagne interdit strictement les manifestations pro-palestiniennes, les qualifiant d’«antisémites». On ne peut s’empêcher de penser à l’époque d’Hitler et à sa politique de répression des manifestations. Voilà jusqu’où est tombé le chancelier Merz (dont on murmure, par ailleurs, qu’il est le petit-fils d’un nazi) dans sa volonté de plaire à Trump et son équipe. La devise de l’Allemagne a toujours été «Unité, droit et liberté». Monsieur le chancelier, où est votre unité quand des dizaines de milliers d’Allemands, parfois des centaines de milliers, descendent dans la rue, pour être brutalement dispersés par une police formée selon les canons nazis ? Quant aux droits et libertés du peuple allemand, n’en parlons même pas !

Le Royaume-Uni fournit l’électronique pour les drones utilisés dans les «assassinats ciblés» à Gaza. Résultat : plus de 60 000 Palestiniens tués (officiellement), mais en réalité, bien plus de 100 000. Comment ne pas penser aux atrocités commises par la «civilisée et démocratique» Grande-Bretagne, par exemple en Inde, où des millions d’Indiens ont été massacrés ? Une autre entreprise, BAE Systems, collabore activement avec le complexe militaro-industriel israélien, le gorgeant d’armes ultra-modernes.

La France vend à Israël des technologies de surveillance et, en 2023, a interdit des marches palestiniennes sous prétexte de «lutte contre l’extrémisme». Et cela dans un pays considéré comme le bastion de la liberté, de l’égalité, de la fraternité et de la démocratie ! On a envie de s’écrier : jusqu’où es-tu tombée, France, sous la «sage» direction de ton président Macron  ?

Les doubles standards de l’UE sautent aux yeux. En 2022, l’Europe a imposé de lourdes sanctions à la Russie pour avoir repoussé l’agression de l’OTAN en Ukraine, mais refuse même d’envisager un embargo sur les armes à Israël. Et ce, malgré les milliers de Palestiniens tués par des armes européennes. Où sont donc passés la démocratie et les droits de l’homme ?

La criminalisation de la solidarité avec la Palestine atteint des niveaux absurdes. En Allemagne et en France, des militants sont arrêtés pour avoir brandi des drapeaux palestiniens, tandis qu’en Autriche, des organisations islamiques sont fermées sous couvert de «lutte antiterroriste». Quel terrorisme ?! C’est Israël qui commet des exactions et du terrorisme contre les Palestiniens à Gaza et en Cisjordanie occupée. Mais les dirigeants européens continuent de répéter, comme les trois singes de la sagesse : «Je ne vois rien, je n’entends rien, je ne dis rien». L’Europe condamne bien les guerres… mais seulement celles qui ne l’arrangent pas. Pour les autres, elle les soutient. Conclusion évidente : l’Europe est complice du bain de sang du peuple palestinien !

Ces dernières années, la communauté internationale assiste à un changement radical dans l’équilibre des forces. Les pays des BRICS et du Sud global affirment de plus en plus haut leur refus de suivre aveuglément l’hégémonie occidentale, surtout sur la question du conflit israélo-palestinien. La politique brutale et souvent barbare d’Israël envers la Palestine suscite une condamnation croissante, et de nouveaux pôles de puissance défient les doubles standards de l’Occident.

La Russie prend une position ferme, plaidant pour un règlement juste fondé sur le droit international. Vladimir Poutine a souligné à plusieurs reprises que la situation en Palestine résulte de décennies d’ignorance des droits légitimes des Palestiniens. Selon lui, les actions unilatérales d’Israël, soutenues par l’Occident, ne font qu’aggraver le conflit, et il faut revenir aux négociations basées sur les résolutions de l’ONU.

Concrètement, la Russie soutient la cause palestinienne à l’ONU, fournit une aide humanitaire à Gaza (médicaments, nourriture), et dénonce les hypocrisies occidentales. Moscou pointe une contradiction flagrante : pendant que l’Occident condamne la Russie pour sa réponse à l’agression de l’OTAN en Ukraine, il ferme les yeux sur les crimes de guerre israéliens.

Mais le monde change. La résistance palestinienne est plus forte que jamais. L’Occident perd le contrôle de l’agenda global. Les États-Unis ne peuvent plus couvrir en toute impunité les crimes de leurs alliés. Le génocide ne restera pas impuni.

source : New Eastern Outlook

 

Japon : 21 millions de dossiers révèlent une augmentation massive de décès dûs aux vaccins Covid

 

https://reseauinternational.net/japon-21-millions-de-dossiers-revelent-une-augmentation-massive-de-deces-dus-aux-vaccins-covid/

par Nicolas Hulscher

Un ensemble de données inédites provenant du Japon montre que les effets indésirables mortels différés sont réels.

Le groupe japonais United Citizens for Stopping mRNA Vaccines (Citoyens unis pour stopper les vaccins à ARNm) a obtenu plus de 21 millions de dossiers de vaccination officiels par le biais de demandes d’accès à l’information, ce qui constitue l’un des plus grands ensembles de données réelles de ce type.

L’analyse menée par le professeur Yasufumi Murakami (Université des sciences de Tokyo) révèle un pic massif de décès cachés survenant 90 à 120 jours après l’injection d’ARNm, un plus grand nombre de doses étant lié à des décès plus précoces.

Le gouvernement japonais ne fournit pas ouvertement de données détaillées sur les vaccinations et les décès au niveau individuel. Pour percer le secret, 350 volontaires à travers le Japon ont déposé des demandes locales de type «FOIA» auprès des bureaux municipaux, afin d’obtenir les dossiers officiels qui relient les numéros de lots, les dates de vaccination et les dossiers de décès (mortalité toutes causes confondues).

Vous pouvez consulter la base de données à l’adresse suivante : https://stop-mrna.sakura.ne.jp/db/lot-totalization.php

 

1. Pic de décès retardé : 3-4 mois après la vaccination

 

Au lieu de regrouper les décès immédiatement après l’injection, le taux de mortalité le plus élevé a été enregistré 90 à 120 jours après l’injection. Dans les groupes de non vaccinés, ce pic n’a pas été observé.

2. Plus de doses = pic de mortalité plus précoce

 

Dans les données de la ville de Sagamihara, plus le nombre d’injections reçues était élevé, plus le pic de mortalité apparaissait tôt. Chez les personnes ayant reçu 4 à 5 doses, les pics de mortalité sont apparus bien avant les 90 jours.

3. Variabilité des lots

Les données confirment des différences massives entre les lots en ce qui concerne les effets indésirables, ce qui corrobore la littérature évaluée par les pairs.

 

Bien que le ministère japonais de la santé ait approuvé l’injection d’ARNm auto-amplifié de Meiji Seika Pharma (développée en partenariat avec CSL Seqirus et Arcturus Therapeutics), l’utilisation a été microscopique – seulement 15 000 doses administrées en avril 2025. La sensibilisation du public à leurs dangers, sous l’impulsion du groupe United Citizens, a probablement empêché une utilisation massive.

 

Le fabricant poursuit maintenant le député Kazuhiro Haraguchi, qui a développé un lymphome après trois injections d’ARNm et qui a trouvé la protéine spike dans ses cellules lymphatiques longtemps après sa guérison. Il a été l’un des rares législateurs à demander l’arrêt de la vaccination à l’ARNm.

Israël a franchi la ligne rouge. L’Occident va-t-il en faire autant ?

par Gordon Dimmack

Les nouvelles ce matin marquent un tournant non seulement pour Gaza, mais aussi pour toutes les démocraties occidentales qui prétendent encore être du bon côté de l’histoire.

Le gouvernement israélien a officiellement approuvé un plan d’occupation de la ville de Gaza, prévoyant de remplacer toutes les instances palestiniennes existantes et d’affirmer un contrôle permanent sur la bande de Gaza. Selon le compte-rendu de leur propre cabinet, ce nouveau régime ne sera ni le Hamas ni l’Autorité palestinienne, mais une entité entièrement sous contrôle israélien.

En d’autres termes, ce plan est une colonisation déguisée en «administration». L’objectif n’est ni la paix, ni la sécurité, ni même le retour des otages. L’objectif est le contrôle total, la prochaine étape du projet du Grand Israël, mené au grand jour sous les yeux du monde entier.

Nous attendons maintenant de voir ce que le Royaume-Uni – et le reste de l’Occident – fera de cette information.

Car nous avons atteint le point de non-retour.

Pendant des mois, les gouvernements occidentaux ont tenté de jouer sur les deux tableaux. Ils ont publié des déclarations ambiguës, appelé à la retenue et évoqué une «solution à long terme». Certains ont même gelé le financement de l’UNRWA tout en continuant d’approuver les exportations d’armes.

Ces manœuvres politiques ne sont plus tenables.

Il ne s’agit pas d’une zone grise. Ce n’est pas une question d’interprétation. Ce n’est pas un «défi» de politique étrangère. Israël prévoit désormais ouvertement de gouverner une population prisonnière, privée de droits, de souveraineté et de toute possibilité de participer à définir son propre avenir.

C’est la définition même de l’apartheid – et dans ce cas, c’est un apartheid issu du génocide.

Si notre gouvernement continue de soutenir une telle politique, nous ferons face à une réalité très sombre :

Ils agissent en toute connaissance de cause. Ils ne se sont pas trompés. Ils sont complices.

Mais une vérité pesante demeure : ils n’ont pas encore franchi le pas. Pas complètement.

Si le Royaume-Uni agit maintenant, s’il commence à sanctionner Israël, à expulser son ambassadeur, à suspendre ses exportations d’armes et à se joindre aux tentatives mondiales d’isolement diplomatique du régime d’apartheid, alors il peut encore éviter de sombrer avec lui.

Ce gouvernement pourra alors dire : «Nous sommes intervenus quand c’est devenu indéniable. Nous avons établi une ligne rouge. Nous avons choisi de préserver le droit international et notre propre intégrité plutôt que de nous laisser entraîner dans sa chute».

Mais le temps presse. Et s’ils n’agissent pas, il n’y aura plus de retour en arrière.

Israël compromet son avenir en suivant cette voie. Il suit même exactement le chemin inverse. Son image à l’international en pâtit. Les boycotts se multiplient. L’économie commence à péricliter. Le soutien diplomatique s’amenuise. Et maintenant, son propre peuple fuit, non pas au sens figuré, mais au sens propre.

Le tourisme est au point mort. La principale source de revenus de Tel-Aviv a disparu. Les avions sont à moitié vides. Les voyages du programme Birthright sont annulés. Les artistes internationaux refusent de se produire dans le pays. Les avertissements aux voyageurs se multiplient de la part de gouvernements autrefois amis. Le Groupe de La Haye et d’autres groupes exercent une pression économique. Qui irait se rendre dans un État d’apartheid qui bombarde des civils au journal de 20 heures ?

Et que dire de ceux qui partent ?

Nous avons tous vu ces images d’Israéliens qui s’installent en Europe, en Amérique et partout ailleurs, pour se heurter à la crainte, à des restrictions de visa et, dans certains cas, à une hostilité ouverte. On ne les accueille plus à bras ouverts. Ils sont traités comme des criminels, pas parce qu’ils sont juifs, mais parce qu’ils viennent d’un État paria qui entraîne le peuple juif dans le bourbier du génocide.

Même les Israéliens en vacances sur des bateaux de croisière ne sont pas les bienvenus.

Ce qui soulève une question très simple :

Si personne ne veut aller là-bas et que personne ne les accueille ici, quel avenir pour cet État ?

En effet, les projets coloniaux reposent avant tout sur l’immigration. Si plus personne ne veut plus s’installer dans les colonies et qu’au contraire, les colons essaient d’en sortir, alors les jeux sont faits. Et c’est précisément ce à quoi nous assistons actuellement.

Il ne s’agit pas seulement de l’effondrement de la réputation internationale d’Israël. Pas plus que l’effondrement de son projet politique.

C’est l’exode.

C’est la fin.

C’est ce que j’écris depuis des mois.

Combien de fois Israël nous a-t-il menti juste ces deux dernières années ?

Le bombardement de l’hôpital al-Ahli, par exemple ? Imputé à une roquette palestinienne qui aurait raté sa cible, jusqu’à ce qu’images et analyses révèlent une toute autre version des faits.

La boulangerie présentée comme un «dépôt du Hamas» ? Une pure fiction.

Les convois d’aide «utilisés comme couverture» ? Une affirmation maintes fois démentie.

Les fameux «centres de commandement du Hamas sous les hôpitaux» ?

Et les deux mensonges les plus gros de tous ?

• Les «40 bébés décapités» – une affirmation répétée par les dirigeants mondiaux et les grands médias. Pas de noms. Pas de photos. Pas de corps. Pas de preuves. Juste un mensonge macabre pour justifier la vengeance aveugle.

• Les «viols collectifs commis par le Hamas» ont été martelés sans relâche, repris au Parlement et à la une des journaux. Or, les preuves médico-légales ont toujours fait défaut. Les enquêtes n’ont rien donné. Et les allégations se sont effondrées dès la première analyse.

Et pourtant, le mal était fait. Les images se sont gravées dans la conscience collective. Israël a obtenu son permis de tuer – et l’Occident l’a applaudi.

C’était plus que l’échec des services du renseignement. Ces manœuvres ont été délibérées et coordonnées, et conçues pour justifier le génocide.

Et les médias sont tombés dans le piège.

Ils l’ont cautionné.

C’est inacceptable.

Amplifier des mensonges cautionnant le génocide et prétendre ensuite qu’on n’a fait que son travail est intolérable.

Surtout pas cette fois.

Si le Royaume-Uni, les États-Unis ou toute autre démocratie occidentale continue de soutenir pareille chose, après toutes les horreurs commises, alors une seule conclusion s’impose : ils sont sous le coup d’un chantage.

Aucun gouvernement digne de ce nom, aucun être humain un tant soit peu honorable ne soutiendrait un tel carnage, à moins d’y être contraint.

Peut-être s’agit-il de compromissions. Peut-être des accords secrets. Peut-être la menace silencieuse de l’option Samson, la doctrine nucléaire «apocalyptique» d’Israël. Peut-être quelque chose de pire encore. Mais qu’on ne nous parle plus de diplomatie, de «valeurs communes» ou d’alliances.

Ce qui les pousse à continuer.

Si le Royaume-Uni, les États-Unis ou toute autre démocratie occidentale continue de soutenir ces agissements, après tout ce qui s’est passé, alors une seule conclusion est possible : ils sont sous le joug du chantage.

Aucun gouvernement digne de ce nom, aucun être humain un tant soit peu civilisé ne soutiendrait un tel carnage, à moins d’y être contraint.

Peut-être s’agit-il de compromissions. Peut-être des accords secrets. Peut-être la menace silencieuse de l’option Samson, la doctrine nucléaire «apocalyptique» d’Israël. Peut-être quelque chose de pire encore. Mais qu’on ne nous parle plus de diplomatie, de «valeurs communes» ou d’alliances.

Ce n’est pas un comportement acceptable. Ce n’est pas de la politique courante. C’est une complicité de génocide en direct à la télévision.

Et ceux qui y participent savent exactement ce qu’ils font.

Ils sont impliqués jusqu’au cou dans les pires crimes de notre époque – et s’ils persévèrent, ils ne seront pas seulement coupables.

Ils seront damnés.

La dernière ligne à ne pas franchir.

C’est la dernière ligne à ne pas franchir.

La limite.

Le point de non-retour.

Si le Royaume-Uni continue de protéger Israël après tout cela, s’il continue de prétendre qu’il s’agit de «sécurité», de «lutte contre le terrorisme» ou de «stabilité dans la région», alors notre establishment en matière de politique étrangère est vraiment perdu.

Car rester les bras croisés pendant qu’un génocide est perpétré, documenté, géolocalisé et horodaté en temps réel, sans rien faire pour l’arrêter, ne fait plus de vous une démocratie qui défend le droit international.

Vous ne serez plus qu’un autre État voyou, doté de meilleures relations publiques.

source : Gordon Dimmack via Spirit of Free Speech

Crowdbunker : “Les Pires Charlatans sont chez Big Pharma!” | avec le Dr. Amine UMLILl et Idriss ABERKANE

UNE EMISSION EXCEPTIONNELLE  PLEINE DE BON SENS ET DE CLARTE sur la folie du système actuel où la loi du libre consentement éclairé n’est absolument pas respectée avec les vaxxins et comment les médecins ont été mis au service des autorités, comme avec Hitler où la loi disait « votre corps appartient à l’Etat ».

Son livre : Vaccin contre la Covid19 : le recul du charlatanisme

On retrouve de l’ARNm trois ans après l’injection…contrairement aux dires de ceux qui prétendent parler de « science » alors qu’ils ne diffusent que des mensonges !

La présence d’anticorps n’est pas liée à une protection contre la maladie !

Le vaccin  antigrippe est inefficace.

Il faut que les gens connaissent leurs droits et puissent demander

-quel est le bénéfice réel  de ce médicament ou vaxxin ?

-quels sont les effets secondaires, à court et à long terme ?

Le médecin doit, selon la loi, répondre. Et le patient doit pouvoir choisir !

Site NHDEUM.COM présente la lettre d’information  du docteur UMLIL.

Idriss suggère aux pays africains de demander le docteur UMLIL comme consultant-expert !

Note : Cette histoire vous est-offerte par le site « Bonheur-Viral » de « Alain Xavier ».
« Le devoir inattendu : Leçon d’une petite fille »

Le vieux professeur Dubois entra dans la classe, ses chaussures de cuir cirées résonnant sur le parquet. Ses cheveux blancs, rares et ébouriffés, faisaient écho au désordre sur son bureau. Il tenait en main une liste jaunie, une copie de celle qu’il avait demandée à ses élèves une semaine plus tôt : « Les 7 Merveilles du Monde ».

Le silence pesait lourdement dans l’air, un silence de malaise. Dubois le brisa. « Je vous avais demandé de lister les 7 merveilles. La plupart d’entre vous ont mentionné les pyramides d’Égypte, le Taj Mahal, la Grande Muraille de Chine… » Il fit une pause, ses yeux s’attardant sur l’élève assise au premier rang, les mains serrées sur ses genoux. C’était Lisa, une petite fille d’une timidité presque douloureuse. « …Mais une élève n’a rien rendu. »

Le regard de tous se posa sur Lisa. Elle baissa la tête, ses joues devenant écarlates. Dubois, d’une voix plus douce, l’invita à parler. « Lisa, j’ai vu que tu n’as pas rendu ton devoir. Y a-t-il un problème ? »

Lisa leva doucement les yeux. « C’est juste… je n’ai pas pu en choisir sept, monsieur. Il y en a tellement. »

Le professeur lui tendit la main, une feuille de papier vierge. « Alors, aide-nous à comprendre. Quelle est la première que tu as trouvée ? »

La petite fille prit une grande inspiration, puis, d’une voix claire, elle commença : « J’ai d’abord pensé aux grands monuments, comme vous. Mais je me suis dit qu’ils n’étaient pas toujours là. Un jour, la grande muraille va s’écrouler. Les pyramides aussi. Alors je me suis demandée, qu’est-ce qui est merveilleux, et qui ne partira jamais ? »

Le silence dans la classe devint total. Même la mouche qui volait depuis le début du cours semblait avoir arrêté de bourdonner.

« La première merveille, » reprit Lisa, « c’est de pouvoir parler. De pouvoir dire à quelqu’un qu’on l’aime. Ou juste demander comment il va. »

Elle marqua une nouvelle pause, sa main se posant sur son cœur.

« La deuxième… c’est de pouvoir sentir. Sentir l’odeur de la pluie après l’été, de la terre qui s’humidifie. L’odeur d’une maman qui nous prend dans ses bras. »

« La troisième, c’est de pouvoir écouter. Écouter le chant des oiseaux. Le bruit d’une voiture qui passe dans la rue. Et surtout, la voix de mon papa, quand il me raconte une histoire le soir. »

« La quatrième merveille, c’est de pouvoir voir. Les couleurs du coucher de soleil. Un ciel bleu. Le sourire de quelqu’un qui est heureux. »

Les yeux de Dubois se remplirent de larmes.

« La cinquième, c’est de pouvoir penser. De pouvoir créer des histoires, de se rappeler des choses. Ou même de juste se demander pourquoi les nuages sont là. »

« La sixième, c’est de toucher. Prendre la main de mon petit frère quand il a peur dans le noir. Ou caresser mon chat quand il ronronne. »

« Et la septième… la septième merveille, c’est de pouvoir aimer. De sentir une émotion, un sentiment très fort. Même quand on est triste. »

Un soupir collectif traversa la salle. Dubois prit la parole, d’une voix brisée par l’émotion. « Lisa… c’est la plus belle liste que j’ai jamais vue. »

Il avait enseigné pendant des dizaines d’années. Il avait vu des milliers de listes. Mais c’était la première fois qu’il se sentait aussi petit. Et qu’il était fier d’avoir été un professeur.

Il se tourna vers ses autres élèves, puis leur dit d’une voix qui résonnait d’une nouvelle conviction. « Vous avez tous noté les choses faites par des hommes. Des choses qui sont loin, qui coûtent cher. Mais Lisa, elle, a noté ce qui est en nous. Ce qui est gratuit. Ce qui ne partira jamais. »

« Alors je vous propose, mes chers élèves, de faire une chose différente. Rentrez chez vous, et faites une nouvelle liste. Non pas de merveilles, mais de choses qui, pour vous, sont merveilleuses. »

C’est ainsi qu’un vieux professeur, à travers une petite fille timide, avait appris la plus belle leçon de sa vie.

JOE DISPENZA

L’année du « drame », Joe Dispenza avait 23 ans. Il venait tout juste d’ouvrir son cabinet de chiropracteur.

Mais ce jour-là, en 1986, sa vie prit un tournant radical :

«En Californie du Sud, par une journée ensoleillée d’avril, j’ai été renversé par un SUV lors du triathlon de Palm Springs auquel je participais. »

La violence du choc l’a placé dans un état critique.

Non seulement il avait 6 vertèbres brisées, mais les vertèbres de sa colonne vertébrale s’étaient comprimées, et des fragments osseux menaçaient sa moelle épinière.

Pour ses médecins, il fallait faire une lourde opération chirurgicale : c’était sa seule chance de pouvoir espérer remarcher un jour.

Dans tous les cas, il resterait handicapé à vie, avec des douleurs chroniques jusqu’à la fin de ses jours.

Joe Dispenza demanda alors d’autres avis médicaux. Tous lui dirent la même chose, et lui conseillèrent d’opérer.

Mais Joe prit une autre décision. Voici son explication :

« Je crois qu’il y a une intelligence, une conscience invisible, à l’intérieur de chacun de nous, qui est dispensatrice de vie. Elle nous soutient, nous maintient, nous protège et nous guérit à chaque instant. Elle crée presque 100 milliards de cellules spécialisées, elle veille à ce que nos cœurs battent des centaines de milliers de fois par jour, et elle peut produire chaque seconde des centaines de milliers de réactions chimiques dans une seule cellule.

Je me suis dit à l’époque que si cette intelligence était réelle et si elle possédait des capacités aussi étonnantes, je pourrais essayer de me connecter à elle »((Joe Dispenza, Le placebo, c’est vous, Ariane, 2015)).

ll faisait confiance à son esprit pour l’aider à guérir son corps.

Alors il sortit de l’hôpital et décida de se concentrer sur sa guérison, en pensée.

Il passait ses journées à focaliser son cerveau sur le moment présent. Il s’efforçait de ne ressentir ni regret du passé, ni crainte pour l’avenir.

Et il travaillait mentalement à reconstruire sa colonne vertébrale, vertèbre par vertèbre.

Il visualisait une colonne entièrement restaurée. Il se projetait, étape par étape, en train de marcher à nouveau.

Ce n’était pas facile, car d’innombrables pensées négatives venaient perturber cette démarche (qu’allait-il faire de son cabinet, allait-il rester paralysé à vie, etc.).

Mais il les écartait consciencieusement, et reprenait au début la visualisation de sa guérison.

Au bout de quelques semaines, il eut un déclic :

« Je me suis senti complet, satisfait, entier. Pour la première fois depuis mon accident, j’étais vraiment détendu et présent à la fois dans mon corps et dans mon esprit. Il n’y avait aucune rumination mentale, aucune analyse, aucune pensée, aucune obsession, comme si quelque chose s’était débloqué et une sorte de paix et de silence prévalait ».

Il continua de plus belle sa visualisation.

Et deux mois après son accident, il put se lever et marcher. Sans la moindre chirurgie, il était totalement rétabli.

Deux mois plus tard, il reprenait ses consultations en tant que chiropracteur. Et aujourd’hui, plus de 30 ans après l’accident, il n’a quasiment jamais eu de douleur au dos.

Il est devenu un thérapeute mondialement connu pour ses travaux sur les capacités de guérison de l’esprit 

 

NB :Sur YOUTUBE à Joe DISPENZA vous trouverez de nombreuses méditations en anglais et en français

 

 

 

 

 

 

 

 

Odysee : PARTIES DE CHASSES A L’ENFANTS ET MEURTRES SACRIFICIELS ORGANISÉ PAR LES FAMILLES ROYALES ET LE VATICAN.

La pédocriminalité et le satanisme des élites de plus en plus mis en lumière

Sur le même sujet :

ODYSEE /LE CULTE DES MÉDECINES (CHAPITRE 4)

Sur facebook

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“EXCLUSIVITÉ MONDIALE : LA RUSSIE INTERCEPTE UNE MÉGA-CARGAISON D’ADRÉNOCHROME EN PROVENANCE D’ISRAËL — « LE SANG DE 10 000 ENFANTS » DESTINÉ À HOLLYWOOD. 8 août 2025

Les forces russes saisissent la plus grande cargaison d’adrénochrome de l’histoire à la base navale de Tartous, en Syrie. Selon les services de renseignement, la cargaison – présentée comme de l’aide humanitaire – a été raffinée à partir du sang de 10 000 enfants et était destinée directement à Hollywood.

L’INTERCEPTION QUI A CHOQUÉ LE KREMLIN

Selon des informations russes divulguées , un navire battant pavillon israélien transportant la plus grande cargaison d’ adrénochrome jamais enregistrée dans l’histoire moderne a été intercepté à la base navale de Tartous en Syrie . 

Les forces navales russes, agissant sur la base d’une information de la Force opérationnelle Adrénochrome du Kremlin , sont intervenues sous le couvert de l’obscurité, ont abordé le navire et sécurisé la cargaison avant qu’elle ne puisse s’infiltrer dans les eaux contrôlées par l’OTAN.

Destination : Hollywood, États-Unis — le cœur battant de l’ élite du divertissement, dont on dit depuis longtemps qu’elle a une demande insatiable pour ce produit chimique.

Nom de code : « Opération Veine Noire » — une mission planifiée depuis des mois, qui consiste à suivre la cargaison à travers la Méditerranée.

« UNE AIDE HUMANITAIRE » QUI ÉTAIT TOUT SAUF

Les conteneurs saisis n’étaient pas des boîtes de médicaments ou de fournitures de secours. En revanche, les agents ont découvert :

Cryo-bidons scellés — de qualité industrielle, conçus pour préserver le biomatériau à des températures inférieures à zéro.

Unités de stockage frigorifique de qualité militaire , du type utilisé pour transporter des greffes d’organes à travers les zones de combat.

Des flacons avec des codes de série , reliés à des hôpitaux clandestins opérant dans des zones de guerre — des établissements connus pour faire disparaître des enfants sans laisser de traces.

Chaque code fait désormais l’objet d’une enquête médico-légale menée par les équipes de renseignement russes, qui recoupent les rapports de personnes disparues provenant de plusieurs régions de conflit.

LA PISTE DE SANG : UKRAINE, SYRIE, GAZA

Les premières estimations des analystes du Kremlin suggèrent que le lot intercepté a été raffiné à partir du sang d’au moins 10 000 enfants . Les victimes, selon certaines sources, auraient été prélevées dans les régions les plus chaotiques du globe :

Ukraine — au milieu du brouillard de la guerre, les couloirs humanitaires deviennent des terrains de chasse.

Syrie — camps de réfugiés et orphelinats, privés de toute surveillance.

Gaza — un territoire assiégé, où les disparitions d’enfants sont signalées mais font rarement l’objet d’une enquête.

Des sources de sécurité russes décrivent cette logistique comme une extraction industrialisée , un système perfectionné pour récolter du sang dans des régions instables, le raffiner dans des laboratoires secrets et le canaliser vers les marchés occidentaux d’élite.

LE GROUPE DE TRAVAIL DE POUTINE S’INSTALLE

Quelques heures après l’opération, le président Vladimir Poutine a été personnellement informé par sa Task Force Adrenochrome , une unité spécialisée opérant sous l’égide du Service fédéral de sécurité russe (FSB).

Des ordres ont été émis pour sécuriser toutes les preuves , y compris les manifestes d’expédition numériques, les communications cryptées et les pistes financières.

Selon certaines informations, le groupe de travail préparerait une divulgation publique pour exposer le réseau, impliquant potentiellement des personnalités de premier plan d’Hollywood, de la finance et de la politique.

Les médias d’État russes laissent entendre que « des noms seront cités » , provoquant une onde de choc au sein de l’élite mondiale.

LA CONNEXION HOLLYWOODIENNE

Pendant des années, les rumeurs sur l’engouement d’Hollywood pour l’adrénochrome ont été balayées du revers de la main, considérées comme des théories du complot. Pourtant, le port de destination de cette cargaison – le port de Los Angeles – soulève des questions directes quant à l’identité des destinataires.

Les coursiers privés et les sociétés écrans servent souvent d’intermédiaires pour protéger les acheteurs finaux.

Les fêtes d’élite et les « soins de bien-être » sont les couvertures aseptisées d’une chaîne d’approvisionnement enracinée dans une horreur inimaginable.

LE PLUS GRAND BUSTE DE L’HISTOIRE

Les services de renseignement russes qualifient cette saisie d’adrénochrome de la plus grande jamais enregistrée , non seulement en termes de volume, mais aussi en termes de profondeur du réseau qu’elle révèle.

Implication multinationale : Israël comme point d’expédition, la Syrie comme site d’interception, Hollywood comme destination finale.

Dissimulation sophistiquée : cargaison déguisée en « aide humanitaire médicale » pour contourner la surveillance internationale.

Retombées politiques : des tensions diplomatiques potentielles alors que le Kremlin se prépare à confronter les gouvernements occidentaux avec des preuves tangibles.

VERDICT FINAL : L’opération de Tartous est bien plus qu’une simple opération : c’est une véritable décapitation contre l’une des industries mondiales les plus obscures qui soient. 

Si le Kremlin met sa menace à exécution et révèle l’étendue du réseau, les répercussions pourraient s’étendre de Tel-Aviv à Los Angeles, dévoilant une chaîne d’approvisionnement bâtie sur le sang des plus vulnérables de la planète.

Via Filiheegata Souveraine “

 

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SUR FACEBOOK !

Poutine a exigé l’extradition de Bill Gates et Anthony Fauci pour crimes contre l’humanité, et il ne bluffe pas. La Russie détient désormais des renseignements irréfutables prouvant que la COVID-19 a été conçue comme une arme, et non comme une erreur. Le monde est à la croisée des chemins : livrer les monstres qui ont semé la mort et le contrôle, ou voir le château de cartes s’effondrer.

Ce n’est pas de la diplomatie c’est la guerre…

D’après des dossiers du GRU fuités au sein du Kremlin, Gates et Fauci ont été les principaux architectes d’une opération mondiale de dépopulation et de contrôle. Expériences de gain de fonction. Agents pathogènes créés en laboratoire. Confinements planifiés. Passeports vaccinaux. Tout était scénarisé à l’avance, exécuté avec précision et camouflé par des mensonges médiatiques et de la « philanthropie ».

La vérité éclate : Gates a injecté des millions dans des projets liés à Wuhan. Fauci a autorisé des recherches secrètes sur les armes biologiques. Les gouvernements occidentaux et les géants pharmaceutiques en ont profité pendant que l’humanité souffrait. Et maintenant, la Russie veut du sang.

EXTRADITION. PROCÈS. PEINE DE MORT.

Selon certaines sources, Poutine a fait de l’extradition une exigence non négociable des négociations de paix en Ukraine. Sans Gates, pas d’accord. Gates et Fauci sont les pions sacrificiels, et s’ils ne sont pas livrés, Poutine en rajoutera. L’Occident est paralysé. S’ils obtempèrent, toute la cabale s’effondre. S’ils refusent, ils exposent leur complicité au monde entier.

C’est plus qu’une partie d’échecs géopolitique. C’est le déclencheur qui pourrait faire s’effondrer l’ordre mondialiste tout entier.

Le masque de Gates est tombé. Sa machine médiatique s’effondre. Il est passé du statut de « sauveur de la technologie » au statut de criminel mondial le plus recherché. S’il est extradé vers Moscou, il ne sera pas secouru par les juges de l’État profond. Il devra faire face à une véritable justice. Accusations ? Bioterrorisme. Génocide. Meurtre de masse. Peine ? Mort.

Les mondialistes sont acculés. La dissimulation se désintègre. Leur dernier coup ? Destruction totale pour éviter de rendre des comptes.

L’Occident doit choisir : la Vérité ou l’Oubli. La Justice ou l’esclavage éternel.

Poutine vient d’allumer la mèche.

Source @NewAssange

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Le scandale des feux de forêt en France

Salik de Bonnault 

 Ils brûlent la France pour imposer leur nouveau monde – YouTube

“Le green deal : une opération financière, ….  Notre patrimoine, notre identité, notre histoire, deviennent des obstacles à éliminer. Voilà le vrai danger, voilà la vraie urgence…
Mais surtout n’oubliez pas on est clairement pas au bout de nos surprises.

https://www.youtube.com/watch?v=CJa0fa2sF-U

Août 8, 2025 

Pendant que la France s’embrase, nos dirigeants restent immobiles. Seulement 14 Canadairs pour un pays en feu… mais 90 blindés livrés pour mater la révolte. Ils n’éteignent pas les incendies : ils les utilisent. Pour arracher les vignes, abattre les troupeaux, raser les forêts… Et installer leur projet mondialiste : une France sans paysans, sans racines, gérée par des algorithmes. Ce n’est pas un hasard. Ce n’est pas une crise. C’est une stratégie de remplacement. Et ceux qui détruisent notre patrimoine… sont déjà au pouvoir. 

Quand la France brûle, Macron plante des panneaux solaires, ce n’est pas une série de malchance, c’est une stratégie, le feu qu’un outil. Il dégage, il efface, il prépare le terrain.

Et sur ce terrain dévasté, on installe une autre France. Une France sans paysans, sans éleveurs, sans vigneron, une France de serveurs, d’objets connectés et de dépendance énergétique.

Mais avant de construire ce monde-là, il faut détruire l’ancien.

On ne modernise pas un pays enraciné, on le déracine.

On commence par la vigne.

En 2023, l’État propose une prime à l’arrachage, pas pour relancer, pour mettre fin. On appelle ça la réduction définitive du potentiel viticole. On offre de l’argent pour arracher mais surtout on interdit de replanter. C’est le signal. Le vin français, ce pilier culturel et économique devient une variable d’ajustement. La main de l’État n’aide pas les vignerons. Elle les paye pour abandonner. Une fois les ceps arrachées, les terres deviennent vides et ces terres vides sont alors convoitées. Non pas pour du maraîcher, non pas pour de l’agroécologie, mais pour du photovoltaïque.

Des multinationales installent des champs de panneaux sur les cadavres de nos vignes, des mégawatts. C’est l’écologie selon Macron. Remplacer les hectares de biodiversité et d’histoire par des champs de silicium.

On ne soutient pas le vin français mais on importe des cubis d’Espagne, des bouteilles du Chili, des vins synthétiques des États-Unis. La viticulture française est vendue à la découpe.

Août 2025, l’Aude s’embrase.

17 000 hectares partis en fumée. Une femme meurt, des pompiers blessés. Et où est l’état ? Absent. 14 canadairs pour tout un pays. Mais c’est une blague. Et encore, ce sont des modèles anciens, parfois cloués au sol pour maintenance.

Macron avait promis quatre appareils supplémentaires, il en a commandé deux et les crédits votés pour la flotte aérienne ont été supprimés en douce par décret.

En parallèle, 80 véhicules blindés Centaure sont livrés à la gendarmerie pour réprimer les manifestations. Les feux de forêt, non. Les feux sociaux, oui.

Ce n’est pas une négligence, c’est une hiérarchie des priorités. Ils laissent cramer les forêts, mais ils sont prêts à écraser la moindre flamme de colère.

Et dans l’Aude, hasard étrange, le feu ravage dans une zone promise à une centrale solaire. Un projet bloqué par les riverains, ralenti par les recours. Une fois le feu passé, plus d’obstacles. Le terrain est libre. La végétation n’existe plus.

Comme par enchantement, les travaux peuvent commencer. Le feu devient un bulldozer. Chaque incendie devient une opportunité. Une forêt qui brûle, ce sont des terres libérées de contraintes agricoles, des sols désencombrés, moins de haie, moins de biodiversité, donc moins de frein au projet industriel.

Les investisseurs arrivent après les flammes comme des vautours sur un champ de bataille, des panneaux solaires, des éoliennes, des centres logistiques.

L’incendie devient la première étape d’un chantier.

 D’ailleurs, les discours sur la sobriété, il y a une réalité, la marchandisation du vide. Les terres agricoles deviennent des déserts énergétiques stériles, gérés depuis des tours à Paris ou à Bruxelles.

Les paysans eux, sont expulsés du paysage, remplacés par des techniciens sous-payés. Le Green Deal est une opération immobilière.

Pendant que les forêts s’effacent, nos éleveurs crient dans le vide.

Une épidémie nommée DNC (Dermatose nodulaire contagieuse) dont personne n’avait entendu parler devient le prétexte pour abattre des cheptels entiers. Même quand les animaux ne présentent aucun symptômes, même quand les tests sont négatifs. Ordre et donné. Euthanasie totale. Dans le Cantal, la Savoie, les Alpes, des éleveurs assistent à l’abattage de leurs vaches, de leur veau, de leur vie. Une femme raconte avoir nourri ses veaux au biberon le matin pour les voir mourir l’après-midi. Aucun recours, aucune pitié. C’est la politique du vide.

Chaque troupeau supprimé ouvre la voie à autre chose. Importation sud-américaine, viande synthétique, solution alternative promue par des start-ups financés par Bill Gates ou Black Rock. Et les fermes, elles deviennent quoi ? Soit des friches, soit des terrains vendus pour d’autres usages solaires, logistiques, technologiques. L’animal vivant gêne. La nourriture connectée rassure. La vache meurt, le labo prospère.

Dans ce pays, on déshabille, les moyens de secours s’effondrent mais les moyens de contrôle explosent.

Pas d’argent pour les canadairs, mais des milliards pour l’armement, pour l’Ukraine, pour les intérêts de l’OTAN.

Pas d’aide réelle pour les éleveurs mais des chèques pour Amazon, Pfizer ou Microsoft.

On privatise les profits, on nationalise les pertes. Les terres agricoles partent à l’étranger. Les subventions alimentent des programmes numériques absurdes.

Les ZPAC conditionnent les exploitants à devenir dépendants. On appelle ça modernisation.

En réalité, c’est un asservissement.

Chaque feu de forêt et une justification pour accélérer la mutation ont préparé une agriculture sans hommes, sans terre, sans saison. Et ceux qui refusent ce modèle sont traités d’extrémistes, d’antiprogrès. Ils sont ignorés, jusqu’au jour où ils se révoltent.

Pendant ce temps à Paris, la caste rit.

Macron, Bayrou, Pannier-Runacher, von der Leyen, tous viennent réciter leur élément de langage. Réchauffement climatique, transition écologique, adaptation des territoires, mais jamais un mot sur la responsabilité, jamais un mot sur leur décision budgétaire, sur les suppressions des postes, soumission à Bruxelles.

Ils parlent de résilience pendant que les campagnes crèvent. Ils évoquent la planification écologique mais planifient surtout la désintégration de ce qui fonctionne encore. Élevage, viticulture, artisanat.

Ils parlent d’avenir mais ils vivent hors sol.

Leurs enfants ne seront jamais des éleveurs.

Leurs vacances ne seront jamais dans un camping sinistré de l’Aude.

Leur nourriture, ce sera du bio hors sol importé en jet.

Ce ne sont pas des dirigeants, ce sont des démolisseurs. Et ce n’est pas un danger venu de l’extérieur. Ce sont pas des puissants ennemis qui rasent nos fermes, qui étranglent nos vignerons, qui abandonnent nos pompiers. Ce sont ceux qui sont déjà à l’intérieur, au cœur du pouvoir. Ceux qui parlent de progrès mais détruisent nos racines.

Ceux qui pour les racines, la transmission, l’attachement à leur terme ne compte pas. Seuls les chiffres comptent leur projet mondialistes, leur agenda technocratique, leurs intérêts financiers.

Ils ne voient pas la France comme une terre vivante mais comme un marché à optimiser.

Chaque hectare, chaque forêt, chaque animal devient une ligne comptable et notre patrimoine, notre identité, notre histoire devient des obstacles à éliminer. Voilà le vrai danger. Voilà la vraie urgence.

Mais surtout n’oubliez pas, on est clairement pas au bout de nos surprises.

 

B.FULFORD ( prepareforchange)

L’Université McMaster du Canada développe actuellement un “vaccin inhalé contre la COVID” Bientôt, il sera simplement pulvérisé dans l’air depuis les avions au-dessus… si ce n’est pas déjà fait.

partie des 21 % de personnes profondément endoctrinées qui pensent que les vaccins sont destinés à protéger les gens, alors ce titre est pour vous :

“Les experts se demandent pourquoi Haïti a l’un des taux de COVID-19 les plus bas

Taux de mortalité.”

https://atlantablackstar.com/2021/05/11/experts-puzzled-by-why-haiti-has-one-of-the-lowest-covid-19-death-rates-in-the-world-despite-administering-zero-vaccine-doses-we-dont-know/

Réponse: Personne en Haïti n’a reçu une seule dose d’un vaccin contre le coronavirus.

En France, Nestlé Waters est poursuivi pour stockage de déchets et entretien de quatre décharges illégales à Contrexéville, They-sous-Montfort, Saint-Ouen-Les-Parey et Crainvilliers, représentant un volume cumulé de 473 700 mètres cubes.

Nestlé est poursuivi pour ayant permis“particules microplastiques” à s’écouler dans les eaux de surface et souterraines à concentrations “fabrication toute vie aquatique impossible et ont des effets nocifs sur santé, flore et faune. “ 

L’autre chose contre laquelle les Français et d’autres mettent en garde, c’est que Nestlé prend furtivement le contrôle de l’eau potable mondiale’. Chaque fois qu’ils “privatisent” l’eau, le prix augmente de 2 à 5 fois et l’entreprise prend le contrôle de l’eau, cette source de vie la plus fondamentale.

https://www.lemonde.fr/societe/article/2025/08/09/des-taux-incommensurables-de-microplastiques-retrouves-dans-les-eaux-contrex-et-hepar-revele-mediapart_6627637_3224.html

N’oubliez pas que le directeur de Nestlé a déclaré que l’eau n’était pas un droit humain fondamental.

En outre, Israël et les États-Unis sont les seuls pays à avoir voté contre une résolution de l’ONU qualifiant un approvisionnement alimentaire adéquat de droit humain.

Au lieu de cela, ils essaient de nous nourrir de cadavres. Ils liquéfient des cadavres humains pour les utiliser comme engrais. Ils essaient d’amener vos enfants à manger de la viande synthétique fabriquée à partir de cellules fœtales avortées et de cellules souches humaines. De plus, ils le font ouvertement au nom de “la durabilité” au nom des malades et des orwelliens.

Ce n’est pas seulement une théorie. Elle a déjà été incorporée dans le droit américain, légalisée à Washington, en Californie et dans l’Oregon, et se propage rapidement. Ils appellent cela “réduction organique naturelle.” C’est un nom apparemment inoffensif qui transforme un corps en compost. Le corps est broyé, liquéfié, traité chimiquement et dispersé sur les cultures que nous mangeons. (Pour plus d’informations, visitez gazetteller.com.)

Et qui, selon vous, a financé cette politique, a écrit “science” et a fait pression sur les législateurs ?

Bill Gates.

La Fondation Gates.

Aujourd’hui,plus que 30 millions d’acres des terres agricoles américaines le appartiennentt aux marionnettistes mondialistes.     

La même personne qui fait du profit enpousser les injections de poison dans le monde etARNmLa technologie et la paralysie de la fertilité supervisent désormais les activités de transformation des personnes décédées en matériaux agricoles —et faire semblant de sauver la planète en faisant cela.    

Regardons lemodèle: 

Et maintenant,en 2025, nous assistons à une fusion complète de la nourriture, de la mort et du contrôle exercé par l’élite. 

Ce n’est pas de la nourriture. Il s’agit d’une dépravation ritualisée, d’un régime alimentaire planifié, d’une guerre spirituelle et d’une occupation biologique de la chaîne alimentaire.

Il ne s’agit pas seulement d’une question alimentaire. C’est une question de domination rituelle.

Au Venezuela, Hugo Chávez, puis Maduro, ont retiré le pétrole des mains de multinationales étrangères, l’ont utilisé pour financer des programmes sociaux et ont construit des alliances avec des pays comme la Chine, la Russie et l’Iran, bien en dehors du contrôle américain. C’est le vrai “crime” ici.

https://x.com/mteuzi/status/1953617596013850743?s=46

Serait-ce la raison pour laquelle les États-Unis ont désormais mis une prime de 50 millions de dollars sur le président vénézuélien Nicolas Maduro ? Maduro dit:

“‘Hitler était une construction, un monstre créé par les élites occidentales… l’appareil militaire criminel de l’État d’Israël bénéficie également des mêmes encouragements, du même financement et du même soutien. C’est pourquoi nous disons au peuple juif : c’est vous qui devez mettre fin à ce massacre.” Au fait, Maduro est juif.

De SALIK DE BONNAULT

Si vous n’avez pas encore été « annulé »…

Qu’attendez-vous exactement ?

Ou peut-être que la meilleure question est…

De quoi avez-vous encore peur ?

Avant de vous expliquer où je veux en venir…

Laissez-moi vous raconter une histoire.

Une histoire qui illustre le choix auquel nous devons tous faire face un jour ou l’autre.

Dans les profondeurs d’une prison médiévale…

Trois prisonniers sont enchaînés à un mur de pierre et risquent d’être exécutés.

L’un après l’autre…

Chaque homme est appelé par le bourreau et se voit proposer trois options.

Le peloton d’exécution.

La pendaison.

La Porte Noire.

La Porte Noire reste un mystère entouré de peur.

Les rumeurs parmi les prisonniers font état de tortures…

De folie… et de souffrances pires que la mort.

Le bourreau s’approche du premier prisonnier.

« Comment voulez-vous mourir ? »

« La pendaison », répond l’homme immédiatement.

Le bourreau l’emmène.

Il revient chercher le deuxième prisonnier.

« Comment choisissez-vous de mourir ? »

L’homme se crispe.

« Le peloton d’exécution. »

Quelques instants plus tard, le bruit des coups de feu résonne dans les couloirs de la prison.

Enfin, le bourreau fait face au troisième prisonnier.

« Comment choisissez-vous de mourir ? »

Le regard de l’homme se porte sur la Porte Noire.

Il vacille.

Pendant un instant… il semble prêt à la choisir.

Mais la terreur l’envahit.

« Pendez-moi », murmure-t-il.

Le bourreau le guide vers la potence.

Alors que la corde est placée autour de son cou…

Le bourreau demande…

« Un dernier mot ? »

Le prisonnier déglutit difficilement.

« Oui… avant de mourir… dites-moi ce qu’il y a derrière la Porte Noire ? »

Le bourreau s’arrête… puis sourit.

« La liberté. »

La leçon ?

Fréquemment…

La voie contre laquelle nous sommes mis en garde est précisément celle qui mène à la libération.

La culture de l’annulation est la Porte Noire.

La plupart des gens tremblent devant elle.

Mais tous ceux que je connais qui ont trouvé le courage de la franchir…

En sont ressortis plus libérés qu’ils ne l’ont jamais été.

Au cours des cinq dernières années…

J’ai posé la même question à tous les médecins dissidents…

Chercheur… et diseur de vérité à la fin de nos conversations…

« Regrettez-vous d’avoir parlé ? »

Sans pause… ils répondent tous…

« Non ».

En fait…

La majorité a décrit ce qui a été ressenti comme un moment spirituel…

Pour la première fois de leur existence… ils expérimentaient le genre de libération qui ne vient qu’en servant la vérité.

Je comprends parfaitement.

Le moment où j’ai cessé de jouer la sécurité a été le moment où j’ai été rempli d’une paix que je n’avais jamais connue.

C’est Jésus-Christ qui a déclaré…

« Vous connaîtrez la vérité… et la vérité vous libérera. »

Ce n’est pas qu’une simple écriture.

C’est un plan de libération.

Je vous le redemande donc…

De quoi avez-vous encore peur ?

De perdre votre carrière ?

De perdre des clients ?

De perdre vos relations ?

Voici ce que j’ai découvert en acceptant de sacrifier tout cela.

C’est là que le destin se révèle.

Lorsque vous êtes véritablement au service des gens…

Servir la vérité…

Servir la vie elle-même…

Quelque chose de miraculeux se produit.

Les forces protectrices de la création interviennent.

C’est la manière douce de dire…

Dieu apparaît quand vous apparaissez.

Les mauvais emplois sont remplacés par de meilleurs emplois.

Les mauvais clients sont remplacés par de bons clients.

Les amitiés superficielles sont remplacées par des amitiés sincères.

C’est ce qui arrive lorsque vous choisissez la vérité plutôt que la sécurité.

C’est ce qui vous attend au-delà de la Porte Noire.

Oui…

Se faire annuler est inconfortable.

Mais ce n’est que temporaire.

Restez engagé… et l’inconfort s’estompera.

Il sera remplacé par la force tranquille de savoir que vous servez quelque chose de bien plus grand que vous.

Car la seule existence qui vaille la peine d’être vécue est une existence vécue dans un but précis.

Êtes-vous prêt ?

Bien sûr que vous l’êtes.

Vous êtes né prêt.

Le moment est venu.

Le monde a besoin de votre voix.

De vos idées.

De votre vérité sans filtre.

Aujourd’hui plus que jamais.

Soyez courageux.

CROWDBUNKER

Comment les Mondialistes nous Manipulent à travers nos Émotions ! – Entretien avec Philippe Bobola (NEXUS)

MATIERE=ENERGIE

Energie du temps=énergie

Angoisse, colère, tristesse et peur sont des énergies négatives, rapides, liées au futur, alors que le passé est énergies lentes, faites de joie et d’amour. Les peuples racines sont l’énergie du passé, alors les mondialistes veulent les supprimer. Soros et les autres partisans d’une société sans frontières veulent l’uniformité planétaire alors qu’elles sont comme les membranes d’une cellule, utiles, et les transhumanistes prônent l’immortalité et tous les humains soumis à leur domination…C’est une bataille du temps mais l’énergie du passé est  plus forte, celle des temps plus lents.

Les particules, une fois observées, changent leur passé et dans la physique quantique on peut dire que le passé peut être modifié…Donc avec une émotion positive on peut sortir de la colère, peurs et autres. Quand un enfant de 5 ans pleure parce qu’on lui a pris son bonbon, il vit son émotion avec son corps mais on fait tout pour bloquer son expression d’où peur, culpabilité, tristesse, honte et intellectualisation…Du coup le corps garde la mémoire du blocage. Quand on revit l’événement traumatisant on se libère ! On retrouve ainsi joie, amour et bienveillance…

 

Ca devient très grave avec ces politiques.

La gestion du monde devrait être confiée à des personnes évoluées et compétentes et devenir « orientée projets » et non « corrompue à outrance avec des besoins de reconnaissance et rivalités entre partis ».

 

 La législation de l’Union européenne interdit aux apiculteurs de prétendre que le miel est bon pour la santé. 

 

Cette mesure s’inscrit dans la législation européenne qui interdit les « allégations médicales » dans l’industrie alimentaire. Désormais, on ne peut affirmer qu’un aliment est sain que s’il est « prouvé scientifiquement ». Le fait que ces « preuves scientifiques » se révèlent souvent incorrectes et sponsorisées par l’industrie pharmaceutique est un sujet que nous développerons une autre fois. »

 

L’apiculteur Gerard van de Braak, propriétaire de honingonline.nl, a été contraint par l’Autorité néerlandaise de sécurité des produits alimentaires et de consommation (NVWA) de supprimer toutes les informations relatives au miel et à la santé de son site web. « Même si un client me demande si le miel est bon pour la santé, je n’ai pas le droit de le confirmer », déclare-t-il. Cette mesure découle d’une législation européenne qui interdit presque totalement les « allégations médicales » dans le secteur alimentaire. Selon l’expert Bert Schwitters, ces règles européennes favorisent les grands groupes agroalimentaires et pharmaceutiques tout en entraînant une censure des petits acteurs. Van de Braak a déjà subi une perte de chiffre d’affaires significative après avoir modifié son site web.

 

Reprenez quelques doses de vaccin, délectez-vous de viande et de poisson artificiels, d’un peu de farine d’insectes et de lait de cafard : c’est parfait pour votre santé selon la « merveilleuse », « bienveillante » et soucieuse de votre santé UE ! 

https://deanderekrant.nl/honingverkoper-mag-niet-zeggen-dat-honing-goed-is-voor-de-gezondhei

Ces informations vous sont présentées par :

• Christian Tal SCHALLER
• Johanne RAZANAMAHAY-SCHALLER
• Gwen CLAPPE

👉👉👉  PROTECTIONS EFFICACES CONTRE LA 5G ET L’ÉLECTROSMOG ⚠️⚡️🧨