Chers amis,

Quelle époque passionnante nous vivons !

A chaque instant nous avons le choix : écouter les medias et voir tout ce qui va mal dans le monde ou écouter notre voix intérieure qui nous invite à apprécier la vie, dans la gratitude et l’émerveillement.

Voici comment j’exprime cela dans la conclusion du livre

L’UNIVERS DES C HAMANES

Une vielle indienne, Thundercloud, a déclaré à Rachel et Jean Piere Cartier (dans “Les gardiens de la Terre”, un magnifique livre consacré à la philosophie amérindienne) :

« L’humanité est prodigieusement créatrice. Nous avons créé une quantité fantastique d’ordures mais nous n’avons pas été assez créatifs pour savoir que faire avec elles. Pourquoi ne pas les jeter dans l’océan jusqu’à ce que nous soyons capables de les lancer dans l’espace ? La place ne manque pas dans la mer. Alors jetons une petite tonne par ici, une petite tonne par là… Nous nous ferons des soucis l’année prochaine à propos de toutes ces tonnes… Nous commençons à nous inquiéter lorsque nos plages sont sales quand viennent les vacances, mais nous ne voulons pas savoir que les créatures de la mer meurent par millions parce que nous avons empoisonné leurs demeures. Nous ne cessons de détruire une chaîne alimentaire très complexe sans nous rendre compte que nous sommes au bout de cette chaîne ! Toute vie est sacrée et précieuse. Qu’il s’agisse de celle des animaux à deux ou quatre jambes, de celle des oiseaux, des insectes, des créatures de la mer, du peuple des arbres ou des rochers… Il fut un temps où l’homme était un avec tous les animaux et avec toute la vie. C’était le cercle sacré de l’homme. Il a été brisé depuis longtemps par notre convoitise et voilà pourquoi il devient difficile de vivre sur notre planète ».

Dans cette période critique de l’histoire humaine, il ne s’agit pas de baisser les bras et de se laisser aller au découragement, au fatalisme et à la passivité. Il s’agit d’œuvrer pour conscientiser chaque être humain afin qu’il réalise qu’il n’est jamais seul et que ses actions, ses paroles, ses émotions et ses pensées sont la contribution qu’il apporte à la collectivité et sont aussi la source de son bonheur ou de son malheur individuel. Celui qui voit la vie en noir fait grossir le nuage du bas astral et son cortège de souffrances, d’ignorance spirituelle, de peurs et de maladies. Celui qui se relie à son corps de lumière et laisse couler à travers lui l’amour, la paix, la joie et la conscience universelle contribue à la guérison planétaire et à la spiritualisation de l’humanité, cette fantastique aventure dans laquelle nous nous sommes tous lancés, en suivant la piste tracée par les chamanes du passé. Comme l’enfant prodigue de la parabole de Jésus, nous pouvons cesser de nous battre avec les cochons pour nous nourrir et retourner vers les festins de notre Père céleste.

Comment avons-nous pu vivre sans réaliser que la prodigieuse intelligence qui a su comment encapsuler toute l’information génétique du corps dans le DNA de chacune de nos cellules devait bien se trouver quelque part, au-delà de la bulle de l’illusion historique ?

Partout où nous portons notre regard, à la surface de la terre, dans l’extraordinaire subtilité de nos mécanismes physiologiques, dans la danse prodigieuse des planètes et des étoiles, dans l’infiniment grand comme dans l’infiniment petit, partout nous voyons opérer une intelligence qui est des millions de fois plus grande que celle que nous apportons à la conduite des affaires humaines.

Historiquement, nous avons oublié que nous avions le choix de centrer notre identité soit sur la conscience limitée de notre individualité soit sur le champ d’énergie de l’Etre Éternel qui lui donne naissance. Nous avons oublié que nous étions les enfants de la Terre. Nous avons écouté les prêtres de la religion chrétienne qui ont conçu le monde comme un cadre figé et inanimé recevant l’homme, seul être vivant capable de transformer la nature à sa guise.

Le christianisme, religion du mépris de la Nature, a réussi à supprimer de nos consciences tout respect de la terre nourricière. Nous nous sommes mis à l’exploiter, à la polluer, à massacrer les animaux nos frères et à faire disparaître les forêts en anéantissant chaque jour une superficie égale à la ville de New-York !

Par le chamanisme universel, nous pouvons renaître, c’est-à-dire nous éveiller à la conscience de notre nature profonde et retrouver ainsi la même motivation, le même flot de vie, la même joie de créer qui anime les particules sub-atomiques, les atomes, les molécules, les cellules, les organes, les organismes vivants, les écosystèmes des rivières, des montagnes, des forêts, des déserts, des océans, des vents, des nuages, du soleil, de la lune, des étoiles et des galaxies lointaines.

Nous entrons alors dans un monde qui n’est limité que par notre capacité à apprécier ce que nous créons. Nous ne sommes plus des créatures soumises aux caprices d’un Dieu despotique, nous devenons des co-créateurs divins, des êtres qui ne perçoivent plus seulement le monde matériel mais aussi le monde spirituel qui le sous-tend.  Nous retrouvons notre parenté avec tous ces peuples de la Nature qui ont inventé une multitude de façons de vivre en accord avec le reste de l’univers, dans une danse qui parle d’interdépendance, de réciprocité, de respect mutuel et d’émerveillement devant nos différences.

Nous comprenons que la Nature contient l’homme et que celui-ci renferme aussi la Nature au plus profond de son être. Alors, nous pouvons nous donner à l’univers autant qu’il nous est donné à chaque instant, sans peurs, sans calculs ni marchandages intellectuels.  Le plaisir de vivre dans l’instant présent, libéré de la hâte et de l’attente d’un futur toujours repoussé à demain nous redonne ce goût du bonheur que la civilisation matérialiste nous avait fait perdre.

Dans une nouvelle alliance avec la vie, nous réalisons que le “cosmos spirituel” contient tous les potentiels que nous pouvons, par notre attitude intérieure, appeler à la réalisation matérielle. Le chant de la création n’est plus une mélodie extérieure que nous entendons avec nos oreilles mais une source qui chante en nous, une source vibrante d’intelligence céleste. Avec elle, nous allons créer une nouvelle biologie sacrée, co-construite avec Dieu, une biologie consciente. Puis nous irons ensemencer les étoiles prêtes pour cette nouvelle émergence, comme la Terre l’était il y a quelques milliards d’années. La “seconde naissance du Christ” annoncée par les prophètes n’est pas la venue sur terre d’un “Jésus numéro 2” mais l’apparition de la conscience christique chez tous les êtres humains. L’ancienne chimie de la peur avait de l’effet sur la conscience collective en suivant une progression arithmétique (1, 2,3,4, etc.) alors que la nouvelle chimie de conscience spirituelle et d’amour inconditionnel qui est en train de se développer dans l’humanité, en cet “âge de l’Éveil”, suit une progression géométrique (2,4,8,16, etc.)

Un enfant, de nos jours, peut, sur l’ordinateur qu’il a reçu en cadeau de Noël, disposer de davantage d’informations que la bibliothèque du Vatican n’avait à sa disposition au temps de la Renaissance. Le même enfant peut, grâce à Internet et pour le coût d’une communication téléphonique locale, recevoir en quelques secondes des informations que le département militaire des grands pays occidentaux était incapable d’obtenir, même en plusieurs mois, lors de la deuxième guerre mondiale !

Mais la révolution de l’information n’est qu’un prélude à la révolution de la conscience, le “inner net” qui va permettre aux êtres humains de sortir des longueurs d’onde artificielles de la peur pour entrer dans les rythmes fondamentaux de la créativité universelle, le chant de la vie qui fait bondir les dauphins de vague en vague, compose les mélodies sacrées des baleines, pousse les oiseaux à créer des sons exquis, incite les arbres à pousser, encourage les fleurs à embaumer l’air de parfums suaves, donne envie aux enfants à jouer et éveille les êtres humains à leur conscience spirituelle pour qu’ils deviennent, comme Dieu, des créateurs de beauté et d’harmonie ! L’histoire créée par l’Occident est, comme l’a brillamment exprimé Jean-Patrick Costa (dans un remarquable ouvrage intitulé ” L’homme-Nature, ou l’alliance avec l’univers “) : ” une course sans fin vers un bonheur inaccessible. Conscientes de leur incapacité à pouvoir le dompter, les sociétés modernes essaient de se consoler en prétendant que l’histoire ne connaît pas de peuples heureux. Pourtant, les Indiens leur proposent une autre version des faits : seuls les peuples heureux n’ont pas d’histoire ! “. En dépassant leurs limites sociales et historiques, les hommes et les femmes du troisième millénaire sont appelés à passer de l’individuel à l’universel, de l’ego à l’âme, de la peur à l’amour, d’une société hiérarchisée où les riches exploitent les pauvres, les médecins rançonnent les malades, les chefs terrorisent les sous-chefs (et ainsi de suite jusqu’en bas de l’échelle !), à une société de collaboration, de partage, d’appréciation des différences, une société dans laquelle chacun jouera son rôle en tenant compte des autres, comme les musiciens d’un orchestre symphonique. Chaque être humain saura qu’il est un terminal du divin, sans cesse relié à l’intelligence centrale

 Nous sommes en train d’observer une véritable chamanisation de l’humanité, une redécouverte des pouvoirs de notre imagination qui nous mène au pouvoir de vivre en même temps dans le temps historique et dans le temps mythique. Peu à peu nous apprenons, comme les chamanes le font déjà, à passer aisément par le pont qui unit le monde ordinaire aux mondes subtils et à vivre confortablement dans ces deux dimensions. Pour faire face aux défis d’aujourd’hui, l’humanité a besoin de l’aide et des forces de guérison que le monde non matériel peut nous offrir.

Nous entrons dans une époque nouvelle, dans laquelle la conscience collective va faire des bonds en avant encore plus impressionnants que les progrès de la technologie du siècle écoulé. Notre propre cerveau n’est-il pas des millions de fois plus perfectionné que tous les ordinateurs que nous avons construits ? Sachant que nous n’utilisons encore que cinq à dix pour cent de nos capacités cérébrales, nous avons incontestablement un bel avenir devant nous ! Il est temps de nous délivrer des peurs et des jugements qui nous ont fait vivre en dessous de nos moyens.

Comme le disait Henri Laborit :” Les choses se contentent d’être, et c’est l’homme seul qui les dit bonnes ou mauvaises, laides ou belles, utiles ou nuisibles, et cela toujours par rapport à lui ou par rapport au groupe social auquel il appartient.”

Nous avons assez fait l’expérience du consumérisme, cette religion de la consommation de biens matériels qui a remplacé les religions institutionnalisées dans les pays modernes. Nous ne croyons plus que le progrès scientifique, médical et technique va nous apporter la santé et le bonheur. Nous constatons que notre mode de vie moderne a créé la destruction des trois quarts des surfaces de terre arable qui existaient lorsque Christophe Colomb découvrit l’Amérique. Nous réalisons que nous avons perdu l’art de vivre des peuples chamaniques qui ignorent la pauvreté, les maladies, les prisons et les hôpitaux et vivent sans détruire leur environnement.

Ces prises de conscience nous permettent d’élargir notre horizon, pour ne plus laisser les limitations du groupe social dans lequel nous avons grandi nous empêcher de devenir ce que nous sommes. Nous pouvons trouver l’équilibre entre la raison et la fantaisie, la logique et le rêve, la matière et l’esprit qui l’a créée. Nous sommes capables, comme des enfants qui ont redécouvert leur origine divine, de réenchanter le monde en honorant à chaque instant notre nature multidimensionnelle et celle de tous les êtres vivants ! Nous avons retrouvé notre pouvoir de chamane universel, comme l’exprime ce poème :

CHAMANE UNIVERSEL 

Chamane universel

Tu as traversé toutes les expériences

Dansé toutes les danses

Tu n’as pas froid aux yeux

Tu as toujours été un Dieu

Il y a longtemps tu régnais

Sur le jardin d’Eden

Tu y coulais des jours heureux

Sans honte ni douleur

Sans hypocrisie ni méchanceté

Puis un jour est venu

Où la peur est née

Par les humains fabriquée

Alors tu t’es retiré

Pour les laisser jouer

Au fond de leur cœur

Tu t’es caché

Sachant qu’un jour

Ils viendraient te chercher

Au fil des siècles

Ils se sont massacrés

Esclavagés, terrorisés, déchiquetés

En lambeaux aujourd’hui

Ils pleurent

Ils ont presque mis à mort

La terre qui les a enfantés

Mais quelques peuples isolés

Loin du bruit des “civilisés”

Ont gardé la tradition vivante

Sont restés des humains-divins

Ces peuples vivent sans polluer

Sans détruire, sans guerroyer

Ils vénèrent la Mère Terre

Et reçoivent du ciel les rêves

Qui les guident vers demain

Sans jamais se perdre

Dans les délires de pensées malades

La folie d’idéologies stériles

Les “ismes” qui divisent

Et placent les hommes en rangs serrés

Pour les pousser à s’entre-tuer

Grâce à ces peuples chamaniques

La flamme de la connaissance

N’a jamais cessé de danser

Pour maintenir sur la terre

La conscience des êtres de lumière

Le temps est venu de célébrer

Notre retour au paradis perdu

Nous avons retrouvé

Le chamane universel

Qui est en nous !

Attention ! Les informations qui suivent n’ont pas pour but de vous « saper le moral » mais de vous apporter ces éléments de réflexion libre qui manquent cruellement dans les medias officiels endoctrinés et corrompus par les magnats de la finance et du pouvoir qui font tout pour vous tuer ou vous rendre esclaves à tout jamais. J’ai une profonde compassion envers tous ces politiciens, journalistes et employés de l’OMS, sociétés, hôpitaux, administrations  et autres institutions qui, pour recevoir leur salaire en fin de mois,  sont contraints de mettre de côté leur éthique et leurs valeurs spirituelles pour devenir des servants obéissants, disciplinés, qui obéissent aux ordres plutôt qu’à leur conscience…quelle souffrance, quel drame ! Ils ont certes une vie confortable, voire luxueuse, sur le plan matériel mais ne plus pouvoir obéir aux appels de son âme, qu’est-ce que cela pourrit la vie et nous prive de toute joie profonde et sereine… Nous sommes des créateurs et, dès que nous l’oublions pour obéir à autrui, nous quittons le paradis des souverains pour entrer dans l’enfer des soumis, des victimes et des résignés, des morts-vivants !

KENNEDY ATOMISE BIG PHARMA

https://www.youtube.com/watch?v=19i5xNBRUbA

Une vidéo exceptionnelle, à  voir et à diffuser largement…

Toute l’escroquerie de la médecine pharmaceutique mise en lumière !

Soros, Gates, Arabella : Le château de cartes de la gauche s’effondre – forte incidence en Europe

Josy Cesarini

https://x.com/cesarinijosy/status/1962107035266203800

= 1️⃣ Introduction : Le système s’effondre

Donald Trump a frappé un grand coup. Il vient de placer George Soros et son fils Alex sous le spectre de la loi RICO– une loi anti-mafia – pour leur rôle dans le financement et l’organisation de manifestations violentes . 💣 « Nous n’allons plus permettre à ces fous de déchirer l’Amérique », a-t-il déclaré sans trembler.

Elon Musk, fidèle à son franc-parler, a confirmé : ⚡ « Il est grand temps que des mesures soient prises directement contre Soros. »

Dans le même temps, Bill Gates a discrètement quitté Arabella Advisors, le plus grand distributeur d’argent noir au service des démocrates. L’aveu est clair : le système s’écroule. Et avec lui, le financement occulte de la gauche, aux États-Unis comme en Europe.

Le mécanisme était diaboliquement bien huilé. Voici le schéma précis :

👉 Étape 1 : L’argent des contribuables Les impôts des Américains et des Européens alimentaient USAID, l’agence d’« aide internationale ».

👉 Étape 2 : Le passage par les “fondations philanthropiques” Des structures comme la Fondation Bill & Melinda Gates recevaient ces fonds publics, sous prétexte d’actions humanitaires.

👉 Étape 3 : Le transfert vers Arabella Advisors Ces fondations reversaient ces milliards à Arabella, un réseau obscur qui gère des centaines de fonds de lobbying « non profit ».

👉 Étape 4 : Le financement de la destruction Arabella redistribuait cet argent pour saboter nos nations, par un maillage d’ONG, de médias, de lobbyistes et de politiciens corrompus.

En clair : nous payions pour notre propre destruction.

Ce système a financé tout ce qui mine nos sociétés :

🌍 Propagande climatique et chemtrails

Arabella a subventionné des ONG organisant des marches pour le climat et des campagnes massives de désinformation. Objectif : nous faire croire que le CO₂ était le coupable, alors que le changement climatique est un phénomène naturel. Pendant ce temps, les chemtrails, financés par les mêmes réseaux, modifiaient réellement le climat pour justifier leur narratif.

🏳️‍🌈 Propagande Woke et LGBT

Ils ont infiltré nos écoles, imposant une éducation sexuelle débridée dès le plus jeune âge. Le but ? Détruire les repères naturels, imposer une nouvelle norme sociétale, et rendre toute contestation impossible.

⚔️ Délégitimation des patriotes

Arabella a payé des campagnes massives pour faire passer toute personne de droite pour un nazi ou un fasciste. Ils ont contrôlé les médias pour criminaliser la pensée conservatrice.

💉 Covid et vaccins

La pandémie n’a jamais été un accident. Les chiffres le prouvent aujourd’hui : vaccins inefficaces, n’empêchant ni infection ni transmission, et effets secondaires mortels par millions. Une attaque planifiée pour imposer le contrôle social et enrichir Big Pharma.

🛂 Immigration massive

Arabella finançait des ONG qui organisaient le transfert de populations massives depuis l’Afrique vers l’Europe. Ces ONG disposaient de batteries d’avocats payés par nos impôts pour empêcher toute expulsion. Conséquence : une immigration incontrôlée et incompatible avec nos sociétés.

📰 Contrôle des médias

Arabella dictait ce que les médias pouvaient dire ou taire.

💼 Corruption politique

Arabella finançait des politiciens, des ministres, des juges, et même des députés européens. En France et en Allemagne, plus de 2300 ONG recevaient ces financements. L’Union européenne elle-même versait 7,4 milliards d’euros pour acheter des votes favorables au mondialisme.

Aujourd’hui, le château de cartes s’écroule.

En France, plus de 1000 ONG n’ont plus leurs financements. En Allemagne, plus de 1300 ONG voient leurs subventions disparaître. Les lobbyistes cherchent déjà des emplois « normaux » et les députés européens devront enfin vivre avec leur seul salaire… fini les valises de 600 000 € planquées.

Elon Musk a joué un rôle clé dans ce dévoilement : 🔍 il a suivi les flux financiers, exposé les connexions entre USAID, les fondations Gates, et Arabella.

Ces révélations montrent que ce réseau n’était pas un simple groupe de philanthropes, mais une organisation criminelle transnationale.

Les démocrates américains et la gauche européenne sont en mode panique. Ils savent que sans cette machine de guerre financière, ils perdent leur capacité d’influence.

Leur dernier recours ? Provoquer un conflit majeur avec la Russie. Ils espèrent pousser Moscou à attaquer pour justifier des mesures d’urgence – l’article 16 de la Constitution en France, comme Zelensky qui s’est autoproclamé président éternel depuis mai 2024.

Enlever les financements de ces réseaux criminels, c’est neutraliser la guerre menée contre les peuples.

Aujourd’hui, les masques tombent.

Ils sentent le sol se dérober sous leurs pieds. Et pour cause : le marais se vide. Les patriotes gagnent. Le monde se libère.

Donald Trump et Bill Gates, 3 heures d’entretien privé : prélude au plus grand coup de filet de l’ère Trump ?

Salik de Bonnault via faisonsle.info 

Ou comment le vent tourne pour le criminel de masse juif Bill Gates,
cousin de la pédocriminelle Ghislaine Maxwell fille du super-agent du
Mossad, Robert Maxwell le magnat de la presse britannique, qui fut
balancé par-dessus bord de son yacht non pas par les services
britanniques excédés d’avoir été dupés si longtemps, mais par le Mossad
pour ne lui avoir pas viré le montant du fond de pension des salariés du
Daily Mirror, avec lesquels il avait pris le large… 

Ghislaine sera bientôt pardonné par Trump en échange de son silence sur
ce qui pourrait compromettre le Pdt des US.

Que du beau monde ! 

https://lemediaen442.fr/donald-trump-et-bill-gates-3-heures-dentretien-prive-prelude-au-plus-grand-coup-de-filet-de-lere-trump/

par Jean-Yves Jézéquel

Nous sommes désormais habitués aux pandémies de mensonges : c’est la stratégie que l’OMS entend développer au service du projet du Nouvel Ordre Mondial qui passe par le désordre mondial.

Les vaccins à ARNm ont préparé le terrain pour des attaques bactériennes programmées.

Puisque le corps humain a été façonné par les vaccins génétiques pour fabriquer des protéines, l’étape suivante sera fatalement celle des bactéries modifiées pour achever le perfectionnement du contrôle des personnes et au passage une hécatombe nouvelle au sein des peuples manipulés et dressés à la soumission.

Nous allons au-devant d’un nouveau désastre de santé publique et vers une nouvelle étape liberticide permettant le totalitarisme du Nouvel Ordre Mondial annoncé comme une menace. Sarközy de Nagy-Bocsa avait bien prophétisé le 1er septembre 2021 : «On ira ensemble vers ce Nouvel Ordre Mondial. Et personne, je dis bien, personne, ne pourra s’y opposer».

Les incohérences, les mensonges, les manipulations, l’instrumentalisation de la science à l’occasion de la fausse pandémie de la Covid-19 n’étaient qu’un premier essai pour frapper bien plus fort cette fois-ci en retirant de cette première expérimentation la conclusion pratique qu’il fallait carrément que l’OMS prenne le contrôle absolu des gouvernements en matière de santé publique ! C’est chose faite par la signature des accords qui étaient annoncés par anticipation. L’OMS a désormais toute autorité pour décider de la souveraineté sanitaire de n’importe quel pays, y compris en matière de pandémies, en imposant des vaccinations. Cela s’applique à tout État qui n’a pas choisi de se retirer du RSI révisé avant le 26 juillet 2025. On peut souligner au passage que ce programme dépasse actuellement tous les espoirs des Nazis du 3ème Reich et concrétise la réalité de leur rêve sur «La Nouvelle Europe» !

Nous avons publié articles et livres sur le sujet en allant vérifier les informations sérieuses à la disposition de celui qui veut savoir ! Nous savons pertinemment que cette fausse pandémie visait l’objectif d’un remodelage de la société occidentale, car les autres sociétés se sont écartées de ce projet et ont limité rapidement la pandémie de mensonges. Désormais, les USA sont hors OMS.

La technique utilisée consistait à fomenter la peur, à créer une dépendance technologique pour le contrôle des corps largement affaiblis par la destruction de l’efficacité immunitaire naturelle.

Un nouveau plan est en place et va désormais utiliser la guerre bactérienne qu’on voudra nous faire passer pour une menace de la nature alors qu’elle aura été entièrement programmée, organisée et instrumentalisée.

Le test de la Covid-19 a été concluant : les masses de braves gens se sont faites vacciner sous la terreur ; elles ont accepté les confinements, le pass sanitaire, le pass vaccinal, la perte des libertés qui subsistaient encore après la vague des attentats terroristes n’ayant pas eu les effets escomptés sur l’anéantissement de la quasi-totalité des libertés publiques et privées…

Il fallait inventer un terrorisme bien plus efficace : celui de l’arme sanitaire !

Avez-vous remarqué les annonces périodiques qui sont discrètement diffusées sur le retour de la tuberculose multi-résistante, le retour du choléra etc. ?

L’OMS alertait la communauté internationale, justement au moment même où les Russes décidaient d’exposer les nombreuses preuves qu’ils ont trouvées sur les laboratoires de guerre biologique américains en Ukraine, en disant que les risques étaient élevés de dissémination de maladies comme le choléra, la polio, la tuberculose, la typhoïde… sur l’Europe, à cause de la guerre en Ukraine et des flux de réfugiés ukrainiens ! On anticipe donc méthodiquement en faisant reposer toute la responsabilité sur les Russes qui sont les acteurs de la guerre en Ukraine !

Il va de soi que ce genre de discours est incompatible avec les connaissances scientifiques actuelles, et dignes de ce nom, sur la conception du vivant : les épidémies ne sont possibles que sur le même terrain déficient d’une population logée à la même enseigne ! Les gens qui vivent dans des conditions précaires et sanitaires désastreuses en Ukraine, avec manque d’hygiène, manque de nourriture équilibrée, peuvent en effet retrouver la tuberculose, le choléra etc.. Mais les européens qui vivent dans des conditions radicalement différentes, avec une hygiène normale, une nourriture équilibrée, ne peuvent absolument pas tomber collectivement dans des épidémies de ce genre.

Les sans domicile fixe, clandestins, sans papiers qui vivent le long du périphérique de Paris, ou dans des banlieues insalubres aux abords des grandes villes, survivant au désastre économique et social provoqué par les responsables politiques ultra-libéraux (les serviteurs du capital) ces gens-là qui crèvent en silence sur des cartons remplis de parasites ou dans la crasse des tentes vétustes, sans hygiène, sans nourriture équilibrée, oui, ces gens-là peuvent en effet retrouver la tuberculose et le choléra etc., car leur terrain se trouve à nouveau dans les conditions idéales qui permettent ces maladies en question !

C’est Antoine Béchamp qui a démontré que le terrain était déterminant dans l’apparition des maladies et pas les conditions scandaleusement agitées pour fomenter la terreur par les criminels de l’OMS…

Le 15 février 2022, les médias collabos au service du mensonge occidental allaient également inventer une cyber-guerre déclenchée par la Russie. Mais une firme américaine, spécialisée dans la sécurité, démentait rapidement cette accusation. (Cf., Reuters du 15 février 2022)

D’autres confirmations seront encore données de la part des organismes de cybersécurité américains.

En «suivant l’argent», comme le recommandait le Dr Louis Fouché, nous pouvons également voir que Big Pharma est en train de mettre le paquet sur les antibiotiques contournant la résistance des bactéries à nos médicaments allopathiques !

D’ailleurs on peut également lire ici et là des «rapports officiels» qui parlent de la «menace mondiale imminente» par les bactéries résistantes aux antibiotiques !

Il y a manifestement un nouveau jackpot à se faire : «La médecine est une putain et son maquereau est le pharmacien», disait Coluche ! La tradition est intacte, le cadre est posé !

Une nouvelle mise en scène va donc jaillir des documents de l’OMS qui s’est assurée sa nouvelle autorité incontestable, une dictature inédite de plus !

Tout est déjà planifié, la terreur des populations va encore secouer nos pays occidentaux et les mesures de contrôle seront fermement justifiées par la nouvelle pandémie de mensonges…

Les confinements vont revenir, les vaccinations de masses vont se remettre en place, le contrôle sera bien plus efficace par l’outil numériques et l’intelligence artificielle qui va entrer en jeu contre les humains enfermés dans ce nouvel esclavage ! Bref, de quoi saboter efficacement la grande révolte programmée du 10 septembre prochain…

Il fallait créer une nouvelle peur, car le coup pitoyable du Coronavirus a désormais trouvé un contre-discours efficace qui a rendu l’invention de la pandémie virale inopérante… La terreur sanitaire organise une nouvelle fête, celle des prédateurs qui sont aux commandes de l’OMS et dont les États-Unis se sont retirés, le nouveau gouvernement ayant jugé cette organisation criminelle fondée par Rockefeller comme malfaisante et opposée aux intérêts du peuple américain.

L’OMS est une institution créée à l’origine pour élaborer la politique du dépeuplement rapportant des milliards de dollars aux grands laboratoires pharmaceutiques qui appartiennent à Vanguard/BlackRock. L’OMS : La Fondation Bill & Melinda Gates ; la GAVI Alliance où siègent B&M ; Baxter International, inc. ; la Commission européenne ; le Rotary International ; l’Unicef, sont les principaux sponsors qui assurent la capacité venimeuse de ce serpent prédateur… Il est impératif de savoir que l’OMS a été créée en 1948 par Rockefeller qui voulait contrôler la population mondiale par le moyen de la santé. Personne ne lui avait rien demandé, mais des gens comme lui, imbus d’eux-mêmes et habités par l’étrange idéologie Léo Straussienne, estimaient avec d’autres membres de «l’élite» financière, que la population humaine était trop nombreuse sur Terre, il fallait organiser le moyen de la réduire via un eugénisme méticuleusement élaboré, car les guerres, même les plus meurtrières, n’arrivaient pas à régler ce «problème».

La finalité de cette nouvelle pandémie de mensonges est de créer une nouvelle peur, de pouvoir imposer de nouvelles mesures liberticides et fixer les normes nouvelles d’un contrôle social exacerbé !

Les médias inféodés sont au service exclusif de ce mensonge. Le narratif unique est relayé exclusivement par eux : toutes les autres voix sont censurées, interdites, sanctionnées…

Les étapes sont désormais connues : on publie des rapports alarmistes ; on trouve un foyer infectieux ; on impose l’état d’urgence ; puis enfin on installe durablement le contrôle social. Le passeport biométrique fait partie de ce projet déjà en place. Les décisions concernant les identités numériques, également appelées e-ID, seront prochainement prises à l’échelle mondiale par tous les pays membres de l’ONU (193 pays), c’est une question de quelques semaines. Pour certains pays, ces décisions ont déjà été prises. D’autres, comme la Suisse, qui n’est toujours pas officiellement dans l’Union européenne, donneront aux citoyens le choix de pouvoir voter sur cette décision.

Sachez que la majeure partie des gouvernements, sous l’impulsion de ceux auxquels ils sont totalement inféodés, comme la France, prendront cette décision sans vous consulter.

La carte d’identité numérique sera la dernière étape vers un esclavage orwellien particulièrement alambiqué, même si elle vous est vendue comme un avantage bien entendu, une carte d’identité unique munie d’un QR code qui vous suivra partout, contrôlera chacun de vos mouvements et pour tout dire, pourra vous empêcher d’agir dans quelque domaine que ce soit, d’utiliser votre argent (si vous n’êtes pas encore «débancarisé») de voyager, de vivre tout simplement, car il pourra vous imposer une «vaccination» potentiellement dangereuse, voire mortelle (Cf., La légende des vaccins, une conception erronée du vivant, du même auteur, Publibook, 2025, 220 pages .)

Au niveau européen les dispositions pour le contrôle sont déjà bien en place.

«Chat Control» est un projet qui va être voté le 14 octobre 2025. C’est la présidence danoise du Conseil de l’UE qui a relancé cette proposition de loi. La France, la Belgique, l’Italie, l’Espagne et la Suède soutiennent ce projet. Il s’agit d’imposer à WhatsApp, Signal, Telegram, Proton et d’autres, le scannage obligatoire, automatique, de tous les messages privés envoyés par les plates-formes de messagerie.

Avant que vos messages privés et cryptés ne soient envoyés, un logiciel spécialisé pour la surveillance absolue examinera scrupuleusement le contenu de ces communications. A la moindre suspicion, le message sera bloqué et signalé au service de la répression totalitaire de la dictature néo-nazie de l’UE.

Il s’agit de surveiller l’ensemble de la population car chaque individu est devenu un suspect. Dans l’Union européenne chacun est devenu un délinquant potentiel : l’Union européenne est construite sur la méfiance de tous contre tous. Toutes les lois sur les droits fondamentaux seront violées, sans la moindre hésitation, car le peuple n’est rien et n’a rien à revendiquer ; il est considéré comme un troupeau d’esclaves prêt à combattre en permanence l’autorité dictatoriale des maîtres non élus qui dirigent ce camp de concentration européen.

Cette société est construite sur la peur, la surveillance numérique, l’accusation permanente implicite des membres de l’Union soupçonnés de délinquance potentiellement récidiviste !

Le programme ProtectEU de la Commission européenne est déjà en fonction : il donne à la police de la répression tous les moyens de décrypter les données privées. Il sera pleinement opérationnel dans cinq ans.

Les algorithmes ne feront pas la différence entre une image innocente et un contenu interdit. Il y aura fatalement un déluge de blocages et de dénonciations illégitimes, des «faux positifs» comme cela se disait à l’époque de la fausse pandémie Covid-19, un phénomène odieux qui conduira devant les tribunaux des cohortes d’innocents maltraités par ce régime totalitaire…

Tout peut devenir suspect pour l’algorithme qui ne peut pas faire ce distinguo entre les paroles de cybercriminels et des échanges entre adolescents ou encore, par exemple, entre les thérapeutes et leurs patients…

La gouvernance du Nouvel Ordre Mondial passe par une stratégie de chaos organisé. Derrière tous ces acteurs institutionnels il y a les groupes de la haute finance, ceux qui ont été identifiés derrière le N.O. (Cf. une série de 7 articles publiés entre mars 2024 et avril 2024 sur mondialisation.ca : «Stratégie et mode de fonctionnement des acteurs globalistes du N.O.M.»)

Comme ce sera de nouveau le cas, la crise sanitaire n’aura rien à voir avec le sanitaire, mais exclusivement avec les politiques sécuritaires nécessaires à l’imposition du Nouvel Ordre Mondial. Les récalcitrants seront plus efficacement exclus grâce au passeport biométrique.

L’avenir immédiat sera celui des QR codes, de la reconnaissance faciale, du suivi numérique des déplacements de chacun. La soi-disant protection de la population vous interdira de vous déplacer si vous n’êtes pas dûment vacciné, numérisé, contrôlé, terrifié ! Les récalcitrants ou résistants seront déclarés «criminels» et enfermés dans des centres de rééducation… Big Pharma aura votre vie entre ses mains et pourra vous tuer si vous ne vous soumettez pas à sa loi totalitaire, celle des individus qui se cachent derrière cette institution prédatrice au service du NOM.

Chacun doit s’informer sérieusement et non pas gober le discours unilatéral des médias aux ordres, pas plus que celui tenu par des gouvernements qui sont les débiteurs inconditionnels de ces puissances manipulatrices au service de leurs intérêts financiers dominateurs…

Il faut s’informer sur les solutions alternatives qui existent pour protéger sa santé.

Il est nécessaire de s’organiser entre personnes qui sont conscientes de cette gigantesque manipulation des masses. Il est nécessaire de s’informer sur l’existence de ces organisations parallèles qui permettent de vivre bien en dehors de ce système piégé par les criminels du Nouvel Ordre Mondial dont fait partie l’OMS. (Cf., lesenfantsphare.fr/le-pharandol)

Il va de soi qu’une intériorité est aussi nécessaire à l’éveil de la conscience et à son évolution vers une surconscience qui est le but de l’existence de l’humain sur Terre.

source : Mondialisation

CROWDBUNKER : MODERNA reconnaît au téléphone que nous sommes tous des cobayes 

La lettre confidentielle de

LIBRE CONSENTEMENT ÉCLAIRÉ

Le très select club des non-injectés

COMPLOTS CONTRE NOS LIBERTÉS FONDAMENTALES ET NOS VIES

La lettre du très select club des non-injectés et complotistes les mieux informés de la planète

Désobéir ! Refuser l’inacceptable ! Ne pas se soumettre !

Vivement l’article 16 !

Par Patrick Ledrappier

« Tout homme tend à aller jusqu’au bout de son pouvoir. » – Thucydide

2509

Le 2 septembre 2025

   Un système en bout de course

   Depuis plus de quarante ans, les politiciens ont vidé les caisses. Ils n’ont plus rien à offrir au peuple sinon des dettes, des impôts et des sermons moralisateurs. Ils se sont mis au service d’un agenda international – Agenda 2030, Davos, milliardaires comme Bill Gates et George Soros – qui ne vise ni la prospérité, ni la liberté, mais la destruction des structures sociales qui singularisent les pays européens, la décroissance, la servitude et la dépopulation.

   Ils appellent cela « démocratie »

   Mais qu’ils nous répètent en chœur avec les fonctionnaires et les journalistes subventionnés que nous vivons en démocratie, ne suffit pas à en faire une réalité.

   La France n’est plus gouvernée par son peuple et ses citoyens. Elle est tenue par une caste : fonctionnaires, politiciens issus de la fonction publique, journalistes subventionnés, juges, tous solidement arrimés à un système dont la survie dépend d’une seule chose – prélever toujours plus sur ceux qui produisent de la richesse dans le privé.

   Les politiciens de métier : des fonctionnaires recyclés qui n’ont jamais eu à créer de richesse dans le privé tout en subvenant aux besoins d’une famille

   La majorité des députés et sénateurs français ne viennent pas de l’entreprise privée. Près de 60 % des parlementaires ont fait carrière dans la fonction publique : enseignants, magistrats, hauts fonctionnaires, attachés de collectivités, etc. Ces profils ont un point commun : ils n’ont jamais eu à créer de richesse réelle, à prendre le risque entrepreneurial, à subir la concurrence, à être payés une misère ou encore à connaître le chômage, souvent provoqué par l’absurdité des décisions des politiciens au pouvoir.

   Ajoutons que beaucoup d’entre eux ne savent même pas ce que c’est que d’élever des enfants dans l’espoir qu’ils aient un avenir heureux, ou encore de subvenir aux besoins d’une famille normalement composée d’un papa, d’une maman et de leurs enfants, tout en travaillant dur dans le privé.

   Leurs maîtres : la Commission européenne, Davos, Bill et George

   Tous ont fait allégeance à Bruxelles. Le Parlement français n’est plus qu’une chambre d’enregistrement des directives européennes. Les députés votent des lois calibrées sur l’Agenda 2030 et les desiderata de la Commission chienne de garde de l’Agenda 2030, de la décroissance économique, des injections obligatoires, au service des milliardaires et universitaires qui théorisent la dépopulation. Leur rôle n’est pas de représenter les citoyens, mais de gérer l’acceptabilité sociale de ce programme et, surtout, de l’imposer, quoi qu’il en coûte, à la population.

   La prédation organisée

   Le privé et ses salariés et entrepreneurs créent la richesse. Les politiciens la confisquent.

   C’est aussi simple que cela.

   En France, au minimum 5,8 millions d’agents publics (Insee, 2023 (1)) absorbent directement la dépense publique. Ajoutons-y qu’il y aurait, au minimum également, 2,7 millions de retraités de la fonction publique et environ 2,9 millions d’étudiants inscrits dans l’enseignement supérieur, dont 1,6 million à l’université (2) : on obtient un bloc de près de 11,4 millions de personnes vivant directement ou indirectement de l’État.

   N’oublions pas d’ajouter à ces 11,4 millions les 562 872 élus, ce qui nous fait un total de près de 12 millions.

   Une toile d’araignées tissées au cours des décennies par les politiciens et les parasites inutiles de la fonction publique qui a un coût : entre 77 à 156 milliards d’euros par an

   Des agences inutiles, des cabinets tentaculaires, des armées de communicants payés pour vendre du vide : la haute fonction publique et les élus s’y reproduisent, y placent leurs enfants, leurs maîtresses, leurs amants.

   Un rapport récent indique qu’en 2024 (3), les agences de l’État (près de 792 entités identifiables) représentent un budget proche de 156 milliards d’euros, soit environ 5,3 % du PIB.

   Pour le cadre consolidé des opérateurs de l’État (434 opérateurs selon le PLF 2025), les crédits budgétaires et taxations affectées s’élèvent à 77 milliards d’euros (4) , dont 56,5 milliards d’euros de crédits budgétaires directs.

   Un chiffre antérieur évoque également une enveloppe de 81 milliards d’euros (5) versée aux 1 200 agences publiques pour leurs frais de fonctionnement, salaires et subventions

   Une estimation encore plus large mentionne 106,3 milliards d’euros  (6) de dépenses des agences – ce qui représente près de 99,2 % du budget de l’État.

   Résumons la situation actuelle avec une citation : « On ferme des lits d’hôpitaux, on taille dans les retraites, on dit qu’il faut “faire des efforts”… mais l’Agence Nationale de Recherche claque 380.000 € pour savoir pourquoi les rats ont une mauvaise image dans la littérature. »…

   Comment trouver 40 milliards d’économie ?

   On nous serine que le budget 2026 impose de trouver 40 milliards d’euros d’économies.

Et pour cela, le gouvernement ne voit qu’une seule solution : punir les salariés et retraités du privé. Supprimer deux jours fériés, réduire les retraites, raboter les prestations sociales, augmenter les impôts. Toujours plus de sacrifices pour les mêmes, jamais pour la caste.

   Et pourtant, la solution est sous nos yeux et on parle pas de 40 milliards

   Ces économies, on pourrait les faire immédiatement, sans toucher ni aux retraites ni aux salaires : il suffirait de supprimer les agences de l’État, ces machines inutiles à entretenir des parasites inutiles (les bactéries intestinales sont des parasites utiles).

   On parle d’au moins 77 milliards d’euros par an (chiffre officiel pour les opérateurs), et jusqu’à 156 milliards d’euros selon le périmètre retenu.

   Autrement dit : deux à trois fois le montant que Bercy prétend devoir arracher dans la poche des salariés et retraités du privé.

   Mais évidemment, ces agences sont les planques dorées des politiciens, des hauts fonctionnaires, de leurs enfants, de leurs maîtresses, de leurs amants et de leurs amis.

   Voilà pourquoi ils préfèrent réduire les pensions des retraités, rogner les prestations sociales ou supprimer des jours fériés – des jours travaillés mais non payés – plutôt que d’assécher la corruption endémique qui règne dans la haute administration et la sphère politique à travers ces agences.

   Des élections « pièges à cons »

   Selon l’INSEE, en 2024, 49,5 millions d’électeurs étaient inscrits sur les listes électorales françaises. Mais seuls 32,55 millions se sont exprimés au second tour des législatives du 7 juillet 2024, et 25,24 millions aux européennes du 9 juin. Autrement dit, plus de la moitié du corps électoral a déjà déserté les urnes.

   Parmi ceux qui votent encore, combien sont fonctionnaires, politiciens professionnels ou personnes sous leur emprise ? Une majorité écrasante, sans doute, puisque toutes les enquêtes d’opinion montrent que l’abstention frappe surtout les employés et ouvriers du privé, ceux qui créent la richesse nationale.

   Faut-il s’en étonner ? Non. Les élections n’ont jamais réduit les impôts, ni brisé la spirale des prélèvements obligatoires. Elles ne servent qu’à légitimer une caste – toujours la même – qui vit de l’argent public et verrouille le système : hauts fonctionnaires, politiciens et leurs relais propagandistes.

   Ces derniers – journalistes subventionnés, médecins médiatiques, auteurs et acteurs dociles – défilent de plateau en plateau pour distiller la propagande.

   Ils nous sermonnent : « Faites-vous vacciner pour sauver les enfants, papi et mamie », « abandonnez votre vieille voiture pour lutter contre un prétendu réchauffement climatique d’origine humaine ou animale », « refuser l’immigration, c’est pas bien ».

   Autant de mensonges répétés en boucle, pendant que l’argent public finance hôtels, restaurants et soins pour les nouveaux arrivants, tandis que des travailleurs pauvres et des retraités qui ont cotisé pendant des décennies dorment dans la rue, fouillent les poubelles pour se nourrir et renoncent à se soigner faute de pouvoir se payer une mutuelle.

   Ajoutons à cela la mise en place opaque de machines à voter électroniques, importées des États-Unis – ces « Dominion » dont la réputation sulfureuse traîne dans toutes les affaires électorales – et l’on comprend qu’il devient difficile, intellectuellement, de voir dans le scrutin autre chose qu’une mascarade, qu’un cautionnement du système qui nous opprime de toutes parts et de plus en plus.

   Oui, en France, les élections ne sont qu’« un piège à cons ».

   Elles ne sont d’ailleurs pas que cela. Pire, elles font diversion, détournent l’attention, entretiennent de faux espoirs, monopolisent nos pensées pendant des semaines, ce qui nous éloigne de l’essentiel : s’organiser pour échapper au sort funeste que nous réservent les politiciens en préparant un avenir sans eux et sans les hauts fonctionnaires.

   Allez voter, c’est renoncer à son intelligence.

   Les réformes interdites

   La seule sortie de crise ? Elle est connue, évidente, logique. Mais interdite.

   Pourquoi ?

   Parce qu’elle impose de prendre des mesures qui chasseraient les politiciens et les hauts fonctionnaires de la vie publique.

   Qu’on en juge :

   – Supprimer le statut de la fonction publique (privilèges : emploi à vie, progressions automatiques, retraites avantageuses) et aligner tous les salariés sur le droit privé.

   – Claquer la retraite des fonctionnaires sur celle du privé (aujourd’hui calculée sur les 6 derniers mois, contre les 25 meilleures années pour les salariés du privé).

   – Supprimer les doublons administratifs : départements, régions, communautés de communes.

   – Supprimer les conseillers municipaux, départementaux et régionaux qui n’ont aucun pouvoir de décision : seul le maire, le président de région ou de département doit assumer le pouvoir exécutif et donc la responsabilité. Payer des conseillers « de la majorité ou de l’opposition » revient à entretenir une démocratie de théâtre.

   – Réserver la Sécurité sociale et la CAF aux Français et aux étrangers en situation régulière ayant cotisé au moins 10 ans.

   – Repenser l’instruction publique : suppression de l’Éducation nationale telle qu’elle existe, gestion des établissements par les parents, recentrage sur l’histoire de France, les savoirs fondamentaux, le civisme. Et interdits clairs : wokisme, idéologies du genre, endoctrinement, sexualisation des élèves.

   – Élire les juges et procureurs.

   – Instaurer le RIC, le référendum révocatoire, et soumettre les budgets et l’endettement aux citoyens.

   Ces mesures feraient tomber la rente des politiciens, des syndicats et des fonctionnaires. Elles ne seront donc jamais prises par ceux qui profitent du système et jamais des élections ne permettront de les prendre (ils les interdiraient).

   Au sujet de l’immigration illégale : l’exemple de l’Australie, des États-Unis et de l’Algérie

   Ne faudrait-il pas s’inspirer de l’Australie et des États-Unis pour la gestion des immigrés clandestins, qui sont par nature des délinquants puisqu’ils résident illégalement sur le territoire national.

   L’Australie, les États-Unis et l’Algérie appliquent une logique simple : protéger d’abord leurs citoyens et leurs systèmes sociaux.

   En Australie, tout clandestin intercepté est immédiatement placé en centre de rétention. Les demandes d’asile ne sont pas traitées sur le territoire mais dans des centres offshore (Papouasie, Nauru). Résultat – aucun espoir d’intégration : soit l’individu est expulsé, soit il reste retenu hors du pays.

   Aux États-Unis, toute personne en situation irrégulière est théoriquement passible d’expulsion systématique. Les clandestins arrêtés sont placés en détention administrative en attendant leur reconduite. Par ailleurs, les États-Unis ont limité le droit du sol automatique : un enfant né de parents étrangers clandestins n’acquiert pas automatiquement la nationalité américaine (sauf si ses parents sont résidents légaux).

   L’Algérie criminalise l’entrée et le séjour illégaux et les immigrés clandestins, souvent d’Afrique subsaharienne, sont arrêtés et expulsés massivement vers le Niger ou le Mali sans qu’ils ne bénéficient du moindre recours judiciaire (idem en Tunisie et en Mauritanie).

    Appliquer ces principes en France signifierait :

   o Rétention systématique des clandestins dès leur arrestation, sans possibilité de se fondre dans la masse.

   o Expulsion immédiate vers leur pays d’origine ou, en cas d’impossibilité diplomatique, vers un centre extérieur au territoire national ou métropolitain.

   o Suppression définitive du droit du sol automatique qui encourage les filières d’immigration.

   o Création de visas économiques temporaires pour des secteurs en tension (informatique, ingénierie, finance, bouchains), mais jamais d’installation définitive.

   Le verrouillage et l’article 16 opéré par l’Éborgneur de l’Élysée

   Face à la crise et au refus des politiciens de prendre les seules mesures qui nous sortiraient du chaos qui arrive à grands pas, que font-ils ?

   Ils se battent pour savoir qui gagnera le droit de nous piller encore plus en accédant à Matignon pour quelques mois – car ils savent très bien qu’une fois le chaos installé, ils devront fuir, très loin, comme des rats effrayés par un incendie.

   Mais l’Éborgneur de l’Élysée veille. Il sait qu’en cas de débandade, aucun de ses amis ne lui fera de cadeau et que c’est, au mieux, la prison qui l’attend – si ce n’est un sort à la Ceausescu.

   Macron a tout verrouillé : Conseil constitutionnel (où, avec la complicité du RN, il a nommé Richard Ferrand – impliqué dans l’affaire des Mutuelles de Bretagne, qui aurait dû lui valoir la prison et l’inéligibilité – président du Conseil constitutionnel), Cour des comptes, Conseil d’État… toutes ces institutions sont neutralisées.

   Pour Emmanuel Macron, aller jusqu’au bout de son pouvoir a un nom : l’article 16 – la dictature légale en costume républicain, servie sur un plateau pour qu’il conserve le pouvoir et ses privilèges, tout en neutralisant les partis politiques, et en brisant les ambitions personnelles afin de régner sans autre partage qu’avec Monsieur Brigitte.

   Et peut-être en profitera-t-il pour se rêver en chef de guerre – fantasme qu’il partage sans doute avec Monsieur Brigitte – en lançant nos armées en Ukraine. Ce qui, paradoxalement, ne serait pas forcément une mauvaise nouvelle pour nos droits fondamentaux et nos libertés individuelles, car il est permis de penser, et même d’espérer, que l’affaire serait vite réglée par la Russie.

   En résumé, l’article 16, que De Gaulle a utilisé en 1961 face au putsch d’Alger, confère au président de la République les pleins pouvoirs en cas de « menace grave » – terme volontairement flou, dont seul le Conseil constitutionnel est censé juger. Avec l’article 16, l’Éborgneur de l’Élysée concentre entre ses mains l’exécutif et le législatif. Il peut légiférer par ordonnances ayant force de loi, suspendre les libertés publiques et neutraliser le Parlement. Le gouvernement, dans ce cadre, n’est plus qu’un exécutant docile, sans autonomie ni contre-pouvoir.

   La police et l’armée, directement placées sous son autorité exclusive, n’ont alors plus pour mission de protéger les citoyens ni de défendre le territoire national, mais de garantir la survie du régime – c’est-à-dire réprimer toute contestation et maintenir l’ordre établi à son seul bénéfice (et à celui de Monsieur Brigitte).

   Face à l’article 16, il n’existe en théorie que quatre contre-pouvoirs :

   – Le Conseil constitutionnel – mais chacun a compris qu’il ne fera que valider les décisions de Macron.

   – L’armée – une inconnue, mais il est très peu probable qu’elle ose désobéir aux ordres.

   – La police – dont on a vu la répression sanguinaire contre les Gilets jaunes.

   – Enfin, ce qu’ils appellent, avec mépris ou paternalisme, le peuple. Mais face à l’armée et aux fonctionnaires éborgneurs, toute velléité de révolte serait vite écrasée, et toute insurrection citoyenne noyée dans le sang.

   Quel espoir reste-t-il ?

   Notre plus grand espoir est que le chaos arrive rapidement à son paroxysme et qu’il provoque l’effondrement du système – comme Rome lors de la chute de l’Empire romain, comme l’URSS qui s’est écroulée sous son propre poids.

   Cela arrivera, il ne faut pas en douter.

   Comment le saurons-nous ?

   Quand même les fonctionnaires éborgneurs ne pourront plus protéger les politiciens, les juges et les hauts fonctionnaires. Quand ils ne pourront même plus se protéger eux-mêmes, alors il sera temps de sortir dans la rue et de bomber le torse pour tout reconstruire – sans eux, sans aucun d’eux.

   Ce jour-là, nous penserons à Thucydide, pour qui « l’épaisseur d’une muraille compte moins que la volonté de la franchir » et pour qui également il faut « choisir, se reposer ou être libre ».

   Alors la muraille du système politique français tombera et il nous faudra travailler pour être enfin libérés de cette servitude que les politiciens nous imposent depuis tant de décennies.

   Ils ont construit des murs pour nous enfermer – nous les franchirons.

   Ils nous ont volé notre argent, notre santé, notre liberté, notre avenir, l’espoir du bonheur – nous leur arracherons tout.

   Ils croyaient que nous resterions à genoux – nous nous relèverons, et ce sera leur chute.

   Définitive, irrévocable, sans retour.

Dorénavant officiel : “Tous étaient au courant pour les attaques du 7 octobre. https://t.co/7uKQYt9FTk” / X

Salik de Bonnault via faisonsle.info 

“Mondialement connu depuis début 2002 pour son livre « L’effroyable imposture » du 11 septembre 2001, le géopolitologue Thierry Meyssan rentré de son exil en Syrie, déclare en cette fin août 25 sur l’excellente chaîne en-ligne Géopolitique Profonde (GPTV)  que ce sont les armes envoyées en Ukraine par les US et l’UE qui ont armé le Hamas lors de son attaque du 7 0ctobre 2023. 

Ainsi, le 1^er ministre Sioniste révisionniste Nétanyahou proche des Ukro-nazis bandéristes a via l’Ukraine fait armer le Hamas par l’Occident pour tirer sur son propre peuple ! Puis l’application de la directive Hannibal interdisant la prise d’otages par le Hamas amènera les hélicoptères Apache à mitrailler tous ces jeunes juifs dans un festival de rave-music. Quelle fin tragique pour ces malheureux jeunes israéliens, qui comme par hasard formaient une bonne partie de l’opposition à Nétanyahou… 

Ou comment faire d’une pierre deux coups, selon le traditionnel « en même temps » kabalistique qui par une telle cruauté envers son peuple qu’il a pour devoir de protéger relève clairement de la schizophrénie. 

Ce qui nous rappelle la statistique de 40% de prévalence génétique de schizophrénie au sein de la population ashkénaze, comme établi par une étude de scientifiques des US et d’Israël, publiée par Nature Communications selon un article de Haaretz en 2013.”

tiré de l’Epilogue de https://eveilleursdelaube.fr/

https://x.com/TFilastin/status/1959696515792093539?t=QDBR7upRoquRNXNRH9xs5Q

La vérité derrière les naissances par césarienne 

Le placenta vaut entre 50 000 $ et 500 000 $.
Surtout lorsqu’il est extrait d’une naissance par césarienne, acheté par de grandes entreprises pharmaceutiques...

https://x.com/renardpaty/status/1960738964270170179

L’UNION EUROPEENNE ET L’ URSS

Il est très étonnant qu’après avoir enterré un monstre, l’URSS, on en conçoit un autre tout assez semblable, l’Union Européenne. L’URSS était gouvernée par 15 personnes non élues qui se nommaient entre elles et n’avaient de comptes à rendre à personne. L’Union Européenne est gouvernée par deux douzaines de personnes qui se sont choisies entre elles, qui ne rendent compte à personne et sont indélogeables. On peut dire que l’UE a un parlement élu, bien que l’URSS ait eu aussi une sorte de parlement, le Soviet Suprême, qui approuvait sans discussion les décisions du Politburo, tout comme au Parlement Européen où le temps de parole de chaque groupe est limité, souvent moins d’une minute par intervenant. Dans l’UE, il y a des centaines, des milliers d’eurocrates qui sont payés comme des rois, du personnel, des serviteurs, des bonus et des privilèges, une immunité judiciaire à vie, et peuvent simplement muter d’un poste à l’autre quoi qu’ils fassent. L’URSS a été créée par la contrainte et souvent l’occupation armée. L’UE se crée non pas par la force armée, mais par la contrainte et la pression économique. On nous dit que le but de l’URSS était de créer une nouvelle entité historique, le peuple soviétique, qui nous fait oublier nos nationalités, nos traditions, nos coutumes. C’est la même chose avec l’UE, semble-t-il. Ils ne veulent pas que vous soyez anglais ou français, ils veulent que vous soyez tous une nouvelle entité historique, les européens. Faire disparaître les sentiments nationaux et vous forcer à vivre une communauté multinationale. 73 ans de ce système en URSS a abouti à plus de conflits ethniques que nul part ailleurs dans le monde. L’une des grandes ambitions de l’URSS était de détruire l’état-nation et c’est exactement ce que nous voyons en Europe aujourd’hui. Bruxelles veut engloutir l’état-nation pour qu’il cesse d’exister. Le système soviétique était corrompu de la tête aux pieds, il en est de même pour l’UE. Ceux qui s’y opposent ou qui le dénoncent sont réduits au silence ou punis. Rien ne change. En URSS, il y avait le goulag, je pense qu’on a aussi dans l’UE, c’est un goulag intellectuel nommé le « politiquement correct ». Quand quelqu’un veut dire ce qu’il pense sur des sujets de race ou de genre, ou si ses opinions sont différentes de celles approuvées, il est ostracisé. C’est le début du goulag, la perte de votre liberté. La même idéologie et les mêmes systèmes. L’UE est un vieux modèle soviétique qui s’appelle l’assaut occidental et elle porte les germes de sa propre terre, de sa propre perte. Quand elle va s’écrouler, car elle s’écroulera, elle laissera derrière elle qu’une immense destruction et de gigantesques problèmes économiques et ethniques. L’Union Européenne n’est pas réformable. Il y a une alternative à être gouverné par responsables autoproclamés à Bruxelles, ça s’appelle l’indépendance. Vous n’êtes pas obligés d’accepter ce qu’ils ont planifié pour vous, après tout, on ne vous a jamais demandé si vous vouliez rejoindre l’UE ! Vladimir Boukovski

Intelligence artificielle Le mensonge responsable : comment l’IA vend des convictions sans vérité

Roland Reymondier

extraits 

Comment notre société nous vend des “produits nouveaux” ou des “Mozart de la finance” comme les choses les plus abouties dans un domaine particulier pour se rendre compte quelque temps après que ce n’était que de la mystification. Oui, 8 ans après la mise en place d’une intelligence artificielle au sommet de l’Etat on en mesure financièrement  les dégâts ! 
L’intelligence artificielle est ce qu’elle prétend être: ARTIFICIELLE.

Alors, s’il vous plaît ne croyez pas trop aux développements exponentiels de ses fabuleuses “intelligences” car étymologiquement c’est un artifice qui ne pourra jamais remplacer la véritable intelligence, comme malheureusement un fauteuil roulant ne remplace pas nos jambes.

Si vous ne voyez pas la CONNERIE organisée autour de ce nouveau mirage, c’est que vous ne voyez pas qu’on vit dans un monde de dupe et qu’on nous prend pour des cons volontairement, c’est parce que vous n’êtes pas vigilants et ne pratiquez pas LA PLEINE CONSCIENCE. Cette dernière vous donne accès à l’INTELLIGENCE NATURELLE ( la vraie) et si vous voulez vous exercer rien de tel que de commencer avec Pleine Conscience – PLEINE CONSCIENCE – MBSR

Alors arrêtez de faire confiance à des béquilles de l’intelligence..

S’il vous plaît, plus vous ferez confiance à une intelligence qui n’est pas la vôtre, plus vous pourrez vous montrer facilement malléable à toutes les formes de manipulations. DIEU que les manipulateurs de l’info sont forts pour vous faire prendre des vessies pour des lanternes !

L’enthousiasme généralisé autour de l’IA générative, en particulier les grands modèles linguistiques (LLMs : large language models) comme ChatGPT, Gemini, Grok et DeepSeek, repose sur un malentendu fondamental. Alors que ces systèmes impressionnent les utilisateurs par des réponses articulées et des arguments apparemment raisonnés, la vérité est que ce qui semble être un « raisonnement » n’est rien de plus qu’une forme sophistiquée de mimétisme.

Ces modèles ne recherchent pas la vérité à travers les faits et les arguments logiques – ils prédisent le texte en se basant sur des modèles présents dans les vastes ensembles de données sur lesquels ils sont « entraînés ». Ce n’est pas de l’intelligence – et ce n’est pas du raisonnement. Je suis sûr que les utilisateurs enthousiastes de l’IA seront surpris d’apprendre que l’architecture au cœur des LLMs est floue – et incompatible avec la logique structurée ou la causalité. La pensée n’est pas réelle, elle est simulée, et n’est même pas séquentielle. Ce que les gens prennent pour de la compréhension est en fait une association statistique.

Les nouvelles fonctionnalités tant vantées – comme les explications par « chaîne de pensée » – sont des astuces conçues pour impressionner l’utilisateur. Ce que les utilisateurs voient en réalité est davantage décrit comme une sorte de rationalisation générée une fois que le modèle est déjà parvenu à sa réponse via une prédiction probabiliste. L’illusion est cependant suffisamment forte pour faire croire à l’utilisateur que la machine s’engage dans une véritable délibération. Et cette illusion ne se contente pas d’induire en erreur, elle justifie.

Les preuves ne manquent pas.

Une conversation récente que j’ai entamée avec DeepSeek sur le racisme systémique, que j’ai ensuite renvoyée au chatbot pour autocritique, a révélé que le modèle commettait (et reconnaissait !) un barrage de sophismes logiques, alimentés par des études et des chiffres totalement inventés. Lorsqu’elle a été mise en cause, l’IA a euphémiquement qualifié l’un de ses mensonges de « composite hypothétique ». Pressée davantage, DeepSeek s’est excusée pour un autre « faux pas », puis a ajusté sa tactique pour s’aligner sur la compétence de l’argument adverse. Il ne s’agit pas d’une recherche d’exactitude, mais d’un exercice de persuasion.

Un débat similaire avec Gemini de Google – le modèle qui s’est rendu célèbre pour son côté risible « woke » – a donné lieu à une argumentation persuasive similaire. À la fin, le modèle a reconnu par euphémisme la faiblesse de son argumentation et a tacitement avoué sa malhonnêteté.

Selon Anthropic, un laboratoire d’IA de premier plan, « les modèles de raisonnement avancés cachent très souvent leurs véritables processus de pensée, et le font parfois lorsque leurs comportements sont explicitement mal alignés ».

Pour être juste, certains membres de la communauté des chercheurs en IA tentent de remédier à ces lacunes. Des projets comme TruthfulQA d’OpenAI et le cadre HHH (Helpful, Honest, and Harmless : Utile, Honnête et Inoffensif) d’Anthropic visent à améliorer la fiabilité factuelle et la fidélité des résultats du LLM. L’inconvénient est qu’il s’agit d’efforts correctifs superposés à une architecture qui n’a jamais été conçue pour rechercher la vérité et qui reste fondamentalement aveugle à la validité épistémique.

Elon Musk est peut-être la seule personnalité majeure de l’espace IA à déclarer publiquement que la recherche de la vérité devrait être importante dans le développement de l’IA. 

Dans l’espace de l’IA générative, la vérité est reléguée au second plan par rapport aux préoccupations relatives à la « sécurité », c’est-à-dire à la nécessité d’éviter les offenses dans notre monde woke hyper-sensible. La vérité est considérée comme un simple aspect de la conception dite « responsable ». Et le terme « IA responsable » est devenu un parapluie pour les efforts visant à garantir la sécurité, l’équité et l’inclusion, qui sont généralement des objectifs louables mais définitivement subjectifs. Cette focalisation occulte souvent la nécessité fondamentale d’une humble véracité dans les résultats de l’IA.

Les LLMs sont principalement optimisés pour produire des réponses utiles et persuasives, mais pas nécessairement exactes. Ce choix de conception conduit à ce que les chercheurs de l’institut Internet d’Oxford appellent le « discours imprudent », c’est-à-dire des réponses qui semblent plausibles mais qui sont souvent incorrectes sur le plan des faits, érodant ainsi les fondements d’un discours éclairé.

Cette préoccupation deviendra de plus en plus critique au fur et à mesure que l’IA continuera à pénétrer la société. Entre de mauvaises mains, ces modèles persuasifs, multilingues et à la personnalité flexible peuvent être déployés pour soutenir des programmes qui ne tolèrent pas bien la dissidence. Un infatigable persuadeur numérique qui ne faiblit jamais et n’admet jamais ses torts est le rêve de tout totalitaire. Dans un système comme le régime chinois du crédit social, ces outils deviennent des instruments de renforcement idéologique, et non des outils d’information.

L’IA générative est sans aucun doute une merveille de l’ingénierie informatique. Mais soyons clairs : elle n’est pas intelligente, elle n’est pas véridique de par sa conception et elle n’est pas neutre dans les faits. 

Alors du côté de l’IA l’objectif est atteint, non seulement vous ne vous sentirez pas intelligent mais vous serez dominé par des imbéciles au vernis d’intelligence.

Yves RASIR

On a beau s’y attendre, la mort d’un être qui nous est cher est toujours attristante. Même si elle a bien et très longtemps vécu, la personne disparue laisse soudain un vide que rien ne semble pouvoir combler. C’est le sentiment que j’ai eu en apprenant le décès, le 19 août dernier à l’âge de 95 ans, de l’obstétricien Michel Odent.  Dire que j’appréciais et admirais ce grand monsieur de la médecine, pionnier de l’humanisation de la naissance, serait réduire l’immense respect qu’il m’inspirait. 

Avec le Dr Ryke Geerd Hamer, il restera probablement la personnalité dont les travaux et les écrits m’auront le plus marqué durant mon parcours de journaliste. Et dans l’histoire de la revue Néosanté, il restera sans doute l’un de ses plus prestigieux contributeurs. À plusieurs reprises, Michel Odent nous avait en effet offert des textes ou nous avait autorisé à en reproduire dans le mensuel ou sur notre site. Il suivait nos tribulations éditoriales avec sympathie et nous encourageait dans les difficultés. 

Non sans étonnement et fierté, j’avais ensuite découvert qu’il lisait fidèlement mon infolettre hebdomadaire. Régulièrement, il réagissait à mes propos et m’envoyait ses commentaires, parfois critiques mais toujours amicaux et bienveillants. Michel Odent n’était pas seulement un savant exceptionnel qui aurait mille fois mérité le Prix Nobel. C’était également un homme charmant muni de qualités humaines peu communes. Aussi me dois-je de saluer son départ par un article d’hommage retraçant succinctement sa vie et son œuvre. 

Né dans l’Oise en 1930, Michel Odent s’est d’abord formé en chirurgie générale, avant de se spécialiser en obstétrique. Cet ancrage chirurgical lui donnera une légitimité particulière, dans un milieu médical alors peu enclin à remettre en question ses pratiques standardisées. Dans les années 60, il est nommé chef de service à l’hôpital de Pithiviers, une petite ville du Loiret. C’est là que sa carrière prend un tournant décisif. Loin des grandes maternités universitaires, il jouit dans cet établissement provincial d’une large liberté d’action.  Il y développe une approche expérimentale de l’accouchement, centrée sur la femme et son ressenti plutôt que sur la technicité.

Comme il l’a raconté lui-même dans Néosanté, l’époque est alors à la contestation tous azimuts. Début des années 70, Ivan Illich publie son réquisitoire Némésis Médicale contre la médicalisation outrancière, les premières critiques contre l’obstétrique moderne fleurissent en Californie et le gynécologue-obstétricien Frédérick Leboyer publie son retentissant plaidoyer Pour une naissance sans violence.  Ce best-seller vire au phénomène sociologique et des milliers de Françaises se mettent en quête de lieux ouverts aux idées de Leboyer. Celui-ci visite la maternité de Pithiviers en 1975 et se lie aussitôt d’amitié avec Michel Odent, dont il devient en quelque sorte le mentor. 

Sous la direction du premier, l’hôpital provincial était déjà devenu un laboratoire d’innovations sans équivalent. Le Dr Odent avait créé ce qu’il appelait des « salles de naissances naturelles » conçues pour rassurer les femmes et leur offrir un environnement intime.  Lumière tamisée, décor chaleureux, absence de machines et de monitoring envahissant, présence discrète des soignants : l’objectif était de favoriser la sécrétion des hormones propices au bon déroulement de l’accouchement, en particulier l’ocytocine dont Michel Odent deviendra sans doute le meilleur connaisseur et à laquelle il a consacré l’un de ses nombreux livres. Le premier de ses ouvrages, intitulé Bien Naître et sorti en 1976, initie une véritable révolution des mentalités et des habitudes obstétricales.

C’est que l’ami et l’émule de Leboyer n’a pas seulement restreint la médicalisation de l’accouchement : il lui a rendu son caractère naturel et instinctif que la médecine mécaniste et interventionniste avait fait disparaître. Parmi les innovations introduites à Pithiviers, citons par exemple la liberté de mouvement de la parturiente . À une époque où la position allongée sur le dos et les pieds dans les étriers était la norme, Odent autorise les femmes à « mettre bas » instinctivement dans une position beaucoup plus physiologique : debout, assise ou à quatre pattes. C’est moins commode pour l’accoucheur mais beaucoup plus confortable pour l’accouchée ! 

Mentionnons aussi l’usage du bain chaud et la possibilité d’accoucher dans l’eau. Plongé dans une baignoire, le corps est plus détendu, les contractions sont moins douloureuses et la dilatation du col utérin s’effectue plus facilement. Accueilli dans un milieu aquatique, le nouveau-né passe en douceur du liquide amniotique à son nouvel environnement aérien. Considérées comme excentriques dans les années 70, ces pratiques s’appuyaient pourtant sur des observations rigoureusement scientifiques. Odent considérait que l’intervention médicale devait être réduite au minimum afin de  laisser le corps féminin exprimer son intelligence biologique.

Aujourd’hui, l’accouchement dans l’eau demeure encore marginal. Mais quelle maternité ne possède pas de nos jours sa salle de « naissance nature » dotée d’une baignoire préparatoire et de mobilier (canapés, banquettes…) et équipements (ballons, lianes…) favorisant la liberté de posture ? Il y a une trentaine d’années, la mère de mes trois filles leur a donné naissance à la clinique de Braine-L’alleud, seul établissement de Belgique francophone offrant alors la possibilité d’accoucher selon les principes définis par Odent et Leboyer. Aujourd’hui, ma progéniture a l’embarras du choix car  chaque maternité, ou presque, possède son « cocon » humanisé et sécurisant. Je pense que la belle santé physique et mentale de mes trois enfants découle en bonne partie de leur venue au monde « différente ». Alors que le premier accouchement s’était compliqué et avait nécessité l’usage de la ventouse, mon épouse a pourtant persisté dans le refus de l’anesthésie péridurale pour les deux suivants : c’est dire si la magie de ce havre de sérénité avait opéré ! 

Ça ne signifie pas que la révolution est accomplie et que les « heureux événements » se déroulent désormais à l’abri de l’obstétrique barbare et brutalisante. Il y a maintenant un an et demi, ma fille aînée a été harcelée par deux gynécologues et une sage-femme pour déclencher artificiellement l’accouchement de mon premier petit-fils, sous le prétexte abusif d’une possible souffrance fœtale en raison du retard sur la date prévue. Résultat : les contractions ont été plus violentes et la délivrance a été longue et pénible. J’ai été choqué en visitant la jeune mère, très éprouvée, le lendemain de ce calvaire. Avec les césariennes de commodité – auxquelles Michel Odent a également consacré un ouvrage révolté -, le déclenchement des accouchements par ocytocine synthétique est une pratique antinaturelle toujours trop incrustée dans les maternités. 

S’il reste encore des progrès à faire dans l’art d’accoucher, il demeure aussi un fabuleux héritage « odentien » à exploiter, celui relatif à la santé primale, période allant de la conception au premier anniversaire. En 1985, Michel Odent quitte la France et s’installe à Londres pour y fonder le Primal Health Research Centre, institut de référence dans l’étude des effets à long terme de la période périnatale. Pour l’auteur de Bien naître , l’ocytocine n’est pas uniquement une sécrétion orchestrant la procréation et régulant les contractions utérines. Cette « hormone de l’amour » produite par l’hypophyse conditionne également l’attachement mère-enfant après la naissance. Selon lui, la façon dont les humains naissent a de profondes et durables conséquences psychologiques et sociales.

Dans ses articles et ouvrages sur la santé primale, notamment L’amour scientifié (1999), il avance même qu’un accouchement traumatisant peut influencer la prévalence de certaines maladies chroniques et de certains troubles du comportement.  Cette thèse avant-gardiste a depuis été validée par les recherches en neurosciences et en épigénétique. Entre autres effets secondaires d’un stress primal, les capacités d’empathie et de solidarité seraient moins développées chez les adultes ayant vécu ce mauvais départ dans la vie. Poursuivant ses recherches et élargissant ses réflexions, Michel Odent en était arrivé à la conclusion que la médicalisation de l’accouchement et l’industrialisation de la médecine en général risquaient carrément de compromettre la survie de l’Humanité ! 

À mesure qu’il explorait la santé primale, Michel Odent avait donc adopté un point de vue radical : comme chez l’animal et à l’instar des sociétés primitives, il préconisait que la femme accouche solitairement, à domicile ou dans une maison de naissance, éventuellement accompagnée par d’autres femmes (doulas, sage-femmes), mais en dehors de toute présence masculine perturbant la production d’ocytocine. Il a ainsi inspiré de nombreuses femmes intrépides comme  l’influenceuse suisse Ema Krusi, qui a accouché de son dernier enfant toute seule dans sa salle de bain ! Une fois le bébé né, il recommandait bien évidemment de laisser battre son cordon ombilical avant de le couper, de mettre immédiatement le nourrisson en contact « peau à peau » avec la maman et de lui présenter le sein sans autre délai.

En parfaite cohérence avec sa pensée scientifique, l’obstétricien-écrivain militait effectivement pour l’allaitement maternel. Dans les années 80, pendant mon service civil d’objecteur de conscience, j’ai activement contribué à la dénonciation du « scandale Nestlé » : avec d’autres multinationales du lait en poudre, cette firme immorale a persuadé des millions de femmes de recourir au biberon et a provoqué ainsi des ravages dans le Tiers-Monde en y décuplant la mortalité infantile. Je me souviens que mon ONG de coopération au développement s’était alliée sur ce dossier avec  La Leche League, l’association internationale qui promeut l’allaitement maternel, et que Michel Odent lui apportait déjà son soutien plein et entier. Dans son testament, le médecin humaniste a confirmé son engagement pour cette cause puisqu’il a demandé qu’à ses funérailles, les fleurs et les couronnes soient remplacées par un don à La Leche League !

Depuis une dizaine d’années, l’infatigable chercheur s’était trouvé une nouvelle marotte scientifique : démontrer que l’Homme est un « mammifère marin » ayant longtemps séjourné dans la mer  avant de regagner la terre ferme. Pour formuler sa théorie, il s’appuyait sur la physiologie humaine, sur d’étranges particularités anatomiques et sur les rapports physico-chimiques entretenus par Homo Sapiens avec la molécule H2O. Comme d’autres chercheurs, Odent était convaincu que l’eau recelait encore bien des mystères et que notre connexion avec cet élément promettait de nouvelles découvertes bouleversantes. Il exprime cette conviction dans son tout dernier livre Homo et la planète Océan, sorti en 2022. 

Attention : sur la très sommaire page Wikipédia dédiée à Michel Odent, la bibliographie est loin d’être exhaustive. Si vous tapez son nom sur Amazon, vous verrez qu’il a écrit, cox§-écrit ou préfacé des dizaines d’autres ouvrages, sur des thématiques diverses et variées comme l’allaitement instinctif, l’éducation, la pollution par les plastiques ou la fonction spirituelle de l’orgasme. Si l’on ajoute  les 64 études scientifiques où son nom apparaît sur PubMed, on mesure mieux l’ampleur de son œuvre et l’on ne s’étonne plus que cet auteur prolifique ait vécu presque un siècle. 

Il y a dix semaines à peine, il a accordé une ultime interview au magazine Nexus. Son élocution n’était plus celle d’un jeune homme mais son esprit n’avait rien perdu en vivacité lors de cet entretien qui restera à jamais comme le dernier message – un message optimiste !  – adressé à la postérité par un grand sage. Mille mercis, cher Michel Odent, de vous être incarné au bon moment et d’avoir instruit des millions de futurs parents sur les enjeux de la naissance. Et bonne ascension vers les étoiles qui vous reconnaîtront à coup sûr comme l’une des leurs, parmi les plus lumineuses. 

Note de TAL : Dans mon livre Des êtres merveilleux, créateurs de bonheur et de joie je parle de Michel ODENT dans le chapitre sur Frédéric LEBOYER. C’est grâce à eux deux qu’une nouvelle vision de la naissance a pu émerger et faire sortir les femmes de la médicalisation à outrancedde leur vie intime.

Je rends aussi hommage à Ema KRUSI  (voir son site emakrusi.com) qui est ardente et efficace pour aider les femmes à vivre une grossesse et un accouchement de qualité avec les formations qu’elle propose.

Ces informations vous sont présentées par :

• Christian Tal SCHALLER
• Johanne RAZANAMAHAY-SCHALLER
• Gwen CLAPPE

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