VACCINS, NOUVELLLES 2020
L’OMS admet une éclosion de poliomyélite aux Philippines causée par des vaccins antipoliomyélitiques… « due à un poliovirus de type 2 dérivé d’un vaccin »
Par : Mike Adams
Selon l’Organisation mondiale de la Santé et l’UNICEF, le vaccin antipoliomyélitique a provoqué une recrudescence de la poliomyélite aux Philippines, qui a publié une déclaration commune reconnaissant que le vaccin était à l’origine de la poliomyélite.
« L’OMS et l’UNICEF ont déclaré dans un communiqué conjoint que l’épidémie de polio aux Philippines était préoccupante, car elle est causée par un poliovirus de type 2 dérivé du vaccin »,écrit l’Associated Press. « Le virus affaibli utilisé dans les vaccins se réplique pendant une courte période dans les intestins des enfants et est excrété dans leurs excréments. »
Les vaccins contre la polio sont souvent cités comme exemple de réussite prouvant que les vaccins agissent pour éliminer les maladies infectieuses. En vérité, presque tous les cas de polio dans le monde moderne sont causés par les vaccins antipoliomyélitiques eux-mêmes.
En clair, plus de cas de poliomyélite sont causés par les vaccins antipoliomyélitiques que par la poliomyélite sauvage.
Les vaccins contre la polio créent des souches de « super polio » menaçant l’humanité
Les vaccins antipoliomyélitiques oraux sont en réalité des « souches virulentes génitrices » de poliovirus, rapporte le magazine Children’s Health Defence :
L’augmentation alarmante des cas de poliomyélite dérivés d’un vaccin présente un « dilemme » ou une « énigme » pour les planificateurs de vaccins – car « l’outil même que vous utilisez pour éradiquer la [polio] est à l’origine du problème ».… Les chercheurs du vaccin savent depuis longtemps que ces virus transmis peuvent être eux-mêmes responsables de la poliomyélite, en particulier quand ils se « détachent dans l’environnement ».
L’histoire d’Associated Press admet que cela fait plus de 25 ans que la polio aux Philippines a été contractée à partir d’une « souche sauvage ». Depuis 1993, tous les cas de polio aux Philippines ont été causés par des vaccins antipoliomyélitiques.
L’AP admet également que les vaccins tuent des enfants :
Les programmes de vaccination du gouvernement ont été entachés en 2017 par un vaccin contre la dengue fabriqué par le fabricant de médicaments français Sanofi Pasteur, que certains responsables philippins ont lié à la mort d’au moins trois enfants. Duque et d’autres responsables de la santé des Philippines ont déclaré qu’ils travaillaient depuis lors pour rétablir la confiance du public dans les vaccins.
Pire encore, comme l’admet l’AP, il a été constaté que les vaccins contre la dengue augmentaient le risque d’infection grave par la dengue :
Le gouvernement a mis un terme à la campagne de vaccination contre la dengue après que Sanofi eut déclaré qu’une étude montrait que le vaccin pouvait augmenter le risque d’infections graves par la dengue. Plus de 830.000 enfants ont reçu le vaccin Dengvaxia dans le cadre de la campagne lancée en 2016 et arrêtée en 2017. Les responsables de Sanofi ont déclaré que le vaccin Dengvaxia était sûr et permettrait de réduire les infections de la dengue si la campagne de vaccination se poursuivait.
La « science » du vaccin est une fraude
La « science » moderne des vaccins est une fraude totale. Chaque année, les vaccins tuent ou mutilent des millions d’enfants dans le monde. Cependant, tout journaliste qui étudie la toxicité d’ingrédients vaccinaux ou la fraude scientifique à la base de la propagande vaccinale est immédiatement interdit sur toutes les grandes plateformes technologiques, notamment Google, Facebook, YouTube, Twitter, Pinterest et Google, même Vimeo.
Aucun fait concernant les vaccins ne peut être partagé ou discuté. L’industrie des vaccins corrompue et opérée par des criminels contrôle le récit de tous les géants de la technologie – y compris Wikipedia – ainsi que de Hollywood, des universités et des revues médicales.
L’industrie du vaccin tue des enfants à des fins lucratives, puis fait taire toute personne qui s’efforce de protéger les enfants du fléau des vaccinations dangereuses effectuées avec des ingrédients toxiques comme du tissu fœtal humain avorté, de l’aluminium, du mercure et des adjuvants chimiques.
VACCIN GARDASIL
Japon, leader mondial anti vaccin HPV
Des scientifiques Japonais alertent le monde
Michel DOGNA
Au Japon, des jeunes femmes et des jeunes filles souffrant de douleurs chroniques généralisées sévères à la suite de la vaccination avec Gardasil® de Merck ou Cervarix® de GSK, se sont organisées et s’expriment publiquement.
Cette question est débattue lors d’audiences publiques, au cours desquelles des experts médicaux indépendants ont fait des présentations scientifiques qui ont validé la gravité des souffrances liées au vaccin HPV de ces femmes par des preuves documentées et incontournables.
C’est un scénario que Merck, GSK et les intervenants mondiaux du domaine des vaccins sont extrêmement désireux d’éradiquer à tout prix. Le rapport du SCRS commandé par Merck et coécrit par le Dr Larson, dresse le portrait d’une guerre totale pour la couverture médiatique, mais silence sur le taux élevé de réactions dramatiques des victimes.
Les auteurs ont recours à la tactique habituelle qui consiste à discréditer les personnes vaccinées blessées ; ils ont qualifié de triviales les graves effets sur la santé des filles et des jeunes femmes après la vaccination. Le rapport du SCRS présente même l’ensemble de la question comme une épidémie alimentée par des rumeurs sur Internet.
Ce point de vue opposé, présenté par des scientifiques alignés sur la défense du vaccin, ne tient pas compte de la plausibilité scientifique de la preuve et déclare que la douleur est une « réaction psychosomatique ».
En outre de tels débats publics n’ont pas lieu lorsque les intervenants du secteur des vaccins contrôlent entièrement l’information sur l’innocuité des vaccins. (Comme aux États-Unis, par exemple)
À la suite d’une audience publique en février 2014, au cours de laquelle des scientifiques indépendants ont présenté des preuves de la dangerosité, le gouvernement japonais a non seulement annulé sa recommandation de faire vacciner les filles contre le HPV, mais il a aussi établi des lignes directrices et des cliniques spéciales pour évaluer et traiter les maladies causées par ce vaccin.
C’est un scénario que Merck, GSK que les intervenants mondiaux du domaine des vaccins sont extrêmement désireux d’éradiquer à tout prix. Le rapport du SCRS commandé par Merck et coécrit par le Dr Larson, dresse le portrait d’une guerre totale pour la couverture médiatique, mais rien pour le taux élevé de réactions dramatiques des victimes.
Les auteurs robots dépendants ont recours à la tactique habituelle qui consiste à discréditer les victimes du vaccin ; ils qualifient de trivial les graves effets sur la santé des filles et des jeunes femmes après la vaccination. Le rapport du SCRS présente même l’ensemble de la question comme une épidémie alimentée par des rumeurs sur Internet.
En fait tout est combiné pour que les Internautes, surtout ceux qui ne sont plus capables de réfléchir par eux-mêmes ne sachent plus qui croire – Il ne faut croire personne, il faut raisonner. Nous sommes plongés dans une guerre invisible où l’on tue ceux que l’on prétend protéger. Et tant pis pour les naïfs et les peureux qui se jettent dans la gueule du loup !
NB : dans mon ebook VACCINS L’AFFREUX DOUTE sur www.irelia-editions.com j’ai déjà largement commenté ce vaccin criminel avec les statistiques des milliers de vies de jeunes femmes ados cassées.
NB de Tal : J’en parle aussi longuement dans mon ebook VACCINS, BIENFAITEURS OU ASSASSINS ? sur www.santeglobale.world
Ce vaccin est hautement criminel : sans fondements scientifiques de qualité, que du marketing fondé sur la recherche de profit et pourtant nous avons les preuves que les pays qui ont le plus vacciné ont vu le nombre de cancers du col de l’utérus augmenter ! Il faut vraiment que le public sache car un tel délire vaccinal, c’est vraiment trop, c’est vraiment sacrifier des milliers de vie sur l’autel d’une « science » vendue aux marchands… on croit rêver devant une telle aberration !
Empoisonnement vaccinal obligatoire généralisé ?
Michel DOGNA
Cela m’agace à devoir rabâcher sans cesse, preuves à l’appui, toujours les mêmes choses depuis plus de 20 ans. Pendant ce temps les victimes se multiplient par milliers, de nombreuses vies sont brisées, ce que nient et continuent à nier ceux qui vivent grassement de cette sinistre farce.
Des chiffres relevés sur www.kla.tv/15294
Savez-vous que :
En 1999 au Tennessee, il y a eu une explosion de cas d’oreillons, malgré des taux de vaccination élevés ? Or 75% des enfants qui l’ont contracté avaient été vaccinés.
En Suisse en 1994, 1995 et 1999, 1.000 personnes ont contracté les oreillons, avec des taux de vaccination de plus de 95% dans tout le pays. Parmi les personnes touchées, 78% étaient vaccinées et ont quand même contracté la maladie.
En 1996, il y a eu 2.778 cas de coqueluche aux Pays-Bas, malgré un taux de vaccination de 96%. Parmi les personnes touchées, 89% des enfants étaient dûment vaccinés.
Depuis l’introduction de la vaccination contre la méningite, les cas de maladie et la fréquence de la maladie ont augmenté de 40%.
En 2001 en Afrique, après le DTC (vaccination contre la polio) la mortalité infantile a été deux fois plus élevée.
En 2005, il y a eu 33 décès de nourrissons après une vaccination sextuple avec Hexavac.
En 2009, 1.470 cas de complications vaccinales ont été signalés, dont 83 décès après la deuxième vaccination sextuple avec Infanrix hexa.
Je pourrais ici vous citer des pages entières de telles catastrophes qui ne sont jamais avouées en France – le pays de Pasteur, donc la référence absolue !
NOTA : Savez-vous que les grands labos ont réussi à faire voter une loi américaine leur garantissant l’immunité juridique en cas de complications conséquentes, même graves, même mortelles – ceci n’empêche pas que l’on vous oblige à accepter par ignorance ce contrat pourri, que vous n’accepteriez jamais pour l’achat de n’importe quel matériel du commerce. Et vous trouvez cela normal, de plus pour vos enfants ?
Revenons maintenant sur les composants des vaccins :
Savez-vous que :
Alors qu’aucun médicament ne peut être diffusé au niveau public sans AMM (autorisation de mise sur le marché), les vaccins en sont dispensés. L’industrie pharmaceutique n’est même pas obligée de déclarer avec précision tous leurs composants.
Imaginez que subitement, une loi dispense les acteurs des chaines alimentaires diffusées dans les supermarchés de marquer sur les emballages la composition des produits et les traitements qu’ils ont reçu. Continueriez-vous à acheter ces produits les yeux fermés en toute confiance ? Mieux, si la loi vous interdisait d’acheter vos produits alimentaires ailleurs que dans les supermarchés, que feriez- vous ? Rien ? Or c’est exactement ce à quoi, vous êtes en train de vous soumettre avec les vaccins.
Ceci signifie que les vaccins peuvent être imposés sur le marché alors qu’ils n’ont pas dépassé la phase expérimentale.
Aujourd’hui, presque tout le monde sait que ces doses de vaccin contiennent du mercure, des composés d’aluminium, du formaldéhyde, de la nanotechnologie, des séquences de virus dangereux, etc. ! Par exemple, le formaldéhyde qui était anciennement un composant des vernis pour le bois a été interdit parce que les vapeurs du bois verni inhalées dans les chambres à coucher sont très nocives pour la santé… Mais pour nos enfants, il n’y a aucun problème à inoculer dans leur sang un tel poison ?
Toutes les statistiques sérieuses et indépendantes convergent pour conclure que les enfants qui ont échappé au rouleau compresseur vaccinal (grâce à des parents intelligents ou de classe sociale élevée) bénéficient d’une santé plus robuste et de meilleures défenses immunitaires.
Depuis près d’un siècle, tout médecin digne de ce nom doit savoir que les maladies infantiles ne sont pas dangereuses et peuvent être allégées à partir du moment où elles sont accompagnées intelligemment par des moyens naturels tels le chlorure de magnésium et la tisane de bourrache, et qu’en outre elles sont nécessaires à la construction immunitaire des enfants.
Des effets secondaires gravissimes
Savez-vous que :
Les études les plus récentes indiquent que la multiplication et la généralisation des vaccins est liée intimement avec l’augmentation mondiale des maladies chroniques plus ou moins dramatiques qui sont dues à un dérèglement à vie du système immunitaire.
Des chercheurs et des laboratoires indépendants ont découvert que de nombreux vaccins sont contaminés par des rétrovirus pouvant altérer le génome ADN et causer le cancer à plus ou moins long terme.
Pourquoi cette flambée d’autisme en France (1 enfant sur 55 contre 1 sur 25.000 il y a 15 ans), alors que l’on retrouve systématiquement de l’aluminium dans leur cerveau comme dans celui des Alzheimer ?
Aux USA, c’est pire : le Dr Alan Palmer précise dans son nouvel ouvrage « THUTH WILL PREVAIL (La vérité l’emportera) » :
- En 2008, le CDC américain déclara, qu’un enfant américain sur 6 était atteint de désordres mentaux, type autisme ou autres.
- En 2018, ce chiffre est passé à 1 enfant sur 4.
- En 2032, les projections de ce phénomène, évoquent qu’un enfant sur 2 sera atteint d’autisme. C’est la destruction (programmée) de toute une génération par la politique vaccinale.
D’où vient cet aluminium massif si ce n’est majoritairement des nouveaux vaccins qui se multiplient d’une façon démentielle ?
Avez-vous entendu parler des 250.000 vaccins défectueux en Chine et de la tragédie des vaccins oraux en Inde, avec plus de 450.000 cas de paralysie et de décès signalés ? Mais ce n’est jamais alarmant tant que çà ne tombe pas sur votre propre gamin…
Et la cerise sur le gâteau, le vaccin HPV – soi-disant contre le risque de cancer du col de l’utérus qui serait conséquent à long terme au papillomavirus (maladie bénigne qui s’autoguérit en 18 mois) – le pire de tous dont j’ai parlé à maintes reprises et qui a déjà transformé en légumes (paralysies voire décès) tant de jeunes filles ados dans le monde qui étaient en pleine santé et joie de vivre.
Il y a des milliers de cas dramatiques dont les médias ne sont pas autorisés à parler.
Pourquoi attendre la catastrophe pour vous décider à faire vos propres recherches – tout est sur Internet, mais bien sûr pas sur « Télé mensonges et divertissements ».
Je voudrais narrer ici l’exemple qui m’a été rapporté de deux parents qui voulaient partager leur grand malheur avec d’autres personnes dans les médias sociaux. Leur enfant est devenu autiste (handicapé mental) après une vaccination. Ils ont cherché des personnes sur Facebook et autres réseaux, qui auraient vécu la même expérience. Ils s’attendaient à quelques personnes qui répondent ; la surprise, c’est qu’en peu de temps 250.000 personnes ont répondu et leur ont confié exactement vivre le même cauchemar ! Alors pourquoi ne publie-t-on pas cela dans les mass-médias ? Parce qu’il ne faut pas que cela se sache !
Voilà qui aide à comprendre pourquoi en 2015, en cinq semaines 14 médecins sont morts mystérieusement : c’étaient TOUS des opposants à la vaccination… Difficile d’en vouloir à la majorité de ceux qui se soumettent !
Nous faire subir des interdictions scolaires pour cause de refus de la vaccination de nos enfants est un acte de dictature insoutenable de la part d’empoisonneurs patentés, obligeant à sacrifier les familles pour le compte d’une organisation sans âme, insensible au malheur et dont la seule religion est le Dieu argent.
Nota : Selon les études sur l’évolution de la longévité, c’est la première fois que l’espérance moyenne de vie qui était régulièrement croissante depuis plusieurs siècles commence à s’inverser avec des enfants risquant fort de vivre moins longtemps que leurs parents.
Par ailleurs, il se dit que le plan Blue Beam prévoit pour les années qui viennent une généralisation de l’obligation vaccinale pour tous les âges, avec barrage professionnel et barrage d’accès aux services publics de tous ceux qui ne s’y seront pas soumis. On veut donc nous traiter comme des animaux et nous rabaisser à des sous-humains – mais bien sûr les classes gouvernantes seront exemptées.
Que les adeptes de la vaccinomania fassent ce qu’ils veulent, persistant prudemment dans leur croyance à une œuvre philanthropique et bienveillante, c’est leur droit, mais que l’on oblige les lucides à subir l’enfer vaccinal, c’est du nazisme pur et simple. Y résister à tout prix est un acte civique de légitime défense devant une déclaration de guerre qui prétend nous vouloir du bien.
Une bombe qui arrive à point ! VACCINATIONS FORCÉES
Le gouvernement américain perd un procès historique aux conséquences énormes : Robert KENNEDY
L’avocat spécialisé dans les blessures par vaccin Robert F. Kennedy Jr., Del Bigtree, producteur du documentaire anti-vaccin supprimé, Vaxxed et Informed Consent Action Network (ICAN), sont crédités de cette victoire.
Ils ont exigé les documents gouvernementaux pertinents prouvant que tous les vaccins approuvés par le gouvernement fédéral avaient été testés pour leur qualité au cours des 32 dernières années – et il n’y en avait aucun. Voici les énormes implications juridiques et pratiques de cette victoire juridique pour le peuple américain (et par voie de conséquence, de tous les pays contrôlés par l’OMS).
Cela signifie que le ministère américain de la Santé et des Services sociaux et tous les fabricants de vaccins mentent au peuple américain depuis plus de 30 ans au sujet de l’efficacité et de la sécurité des vaccins ; cela peut finalement signifier que l’intérêt de la poursuite de l’existence – au moins dans leur forme actuelle – de cinq agences américaines de « santé » est désormais mis en doute : le CDC, la FDA, l’OIM, le NIH et la partie « Santé » du DHHS lui-même ; cela peut également menacer l’existence de commissions médicales d’État et de guildes médicales exclusives comme l’AMA.
Cela signifie que les fabricants de vaccins ont été frauduleusement exemptés de ce que tous les autres fabricants de médicaments pharmaceutiques ont été contraints de faire concernant la re-certification semestrielle pour la qualité et l’efficacité – ce qui signifie que leurs vaccins n’ont jamais été testés pour la qualité et n’ont pas démontré l’innocuité ou l’efficacité depuis plus de 30 ans.
Ce cas peut désormais être légalement cité par tous les parents mandatés frauduleusement par toute réglementation / exigence gouvernementale / organisationnelle selon laquelle ils doivent vacciner leurs enfants pour l’école ou toute autre activité, pour arrêter la vaccination forcée de leurs enfants.
Ce cas peut désormais être légalement cité par tous les employés mandatés par leur employeur pour se faire vacciner afin de conserver leur emploi.
Ce cas peut désormais être légalement cité par tous ceux qui demandent une indemnisation pour une blessure due au vaccin, ce qui rend probable la faillite légale de l’industrie des vaccins pharmacologiques dans un proche avenir, comme Bayer-Monsanto après la victoire juridique historique remportée par les mourants.
L’avenir de la médecine allopathique sous sa forme actuelle est maintenant mis en doute, ainsi que celui du cartel pharmaceutique mondial, car presque tous les médicaments prescrits par les praticiens allopathiques proviennent de sociétés « pharmacidiques » (qui tuent) qui ont également commis des fraudes et des blessures vaccinales.
L’existence des médias d’information traditionnels des États profonds sera désormais également menacée, puisque 70% de leurs revenus proviennent du cartel pharmaceutique mondial, qui en Amérique a été responsable de 750.000 à 1 million de sacrifices humains par an pendant au moins le dernier demi-siècle. Les taux d’autisme vont maintenant probablement chuter, libérant le peuple américain d’une autre débilité profonde provoquée par l’État, et fournissant des preuves supplémentaires de l’autisme de masse causé par la vaccination.
Tous les responsables gouvernementaux qui ont adopté des lois légalisant la fraude aux vaccins au niveau national ou international, ou qui ont autrement aidé et encouragé cette fraude aux vaccins, peuvent désormais être accusés de fraude, de malversation et, dans certains cas, de crimes de guerre en vertu du Code de Nuremberg.
Plus d’informations :
https://www.discovermagazine.com/environment/the-robert-kennedy-jr-anti-vaccine-tour
De Prepare for change
Cette lettre Dawn Bell un professionnel de la santé américain, prévient que les vaccins ne sont pas sûrs et deviennent inefficaces après 10 ans. Elle dit que sa fille a été blessée par la vaccination :
Lors de la récente éclosion d’oreillons, 100% des cas d’oreillons étaient des étudiants qui étaient TOUS vaccinés à 100%. 90% (9 sur 10) des personnes décédées de l’épidémie de grippe de l’année dernière avaient reçu le vaccin contre la grippe.
L’immunité collective ne peut être atteinte que lorsque 85% de la population est immunisée contre une maladie. Les vaccins ne sont bons que pendant environ 10 ans, à un maximum absolu de 20 ans, de sorte que la plupart des personnes de plus de 20 ans ne sont plus immunisées. Alors maintenant, vous avez créé une situation de « fausse » immunité.
Ceux qui contractent la varicelle sont immunisés à vie, ceux qui contractent la vax ne le sont pas. Je crois vraiment, peut-être à votre grande surprise que les vaccins peuvent et ont sauvé des vies, cependant, pensez au moment où les médecins distribuent des antibiotiques comme le pop-corn au cinéma, cela a commencé à avoir un mauvais effet sur notre système immunitaire et nos intestins. Il est probable que la même chose pourrait commencer avec la surutilisation des vaccins.
Pour les maladies vraiment mortelles, hé je suis tout à fait d’accord, mais ils ont commencé à faire tellement d’argent que vous avez tout d’un coup dû commencer à vous faire vacciner pour tout, même les maladies infantiles quotidiennes et pour des trucs comme l’hépatite B à 1 jour, vraiment ? L’augmentation de l’autisme et d’autres maladies sensorielles a été ahurissante, ainsi que des troubles auto-immunes de l’enfance.
32 personnes tombent malades de l’écoli et la FDA dit à tout le monde d’arrêter d’acheter de la laitue romaine, mais des milliers signalent des problèmes de vaccins et cela ne fait pas attention à l’homme derrière le rideau. Ensuite, tout le monde est surpris lorsque les gens se fâchent et commencent à poser des questions.
Je suis un ergothérapeute et j’étais complètement avec le truc vax, jusqu’à ce que je regarde ma fille perdre la capacité de parler directement après un vaccin. Je disais à tout le monde que c’était une coïncidence jusqu’à ce que je le voie de mes propres yeux à mon propre enfant. Ils n’ont JAMAIS fait d’études sur l’innocuité de ces vaccins. Ils n’ont JAMAIS été étudiés en même temps.
Il est commun que tous ces vaccins administrés à un enfant dont le système immunitaire et le système neurologique sont en développement pourraient avoir des problèmes. C’est le mensonge qui inquiète vraiment tout le monde. Quand ils disent que des études de sécurité ont été faites alors que personne ne peut les trouver, Mon médecin m’a dit que le vaccin contre la grippe a été étudié et s’est révélé sûr pendant la grossesse.
Alors je vais travailler, en tant qu’infirmière amie pour l’insert Vax contre la grippe et devinez quoi ? Il a clairement indiqué qu’il n’avait pas été étudié chez les enfants ou les femmes enceintes et s’il est administré à une femme enceinte, vous devez appeler et les ajouter à un registre. De plus, sur le devant de la boîte, il était indiqué de ne PAS donner aux enfants de moins de 5 ans ! Je pourrais continuer, mais je terminerai par, avez-vous regardé la vidéo du CDC approuvant le Hep vax ?
Sinon, vous devriez, car c’est extrêmement intéressant ! Tout d’abord, ils donnent aux bébés de 1 jour et cela n’a jamais été approuvé pour les moins de 18 ans. Lorsqu’on leur a demandé s’il était sûr de donner avec d’autres vaccins, ils ont dit qu’ils ne savaient pas, mais nous supposons que c’était généralement sans danger comme les autres vaccins. Puis, lorsqu’on leur a posé des questions sur le « nouveau » gène muté, ils ont dit la même chose : « Nous supposons que c’est sûr comme les autres vaccins. »
Ils ont ensuite été interrogés sur les marqueurs cardiaques et auto-immunes vus dans leur étude interne et ils ont reconnu qu’ils avaient vu les marqueurs et qu’ils allaient le surveiller et déterminer en décembre 2020 s’il n’y avait pas un problème, et en attendant, il était remis à des bébés d’un jour. Alors oui, il y a des préoccupations qui doivent être abordées concernant la sécurité des vaccins et je suis ravi que ce soit enfin réglé !!!
L’IMMUNITÉ DUE AU VACCIN INDUITE
PAR UN VACCIN EST UNE FARCE TOTALE
CECI mes amis, CECI est le principal argument avancé chaque fois que quelqu’un préconise des mandats plus stricts et l’élimination des exemptions de croyance personnelle ou religieuses… HERD IMMUNITY.
Par Allie French
« Nous devons maintenir une couverture vaccinale de 95% pour prévenir les épidémies ! », disent-ils. Traduction: nous devons blâmer les 2% de personnes qui choisissent consciencieusement de ne pas faire usage de tout ou partie des vaccins pour le fait que nous avons quelques dizaines de cas de rougeole dans le pays. Maintenant, les mathématiques sont un peu mon truc, mais je sais que ce n’est pas tout le monde. Si nous prenons 2% de ceux qui demandent des exemptions et les soustrayons à 100% de la population, nous obtenons 98%… un nombre déjà supérieur au « seuil de 95% » qui, selon eux, est nécessaire pour éradiquer la rougeole.
Mais devinez quoi ? Selon les scientifiques, la rougeole ne sera jamais éradiquée. Jamais. Comme jamais jamais. Même si 100% de notre population est vaccinée contre la rougeole, elle ne partira jamais complètement pour 3 raisons: échec du vaccin primaire, échec du vaccin secondaire et groupes à risque qui ne peuvent pas être vaccinés.
- L’échec vaccinal primaire est le pourcentage de personnes vaccinées qui ne produisent jamais suffisamment d’anticorps pour les protéger de la maladie, même avec des rappels (doses supplémentaires). Selon le Dr Gregory Poland, il s’agirait d’une situation génétique. Et ce nombre varie en fonction du vaccin : il atteint 10% pour la rougeole, plus de 15% pour les oreillons, près de 20% pour la coqueluche. Pour la grippe, à cause de souches incompatibles, jusqu’à 75% des personnes vaccinées ne sont pas protégées ! Cela signifie que si vous êtes un non-répondant principal, vous vous promenez tous les jours avec un faux sentiment de sécurité, cliniquement non vacciné contre cette maladie.
- L’échec vaccinal secondaire décrit un concept connu sous le nom d’immunité déclinante.
** TOUS les vaccins diminuent avec le temps – il n’y a pas un seul vaccin qui crée une immunité à vie. ** Ce délai varie également selon le vaccin : pour la coqueluche, c’est 2-3 ans, pour la rougeole autour de 15 ans, etc. le reste est quelque part entre les deux. Cela signifie donc que beaucoup d’entre vous qui lisez ceci, et probablement tous, ont perdu votre immunité induite par le vaccin contre les maladies transmissibles courantes.
- Les groupes à risque pour le vaccin RRO – les groupes qui ne peuvent pas recevoir le vaccin à virus vivant en raison de risques potentiels – comprennent les personnes immunodéprimées, celles qui sont allergiques à certains composants, les femmes enceintes et les enfants de moins de 1 an. Selon le Dr Poland, cela laisse suffisamment de place. Segment de la population susceptible et non protégé, et de tels cas [de rougeole chez les vaccinés] continueront à se produire.
En résumé, il n’y aura jamais un jour où nous parviendrons à une immunité à 95% contre la rougeole, en tant que population même avec l’observance totale du vaccin. Alors que les taux de vaccination des enfants peuvent être si élevés en milieu scolaire, les adultes qui les entourent ne sont plus à l’abri. C’est pourquoi nous continuons à voir autant de cas vaccinés et d’adultes lors d’épidémies. Le Dr Poland a déclaré : « Cela conduit à une situation paradoxale dans laquelle la rougeole survient principalement chez les populations hautement immunisées chez les personnes précédemment immunisées. »
Alors, pourquoi obligent-ils la législation de plusieurs États du pays à imposer des mandats plus stricts si ces 2% ne sont PAS responsables de la rougeole ? Si, en réalité, la couverture vaccinale de la population est proche de 40 à 50%, pourquoi continuent-ils à se disputer avec les sélectionneurs de vaccins avec fourches à demander à tous les autres de participer à la chasse aux sorcières ?
Mais attendez, qu’en est-il de l’immunité du troupeau ? L’immunité du troupeau (nommée à l’origine par le Dr Arthur Hedrich dans les années 1930) était une théorie créée après avoir observé des schémas d’immunité naturelle contre la rougeole au début des années 1900, où il avait conclu qu’une couverture de 68% était suffisante pour prévenir de grandes épidémies. Mais cette théorie repose sur l’immunité réelle. Et les gens oublient que la vaccination, en tant que pratique imparfaite, ne peut créer une immunité réelle chez tout le monde. Selon un article publié en 2011 par Stanley Plotkin dans « Vaccines », « une grande partie des premiers travaux théoriques sur l’immunité des troupeaux supposait que les vaccins induisaient une immunité solide contre les infections… ». Théorique… supposé…
Ce qui est drôle, c’est après l’homologation du vaccin antirougeoleux en 1963, la communauté médicale a déclaré son objectif d’éradiquer la rougeole d’ici 1967. Mais 1967 est passé et il n’a toujours pas disparu, 1977, 1987, 2000…. et le résultat était toujours le même. Pendant ce temps, ils ont continué à augmenter le « seuil d’immunité du troupeau » hypothétique, pour finalement atteindre les 95% extrêmement élevés que vous entendez aujourd’hui.
La réalité est que l’immunité induite par le vaccin ne peut pas produire les mêmes résultats que l’immunité NATURELLE, véritable fondement de la théorie du troupeau. Et pourtant, chaque interview médiatique parle du terme immunité de troupeau, comme si elle était démodée… Et s’il vous plait, s’il vous plait, cessez de me dire que je devrais être reconnaissant de l’immunité du troupeau, car cela protégera mon enfant blessé par la vaccination. Nous n’aurons jamais une immunité de troupeau induite par le vaccin, et il est un peu tard pour vous d’essayer de protéger mon enfant maintenant, vous ne pensez pas ?
Pour récapituler : il n’existe pas d’immunité collective, telle que l’indique l’industrie des vaccins. La recherche utilisée comme fondement de la notion d’immunité collective induite par le vaccin était en réalité une tentative de définir, ou de mesurer, le reflux du va-et-vient des maladies infectieuses.
En 1933, un chercheur a rassemblé des statistiques sur l’épidémie de rougeole à Chicago sur une période de 20 ans. Il a déterminé qu’en moyenne, après que 67% de la population aient développé la maladie – et par conséquent, on suppose que l’immunité – l’épidémie diminuerait – allait disparaître – et se terminer. Il n’a pas éradiqué la maladie, il n’a protégé personne, il a simplement signalé une réduction des risques d’infection suffisamment importante pour déclencher la fin de cette éclosion particulière. C’est un cycle. Quelques années plus tard, quand suffisamment d’enfants – et d’adultes – seraient susceptibles, lorsque l’opportunité aurait suffisamment augmenté, la maladie se répandrait à nouveau ; il y aurait une autre épidémie.
L’industrie du vaccin a détourné le terme d’immunité collective, l’utilisant pour motiver la vaccination. La prétention à elle seule que ce phénomène théorique illusoire pourrait éradiquer les maladies infectieuses respectives est le comble de l’arrogance. Pour accomplir cet exploit, ils ont augmenté le pourcentage de 67% à 90%, puis de 95% – comme si nous pouvions simplement dicter un changement radical dans un cycle naturel et en prédire le résultat, et Dame Nature obéirait. Certains ont même appelé à une couverture à 100% pour accomplir la tâche, ce qui revient à dire que si nous brûlons toutes les forêts, tous les arbres du monde, aucun arbre ne pourra plus jamais émerger. C’est la tarte dans le ciel, l’illusion, et c’est juste à la surface.
Le système immunitaire apprend de l’expérience. En ciblant la réponse adaptative, vaccination, injection, viole le flux naturel des événements. Il contrecarre un processus sophistiqué à la fois protecteur et récupérateur, en fonction des besoins. Il malinforme et mal éduque le système immunitaire, entrave la réponse immunologique appropriée aux maladies infectieuses respectives après des expositions ultérieures, étouffant ce qui serait autrement vrai, un rétablissement complet.
Les vaccins n’immunisent pas, ils bâtonnent.
La preuve est là pour la cueillette. Le plus évident est le besoin programmé d’un, deux ou trois injections de rappel, en fonction du vaccin, alors que dans beaucoup sinon la plupart des éclosions qui se produisent, la majorité des enfants, parfois 100%, sont complètement vaccinés, y compris les rappels requis. Plus subtile est la tendance chez les vaccinés à développer des infections infracliniques après des expositions ultérieures ; l’obscurcissement résultant de la véritable identité de l’infection, de la maladie ; la probabilité que ces infections soient subrepticement transmissibles pendant une période inconnue ; et la perte d’avantages associés à une récupération naturelle et entièrement symptomatique, telle que la protection contre le cancer, plus tard dans la vie.
Donc non, l’immunité collective par la vaccination n’existe pas. Au mieux, c’est simplement un vœu pieux, au pire un moyen de transmettre ce qui est maintenant un paradigme capturé et une stratégie de déshumanisation, car la fonction plutôt étonnante du système immunitaire naturel est bouchée.
De nouvelles lois pour imposer des vaccins supplémentaires contre ces maladies sont futiles et pour tout le monde qui s’attaque aux « anti-vaxxeurs » parce que vous pensez qu’ils sont responsables de ces maladies, je vous suggère de rediriger votre colère contre les fabricants de vaccins qui ne pourraient pas recréer parfaitement la nature système immunitaire.
La vaccination n’est pas la même chose que l’immunité.
Source : https://www.thelibertybeacon.com
QUELQUES REFERENCES IMPORTANTES :
Interview de Jean-Bernard Fourtillan par Radio Libertés du 8 janvier 2020, à 18h
https://www.tvlibertes.com/intoxication-par-laluminium-le-journal-de-la-replique-avec-j-b- fourtillan-du-08-01-20
Le gouvernement américain perd un procès historique en matière de vaccins…
https://operationdisclosure1.blogspot.com/2019/12/us-government-loses-landmark-lawsuit.html
Article du Docteur Pierre Henri Bredontiot dans le Quotidien du médecin
http://infoalternative.over-blog.fr/2019/08/article-du-docteur-pierre-henri-bredontiot-dans-le- quotidien-du-medecin.html
Big Pharma dépense 30 milliards de dollars en marketing médical – veut que les exemptions de vaccins soient éliminées
Par Vera Sharav,
Dans son témoignage méticuleusement référencé soumis à l’Assemblée législative du Massachusetts qui envisage d’éliminer les exemptions religieuses du calendrier de vaccination des enfants, Meryl Nass, MD, membre du conseil d’administration de l’Alliance for Human Research Protection, a exposé les faits pour réfuter la propagande orchestrée par la Pharma sur les vaccins.
Premièrement : « il n’y a pas de crise (pas d’épidémie de décès ou de handicap) due aux maladies infectieuses causées par des enfants non vaccinés, que ce soit au Massachusetts ou aux États-Unis. »
Elle a souligné que « l’éléphant dans l’auditorium aujourd’hui, ce sont les profits de Pharma ». Merck répertorie sur son site Web plus de 1.000 candidats à des postes dans des bureaux d’État et fédéraux auxquels il a « contribué » en 2018.
L’argent de Pharma achète l’allégeance de nos principales sociétés de médias: en plus de ses dépenses publicitaires pour les consommateurs – 6,4 milliards de dollars – Pharma a dépensé en 2016, Pharma a dépensé 29,9 milliards de dollars en marketing médical.
« La dernière stratégie risquée de Pharma essaie de débarrasser le monde des exemptions de vaccins, pour empêcher les dérogations aux vaccins – avant une nouvelle récolte de vaccins, avec des tests d’innocuité et d’efficacité inadéquats. Vaccins pour lesquels Pharma n’aura aucune responsabilité une fois placés dans le programme de l’enfance. »
Le Dr Nass souligne le danger supplémentaire que les renonciations du gouvernement à la responsabilité des vaccins posaient aux enfants.
« Les dérogations découragent les fabricants de s’assurer que les vaccins qu’ils vendent sont aussi sûrs et efficaces que possible. La suppression des exemptions de vaccins, combinée à des exonérations de responsabilité pour les effets secondaires des vaccins et à des normes récemment assouplies pour l’homologation des vaccins, crée un mélange hautement toxique. »
Je m’appelle Dr. Meryl Nass.
- Je suis médecin en médecine interne à Ellsworth, dans le Maine.
- J’ai obtenu mon diplôme du MIT et de l’école de médecine de l’Université du Mississippi.
- J’ai témoigné devant 6 comités du Congrès, principalement sur le vaccin contre le charbon et le syndrome de la guerre du Golfe, et sur les blessures permanentes subies par les militaires qui ont reçu des vaccins militaires de mauvaise qualité.
- J’ai également témoigné sur la question des exemptions de vaccins aux comités législatifs du Maine, du Vermont et du Nouveau-Brunswick. J’ai pu constater de visu comment les lobbyistes de l’industrie pharmaceutique ont patrouillé dans les salles législatives, fourni des points de discussion, formé des fonctionnaires et aidé à restreindre les termes de ce débat.
L’éléphant dans l’auditorium est aujourd’hui les bénéfices Pharma. Oserais-je dire à haute voix que les bras et le corps de nos enfants sont le moyen de transfert d’argent des citoyens du Commonwealth vers l’industrie pharmaceutique ?
L’industrie pharmaceutique a lancé une campagne très ambitieuse pour légiférer sur les exemptions de vaccins aux États-Unis et au Canada. La France, l’Italie et l’Allemagne ont également annulé les exemptions de vaccins, suggérant que la campagne est mondiale.
L’industrie pharmaceutique exerce une énorme influence sur les régulateurs gouvernementaux, [1] leurs conseillers, [2] [3] organisations médicales professionnelles, [4] principaux leaders d’opinion [5] et revues médicales [6] ainsi que les médias et les législateurs. [7]
Ce n’est pas discutable [8] – il existe des dizaines d’études le prouvant. Merck a une liste sur son site Web de plus de 1.000 candidats à des postes fédéraux et d’État auxquels ils ont donné de l’argent en 2018 [9]. Merck répertorie également les paiements à des centaines d’organisations médicales professionnelles, d’organisations de patients, de groupes de lobbying pharmaceutiques et à de nombreux PAC et comités républicains et démocratiques. [10] Julie Gerberding, l’ancienne directrice du CDC, est devenue présidente de Merck Vaccines dès qu’elle a été autorisée. [11] Le dernier commissaire de la FDA vient de partir pour Pfizer. [12] La porte tournante claque les Américains.
Les fabricants de produits pharmaceutiques ont dépensé 6,4 milliards de dollars en publicité directe auprès des consommateurs aux États-Unis en 2016, et 29,9 milliards de dollars au total en marketing médical. [13] L’argent pharmaceutique achète l’allégeance de nos grandes sociétés de médias, en plus d’acheter de la publicité. Et c’est déductible d’impôt.
L’industrie pharmaceutique ne respecte pas les règles que vous et moi devons suivre. Au lieu de cela, l’industrie a pour règle d’enfreindre la loi, payant régulièrement des sanctions civiles et pénales de plusieurs milliards de dollars. Les PDG de Big Pharma n’ont pas été envoyés en prison depuis des décennies, et payer des règlements pour leurs comportements illégaux est devenu simplement le coût de faire des affaires.
C’est une industrie qui a prospéré en prenant de gros risques, même lorsque les fabricants savaient à l’avance que leurs produits tuaient. Merck a déboursé 4,85 milliards de dollars pour régler 27.000 réclamations pour dommages au Vioxx, après avoir estimé que le médicament avait causé 38.000 décès par crise cardiaque. [14] Mais les ventes annuelles avaient dépassé 2,5 milliards de dollars par an, ce qui les conduirait probablement au moins à l’équilibre.
Selon Public Citizen :
La dernière stratégie risquée de Pharma essaie de débarrasser le monde des exemptions de vaccins, pour empêcher les dérogations aux vaccins – avant une nouvelle récolte de vaccins, avec des tests d’innocuité et d’efficacité inadéquats, [15] et pour lesquels ils n’auront aucune responsabilité une fois placés sur le calendrier de l’enfance, sont approuvés.
Je doute que c’est ce qu’on vous a dit. Mais l’industrie évolue délibérément, une étape à la fois. Tout d’abord, il a obtenu la Loi sur les cures du 21e siècle, en novembre 2016. Cette loi :
- ordonné à la FDA d’octroyer plus facilement des licences pour les vaccins, en utilisant des « preuves réelles » au lieu d’essais cliniques randomisés et contrôlés.
- ordonné au CDC de placer immédiatement chaque vaccin nouvellement homologué devant son comité consultatif, pour qu’il soit considéré pour l’inclusion dans le calendrier de vaccination des enfants. L’inclusion dans le calendrier est le critère nécessaire pour obtenir un vaccin sa renonciation à la responsabilité du fabricant.
- a ordonné que tous les vaccins recommandés pour une utilisation chez les femmes enceintes (actuellement la grippe et le Tdap, mais beaucoup d’autres soient en préparation) se soient vu accorder une décharge de responsabilité.
Obtenir un vaccin approuvé pour une utilisation pendant la grossesse est la plus récente ruée vers l’or de Pharma. Ceci malgré les preuves [16] [17] (ce que le CDC conteste) que le vaccin contre la grippe est associé à un doublement des taux de fausses couches, et la preuve que le vaccin contre le charbon augmente le taux de fausses couches. [18] Ni les vaccins contre la grippe ni le Tdap n’ont été testés et approuvés par la FDA pour une utilisation pendant la grossesse. Selon l’OMS [19] :
« … Les essais cliniques avant homologation de vaccins n’incluent généralement pas les femmes enceintes et allaitantes. Les rapports disponibles fournissent également des données limitées après l’autorisation, car une fois de plus, les femmes enceintes ne sont généralement pas incluses dans les essais cliniques. À son tour, cela a limité la capacité de prendre des décisions fondées sur des preuves et de fournir des conseils optimaux sur l’utilisation des vaccins dans cette population. »
Malgré cela, les femmes enceintes sont invitées à recevoir les vaccins contre la grippe et le Tdap pendant chaque grossesse. Ne voyez-vous pas quelque chose de malade là-dedans ?
La campagne médiatique d’un an sur la rougeole n’a pas seulement inauguré des projets de loi pour supprimer les exemptions de vaccins. C’était également une aubaine pour les ventes. Merck, qui fabrique les seuls vaccins contre la rougeole aux États-Unis, a vu les ventes de son vaccin RORM augmenter de 58% en 2019. [20]
Il a été affirmé que les vaccins sont, par nature, extrêmement sûrs. Pourtant, les vaccins sont généralement injectés, contournant toutes les barrières naturelles de l’organisme. Même une contamination infime ou une inactivation microbienne inadéquate peut mutiler ou tuer. Des lots de vaccins contaminés se produisent. [21] Les lots généralement contaminés sont jetés, mais dans le cas de l’anthrax, de la polio et d’autres vaccins, des millions de doses ont été utilisées. [22] [23]
Les vaccins ont causé de nombreux troubles auto-immunes, du syndrome de Guillain-Barre à la narcolepsie. (Les deux étaient des effets secondaires des vaccins contre la grippe porcine utilisés lors de la pandémie de 2009.)
Les vaccins semblent sûrs car les effets secondaires immédiats sont généralement légers et temporaires. Les effets secondaires graves d’un vaccin prennent souvent des semaines ou des mois à faire surface, et il est alors difficile de savoir ce qui les a causés. Ce n’est que lorsque les personnes vaccinées ont des taux de maladie au moins 10 fois plus élevés que les personnes non vaccinées que l’effet secondaire est susceptible d’être lié au vaccin.
Un vaccin européen contre la grippe porcine de 2009 (Pandemrix de GSK) a causé plus de 1.300 cas de narcolepsie sévère, principalement chez les adolescents. [24] Ce vaccin était lié à la narcolepsie car 15 fois le nombre habituel de cas de narcolepsie est soudainement apparu dans les cliniques. Les pays qui ont acheté les vaccins contre la grippe porcine, par l’intermédiaire de l’OMS, ont été tenus de renoncer à la responsabilité du fabricant comme condition d’achat. Les litiges des personnes blessées continuent d’être actifs au Royaume-Uni, où le fabricant et le gouvernement britannique nient toute responsabilité pour les blessures.
- Cela devrait être évident, mais ce n’est pas le cas : les renonciations du gouvernement à la responsabilité des vaccins découragent les fabricants de s’assurer que les vaccins qu’ils vendent sont aussi sûrs et efficaces que possible.
- La suppression des exemptions de vaccins, combinée avec des exonérations de responsabilité pour les effets secondaires des vaccins et des normes récemment assouplies pour l’homologation des vaccins, crée un mélange hautement toxique.
- Il n’y a pas de crise (pas d’épidémie de décès ou d’invalidité) due aux maladies infectieuses causées par le manque de vaccinations, ni au Massachusetts ni aux États-Unis.
- Selon le CDC, les taux de vaccination dans le Commonwealth sont constamment meilleurs que la moyenne américaine. Plus de 96% des enfants du Massachusetts ont été vaccinés avec chacun des vaccins ROR, DTaP et Polio avant la maternelle. [25] Seule la coqueluche circule régulièrement, en raison de l’échec du vaccin.
- Alors que la rougeole a fait la une des journaux aux États-Unis toute l’année, la dernière fois qu’un enfant est décédé de la rougeole aux États-Unis en 2003. L’enfant décédé avait subi une greffe de moelle osseuse 3 mois plus tôt. Il n’a été exposé à personne atteint de rougeole et a peut-être développé la rougeole à partir d’un vaccin vivant.
- Les États-Unis comptent en moyenne plusieurs centaines de cas de rougeole par an, principalement en raison de voyageurs qui entrent aux États-Unis pendant l’incubation de la maladie. Il n’a jamais été totalement éradiqué.
- Le Massachusetts a eu 1 cas de rougeole en 2019.
- Il peut y avoir un million de cas de coqueluche aux États-Unis chaque année, car le vaccin fonctionne mal et se dissipe rapidement. Seule une fraction des cas est diagnostiquée et comptée. Des études montrent que la plupart des cas de coqueluche surviennent chez des [26]
- Par conséquent, vous ne pouvez pas obtenir l’immunité collective contre la coqueluche avec les vaccins actuels. Les bactéries de la coqueluche circulent régulièrement, comme elles le feraient même avec un taux de vaccination de 100%.
- Il y a environ 10 décès par coqueluche aux États-Unis chaque année, principalement chez les nourrissons trop jeunes pour être vaccinés. Vacciner 100% plutôt que les 96,4% actuels des enfants du Massachusetts pour la coqueluche n’empêcherait pas les décès par coqueluche.
- Il y a environ 2.500 cas d’oreillons aux États-Unis chaque année, mais selon le CDC, aucun décès récent n’est survenu. [27] Deux doses de vaccin ne sont efficaces qu’à environ 86%. [28] La plupart des cas d’oreillons surviennent chez des étudiants vaccinés.
- Il y a environ 10 cas de rubéole par an aux États-Unis, mais depuis 2012, tous les cas ont été infectés à l’extérieur du pays. [29]
- Il n’y a eu aucun cas de polio sauvage originaire des États-Unis depuis 1979. Cependant, des cas de polio dus à des virus vivants du vaccin contre la poliomyélite (ou leurs mutations) se produisent occasionnellement. Cela a conduit les États-Unis à passer aux vaccins antipoliomyélitiques tués et injectés (type Salk, pas Sabin) après 1999.
- Entre 2004 et 2017, seulement 2 cas de diphtérie ont été signalés dans l’ensemble des États-Unis.
- La varicelle-zona cause la varicelle et le zona. Une fois infecté (ou vacciné avec un vaccin vivant), le virus réside en permanence dans votre corps. Ainsi, il ne peut pas être éliminé de la population en utilisant des vaccins vivants actuels. Le vaccin est efficace à environ 85%. De nombreux pays, dont le Royaume-Uni, ne le recommandent pas.
- La plupart des cas de varicelle surviennent chez les vaccinés
- Cependant, il existe des traitements très efficaces contre la varicelle. Alors que les infections à varicelle sont courantes chez les enfants immunodéprimés, généralement en raison de virus déjà présents dans leur corps, il n’y a qu’un décès par an environ par varicelle aux États-Unis.
- Le tétanos ne se transmet pas d’une personne à l’autre. Elle est causée par les spores bactériennes de Clostridium tetani dans l’environnement extérieur. Il y a environ 30 cas par an aux États-Unis.
- L’hépatite B est une infection virale qui ne peut se propager que par le sang ou par contact sexuel. Les taux d’infection dans l’enfance sont extrêmement faibles aux États-Unis. Il y a un nouveau cas signalé pour 100.000 Américains / an. [30]
- Toutes les femmes enceintes sont dépistées pour l’hépatite B. Les rares qui sont positives sont traitées et leurs nouveau-nés traités prophylactiquement.
- Ni le tétanos ni l’hépatite B ne peuvent se propager par contact occasionnel, pas plus que d’un enfant à l’autre pendant les activités scolaires ordinaires.
Pour résumer, voici tous les vaccins actuellement requis pour les écoliers du Massachusetts et les risques liés aux maladies qu’ils peuvent prévenir. Il devrait être évident qu’une augmentation de 96 à 97% des taux de vaccination de 2% ou 3% supplémentaires aura un effet négligeable sur ces maladies :
- Diphtérie – extrêmement rare
- Tétanos – non transmissible
- Coqueluche – circule régulièrement malgré les vaccinations
- Rougeole – rare, mort extraordinairement rare [31]
- Oreillons – plusieurs milliers de cas / an aux États-Unis, aucun décès récent
- Rubéole – aucun cas d’origine américaine ces dernières années
- Varicelle – peut circuler malgré la vaccination, tue 1 enfant très compromis / an aux États-Unis
- Hépatite B – non transmissible à l’école
- Polio – aucun cas originaire des États-Unis depuis des décennies
En revanche, les blessures par vaccin ne sont pas anodines. La plupart des blessures graves dues au vaccin impliquent des maladies auto-immunes et / ou des lésions neurologiques qui affectent la personnalité et l’intelligence. Bien que je ne puisse pas vous dire à quelle fréquence ces blessures surviennent, parce que la littérature médicale est incohérente, elles ne sont pas rares. Vous connaissez probablement une famille avec un membre blessé par le vaccin.
Si l’Assemblée législative supprimait la plupart des exemptions de vaccins, cela n’empêcherait probablement pas un seul décès par infection et ne préviendrait qu’un minimum de maladies. Cependant, des blessures importantes au vaccin se produiraient presque certainement chez les enfants actuellement exemptés.
La proportionnalité, la Cour suprême et les mandats de vaccination
L’affaire fondamentale de la Cour suprême concernant le pouvoir d’un État ou d’une municipalité d’instituer un programme de vaccination obligatoire est Jacobson v Massachusetts. Bien que cette décision de la Cour suprême de 1905 ait confirmé le droit de Cambridge, MA d’imposer la vaccination contre la variole aux adultes de plus de 21 ans lors d’une épidémie de variole, selon le Congressional Research Service, la Cour « a reconnu les limites du pouvoir de l’État de protéger la santé publique, et établir un test de caractère raisonnable pour les mesures de santé publique:
Il pourrait être qu’un pouvoir reconnu d’une communauté locale de se protéger contre une épidémie menaçant la sécurité de tous, pourrait être exercé dans des circonstances particulières et en référence à des personnes particulières d’une manière aussi arbitraire et déraisonnable, ou pourrait aller ainsi bien au-delà de ce qui était raisonnablement requis pour la sécurité du public, comme d’autoriser ou d’obliger les tribunaux à s’ingérer pour la protection de ces personnes. » [32]
De plus, l’amende que Jacobson a payée était de 5,00 $, soit environ 150 $ aujourd’hui. Il n’a pas été forcé de se faire vacciner, même lorsque la variole avait un taux de mortalité de 30%. Il a payé une amende raisonnable.
Dans les projets de loi dont nous discutons aujourd’hui, la sanction pour refus de vaccination est d’une dureté insurmontable. La valeur d’une éducation pour une famille est incalculable, mais pourrait être évaluée à des centaines de milliers de dollars. [33]
En droit américain, la doctrine de la proportionnalité signifie que la peine doit correspondre au crime. [34] Dans l’affaire Jacobson, la punition pour non-vaccination était d’environ 150 $, et non pas le coût de 150.000 $ ou plus d’une éducation. Quant aux projets de loi en discussion aujourd’hui, ne vont-ils pas, comme l’a noté la Cour suprême, bien au-delà de ce qui était raisonnablement requis pour la sécurité du public… » – suggérant que les tribunaux devraient s’ingérer pour protéger les personnes non vaccinées ? Si des versions de ces projets de loi sont adoptées, le Commonwealth ne sera-t-il pas empêtré dans des litiges à leur sujet pour les années à venir ?
Parallèlement à l’effort visant à mettre fin aux exemptions de vaccins non médicaux, un effort fédéral / étatique majeur vise à restreindre les exemptions médicales.
- Le CDC a récemment révisé son avis sur les exemptions de vaccins, réduisant considérablement la liste des conditions pour lesquelles les vaccinations pourraient être dangereuses. [35] [36]
- Le CDC a également publié des « Déclarations d’information sur les vaccins » révisées en août et octobre 2019, [37] qui doit être donné aux parents avant la vaccination de leur enfant, conformément à la loi fédérale.
- Les nouveaux bulletins d’information sur les vaccins ont supprimé l’énoncé : « Certaines personnes ne devraient pas recevoir ce vaccin » ; supprimé de nombreuses raisons de ne pas vacciner ; et supprimé les informations sur les effets indésirables du vaccin.
- Je vous donne les anciens et les nouveaux bulletins d’information sur les vaccins contre la polio afin que vous puissiez les voir par vous-même
- L’intention est à la fois de restreindre et de fédéraliser l’octroi d’exemptions médicales pour les vaccins.
- Les lois proposées obligeraient les employés des services de santé de l’État à accorder des exemptions médicales aux patients qu’ils n’ont jamais vus, en utilisant des directives CDC apparaissant soudainement sans preuves à l’appui – usurpant le rôle des médecins dans la détermination de l’admissibilité à une vaccination en toute sécurité.
L’attente fondamentale de l’éthique médicale est que les patients doivent donner leur consentement éclairé pour toutes les procédures médicales, y compris les vaccins.
Le consentement éclairé signifie que les patients doivent être informés de la procédure, avoir le droit de refuser et ne peuvent être contraints de l’accepter. Ne pas retenir une éducation n’est-il pas une forme extrême de coercition ?
Sans aucune discussion de ses dimensions morales ou éthiques par les médias, les sociétés médicales ou les représentants du gouvernement, l’exigence d’un consentement éclairé pour les procédures médicales, y compris les vaccinations, disparaît en un clin d’œil lorsque les patients n’ont pas le droit de refuser.
Faut-il politiser la question des exemptions de vaccins infantiles ?
- Les deux partis politiques bénéficient des largesses de Pharma. Dans d’autres États, la direction du parti a appelé des députés et des sénateurs afin de faire adopter une législation pour annuler et resserrer les exemptions de vaccins, malgré l’opposition des électeurs. Cela se produira-t-il au Massachusetts ?
- Veuillez peser soigneusement les risques pour la société par rapport aux risques pour les enfants vulnérables dont les parents ont décidé de ne pas les vacciner complètement.
- Veuillez considérer les dommages qu’une telle loi causerait à notre droit à l’autonomie corporelle et au consentement éclairé.
- L’élimination du droit de refuser les vaccinations nous place sur une pente très glissante.
- Veuillez ne pas vous permettre de faire le sale boulot de Pharma, sans scrupule, conçu comme un effort pour protéger les citoyens vulnérables.
- S’ils sont adoptés, ces projets de loi nuiront à des citoyens beaucoup plus vulnérables qu’ils ne l’aident.
Merci beaucoup pour votre considération. Je serais heureux de répondre à vos questions ou de fournir une documentation supplémentaire pour l’un de ces points.
Lisez l’article complet sur AHRP.org.
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Les références
[1] https://www.sciencemag.org/news/2009/12/mercks-new-vaccine-honcho-former-cdc-chief-gerberding
[2] https://www.sciencemag.org/news/2018/07/hidden-conflicts-pharma-payments-fda-advisers-after-drug-approvals-spark-ethical
[3] https://www.nytimes.com/2009/12/18/health/policy/18cdc.html
[4] http://politicalcorrection.org/factcheck/200906110008
[5] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4500705/
[6] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC2964336/
[7] https://khn.org/news/drugmakers-funnel-millions-to-lawmakers-a-few-dozen-get-100000-plus/
[8] https://www.nap.edu/read/12598/chapter/1
[9] https://s3.amazonaws.com/msd19-assets/wp-content/uploads/2019/09/13122047/US.pdf
[10] https://www.msdresponsibility.com/reporting/transparency-disclosures/
[11] https://www.mrknewsroom.com/news-release/corporate-news/merck-announces-appointment-dr-julie-gerberding-executive-vice-president
« Gerberding a rejoint Merck en tant que président de Merck Vaccines en janvier 2010. Depuis lors, les vaccins de Merck atteignent plus de personnes que jamais et Merck est devenu le leader mondial sur le marché des vaccins en termes de ventes. En outre, la joint-venture Sanofi Pasteur MSD en Europe, l’activité européenne de Merck dans le domaine des vaccins, dont Gerberding est le coprésident du conseil d’administration, a amélioré à la fois la portée de sa population et ses performances financières. Elle a également aidé à diriger le lancement réussi en Inde de la coentreprise à but non lucratif Merck Wellcome Trust pour le développement de vaccins »
[12] https://thehill.com/blogs/congress-blog/politics/452654-for-big-pharma-the-revolving-door-keeps-spinning
[13] https://jamanetwork.com/journals/jama/fullarticle/2720029
[14] https://bangordailynews.com/2019/03/28/opinion/contributors/why-americans-dont-trust-vaccine-makers/
[15] https://ccl.yale.edu/sites/default/files/files/Avorn%20Kesselheim%20-%20NEJM%20-%2021st%20Century%20Cures%20Act.pdf
The 21st Century Cures Act – Will It Nous ramener dans le temps ? Jerry Avorn et Aaron Kesselheim. NEJM 03/03/2015.
[16] http://www.cidrap.umn.edu/news-perspective/2017/09/study-signals-association-between-flu-vaccine-miscarriage
[17] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6501798/
[18] https://anthraxvaccine.blogspot.com/2009/04/2008-naval-environmental-health-center_6897.html
[19] https://www.who.int/vaccine_safety/publications/safety_pregnancy_nov2014.pdf
[20] https://investors.merck.com/news/press-release-details/2019/Merck-Announces-Second-Quarter-2019-Financial-Results/default.aspx
[21] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC523142/
Owen Dyer. BMJ. 16 octobre 2004 ; 329 (7471) : 876. La perte de licence de l’usine réduit de moitié l’offre de vaccin contre la grippe aux États-Unis.
[22] https://www.congress.gov/congressional-report/106th-congress/house-report/556/1
[23] https://www.cdc.gov/vaccinesafety/concerns/concerns-history.html
[24] https://science.sciencemag.org/content/349/6243/17.summary
[25] Vaccination et taux d’exemption effectifs de la maternelle 2017-2018. CDC – accompagne le document
[26] https://www.cdc.gov/mmwr/volumes/67/rr/pdfs/rr6702a1-H.pdf
[27] https://www.cdc.gov/mumps/hcp.html
[28] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/24252695
[29] https://www.cdc.gov/rubella/about/in-the-us.html
[30] « Sélection de taux de maladies à déclaration obligatoire au niveau national et nombre de nouveaux cas : États-Unis, 2016 » – texte des sociétés
[31] https://www.massafp.org/latest-news/measles-in-massachusetts-2019-summary-to-date-and-new-measles-resources/trainings
[32] https://fas.org/sgp/crs/misc/RS21414.pdf
Vaccinations obligatoires : lois antérieures et actuelles. Service de recherche du Congrès. Jared P. Cole Avocat législatif Kathleen S. Swendiman Avocat législatif. 21 mai 2014
[33] http://profiles.doe.mass.edu/statereport/ppx.aspx
[34] https://en.wikipedia.org/wiki/Proportionality_(law)
[35] https://www.cdc.gov/vaccines/hcp/acip-recs/general-recs/contraindications.pdf#page=5
[36] https://www.cdc.gov/vaccines/hcp/acip-recs/general-recs/contraindications.html
[37] https://www.cdc.gov/vaccines/hcp/vis/what-is-new.html#vis-10-30-19
Vaccins : comment la vérité est étouffée : professeur Gherardi
Cher(e) ami(e) de la Santé,
C’est un livre qui se lit comme un roman policier… et qui révèle au grand jour la stupéfiante corruption politico-médicale destinée à vous cacher les « effets indésirables » de certains vaccins.
Son auteur, le Pr Romain Gherardi, n’est pas n’importe qui.
Professeur de médecine à 38 ans, il est à la tête d’un prestigieux centre hospitalier français sur les maladies neuro-musculaires. Il a publié plus de 300 articles de recherche dans des revues médicales de premier plan (Lancet, New England Journal of Medicine, Brain, etc.).
Médecin rempli d’humanité et chercheur exigeant, il n’a rien d’un provocateur. Il ne manque jamais une occasion de rappeler que les vaccins ont sauvé des millions de vies.
Mais il refuse qu’on empêche le grand public de connaître certains effets indésirables évitables des vaccins contenant de l’aluminium.
Il n’accepte pas qu’on cherche à étouffer des recherches scientifiques d’utilité publique, qui pourraient éviter des milliers de maladies graves… et peut-être même soulager des millions de patients victimes du terrible « syndrome de fatigue chronique ».
Tout ce qu’il souhaite, c’est la vérité, y compris si elle dérange. Et il l’a payé au prix fort.
En quelques années, il est passé du statut de « star enviée de la médecine », consulté officiellement par l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), à celui d’un homme que l’on évite, dont on refuse de financer les recherches.
Son seul crime : avoir mis au jour une vérité très embarrassante pour l’industrie du vaccin.
Une découverte mondialement acclamée, jusqu’à ce que…
Lorsqu’en 1997, il découvre une nouvelle maladie, qu’il baptisera « myofasciite à macrophage », le Professeur Gherardi est acclamé dans le monde entier.
La « signature » de cette maladie est troublante : de « grandes nappes de cellules bleues », dites « macrophages », apparaissent dans le muscle deltoïde du bras… à un endroit où l’on n’avait encore jamais observé ce type de lésion !
La souffrance des patients, elle aussi, déroute les médecins : douleurs invalidantes des muscles et des articulations, épuisement permanent, troubles cognitifs inquiétants… Voilà des symptômes bien étranges !
En France et dans le monde, c’est le branle-bas de combat. L’Institut de Veille sanitaire (InVS) prend l’affaire très au sérieux et lance une étude de terrain approfondie.
En 1998, la plus prestigieuse revue médicale au monde, The Lancet, publie l’article du Professeur Gherardi et de ses collègues détaillant leur découverte. [1] Immédiatement, il est invité à s’exprimer dans les plus grands médias, dont la BBC en Angleterre.
Tout allait bien… jusqu’à ce qu’il découvre la cause de l’apparition de ces mystérieux macrophages bleus.
En octobre 1998, premier coup de tonnerre : le Pr Gherardi apprend que ces cellules bleues contiennent… de l’aluminium !
Et il n’a pas besoin de chercher bien loin pour comprendre comment ce métal s’est retrouvé là.
L’aluminium, ce métal toxique utilisé dans les vaccins
Car les organismes vivants ne contiennent normalement pas le moindre atome d’aluminium. Du fer, oui, en quantité. Mais de l’aluminium, jamais, c’est un métal trop toxique pour nos cellules.
Malheureusement, depuis que l’industrie a commencé à extraire ce métal de la croûte terrestre, on en trouve un peu partout autour de nous. Jusque dans nos déodorants, dentifrices, crèmes solaires et additifs alimentaires !
Et on en trouve aussi dans… la plupart des vaccins.
Des vaccins que l’on injecte dans le muscle deltoïde du bras, celui-là même où l’on a observé les grandes nappes bleues. Pas de doute possible : l’aluminium de la myofasciite à macrophage provient des vaccins !
Rapidement, le Professeur Gherardi confirme que 100% de ses malades avaient bien subi une injection de vaccins contenant de l’aluminium dans les deux ou trois ans précédant l’apparition de leur maladie.
Le Pr Gherardi a même injecté le vaccin contre l’hépatite B dans le muscle d’un rat… et il a observé quelques semaines plus tard, au microscope, toutes les caractéristiques de la maladie !
Restait encore une énigme : pourquoi cette maladie est-elle apparue au milieu des années 1990, alors que les adjuvants d’aluminium dans les vaccins étaient utilisés depuis plus longtemps ?
La réponse est d’une simplicité lumineuse : parce qu’il a été décidé mondialement, au début des années 1990, de vacciner dans le muscle et non plus sous la peau !
Et comme la France a décidé de lancer une campagne massive de vaccination de l’hépatite B entre 1994 et 1997, il n’est pas étonnant que ce soit le pays où des centaines de cas ont subitement émergé !
Tout ceci, le Pr Gherardi en fait la démonstration implacable devant l’Organisation mondiale de la Santé en 1999. Les plus grands experts sont venus du monde entier pour l’écouter. Dans la foulée, il publie un article de synthèse lumineux dans une grande revue médicale. [2]
Bien sûr, il reste quelques éléments à éclaircir, mais les preuves sont alors largement suffisantes pour agir sans tarder.
L’urgence est d’autant plus grande que l’on vaccine tous les jours des milliers de patients avec des vaccins contenant de l’aluminium ! Certes, la myofasciite à macrophage est très rare, fort heureusement, mais elle ruine l’existence des malheureux qui sont frappés.
Le bon sens voudrait donc qu’on lance au plus vite de vastes études scientifiques complémentaires… et que l’on force les laboratoires à remplacer l’aluminium des vaccins par des adjuvants moins toxiques (et il en existe !).
Mais à la grande surprise du Pr Gherardi, ce n’est pas ce qui se produisit. Bien au contraire.
On l’empêche de chercher la vérité !!!
À partir du moment où il a eu le malheur de mettre en cause les adjuvants dans les vaccins, tout a été mis en œuvre pour l’empêcher de dévoiler la vérité.
Il est impossible de retracer ici les innombrables coups bas et embûches subis par le Pr Gherardi depuis 1999 – et je vous conseille vraiment de lire son livre passionnant, Toxic Story : deux ou trois vérités embarrassantes sur les adjuvants des vaccins.
Il y raconte par exemple ce qu’a osé lui dire, les yeux dans les yeux un grand Professeur de médecine, le Pr M-F Kahn :
« Cher ami, je crois que vous avez raison… Mais je dirai toujours que vous avez tort ! »
Pourquoi ? Non pas parce que ce médecin était « vendu » aux laboratoires. Mais, raconte le Professeur Gherardi, parce que la myofasciite à macrophage a le malheur d’être ce que l’on appelle une maladie « iatrogène ». C’est à dire provoquée par un acte médical… et donc par des médecins !
Il n’est jamais évident de remettre en cause sa propre profession et c’est même contraire à la déontologie des médecins. [3] Et c’est encore pire lorsque l’on touche à la vaccination, LE grand tabou de la médecine moderne ! [4]
Rapidement, le Pr Gherardi est « lâché » par la plupart de ses collègues :
« Alors qu’en 1998 tout le monde se battait pour figurer sur la photo de famille de la myofasciite à macrophages, dès que le fatidique mot « vaccin » a été prononcé, chacun s’est retiré sur la pointe des pieds, fuyant un débat où il n’y avait que des coups à prendre. »
Et des coups, le Pr Gherardi ne manquera pas d’en recevoir.
Le mystérieux syndrome de la guerre du Golfe
Ce qui se passe en 2001 est digne des grands films d’espionnage. L’événement se produit au moment où le Pr Gherardi s’apprêtait à vérifier si le « syndrome de la guerre du Golfe » était, oui ou non, causé par les vaccins.
Petit rappel : de nombreux soldats britanniques et américains envoyés en Irak en 1991 ont souffert de symptômes inexpliqués : douleurs musculaires et articulaires, fatigue persistante, troubles de la mémoire, etc.
C’est un vrai mystère médical. Toutes les hypothèses ont été envisagées… sauf la plus probable [5], à savoir le programme de vaccination intensif subi par les soldats juste avant les opérations, notamment contre l’hépatite A et B.
En 2001, une association de vétérans britanniques veut en avoir le cœur net. Elle contacte donc le Pr Gherardi pour lui demander d’examiner 12 soldats souffrant de ce fameux « syndrome de la guerre du Golfe », et de vérifier si le muscle de leur avant-bras ne contiendrait pas les fameux macrophages bleus.
Le Pr Gherardi accepte immédiatement, trop heureux de vérifier cette hypothèse. Tout est planifié, et son service est sur le pied de guerre pour accueillir dignement ces vétérans malades.
Mais croyez-le ou non, la veille de la venue de ces vétérans, un mystérieux correspondant appelle le Pr Gherardi pour l’informer que la venue des soldats britanniques est « annulée ».
Comme cela, du jour au lendemain, sans la moindre explication !
Mais le pire reste à venir.
L’Agence française de sécurité sanitaire essaie de l’éliminer (socialement)
En 2004, l’Agence française du médicament (alors nommée Afssaps) recommande officiellement de stopper toute recherche sur le lien entre aluminium et la myofasciite à macrophages.
Cette autorité « sanitaire » décide donc d’enterrer le dossier, malgré les preuves accablantes déjà réunies !
Résultat : du jour au lendemain, le Pr Gherardi perd tout espoir de voir ses recherches financées par l’État. Ce qui le condamne, lui et son équipe, à la marginalité !
Inutile de préciser que les « experts » ayant pris cette décision dramatique avaient tous des liens puissants avec l’industrie pharmaceutique. Mais le scandale du Médiator n’avait pas encore éclaté, et les conflits d’intérêt n’étaient pas aussi suspects qu’aujourd’hui.
Écoutons le Pr Gherardi :
« L’Afssaps, je finirai par le comprendre au fil des années, est une machine ayant pour objectif premier d’empêcher que n’éclate un scandale sanitaire. Elle s’évertue pour ce faire à ralentir les procédures permettant d’appréhender la dimension exacte du problème. (…) Ce n’est ni un juge impartial, ni un collectif scientifique (…). Financée à 80% par l’industrie, c’est prioritairement un outil à son service. »
En ce triste mois de mai 2004, les industriels ont donc eu la peau du Pr Gherardi. Enfin, c’est ce qu’ils croyaient.
Car c’était sans compter sur son intelligence et sa détermination exceptionnelles.
Seul contre tous, il apporte la preuve définitive
La dernière pièce du puzzle, celle qui lui fait encore défaut, c’est la démonstration physiologique du lien de cause à effet entre la vaccination et la maladie.
Statistiquement, il ne fait aucun doute que les terribles symptômes dont souffrent ces malades sont bien liés aux vaccins à l’aluminium.
Mais biologiquement, comment cela se passe-t-il ? Comment une dose infime d’aluminium injectée dans un muscle pourrait-elle causer de tels dégâts ?
C’est la toute dernière clé du mystère… et il faudra de longues années au Pr Gherardi, privé de financements nationaux et internationaux, pour la révéler au grand jour.
Mais il y parvint enfin, en 2013, dans article publié dans BMC Medicine. [6]
Jusqu’à cette date, tout le monde croyait (ou voulait croire) que l’aluminium des vaccins se dissolvait dans le sang. Si c’était le cas, il ne pouvait pas causer la moindre maladie : l’aluminium serait alors rapidement filtré par les reins et expulsé dans les urines.
Mais des expériences réalisées sur des souris prouvent que cela ne se passe pas comme cela. En réalité, 50% des particules d’aluminium des vaccins migrent vers les ganglions, la rate… puis s’accumulent dans le cerveau !
Encore plus étonnant : on retrouve d’autant plus d’aluminium dans le cerveau des souris que les doses d’aluminium injectées sont faiblement concentrées ! Pourquoi ? Tout simplement parce que des doses trop fortes ne peuvent pas être « gobées » par les macrophages – et ne sont donc pas emmenées dans le cerveau !
Ce qui réfute de manière éclatante l’argument des labos, qui répètent sur tous les tons que la dose d’aluminium injectée est trop faible pour pouvoir être dangereuse !
Une maladie qui ne frappe pas au hasard
Et comme si cela ne suffisait pas, le Pr Gherardi et son équipe ont même réussi à montrer pourquoi la maladie ne touche qu’une petite fraction de ceux qui sont vaccinés.
Comme toujours avec les métaux lourds, c’est une question de loterie génétique.
Par exemple, certaines personnes ne parviennent pas à éliminer correctement le fer qu’ils avalent dans leur alimentation – c’est l’hémochromatose, une maladie génétique qui touche 1 personne sur 200.
D’autres ne se détoxifient pas bien du mercure [7] : dans leur cas, manger trop de poisson ou avoir plusieurs amalgames au mercure (« plombages ») dans la bouche peut créer de graves troubles cognitifs.
S’agissant de l’aluminium, le Pr Gherardi a admirablement montré que ceux qui souffrent de la myofasciite à macrophage avaient des variations génétiques rares et spécifiques au sein des 34 gènes qui déterminent la détoxification de ce métal.
Voilà pourquoi vous ne risquez pas grand-chose à vous faire vacciner… sauf si vous avez le malheur de faire partie des personnes « vulnérables » !
C’est vrai pour la myofasciite à macrophage mais aussi pour d’autres graves problèmes de santé.
Quelques exemples des graves effets secondaires des vaccins
Voici quelques exemples des drames les plus criants causés par certains vaccins :
- Le vaccin contre les rotavirus (injectés aux nourrissons contre la gastroentérite) peut entraîner la mort des nourrissons. On le sait grâce au système de pharmacovigilance français, qui a recensé 2 décès et 201 effets indésirables graves chez les bébés vaccinés ; [8]
- Le vaccin contre la grippe H1N1 Pandermix a causé des milliers de cas de narcolepsie chez les enfants, une maladie grave et incurable. C’est une étude publiée dans le très respecté British Medical Journal en 2013 qui l’a révélé ; [9]
- Le vaccin contre l’hépatite B a été incriminé dans plusieurs études solides pour avoir déclenché de nombreux cas de sclérose en plaque ; [10] [11] [12]
- Le Gardasil, vaccin contre le papillomavirus, a provoqué en France plusieurs dizaines de cas de syndrome de Guillain-Barré, une maladie neurologique grave. C’est l’Agence du médicament elle- même qui l’a reconnu en 2015. [13]
Et bien sûr, tous les vaccins peuvent provoquer de graves réactions allergiques.
Faire toute la vérité sur les vaccins
Au total, il est clair que certains vaccins et certains de leurs adjuvants (aluminium, squalène) posent de graves problèmes de santé à une petite minorité d’entre nous.
Il est important de le reconnaître publiquement, plutôt que de faire de la vaccination un tabou (« la vaccination, ça ne se discute pas », a osé dire la Ministre de la Santé en 2015 !).
Il n’est pas question d’être « anti-vaccin » par principe… mais il n’est pas question non plus d’être « pro-vaccin » aveugle.
Il faut simplement reconnaître que, comme tout acte médical, il peut avoir de graves conséquences. Et il faut donc examiner au cas par cas si ses bienfaits l’emportent sur ses dangers.
Tout dépend de la maladie que l’on cherche à éviter, de la nature des vaccins, de leurs adjuvants… et de la vulnérabilité personnelle de chacun d’entre nous !
Ce doit donc être une décision médicale et individuelle, et non pas administrative et collective, comme les labos le réclament, pour sécuriser leurs profits !
La prudence vis-à-vis des vaccins est d’autant plus légitime que la recherche scientifique est manipulée par de puissants intérêts.
C’est même encore pire pour les vaccins que pour les autres médicaments !
Pourquoi ? Parce qu’on se refuse à faire pour les vaccins ce qu’on fait pour tous les médicaments : des études en double aveugle, contre placebo. C’est à dire prendre un groupe de patients, le séparer en deux groupes, vacciner un groupe mais pas l’autre (sans que personne ne sache qui a été vacciné et qui ne l’a pas été), puis observer les résultats, au bout de quelques années.
Résultat : la science des vaccins est tout sauf solide… et l’industrie pharmaceutique s’en donne à cœur joie pour lui faire dire ce qui l’arrange.
Avec la complicité, hélas, de certains médecins sincères, dont la priorité absolue est d’éviter que l’opinion publique ne perde confiance dans la vaccination.
Pour eux, la population est un « petit enfant, dont il faut redouter les réactions inconsidérées, quitte à taire les dangers qui le menacent pour ne pas risquer de l’effrayer ». [14]
Comme si vous et moi n’étions pas capables d’entendre la vérité et de faire des choix raisonnés pour notre avenir et celui de nos enfants !
Que faire ?
Je laisse le dernier mot au Pr Gherardi :
« J’en appelle donc aux personnalités politiques de tous bords. Pour que perdure et vive le vaccin (…), il ne faut pas seulement reconnaître l’intolérance aux adjuvants et financer les recherches sur cette pathologie.
Il faut aussi imposer aux industriels de remettre sur le marché les vaccins sans aluminium qui ont longtemps vacciné sans danger – tel le DTP ; de travailler sur de nouveaux adjuvants non toxiques – tels le phosphate de calcium. (…)
Il faut surtout, de toute urgence, mettre en place un système d’expertise et de régulation vraiment indépendant des grands industriels du médicament ».
Comptez-sur moi, chers lecteurs, pour me battre en ce sens, à mon petit niveau. Bonne santé,
Xavier BAZIN.