“— Mais où est-ce que je vais ?
Il n’y a nulle part où aller,
le but est atteint à chaque instant,
tu vas où tu es, sois libre.
Tu dois comprendre que ton point de départ
est ta présence au présent,
et celle-ci en est en même temps
le point d’arrivée.”
Jean Klein à sa fille Nita
Marion Sigaut reçue par Dieudo.
LA GUERRE CONTRE TOUS. Excellent. 42 min
https://x.com/MbalaDieudo/status/1969673147818365324
COMMENT LA SEXUALISATION COMMENCEE PAR MACKINSEY A PERVERTI
L’OCCIDENT
LIVRE Un rhume, ça s’attrape, vraiment ? de Daniel Roytas, Préface du Dr Samantha Bailey
Editions Marco PIETTEUR
Depuis votre plus tendre enfance, vous avez appris que le rhume et la grippe se transmettent par des virus contagieux. Mais cette théorie est-elle vraiment prouvée ? Dans ce livre, Daniel Roytas plonge au cœur des recherches scientifiques et expériences oubliées pour questionner les dogmes les plus ancrés de la médecine moderne. L’auteur révèle que de très nombreuses études n’ont jamais réussi à démontrer la transmission d’un rhume ou d’une grippe d’un individu à l’autre. Alors, pourquoi tombons-nous malades ? L’explication pourrait se cacher ailleurs dans notre environnement, notre état psychologique, nos habitudes de vie et même dans notre propre corps, qui pourrait utiliser la maladie comme un processus naturel de détoxification. La peur de la contagion a façonné notre matière de vie, de penser et d’interagir avec les autres. Mais que se passerait-il si cette peur reposait sur une croyance erronée ? Avec plus de 1000 références scientifiques, ce livre vous invite à ouvrir les yeux sur une réalité méconnue et à repenser la santé sous un nouveau prisme. Un ouvrage qui bouscule, essentiel pour quiconque cherche à comprendre le véritable fonctionnement du corps humain. Un livre qui certainement, dans le futur, quand les facultés de médecine ne seront plus sous la tutelle de Big Pharma, deviendra un des livres-clés pour former de nouvelles générations de médecins !
Votre estime du corps humain va s’accroître quand vous réaliserez que les symptômes des maladies dites infectieuses ne sont pas le problème mais le remède au problème car ils correspondent eux efforts du corps pour se dépolluer !
Vos rapports avec les autres se renforcent car vous n’avez plus peur d’attraper quelque chose ou de transmettre quelque chose à vos semblables. Votre connexion avec la nature s’approfondit car vous réalisez qu’elle n’est pas là pour vous nuire, les germes sont un signe d’aide plutôt qu’un obstacle. Au lieu d’être quelque chose qu’on attrape par hasard, la maladie est quelque chose qu’on provoque par un mode de vie malsain. Votre vision de la santé va se transformer. La santé ne s’attrape pas, elle se cultive grâce à une alimentation et mode de vie harmonieux en minimisant votre exposition aux substances nocives de l’environnement. Ainsi, vous serez plus responsable de votre santé.
En fait, ce livre montre deux scénarios pour l’avenir du monde. Le premier présente un monde qui continue de s’aligner sur la doctrine de la contagion, le second la rejette. Il n’est pas difficile d’imaginer un monde régi par des germes contagieux car tout le monde le connaît déjà bien. Tout comme, dans un passé récent, nos libertés ont été érodées par des bureaucrates qui se proclament seuls capables de protéger l’humanité contre un ennemi invisible. Notre souveraineté n’est plus qu’un souvenir lointain. Les gouvernements et les institutions se sont auto-proclamés arbitres incontestables de la vérité et ont décrété que la science des germes est établie. Quiconque exprime son désaccord est considéré comme une menace pour la sécurité et traité en conséquence. Cependant, n’oubliez pas que toutes les mesures de protection comme les vaccins, les confinements, les quarantaines, les couvres-feu, les masques faciaux, la distanciation sociale, les passeports sanitaires et autres mesures ont été présentées comme indispensables mais n’ont donné aucun résultat. Les personnes enrhumées ou grippées sont considérées comme des parias et rejetées de la société. Au fur et à mesure que le contrôle étatique renforce son emprise, les souvenirs d’un monde libre s’estompent et l’humanité se retrouve enchaînée et prisonnière de la théorie des germes pour l’éternité.
En revanche, un monde qui s’est affranchi de la doctrine de la contagion considère que la crainte de la transmission des maladies appartient au passé. Les institutions ont changé de cap et ont unis leurs efforts pour découvrir la véritable cause des maladies infectieuses. Elles ont ainsi découvert que la destruction systématique des germes par des produits chimiques toxiques fabriqués par l’homme, la pollution sous toutes ses formes et les aliments ultra transformés, tout cela a été à l’origine des maladies. Les individus ont compris que les maladies ne s’attrapent pas, elles sont la conséquence d’un mode de vie déséquilibré. Cet ouvrage présente un nombre impressionnant d’études qui ont été faites pour essayer de transmettre une maladie d’une personne à une autre, mais cela n’a jamais été démontré. Ce qui est présenté comme « la science » est basé sur des concepts faux. Quand on dit que c’est un virus ou une bactérie qui est la cause d’une maladie, on omet le fait le fait que cela n’a jamais été prouvé, c’est une hypothèse non vérifiée !
Chacun est responsable de sa santé et doit apprendre à vivre en respectant les lois universelles.
Regardez “L’impact du jeûne sur le métabolisme” sur YouTube
https://youtube.com/shorts/OttfxT6seKs?si=gnysjQspWFBGUzyw
Thierry CASASNOVAS en pleine forme !
LA FOLIE DU TRANSHUMANISME
Dans sa conférence lors de la 21e AZK, le Dr Ana Maria Mihalcea met en garde contre le programme transhumaniste. La fusion de l’homme et de la technologie vise à créer de nouveaux organismes, appelés « transhumains ». Selon un document de la Commission européenne, les êtres humains génétiquement « améliorés » constitueraient même la majorité d’ici 2050, grâce à des implants technologiques implantés ou inoculés. Le Dr Mihalcea fournit des preuves de cette nanotechnologie, qui a été retrouvée dans les vaccins COVID-19, dans le sang et dans les précipitations issues de la géo-ingénierie.
Plus d’informations sur le Dr. Ana Maria Mihalcea :
www.dranamihalcea.com
Crowdbunker : 1 milliard par mois, le scandale des tests PCR (rappel)
Un vrai scandale ! Le COVID n’a eu que pour but d’enrichir les lobbys !
ET AUSSI
600 mille tests pré contaminés Covid19 (rappel)
Le gouvernement français est coupable de cette colossale escroquerie mijotée par Bill GATES
Poutine s’adresse directement aux peuples occidentaux :
Salik de Bonnault via redirect.mail.infomaniak.ch
Les lecteurs d’ https://eveilleursdelaube.fr/ comprennent d’autant mieux
ce que vous dit Poutine car ils savent ce que persistent à ignorer ceux
qui se refusent à cette lecture ô combien libératrice,
parce que victimes du syndrome de Stockholm…
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Poutine s’adresse directement aux peuples occidentaux :
« La Russie n’est pas responsable de vos souffrances. Vos difficultés
viennent de vos propres élites : leurs erreurs, leur cupidité et leur
obsession du profit. »
on vous vend depuis des années le mythe d’une “menace russe” pour
justifier vos sacrifices.
On vous explique que l’inflation, la flambée de l’énergie et
l’effondrement de vos services publics seraient la faute de Moscou.
La vérité, dit Poutine, c’est que « vos dirigeants vous ont
volontairement appauvris.
Ils ont détruit vos économies, dilapidé vos ressources et plongé des
millions de familles dans la précarité. »
Et pendant qu’ils prétendent “cibler la Russie” avec leurs sanctions,
c’est vous qui payez l’addition
Ctowdbunker : Scandale Mondial : Trump accuse Brigitte Macron, la vérité éclate !
Aie , l’affaire MACRON ! C’est vraiment une affaire d’Etat maintenant : le couple Macron doit absolument trouver des preuves montrant que Candace OWENS dit des sottises, mais ont-ils les moyens de le faire ?
VACCINS TOXIQUES
Preuve directe que Trump s’en prend aux sociétés pharmaceutiques meurtrières en masse, il a publié une vidéo affirmant que les vaccins sont toxiques.
Le très select club des non-injectés
COMPLOTS CONTRE NOS LIBERTÉS FONDAMENTALES ET NOS VIES
La lettre du très select club des non-injectés et complotistes les mieux informés de la planète
Désobéir ! Refuser l’inacceptable ! Ne pas se soumettre !
Enfin !
Par Patrick Ledrappier
RFK Jr.
En arrière-plan, conférence de presse de Donald J. Trump du 22 septembre 2025
On a vécu assez de simulacres pour reconnaître la vérité quand elle revient frapper à la porte. Patrick Ledrappier
Enfin ! Un responsable politique qui connaît les dossiers, qui parle la langue du droit, de la science – et qui agit.
Que pourrait-on reprocher à Robert F. Kennedy Jr. ? Certainement pas d’être inconséquent ?
Son entrée à la direction de la Santé aux États-Unis, son remaniement du comité vaccinal, ses décisions au scalpel et ses arbitrages millimétrés l’ont montré : il ne gesticule pas, il agit en conjuguant rigueur technique, scientifique et juridique avec une empathie d’une rare authenticité – vertu étrangère aux politiciens.
Deux tempos, une seule dynamique : imposer la vérité
Alors que RFK Jr. se contraint à la prudence pour éviter d’être neutralisé par le Congrès, Trump cogne – jusqu’à l’ONU, où, le 23 septembre 2025, il réduit en miettes les dogmes destructeurs de la civilisation occidentale imposés par les mondialonazis et qualifie, très justement, le réchauffement climatique de « plus grand canular jamais perpétré dans le monde ».
Mais qu’on ne s’y trompe pas : ce duo pense, élabore et agit de concert. Le rythme diffère – posture réservée et prudente chez RFK, ton direct et sans ambages chez Trump.
Quand, le 22 septembre 2025, le Président des États-Unis évoque les populations non vaccinées indemnes d’autisme et qu’il se tourne vers RFK Jr. à ce sujet, ce dernier cite prudemment les Amish, et Trump de répondre : « Bobby veut être très prudent dans ce qu’il dit, et il doit l’être, mais moi je ne suis pas si prudent. Il y a certains groupes, les Amish, par exemple : ils n’ont pratiquement pas d’autisme. »
Si les tempos des deux hommes divergent, la dynamique reste la même : faire triompher la vérité sur toute autre considération en matière de santé.
RFK Jr., l’expert qu’ils feignent de ne pas reconnaître
Dans le vacarme provoqué par les menaces que la vérité fait peser sur les milliards de profits réalisés par Big Pharma – grâce à la corruption des politiciens – un fait obstiné demeure : RFK Jr. est aujourd’hui l’acteur politique le plus compétent sur le terrain vaccinal – histoire réglementaire, contentieux, pharmacovigilance, capture institutionnelle (situation où une institution publique – agence sanitaire, organisme de régulation, comité d’experts – qui est censée défendre l’intérêt général se retrouve, en pratique, sous l’influence des intérêts privés qu’elle est censée surveiller.).
Dire cela, ce n’est pas un slogan – c’est un corpus. Il a documenté comment la FDA, le CDC, l’OMS ou le NEJM/Lancet ont été capturés par Big Pharma ; il explique que les recommandations vaccinales ne reposent pas sur une science indépendante, mais sur des institutions financées, infiltrées ou soumises à l’industrie, etc.
C’est pourquoi il veut reconstruire des organes de santé débarrassés de ces influences (remaniement de l’ACIP avec « transparence radicale »).
Il a reconfiguré le comité qui guide les recommandations américaines (ACIP), restreint l’usage des produits à ARNm aux groupes à risque (pour l’instant, car il sait très bien que ces produits sont des poisons pour tout le monde) et replacé la preuve au centre de toutes choses en matière de santé.
Il ne vient pas de nulle part
RFK Jr., ne vient pas de nulle part et ses batailles judiciaires disent ce qu’il est : un homme de contentieux qui pousse les institutions à se justifier. Il s’est battu – avec Children’s Health Defense – contre Meta/Facebook sur la censure des contenus médicaux (affaire perdue en appel, puis certiorari refusé – la Cour suprême des États-Unis a décliné d’examiner l’affaire – mais l’empreinte jurisprudentielle existe).
Il a affronté la FDA dans d’autres dossiers, et il fait aujourd’hui face à des plaintes d’États et de sociétés savantes qui contestent ses rénovations accélérées de la politique vaccinale. Le débat n’est pas clos – et il est enfin public.
Les écrits de RFK Jr.
RFK Jr. n’est pas seulement un avocat pugnace : il est aussi un auteur prolifique. Parmi ses ouvrages de référence :
– The Real Anthony Fauci: Bill Gates, Big Pharma, and the Global War on Democracy and Public Health (« Le véritable Anthony Fauci : Bill Gates, Big Pharma et la guerre mondiale contre la démocratie et la santé publique », 2021), best-seller mondial.
– Vax-Unvax: Let the Science Speak (« Vaccinés-Non vaccinés : laissons parler la science », 2023), plaidoyer pour une confrontation honnête des données.
– A Letter to Liberals (« Lettre aux libéraux ») (2022) : Censure et Covid, une attaque contre la science et les idéaux américains, dénonciation de la censure sanitaire.
– Crimes Against Nature (Crimes contre la nature ») (2004) : Comment George W. Bush et ses amis des grandes entreprises pillent le pays et détournent notre démocratie, enquête sur la corruption du pouvoir politique par les intérêts industriels.
– Des dizaines d’autres essais et ouvrages (plus de soixante références au total).
À côté de ses livres, il a signé de nombreux articles et tribunes dans la presse internationale – dont le fameux Deadly Immunity (« Immunité mortelle », Rolling Stone / Salon, 2005), qui exposait les compromissions autour du thimérosal, ainsi que des éditoriaux récents dans le Wall Street Journal ou le New York Post.
C’est ce corpus – livres, enquêtes, tribunes – qui fait de lui bien plus qu’un politicien : un expert armé de dossiers, dont l’autorité s’est construite sur les connaissances accumulées et la durée.
À côté de ses livres, il a signé des dizaines d’articles et tribunes dans la presse internationale – dont le fameux Deadly Immunity (Rolling Stone / Salon, 2005), qui exposait les compromissions autour du thimérosal, et des éditoriaux récents dans le Wall Street Journal ou le New York Post.
Big Pharma n’a aucun intérêt à un retour à la santé des populations malades
Quant au fond – la critique économique du complexe vaccinal – son idée est limpide, et il la répète inlassablement dans ses tribunes comme dans ses allocutions : un système médical de soin qui prospère sur la chronicité des maladies qu’il provoque lui-même n’a aucun intérêt au retour à la santé.
Même si les démocrates le prennent en permanence de haut, ils savent qu’ils ont face à eux un véritable expert – sans doute le meilleur au monde sur ces questions – et qu’ils ne pourront gagner aucun combat contre lui si la vérité en est l’arbitre.
Il leur faudra donc trouver autre chose pour le sortir du jeu où l’a placé, très intelligemment, Donald J. Trump.
Les Amish en question
Il est possible de trouver la vidéo sur internet dans laquelle il révèle que le rédacteur en chef de United Press International (UPI), Dan Olmsted (1954-2017), « était très curieux au sujet des populations non vaccinées, et les Amish sont l’une de ces populations. Il a donc mené une étude sur les Amish… En suivant les tendances nationales, il aurait dû y avoir environ 2 000 cas d’autisme. Et ils en ont trouvé trois. Et tous étaient des enfants qui avaient été adoptés par les Amish après avoir reçu leurs vaccins. Parmi les Amish en général, ils n’en ont trouvé aucun. »
La vérité exige des études comparatives entre populations vaccinées et non vaccinées…
Bien sûr, le sérail financé par Big Pharma – et qui tire de là ses incroyables revenus – s’en est offusqué : « Ce n’est pas une étude scientifique publiée dans une revue médicale, mais un reportage journalistique. »
Et RFK Jr. de les prendre au mot : « Oui, vous avez raison, on ne peut pas se contenter de reportages journalistiques. Il est grand temps de faire de véritables études comparatives publiques, à la méthodologie irréprochable, sur les populations vaccinées et celles qui ne le sont pas. »
Et là, silence radio. Ils ne savent pas quoi répondre – ils savent ce qui les attend. Ce n’est pas pour rien que de telles études ont systématiquement été refusées par les autorités sanitaires et que les données qui existaient à ce sujet ont été détruites.
Voilà le cœur de la doctrine de RFK Jr. : produisons des preuves indiscutables.
La patience stratégique et mère des suretés
Dans le camp des défenseurs des enfants et de la vérité, on lui reproche de ne pas appliquer tout de suite les seules solutions qui vaillent face à ce fléau et ce crime contre l’humanité qu’est la vaccination obligatoire (même la vaccination tout court) :
– Interdire les vaccins (ou du moins interdire toute forme d’obligation, directe ou indirecte).
– Interdire la publicité de Big Pharma.
– Abolir l’immunité de Big Pharma.
– Imposer la responsabilité pénale de tous les salariés de Big Pharma et des injecteurs – fini les amendes par milliards, mais saisie des biens des responsables, du petit biologiste au CEO, en passant par le pédiatre injecteur, avec condamnation à de la prison selon le droit commun.
Mais justement : il ne veut pas offrir aux juges fédéraux, aux sénateurs démocrates et aux lobbys une victoire procédurale. Il bétonne.
D’abord, les études jamais faites. Ensuite, les mesures calées sur des résultats incontestables. Enfin, la purge des conflits d’intérêt.
Et, surtout, la pédagogie – l’art de la répétition – pour déplacer le centre de gravité culturel sans hystérie ni déni. Son HHS parle de « restauration de la confiance » : ce n’est pas un vernis, c’est un calendrier judiciaire.
Cas d’école : le comité ACIP, recomposé, ne recommande plus le MMRV (rougeole-oreillons-rubéole-varicelle) avant 4 ans et recommande désormais de séparer l’injection du vaccin contre la varicelle des autres vaccins.
Et il en explique les raisons – une fois que vous les connaissez, vous n’avez plus envie de confier vos enfants à des pédiatres dont vous venez d’apprendre, en plus, qu’ils sont grassement rémunérés par Big Pharma.
Ce n’est pas un totem idéologique, c’est une inflexion précise du calendrier, argumentable devant n’importe quel comité du Sénat ou devant n’importe quelle cour. Et cela change tout.
Reste l’épidémiologie : les CDC estiment désormais la prévalence de l’ASD (trouble du spectre de l’autisme) à environ 1 enfant sur 31 à l’âge de 8 ans – contre 1 sur 2 500 en 1980 – tout en refusant d’y voir un lien avec l’explosion des injections vaccinales, passées de 7 doses avant 6 ans en 1980 à 72 doses entre la naissance (dès la première heure de vie) et 18 ans.
Il en tient compte – puis il repose la question : « Pourquoi refuse-t-on toujours des études comparatives vaccinés/non vaccinés qui clarifieraient, une bonne fois, le rôle respectif de l’exposition vaccinale, du paracétamol (acétaminophène) ou des déficits en acide folique ? »
La patience, ici, n’est pas faiblesse ou renoncement. C’est la condition de la victoire judiciaire.
La déflagration finale : « Nous allons probablement cesser de publier dans The Lancet, New EnglandJournal of Medicine, JAMA et toutes les autres revues scientifiques, car elles sont toutes corrompues. »
Ces mots, prononcés par RFK Jr., ont la force d’une charge de C4.
Car ce qu’il vise, ce ne sont pas des revues scientifiques parmi d’autres : ce sont les piliers symboliques de la science médicale mondiale, ceux qui fixent l’orthodoxie et distribuent les brevets de respectabilité universitaire.
Leur rôle est immense : ce sont elles qui valident les carrières des chercheurs, qui orientent les politiques de santé publique, qui servent de références incontournables pour les agences internationales comme l’OMS ou la FDA.
Publier dans le NEJM ou dans The Lancet n’est pas un détail de CV – c’est le sésame qui ouvre les financements, les chaires, les recommandations officielles.
« Distribuer leurs études comme des prospectus »
Mais ces institutions ne vivent pas de l’air du temps : elles dépendent largement du financement de Big Pharma – abonnements, tirages publicitaires, suppléments sponsorisés par les laboratoires.
Ce n’est pas un secret : l’essentiel de leurs revenus vient des annonces publicitaires de l’industrie pharmaceutique et des « reprints » achetés par les labos pour distribuer leurs propres études – qui ne subissent aucun contrôle véritablement indépendant – comme des prospectus.
Et l’histoire récente regorge de scandales retentissants. Citons, pour exemple :
– The Lancet, avec le fiasco de l’étude Surgisphere (2020) sur l’hydroxychloroquine, retirée après avoir influencé les décisions de l’OMS et avoir servi de prétexte au sinistre et criminel Olivier Véran pour interrompre des études menées en France sur ce thème et interdire la prescription d’hydroxychloroquine contre le C19.
– NEJM et JAMA, régulièrement épinglées pour avoir publié des études partiales ou sponsorisées, maquillées en science « indépendante ».
– Les cas avérés de conflits d’intérêts : des rédacteurs en chef et reviewers financés par les mêmes laboratoires dont ils validaient les articles.
« Des temples censés incarner la vérité médicale »
En prononçant : « Nous allons probablement cesser de publier dans The Lancet, New England Journal of Medicine, JAMA et toutes les autres revues scientifiques, car elles sont toutes corrompues. », RFK Jr. ne se contente pas d’attaquer des revues : il s’attaque au cœur du système qui valide le mensonge par estampille scientifique.
Il ne dit pas seulement que Big Pharma corrompt les politiciens – il dit que la corruption a capturé jusqu’aux temples censés incarner la vérité médicale.
Voilà pourquoi cette phrase est une déflagration. Car si The Lancet, NEJM ou JAMA ne sont plus crédibles, alors le vernis d’« évidence scientifique » qui couvrait les décisions sanitaires depuis trente ans s’effondre.
Et sans ce vernis, tout l’édifice de la propagande vaccinale vacillera d’abord, puis, ensuite, s’écroulera.
Enfin ! Que la vérité cesse d’implorer une place dans les marges et qu’elle surgisse au grand jour – quitte à abattre les sanctuaires de la science officielle, transformés en simples annexes de Big Pharma et des politiciens qu’ils tiennent en laisse.
Sur le net : LETTRE A BAYROU
Tu veux nous retirer deux jours fériés, dont celui de Pâques ? Sérieusement ?
Vous pondez des lois à la chaîne comme des œufs de Pâques, et maintenant vous voulez piétiner nos jours de repos, sous prétexte de “trou budgétaire” ?
Mais le trou, c’est vous qui l’avez creusé. Et profond.
Alors écoute bien François Bayrou l’imposteur, parce que les vraies économies, elles ne sont pas dans nos week-ends. Elles sont là :
Réduis les salaires obscènes des ministres, députés, sénateurs, planqués dans des commissions fantômes.
Supprime les retraites à vie pour les élus qui n’ont bossé que 5 ans.
Vire les chauffeurs privés, les logements de fonction, les notes de frais à 10 000€/mois.
Stoppe les aides à l’étranger à coups de milliards, alors que nos hôpitaux crèvent, nos écoles sont surchargées, et nos anciens dorment dans leur voiture.
Réoriente les 3 milliards envoyés pour acheter des armes et faire plaisir à l’OTAN ou à l’Ukraine, pendant que chez nous, des gamins mangent à la cantine grâce aux restos du cœur.
Récupère l’argent planqué dans les paradis fiscaux, détenu par tes amis patrons et politiciens véreux.
Fais payer les grosses multinationales, pas les livreurs Uber ou les caissières à mi-temps.
Coupe les subventions aux cabinets de conseil à la McKinsey, qui facturent des PowerPoints à 500 000€, pendant que les services publics s’effondrent.
Et j’en passe la liste est très longue…
Je t’explique un truc, Bayrou :
Nous, les Français, on n’a AUCUNE dette.
Ce sont vos magouilles, vos guerres, vos alliances à la con, vos gestions catastrophiques qui ont foutu ce pays à genoux.
Vous nous avez confiné, ponctionné, manipulé, taxé, saignés jusqu’à l’os.
Et maintenant, vous osez dire que c’est encore à nous de faire l’effort
Ton fauteuil ne te donne pas le droit de traiter les gens comme du bétail.
Commence par faire le ménage chez toi, avant de venir rayer nos jours fériés !
Les pilules noires du Dr Sabatier
Yves RASIR
Que ce soit clair : j’éprouve beaucoup de sympathie envers Jean-Marc Sabatier, docteur en biologie cellulaire, directeur de recherche au CNRS, auteur de plusieurs ouvrages alertant sur les dangers des vaccins covid et nouvelle coqueluche des médias alternatifs. En visionnant cette récente interview accordée à l’un d’entre eux, j’ai appris que le brillant scientifique français était désormais dans le collimateur de son employeur et qu’il était victime de mesures de censure, ce qui me le rend encore plus sympathique. Les moutons noirs qui ruent dans les brancards auront toujours droit à mon respect.
Durant la grande mascarade, le Dr Sabatier s’est assez bien comporté : son équipe a rapidement découvert que la vitamine D pouvait prévenir la grippe covid et en diminuer la sévérité. Il a tenté d’informer les autorités sanitaires et de les pousser à complémenter les populations fragiles, malheureusement sans succès. Dans la foulée, le chercheur fut l’un des premiers à mettre en garde contre les injections géniques expérimentales et contre la technologie à ARN en général. À l’instar d’un Christian Perronne, Jean-Marc Sabatier a même renié sa foi absolue dans la sécurité et l’efficacité des autres vaccins, ce qui lui vaut à présent tous ces ennuis. Les apostats de la vaccinologie mériteront toujours mon admiration.
Nonobstant son louable et courageux comportement, le microbiologiste mérite-t-il d’incarner la résistance à la science dominante et d’être considéré comme un opposant à la tyrannie plandémiste ? Ce n’est pas du tout mon avis ! Loin de contester le récit officiel, Sabatier a au contraire contribué à le diffuser et à l’amplifier . Pour lui, il y a vraiment un nouveau virus qui a déferlé sur la terre et qui a rempli hôpitaux et cimetières. Pour lui, le coco couronné est un tueur de masse qu’il fallait arrêter à tout prix. Pour lui, le monstre nanoscopique est une arme biologique lâchée délibérément sur la planète pour la dépeupler ! Plus alarmiste et moins rassuriste que lui, c’est difficile de trouver.
À mes yeux, le Dr Sabatier représente une opposition encore plus toxique que le pouvoir auquel elle s’oppose. Une opposition qui surenchérit dans le catastrophisme et la virophobie paranoïaque. Une opposition qui promeut activement la « deuxième doxa » de la fuite de labo et qui nous gave continûment de pilules noires. En référence au film Matrix, la « black pill » est une sorte de pilule rouge foncé qui, au lieu d’éveiller à la réalité, la déforme pour la rendre plus angoissante et plus sombre qu’elle n’est . Selon moi, le brave docteur ès sciences égare la dissidence en faisant commerce de ces pilules anxiogènes. J’en ai compté une sizaine et je vous invite à ne pas les consommer. Si c’est trop tard, je vous prescris au passage quelques antidotes.
1. La pilule noire du virus pathogène
Son CV est édifiant : Jean-Marc Sabatier est un microbiologiste de stricte obédience pasteurienne, spécialisé dans les microbes et les virus. Il est même rédacteur en chef d’une revue consacrée aux coronavirus et dont le siège rédactionnel est à Wuhan, ville où il séjournait très souvent et dont il fréquentait assidûment le laboratoire universitaire de virologie. Lorsque la pseudo pandémie y prend son envol, le chercheur français avalise immédiatement la thèse d’un nouveau pathogène viral provoquant une nouvelle maladie inconnue. Aujourd’hui encore, il souscrit à la très officielle doxa du fléau infectieux ayant dévasté le globe et responsable de plus de 6 millions de morts. Premier problème : ce narratif est complètement bidon et cela fait cinq ans et demi que nous en pointons, avec d’autres, les multiples invraisemblances. Deuxième problème : il n’a jamais été prouvé que les particules appelées virus pouvaient rendre quelqu’un malade ! Sur l’homme comme sur l’animal, la science n’a jamais permis de mettre en évidence leur contagiosité et leur pathogénicité. Si vous en doutez, je vous recommande la lecture du livre « Un rhume, ça s’attrape. Vraiment ? » , du chercheur australien Daniel Roytas. Dans cet ouvrage assorti de plus de 1 000 références scientifiques, vous apprendrez que les expériences tentées depuis un siècle pour transmettre le rhume ou la grippe ont toujours échoué. Lorsqu’elles étaient réussies en apparence, il n’y avait pas de groupe témoin, ce qui annule leur validité méthodologique. Pasteur est mort de chez mort mais Sabatier l’ignore encore.
2. La pilule noire de la propagation virale
Comme il le précise à Tocsin, le directeur de recherche au CNRS est convaincu que la virose pandémique a démarré à Wuhan en octobre 2019, lors des Jeux mondiaux militaires, avant de se répandre planétairement. Si ce scénario tenait la route, il faudrait d’abord expliquer pourquoi les anticorps du Sars-CoV-2 ont été détectés dans du sang récolté au printemps et en été , aux USA, au Brésil et en Italie. Le virus aurait-il emprunté une machine à remonter le temps ? Il faudrait ensuite expliquer pourquoi les « patients zéro » sont restés introuvables partout dans le monde et pourquoi les athlètes revenus de Wuhan n’ont pas déclenché d’épidémies dans leurs casernes et leurs familles. Le virus aurait-il hiberné pendant 4 mois avant de se réveiller brutalement à la sortie de l’hiver ? Il faudrait enfin expliquer pourquoi la surmortalité enregistrée au printemps 2020 fut parfaitement simultanée, pourquoi elle ne s’est pas produite partout et pourquoi les pays qui n’ont pas confiné s’en sont mieux tirés. Le virus aurait-il respecté les frontières et fait la nique aux mesures sanitaires ? Qu’on arrête de nous bassiner avec la fable de la propagation virale. Comme le statisticien Pierre Chaillot l’a mis en lumière dans son livre « Covid 19, ce que révèlent les chiffres officiels », les flambées grippales surviennent toujours de manière synchrone dans l’hémisphère occidental, ce qui est totalement incompatible avec le dogme du virus se propageant progressivement. Ce dernier n’est rien et c’est clairement dans l’environnement et l’état du terrain que se situe la cause réelle des vagues annuelles d’infections respiratoires. Comme antidote informatif sur ce thème, je vous prescris aussi le bouquin « Le mythe de la contagion », du Dr Thomas S. Cowan.
3. La pilule noire du SRA déglingué
En bon disciple de Pasteur, le Dr Sabatier confond sapeurs-pompiers et pyromanes. Pour lui, un virus est forcément facteur de troubles et vecteurs de symptômes. Encore faut-il identifier quels mécanismes biologiques sont à l’origine du processus pathologique. Dès l’hiver 2019-2020, le chercheur français déclarait avoir trouvé ce qui distinguait le virus wuhanais. Pas plus tard qu’en mars, il co-signait un article scientifique postulant le rôle clé du « système rénine-angiotensine » (SRA) dans le covid-19. Selon l’équipe franco-chinoise, ce système complexe de régulation hormonale se mettrait à dysfonctionner plus ou moins gravement sous l’action de la fameuse protéine Spike. Bien que celle-ci couronne aussi les coronavirus du rhume et des tas d’autres virus associés aux états grippaux, elle serait l’implacable ennemie perturbant le SRA et engendrant les pires désordres physiologiques. Pour avoir lu Sabatier et l’avoir entendu plusieurs fois en conférence, j’ai été impressionné par la quantité affolante d’effets néfastes qu’il impute à la perturbation du système rénine-angiotensine. Un inventaire à la Prévert interminable. Ce qui m’a surtout frappé, c’est que la déglingue du SRA serait responsable de nombreux dysfonctionnements antinomiques : l’hypo et l’hypertension artérielle, l’hypo et l’hyperthyroïdie, l’emballement immunitaire et l’immunodépression, etc. Avec le SRA et la protéine de pointe, tout et son contraire peuvent s’expliquer ! Bizarrement, Jean-Marc Sabatier est pourtant prompt à souligner les vertus prophylactiques et thérapeutiques de la Vitamine D sur ce grand fouillis pathologique. Lui aurait-il échappé que cette vitamine est, avec le zinc, un remède souverain à la grippe classique ? C’est pourtant un fait archi-connu depuis des lustres.
4. La pilule noire du gain de fonction
À la journaliste lui faisant remarquer que Didier Raoult réfute la réalité des gains de fonction, Sabatier répond péremptoirement que leur existence est indubitable « puisque lui-même en a créé et que le journal The Lancet avait déjà attiré l’attention sur leurs dangers ». Certes, ça fait maintenant 14 ans que le virologue néerlandais Ron Fouchier a annoncé avoir créé une souche « terrifiante » du virus H5N1 de la grippe aviaire. C’est d’ailleurs après ce cri d’alarme que l’administration Obama a décidé de ne plus financer les recherches sur les « gains of function » (GOF), ce qui n’a pas empêché d’autres chercheurs de continuer à bidouiller des virus à des fins militaires ou pour mettre au point des vaccins dirigés contre leurs chimères. Et alors ? Comme je l’ai déjà écrit plusieurs fois, l’existence de labos et de chercheurs planchant sur les GOF ne signifie nullement qu’ils aient atteint leur but. Ça signifie encore moins que les virus ainsi « militarisés » soient capables de provoquer une épidémie. Jusqu’à preuve du contraire, l’arme biologique est un oxymore mythique et fantasmatique . Cet été, je me suis encore farci cinq livres consacrés au bioterrorisme et je n’y ai pas trouvé le moindre élément factuel accréditant l’hypothèse qu’on puisse décimer une population avec un agent viral ou bactérien. Dans trois de ces bouquins, publiés au début des années 2000, leurs auteurs dénoncent l’arsenal chimique et biologique détenu par Saddam Hussein : c’est dire le sérieux de ce genre de littérature ! Concernant le coco supposément doté d’un site de clivage de la furine et de quatre séquences de nucléotides suspectes, vous connaissez mon opinion : on peut faire dire ce qu’on veut à des bouts de génomes reconstitués sur ordinateur et transmis par internet depuis Wuhan. Le Projet DEFUSE ? Celui qui a vendu la mèche était employé de la DARPA, branche technologique de l’armée américaine. Les brevets déposés avant 2019 par Moderna ? N’oublions pas que cette firme est étroitement liée à la DARPA. Le développement fulgurant des injections covid ? Organisé sous l’égide de la DARPA. Au lieu de propager la thèse amerloque du virus fuité d’un labo chinetoque, Sabatier ferait bien de s’interroger sur l’omniprésence du Pentagone à tous les stades de la fausse pandémie. En guise d’antidote à la hantise des GOF, je lui suggère de visionner cette vidéo du Dr Samantha Bailey , cette deuxième vidéo plus récente, et de lire le livre « Ne croyez plus aux pandémies ! » co-écrit avec son mari Mark.
5. La pilule noire du covid long
Avec la « journaliste scientifique » Estelle Fougères, qui a fait carrière au Ministère de l’Éducation Nationale et dont la production journalistique est introuvable sur le net, Jean-Marc Sabatier a publié l’an dernier une brique de 500 pages intitulée « Covid long et effets indésirables du vaccin ». Le message est entièrement ramassé dans ce titre : le virus et son vaccin, c’est chou vert et vert chou ! Dans ses écrits et ses prises de paroles, l’éminent chercheur nous assène en effet que la Spike virale n’est pas moins redoutable que la Spike vaccinale. Et histoire d’enfoncer ce clou virophobique, il nous assure que l’une et l’autre sont génitrices du covid long. Le hic, c’est que cette histoire de maladie covidienne à rallonge est un demi-mensonge. Comme je l’ai signalé en son temps, une étude australienne méticuleuse a révélé que les taux de symptômes persistants (fatigue chronique, brouillard mental, pertes du goût et/ou de l’odorat…) étaient similaires chez tous les participants, qu’ils aient été diagnostiqués du covid, de la grippe ordinaire ou d’une autre infection respiratoire. Autrement dit, la similitude des syndromes post-viraux infirme l’existence d’une nouvelle maladie émergente prétendument causée par un prétendu nouveau virus. Fatale pour la théorie néovirale, l’absence de particularité pathologique infirme encore plus clairement la thèse d’un agent infectieux « augmenté » par des apprentis-sorciers. En revanche, il est amplement démontré que la santé des vaccinés a été ruinée par les injections reçues. Selon cette étude menée dans 95 pays , les piquouzés étaient 6 fois plus à risque d’être hospitalisés que les infectés réfractaires à la piqûre ! Si la vérité lui tenait à cœur, Sabatier aurait donc titré que le soi-disant covid long EST bien plus sûrement un effet indésirable de la vaccination qu’une suite durable de l’infection. En mettant le vaccin et la virose sur pied d’égalité, il a au contraire choisi de nous enfumer et de contribuer à l’escroquerie covidiste.
6. La pilule noire de la psychose vaccinale
Non content d’attiser la virophobie et la spikophobie, le chercheur encourage ses lecteurs et auditeurs à avoir très peur des vaccins à ARN administrés maintenant aux animaux et aux plantes. Dans un nouvel ouvrage à paraître très prochainement, il brandit le spectre d’une « dérive technologique vertigineuse » augurant d’une contamination irrémédiable du vivant et d’un empoisonnement inéluctable de nos aliments. Avec des trémolos dans la voix, Sabatier affirme que l’acide ribonucléique injecté aux animaux et aux végétaux résiste à la chaleur et que sa présence résiduelle dans la nourriture (viande, poisson, fruits, légumes, céréales…) nous vaudra de très mauvaises surprises. À l’entendre, l’apocalypse va se déchaîner incessamment dans nos assiettes . Vraiment ? Loin de moi l’envie de défendre Big Food et Big Pharma et de minimiser les risques de l’ingénierie génétique hasardeuse. Depuis quelques mois, je veille moi-même à ne consommer que des produits provenant de bêtes non-vaccinées. Vendredi dernier, j’étais très content de rencontrer un producteur bio du Sud-Ouest et de lui acheter des rillettes d’oies préservées de la rage vaccinatoire contre la grippe aviaire. On ne sait jamais, le principe de précaution n’est pas fait pour les chiens. Cependant, j’estime qu’il ne faut pas céder à la panique et qu’il faut se méfier des discours hyper-alarmistes . Une injection génique, ça ne fait pas du bien aux êtres qui la reçoivent et à ceux qui les fréquentent de près (phénomène de shedding ). Mais qu’est-ce qui prouve que le contenu biologique des fioles peut nous porter préjudice via l’alimentation ? Qu’il soit synthétique ou non, je ne crois pas qu’un ARN puisse résister à nos sucs gastriques et à nos molécules immunitaires. À juste titre, le scientifique lanceur d’alerte rappelle que les nanoparticules lipidiques enrobant l’ARN constituent une « arme du crime » vaccinal non négligeable. C’était précisément l’objet de l’infolettre dédiée dernièrement aux NPL. Mais à nouveau, qui peut croire que ce composant huileux pose problème par voie orale ? Si l’ingestion de squalène rendait malade, il me semble que cela se saurait depuis longtemps ! Bref, je ne trouve pas raisonnable de terroriser et de se laisser terroriser par cette grosse pilule noire. Je suis un adversaire résolu de tous les vaccins, j’abhorre radicalement le paradigme pasteurien qui les impose, mais je me refuse de céder irrationnellement à la psychose envers les aliments. Et vous, qu’en pensez-vous ?
Note de TAL : Oui la recherche du « gain de fonction » soit de fabriquer un « virus tueur » n’ a jamais abouti car toutes les idées sur la contagion et les épidémies sont fausses !
NE CROYEZ PLUS AUX PANDEMIES
Le concept de germe contagieux mortel est révolu
Le livre de S et M BAILEY est comme le dernier clou du cercueil des idées de PASTEUR et de tous les pseudo scientifiques de la vaccinologie et de la virologie qui ont tenu le haut du pavé ces dernières décennies…
Enfin la vérité éclate avec force…
Maladies contagieuses ?
extrait du blog de Tal 133 (www.santeglobale.world)
Odysee : Terrain Le Film – Documentaire Complet
TERRAIN expose la tyrannie de la fausse pandémie mondiale, fondée sur le modèle erroné de la maladie connu sous le nom de “théorie des germes”. Ce documentaire en deux parties explore la théorie du terrain, un modèle de santé qui fonctionne en symbiose avec la nature pour promouvoir le bien-être et la guérison, sans recourir à un paradigme médical corrompu et défectueux.
TERRAIN motive et inspire les spectateurs à comprendre le pouvoir et la responsabilité du consentement.
La première partie de TERRAIN remet en question la théorie des germes, un système de croyance obsolète et non scientifique basé sur des fraudes et des mauvaises interprétations.
La deuxième partie de TERRAIN explore les conséquences globales de l’adoption d’un modèle de santé non viable basé sur la théorie des germes et ouvre la porte à un biome synergique d’autocorrection et de guérison connu par tous les êtres vivants sous le nom de théorie du terrain.
Pour soutenir et en savoir plus sur le projet : https://terrainthefilm.com/
Note de TAL : Ce film est vraiment REMARQUABLE car il montre de manière détaillée comment toute la virologie, la vaccinologie et la guerre contre les microbes instaurée par Pasteur n’ont AUCUN FONDEMENT SCIENTIFIQUE ! Je me suis régalé en écoutant les grands ténors du terrain (Kaufmann, Cowan, Lanka et autres) décrire comment les scientifiques ont perdu toute éthique en manipulant des éléments de base pour les baptiser « virus » sans preuves ! Ils ont appelé « isolement » des manœuvres qui donnent naissance à des artefacts et ont utilisé des modèles informatiques pour créer des « virus » qui n’existent pas ! Ils ont créé une pseudoscience qui ne repose que sur du vent….
PASSIONNANT !
Voir aussi sur www.santeglobale.world l’article 39 sur la contagion.
POUVEZ-VOUS RENDRE MALADE VOTRE VOISIN EN ÉTERNUANT ?
Une conférence très intéressante vient d’avoir lieu en Alsace avec Pierre Chaillot et Jérémie Mercier. Ils démontrent que la transmission de maladies au moyen des virus n’a jamais été démontrée scientifiquement et que le dogme vaccinal repose sur une gigantesque fraude.
C’est vraiment passionnant à regarder et écouter !
C’est aussi une délivrance, une fois que l’on a compris cela, les peurs n’ont plus de prises sur nous !!!
Partagez au maximum s’il vous plaît pour éveiller les consciences et sortir de l’esclavage et de l’hypnose !
Pierre Chaillot (Statisticien)
Jérémie Mercier (Docteur en recherche environnementale)
https://www.youtube.com/watch?v=4YLSRcPIIXI
Si on faisait l’état des lieux sur ce phénomène mondial d’une vaccination expérimentale avec le créateur des vaccins ARNm ?
Roland Reymondier
Chers ami-e-s,
Le quoi qu’il en coûte nous a conduit vers la plus grande escroquerie du XXIème siècle: la vaccination à base de produits totalement expérimentaux à base d’ARNm.
Personnellement j’ai constaté des dégâts qui sont de l’ordre de morts sur ordonnance.
Mais bon Dieu quand va-t-on reconnaître cette connerie monumentale à une échelle internationale ?
Combien de gens morts du vaccin ne sont jamais perçus comme tel en France actuellement ?
Des milliers de femmes en France ont eu des règles hémorragiques pendant très longtemps et certaines ont été hospitalisées d’urgence ALORS : BAISSE RECORD DE LA NATALITÉ EN FRANCE. ( cliquez pour voir l’étude)
Et pourtant au Sénat voici ce qu’on dit Vaccination et troubles menstruels : “On a été surpris par le nombre de déclarations sur ce sujet”
Et bien ce que j’écris, personne ne fait le rapport de cause à effet.
Mais voici les résultats factuels d’un statisticien sur cette fantastique escroquerie de la vaccination ( peut-on parler de vaccins qui, eux, sont élaborés au bout d’une dizaine d’années) avec des produits expérimentaux sans recul suffisant cela s’entend 5 ans après la première victime du Covid, quel bilan ?
Mais voyons ce qu’en dit le promoteur de recherches sur l’ARNm, il s’agit de Robert Malone, il y a trois ans et aujourd’hui il tient le même langage.
Le Dr Robert Malone, qui a mené des recherches clés sur les vaccins à ARNm, prend la parole lors du rassemblement Defeat the Mandates à Los Angeles le 10 avril 2022. (Brad Jones/The Epoch Times)
L’OMS et les gouvernements du monde entier « ont rejeté les normes bioéthiques », explique le Dr Malone
Le biochimiste, qui est à l’avant-garde de la technologie de l’ARNm utilisée pour les vaccins Covid-19, a répondu à l’invitation d’un membre du parlement britannique pour donner son témoignage expert.
Le Dr Robert Malone, qui a contribué à l’invention de la technologie de l’ARNm, a reproché aux gouvernements et à l’Organisation mondiale de la santé (OMS) d’avoir mené une campagne de désinformation pour la promotion des vaccins Covid-19 et d’avoir rejeté des « normes bioéthiques » établies de longue date.
« L’OMS [qui fait partie de ] l’ONU, les méga-ONG et les gouvernements du monde entier ont rejeté les connaissances auxquelles moi-même, mes pairs et mes collègues avons contribué pendant des décennies, sur la manière de procéder et d’agir sur les mesures à prendre pour s’assurer que nous disposons de produits sûrs et efficaces » comme les vaccins, a déclaré le Dr Malone dans un discours prononcé lors d’un événement à Portcullis House, l’un des bâtiments du Parlement britannique, le 4 décembre.
« En outre, ils ont rejeté les normes bioéthiques élaborées depuis la Seconde Guerre mondiale, à savoir le respect de la dignité humaine, la garantie que les êtres humains sont traités comme des êtres humains, que leur autonomie et leur souveraineté sont respectées, et qu’ils bénéficient d’un consentement éclairé. »
« Au lieu d’un consentement éclairé sur la vérité de ces produits et leur état de développement, leur état de développement immature, on nous a donné une série de mensonges. »
L’un de ces mensonges était l’affirmation selon laquelle les vaccins étaient « sûrs et efficaces ». Les autorités ont répété cette affirmation « encore et encore, sans préciser ce que cela signifiait. » Il s’agissait d’une technique de « programmation neurolinguistique ».
« Il s’agit d’opérations psychologiques. C’est de la propagande », a-t-il déclaré.
Le deuxième mensonge était l’affirmation que le contenu injecté stagnerait à l’endroit de l’injection, ce qui s’est également avéré faux, a ajouté le Dr Malone.
« Nous savions, et ils savaient, que ces produits se diffusaient dans tout le corps. Nous savions qu’ils ne restaient pas à l’endroit où ils étaient injectés. »
Le troisième mensonge concernait l’acide ribonucléique modifié, une molécule contenue dans les vaccins ARNm. Alors que l’on prétendait que ces molécules ne restaient dans l’organisme que pendant une courte période, il s’avère aujourd’hui qu’elles restent biologiquement actives dans l’organisme pendant une « période indéterminée » pouvant durer des semaines ou des mois.
Par exemple, les autorités sanitaires [les CDC (Centres pour la prévention et le contrôle des maladies) aux États-Unis ] affirment que l’ARNm des vaccins est « dégradé quelques jours après la vaccination et ne reste pas longtemps dans l’organisme. »
Cependant, une étude du 31 août a révélé la présence de protéines spike provenant des vaccins à ARNm dans les fluides biologiques des individus, même six mois après la vaccination.
Selon le Dr Malone, le public a également été soumis à un quatrième mensonge, à savoir qu’aucune personne ne serait en sécurité tant que nous ne serions pas tous en sécurité. « Cela faisait partie de la campagne de propagande visant à insister sur le fait que nous devions tous accepter ces produits », a déclaré le Dr Malone.
« Cela s’est fait, soit dit en passant, en violation de normes bien établies y compris par la coercition, la contrainte et l’incitation. Les glaces pour que les enfants acceptent leur piqûre, les hamburgers ou tout autre produit incitatif. Cela est illégal. »
Epoch Times a contacté l’OMS et les autorités sanitaires pour obtenir des commentaires.
Effets indésirables
Citant des données provenant de 700 à 1000 études évaluées par des pairs sur les vaccins ARNm, le Dr Malone a déclaré que ces produits « démontrent clairement une série d’effets indésirables ».
Parmi ces effets indésirables, on compte la myocardite, des dommages sur la santé reproductive, y compris des dommages sur les cycles menstruels chez les femmes, une coagulopathie ou une coagulation sanguine anormale, y compris des accidents vasculaires cérébraux, des dommages aux systèmes nerveux périphérique, oculaire et central, des dommages immunologiques et oncologiques, et la mort.
« En conclusion, nous sommes en présence d’un produit bâclé, d’une technologie bâclée, d’un manque de respect pour les êtres humains, en ne leur permettant pas un consentement éclairé. Ajoutons à cela la campagne de propagande la plus massive de l’histoire du monde moderne, activement déployée pour supprimer la capacité du public à avoir accès à la connaissance des risques d’effets indésirables », a affirmé le Dr Malone.
Il a demandé au gouvernement britannique et aux gouvernements du monde entier de mettre à la disposition de tous les données relatives à la recherche sur l’ARNm.
De nombreuses études indiquent que des personnes souffrent d’effets indésirables après avoir été vaccinées.
Une étude publiée en octobre suggère que les vaccins contre le Covid-19 pourraient déclencher des maladies rhumatismales inflammatoires à médiation immunitaire qui impliquent une inflammation se manifestant dans les articulations, les tendons, les os et les muscles et dont la cause est inconnue. Ces maladies comprennent des affections telles que l’arthrite, la vascularite, le lupus et la maladie de Still de l’adulte.
L’étude a montré que les patients ont développé des maladies rhumatismales en moyenne 11 jours après la vaccination. Si 27 % des patients ont connu une rémission totale de la maladie, 50 % d’entre eux ont vu leur état s’améliorer après un traitement. Sur les 271 patients étudiés, huit ont été admis en soins intensifs, et deux sont décédés des suites des symptômes.
La recherche a montré que les vaccins Covid-19 à ARNm peuvent réduire une bactérie intestinale bénéfique appelée bifidobactérie, dont la présence est associée à une plus grande immunité contre les agents pathogènes et le cancer.
Dans une récente interview accordée à l’émission American Thought Leaders d’Epoch Times, le Dr Ryan Cole, pathologiste clinique, a déclaré que la contamination de l’ADN dans certains vaccins à ARNm pourrait être liée à une augmentation de l’incidence des cancers, de la formation de microcaillots et des maladies auto-immunes.
« Ce qui me préoccupe le plus, c’est que des milliards de personnes à travers le monde ont reçu un produit manifestement contaminé par quelque chose qui n’aurait pas dû s’y trouver », a-t-il déploré.
Joseph Ladapo, chirurgien général de Floride, a demandé aux autorités sanitaires fédérales de fournir davantage d’informations sur la découverte de fragments d’ADN dans les vaccins Covid-19
J’ai beaucoup de peine en pensant à des êtres chers qui ont été ravis par non pas le virus, mais le vaccin fripon qu’on leur a administré. Certains même étaient les premiers à tourner en dérision mes écrits rebelles au moment de l’enfermement généralisé. Ils ne sont plus mais personne autour de la famille n’a évoqué la possibilité, lors d’un mort brutale et subite, qu’une myocardite liée à l’ARNm ait fait son œuvre.
Dites vous qu’en France on écartera toujours les effets délétères du vaccin car combien sont-ils à avoir participer à la vaccination de masse. Ainsi ceux qui vous auront piqué ne reconnaîtront JAMAIS avoir quelque part commis un crime ( indirectement bien entendu)..
Oui j’ai mal au cœur mais la tristesse ne se partage pas.
ANALYSE DES VACCINS
SANTE NON CENSUREE :
Chère lectrice, cher lecteur,
5 ans après le COVID, non seulement il n’y a eu aucune justice. Mais pire encore, les Autorités continuent de harceler les chercheurs indépendants !
Je vous en parle, car je viens de découvrir avec stupéfaction le cas de deux chercheuses argentines (les Drs Marcela Sangorrín et Lorena Diblasi)
Elles seraient actuellement poursuivies en interne par le Conseil National de la Recherche Scientifique et Technique Argentin CONICET, l’équivalent français de l’INSM).[1]
Ces poursuites font suite à leurs analyses de flacons de vaccins Covid, qui ont révélé la présence de 55 éléments chimiques non déclarés.
Qui sont ces chercheuses, et pourquoi cherche-t-on à les faire taire ? Vous allez tout de suite comprendre…
Leur tort ? Avoir demandé une analyse transparente de la composition des vaccins
Marcela Sangorrin & Lorena Diblasi mènent depuis 2022 une étude indépendante, sans financement des laboratoires ni du CONICET.
Cette étude porte sur la composition réelle des vaccins COVID.
Leur objectif est de demander une analyse officielle et transparente à l’Autorité sanitaire argentine, au ministère de la Santé et au CONICET, afin d’informer la population sur les substances injectées.
Rappel du contexte : fin de 2020, les campagnes de vaccination contre la COVID-19 démarrent dans le monde entier.
Dès les premières campagnes de vaccination, des chercheurs indépendants de différents pays annoncent avoir trouvé, grâce à des méthodes de microscopie, des éléments chimiques non mentionnés par les fabricants.
Mais ces observations sont critiquées : les techniques utilisées (comme la microscopie électronique couplée à la spectroscopie EDX) sont beaucoup moins précises qu’une méthode beaucoup plus pointue appelée spectrométrie de masse.
L’équipe de Lorena Diblasi s’est donc fixé un objectif : vérifier ces observations avec cette méthode jugée irréfutable..[2]
Elles espèrent ainsi couper court à toute objection de la part des vaccinologues.
Une méthodologie (qui me semble) des plus sérieuses
Les chercheurs obtiennent 13 flacons de vaccins provenant des six grands fabricants.
Chaque échantillon est soigneusement préparé, puis « digéré » dans de l’acide pour libérer les éventuels éléments chimiques présents.
La machine utilisée (ICP-MS) permet ensuite de scanner presque tout le tableau périodique, avec une grande sensibilité, pour voir si des métaux, métalloïdes ou autres éléments chimiques s’y trouvent.
L’ICP-MS (Inductively Coupled Plasma Mass Spectrometry)
Les chercheuses s’attendaient à être surprises. Mais pas à ce point.
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Suite de la lettre de ce jour :
55 éléments chimiques non-déclarés dans les vaccins COVID
Dans l’ensemble des échantillons, 55 éléments chimiques non déclarés sont détectés.
Si on combine ces résultats avec ceux des précédentes études par microscopie, ce chiffre monte à 62 éléments différents.
J’ai traduit pour vous le tableau qui résume quels éléments elles ont trouvés, vaccin par vaccin :
Ces éléments découverts n’ont rien d’anodin.
Je dirais même que, si leurs résultats s’avéraient justes, on ferait face à un vrai cauchemar.
Métaux lourds, matériaux “électroniques”, graphène et uranium… un cocktail cauchemardesque
Elles ont découvert, par exemple, dans les vaccins presque tous les métaux lourds connus pour leur toxicité :
- Chrome (dans 100 % des échantillons),
- Arsenic (82 %),
- Nickel (59 %),
- Cobalt et cuivre (47 %),
- Étain (41 %),
- Thallium (24 %),
- Cadmium, plomb et manganèse (18 %),
- Mercure (6 %).
Surprise supplémentaire : 12 des 15 lanthanides (les « terres rares », utilisés pour les processeurs et les écrans d’ordinateurs, de smartphones, tablettes, etc.) apparaissent aussi.
Ces éléments ont des propriétés magnétiques et lumineuses, et leur présence dans des produits injectés au corps humain n’avait jamais été rapportée.
On retrouve aussi du bore, du titane, du strontium, du molybdène, du palladium, de l’or, du platine, de l’uranium, et même de l’oxyde de graphène !
Un “cocktail” qui va bien au-delà de ce que déclarent les fabricants officiellement.
Trop gros pour être une contamination accidentelle ?
Un point important : la composition varie non seulement d’une marque à l’autre, mais aussi d’un lot à l’autre, et même à l’intérieur d’un même flacon.
Selon les auteures, cela indiquerait un phénomène de structures « auto-assemblées » en suspension.
Ce que cela veut dire, c’est que ces particules s’organisent toutes seules en petits « édifices » dans votre sang, un peu comme des Lego qui s’emboîtent spontanément sans main humaine.
Note importante. L’auto-assemblage existe dans la Nature. Les membranes des cellules, faites de lipides, s’auto-assemblent en « doubles couches » toutes seules quand on les met dans l’eau.
Mais pour que ces structures se retrouvent dans des produits synthétiques comme les vaccins, cela veut dire (selon elles) une seule chose : les fabricants ont tous utilisé la même technologie, d’un commun accord.
Cela ne pourrait pas venir d’une contamination accidentelle, car ces substances chimiques se retrouvent dans tous les vaccins.
Comme en toute chose, il faut garder la tête froide et l’esprit critique. J’attends de voir les résultats d’autres chercheurs indépendants à ce sujet, avec la même technologie de spectrométrie de masse.
Mais une chose est certaine : nous n’avons pas fini d’exhumer les innombrables scandales liés à la crise COVID.
À bon entendeur,
Thibaut Masco de Santé Non Censurée
qu’à 627 fois la dose d’ADN acceptée?
Contenu des vaxxins
Blog des éditions Marco PIETTEUR :
Imaginez ouvrir un flacon de vaccin ARNm — et y découvrir des milliards de fragments d’ADN là où il ne devrait y en avoir qu’un soupçon.
Pas une rumeur. Pas une hypothèse.
Une découverte documentée dans une étude scientifique, publiée le 6 septembre 2025 par trois chercheurs de renom, dont le généticien Kevin McKernan.
Leur conclusion ?
Les injections Pfizer et Moderna contre le Covid-19 seraient contaminées par de l’ADN plasmidique résiduel à des niveaux… jusqu’à 627 fois supérieurs aux normes de sécurité établies par la FDA et l’OMS.
Source originale: The Focal Points – “BREAKING: Updated Pfizer and Moderna mRNA Vaccines Found Contaminated With Plasmid DNA”
Mais ce n’est pas tout.
Certains de ces fragments — encapsulés dans les fameuses nanoparticules lipidiques — contiennent des séquences de promoteur SV40, un élément génétique reconnu pour ses liens avec des mécanismes cancérigènes.
Qu’est-ce que cela signifie pour la santé publique ?
Pourquoi ces résidus sont-ils toujours présents, même dans les formulations les plus récentes ?
Et surtout, pourquoi les autorités n’ont-elles pas encore réagi, malgré la multiplication de rapports concordants ?
Dans cet article, nous allons explorer :
Ce que dit réellement l’étude (et ce qu’elle ne dit pas)
Les risques biologiques potentiels liés à cette contamination
Les données sur les effets indésirables graves (VAERS)
Et pourquoi cette affaire pourrait bien devenir le prochain grand scandale sanitaire
Une contamination massive et persistante
Des fragments d’ADN protégés dans des nanoparticules lipidiques peuvent pénétrer nos cellules…
Un scénario que la réglementation n’avait jamais anticipé.
Une étude évaluée par les pairs
Cette étude évaluée par des pairs et publiée par le Dr David J. Speicher, la Dr Jessica Rose et le chercheur Kevin McKernan a secoué la communauté scientifique.
Leur analyse portait sur 32 flacons issus de 16 lots différents de vaccins ARNm — Pfizer et Moderna — dans leurs versions originales, bivalentes, et XBB.1.5.
L’objectif ?
Quantifier les résidus d’ADN plasmidique présents dans chaque dose.
Résultat : chaque flacon contenait entre plusieurs milliards et plusieurs centaines de milliards de fragments d’ADN.
Et il ne s’agit pas de contaminations accidentelles datant du lancement du vaccin en 2020.
Les formulations les plus récentes sont elles aussi concernées, ce qui signifie que le problème est toujours actif dans la chaîne de production actuelle.
Des flacons récents aussi concernés
Les chercheurs ont formellement identifié la présence d’ADN plasmidique résiduel dans les doses dites “bivalentes” (adaptées aux variants récents) ainsi que dans celles ciblant le variant XBB.1.5.
En d’autres termes, les versions censées être “les plus à jour” des vaccins Covid restent contaminées par le même ADN que celui détecté en 2021.
Cela invalide l’hypothèse d’une erreur de jeunesse ou d’un défaut temporaire dans le processus de purification.
Nous sommes face à un problème systémique.
Des milliards de fragments d’ADN par dose
Chaque dose analysée contenait entre 100 et 160 milliards de fragments d’ADN, certains atteignant jusqu’à 3,5 kilobases de longueur — soit une taille suffisante pour inclure des gènes complets ou des éléments régulateurs puissants.
De quoi inquiéter, d’autant plus que…
Une partie de cet ADN est encapsulée dans les nanoparticules lipidiques, ce qui pourrait lui permettre de pénétrer les cellules et de contourner les défenses naturelles — un scénario que les normes de sécurité n’avaient pas envisagé.
Pour creuser davantage ces implications, notamment sous un angle cinématographique et documenté, nous vous recommandons de visionner le film “Inside mRNA Vaccines : Une seconde opinion”, disponible sur notre blog.
Ce documentaire propose une analyse complète du déploiement des vaccins ARNm, loin des filtres institutionnels habituels.
Pourquoi ces résidus posent un problème biologique sérieux
ADN encapsulé dans des nanoparticules lipidiques
Ce qui inquiète particulièrement les auteurs de l’étude, ce n’est pas seulement la quantité d’ADN retrouvée, mais la forme sous laquelle il se présente.
L’ADN détecté n’est pas libre dans le solvant. Il est encapsulé dans les mêmes nanoparticules lipidiques que celles censées véhiculer l’ARNm vers les cellules. Cela signifie que ces fragments pourraient être délivrés directement à l’intérieur des cellules humaines, contournant les protections naturelles du système immunitaire.
Cela n’avait jamais été pris en compte lors de la définition des seuils de sécurité actuels (10 ng par dose).
En résumé, l’ADN n’est pas juste un déchet passif. Il est potentiellement fonctionnel… et actif biologiquement.
Le cas spécifique du SV40 : un promoteur hautement controversé
Plus inquiétant encore : les flacons de Pfizer contiennent une séquence spécifique appelée promoteur-enhancer SV40.
Ce nom peut sembler technique. Il s’agit en réalité d’un élément génétique utilisé pour forcer l’expression de gènes — largement connu dans les milieux de recherche comme ayant un fort potentiel oncogène (cancérigène).
L’OMS fixe la limite à 10 ng par dose. Certaines injections Covid en contiendraient jusqu’à 627 fois plus. Documenté, vérifié, publié.
“Cet élément est reconnu pour entraîner l’intégration génomique, la mutation de l’ADN et l’activation d’oncogènes”, écrivent les auteurs.
Pourquoi une telle séquence se trouve-t-elle dans un vaccin destiné au grand public ?
Pourquoi n’a-t-elle pas été signalée par les fabricants eux-mêmes ?
Aucune réponse officielle à ce jour.
Les risques théoriques : mutagenèse, cancer, immunité
Trois scénarios sont évoqués par les chercheurs comme risques plausibles :
Mutagenèse insertionnelle : L’ADN résiduel pourrait s’intégrer dans le génome humain, notamment dans des cellules en division rapide, avec des conséquences imprévisibles.
Activation d’oncogènes : Le promoteur SV40 pourrait forcer l’activation de gènes liés au développement de tumeurs.
Réactions auto-immunes : La présence d’ADN étranger dans l’organisme pourrait déclencher des réponses immunitaires inappropriées, voire chroniques.
Même si ces effets ne sont pas prouvés à ce jour, leur plausibilité biologique est suffisante pour exiger une évaluation rigoureuse.
Des seuils largement dépassés : ce que disent les chiffres
La limite FDA/OMS : 10 ng par dose
L’Organisation mondiale de la santé (OMS) et la Food and Drug Administration (FDA) ont établi une limite claire pour les résidus d’ADN dans les vaccins : 10 nanogrammes par dose.
Ce seuil n’est pas arbitraire. Il est censé représenter une quantité si faible qu’elle n’aurait aucun effet biologique plausible sur le corps humain. Au-delà, les risques — théoriques ou réels — deviennent significatifs, notamment en matière de transfection, d’intégration génomique ou de réponse immunitaire imprévue.
Mais que se passe-t-il si cette limite est non seulement dépassée… mais explosée à grande échelle ?
Pfizer: jusqu’à 1 548 ng — Moderna : jusqu’à 6 280 ng
Selon l’étude publiée par Speicher, Rose et McKernan, les doses analysées contiennent bien plus que les 10 ng autorisés :
Vaccins Pfizer : entre 371 et 1 548 ng par dose, soit 37 à 153 fois la limite.
Vaccins Moderna : entre 1 130 et 6 280 ng par dose, soit 113 à 627 fois la limite.
Des chiffres qui, pour tout spécialiste en biologie moléculaire, dépassent l’entendement.
“Tous les produits analysés dépassaient les limites de sécurité réglementaire de 36 à 627 fois”, précisent les auteurs.
Confirmation par plusieurs techniques de mesure
Pour éliminer toute possibilité d’erreur, les chercheurs ont utilisé deux méthodes de quantification :
1. Fluorométrie + digestion à la RNase A : une technique qui permet de mesurer l’ADN total (en éliminant l’ARN). Résultat : tous les lots testés dépassaient les normes.
2. qPCR (PCR quantitative) : une méthode plus ciblée mais qui sous-estime souvent l’ADN total, car elle ne détecte que des séquences spécifiques. Malgré cela, trois flacons Pfizer ont tout de même montré des taux d’ADN SV40 (promoteur-enhancer) supérieurs à 10 ng.
Cela confirme un point fondamental : les résultats ne dépendent pas d’un seul outil, ni d’un seul laboratoire. Il s’agit bien d’un phénomène systémique, reproductible, et objectivement mesurable.
Corrélation inquiétante : plus d’ADN = plus d’effets graves ?
Plusieurs lots fortement contaminés sont aussi les plus associés à des effets secondaires graves. Corrélation ou hasard ? Le silence des autorités devient assourdissant.
Les données de VAERS
Le VAERS (Vaccine Adverse Event Reporting System), la base de données officielle américaine de pharmacovigilance, a révélé un signal troublant : les lots de vaccins les plus fortement contaminés en ADN sont aussi ceux qui présentent les plus hauts taux d’effets secondaires graves (SAE).
Dans certains cas, entre 50 % et 95 % des rapports associés à ces lots sont classés comme graves — hospitalisations, incapacités permanentes, décès.
Les chercheurs soulignent que cette corrélation ne prouve pas une causalité… mais qu’elle est trop forte pour être ignorée.
Certains lots massivement contaminés, massivement rapportés
Kevin McKernan et ses collègues ont constaté que plusieurs flacons analysés provenaient des mêmes lots que ceux identifiés comme problématiques dans les bases de données publiques. Ces lots apparaissent dans les classements de lot-to-SAE ratio les plus élevés, un indicateur déjà utilisé par des analystes indépendants comme Craig Paardekooper.
Plus de fragments d’ADN, plus d’effets secondaires ? C’est une hypothèse de travail qui mérite une investigation sérieuse — et rapide.
Coïncidence ou causalité ?
Impossible, à ce stade, d’affirmer que l’ADN résiduel est la cause directe des effets secondaires.
Mais le principe de précaution impose d’exiger une transparence totale sur la composition réelle des doses injectées à des millions de personnes.
Pourquoi cette affaire secoue la communauté scientifique
Une dizaine de rapports indépendants concordants
Loin d’être une étude isolée, les travaux de Speicher, Rose et McKernan corroborent au moins dix autres analyses indépendantes menées au Canada, en Allemagne, en Australie et en Suède. Toutes convergent vers un constat similaire : des fragments d’ADN plasmidique persistent dans les vaccins ARNm, à des niveaux élevés.
Et pourtant, aucune alerte de l’OMS. Aucun retrait. Aucune suspension de lot. Silence.
Une réponse réglementaire absente ou tardive
À ce jour, ni la FDA, ni l’EMA, ni l’ANSM en France n’ont répondu officiellement à cette accumulation de preuves.
Le sujet reste quasiment absent du débat public, ignoré des médias grand public et peu abordé par les professionnels de santé.
Seule une poignée de scientifiques, souvent marginalisés, tirent la sonnette d’alarme.
Comment expliquer une telle inertie alors que les implications pourraient être massives?
Ce que demandent les chercheurs
Les auteurs de l’étude ne réclament pas “l’abandon de la vaccination” ni n’alimentent un discours conspirationniste.
Leur message est clair: ces produits ne respectent pas les normes de sécurité établies.
Ils exigent :
Le retrait immédiat des lots contaminés
Un moratoire sur l’utilisation des vaccins concernés
Une enquête indépendante sur les processus de fabrication
Ce que vous devez retenir (et ce que vous pouvez faire)
Est-ce une raison de paniquer ?
Non. C’est une raison de s’informer, de questionner, et d’agir (lisez les livres proposés au bas de l’article).
Ce que révèle cette étude n’est pas un “complot”, mais une défaillance grave des processus de contrôle d’un produit injecté à grande échelle!
La transparence scientifique n’est pas un luxe. C’est une obligation.
Comment exiger la transparence sanitaire
Partagez cet article.
Visionnez et diffusez des documentaires comme Inside mRNA Vaccines
Demandez des comptes à vos représentants de santé
Interrogez les autorités sanitaires sur les lots utilisés dans votre région
L’importance de preuves indépendantes
Dans une époque où l’expertise est souvent captive d’intérêts privés, l’indépendance scientifique est notre meilleure protection collective.
Et aujourd’hui, elle nous dit : quelque chose cloche profondément dans ces formulations.
FAQ: vos questions, nos réponses
1. Ces résidus d’ADN peuvent-ils vraiment s’intégrer dans notre génome ?
C’est biologiquement plausible, surtout en cas de contact avec des cellules en division rapide.
C’est pourquoi les seuils sont si stricts.
2. Tous les vaccins ARNm sont-ils concernés ?
L’étude a testé des flacons de Pfizer et Moderna, dans toutes leurs versions connues. Tous étaient contaminés.
3. Pourquoi personne n’en parle ?
Les mécanismes de contrôle, de financement et de communication dans le monde médical rendent ce type d’information difficile à faire remonter au public.
4. Que signifie “promoteur SV40” ?
C’est une séquence génétique puissante utilisée pour forcer l’expression de gènes. Elle est associée à un potentiel oncogène élevé.
5. Ces doses sont-elles toujours administrées ?
Oui. L’étude date de septembre 2025 et les flacons testés sont récents.
6. Peut-on identifier les lots à éviter ?
Certaines bases de données comme VAERS permettent de croiser les effets indésirables par lot. Mais cette analyse nécessite des compétences techniques.
7. Existe-t-il une solution ?
Le premier pas est la prise de conscience collective. Ensuite, exiger une action réglementaire est indispensable.
Pour aller plus loin: devenez un acteur de la vérité sanitaire
L’heure n’est plus à l’indignation silencieuse, ni aux soupçons isolés.
Il est temps de comprendre en profondeur ce qui s’est réellement passé — et ce qui se passe encore — pour que nous soyons des millions à pouvoir informer, interpeller et exiger des comptes.
RÉVÉLATION CHOC : SNOWDEN DÉVOILE LE PROGRAMME DE GUERRE MONDIALE DE HAARP
Salik de Bonnault
Voici pourquoi j’exposais le système HAARP dans mes conférences de 2005.
Ce qui explique qu’aujourd’hui vous ne soyez pas encore prêt à lire
https://eveilleursdelaube.fr/...
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Edward Snowden vient de faire exploser la bombe d’information que l’État
profond redoutait le plus. HAARP n’est pas une station de recherche —
c’est une arme de contrôle global. Des documents fuités montrent que
HAARP peut déclencher des AVC et des crises cardiaques en ciblant le
tronc cérébral avec des ondes radio à très haute fréquence. Les décès
semblent naturels, ne laissant aucune trace de meurtre.
Snowden confirme que l’OTAN utilise HAARP pour réprimer la dissidence,
manipuler les pensées et provoquer des ruptures psychotiques afin de
discréditer des cibles. Ce n’est pas une théorie — lors de sa fuite de
Hong Kong, Snowden et le personnel de WikiLeaks ont dû se protéger des
impulsions homicidaires induites par les ondes radio.
Snowden a construit une cage de Faraday pour bloquer tous les signaux
entrants, preuve qu’encore aujourd’hui HAARP le cible. Il a fourni des
e-mails d’amiraux et de généraux de l’Armée de l’air confirmant les
capacités de HAARP. Des initiés du renseignement ont vérifié leur
authenticité.
Le réseau HAARP en Alaska génère 36 millions de watts d’énergie dirigée,
assez pour manipuler l’ionosphère, perturber le climat et transformer
des régions entières en zones de catastrophe. Ces installations existent
dans le monde entier — Alaska, Suède, Russie — toutes faisant partie
d’un système coordonné capable de provoquer famine, tremblements de
terre et chaos pour écraser la résistance.
Des initiés affirment que les antennes relais et le système TrapWire de
la DARPA sont connectés à cette grille, créant une toile planétaire de
surveillance et de contrôle. D’anciens lanceurs d’alerte comme Nick
Begich ont averti que la manipulation émotionnelle via HAARP était «
effroyablement facile ».
C’est une guerre contre l’humanité elle-même. Notre météo, nos esprits,
même nos morts peuvent être scénarisés par ceux qui actionnent HAARP. Le
régime globaliste le cache sous le prétexte de « recherche scientifique
» tout en menant une guerre silencieuse.
L’avertissement de Snowden est clair : HAARP est l’arme ultime. Elle
peut déstabiliser des nations sans qu’aucune balle ne soit tirée. Elle
peut effacer des patriotes sans laisser d’empreintes. C’est la main
invisible qui guide les événements mondiaux — tempêtes, guerres,
effondrements — tous orchestrés pour forcer la soumission.
Les patriotes doivent se réveiller. Exiger la fermeture de ces
installations. Exiger la révélation de ceux qui autorisent leur usage.
L’horloge tourne. Chaque seconde où HAARP reste actif est une seconde de
plus de guerre psychologique et environnementale contre le peuple.
La tempête n’arrive pas — elle est déjà là.
“Un chasseur tribal africain remporte une médaille d’or olympique” sur https://youtube.com/shorts/c4S1fU9DXfU?si=FMNRFM6rjGRr_QEc
Regardez “il l’avait prédit DJAMEL en dictateur en guerre contre la Russie !
https://youtube.com/shorts/clgUESLMemw?si=vOVuEmIz_ntXA1El
POLITIQUE : LA FACE CACHÉE DU POUVOIR SOCIALISTE MACRONISTE
https://www.youtube.com/post/Ugkxfwk26fnzmDzVximbMfux6Kq_ST7G8AUO
Christine Deviers-Joncour approche les 78 ans… Elle vit très modestement dans un village du Périgord noir où elle écrit des livres et s’adonne à des actions caritatives, ayant tiré un trait sur son passé que néanmoins elle ne renie pas. CORRUPTION ET DÉPOPULATION Elle fut de longues années, la maîtresse de Roland Dumas, ministre des affaires étrangères de François Mitterrand. En gros, son nom a beaucoup circulé dans des histoires de corruption impliquant les plus hauts personnages de l’État ce qui lui a valu les disgrâces des puissants et le cachot. En son temps, elle sortit un livre de révélations intitulé « La putain de la République » qui dérangea beaucoup la classe politique socialiste. Christine Deviers-Joncour témoigne par écrit de l’obsession de Jacques Attali pour la dépopulation. Autant dire qu’elle a vu de ses yeux l’envers du décor et la face obscure du monde politique. Autant dire que relire un peu de ses écrits nous remet dans le contexte actuel de cette France endettée de 3300 milliards d’euros par ces mêmes politiques qui nous gouvernent depuis les années 1980.. LES FAITS Voici ce qu’elle dit: «J’entendais leurs délires, loin d’imaginer qu’ils iraient jusqu’au bout de leur folie. Je les ai vus, à l’époque, se goberger, s’empiffrer sur le dos de la bête. Je les ai vus, les yeux plus gros que le ventre, piller et se goinfrer. Se donner des lettres de noblesse factices que leur position et leur pouvoir leur conféraient. Je les ai vus bomber le torse et de leur petite hauteur, mépriser le peuple en donnant au château de Versailles des fêtes royales pour célébrer dignement l’arrivée au pouvoir du nouveau « monarque ». Les cortèges de voitures officielles comme autant de carrosses et les garden-parties de ces nouveaux parvenus bientôt emperruqués. PILLAGES J’ai vu les épouses et leur marmaille jouant à Marie-Antoinette sans vergogne sous les lambris, dont le passe-temps se limitait à organiser des dîners fins entre amis et visiter le Mobilier national comme on va chez Ikea. Gratuit ici.Surtout quand on omettait de restituer pièces d’art et meubles d’époque. POUVOIR ET RICHESSE Je les ai vus et j’ai payé très cher pour avoir été témoin, n’étant pas du sérail… J’ai vu les caisses noires des ministères exonérées d’impôts, les frais d’intendance éhontés enfler toute honte bue, chauffeurs et gardes du corps à vie et retraites cumulées replètes, rétro-commissions sur des marchés d’état, des avions équipés comme des palaces volants, des jets sur le tarmac prêts à décoller au moindre caprice ou quand tsunamis, tremblements de terre et autres catastrophes permettaient d’appeler les hordes de photographes, après être passé en vitesse chez le coiffeur et le couturier branché, pour se faire immortaliser au pied d’un jet avec un sac de riz sur le dos. J’ai vu des soutes en provenance d’Afrique garnies de billets de banque et des coffres de voitures transformés en caverne d’Ali Baba pour distribution d’argent à grande échelle, des contrats d’État passés aux mains des filous, des comptes bien cachés dans des pays aux lagons bleus, (…) J’ai vu des enfants éventrés, des femmes violées, lapidées, torturées. J’ai vu un avion avec une croix rouge sur son flanc porter secours à des populations africaines affamées en leur tirant dessus, et j’ai même vu certains crocodiles bouffer de malheureux témoins encombrants et d’autres tomber des fenêtres, arrêts cardiaques et cancers fulgurants. Toute cette honte, tous ces crimes pour encore plus de Pouvoir et Richesses. Un monde aux mains de la Finance Internationale, Bilderberg, Nouvel Ordre Mondial criminel, FMI, GAFAM etc, pour maintenir, verrouiller le système, protéger une élite et asservir les peuples en les abrutissant et en les dépravant en inversant les valeurs ! Nous leur donnons une once de pouvoir et ils perdent tout sens commun. Et plus on monte dans la hiérarchie, plus ils s’en donnent à cœur joie, perdent le sens des réalités et franchissent allègrement et sans états d’âme l’inacceptable. Et au plus haut niveau de la pyramide ils n’ont plus rien d’humain. Ce sont des monstres. (…) Le pouvoir, aphrodisiaque suprême, les déshumaniserait-il à ce point ? Et le fric, moteur essentiel à toutes ces dérives… Comment osent-ils se poser en donneurs de leçons, parler de probité, d’intégrité, de franchise, quand se multiplient leurs égarements et que les affaires de corruption et autres méfaits les éclaboussent ? (…) PEUR SUR LA FRANCE Nous sommes devenus un immense peuple de moutons à tondre, tandis que la démocratie n’existe plus depuis longtemps, et tout dépend maintenant du pouvoir de résistance et de révolte des peuples. La mise en esclavage des populations est passée à la vitesse supérieure avec cette « pandémie covid » en créant la peur ! Et les grands argentiers de la planète et leurs marionnettes nous font clairement comprendre que seuls comptent leurs profits, que le bien-être des citoyens n’a aucune espèce d’importance. Leurs pandémies et leurs vaccins mortifères finiront le sale boulot pour une dépopulation mondiale annoncée : Le projet ne date pas d’hier, croyez-moi ! Nous sommes tous sacrifiés sur l’autel des profits. Depuis ces dernières décennies tout fut mis en œuvre fissa pour nous anéantir. Et la télévision et les médias aux ordres ont participé à cet abrutissement de masse qui nous a conduits à l’impuissance en nous lavant le cerveau. REVEIL ? Je veux pourtant rester optimiste. Nous sommes à un tournant majeur, un changement de civilisation.
Regardez “Ils se sont fait interner sans être malades et personne ne s’en est rendu compte !” sur YouTube
https://youtube.com/shorts/zrMlZEkSerU?si=Yw-kg-kTb0jsT2d5
TAL : A mettre en rapport avec mon ebook Comment un malade mental peut sortir des griffes de la psychatrie chimique et devenir thérapeute
Hypothèse intéressante sur la situation en Ukraine –
Salik de Bonnault via faisonsle.info
Voici pourquoi le Dr. Ploncard d’Assac est à l’honneur dans
https://eveilleursdelaube.fr/, puisqu’il confirme ce que j’écrivais il y
a 10 ans en rappelant que Henry Kissinger annonçait au début du millénaire que les jours d’Israël étaient comptés…
https://www.youtube.com/shorts/xHTOXYSCcPg
Les rapports entre l’Ukraine et le GRAND ISRAEL !
PFIZER GENOCIDAIRE
Salik de Bonnault : Cela fait plus de 20 ans que nous savons que les vaccins promus par Bill
Gates servaient à stériliser les femmes indiennes et africaines…
Réveillez-vous !
Dans une révélation stupéfiante tirée des documents de Pfizer, Naomi
Wolf révèle que la découverte la plus choquante ne concerne pas les
effets secondaires connus, mais l’obsession à 360 degrés du vaccin
visant à endommager la reproduction humaine, et non le système respiratoire.
Elle explique comment les nanoparticules lipidiques sont conçues pour
traverser toutes les membranes, y compris le placenta. Cela entraîne des
calcifications, empêchant les bébés d’obtenir nutriments et oxygène.
Résultat ? Les sages-femmes signalent une désagrégation du placenta,
entraînant des naissances prématurées, de terribles hémorragies
maternelles et une augmentation de 40 % de la mortalité maternelle en
Occident.
Pfizer savait que les nanoparticules envahiraient les testicules des
bébés garçons in utero, dégradant les cellules de Leydig responsables de
la masculinité et de la fertilité. Ils pourraient ne jamais se
développer normalement, même s’ils n’étaient jamais vaccinés.
Un rapport d’andrologie a confirmé que le vaccin altère la motilité des
spermatozoïdes chez les hommes. Plus grave encore, Pfizer a mis en garde
les participants masculins à l’essai contre les rapports sexuels avec
des femmes non vaccinées et l’utilisation de deux méthodes de
contraception, définissant l’« exposition » par le sperme, le contact
cutané et la respiration.
Sur les 270 grossesses étudiées, 234 ont été « perdues ». Mais sur les
36 grossesses restantes, plus de 80 % ont abouti à la perte du bébé.
Pfizer le savait. La question est : pourquoi cette découverte a-t-elle
été au cœur de leurs recherches ?
L’EMERVEILLEMENT
R.REYMONDIER
Selon le philosophe Josef Pieper dans Leisure: the Basis of Culture (Les loisirs : la base de la culture), la culture est une grande fête, une grande célébration du monde à travers l’art, la musique, la danse et même la religion. La culture sert à encourager l’esprit de préservation de tout ce qu’une société chérit le plus, de tout ce qui mérite d’être célébré dans la vie humaine et dans le monde. Josef Pieper écrit : « Organiser une célébration signifie affirmer la signification fondamentale de l’univers et un sentiment d’unité avec lui, d’inclusion en son sein. En célébrant, en organisant des fêtes à l’occasion, l’homme fait l’expérience du monde sous un aspect autre que celui de la vie quotidienne. »
Cet esprit de célébration, qui est l’âme de la culture, ne peut être que le résultat de la crainte respectueuse et de l’amour que l’on trouve dans l’émerveillement véritable – l’émerveillement devant tout ce qui est puissant et grandiose dans nos vies et dans notre univers. Sans émerveillement ni reconnaissance, il n’y a rien à célébrer. Lorsqu’il n’y a rien à célébrer, il n’y a rien à cultiver. Quand il n’y a rien à cultiver, il n’y a pas de culture.
Tragiquement, à travers des siècles de scepticisme croissant, de doute et de rejet du passé, tels que incarnés, par exemple, par la théorie critique, la civilisation occidentale a perdu une grande partie de sa capacité à s’émerveiller. Le scepticisme est l’antithèse même de l’émerveillement, et donc, pourrions-nous dire, l’antithèse d’une véritable philosophie et d’une véritable culture.
Il se peut donc qu’une étape importante dans la restauration de la culture soit la restauration de notre sens de l’émerveillement.
Il n’y a pas de changement de société sans émerveillement.
Il n’y a pas de guérison possible sans émerveillement.
Il n’y a pas de santé mentale sans émerveillement.
Il n’y a pas de santé spirituelle sans émerveillement.
Si nous gardons intact le souvenir de Jésus c’est parce qu’il symbolisait l’ÉMERVEILLEMENT et la puissance de ses miracles se faisait par EMERVEILLEMENT.
A PARTIR DU 10 SEPTEMBRE
https://nice-provence.info/2025/09/06/ne-confondez-pas-le-10-septembre-et-a-partir-du-10-septembre/?utm_campaign=08_septembre_2025&utm_medium=&utm_source=
Nous étions en 2015. Nous suggérions alors :
Courir les soldes ou les promotions dans les centres commerciaux.
Avant d’acheter quoi que ce soit, se poser la question : en ai-je vraiment besoin ? puis-je m’en passer ?
Lire les étiquettes de tous les produits.
Flâner dans les centres commerciaux pendant ses jours de congés.
Tout mais pas ça ! Lire, faire du sport, visiter les musées, s’impliquer dans une association, se retrouver en famille ou entre amis
Acheter des fruits et légumes qui nous viennent du bout du monde, mis à part quelques fruits exotiques pour se faire plaisir.
Manger des fruits et légumes de saison produits localement.
Acheter des plats cuisinés industriellement.
Manger des produits locaux que l’on prépare soi-même. On peut cuisiner très vite de bonnes choses par exemple au cuit-vapeur.
Jeter de la nourriture.
Ne jamais jeter de la nourriture ! Accomoder les restes.
Jeter des vêtements.
Se procurer des vêtements solides et les porter longtemps.
Changer frénétiquement de téléphone mobile pour disposer du dernier modèle
Se désintoxiquer du téléphone mobile
Changer d’appareil électro-ménager parce qu’il est en panne.
Toujours se poser la question de la valeur résiduelle avant de jeter quoi que ce soit.
Changer de voiture pour disposer du dernier modèle de la marque.
Résister au conformisme propagé par la publicité, démonter les mécanismes publicitaires pour ne pas en être dupes.
Partir loin en vacances, consommer des vacances sur catalogue.
Considérer les vacances comme des moments de repos, de ressourcement en dehors de toute considération extérieure, rendre visite aux amis, à la famille.
Prendre la voiture pour parcourir moins de 1 km(2) : ce trajet est très polluant car une voiture enregistre toujours une surconsommation de carburant sur le premier kilomètre (+ 50 % de consommation).
• Privilégier les transports en commun (et faire pression sur les services publics pour qu’ils soient sûrs, propres et ponctuels, ce qui – effectivement – n’est pas toujours le cas).
• Rouler à bicyclette ou marcher à pied à la moindre occasion.
Acheter trop de jouets aux enfants.
Éduquer les enfants à la simplicité et à la sobriété tout en se posant en exemple.
Se sentir obligé de ne pas arriver « les mains vides » lorsqu’on est invité.
Faire comprendre à vos amis qu’ils ne sont pas obligés de vous offrir une pacotille lorsque vous les invitez, sauf des fleurs, un livre ou une bonne bouteille.
Nous y ajoutons aujourd’hui :
Ne faites pas
Faites
Faire ses achats avec sa carte bancaire. Pire, avec sa carte bancaire en mode « sans contact ».
Garder sa carte bancaire pour certains achats spécifiques, mais au quotidien bien garder l’habitude de tout payer en espèces.
DIALOGUE ENTRE UN PATIENT ET SON PEDIATRE
https://www.facebook.com/share/1YwM25xPi6/
Un dialogue de sourds ! instructif !!
LES AMERICAINS SUR LA LUNE ?
https://www.facebook.com/share/r/16cNKmkoa8/
Sur facebook
Edith Bruck a 94 ans. C’est une survivante d’Auschwitz, où elle a été déportée quand elle était encore enfant.
Elle est écrivaine, poète, une femme qui a fait de la mémoire une mission. Et aujourd’hui, elle a eu le courage – encore une fois – de dire ce que beaucoup, trop, gardent le silence.
Parlant des crimes de Gaza et de Netanyahu, elle a prononcé des paroles fortes, claires et nécessaires :
« Ce qui se passe à Gaza est très, très douloureux pour moi, et je crois que c’est pareil pour tout le monde. Netanyahu provoque un tsunami d’antisémitisme, car tout le monde identifie les juifs au gouvernement israélien. Mais la majorité des Juifs et des Israéliens ne sont absolument pas d’accord avec le gouvernement Netanyahu. »
« Mais ce n’est pas assez. Les Israéliens ont besoin de protester davantage. Pas seulement le samedi, mais tous les jours, jour et nuit. Même en assiégant Netanyahu et le bunker de sa femme. C’est le moment de la rébellion. Tout le monde dans l’armée devrait se rebeller et ne pas suivre des ordres inhumains. Tu dois dire non.”
« Utiliser Dieu pour tuer est une chose monstrueuse. Tout le monde l’a fait, même les nazis. Je me souviens des boucles sur les ceintures SS à Auschwitz : c’était écrit « Gott mit uns », Dieu est avec nous. Quand je suis sorti du champ tu m’as dit pauvre Dieu en ton nom ils ont tué des millions.
La vie des Palestiniens à Gaza est traitée comme des vies de classe B. Il est temps de créer un État palestinien, à ce stade tout changerait. »
Des mots très puissants. Et une leçon pour tout le monde : pour ceux qui font semblant de ne pas voir, pour ceux qui se taisent, pour ceux qui ont choisi la complicité pour les calculs politiques.
Elle n’a pas été prononcée par un activiste radical ou un leader politique, mais par une femme qui a vécu l’horreur absolue sur sa propre peau.
Voyons s’ils vont lui donner de l’antisémite aussi.
7 révélations sur la dépopulation en marche !
BOUTRY PRESENTE LES REVELATIONS DE JEAN MARC SABATIER
https://www.facebook.com/watch/?v=1272366760688660&rdid=cFmCAuGwr3DuFNDQ
CROWDBUNKER /Il faut un véritable Nuremberg, il faut les éxecuter
Raoult chez BERCOFF dénonce les mensonges de BIG PHARMA … PUISSANT !!
Agenda 2030 de l’ONU
Sebastian Lukomski <petitions-fr@citizengo.org>
https://go.citizengo.org/LP3-OTD-form-FR.html?m=5&nid=16293&utm_campaign=FR_FR-2025-08-25-Global-FR-ABR-16293-Summit_For_Development-Agenda_2030.04_AA_RL_1_Retargeting&_ref=144288001&title=rejetez-l-agenda——–emp%C3%AAchez-l-onu-de-contr%C3%B4ler-votre-avenir&flowType=sdt
J’ai juste besoin d’un instant de votre temps, car quelque chose de très grave est en train de se passer à l’ONU et presque personne n’en parle.
En ce moment même, des représentants gouvernementaux et des responsables de l’ONU s’empressent de finaliser une Déclaration politique des Nations Unies conçue pour renforcer et accélérer la mise en œuvre de l’Agenda 2030 pour le développement durable (les ODD).
Si vous n’en avez jamais entendu parler, l’Agenda 2030 est le plan directeur de l’ONU pour remodeler le monde : de votre économie à votre consommation d’énergie, en passant par votre alimentation, votre famille, votre liberté d’expression, et même votre identité numérique.
En surface, cela semble inoffensif : 17 objectifs brillants avec des slogans comme « éradiquer la pauvreté » ou « sauver la planète ».
Mais dans les coulisses se cache quelque chose de bien plus sombre : une poussée vers la gouvernance mondiale, la surveillance numérique, l’avortement comme droit universel, et une lente érosion de la souveraineté nationale.
C’est pourquoi il s’agit peut-être de l’attaque la plus dangereuse jamais menée contre votre mode de vie, la manière dont vous élevez vos enfants, et votre liberté de pratiquer votre foi.
Car dès que des croyants osent s’y opposer, on les taxe « d’extrémistes » ou on les accuse de « discours haineux ».
L’Assemblée générale de l’ONU doit approuver ce texte en septembre.
Puis, en novembre, les dirigeants du monde entier se rassembleront à Doha pour le Sommet mondial pour le développement social, afin de l’adopter officiellement.
Une fois cela fait, ce document deviendra le modèle utilisé par l’ONU pour exercer des pressions sur la France, afin qu’il se conforme aux définitions mondialistes du « progrès » dans ses lois, tribunaux, accords commerciaux, programmes d’aide et systèmes éducatifs… pour des décennies.
Et le pire ? Ils espèrent que vous ne remarquerez rien.
Ils emballent tout ça dans des termes séduisants comme « développement inclusif », « justice » ou « ne laisser personne de côté ».
Mais à l’intérieur se cache la structure d’un système radical et autoritaire à l’échelle mondiale : idéologie de genre radicale, contrôle de la parole, identifiants numériques mondiaux, et élites non élues qui vous disent comment vivre.
C’est ainsi qu’ils infiltrent l’Agenda 2030 dans votre vie : par le biais de « droit souple » qui semble volontaire… jusqu’à ce qu’il soit utilisé dans les tribunaux, les contrats de financement, et les systèmes scolaires.
Et si nous restons silencieux, il sera trop tard.
N’attendez pas novembre. Vous et moi pouvons encore forcer les délégués et les représentants à modifier le texte maintenant !
Cela pourrait bien être notre seule chance avant que la porte ne se referme pour de bon.
Merci de vous tenir à mes côtés,
Sebastian Lukomski et toute l’équipe de CitizenGO
P.S. L’Agenda 2030 n’est pas une vision inoffensive : c’est un piège mondial déguisé en “progrès”. Si nous restons silencieux, cette déclaration sera scellée à l’Assemblée générale de l’ONU en septembre, puis adoptée lors du Sommet de Doha en novembre.
Cela signifie : surveillance numérique, idéologies radicales et contrôle mondial gravés dans votre avenir.
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Révélations explosives sur Pfizer : une interview exclusive avec Naomi Wolf
https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/revelations-explosives-sur-pfizer-une-interview-exclusive-avec-naomi-wolf
Dans une interview exclusive, Naomi Wolf, éditrice du livre « Pfizer Papers », présente les faits choquants concernant les vaccins contre la COVID-19, basés sur des documents internes de Pfizer. Alors que le monde continue de débattre de la gestion de la pandémie, les déclarations de Wolf, présentées hier au Parlement européen à l’invitation de la MEP Christine Anderson, soulèvent des questions cruciales sur la transparence et la responsabilité des grandes entreprises pharmaceutiques.
Un livre qui fait trembler l’industrie pharmaceutique
Le livre « Pfizer Papers », édité par Naomi Wolf, est basé sur une analyse approfondie de 450 000 documents de Pfizer, rendus publics suite à une décision de justice. Wolf, qui se définit comme une féministe et une défenseuse des libertés civiles, a réuni une équipe de 3 500 médecins et scientifiques pour examiner ces documents. « Ces rapports sont basés sur les documents internes de Pfizer soumis à la FDA », affirme-t-elle, insistant sur le fait qu’elle ne fait que relater les conclusions de Pfizer.
Des allégations troublantes
Parmi les révélations les plus choquantes, Wolf explique que Pfizer savait dès novembre 2020 que les vaccins n’étaient ni sûrs ni efficaces. « Pfizer a conclu dans ses propres documents que les vaccins n’ont pas réussi à arrêter la COVID », dit-elle. De plus, des effets secondaires graves, dont des accidents vasculaires cérébraux et des crises cardiaques, ont été documentés, ce qui soulève des inquiétudes majeures quant à la sécurité des vaccins.
Censurée et invisibilisée sur des informations critiques pour la population
Wolf partage son expérience de censure en 2021, lorsqu’elle a commencé d’alerter sur les problèmes menstruels persistants signalés par des femmes après l’injection d’ARNm. Elle déclare avoir été « immédiatement censurée » et déplore « une étrange campagne mondiale visant à [la] discréditer ». Cette censure a contraint Wolf à chercher refuge dans des plateformes alternatives comme « the War Room » de Steve Bannon, qu’elle décrit comme un allié inattendu dans la lutte pour la vérité.
Une réaction internationale
Les révélations de Wolf ont suscité des réactions au-delà des frontières américaines. Elle témoigne d’un intérêt croissant de la part de parlementaires et de journalistes européens, soulignant que « le progrès dépend des citoyens ». Elle appelle à une réaction collective pour exiger des comptes des autorités et des entreprises pharmaceutiques.
Un appel à la justice
Wolf exprime son espoir de voir les responsables répondre de leurs actes. Elle compare la situation actuelle aux procès de Nuremberg, soulignant la nécessité de respecter les lois internationales qui interdisent la coercition médicale. « Nous sommes en plein milieu de la bataille », déclare-t-elle. C’est aux citoyens de décider à se joindre à la lutte pour la vérité et la justice.
Des médias sous influence
Dans une critique acerbe des médias traditionnels, Wolf les accuse d’avoir abandonné leur rôle de gardiens de la vérité. Elle affirme que les médias ont collaboré avec les grandes entreprises et les gouvernements pour diffuser une propagande pro-vaccin, sans poser de questions critiques. « Beaucoup de journalistes et de rédacteurs en chef vont aller en prison », prédit-elle, pour leur rôle dans la dissimulation des vérités dérangeantes et avoir pris des financements, par exemple de la fondation Gates.
Où étiez-vous, sénateurs ? Pendant qu’ils injectaient du poison dans le corps de nos enfants ?
Paul Connett, Ph.D., coauteur de « The Case Against Fluoride: How Hazardous Waste Ended Up in Our Drinking Water and the Bad Science and Powerful Politics That Keep It There » (Les arguments contre le fluor : comment des déchets dangereux se sont retrouvés dans notre eau potable et la mauvaise science et la politique puissante qui les y maintiennent), répond à l’audience du Sénat américain de jeudi au cours de laquelle les membres de la commission des finances ont accusé le secrétaire américain à la Santé, Robert F. Kennedy Jr.
Par Paul Connett, Ph.D.
Hier, le monde entier vous a vu huer et railler Robert F. Kennedy Jr. parce qu’il n’était pas d’accord avec vos convictions sur les vaccins.
Suiviez-vous un script qui vous avait été transmis par la machine de propagande haineuse de l’industrie pharmaceutique ?
Ironiquement, un complexe similaire composé de l’industrie, du CDC et d’organismes pseudo-professionnels vous a maintenu dans le silence pendant des décennies sur une autre pratique de santé publique.
Vous êtes resté silencieux pendant qu’ils injectaient du poison dans le corps de nos enfants pendant 80 ans.
Où étiez-vous entre 2017 et 2020, lorsque les études financées par le gouvernement américain sur le fluorure et le QI des mères et de leurs enfants et des nourrissons ont été publiées ?
Où étiez-vous en 2022, lorsque les Centres pour le contrôle et la prévention des maladies ont pris connaissance de ces données scientifiques, mais n’ont pas averti les femmes enceintes d’éviter l’eau fluorée ?
Où étiez-vous en 2024, lorsque le Programme national de toxicologie a examiné ces études et de nombreuses autres études sur le QI et a conclu que le fluor était une neurotoxine ?
Où étiez-vous le 24 septembre 2024, lorsqu’un juge fédéral a conclu, après sept ans de procès au titre de la loi sur le contrôle des substances toxiques (TSCA), que l’eau fluorée « approuvée par le gouvernement américain » présentait un « risque déraisonnable » pour les enfants américains ?
Avez-vous lu ces données scientifiques que vous êtes censé chérir ? Les avez-vous placées au-dessus des sources de propagande intéressées ?
Suivez-vous la science ? Ou suivez-vous l’argent ? Sur ces deux questions ?
Où était RFK Jr. pendant tout ce temps ? Il était en train de lire les études scientifiques.
Et il a suivi le procès TSCA en ligne. Il sait que la fluoration doit cesser.
A-t-il tort à ce sujet ? Et vous ?
Peut-être est-il temps d’arrêter vos aboiements et vos sarcasmes et de commencer à lire réellement les données scientifiques ?
Est-il bon d’exposer le cerveau d’un bébé au fluor dès le premier jour de grossesse ?
Est-il bon d’injecter du mercure organique dans le sang d’un bébé ?
Est-il bon d’injecter de l’aluminium dans le sang d’un bébé ?
Devrions-nous jouer avec l’ARN messager ?
Savons-nous ce que nous faisons ?
Paul Connett, Ph.D., est coauteur de «The Case Against Fluoride: How Hazardous Waste Ended Up in Our Drinking Water and the Bad Science and Powerful Politics That Keep It There » (Les arguments contre le fluor : comment des déchets dangereux se sont retrouvés dans notre eau potable et les mauvaises données scientifiques et les puissantes politiques qui les maintiennent là).
Note de TAL : On pourrait poser les mêmes questions aux politiciens et aux journalistes des pays européens qui sont tous remarquablement silencieux sur ce genre de sujets !
Crowdbunker : L’ÉGRÉGORE ET SA PORTÉE – ARME INVISIBLE ET IMPARABLE
Excellente vidéo qui montre comment agir positivement en nourrissant les égrégores pacifiques.
L’egrégore attire les énergies du futur, c’est un potentiel puissant que rien ne peut arrêter !
Commentaire :
Voilà un exposé superbe et… vrai !!! Dis d’une autre manière, exploitez la puissance de votre subconscient. Alimentez en permanence votre mental avec de nobles pensées. Votre jardin intérieur fera pousser ce que vous y avez semé, contre vents et marées. Un grand merci pour ce rappel précieux !!!
Et aussi :
Pacte 21 – 3 minutes pour pirater la matrice
Traitements naturels du cancer
Une bonne revue, en anglais, des traitements naturels efficaces !
Un complot antichinois ?
Yves RASIR
Non, je ne passerai pas à autre chose, comme certains lecteurs me le demandent régulièrement. Pas question de tourner la page de la grande mascarade plandémique ! Sous peine de revivre pareil délire, il faut absolument parvenir à comprendre qui a planifié cette opération psychologique déguisée en cataclysme sanitaire et pour quels motifs elle a été déclenchée il y a bientôt six ans en Chine. Si l’on veut découvrir le pot aux roses covidien, il est impératif de décrypter ce qui s’est exactement passé au tout début de cette guerre hybride lancée en territoire chinois.
Dans mon infolettre du 5 mars 2025, j’ai exposé l’hypothèse de l’effet d’aubaine : les autorités chinoises auraient tiré parti de la petite épidémie de pneumonie survenue à Wuhan pour étouffer un mouvement de contestation plus large et pour mater le noyau d’opposants au régime communiste l’accusant de négliger la santé des habitants. Selon cette hypothèse, la Chine serait « le méchant » qui a instrumentalisé un pseudo fléau viral et les contestataires wuhanais seraient « les gentils » qui ont tenté d’alerter sur une gestion de crise défaillante.
Ce qui me dérange dans cette version, c’est qu’elle sied trop bien à ce que les Américains cherchent à faire depuis les premières semaines de l’année 2020, à savoir propager le scénario de la fuite de labo . Contrairement à ce qu’une large frange de la résistance s’est mise progressivement à croire, la théorie selon laquelle un coronavirus de chauve-souris aurait été trafiqué dans un laboratoire P4 et relâché accidentellement dans la nature a toujours été privilégiée outre-Atlantique. Dès janvier 2020, les médias US évoquent cette piste en soulignant qu’elle circule dans les agences de renseignement et les allées du pouvoir.
Durant la dernière année de son premier mandat, Donald Trump lui-même insinue que le « virus chinois » est un ennemi sournois dont la virulence alléguée est forcément le (mé)fait de la grande puissance rivale. Depuis que le magnat a récupéré son poste présidentiel, il est vrai que son administration et le Congrès insistent beaucoup sur les complicités occidentales dans la fabrication du présumé agent viral manipulé . D’Antony Fauci à Peter Daszak en passant par Ralf Baric et autres, tout le monde connaît désormais le nom des individus impliqués dans les recherches sur les gains de fonction. Grâce à ces « révélations », l’écrasante majorité de l’opinion publique occidentale est désormais persuadée que la Chine s’est acoquinée avec des scientifiques occidentaux pour jouer avec le feu et que cette imprudence coupable a provoqué le fléau baptisé Covid-19.
Comme je ne cesse de le souligner, ce récit dominant est pourtant bâti sur du sable : la pandémie n’a pas eu lieu et il n’y a pas la moindre trace d’une propagation par contagion d’un quelconque pathogène infectieux ! Ce narratif virophobe est à l’évidence un écran de fumée destiné à égarer les foules et lui faire prendre des vessies pour des lanternes. Pendant que les peuples se divisent sur le caractère naturel ou artificiel du coco, ils perdent de vue que ce dernier est une pure invention des ingénieurs sociaux ayant conçu la psy’op’ covidiste. Quand bien même un fragment de génome viral pourrait être relié à un vague tableau clinique grippal, sa responsabilité causale est une fiction pasteurienne qui ne résiste pas à l’analyse.
Selon la poignée de scientifiques qui osent ce diagnostic, la fausse pandémie ne fut que déchaînement hystérique et déferlement iatrogénique. Il se peut qu’un toxique chimique transmissible par excrétion ait été répandu en divers endroits du globe à des moments clés pour renforcer l’illusion d’un phénomène contagieux, mais tout indique que les événements de 2020 furent pour l’essentiel le produit d’une mystification savamment orchestrée, autrement dit d’un grand complot. Pour savoir qui a conspiré et a imaginé cette vaste opération criminelle, il convient à présent d’examiner à qui elle a profité.
Cui bono ? Certainement pas à la Chine. Hormis la neutralisation des protestataires wuhanais et la fourniture de milliards de masques, ce pays n’a tiré aucun avantage de la pseudo crise sanitaire . Son image à l’étranger a été considérablement détériorée, sa réputation de bouillon de culture viral mettant la planète en péril s’est encore affermie, son implication dans l’OMS a en partie justifié la décision américaine de quitter l’organisation onusienne et son industrie pharmaceutique n’a guère tiré les marrons du feu. Par rapport à Pfizer ou Moderna, Sinovac n’a ramassé que les miettes du plantureux marché vaccinal. Depuis l’ouverture du Corona Circus, l’Empire du Milieu a semblé plutôt subir le spectacle qu’y trouver bénéfice.
En revanche, il y a une petite communauté qui avait tout intérêt à monter l’opération, ou du moins à dramatiser la situation qui prévalait à Wuhan à l’automne 2019. Je veux parler des opposants chinois en exil, et en particulier de ceux qui ont trouvé refuge aux États-Unis. Ce qui m’a mis la puce à l’oreille, c’est un article paru en avril 2021 sur le site de Swiss Policy Research (SPR), un média alternatif installé en Suisse et qui a fait un excellent boulot informatif dès l’entame de la mascarade. Selon cet article, les vidéos effrayantes ayant surgi en janvier 2020 et censées montrer des victimes du covid s’effondrer en pleine rue sont apparues initialement sur des sites antichinois, notamment une plateforme basée à Taïwan. Ces images manipulées ou tirées de leur contexte ont ensuite été reprises par les « grands » médias occidentaux afin de générer la psychose de masse et d’attiser l’hostilité envers Pékin, accusé de dissimuler la catastrophe.
Depuis que SPR m’a ouvert les yeux sur cette propagande pandémique précoce, je fais encore moins confiance à la presse occidentale. Et je me méfie aussi des sources « résistantes » qui pointent le pouvoir chinois du doigt et veulent à tout prix nous convaincre que le virus couronné est issu de recherches scabreuses menées en Chine. Parallèlement, je fréquente des blogs et je suis abonné à des infolettres explorant l’hypothèse inverse, celle d’une république populaire prise pour cible par ses adversaires et subissant une grande campagne de désinformation. Il y a quelques semaines, j’ai lu avec une vive curiosité l’article rédigé par le journaliste et cinéaste américain Dan Cohen, lui-même alerté par l’article d’un certain Mark Kulackz posté sur son flux Housatonic.
Je ne jurerais pas que ces deux auteurs méritent le bon Dieu sans confession, ni que l’enquête du second soit dénuée d’erreurs factuelles ou d’interprétations incorrectes. Mais il me semble qu’elle lève un très gros lièvre, à savoir le rôle trouble et troublant joué par le Dr Li-Meng Yan. Si ce nom ne vous dit plus rien, il s’agit de cette virologue chinoise qui a fait énormément parler d’elle à l’été 2020 après avoir atterri aux USA et ameuté les médias étasuniens. Selon cette transfuge se présentant comme une lanceuse d’alerte en danger, elle aurait découvert que le Sars-Cov-2 était une créature de laboratoire hautement meurtrière et elle aurait dû fuir la Chine pour échapper aux représailles, qui plus est en abandonnant son mari derrière elle.
D’après Mark Kulackz, cette belle histoire hollywoodienne ne tient pas debout car la scientifique asiatique était précédemment mariée à un Américain d’origine sri-lankaise, lui-même bien intégré à l’establishment médical américain. Li-Meng Yan vivrait aux États-Unis depuis de nombreuses années et parlerait beaucoup mieux anglais que chinois ! Elle serait de surcroît liée professionnellement aux personnes (Baric, Daszak…) qu’elle accuse d’avoir trempé dans les expériences de gain de fonction. Last but not least, la virologue aurait co-déposé en 2023 une demande de brevet pour un vaccin antigrippal universel.
Dans l’ombre du Dr Yan, on retrouve cette vieille fripouille de Steve Bannon, l’ancienne éminence grise et âme damnée de Donald Trump. On y retrouve aussi l’empreinte du NED (National Endowment for Democracy), paravent de la CIA sur le terrain politique, la secte Falun Long, un super-escroc dénommé Guo Mengwi et un généreux milliardaire hong-kongais non identifié. Le point commun de toute cette faune, c’est de vouer le régime chinois aux gémonies et de manœuvrer pour lui nuire. Le 3 juin 2020, Bannon et son sponsor ont été jusqu’à proclamer, sur fond de statue de la liberté, un « nouvel état fédéral de Chine » censé se substituer à la république actuelle !
Bref, il y a de bonnes raisons de penser que Li-Meng Yan n’est pas la dénonciatrice d’un scandale chinois mais bien le rouage d’une vaste machination antichinoise . Un pion sur l’échiquier géostratégique mondial où les néo-conservateurs américains, sous fausse bannière trumpiste, envisageraient ni plus ni moins de déclarer la guerre à la Chine communiste ! Non plus une simple guerre commerciale mais un vrai conflit armé aux motivations impérialistes et colonialistes. Dans ce cas de figure, l’opération psychologique Covid-19 aurait pour but de salir l’ennemi et de faire croire qu’il a mis au point des armes de destruction massive. Cela ne vous rappelle rien ?
Tout en employant le conditionnel et en prenant garde de ne pas affirmer que ce scénario digne d’un James Bond correspond à la réalité, je vous invite néanmoins à ne pas sous-estimer sa plausibilité. L’Oncle Sam est un habitué des guerres d’agression et sa « Central Intelligence Agency » a déjà maintes fois démontré sa propension à user de coups tordus . Le narratif relatif au « virus chinois » et à son bidouillage peut très bien provenir des cerveaux chargés de susciter un « regime change » en Chine continentale. Ci-dessous, je vous propose la traduction de l’article de Dan Cohen, à peine retouchée par mes soins. Ce texte apporte plus de questions que de réponses mais il contient de nouveaux éléments permettant de mettre en doute ce que j’ai appelé la « deuxième doxa », autrement dit la fable du virus évadé d’un labo. Bonne lecture.
L’histoire frauduleuse du Dr Li-Meng Yan
Se présentant comme une lanceuse d’alerte dénonçant les malversations chinoises, Yan a dissimulé ses liens étroits avec le milieu biomédical américain. Ses partisans comme ses détracteurs dans les médias ont joué le jeu de cette supercherie.
DAN COHEN ET HOUSATONIC – 7 AOÛT 2025
En juillet 2020, dans un contexte de confinements étouffants et d’une campagne de peur sans précédent fondée sur une pandémie virale, le Dr Li-Meng Yan a fait irruption sur la scène médiatique américaine. Elle s’est présentée comme une lanceuse d’alerte qui avait fui la Chine pour révéler une vérité effrayante : le SARS-CoV-2 n’était pas un virus naturel, mais une arme biologique génétiquement modifiée créée et disséminée par le gouvernement chinois.
« Je suis venue aux États-Unis pour faire passer le message sur la vérité concernant la COVID », a-t-elle déclaré à Fox News le 10 juillet, avertissant que le Parti communiste chinois la tuerait pour avoir parlé. Cependant, comme le révélera cette enquête, Yan a systématiquement omis des détails essentiels de son histoire personnelle et professionnelle qui auraient pu nuire à son image de lanceuse d’alerte et d’outsider de la politique américaine.
Du jour au lendemain, Yan est devenue une sensation. Son récit – selon lequel la Chine, le principal rival géopolitique des États-Unis, avait libéré un agent pathogène dans le monde – a été accueilli avec enthousiasme par les médias et les influenceurs politiques.
Mais derrière ses déclarations dramatiques se cachait un réseau de tromperies, de demi-vérités et de liens omis. Loin d’être une scientifique rebelle risquant sa vie pour dénoncer des actes répréhensibles, Yan était intégrée dans les réseaux biomédicaux d’élite, avait passé des années à travailler sous la direction de deux des virologues clés qui ont façonné le premier récit autour du COVID-19, s’était mariée dans une famille américaine éminente spécialisée en virologie et avait été promue par des personnalités au centre d’une guerre de l’information visant à renverser le régime chinois.
Son ascension n’était pas le fruit de la vérité. Il s’agissait d’une opération politique, un volet d’une campagne de propagande dialectique qui a convaincu les Américains qu’un nouveau virus sévissait dans tout le pays, justifié des mesures de confinement et d’urgence radicale, et détourné la responsabilité vers un adversaire étranger tout en restructurant radicalement la société et les relations sociales et en consolidant le pouvoir et la richesse.
En bref : la lanceuse d’alerte Li-Meng Yan n’a pas dénoncé la machination, elle en faisait partie.
Intégrée au milieu biomédical
Avant le début de l’ère COVID, Yan menait des recherches postdoctorales à l’université de Hong Kong sous la direction du Dr Leo Poon, au laboratoire de référence désigné par l’Organisation mondiale de la santé pour le SRAS.
Le Dr Poon n’était pas un médecin ordinaire. Virologue formé à Oxford, lui et son collaborateur de longue date, le Dr Malik Peiris, ont joué un rôle central dans l’identification de ce que l’on prétend être des virus pandémiques et dans l’élaboration de la réponse biomédicale officielle à ceux-ci. Le Dr Peiris est reconnu pour avoir isolé le coronavirus original du SRAS en 2003 et a été l’un des premiers chercheurs à s’intéresser au SARS-CoV-2. Ensemble, lui et Poon ont mis au point des tests PCR qui ont été adoptés par l’OMS comme outil de diagnostic, bien qu’ils ne soient pas spécifiques au SARS-CoV-2. Peiris et Poon sont également très impliqués dans le développement de vaccins, et Peiris a joué un rôle influent dans l’élaboration de la politique mondiale en tant que conseiller du Comité d’urgence du Règlement sanitaire international de l’OMS sur la COVID-19.
Ils ont également été très impliqués dans la recherche sur les vaccins. En 2018, Yan, Poon et Peiris ont co-rédigé un article préconisant un vaccin universel contre la grippe pour lutter contre ce qu’ils ont décrit comme des « épidémies imprévisibles ». Cela a longtemps été une priorité du NIAID, fréquemment exprimée par le Dr Anthony Fauci.
Ce contexte – à savoir que Yan n’était pas une rebelle isolée, mais faisait partie du cercle restreint des virologues établis – était manifestement absent du récit médiatique.
Le mythe du transfuge chinois
Selon un article publié le 10 juillet 2020 par Fox News, Poon a demandé à Yan d’enquêter discrètement sur un mystérieux groupe de cas similaires au SRAS à Wuhan fin 2019. Yan a affirmé avoir contacté un scientifique du CDC chinois qui l’a informée de la transmission interhumaine. Lorsqu’elle en a fait part à Poon, celui-ci lui aurait demandé de garder le silence.
« Comme il m’avait déjà prévenue : « Ne franchis pas la ligne rouge », a déclaré Yan. « Nous aurons des ennuis et nous disparaîtrons.»
Elle a également accusé Peiris d’avoir fermé les yeux sur l’épidémie virale.
Yan dit avoir alors contacté Wang Dinggang, un milliardaire chinois devenu YouTubeur basé aux États-Unis et partisan d’un changement de régime, qui diffuse sous le nom de Lu De. Le 19 janvier 2020, Lu De a répété les affirmations de Yan, accusant le gouvernement chinois de dissimuler l’origine du virus dans un laboratoire.
Yan affirme que Lu De l’a avertie que sa vie était en danger. Son mari, dit-elle, a découvert ses communications, s’est mis en colère et lui a demandé d’arrêter. Elle affirme avoir fui la Chine seule le 28 avril 2020, échappant de justesse à la mort.
Il s’agit là de la version officielle, qui n’a été contestée ni par ses partisans ni par ses détracteurs, mais qui regorge d’omissions flagrantes et d’affabulations qui ne laissent aucun doute sur son rôle d’agent politique secret plutôt que de scientifique lanceuse d’alerte.
Cachés à la vue de tous : ses liens familiaux avec l’establishment scientifique américain
Bien qu’elle se soit présentée comme une transfuge récente, Yan était aux États-Unis depuis des années. Les archives publiques montrent qu’elle a épousé Ranawaka Arachchige Prasad Mahendra Perera (Ranawaka APM Perera) à Manhattan, New York, en 2014. Perera, un Sri Lankais qui est passé de la dentisterie à la virologie et qui a été financé par le ministère de la Défense, travaille aujourd’hui comme virologue et chercheur en maladies infectieuses pour le ministère des Anciens combattants à l’université de Pennsylvanie.
Plus révélateur encore, ses parents sont des personnalités de haut rang dans la bureaucratie biomédicale américaine. Son père, le Dr Liyanage P. Perera, est depuis longtemps chercheur principal au National Cancer Institute. Sa mère, le Dr Pin-Yu Perera, travaille au NIH et au département des Anciens combattants. Liyanage et Pin-Yu Perera font partie des principaux collaborateurs de Leo Poon et Malik Peiris depuis 1994.
Yan et son mari ont également co-écrit de nombreux articles avec Poon et Peiris, notamment un article publié en mai 2020 sur la transmission du SARS-CoV-2 chez les hamsters dorés et appelant au développement de vaccins, qui a reçu un financement du NCI et du NIAID sous la direction d’Anthony Fauci. Ces liens brossent un tableau très différent de celui que Yan a présenté au public américain. Une photo de leur mariage a été publiée dans l’article de Fox News.
Le réel « Événement 201 »
En 2018, Yan a participé à un symposium à Hong Kong intitulé « Framing the Response to Emerging Virus Infections » (Cadrer la réponse aux infections virales émergentes), où elle a fait une présentation sur la combinaison de vaccins pouvant être utilisés comme vaccin universel contre la grippe. La liste des intervenants (supprimée du site web de l’événement peu avant février 2021 mais archivée en ligne), comprenait plusieurs personnalités bien connues de l’ère COVID, notamment celles-là mêmes qu’elle accuserait d’avoir créé une arme biologique et d’avoir dissimulé sa dissémination.
Parmi les autres intervenants figuraient :
Malik Peiris (discours d’ouverture) ;
Peter Daszak (discours d’ouverture) – le cofondateur de l’Ecohealth Alliance, la personne même responsable de la fuite supposée du laboratoire que Yan allait dénoncer moins de deux ans plus tard. Daszak, avec Leo Poon, a également co-signé la tristement célèbre lettre publiée dans The Lancet en 2020 affirmant que la COVID-19 avait une origine naturelle, et a participé à l’enquête de l’OMS sur le laboratoire de Wuhan ;
Ralph Baric – la personnalité que les partisans de la théorie de la fuite du laboratoire considèrent comme ayant développé la méthode de gain de fonction qui a créé le SARS-CoV-2 ;
Tomas Cihlar – Vice-président du géant pharmaceutique Gilead Sciences, responsable des antiviraux, et en particulier du GS-5734 (Remdesivir), qui a été présenté lors du « Real Event 201 » en 2018, mais qui n’a pas été mentionné lors du « look-at-this Event 201 » organisé en 2019. C’est le programme DOMANE dirigé par le Dr Robert Malone en janvier 2020 qui a suggéré que le Remdesivir serait un produit idéal à utiliser contre le nouveau coronavirus mortel ;
Kizzmekia Corbett – alors haut responsable sous Fauci au NIAID et au Centre de recherche sur les vaccins du NIH, et responsable des premiers essais de vaccins contre le coronavirus.
L’Australie était également fortement représentée, ce qui laisse supposer la présence de l’alliance de renseignement Five Eyes.
Malgré la notoriété de ses participants, cet événement a peu retenu l’attention des médias dissidents, qui se sont plutôt concentrés sur l’« Event 201 » très médiatisé de l’université Johns Hopkins.
L’apparition à distance de Yan a utilisé le même décor que celui de Corbett, ce qui laisse supposer qu’elle se trouvait déjà aux États-Unis, ce qui contredit à nouveau son récit ultérieur.
L’accent et l’accusation d’espionnage
Yan a ensuite accusé son mari d’être un agent du gouvernement chinois qui avait menacé de la tuer. Mais son profil LinkedIn indique qu’il ne sait pas lire le chinois simplifié (la langue dans laquelle Lu De publie), ce qui rend peu probable qu’il ait lu les messages qui auraient déclenché son indignation.
L’analyste du langage corporel Mandy O’Brien a remarqué que malgré l’accent chinois de Yan, elle ne bute jamais sur l’anglais et s’exprime à un rythme rapide et fluide. Dans une interview accordée à Bannon’s War Room, elle perd brièvement son accent lorsqu’elle dit « sorry » dans un anglais qui semble être celui d’une native américaine. Cette erreur, bien que subtile, suggère qu’elle a peut-être passé plus de temps aux États-Unis — voire grandi ici — qu’elle ne l’a jamais admis.
Selon le récit présenté par Yan dans l’article de Fox News, Perera l’aurait poussée à garder le silence sur la prétendue dissimulation après avoir lu ses communications avec Lu De, le milliardaire Youtubeur qui cherche à obtenir un changement de régime de la part des États-Unis. Elle a depuis développé ce récit, accusant son mari d’être un espion du gouvernement chinois et de menacer de la tuer, elle et toute personne qui l’aiderait, lorsqu’elle lui a annoncé son intention de quitter Hong Kong.
Cependant, le profil professionnel de Perera sur LinkedIn indique qu’il ne sait pas lire le chinois simplifié, ce qui signifie qu’il n’aurait pas pu lire les communications écrites entre Yan et Lu De, à moins qu’ils n’aient communiqué en anglais plutôt que dans leur langue maternelle, le cantonais.
Un acteur politique
En août 2017, après avoir réussi à faire élire Trump à la Maison Blanche, Steve Bannon, ancien banquier chez Goldman Sachs devenu magnat d’Hollywood, a quitté son poste de stratège en chef pour retourner dans le monde des médias.
« Je me sens revigoré », a-t-il déclaré au Weekly Standard. « Je suis libre désormais. J’ai repris les armes. »
Bannon prédisait depuis longtemps une guerre majeure au Moyen-Orient et une autre contre la Chine, les présentant comme des chocs de civilisations contre les formes orientales de barbarie.
« Vous avez un islam expansionniste et vous avez une Chine expansionniste. N’est-ce pas ? Ils sont motivés. Ils sont arrogants. Ils sont en marche. Et ils pensent que l’Occident judéo-chrétien est en recul », a déclaré Bannon lors d’une émission de War Room en février 2016.
« Nous allons entrer en guerre dans la mer de Chine méridionale dans cinq à dix ans », a-t-il déclaré un mois plus tard.
Il a été présenté à Guo Wengui, un milliardaire chinois en fuite de Pékin. Cette rencontre a été organisée par le journaliste néoconservateur Bill Gertz, qui a été licencié du Washington Free Beacon après avoir secrètement accepté 100 000 dollars d’un magnat de Hong Kong lié à Guo tout en écrivant des articles élogieux à son sujet. Gertz a ensuite rejoint le Washington Times, un journal de droite dirigé par l’Église de l’unification coréenne, où il a publié le premier article américain affirmant que le SARS-CoV-2 provenait d’un laboratoire chinois.
Guo a commencé à financer généreusement Bannon, et ensemble, ils ont créé GTV et GNews, des plateformes médiatiques destinées à déstabiliser le gouvernement chinois.
Guo animait des émissions téléphoniques et publiait des clips de musique rock très travaillés, avec des tenues bizarres et des danseurs, appelant à renverser Pékin.
En janvier 2020, alors que le discours sur le virus prenait de l’ampleur, Bannon a rebaptisé son podcast War Room: Pandemic. Son émission mettait en vedette Jack Posobiec, ancien agent de renseignement devenu influenceur MAGA, et Kyle Bass, tous deux actifs dans la défense anti-chinoise de type guerre froide.
« Vous ne vous intéressez peut-être pas à la pandémie, mais la pandémie s’intéresse à vous », a déclaré Bannon lors d’une émission diffusée le 25 janvier, aux côtés de Jack Posobiec, ancien agent des services secrets devenu influenceur MAGA, et de Kyle Bass, partisan de la guerre froide.
Au même moment, Wang Dinggang, un acteur clé de leur réseau médiatique, faisait la promotion des affirmations de Yan.
Le 1er mars, Bannon est apparu sur Fox News pour exiger que Xi Jinping autorise les inspecteurs américains et ceux du CDC à entrer dans le laboratoire de Wuhan, et a salué Trump pour ses efforts supposés visant à « forcer le président chinois à faire preuve de plus de transparence ». Le 28 avril, Yan serait arrivée aux États-Unis sur un vol payé par Guo.
La théorie de la fuite du laboratoire a été rapidement adoptée par les néoconservateurs, notamment Frank Gaffney et les sénateurs républicains Tom Cotton et Ted Cruz. Trump lui-même a affirmé avoir vu des preuves démontrant avec un « haut degré de certitude » que le virus provenait de Chine. Cependant, lorsqu’on lui a demandé de rendre publiques ces prétendues preuves, le président a refusé et a invoqué une autorité supérieure, ce qui est étrange pour le plus haut responsable du gouvernement américain.
« Je ne peux pas vous le dire. Je n’ai pas le droit de vous le dire », a-t-il répondu.
Le 3 juin 2020, jour anniversaire de la place Tiananmen, Bannon et Guo ont lancé le « Nouvel État fédéral de Chine » depuis un yacht au large de Manhattan, diffusant en direct une émission de huit heures avec la statue de la Liberté en arrière-plan. Guo a crié « À bas le PCC ! » en mandarin sous le regard de Bannon.
Quelques semaines plus tard, Yan est apparue dans les émissions Tucker Carlson Tonight, The Epoch Times, Lou Dobbs Tonight et celle de Bannon. Ses interviews ont été vues des millions de fois. Ses déclarations ont été censurées sur Facebook et Instagram, et son compte Twitter a été temporairement suspendu, ce qui a ajouté une touche de subversion.
Politifact, propriété du Poynter Institute financé par Facebook, a qualifié l’interview de Li-Meng Yan par Carlson de « théorie du complot démentie », tout en affirmant qu’une fuite dans un laboratoire était plausible.
Elle est également apparue dans le documentaire viral Tracking Down the Origin of the Wuhan Coronavirus, produit par le réseau Epoch Times du Falun Gong. Bien que présenté comme anti-establishment, ce réseau est depuis longtemps financé par Friends of Falun Gong, un groupe de façade créé par Mark Palmer, diplomate américain et cofondateur du National Endowment for Democracy (NED).
Dans l’épisode du 28 juillet 2020 de War Room: Pandemic, Bannon a présenté Yan comme une « transfuge » qui serait essentielle pour parvenir à un changement de régime en Chine, ce qu’il a qualifié de « question déterminante de la première moitié du XXIe siècle ».
Quelques semaines plus tard, Bannon a été arrêté sur le yacht de Guo pour avoir escroqué des donateurs qui avaient versé 25 millions de dollars pour construire un mur à la frontière entre les États-Unis et le Mexique, mais Trump a ensuite gracié Bannon dans l’un des derniers actes de son premier mandat. En mars 2023, Guo a été arrêté et, en juillet 2024, condamné pour avoir escroqué plus d’un milliard de dollars à des investisseurs.
Le 8 octobre 2020, Yan a publié ce qu’elle prétendait être un article scientifique intitulé « Le SARS-CoV-2 est une arme biologique relâchée : une vérité révélée par la découverte d’une fraude scientifique organisée à grande échelle ».
Si l’université Johns Hopkins et des médias tels que CNN et Vox ont souligné ses faiblesses flagrantes, personne n’a pris la peine d’examiner les liens personnels et professionnels de Yan avec les personnes mêmes qu’elle accusait d’avoir créé une pandémie, ni l’agenda qu’elle partage avec elles.
Un brevet opportun
Le 8 octobre 2020, Yan a publié un article intitulé « Le SARS-CoV-2 est une arme biologique relâchée », qui a été largement critiqué par les scientifiques traditionnels comme étant non scientifique. Ce qui a été moins remarqué : le 10 janvier 2020, alors que Yan prenait contact avec Lu De, elle, Leo Poon et Malik Peiris ont déposé ensemble une demande de brevet provisoire aux États-Unis pour un vaccin universel contre la grippe. Le brevet a été officiellement déposé un an plus tard et publié en septembre 2023.
Le brevet a été approuvé en 2023. Dans un discours prononcé en 2022, Yan s’en est vantée, mais a omis de mentionner les noms de ses collaborateurs, ceux-là mêmes qu’elle avait accusés d’avoir dissimulé la pandémie. Cela suggère que ses accusations contre Poon et Peiris étaient fallacieuses et qu’ils auraient pu être complices d’une tromperie calculée.
Personne ne pose de questions
Depuis son arrivée, Yan est devenue une habituée des médias de droite et des cercles de défense de la liberté médicale, adoptant le nom de Scarlet Yan. Elle est apparue dans l’émission du Dr. Drew, à la télévision britannique en journée et sur la chaîne d’information indienne WION. Elle a parcouru le pays, apparaissant dans des hôtels, des mairies et des églises aux côtés du Dr Robert Malone, du Dr Richard Urso et du Dr Ryan Cole, figures de proue de ce qui est présenté comme un « mouvement pour la liberté médicale ». Ses affirmations ont été citées lors d’audiences au Congrès comme preuve d’une fuite dans un laboratoire chinois et elle se serait rendue à la Maison Blanche, officiellement pour informer les responsables de l’administration Trump.
Pourtant, malgré sa notoriété, aucun intervieweur ne lui a posé les questions les plus évidentes :
Pourquoi a-t-elle caché son mariage américain ?
Pourquoi n’a-t-elle pas révélé ses liens professionnels avec Poon et Peiris ?
Pourquoi est-elle apparue à un symposium aux côtés de Peter Daszak et Ralph Baric ?
Pourquoi a-t-elle breveté un vaccin avec les mêmes personnes qu’elle a accusées de complicité dans la dissimulation de la fuite du laboratoire ?
Dans le même temps, aucun des médias qui l’ont critiquée en la qualifiant d’instrument politique de Steve Bannon et Guo n’a enquêté sur son passé, dissimulant ainsi le véritable scandale de Li-Meng Yan.
Politifact a depuis révisé son évaluation des affirmations qu’elle a présentées dans l’émission de Tucker Carlson, passant de « théorie du complot réfutée » à « controversée », et la théorie de la fuite du laboratoire que Yan a contribué à populariser est désormais largement répandue. Mais les architectes derrière ce récit – et l’étrange cas du Dr Li-Meng Yan – restent dans l’ombre et intouchables.
LIN GERMÉ EN POUDRE
Une solution géniale pour contourner l’oxydation de l’huile
Michel DOGNA
Les bienfaits de l’huile de lin sont connus depuis très longtemps et admis au sein de la communauté internationale scientifique et médicale. Cette huile extraite des graines du lin présente un goût agréable entre la noix et la noisette. Pourtant la commercialisation de l’huile de lin fut interdite en France en raison de son oxydation rapide à l’air.
En 2008, une autorisation à durée réduite pour la date limite de la validité de l’huile a été mise en place grâce à l’addition de vitamine E. Mais cette mesure n’est qu’à moitié satisfaisante.
INCONVÉNIENTS DES GRAINES DE LIN À L’ÉTAT BRUT
Les graines sont difficiles à digérer. En effet, elles contiennent des inhibiteurs qui nuisent à l’assimilation des protéines, à la conversion de hydrates de carbone en glycogène et, de plus, elles contiennent de l’acide phytique qui inhibe l’absorption du calcium, du fer, du cuivre, du zinc et du magnésium.
UNE SOLUTION ORIGINALE STABLE ET PERFORMANTE
Il a été découvert que ces inconvénients majeurs disparaissent lorsqu’on utilise des graines préalablement germées. L’idée était donc de faire un complément alimentaire pourvoyeur des bienfaits de l’huile.
Pour cela, il fallait pouvoir garantir la stabilité des acides gras essentiels contenus dans les graines.
La germination du lin est un processus par lequel les graines sont trempées dans l’eau pendant une période de temps spécifique, ce qui permet aux enzymes naturelles de la graine d’être activées. Cela déclenche une série de réactions chimiques qui libèrent certains nutriments, augmentent leur biodisponibilité, leur valeur nutritionnelle et leurs bienfaits pour la santé.
Ce processus permet une augmentation de disponibilité des enzymes, des lignans, des vitamines C et E et des minéraux. Tous ces éléments sont parfaitement conservés pendant les processus de séchage et de mouture, et l’on a une très bonne stabilité de conservation au bout d’un an, après ouverture et à température ambiante.
Des études sur la durée de conservation des constituants des graines en poudre ont été menées dans des universités et laboratoires indépendants sur quatre années, à température ambiante, et n’ont révélé aucun signe de rancissement. Par ailleurs, les études organoleptiques n’ont montré aucune odeur anormale. Ce fut une grande première pour cette version stabilisée du lin.
COMPOSITION DES GRAINES DE LIN
La concentration globale en acides gras polyinsaturés représente presque 70 % du poids des graines. Elles contiennent majoritairement des omégas 3 qui font l’objet d’une carence généralisée dans les populations modernes.
Les graines de lin contiennent aussi des oméga 6, des oméga 9, des flavonoïdes, du stigmastérol, du squalène, du campestérol, et des vitamines A, B, E, K.
LES MULTI-FONCTIONS DES ACIDES GRAS ESSENTIELS
- Ils nourrissent les yeux, les oreilles, le cerveau, les glandes sexuelles et surrénales, et ils sont indispensables au développement de l’enfant
- Ils sont nécessaires pour entretenir les membranes cellulaires et la perméabilité de la peau
- Ils facilitent l’apport d’oxygène utilisé jusqu’aux mitochondries des cellules pour produire de l’énergie vitale
- Ils augmentent l’efficacité de l’insuline
- Ils brûlent les graisses excessives
- Ils augmentent le flux sanguin
- Ils améliorent la résistance et l’endurance
- Ils réduisent les inflammations après effort physique
- Ils réduisent le temps de récupération après l’effort
Sans un apport adéquat en acides gras essentiels,
nous ne pouvons pas brûler les graisses
Les oméga 3, en particulier, sont indispensables pour réguler la coagulation sanguine et l’agrégation plaquettaire, mettant ainsi à l’abri des AVC et des accidents cardio-vasculaires.
Par ailleurs, ils sont efficaces contre le syndrome prémenstruel, les désordres émotionnels et même les troubles de l’humeur associés.
Le lin germé s’avère donc l’une des meilleures sources naturelles d’acides gras Oméga 3.
Une cuillère à soupe de poudre de lin germé par jour
suffit pour apporter 2,4 g d’acides gras Oméga 3.
INDICATIONS DU LIN GERMÉ EN POUDRE
Bouffées de chaleur de la ménopause
Cardio-vasculaire : problèmes généraux
Concentration difficile
Constipation (plus efficace que le psyllium)
Eczéma sec
Énergie : manque
Enfants : trouble de déficit de l’attention
Enfants : troubles du comportement
Enfants hyperactifs
Enfants: retards de développement
Hypoxie cérébrale
Inflammations musculaires et articulaires
Ménopause : troubles associés
Obésité graisseuse
Oméga 3 : carence
Oxygénation cellulaire insuffisante
Récupération après l’effort : lente
Sang trop épais ou vicié
Sports : performances en baisse
Stases sanguines
Syndrome prémenstruel
Surmenage
Surrénales affaiblies
Vitalité faible
Nota enfants : ne pas utiliser avant l’âge de 3 ans
POSOLOGIE
1 à 2 cuillères à soupe par jour à saupoudrer sur vos aliments de préférence.
Michel DOGNA :PROGRAMME DE DÉPOPULATION SOURNOISE
Selon le Pr Jean-Marc Sabatier
dans la minute de Ricardo
SEPT RÉVÉLATIONS CAPITALES en 4 minutes
https://www.facebook.com/540678368/videos/1272366760688660/?rdid=cFmCAuGwr3DuFNDQ
POUR DÉTRUIRE LA PROTÉINE SPIKE INGÉRÉE par MD
1. Qu’elle soit introduite par vaccin ou par la consommation de viande vaccinée, j’ai déjà dit et je répète : la protéine spike répliquée dans tout le corps par l’ARN peut être détruite par la NATTOKINASE extraite du NATTO (fromage japonais). Il existe en France un grand nettoyeur organique naturel qui s’appelle Serracor NK qui contient 50 % de Nattokinase.
On peut se procurer ce produit ici :
https://apoticaria.com/products/serracor-nk-ast-enzymes?variant=32277266071633?ref=4
- Action curative courante : 2 gélules 15 min avant les 3 repas. Pause 2 jours les WE
- Action curative lourde : 4 gélules 15 min avant les 3 repas. pause 2 jours les WE.
- Action d’entretien : 2 gélules par jour 15 min avant un repas.
2. À partir de maintenant, consommer de la viande met dangereusement au tapis votre immunité, comme si vous receviez des rappels constants des vaxx covid. Rappelez-vous que le but de cette traîtrise alimentaire est de raccourcir votre vie et pire, celle de vos enfants. J’ignore si l’élevage garanti BIO échappera à la trappe vaccinale, mais j’en doute. Sinon, amis carnivores, il va falloir vous convertir au végétarisme ou vous abonner à vie, vous et votre famille, au Serracor NK…
GUERRE TOTALE
contre les labos tueurs
Une bombe vient d’exploser à Washington : Kennedy et Trump déclenchent une offensive historique contre Big Pharma. Ce n’est pas une réforme… c’est un DÉMANTÈLEMENT.
Dans cette vidéo, découvrez :
- Comment la guerre des prix des médicaments étrangle financièrement les géants pharmaceutiques.
- Les révélations CHOC sur la corruption systémique du Congrès américain.
- L’effacement URGENT des données de vaccination fédérales… et ce que ça cache vraiment.
- La fin brutale du financement de l’ARN messager et la panique médiatique mondiale.
Ce que vous allez entendre ici ne passera jamais sur BFMTV. À la fin, vous devrez choisir votre camp. À votre avis : Kennedy ira-t-il jusqu’au bout… ou le système l’arrêtera-t-il ?
https://youtu.be/WD3q0M9wAJo?si=KUHQLMVb67CZWp9S
(12 min)
(Relevé sur Artémisia Collège)
AUDIENCE ÉLECTRIQUE HISTORIQUE AU SÉNAT AMÉRICAIN, le 7 sept 2025
RFK Jr. explose le CDC, dénonce Big Pharma et les
sénateurs corrompus !
Pendant plus de trois heures, Robert F. Kennedy Jr., secrétaire à la Santé, a affronté une armée de sénateurs hostiles, tous alignés derrière le même mantra : « sûrs et efficaces ».
Mais derrière leurs slogans, une réalité glaçante : des millions de dollars de Big Pharma coulent dans leurs campagnes. Pendant ce temps, Kennedy révèle les vérités qui dérangent : le coup de balai au CDC et le licenciement des responsables du désastre COVID.
Les dangers des injections à ARNm : caillots, turbo-cancers, effets à long terme ignorés.
Kennedy ne parle pas seulement aux Américains. Il pose la question fondamentale pour le monde entier : voulons-nous rester des cobayes dans un essai clinique planétaire… ou reprendre le contrôle de nos vies ?
DEUX CLOWNS : CYMES ET VERAN démolissent RFK ET VEULENT INFORMER AVEC UNE NOUVELLE CHAINE QUI SOIT CREDIBLE !!
Alors même qu’ils n’ont cessé de mentir pendant le COVID….
https://youtu.be/DOQsWRo1r_w?si=AKHz_GGRV9egVM2crGGRV9egVM2cra
A MOURIR DE RIRE !!!!
Sur le net France
Serait-on vraiment dirigé par des décérébrés… ?
“Avec raison, notre attention est davantage tournée vers les vacances et le Tour de France que vers la production d’énergies vertes (solaire et éolien).
Pourtant, en ce moment, nous sommes en situation de surproduction, au point que nous devons payer des pays voisins pour qu’ils absorbent notre surplus.
Cette opération s’appelle un “prix négatif”.
Pourquoi ? Parce qu’économiquement, il est parfois plus rentable de payer que de devoir arrêter des barrages, des éoliennes ou des centrales solaires.
Alors une question simple : pourquoi ne pas offrir cette électricité excédentaire aux Français, en ne leur faisant payer que les taxes ?
Eh bien non !
L’Union européenne n’autorise pas ce type de pratique, car elle serait considérée comme un avantage injuste par rapport aux autres pays membres.
Et pourquoi produit-on autant ?
Nos “experts” avaient anticipé que plus de 13 millions de véhicules électriques seraient en circulation… alors qu’il y en a à peine deux millions“.
Analyse magistrale du Pr Rancourt
Yves RASIR
Suite à ma dernière lettre et à la précédente , j’ai reçu plusieurs réactions décevantes. Des réactions qui m’ont déçu parce qu’elles émanaient de personnes adhérant toujours à l’une des deux doxas dominantes, celle du virus naturel échappé d’un réservoir animal ou celle du virus artificiel évadé d’un laboratoire. Malgré tous mes efforts informatifs, il y a encore des lecteurs de mon infolettre qui souscrivent au narratif pasteurien du méchant coco chinois ayant causé une nouvelle maladie contagieuse. En dépit de tous mes écrits, le mythe du fléau infectieux born in China continue à habiter certains esprits victimes de la tromperie triangulaire.
Pour rappel, la triangulation est une technique d’ingénierie sociale consistant à diffuser deux fausses pistes pour camoufler la troisième, à dissimuler la vérité sous une double couche de mensonges. Exemple célèbre : l’assassinat de John F. Kennedy. La CIA a propagé la thèse du tueur solitaire puis celle d’un complot ourdi par la mafia pour protéger les vrais commanditaires du meurtre. En l’occurrence, le récit de la zoonose émergente et celui de la virose manufacturée servent à cacher que le cataclysme sanitaire n’a pas eu lieu, qu’il n’y avait pas de nouveau pathogène viral en train de nous attaquer et que la grande mascarade covidienne procédait d’une vaste opération psychologique de conception militaire et à finalité totalitaire.
Depuis bientôt six ans, il me semble avoir suffisamment argumenté et documenté en ce sens. Je pense notamment à ma série d’articles intitulée « Comment le covid a tué Pasteur ». J’étais donc désolé et un peu démoralisé de constater que le Corona Circus faisait encore recette jusque dans mon lectorat. Heureusement, la providence fait toujours bien les choses et je suis tombé quelques jours plus tard sur une interview passionnante et décapante du Professeur Denis Rancourt.Comme vous le savez, je tiens en très haute estime ce chercheur canadien indépendant et transdisciplinaire. Avec les deux livres du statisticien Pierre Chaillot et celui du discret Eusèbe Rioché, les études et travaux accomplis par ce résistant de la première heure composent ma troisième source privilégiée pour décrypter la guerre contre les peuples déguisée en pseudo pandémie.
Si je devais classer ces trois références sur un podium, je pense même que je mettrais Denis Rancourt sur la plus haute marche : il fut le premier à souligner les graves incohérences du discours officiel et à mettre en exergue l’invraisemblance d’une quelconque propagation virale. Celui que j’ai surnommé la « supernova du Canada » est pour moi le dissident le plus éclairant, celui qui met le mieux en lumière l’absurdité des narrations virocentrées et qui apporte le plus d’éclairages scientifiques supplémentaires.
En véritable aventurier de la science, le savant rebelle ose en effet jongler avec les disciplines et faire des liens entre elles. Le docteur en physique et ex-professeur à l’université d’Ottawa a surtout l’audace d’associer dans ses analyses les sciences humaines et les sciences de la matière. Sans l’aide des premières, le Pr Rancourt a vite saisi que les deuxièmes seraient impuissantes à rendre compte de l’hystérie covidémente surgie en 2019. Mieux : avant même l’ouverture du cirque, le chercheur avait pressenti que l’oligarchie américano-globaliste préparait un événement de grande envergure pour perpétuer sa domination sur l’humanité !
C’est l’une des choses que vous allez apprendre en lisant cet entretien grand format accordé au blogueur anglophone « Unbekoming ». J’ai passé ce long texte dans un logiciel de traduction et je n’ai eu que quelques menues corrections à faire. J’espère que sa longueur ne vous dissuadera pas de le lire jusqu’au bout car ça vaut vraiment le coup ! C’est un voyage captivant qui va bien sûr vous emmener en terrain statistique et épidémiologique mais qui va aussi aborder les rivages de la médecine psychosomatique, de la physiologie, de la biologie évolutionniste, de la vaccinologie, de la bactériologie, de la macroéconomie, de l’histoire et – last but not least – de la géopolitique.
Car au-delà de la démystification plandémique, le professeur Rancourt se livre à la convaincante démonstration qu’il y a bel et bien une cabale politico-mafieuse visant l’asservissement et le contrôle de la population mondiale. Motivées par l’appât du gain et le besoin – désespéré – de sauver le dollar, la fausse crise sanitaire et sa « seule solution vaccinale » ne seraient rien d’autre qu’un « racket de protection » dont l’Empire américain est coutumier. Selon Rancourt, cette escroquerie n’eût pas été possible si la quasi-totalité des médias occidentaux n’étaient pas corrompus et transformés en instruments de manipulation.
Est-ce un hasard si le chercheur canadien a été à la fois ignoré de la presse mainstream, banni des journaux scientifiques, censuré sur les réseaux sociaux et marginalisé par la majorité des médias alternatifs ? Certainement pas : il est bien trop dangereux pour le système ! Ses analyses rigoureuses et instructives sont d’autant plus subversives qu’elles remettent en question le paradigme pasteurien du pathogène contagieux. Libre à mes lecteurs-détracteurs de commenter négativement les propos reproduits ci-dessous. Mais je leur demande instamment de lire l’entièreté de l’interview et de suivre les nombreux liens dont elle est truffée. Si le magistral et colossal travail de Denis Rancourt n’ébranle pas leur foi dans l’une des deux doxas virales, c’est à n’y plus rien comprendre.
Entretien avec le Dr Denis Rancourt
Empire, mortalité et attaque multiforme contre l’humanité
UNBEKOMING
15 septembre 2025
Le parcours du Dr Denis Rancourt, qui est passé de professeur titulaire de physique à analyste de données sur la pandémie, représente l’une des transformations intellectuelles les plus remarquables de l’ère COVID. Son étude géopolitique de 2019 l’avait déjà établi comme quelqu’un prêt à suivre les preuves où qu’elles mènent, révélant comment l’empire crée et déploie des récits mondiaux sur le climat, le genre et la race comme instruments de contrôle. Lorsque les gouvernements du monde entier ont déclaré une pandémie en mars 2020, Rancourt a appliqué aux données sur la mortalité le même examen rigoureux qu’il avait précédemment appliqué à la physique de la matière condensée et aux sciences de l’environnement. Ce qu’il a découvert remettait en question tout ce qu’on nous avait dit : aucune surmortalité nulle part avant la déclaration de l’OMS du 11 mars, des pics de mortalité synchronisés qui défiaient les modèles de propagation virale, et des taux de mortalité qui n’étaient pas corrélés aux voyages internationaux ou à la densité de population, mais à des interventions médicales spécifiques et à des réponses institutionnelles.
Les chiffres révélés par Rancourt témoignent davantage d’une catastrophe institutionnelle que d’une pandémie virale. Son analyse de 125 pays a révélé que 30 % d’entre eux n’ont enregistré aucune surmortalité en 2020 avant l’introduction des vaccins. Les schémas géographiques défiaient toute logique épidémiologique : le virus qui aurait tué 1,3 million d’Américains n’a pas pu franchir la frontière canadienne malgré des échanges économiques continus ; la région de Milan a connu des taux de mortalité 18 fois supérieurs à ceux de Rome, alors que cette dernière recevait davantage de vols en provenance de Chine ; l’Allemagne, pays riche, a connu une surmortalité minimale, tandis que les régions voisines en France et en Belgique ont été dévastées. Plus accablant encore, il a documenté des taux de mortalité de 88 % pour les patients ventilés dans les hôpitaux de New York et des taux de mortalité liés aux doses de vaccin qui augmentaient de manière exponentielle avec l’âge, atteignant un décès pour 100 injections chez les personnes de plus de 80 ans. Il ne s’agissait pas là des schémas d’une maladie respiratoire en propagation, mais de dommages iatrogènes systématiques concentrés dans des endroits spécifiques qui mettaient en œuvre des protocoles de traitement agressifs.
L’explication alternative de Rancourt redéfinit fondamentalement notre compréhension de ce qui s’est passé entre 2020 et 2023. Plutôt qu’une pandémie virale, il suggère que la surmortalité résulte de « pneumonies bactériennes sans transmission » déclenchées par un stress biologique sans précédent dû aux confinements, à l’isolement social et aux campagnes de peur, combiné à des protocoles médicaux mortels. Selon lui, le microbiome respiratoire humain peut se déséquilibrer sous l’effet d’un stress extrême, rendant les personnes vulnérables à la pneumonie causée par leurs propres bactéries, sans qu’il y ait nécessairement transmission. Cela explique pourquoi les décès étaient corrélés aux niveaux de pauvreté à proximité des grands hôpitaux, mais pas dans les zones tout aussi pauvres dépourvues d’infrastructures médicales agressives, pourquoi les pics de mortalité étaient synchronisés avec les annonces politiques plutôt qu’avec les schémas de propagation de la maladie, et pourquoi les corrélations démographiques ont complètement changé entre le printemps et l’été 2020. Son estimation de 31 millions de décès supplémentaires dans le monde depuis 2022 ne représente pas les victimes d’un virus, mais les victimes de ce qu’il appelle « une attaque multiforme de l’État et iatrogène contre les populations ».
Cette interview de septembre 2025 arrive à point nommé pour ceux d’entre nous qui suivent Rancourt depuis quelques années. Son étude géopolitique de 2019 a été comme un coup de massue pour mon cerveau : elle l’a ouvert et, pour la première fois, j’ai pu voir clairement l’empire, comprendre comment il crée des méta-récits qui modifient notre perception de la réalité. Lorsque mars 2020 est arrivé, moi-même et beaucoup d’autres aurions été complètement perdus sans la perspicacité et les conseils éclairés de Rancourt. Alors que le monde sombrait dans une folie orchestrée, il a fourni les données, l’analyse, la preuve que nous n’étions pas en train de devenir fous, que les schémas défiaient la logique virale, que les décès étaient réels mais que la pandémie ne l’était pas. Je lui suis extrêmement reconnaissant pour le temps et les efforts qu’il a consacrés à ces réponses, pour sa volonté de continuer à mener ce combat alors qu’il aurait été plus facile de rester silencieux. Son travail, qui documente comment 31 millions de personnes sont mortes des suites d’agressions institutionnelles plutôt que d’un virus, a été tout simplement essentiel. Pour ceux d’entre nous qui essayons de donner un sens à ce que nous avons vécu, Rancourt n’a pas seulement analysé des données, il a fourni une bouée de sauvetage vers la raison, un cadre pour comprendre comment la politique est devenue l’agent pathogène et les protocoles le fléau.
- Denis, pouvez-vous nous parler de votre parcours, depuis votre poste de professeur titulaire de physique à l’Université d’Ottawa jusqu’à votre statut actuel de critique parmi les plus éminents des politiques mises en place pour lutter contre la pandémie ? Quels ont été les moments décisifs qui vous ont amené à passer de la recherche universitaire traditionnelle à l’analyse des données de santé publique ?
J’ai obtenu mon doctorat (1984) en physique de la matière condensée à l’Université de Toronto. J’avais 27 ans. Après deux ans de recherche postdoctorale dans des laboratoires européens (en France et aux Pays-Bas), je suis devenu chercheur principal financé par le gouvernement fédéral et professeur d’université à l’Université d’Ottawa, au Canada. Mon laboratoire de recherche a toujours bénéficié d’un financement important grâce à des bourses compétitives, et j’ai enseigné à plus de 2 000 étudiants au cours de mes 23 années passées dans cette institution. J’ai rapidement été promu au rang académique le plus élevé, celui de professeur titulaire. J’ai donné de nombreuses conférences et discours liminaires lors de conférences internationales, dans plusieurs domaines scientifiques différents. J’ai fait des découvertes et des co-découvertes dans les domaines du magnétisme, de la science de la mesure, de la physique des métaux, de la chimie cristalline des minéraux rocheux et environnementaux, de la science des sols, des sédiments aquatiques et des nutriments, de la science planétaire (météorites), de la science du climat, de la théorie de la santé, de la politique et de l’épidémiologie. Un CV récent est disponible sur mon site web.
J’ai toujours été interdisciplinaire et franc. J’ai été licencié par l’Université d’Ottawa en 2009 à la suite d’un conflit avec la haute administration au sujet de la liberté académique. À la suite de mon licenciement, l’université a entièrement financé un procès en diffamation d’un million de dollars contre moi. Après une décennie de litiges et grâce au soutien de mon syndicat, ainsi qu’à une lettre ouverte et une pétition signées par plusieurs universitaires (19 mars 2018), un accord mutuel global résolvant tous mes problèmes avec l’université a été signé en janvier 2019.
J’ai acquis une vaste expérience directe du haut degré de corruption des professionnels et des institutions occidentaux. Je constate depuis des décennies que cette tendance s’accélère au Canada. En 2009, j’ai rédigé un article de synthèse pour une revue de sociologie intitulé « Canadian Education as an Impetus towards Fascism » (L’éducation canadienne, moteur du fascisme ). Une grande partie de ce sujet et d’autres sont abordés dans mon recueil d’essais publié en 2012, « Hierarchy and Free Expression in the Fight Against Racism » (Hiérarchie et liberté d’expression dans la lutte contre le racisme). Bon nombre de mes essais sont également disponibles sur Dissident Voice .
Au cours de mon conflit avec l’Université d’Ottawa, et avant mon licenciement, la haute administration a engagé un psychiatre clinicien et judiciaire de haut rang pour rédiger secrètement un avis déclarant que j’étais dangereux. Je n’ai pris connaissance de cet avis psychiatrique que des années plus tard, lors de la divulgation des pièces judiciaires. En tant que plaideur sans avocat, j’ai finalement obtenu la divulgation de l’avis du psychiatre, puis j’ai intenté un procès pour violation de l’éthique professionnelle contre le psychiatre basé à Montréal. Il m’a fallu des années d’audiences interminables devant les tribunaux et les cours, et une lutte contre un grand cabinet d’avocats, pour obtenir une sanction disciplinaire contre le psychiatre, qui a été confirmée par une décision d’appel datée du 10 septembre 2024. Ce fut une saga enrichissante, quelque peu couverte par les médias grand public francophones du Québec, qui s’est déroulée en grande partie pendant la pandémie de Covid.
Je diverge. Je n’ai jamais cessé d’être un penseur indépendant depuis mon plus jeune âge. Je me souviens avoir inventé le nœud à partir du premier pas dans le nœud de lacet que j’apprenais. Ma mère n’était pas impressionnée malgré mes explications. Toute l’école primaire était d’un ennui extrême, à l’exception de l’intervention occasionnelle d’un parent passionné. Entendre parler d’atomes, de molécules et de cellules était un univers. J’ai suivi des cours de menuiserie au lycée pour éviter l’histoire et le travail de mémoire. J’ai adoré, y compris le soudage et l’usinage. Je ne pouvais pas me souvenir des soi-disant faits, mais je pouvais tout comprendre à partir des principes fondamentaux. Les enseignants regrettaient toujours de demander si quelqu’un avait des questions. J’ai remporté le championnat junior d’échecs de mon lycée, grâce à mon talent pur, sans aucune théorie ni mémoire.
Je ne pouvais jamais faire un travail sans trouver une contradiction qui m’amenait à définir une nouvelle direction, de la spectroscopie aux solitons, en passant par les nanoparticules, la psychologie et la politique. Mon parcours était semé de nouveaux ennemis partout, ce qui est l’une des raisons pour lesquelles je changeais sans cesse de domaine. J’étais membre d’instituts de recherche en physique et en sciences de la Terre, et j’enseignais les méthodes scientifiques à des étudiants diplômés de tous les départements de sciences et d’ingénierie de deux facultés. (Soit dit en passant, mon doyen m’a un jour interdit de superviser un étudiant boursier volontaire en sciences du climat et a déclaré au président de l’université que je ne devrais pas être autorisé à travailler dans ce domaine).
Pour moi, remettre en question et ne pas croire à la dernière propagande sur une menace mondiale, à savoir la pandémie déclarée de Covid, n’était pas un choix que j’avais fait. C’était plutôt dans ma nature. Mon engagement à résister bruyamment est devenu inévitable lorsque l’hystérie du gouvernement a atteint des sommets stratosphériques. Je n’ai jamais cru un seul mot, je n’ai jamais porté de masque facial (sauf une fois où ma femme voulait quelque chose pour un événement spécial et qu’il était impossible de l’acheter ailleurs, ce qui a doublé ma colère), et je ne me suis jamais fait vacciner. Mes premiers rapports écrits aux gouvernements et aux institutions ont été rédigés en avril 2020, avec l’Association des libertés civiles de l’Ontario. Finalement, j’ai créé mon propre site web pour lutter contre la censure et j’ai cofondé CORRELATION Research in the Public Interest. J’ai été banni de plusieurs sites, dont Research Gate et LinkedIn . J’ai été censuré de manière frustrante sur YouTube et Facebook, où une grande partie de mon contenu a été supprimée.
- Votre première analyse majeure sur la COVID a été publiée en juin 2020, sous le titre « Mortalité toutes causes confondues pendant la COVID-19 – Pas de peste et signe probable d’un homicide de masse par la réponse du gouvernement ». C’est une affirmation assez audacieuse. Quels éléments vous ont convaincu si tôt que la réponse à la pandémie elle-même causait des dommages ?
Ma toute première pensée a été qu’une pandémie devait entraîner de nombreux décès, alors qu’il n’y avait pas de cadavres dans les rues. Je ne connaissais personne qui avait reçu des soins d’urgence et un de mes amis, militant social, trouvait et filmait des hôpitaux vides dans tout Ottawa. J’avais besoin de données sur la mortalité toutes causes confondues.
J’ai été inspiré par les premières interviews vidéo factuelles et les premiers articles de l’épidémiologiste allemand Knut Wittkowski, basé à New York. J’ai quelques amis scientifiques allemands amateurs de bière et j’apprécie généralement beaucoup ces types. Wittkowski s’est appuyé sur la théorie classique de la contagion et sur les rapports disponibles pour souligner que les confinements et les fermetures d’écoles ne pouvaient qu’aggraver la situation et mettre les personnes âgées en danger (nos propres calculs théoriques ultérieurs l’ont largement confirmé, en supposant que la théorie acceptée soit correcte). Entre autres choses, Wittkowski s’est directement penché sur les données disponibles concernant la mortalité. J’étais enthousiasmé par le fait qu’il existait des données concrètes, contrairement aux données PCR erronées, etc. Wittkowski s’appuyait sur une vaste expérience. Il n’interprétait pas les données de la même manière que moi, mais ses communications publiques montraient leur potentiel et le cadre d’interprétation traditionnel sans parti pris politique. Je me suis immédiatement intéressé à la question. Cela m’a conduit à rédiger mon article de juin 2020.
Parmi les autres confirmations précoces, je citerais notamment la célèbre déclaration vidéo de Mike Yeadon enregistrée dans son garage en 2020, certaines prépublications de John Ioannidis datant de 2020 et une déclaration vidéo du professeur Sucharit Bhakdi début 2021.
À cette époque, j’avais également réalisé plusieurs vidéos de commentaires et d’interviews sur YouTube, voir : « COVID-19 avec Denis Rancourt » (playlist, >100 vidéos). Je voulais que ma formation scientifique et mon esprit critique soient immédiatement utiles face à la propagande excessive du gouvernement.
Les premières données sur la mortalité toutes causes confondues disponibles au moment de la publication de mon article en juin 2020, pour l’Europe et les États-Unis, présentaient des caractéristiques remarquables que j’ai mises en évidence dans des graphiques et des textes :
- Aucune surmortalité n’a été observée avant la déclaration de pandémie par l’OMS le 11 mars 2020.
- Un pic de mortalité anormalement élevé a été observé immédiatement après la déclaration de pandémie par l’OMS dans diverses juridictions, mais nulle part ailleurs.
- Les pics de mortalité anormalement élevés, là où ils se sont produits, étaient synchronisés sur deux continents.
- Les taux de mortalité de l’ensemble de la population (tous âges confondus) n’étaient pas particulièrement alarmants en soi, sauf à New York.
Il me semblait impossible que ce phénomène spatio-temporel puisse être dû à la propagation spontanée d’un nouvel agent pathogène dangereux provenant d’un endroit en Chine, et pourquoi ce nouvel agent pathogène supposé suivrait-il la déclaration politique faite par l’OMS le 11 mars 2020 ? En outre, les juridictions où l’on a enregistré des pics de surmortalité importants ont fait état de nombreux cas d’agressions commises par les autorités et le personnel médical à l’encontre de personnes fragiles et âgées vivant en institution. Tous ces éléments m’ont amené à conclure qu’il ne s’agissait pas d’une épidémie, mais probablement d’un homicide de masse commis par les autorités dans le cadre de leur réponse à la crise.
Tout le travail que mes collaborateurs et moi-même avons accompli au cours des années suivantes a constamment corroboré ma conclusion de juin 2020. En particulier, une industrie de l’épidémiologie théorique s’est développée pour affirmer que les schémas spatio-temporels de surmortalité découlent de la théorie de la contagion d’un virus respiratoire, mais en juin 2025, nous avons rigoureusement démontré q ue les données empiriques sur la mortalité toutes causes confondues sont incompatibles avec ces aventures créatives erronées de l’épidémiologie théorique.
- Vous avez analysé les données sur la mortalité toutes causes confondues dans plus de 125 pays pendant la période COVID. Pour les lecteurs qui ne sont pas familiers avec cette approche, pourquoi la mortalité toutes causes confondues est-elle plus fiable que les décès liés au COVID déclarés, et quelles tendances vous ont le plus surpris ?
Dans la grande majorité des cas, l’attribution d’une cause de décès est nécessairement arbitraire et soumise à des biais politiques, professionnels et institutionnels. Cela ne prête pas à controverse. Il s’agit d’un problème bien connu. Ce problème est inévitable en raison de la nature même de la mort, qui est une défaillance complexe et coopérative impliquant une multitude de composants endommagés. Même ces composants endommagés eux-mêmes ne sont pas faciles à caractériser. En revanche, reconnaître la survenue d’un décès, quelle que soit la cause présumée, est simple. C’est pourquoi le décompte des décès (à un moment et à un endroit donnés, d’une personne d’un âge et d’un sexe donnés), tout comme le décompte des naissances vivantes, fournit les données démographiques les plus fiables que l’on puisse obtenir. (Soit dit en passant, un collaborateur et moi-même travaillons sur une « théorie de la mort et du vieillissement » qui m’enthousiasme beaucoup, mais c’est une autre histoire).
Cette mortalité toutes causes confondues peut être comptabilisée avec une haute résolution temporelle, par exemple par jour, ce qui permet de détecter les événements de mortalité soudaine, notamment les vagues de chaleur estivales, les accidents de transport majeurs, les tremblements de terre, les défaillances techniques, etc. Elle peut également être comptabilisée avec une haute résolution spatiale, jusqu’au niveau des quartiers et des institutions, avec une haute résolution par âge des personnes décédées, par statut socio-économique et par état de santé, par exemple le statut vaccinal et la présence de maladies chroniques diagnostiquées. Ainsi, la mortalité toutes causes confondues, ainsi résolue, constitue une base de données extrêmement puissante.
En outre, l’enregistrement de la mortalité toutes causes confondues est considéré comme étant d’intérêt national et est le plus souvent requis et normalisé par la loi, dans pratiquement tous les pays développés, pour toutes les juridictions infranationales. La plus grande défaillance à cet égard concerne la plupart des pays africains. Une frustration supplémentaire pour les chercheurs est le manque de transparence proactive efficace et la divulgation incomplète des informations. Les rares artefacts administratifs sont faciles à repérer (tels que l’enregistrement tardif des décès pendant les vacances). Nous n’avons trouvé aucune raison de penser que les données sur la mortalité toutes causes confondues communiquées par les États sont biaisées ou manipulées. Au contraire, nous constatons généralement un degré élevé de cohérence et des événements de surmortalité qui correspondent aux rapports sur les catastrophes connues.
Les grands schémas de surmortalité toutes causes confondues qui m’ont surpris sont nombreux. Ils comprennent les éléments suivants :
- L’absence quasi totale de surmortalité, partout dans le monde, avant la déclaration de pandémie par l’OMS le 11 mars 2020
- Les pics soudains de mortalité qui surviennent immédiatement après la déclaration de pandémie par l’OMS le 11 mars 2020
- L’extrême hétérogénéité géographique (juridictionnelle) de la surmortalité, par rapport aux tendances historiques de la période pré-Covid, y compris au sein d’un même pays (entre les États, les provinces et les comtés), et entre des villes présentant des circonstances pratiquement identiques (socio-économiques, aéroports, culturelles, etc.)
- Le grand nombre de pays et de régions infranationales qui n’ont pas connu de surmortalité toutes causes confondues détectable en 2020 et jusqu’à l’introduction de la vaccination
- La mortalité relativement élevée (score P) dans tous les groupes d’âge dans de nombreuses juridictions pendant la période Covid (2020-2022) et jusqu’à présent
- La mortalité excédentaire importante et persistante (après les années Covid, jusqu’en 2024 et 2025) dans de nombreux pays occidentaux, par rapport aux tendances historiques bien établies avant la période Covid
- Corrélations remarquables dans le temps entre des pics bien définis de surmortalité et le déploiement rapide de vaccins, en particulier les doses de rappel administrées principalement aux populations âgées, dans plusieurs juridictions (Inde, Australie, Israël, plusieurs pays de l’hémisphère sud, 23 des 87 pays du monde disposant de données suffisantes et de nombreuses régions infranationales).
- Un écart important entre les modèles de mortalité des pays d’Europe de l’Est et ceux des pays d’Europe occidentale, et un gradient important entre le nord et le sud (Canada-États-Unis-Mexique) des comportements en matière de mortalité en Amérique du Nord.
Pour plusieurs pays dans le monde, la plus forte surmortalité annuelle a été enregistrée en 2022, après l’achèvement quasi total (en 2021) du déploiement des vaccins.
- Dans vos recherches, vous avez constaté que 30 % des pays n’ont pas enregistré de surmortalité en 2020 avant l’introduction des vaccins. Pouvez-vous nous expliquer ce que cela signifie et pourquoi cela remet en question le discours dominant sur la pandémie ?
C’est exact, pourquoi la surmortalité ne se produirait-elle qu’avec le déploiement des vaccins dans tant de pays ? Il semble que les agressions qui ont accompagné le déploiement des vaccins aient été mortelles.
Les épidémiologistes théoriciens établis, qui acceptent le modèle standard de contagion des maladies respiratoires virales, doivent se contorsionner pour rationaliser les schémas géotemporels de la surmortalité (toutes causes confondues ou causes attribuées). Récemment, nous avons brisé ce schéma en montrant que les schémas de mortalité sont incompatibles avec les principaux calculs de contagion et de propagation mondiale et les réfutent.
La théorie montre que, si l’on en croit le modèle, les épidémies respiratoires virales se propagent rapidement dans une population donnée et disparaissent en quelques mois. Si le nouveau pathogène présumé virulent se propage à travers le monde via le trafic aérien, il devrait y avoir des pics épidémiques correspondants qui ne peuvent être pratiquement synchronisés sur la planète et qui ne peuvent être absents dans la plupart des grands hubs aéroportuaires mondiaux. Soit le modèle est cohérent avec le schéma géotemporel de mortalité observé, soit il doit être abandonné. Les correctifs théoriques injustifiés et le bootstrapping ne sont pas autorisés.
À mon avis, le paradigme des pandémies respiratoires virales doit être abandonné, et il faut le considérer comme l’arnaque axée sur le contrôle et le profit qu’il est devenu.
Les maladies respiratoires mortelles sont complexes, et les pandémies de décès respiratoires peuvent être provoquées par un stress biologique résultant d’attaques coordonnées contre les populations. La Covid a été une expérience mondiale sur les effets de telles attaques, et l’analyse corrobore mon point de vue. J’ai abordé le mécanisme du stress biologique à l’origine d’une pandémie mondiale dans un article récent intitulé « Medical Hypothesis: Respiratory epidemics and pandemics without viral transmission » (Hypothèse médicale : épidémies et pandémies respiratoires sans transmission virale).
- Vous avez estimé que les vaccins contre la COVID pourraient avoir causé environ 17 millions de décès dans le monde. Il s’agit là d’une affirmation extraordinaire qui contredit les autorités sanitaires officielles. Quelle méthodologie vous a conduit à cette conclusion, et comment conciliez-vous cela avec les associations temporelles apparentes entre le déploiement des vaccins et les pics de mortalité ?
Permettez-moi tout d’abord de choquer bon nombre de vos lecteurs en déclarant d’emblée que les corrélations temporelles frappantes que nous avons documentées entre les pics importants de mortalité toutes causes confondues et le déploiement rapide des vaccins (en particulier des rappels) ne sont pas directement dues à la toxicité des vaccins elle-même. Je vais expliquer ci-dessous, en réponse à cette question, comment je suis parvenu à cette conclusion.
Cela ne veut pas dire que les vaccins ne sont pas mortellement toxiques pour de nombreuses personnes et dans de nombreuses circonstances. La toxicité mortelle significative des vaccins contre la COVID-19 est prouvée sans aucun doute par les données de vigilance sur les effets indésirables, les données d’essais cliniques divulguées, de nombreuses études de cas cliniques publiées et de nombreuses autopsies médico-légales, sans parler des milliers d’articles scientifiques sur les effets indésirables nocifs des vaccins, comme nous l’avons souligné dans plusieurs de nos rapports (par exemple, section « 6.1 Les vaccins contre la COVID-19 peuvent entraîner la mort », ici).
Cependant, dans les études rigoureuses sur la mortalité toutes causes confondues, nous devons faire la distinction entre « de nombreux décès dus à la toxicité des vaccins » et « un nombre suffisant de décès dus à la toxicité des vaccins pour produire directement des pics importants de surmortalité toutes causes confondues ».
C’est dans mon article du 6 décembre 2022 intitulé « Association causale probable entre l’extraordinaire excès de mortalité observé en Inde entre avril et juillet 2021 et le déploiement des vaccins ». Cet article, qui mérite d’être lu même aujourd’hui, fait état d’un taux de toxicité mortelle calculé de 1 % par injection dans les zones rurales et urbaines de l’Inde. Robert F. Kennedy, Jr. m’a interviewé à propos de ces conclusions le 8 décembre 2022.
Suite à cela, notre premier rapport sur les fortes associations temporelles entre les pics importants de surmortalité toutes causes confondues et le déploiement rapide des rappels vaccinaux concernait l’Australie et ses États. Il s’agissait de notre article du 20 décembre 2022 intitulé : « Association causale probable entre le nouveau régime australien de mortalité élevée toutes causes confondues et le déploiement du vaccin contre la COVID-19 ». Cette association correspondait à un taux de toxicité mortelle calculé de 0,05 % par injection.
Dans notre article suivant (9 février 2023), nous avons montré que les pics remarquablement élevés de mortalité toutes causes confondues, essentiellement synchronisés avec les déploiements rapides et successifs des rappels vaccinaux, étaient stratifiés par âge, la toxicité mortelle apparente augmentant de manière exponentielle avec l’âge : « Taux de mortalité par dose de vaccin contre la COVID-19 stratifié par âge pour Israël et l’Australie ».
Nous avons également estimé que la valeur mondiale représentative de la toxicité mortelle calculée pour toutes les tranches d’âge serait de 0,1 % par injection. Pour 13,25 milliards d’injections jusqu’au 24 janvier 2023, cela correspondait à environ 13 millions de décès calculés dans le monde entier jusqu’au 24 janvier 2023. C’est ainsi que l’article du 9 février 2023 a donné notre première estimation de la mortalité mondiale associée au déploiement des vaccins contre la COVID-19.
La méthodologie est simple. On estime d’abord un taux de toxicité mortelle calculé par injection, sur la base des associations observées entre les excès de mortalité toutes causes confondues et le déploiement des vaccins, puis on multiplie ce taux par le nombre de doses de vaccin administrées. Il est toujours possible que même une forte association dans la série chronologique des décès excédentaires et du déploiement des vaccins ne soit pas due à la toxicité des vaccins elle-même, mais résulte plutôt d’une intervention mortelle qui accompagne le déploiement des vaccins.
Ensuite (17 septembre 2023), en utilisant la même méthodologie de base, nous avons étudié 17 pays de l’hémisphère sud et de la région équatoriale disposant de données suffisantes : « Mortalité associée au vaccin contre la COVID-19 dans l’hémisphère sud ». L’avantage de l’hémisphère sud est que le déploiement des rappels ne coïncide pas avec les saisons où la mortalité est naturellement plus élevée, ce qui constitue une difficulté dans les pays de l’hémisphère nord. C’est dans cet article que nous avons pour la première fois rendu compte de l’estimation désormais bien connue de 17 millions de décès liés au vaccin dans le monde. J’ai présenté nos conclusions lors d’une conférence internationale en Roumanie le 18 novembre 2023. Un participant à la conférence (Bret Weinstein) a ensuite décrit nos résultats dans une interview avec Tucker Carlson, et l’industrie de la « vérification des faits » s’est déchaînée. Le chiffre de 17 millions est entré dans la culture générale et est devenu un sujet de mèmes.
Nous avons donné suite à cela (le 19 juillet 2024) avec notre rapport approfondi de 521 pages sur 125 pays : « Variation spatio-temporelle de la surmortalité toutes causes confondues dans le monde (125 pays) pendant la période Covid 2020-2023 en fonction des facteurs socio-économiques et des interventions de santé publique et médicales ». Je pense qu’il s’agit d’un document historique que tout le monde devrait étudier. Nous avons expliqué pourquoi le paradigme de la propagation respiratoire virale devrait être abandonné et avons discuté en profondeur des causes de décès. Dans l’ensemble, nous avons constaté que le taux global de surmortalité toutes causes confondues dans les 93 pays disposant de données suffisantes pour la période de trois ans 2020-2022 est de 0,392 ± 0,002 % de la population de 2021, ce qui correspond à 30,9 ± 0,2 millions de décès supplémentaires qui auraient eu lieu dans le monde pendant la période de trois ans 2020 -2022, toutes causes confondues.
Cela signifie que jusqu’à la fin de 2022, 31 millions de décès supplémentaires ont été causés dans le monde par les attaques coordonnées des gouvernements, des entreprises et des institutions professionnelles contre la population. Les trois principales catégories de causes primaires de décès que nous avons identifiées sont les suivantes :
- Stress biologique (y compris psychologique) lié à des mesures telles que les confinements et les changements structurels socio-économiques qui y sont associés
- Interventions médicales non liées au vaccin contre la COVID-19, telles que les ventilateurs mécaniques et les médicaments (y compris le refus de traitement par antibiotiques)
- Déploiement des vaccins contre la COVID-19, y compris les déploiements répétés sur les mêmes populations
Le dernier point inclut les perturbations importantes (tests, confinement, soi-disant traitements, refus de soins normaux, etc.) qui accompagnent les déploiements rapides de type militaire des vaccins dans les institutions accueillant des personnes fragiles et âgées.
- Dans vos travaux récents, vous avancez que la pandémie était en réalité une recrudescence de « pneumonies bactériennes sans transmission » causées par le stress et les interventions médicales plutôt que par un virus. Pouvez-vous expliquer cette théorie en termes simples et son lien avec votre conclusion selon laquelle la quasi-totalité de la surmortalité était associée à des troubles respiratoires ?
D’une part, nous avons démontré dans plusieurs articles que la Covid n’était pas une propagation contagieuse d’une maladie respiratoire virale. D’autre part, les pics clairement discernables de surmortalité toutes causes confondues correspondent souvent (bien qu’il existe de nombreuses exceptions) quantitativement à la mortalité officiellement attribuée à une affection respiratoire (COVID-19). Nous avons d’abord montré cette concordance quantitative pour les États-Unis dans notre rapport du 25 octobre 2021 : « Nature de la catastrophe sanitaire publique de l’ère COVID aux États-Unis, d’après les données sur la mortalité toutes causes confondues et les données socio-géo-économiques et climatiques ». Par ailleurs, dans les données gouvernementales que nous avons utilisées, la moitié des décès attribués à la COVID-19 sont associés à une pneumonie bactérienne concomitante, d’après les certificats de décès déclarés, et le traitement antibiotique était évité, comme nous l’avons montré.
Lors d’un pic donné de surmortalité toutes causes confondues, si les décès ne sont pas dus à la propagation du nouveau virus respiratoire présumé, mais ont été cliniquement enregistrés comme étant associés à des affections respiratoires graves, alors ces affections respiratoires ont dû survenir autrement et au cours de la même période que le pic de surmortalité.
Or, il s’avère que la littérature scientifique regorge de descriptions de pneumonies auto-infectieuses sans transmission induites par des circonstances stressantes chez des personnes fragiles ou âgées. Si lesdites circonstances stressantes sont soudainement imposées de manière systémique, par vagues, il en résultera des pics de surmortalité.
J’ai décrit ce mécanisme de pneumonies auto-infectieuses sans transmission de manière assez détaillée le 2 décembre 2024 : « Hypothèse médicale : épidémies et pandémies respiratoires sans transmission virale ».
Fondamentalement, le corps humain abrite trois microbiomes principaux, ou grandes communautés complexes et changeantes de micro-organismes, qui vivent dans le tube digestif, dans les voies respiratoires et sur la peau. Ces microbiomes et leur équilibre dynamique sont essentiels à la vie et à la santé en général. Pratiquement tous les micro-organismes animaux et environnementaux connus et inconnus sont présents dans notre corps, et les populations de micro-organismes coopèrent et se font concurrence pour le territoire et les ressources. Ces équilibres dynamiques peuvent être considérablement affectés par des circonstances telles que le stress, les blessures, l’alimentation, l’isolement social, les médicaments, les toxines environnementales, etc. Ils sont perturbés plus fréquemment et plus facilement avec l’âge.
Pour comprendre ce processus, il existe de nombreux exemples avec des biomes écologiques (que j’ai étudiés), tels que l’apport soudain de nutriments dans un lac, qui donne un avantage concurrentiel aux algues toxiques, entraînant des proliférations d’algues mortelles qui tuent le plancton et perturbent ainsi de manière fatale la chaîne alimentaire. En comparaison, l’étude des microbiomes humains est relativement nouvelle et constitue un domaine de recherche médicale en pleine expansion.
Nous avons donc tout ce qu’il faut pour nous rendre malades de l’intérieur (c’est-à-dire que nous « tombons » malades) en réponse à des conditions imposées. Nous n’avons pas besoin de propager de nouveaux agents pathogènes invisibles pour cela. Les trois principaux microbiomes (poumons, intestins, peau) sont connus pour avoir des réponses fortes et démontrées au stress subi.
Par conséquent, par exemple, les symptômes respiratoires peuvent être le meilleur indicateur pour détecter le stress individuel. Comme l’a fait remarquer un collègue, j’ai suggéré que cette sensibilité présentait un avantage évolutif, mais là encore, je diverge.
En gros, si les forces établies perturbent massivement la société d’une manière qui augmente le stress biologique (y compris psychologique), en particulier chez les personnes fragiles et âgées, il y aura toujours une « pandémie » correspondante de décès excessifs, associée à des symptômes de réaction des microbiomes, notamment des difficultés respiratoires visibles. J’en suis venu à croire que c’était le cas avec la Covid. Toutes nos nombreuses analyses de données concordent avec cette idée. Il n’y a pas eu de pandémie virale.
Les attaques, par vagues, comprenaient : des obligations, des mesures (masques, distanciation…), une propagande continue, des changements imprévisibles dans les mesures imposées, des confinements, des fermetures (services, travail, école, religion, loisirs), des restrictions de voyage, des tests, des biais diagnostiques, l’isolement, le refus de traitement (en particulier les antibiotiques pour la pneumonie), le refus des soins habituels, la ventilation mécanique, la sédation, les traitements expérimentaux et inappropriés, la persécution et le harcèlement public des dissidents, et la vaccination.
La surmortalité qui en résulte est modulée par les facteurs socio-économiques dominants de la société, notamment :
– structure d’âge
– structure hiérarchique de la pauvreté
– histoire sociale marquée par des traumatismes infantiles et juvéniles à grande échelle (guerre, famine, oppression)
– réseaux sociaux endémiques
– réseaux étatiques de services, y compris les institutions et la culture institutionnelle
– spectre des addictions aux opiacés largement répandues (y compris le fentanyl et l’héroïne)
– degré de médicalisation de la santé
– susceptibilité à la propagande étatique délétère
L’idée d’une maladie respiratoire virale qui se propage est hors de propos, déconnectée de la réalité et conçue pour manipuler et exploiter les personnes et les nations.
- Vous affirmez que les schémas saisonniers de mortalité et les pandémies historiques peuvent s’expliquer sans faire appel à la transmission virale. Quels autres mécanismes proposez-vous pour expliquer ces schémas, et pensez-vous que l’humanité ait jamais été confrontée à une véritable pandémie virale ?
La mortalité saisonnière toutes causes confondues avant la période Covid (élevée en hiver, plus faible en été) est bien documentée dans de nombreux pays depuis plus de 100 ans. Il s’agit d’un phénomène vraiment remarquable et stable, y compris dans les sociétés riches et avancées, qui n’est pas encore complètement compris. Beaucoup ont leurs théories favorites, comme celle de la vitamine D, mais aucune explication n’est concluante à l’heure actuelle. C’est un projet de recherche actif au sein de notre groupe.
L’amplitude des variations saisonnières au cours des dernières décennies dans les pays occidentaux de l’hémisphère nord est d’environ 10 % des valeurs estivales. Les valeurs minimales estivales de la mortalité varient de manière régulière sur plusieurs années, tandis que la mortalité dite « hivernale », supérieure à la base de référence estivale, est chaotique et peut être très différente d’une année à l’autre. Certains tentent d’établir un lien entre cette mortalité hivernale variable et les virus en circulation, mais cela ne fonctionne pas, à mon avis.
Il est remarquable que les pics de mortalité hivernale toutes causes confondues soient essentiellement synchronisés entre les continents (Europe et Amérique du Nord), au sein de toutes les régions, pays et comtés ou États, et entre ces continents dans l’hémisphère nord. Il n’y a pas de gradient géographique détectable dans ces pics hivernaux au cours d’un hiver donné au cours des dernières décennies précédant la période Covid. Cela était vrai avant l’avènement des voyages aériens de masse et cela reste vrai aujourd’hui. Cette synchronisation, sans centres ni gradients, est contraire aux modèles de propagation.
En outre, les pics de mortalité hivernale dans l’hémisphère sud se produisent pendant l’hiver de cet hémisphère, pendant les mois d’été de l’hémisphère nord, ce qui nécessiterait un contrôle équatorial remarquable de tout agent pathogène présumé, et il n’y a pas de variation saisonnière de la mortalité dans les régions proches de l’équateur. Il est clair que les schémas saisonniers mondiaux et locaux de la mortalité toutes causes confondues (qui semble être liée aux troubles respiratoires, circulatoires et à de nombreuses autres affections chez les personnes âgées, mais pas de manière significative au cancer) sont un phénomène planétaire, et non un phénomène principalement ou uniquement lié aux modèles d’émergence et de propagation des agents pathogènes respiratoires.
La mortalité hivernale est probablement associée à des facteurs de stress physiologiques tels que les variations de température, de pression atmosphérique et d’humidité, qui sont influencés par les cycles météorologiques saisonniers et les grands systèmes météorologiques de la planète. Il s’agit là d’un mécanisme évident expliquant la « synchronicité » des pics de mortalité hivernale. Les facteurs de stress saisonniers sont suffisants pour provoquer une mortalité saisonnière toutes causes confondues chez les personnes âgées, qui augmente avec l’âge, mais aucune mortalité hivernale chez les personnes plus jeunes.
La durée de séjour plus longue des particules d’aérosol dans l’air sec (transmissivité présumée plus élevée des micro-organismes en suspension dans l’air et charge de poussière en suspension plus élevée dans les environnements bâtis en hiver) ne joue probablement pas un rôle significatif dans le schéma géo-saisonnier mondial de la mortalité toutes causes confondues, qui dépend de l’âge.
Un lien conceptuel avec les pics de mortalité toutes causes confondues (au-delà du schéma saisonnier) survenant pendant la période Covid est immédiat, car ils sont eux aussi synchrones et liés à des facteurs de stress résultant de mesures et de déploiements coordonnés à l’échelle mondiale.
Les pics saisonniers normaux de mortalité hivernale avant la période Covid et les pics de mortalité excédentaire pendant la période Covid sont tous deux causés par des facteurs externes (respectivement, les conditions météorologiques saisonnières et la réponse dite « pandémique ») qui créent un stress biologique fatal pour les personnes fragiles et âgées.
Le phénomène et les conséquences du stress biologique ont une histoire scientifique éminente, qui a débuté en 1936 avec les travaux de Hans Selye et s’est poursuivie avec la spécialité moderne des microbiomes humains. Le stress biologique, tel que défini pour la première fois par Selye et enrichi par des décennies de recherche, est le mécanisme essentiel de pratiquement tous les décès précoces non violents. Il devrait servir de base à toutes les enquêtes sur les événements et les schémas de mortalité, à l’exception des cas évidents tels que les tremblements de terre, si les grandes entreprises pharmaceutiques n’avaient pas systématiquement empoisonné le puits.
- Votre rapport de 2019 établissait un lien entre la mondialisation, des facteurs environnementaux tels que l’utilisation du glyphosate et l’émergence du changement climatique en tant que doctrine politique. Comment cette analyse géopolitique influence-t-elle votre compréhension de la réponse à la pandémie ?
Mon analyse approfondie de 2019, fondée sur des preuves, a reçu quelques éloges et s’intitule : « La géo-économie et la géopolitique sont les moteurs des époques successives de mondialisation prédatrice et d’ingénierie sociale – Émergence historique du changement climatique, de l’égalité des sexes et de l’antiracisme en tant que doctrines d’État ». Je pense qu’elle est novatrice à bien des égards. Elle est également disponible sous forme de livre audio téléchargeable gratuitement.
Ma conclusion générale, à partir de la Seconde Guerre mondiale, est que les élites, organisations, entreprises et financiers mondiaux protégés et soutenus par le régime américain ont occupé la planète et conçu explicitement des idéologies sociales dominantes, notamment l’antiracisme, le genre et le changement climatique, afin d’imprégner toutes les couches des sociétés occidentales et conquises.
Je décris le lien entre le pouvoir de l’empire américain et sa dépendance à l’égard de la possession et de l’application de la monnaie mondiale qu’est le dollar américain. Ils y sont parvenus en contrôlant la monnaie utilisée pour les échanges de toutes les principales matières premières, notamment le pétrole, les opiacés, l’agriculture et les interventions médicales mondiales, et en dominant ces secteurs. Le régime américain gère en outre un racket mondial de protection basé sur l’imposition de ventes d’armes gonflées (en dollars américains) à tous ses « alliés » et protectorats.
Le régime américain contrôle également la quasi-totalité des médias grand public influents dans le monde occupé et a créé la plus grande infrastructure de propagande de l’histoire. Sa propagande est si influente qu’elle pénètre dans les sociétés de nations souveraines telles que la Russie et la Chine, en particulier si elle contient des messages alarmistes liés au terrorisme, aux armes de destruction massive, à l’environnement ou à la santé.
Mon analyse de 2019 constitue donc un cadre général idéal pour comprendre l’attaque multiforme menée par le régime américain sous le nom de Covid, y compris l’implication directe et opérationnelle du département américain de la Défense. Covid était une opération géopolitique conçue et menée par le régime américain. Sous de telles pressions, la Russie et la Chine n’avaient d’autre choix que de participer aux mesures et de développer leurs propres vaccins. La Chine, en particulier, risquait fortement de devenir le bouc émissaire mondial, en grande partie grâce aux modèles épidémiologiques publiés dans des revues scientifiques de premier plan, qui font partie intégrante de la propagande.
Voir mon article « Les ventes d’armes et les ventes de vaccins à ARNm doivent être considérées comme des rackets de protection », qui comprend un lien vers une interview vidéo fascinante réalisée le 25 mars 2020 avec l’ancien officier des services secrets russes Vladimir Kvachkov.
- Vous avez décrit les ventes d’armes et les ventes de vaccins à ARNm comme des « rackets de protection ». Pouvez-vous développer cette comparaison et nous expliquer quelles sont, selon vous, les structures de pouvoir sous-jacentes qui régissent ces industries ?
Oui, un racket de protection est un système dans lequel le crime organisé extorque des paiements en échange d’une soi-disant protection. Il s’agit essentiellement d’une rente versée aux contrôleurs des territoires d’exploitation. Il s’agit d’une extorsion pure et simple, accompagnée d’un accès illimité aux locaux. Dans le cas du régime américain et de ses technologies militaires et de surveillance, les ventes d’armes sont imposées à des pays occupés de facto.
Les ventes sont libellées en dollars américains, ce qui garantit une demande pour cette devise. L’État client obtient les dollars américains nécessaires grâce à la vente de ses ressources et de sa main-d’œuvre, payées en dollars américains que le régime américain imprime à volonté.
Comme pour toute matière première importante contrôlée par les États-Unis, la demande imposée et la création de dollars américains constituent un cycle d’exploitation sans fin, imposé par la projection militaire et la domination financière. Dans tout cela, la dette américaine accumulée depuis des décennies (depuis le retrait unilatéral des États-Unis de l’accord de Bretton Woods en 1971) sous forme de soi-disant « déficits commerciaux » est essentiellement sans importance, si ce n’est pour créer l’illusion que les parties exploitées ont « de l’argent en banque ». Les déficits commerciaux eux-mêmes, pour la plupart des pays, ne sont que des mesures du degré d’exploitation.
Tout cela fonctionne tant que le régime américain domine le monde et peut imposer sa volonté. Nous vivons une époque extraordinaire et dangereuse où la domination américaine est à la fois remise en question et dépassée. Je dis dangereuse parce que le régime américain est extrêmement violent et n’a montré que peu de retenue dans le recours à la guerre, aux actes de guerre et au terrorisme par procuration pour créer le chaos et l’instabilité qui entravent l’émergence d’un monde multipolaire. Dans le contexte actuel , la conclusion selon laquelle le rapprochement entre la Russie, la Chine et l’Inde renforce la stabilité et la sécurité mondiales est rationnelle et justifiée.
Les achats imposés de lots massifs de vaccins contre la COVID-19 relevaient du même type de racket de protection. Comme pour les armes, les ventes ont été imposées à la fois au niveau national et à tous les pays occupés de facto. Comme pour les armes, les achats ont été effectués en dollars américains et dans des devises subordonnées. Comme pour les armes, la protection vise à lutter contre une menace artificielle ou fictive (agression militaire et pandémie virale, respectivement). Comme pour les armes, la propagande sur la menace est constante et omniprésente. Comme pour les armes, le racket de la protection vaccinale comprend de grands exercices d’entraînement pour pratiquer et démontrer un déploiement efficace. Le Covid était une opération militaire, et aucune opération militaire du régime américain ne se fait sans d’énormes pots-de-vin et sans alimenter le secteur financier et militaro-industriel de l’Empire.
Le Covid avait également pour but de tester et de faire progresser les programmes de surveillance, de contrôle numérique, de censure et de contrôle social. Ces programmes ne sont pas sans rapport avec l’effondrement imminent de l’empire américain dû à la perte de puissance de sa monnaie mondiale, le dollar américain. Le contrôle numérique intégré des ressources financières de chaque individu garantirait une base solide et efficace dans le monde réel pour la monnaie de l’empire, ainsi qu’une surveillance et un contrôle complets de ses sujets. La Chine a déjà réussi à coupler sa population à sa monnaie nationale. Les États-Unis sont à la traîne en raison des luttes intestines entre les grands acteurs technologiques et financiers, selon l’analyse de Yanis Varoufakis pour 2024 présentée à un public chinois.
Ne vous y trompez pas : l’Empire (l’État profond et les parasites de l’élite au sommet) considère comme un impératif existentiel d’imposer un contrôle financier numérique à tous ses sujets pour les raisons géopolitiques et d’exploitation expliquées ci-dessus ; tout cela pour votre protection, bien sûr. Le Covid a été, entre autres, un fer de lance pour tester et faire avancer ce programme. Le Covid a également été une démonstration de la capacité militaire de l’Empire à injecter rapidement et littéralement à tous ses sujets la substance de son choix, tout en taxant le public pour ce faire ; là encore, tout cela pour votre protection.
De ce point de vue géopolitique et géoéconomique, à mon avis, les débats sur la nature et l’origine du virus présumé, sur le vaccin conçu et ses conséquences théoriques sur la santé sont des distractions utiles et, au mieux, d’une importance secondaire. La forte surmortalité était due aux agressions sociétales et semble avoir été collatérale. Toute menace déclarée et toute solution de déploiement de vaccins réussies sur le plan propagandiste auraient atteint les mêmes objectifs et eu les mêmes conséquences.
Il est important de noter que lesdites agressions sociales mises en place pendant la Covid se poursuivent aujourd’hui dans de nombreux pays occidentaux, sous la forme :
- des abus généralisés et institutionnalisés à l’encontre des patients fragiles et âgés et des résidents des maisons de retraite,
- des attaques continues contre les perspectives politiques et économiques des classes moyennes nationales (avec leurs désirs gênants de liberté et d’influence), et
- de l’augmentation de la dépendance aux opiacés à grande échelle.
Ces agressions installées et continues produisent la mortalité excessive persistante toutes causes confondues que nous avons étudiée.
- Dans vos travaux sur les hiérarchies sociales dominantes, vous suggérez que la maladie joue un rôle évolutif dans le maintien de ces hiérarchies. Comment cette théorie s’applique-t-elle à ce que nous avons observé pendant la pandémie ?
Le principe organisationnel primordial dans tout groupe d’animaux sociaux est la hiérarchie dominante. Les preuves empiriques sont accablantes à cet égard. Quelle que soit la théorie politique que l’on privilégie, chaque groupe et chaque société est une hiérarchie dominante, avec un potentiel à la fois de stabilité maintenue et d’extrémisme totalitaire. De plus, le facteur déterminant de la santé et de la longévité individuelles est la position de chacun dans la hiérarchie de dominance et la nature ou la pente de cette hiérarchie.
La hiérarchie de dominance est une forme de coopération structurée auto-organisée et constitue une puissante stratégie de survie et de réalisation pour toute espèce animale sociale. Il existe donc une forte pression évolutive pour former des hiérarchies de dominance maintenues.
En 2011, j’ai avancé cette idée originale (à ma connaissance) :
L’oppression liée à la hiérarchie sociale de dominance nous rend malades, ce qui présente un avantage évolutif important dans la mesure où cela permet et stabilise ladite hiérarchie, rendant ainsi l’espèce compétitive dans son environnement hostile. Par conséquent, l’évolution sélectionne des mécanismes de mauvaise santé induits par le stress biologique. En corollaire, il existe nécessairement un gradient de santé lié au gradient de statut social dans une hiérarchie sociale.
J’ai expliqué cette idée pour la première fois sur mon blog « Activist Teacher » dans un article publié le 20 décembre 2011 : « A Theory of Chronic Pain—a social and evolutionary theory of human disease and chronic pain » (Une théorie de la douleur chronique : théorie sociale et évolutionnaire des maladies humaines et de la douleur chronique). Cet article a également été publié dans Dissident Voice et dans mon livre.
Cela signifie que l’oppression rend malade, par le biais de nombreux mécanismes biologiques complexes qui ont évolué dans le corps des animaux au cours de millions (voire de milliards) d’années. C’est pourquoi il existe un lien étroit entre le stress biologique (y compris psychologique) et la santé. Ce lien est d’une importance capitale, mais il est ignoré et occulté par la médecine conventionnelle dominée par l’industrie pharmaceutique. L’oppression dominante est la cause profonde de la maladie et de la mauvaise santé, surtout dans les hiérarchies dominantes les plus violentes et autoritaires, pour la plupart des individus.
Plus vous êtes âgé, plus l’oppression et le stress biologique vous tueront efficacement, et ce de manière exponentielle. En même temps, l’identité d’une personne est viscéralement liée à sa place et à sa valeur dans la hiérarchie dominante, et une image de soi déterminée est un moteur essentiel de la vie chez les êtres sensibles. La perte de statut social signifie souvent la mort pour l’individu, par une maladie chronique ou une autre. Par conséquent, l’enfermement est une source importante de stress biologique et l’isolement social soudain et imposé est mortel, là encore de manière exponentielle avec l’âge.
Compte tenu des connaissances approfondies sur les effets mortels de l’enfermement, de la perte de statut social et de l’isolement social, la Covid peut être considérée comme un homicide de masse perpétré par nos institutions, nos professionnels et leurs supérieurs hiérarchiques, dans une marche vers un État plus totalitaire.
- Vous avez vivement critiqué les essais cliniques sur les vaccins, en particulier ceux impliquant des enfants. Quelles sont, selon vous, les failles fondamentales dans l’évaluation de la sécurité et de l’efficacité des vaccins, et quelles preuves étayent votre position selon laquelle les programmes de vaccination infantile peuvent causer plus de tort que de bien à l’échelle mondiale ?
J’ai formulé une critique de principe à l’encontre de tous les programmes de vaccination infantile dans mon récent article : « Opinion : Invalidité des modèles contrefactuels de mortalité évitée grâce à la vaccination infantile ».
Malgré des décennies d’études, il n’existe aucun exemple connu, dans les pays à mortalité infantile élevée ou faible, de déploiement de vaccins infantiles associé à une diminution de la mortalité infantile toutes causes confondues. Au contraire, on observe un ralentissement apparent des bénéfices du développement en termes de survie infantile associés au déploiement des vaccins infantiles. Dans ce contexte, le développement signifie l’amélioration de l’assainissement et de la nutrition.
Compte tenu de cette dure réalité, à savoir que les avantages en termes de réduction de la mortalité infantile sont au mieux indétectables, il n’y a aucune raison de rechercher des avantages insaisissables de la vaccination dans des essais cliniques artificiels contrôlés par la même industrie qui tire profit de cette escroquerie et qui a largement démontré son comportement illégal et criminel en concoctant lesdits essais.
Voir l’ouvrage de référence « Deadly Medicines and Organised Crime: How big pharma has corrupted healthcare » (Médicaments mortels et crime organisé : comment les grandes entreprises pharmaceutiques ont corrompu les soins de santé) de Peter Gøtzsche (2013, CRC Press : Taylor & Francis Group). La mainmise institutionnelle et la corruption n’ont fait que s’accroître depuis la rédaction de cet ouvrage. Jablonowski et al. (2025) ont récemment démontré que les essais cliniques truqués étaient bel et bien une pratique courante avec les vaccins contre la COVID-19.
Si nous voulons aider les enfants, nous devons les aider, et non les exploiter au profit des grandes entreprises pharmaceutiques, des carrières scientifiques gonflées et des revenus accrus des professionnels de la santé. Les exploiteurs de l’élite mondialiste occidentale et leurs entreprises doivent être chassés des services de maternité et de pédiatrie.
Une fois de plus, j’ai donc démontré que les données sur la mortalité toutes causes confondues sont un outil précieux qui peut être utilisé pour distinguer les bienfaits pour la santé des escroqueries de l’industrie médicale.
La plupart de ces escroqueries très lucratives (chimiothérapie, médicaments pour la chimie sanguine, médicaments psychiatriques, médicaments pour la gestion de la douleur, etc.) sont rendues possibles grâce à une tromperie élaborée, protégée et institutionnalisée, basée sur des essais cliniques truqués qui sélectionnent des sujets particuliers, excluent les résultats indésirables, sous-estiment les résultats avantageux, n’examinent pratiquement jamais les effets néfastes à long terme, n’utilisent plus de groupes placebo et ne divulguent pas les données à des chercheurs indépendants.
- Vous restez sceptique quant au rejet complet de la « théorie des germes », tout en reconnaissant que les bactéries peuvent provoquer des maladies dans certaines conditions. Comment gérez-vous cette position nuancée et où tracez-vous la ligne entre la théorie du terrain et la théorie des germes ?
Le débat entre la théorie des germes et la théorie du terrain est centré sur la croyance ou la critique de l’hypothèse des germes selon laquelle une maladie spécifique présumée peut résulter d’une infection par un agent pathogène spécifique correspondant, et que les épidémies de maladies spécifiques peuvent être générées par la transmission de l’agent pathogène spécifique correspondant présumé.
La théorie des germes repose sur l’espoir qu’il existe des maladies spécifiques pouvant être guéries par un remède miracle qui tue ou neutralise l’agent pathogène spécifique présumé correspondant, ou que la maladie peut être évitée en évitant l’agent pathogène.
La théorie du terrain postule que la maladie n’est pas fondamentalement causée par des micro-organismes pathogènes et que la santé et la résilience, y compris la capacité de résistance aux agressions de l’environnement individuel, dépendent du « terrain » du corps, qui dépend à son tour de l’histoire de vie du corps, soumis à des agressions et à des carences, mais aussi de caractéristiques héréditaires.
Fondamentalement, de nombreux défenseurs de la théorie du terrain affirment qu’aucune exposition à un micro-organisme ou à une dose de micro-organismes, et aucun micro-organisme présent dans le microbiome corporel ne peut être à l’origine d’un préjudice, et que la mauvaise santé est toujours la conséquence d’un terrain défavorable, indépendamment de l’exposition ou de l’agression par des micro-organismes présumés nocifs.
La défense de la théorie du terrain semble motivée par la promotion de l’importance des choix en matière de nutrition et de mode de vie, le rejet justifié de la médecine conventionnelle dictée par l’industrie pharmaceutique, le désir de dénoncer les mensonges flagrants de la médecine conventionnelle et le désir de trouver un argument magique (inexistence des virus, danger bénin des bactéries) qui ferait s’effondrer une grande partie des pratiques irrationnelles de la médecine conventionnelle.
Une description AI de la théorie du terrain est la suivante : « La théorie du terrain propose que la santé interne du corps (« terrain ») détermine sa susceptibilité aux maladies, plutôt que les germes qui en seraient la cause principale. » De nombreuses preuves empiriques viennent étayer la perspective du terrain, mais le débat ou l’opposition binaire (forme physique interne vs exposition aux agents pathogènes) présenté de cette manière laisse de côté le rôle central de l’environnement immédiat et changeant ou des circonstances de la vie qui sont à l’origine du stress biologique (y compris psychologique).
En tant que tel, le débat est entaché (sans jeu de mots) par deux hypothèses mal définies et étroites d’esprit, opposées l’une à l’autre de manière binaire.
Premièrement, aucune des deux hypothèses ne définit suffisamment la mauvaise santé, la maladie ou l’affection. Une définition suffisante nécessiterait des connaissances beaucoup plus approfondies et intégrées, ou du moins des paradigmes plus incisifs que ceux actuellement utilisés.
Deuxièmement, la branche de l’hypothèse microbienne postule de manière irréaliste les effets hypothétiques d’un seul micro-organisme, alors que les micro-organismes bactériens dans la nature se présentent toujours sous forme de communautés, de microbiomes, de biofilms ou d’infusions de populations d’un grand nombre d’espèces bactériennes différentes.
Troisièmement, le débat oppose d’une part un mécanisme spécifique (l’infection) et d’autre part une manière générale non spécifiée dont la mauvaise santé ou la maladie survient ou ne survient pas spontanément (le terrain).
Le débat sous sa forme habituelle n’est donc pas strictement scientifique. Il est plus simple de suivre la méthode scientifique. On reçoit une hypothèse précise et bien délimitée afin d’examiner si elle peut être réfutée. Si l’hypothèse ne peut être réfutée en principe, si elle n’est pas vérifiable, alors l’hypothèse elle-même n’est pas valable.
Si l’hypothèse est que l’agent pathogène est invisible et ne peut être identifié et manipulé de manière fiable afin de tester l’hypothèse, alors il ne s’agit pas d’une hypothèse valide. À mon avis, les partisans de la théorie virale n’ont pas démontré que l’hypothèse virale de la cause de la maladie est en soi une hypothèse valable (vérifiable). C’est à eux qu’il incombe de faire cette démonstration. À l’heure actuelle, donc, à mon avis, le seul débat scientifique concernant l’hypothèse virale de la maladie est de savoir si les partisans de la théorie virale ont même démontré une hypothèse vérifiable avec la technologie actuelle. S’ils ne l’ont pas fait, alors ils pratiquent simplement le vaudou et encouragent la pratique du vaudou.
Si l’hypothèse implique une cause bactérienne de la maladie, elle est au moins vérifiable en principe avec la technologie actuelle. Le débat porte alors sur la question de savoir si les tests appropriés ont été effectués et si l’hypothèse a été réfutée. (Notez qu’en tant que scientifique, j’ai mené des recherches sur les bactéries).
La tuberculose a fait l’objet de nombreuses études et est considérée comme une maladie respiratoire bactérienne infectieuse. Cependant, contrairement à l’hypothèse initiale selon laquelle une seule espèce bactérienne serait responsable de la maladie, on constate aujourd’hui que de nombreuses espèces bactériennes coexistent et sont associées à la maladie. Les expériences de transmission réalisées entre des humains malades et des animaux sont considérées comme des preuves concluantes de la nature infectieuse de la tuberculose ou, à tout le moins, de la possibilité de transmission. Cependant, la présence persistante et omniprésente de l’infection dans la population mondiale depuis longtemps rend le débat sur la contagiosité quelque peu hors de propos, comparativement au paradigme de la coexistence évolutive, et le spectre des manifestations individuelles tend plutôt à soutenir une interprétation « terrain ».
Je n’ai connaissance d’aucune expérience contrôlée sur des humains ou des animaux non humains utilisant des doses provenant de cultures pures d’une seule espèce de bactérie. Si une série d’expériences de ce type donnait des résultats nuls, l’hypothèse bactérienne de la cause de la maladie serait réfutée pour l’espèce bactérienne spécifique, la méthode d’administration de la dose et le modèle animal.
Si nous assouplissons l’hypothèse pour inclure des doses contenant diverses espèces bactériennes, les expériences sont alors plus faciles à réaliser et plus réalistes par rapport à ce qui se passerait dans la réalité, comme dans le cas d’une pneumonie par aspiration. Je pense que ces expériences donneraient des résultats positifs (manifestations de la maladie induites) dans de nombreuses circonstances, en fonction de l’état (« terrain ») des sujets testés.
En outre, par exemple, une revue scientifique réputée portant sur 36 essais cliniques a conclu que « les antibiotiques [réduisent les infections des voies respiratoires] et la mortalité globale chez les patients adultes recevant des soins intensifs ». De même, dans une récente étude de cohorte à grande échelle, les auteurs ont conclu : « Chez les patients âgés ayant reçu un diagnostic d’infection urinaire en soins primaires, l’absence d’antibiotiques et le report de la prise d’antibiotiques ont été associés à une augmentation significative des infections sanguines et de la mortalité toutes causes confondues par rapport à la prise immédiate d’antibiotiques. »
Ces études soutiennent l’idée qu’une perturbation chimique importante des microbiomes bactériens associés à des problèmes de santé graves peut, dans certaines circonstances, sauver des vies. Cela rejoint la pratique immorale, largement répandue pendant la période Covid, consistant à refuser les traitements antibactériens, comme évoqué plus haut.
Dans l’histoire de l’humanité, les anthropologues nous apprennent que la principale cause de mortalité limitant l’espérance de vie à à peine plus de 30 ans était les infections, dans les plaies ouvertes (provoquées par des combats et des accidents), dues à l’exposition à des environnements hostiles et à l’acquisition de parasites agressifs, etc. Des études historiques fiables menées aux États-Unis ont montré une baisse significative des taux de mortalité grâce à l’assainissement de l’approvisionnement en eau, souvent à l’aide de filtres et de chlore. Dans ces décès, la cause principale apparente est une blessure due à la consommation d’eau insalubre, et non la transmission d’un agent pathogène spécifique.
Dans nos recherches, nous avons souligné l’importance de faire la distinction entre la véritable cause principale du décès et la cause proximale ou clinique du décès (telle qu’elle est enregistrée sur le certificat de décès). Cela est important pour replacer dans son contexte le débat entre les germes et le terrain.
La cause principale du décès est l’agent qui a réellement causé la blessure mortelle au corps. Par exemple, un accident de voiture peut être la cause principale du décès, tandis que la perte massive de sang et la défaillance de certains systèmes seraient des causes proximales. Les agressions qui provoquent un stress biologique mortel sont des causes principales, entraînant de nombreux dysfonctionnements du système, et la première cause proximale peut être enregistrée comme « pneumonie » ou « insuffisance cardiaque ».
Au-delà de cela, nous pouvons débattre pour savoir si les manifestations bactériennes qui accompagnent l’échec coopératif connu sous le nom de mort étaient nocives ou bénéfiques, ou si elles étaient destinées (par les bactéries ?) à être bénéfiques mais ont causé des dommages collatéraux, etc.
Mon point de vue est que les microbiomes du corps (poumons, intestins, peau) peuvent être perturbés par des facteurs de stress externes, ce qui entraîne un déséquilibre et provoque ou contribue à provoquer la mort. Dans le cas de la pneumonie par aspiration, les microbiomes intestinaux et respiratoires contribuent tous deux à l’issue.
Le degré auquel un facteur de stress externe peut perturber un microbiome et la capacité de récupération dépendent tous deux du « terrain », et ce terrain (l’état du corps) s’appauvrit considérablement et nécessairement avec l’âge, en plus de l’impact d’autres facteurs.
Je pense que les colonies (microbiomes) de bactéries peuvent avoir un impact négatif sur la santé, pouvant aller jusqu’à la mort, et que la susceptibilité à de tels événements dépend à la fois du « terrain » (état physique) et des conditions ambiantes (stress biologique). Par exemple, l’exposition seule à des agents pathogènes (tels que les agents pathogènes respiratoires associés à la tuberculose) n’est pas suffisante pour provoquer l’apparition de la tuberculose et, à ce titre, ne peut jamais être la cause principale de la tuberculose.
Je conviens que le paradigme viral de la maladie est fragile. Je n’ai trouvé aucune preuve concluante qui vienne étayer ce paradigme. Les causes invisibles sont pratiques pour rationaliser des phénomènes complexes, mais la cause virale invisible est manifestement inutile en termes réels, si l’on en juge par la mortalité, comme nous l’avons démontré à plusieurs reprises.
- Vos recherches indiquent que les interventions médicales pendant la COVID, notamment la ventilation mécanique et le refus d’antibiotiques, ont été les principales causes de décès. Comment ces pratiques néfastes se sont-elles généralisées et qu’est-ce que cela révèle sur la médecine institutionnelle ?
Permettez-moi de répondre en élargissant la question. Comment les pratiques médicales néfastes sont-elles mises en place et comment se généralisent-elles et s’institutionnalisent-elles ?
Le point de départ de notre réflexion devrait être de reconnaître que les pratiques médicales recommandées qui sont mortelles sont certainement très répandues, en général et à tous les niveaux de l’establishment médical. J’ai souligné ce point dans mon examen critique du paradigme du cancer en 2015 . L’épidémie de préjudices médicaux est trop répandue et persistante depuis plusieurs décennies pour être considérée comme une « erreur ». Il n’est pas controversé d’affirmer que la médecine est l’une des rares causes principales de décès prématuré dans le monde occidental, et ce depuis deux générations ou plus. Comment cette situation est-elle apparue et comment se maintient-elle avec autant de force ?
Cela nous ramène à la hiérarchie sociale dominante. L’objectif structurel de l’establishment médical est principalement de gérer et de renforcer cette hiérarchie dominante. La santé fournie par les professionnels n’est qu’une illusion, tout comme la vertu fournie par le clergé et l’Église. La médecine d’entreprise vise à garantir la servitude et la dépendance, et elle est peut-être l’instrument le plus puissant de l’État à cet égard, avec ses innombrables professionnels, travailleurs, enseignants et gestionnaires, et son ancrage dans une vaste structure financière, entrepreneuriale et gouvernementale. La médecine fait partie du complexe financier-industriel-congressionnel-militaire-intellectuel-académique-médical-médiatique du régime américain, et donc du monde occidental.
Les cliniques et les institutions médicales jouent le même rôle que l’appareil policier et judiciaire : agresser systématiquement et aléatoirement des individus afin d’affirmer leur domination (voir : Silk, 2002), tout en donnant l’impression de résoudre certaines injustices afin de conserver leur légitimité et d’empêcher les explosions de rébellion. En tant que telle, la société humaine est essentiellement une troupe de babouins, et ses institutions sont conçues et évoluent en conséquence.
Avec la médecine, l’appareil de contrôle a l’avantage sur la police et les employeurs de pouvoir vous affaiblir ou vous rendre malade directement, sans dépendre uniquement du mécanisme physiologique basé sur le stress résultant d’agressions physiques et psychologiques. La médecine peut littéralement prescrire la maladie et la dépendance.
Si nous échappons à la propagande massive concernant les avantages de la médecine conventionnelle et que nous comprenons la vérité sociologique de sa conception réelle, nous devons conclure que les exemples de pratiques médicales apportant un réel bénéfice net à la santé individuelle sont soit accidentels, soit simplement autorisés à créer la confiance et la légitimité nécessaires.
Dans ce contexte, le système médical expérimente constamment de nouveaux protocoles de traitement qui, avec l’aide de la propagande, s’intègrent parfaitement dans le projet visant à affirmer la soumission et la domination, tout en privant les cibles de ressources et en éliminant les personnes dépendantes inutiles telles que les malades chroniques et les personnes âgées. Ce phénomène s’observe dans toute hiérarchie sociale animale ; seules les méthodes diffèrent.
Comme pour toute affirmation systématique de domination, le comportement peut aller trop loin, devenir incontrôlable en quelque sorte. Dans les groupes d’animaux, cela peut par exemple catalyser le harcèlement des dominants.
Dans nos sociétés stables, les politiques et les comportements institutionnels font l’objet de réajustements constants, à la suite d’événements suscitant l’indignation des médias ou une résistance (comme la réticence à la vaccination). Dans le même temps, la corruption des élites pousse les lois et les politiques vers une exploitation excessive. J’ai décrit ces tensions, ces tiraillements et cette corruption au sein de la société dans mon essai de 2017 intitulé « Cause of USA Meltdown and Collapse of Civil Rights » (Les causes de l’effondrement des États-Unis et de la chute des droits civiques). Il s’agit d’un schéma historique qui se répète depuis des millénaires (voir : « The Great Wave: Price Revolutions and the Rhythm of History » (La grande vague : les révolutions des prix et le rythme de l’histoire) de David Hackett Fischer, 1996).
Je dirais que le mouvement MAHA actuel, important et bénéfique, au sein des agences fédérales américaines, est le type de réinitialisation corrective nécessaire pour préserver et renforcer la légitimité et l’acceptation du système médical, tout en laissant en place la plupart de ses pratiques manifestement nocives pour la santé individuelle.
Le paradigme de la pandémie est exceptionnellement insidieux, à un niveau supérieur à celui du maintien agressif habituel de la hiérarchie dominante. Ils veulent nous faire croire à un risque constant de pandémies virulentes causées par des agents pathogènes aériens, chacune pouvant menacer l’humanité à l’échelle d’un impact météoritique massif, nécessitant des réponses mondiales qui renforcent l’exploitation et le contrôle des élites. Mes recherches m’ont convaincu qu’il n’y a probablement jamais eu une telle pandémie dans l’histoire, y compris en 1918 et lors de la peste noire.
En ce qui concerne les circonstances spécifiques des interventions médicales néfastes mises en œuvre pendant la période Covid, nous avons à nouveau discuté d’exemples dans notre dernier article réfutant la propagation virale pandémique.
- Votre analyse géopolitique de 2019 avait prédit de nombreux aspects de ce que nous avons ensuite observé pendant la réponse à la pandémie. Comment voyez-vous la période Covid dans le contexte plus large de la mondialisation et de l’hégémonie du dollar américain ?
La Covid était un exercice militaire planifié et exécuté par le régime américain, qui a coordonné de nombreux acteurs majeurs, notamment : l’industrie pharmaceutique, le secteur médical, la finance, les médias (y compris les réseaux sociaux), les services de renseignement, les transports, l’armée, le Congrès et le Parlement, les gouvernements à tous les niveaux, les organismes internationaux, la police, le pouvoir judiciaire, les sciences et le monde universitaire.
La Russie et la Chine se sont senties obligées de jouer le jeu, compte tenu de l’opinion mondiale et de la pénétration de la propagande américaine, et de développer leurs propres vaccins et mesures. Les dirigeants qui ont rejeté la fraude pandémique ont été assassinés ou autrement écartés ou réduits au silence.
En réalité, il n’y avait pas de virus responsable de la pandémie et les vaccins étaient manifestement nocifs. La théorie de la fuite du laboratoire n’est pas pertinente, puisqu’il n’y avait pas d’agent viral mortel.
Les réponses et les mesures prises ont causé plus de 30 millions de décès dans le monde (jusqu’en 2022, pratiquement tous des personnes malades, âgées et dépendantes aux opiacés) et ont laissé des séquelles permanentes dans la société, notamment de graves effets indésirables liés aux vaccins.
Les pratiques institutionnelles nouvellement mises en place entraînent aujourd’hui encore une mortalité excessive persistante toutes causes confondues dans de nombreux pays, sans parler de l’acceptation sociale plus large des violations des libertés civiles et des protections. Les cultures du travail, des loisirs et de la santé ont été bouleversées. Le milieu médical est devenu plus agressif et autoritaire que jamais dans la mémoire générationnelle. La liste complète des conséquences serait très longue.
La pandémie de Covid a été rendue possible par la mondialisation contrôlée par les États-Unis et la domination mondiale de ce pays. À mesure que d’autres pôles majeurs de pouvoir géopolitique se développent et que la domination des États-Unis s’érode, un tel événement mondial de transformation et d’exploitation a moins de chances de connaître le même succès dans les années à venir. La fenêtre d’opportunité permettant au régime américain de mener à bien des escroqueries mondiales telles que Covid se referme. La force motrice du profit et l’influence des élites occidentales s’affaiblissent également à mesure que la multipolarité mondiale s’accroît.
À long terme, la multipolarité croissante à l’échelle mondiale améliorera probablement davantage les droits fondamentaux et civils des citoyens américains que toutes les bonnes intentions déclarées de leurs dirigeants, à mesure que s’intensifient les comparaisons mondiales et la concurrence pour de bonnes conditions de vie et de travail. L’intérêt touristique et les flux d’immigration de qualité vers la Russie et la Chine sont déjà en augmentation. Mais dans un premier temps, les conditions de vie des citoyens occidentaux vont se détériorer, en particulier dans les pays dits alliés pillés par les États-Unis, et surtout pour les classes populaires, sans parler de la quasi-certitude d’une augmentation des guerres menées par les États-Unis à mesure que leur domination touche à sa fin.
- Sur quoi vous concentrez-vous actuellement dans vos recherches avec CORRELATION, et comment les personnes qui souhaitent suivre vos travaux peuvent-elles rester informées de vos découvertes ?
À l’heure actuelle, nos principaux projets de recherche immédiats, qui sont à des stades d’avancement divers, comprennent : une théorie de la santé et de la mort, les variations saisonnières et les schémas géotemporels de la mortalité en période normale, une étude approfondie de près de 100 facteurs socio-économiques associés à la surmortalité, la preuve de manipulations des enregistrements de la température mondiale, une vaste étude de la surmortalité liée au statut vaccinal, les limites théoriques des modèles spatio-temporels de propagation des maladies, et une étude du comportement non scientifique du gouvernement canadien pendant la Covid à partir de documents consultés.
Il y a trois façons principales de suivre notre travail :
- Le site web de CORRELATION : https://correlation-canada.org/research/
- Mon site personnel : https://denisrancourt.ca/
- Ma lettre Substack :
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