GARDASIL

Révélateur de la corruption
de la médecine moderne

Par Pierrre Chaillot

Le 27 octobre 2023, un collégien de 12 ans décède suite à la vaccination anti-papillomavirus avec le Gradasil 9. D’après l’autopsie, son décès serait dû à une chute en arrière, suite à un malaise lié à sa vaccination. Le Ministre de la santé affirme qu’il pourrait s’agir du stress provoqué par la vaccination et pas du tout du produit en lui-même. Quoi qu’il en soit, personne ne nie que c’est bien l’acte qui a entraîné le décès : sans la campagne de vaccination, cet enfant serait encore en vie. Toute campagne de vaccination entraîne son lot d’effets indésirables comme les malaises ou les chocs anaphylactiques. Lorsque 850 000 élèves de 5e sont visés, et même 2,6 millions de collégiens de 11-14 ans, on peut être certain qu’il y aura des problèmes, même pour des effets indésirables rares. La question se pose alors : le risque en vaut-il la peine ?

Cancers : ordres de grandeur

En 2019, Santé Publique France a publié une étude rétrospective des cancers, à partir des données de 1990 à 2018. En 2018, 204 583 nouveaux cancers ont été détectés chez des hommes et 89 621 hommes sont décédés de cancers. Pour les femmes, ce sont 177 433 nouveaux cancers et 67 817 décès. Le site papillomavirus.fr nous informe des connaissances de la science sur le lien entre ce virus et les cancers. Ce site est réalisé par le laboratoire Merck (MSD), créateur et vendeur du vaccin Gardasil censé protéger contre ce fameux virus. En prenant cette source, on est certain de prendre l’information qui va vendre au maximum leur vaccin et donc surestimer au maximum l’importance du papillomavirus. D’après Merck, chez les hommes, les papillomavirus seraient responsables de cancers du pénis, de l’anus, de la bouche et de la gorge. Selon Santé Publique France, les cancers du pénis et de l’anus représentent 0 mort par an. Pour ces deux types de cancers, le gain mesurable d’une vaccination sera donc de 0. Santé Publique France annonce 2 898 décès de cancers lèvres-bouches-pharynx. Merck prétend que le papillomavirus serait responsable de 4% à 34% de ces cancers. Un intervalle aussi large indique juste que personne n’en sait rien puisqu’il n’y a pas assez de données. Une autre source, toujours de Merck, prétend que les papillomavirus seraient à l’origine de 60% des cancers de la gorge. Ces derniers sont présentés en 3e cause derrière la consommation de tabac et la consommation d’alcool. Cela signifie que les deux autres sont à l’origine chacun de plus de 60% de ces cancers. Merck explique donc, au bas mot, 200% des cancers de la gorge… Mais il faut absolument accuser les papillomavirus de causer les cancers de la gorge, puisque sans eux, il n’y a pas la moindre justification à leur traitement préventif chez les hommes. Ainsi, Merck peut compter entre 100 et 1000 décès par an, soit entre 0,1% et 1% des décès par cancers, et entre 0.0003% et 0,003% des décès tout court.

Chez les femmes, les papillomavirus seraient responsables de cancers de la vulve et du vagin, de l’anus, du col de l’utérus, de la bouche et de la gorge. Pour les cancers de la vulve du vagin et de l’anus, Santé Publique France annonce 0 décès en 2018 : 0 intérêt pour le vaccin. Pour le cancer lèvres-bouches-pharynx, on trouve 917 décès, deux fois moins que chez les hommes, et 1 117 décès du col de l’utérus. Comme pour les hommes, le cancer lèvres-bouches-pharynx ne serait lié au papillomavirus qu’entre 4% et 34% des fois, mais pour le col de l’utérus, Merck annonce 100% ! En admettant ce 100%, cela fait entre 1 200 et 1 500 décès par an liés au papillomavirus. Cela représente 2% des décès par cancer chez les femmes et 0,005% des décès tout court.

De plus, l’âge médian du diagnostic du cancer du col de l’utérus est de 51 ans selon Santé Publique France. Elle nous informe que “ La mortalité est très faible chez les femmes de moins de 70 ans (moins de 5 décès pour 100 000 femmes) ; elle augmente ensuite régulièrement pour atteindre 15 décès pour 100 000 chez les femmes de 85 ans et plus”. Il s’agit d’âges et de taux tout à fait normaux pour un décès. La courbe des décès (en bleu) grimpe à partir de 70 ans, tout simplement parce que les femmes atteignent des âges où l’on décède. A 70 ans, en France, en 2000, la mortalité est de 1800 pour 100 000 ! La courbe reflète juste la grande réalité de la vie : quand on avance en âge, on finit par mourir avec ou sans cancer du col de l’utérus. Même si on supprimait le cancer du col de l’utérus, il y aurait toujours autant de décès, mais on mettrait une autre cause sur le certificat. Enfin, la petite bosse au centre du graphique autour de 50 ans, représente un tout petit nombre de décès, mais surtout, il s’agit de l’arrivée massive des babys-boomers. Cette énorme génération née à la fin de la 2e guerre mondiale jusqu’aux années 70. En 2000, les boomers avaient entre 35 et 54 ans.

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On trouve la trace des boomers sur toutes les statistiques de mortalité, même la mortalité générale. Une “bosse” de mortalité accompagne les boomers tout au long de leur vie. Parmi les explications possibles, la plus simple est que la population des boomers est sous-estimée. La population est estimée. Une sous-estimation entraîne une surestimation de la mortalité calculée.

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Pour les cancers de la gorge, l’âge médian de détection est de 64 ans d’après Santé Publique France. Les auteurs s’émeuvent que “le pronostic est nettement moins bon pour les personnes diagnostiquées à 80 ans que pour celles diagnostiquées à 50 ans”. Or, le taux de mortalité des personnes de 80 ans est tout simplement 12 fois plus élevé que celui des personnes de 50 ans.

Cette terreur du cancer créée dans la population depuis le début des années 2000 semble trouver une origine très simple : les boomers commencent à arriver aux âges où on a des problèmes de santé. Les médecins ont vu déferler cette nouvelle génération dans leurs services et on conclut à une vague épidémique de cancers alors qu’il s’agissait d’une vague de “nouveaux vieux”. Une génération qui arrive en masse à l’automne de sa vie et qui se réfugie dans les bras protecteurs de l’industrie pharmaceutique qui lui promet la vie éternelle en la débarrassant (pour un prix exorbitant) de chacune des causes de mortalité. Ces mêmes boomers ont atteint 75 ans en 2020, année du début du délire nécessitant d’enfermer la population, de la masquer et de la vacciner, enfants inclus. Nous vivons au rythme de la peur de la mort de la génération majoritaire aux urnes.

Pour les femmes, et encore plus pour les hommes, il est évident qu’une campagne “d’éradication du papillomavirus” n’aura pas la moindre de chance de donner un résultat visible sur la mortalité, même si Merck a raison sur le papillomavirus, et même si son vaccin est efficace à 100%. Pour qu’il soit envisageable de lancer une campagne d’éradication à grande échelle, il est nécessaire que la solution ait deux propriétés :

  • Il faut qu’elle soit quasiment gratuite, car son coût pour la société multiplié par le nombre d’individus doit être inférieur à ce que coûtent les soins des quelques milliers de personnes concernées
  • Il faut qu’elle soit absolument sûre. Vu l’extrêmement faible pourcentage de personnes concernées par des effets graves prétendument liés au papillomavirus, le moindre petit risque ne peut pas valoir le coup. On ne fait pas porter un risque de manière volontaire, avec une intervention médicamenteuse, pour prévenir quelque chose qui n’arrive que très rarement. C’est stupide.

Or, Merck vend son produit 123,44€ la dose. Le gouvernement dit vouloir vacciner une génération complète chaque année (800 000 gamins) avec 2 doses, soit 200 millions d’euros par an. Cela représente plus de 2 700 emplois à 6 000€ par mois. On peut en ouvrir des services d’hôpitaux avec une telle somme ! Il n’y a plus d’argent pour l’hôpital, on sait où il est.

Pour la sécurité, ce qui s’est passé à en Loire-Atlantique devrait alerter. Les malaises ou réactions allergiques peuvent entraîner des drames, même indirectement. Vu le faible nombre de malades et de morts que l’on prétend combattre, il est tout bêtement impossible de justifier un traitement plus invasif que la tisane à la camomille. Sur la base de ces très simples considérations, jamais une campagne vaccinale n’aurait dû avoir lieu. Maintenant qu’elle est quand même là, il convient de découvrir jusqu’où va le mensonge, de façon à comprendre le pouvoir de l’industrie pharmaceutique.

Papillomavirus : bouc émissaire ?

Les virus sont décidément les plus grands ennemis de l’humanité. La folie du Covid-19 nous a révélé la puissance et le fonctionnement d’une théorie virale débridée. L’histoire a démarré fin 2019 à Wuhan, ville chinoise de 6 millions d’habitants, où ont été recensés 44 malades d’une infection pulmonaire, en plein hiver donc à une période où cette pathologie est fréquente, et en plein pic de pollution aux particules fines. Pour les Ayatollahs du virus, aucune autre explication n’était envisageable qu’un nouveau virus qui allait décimer l’humanité. Un laboratoire a alors réalisé un séquençage sur un malade pour publier le 7 janvier 2020 la séquence de l’accusé : le SARS-COV-2. Cette séquence est en fait reconstruite à partir de tout le matériel génétique trouvé sur le malade. Elle n’existe pas d’une seule traite : aucun autre laboratoire n’a été capable de la retrouver. Le 2 février 2020, l’IHU de Marseille a déclaré avoir trouvé une séquence correspondant à 86 % au SARS-COV-2. Cette dernière a été déclarée comme étant le variant de Marseille. Pour mémoire, un humain a 98% de gènes en commun avec un chimpanzé et 85 % avec une souris. La chaîne trouvée à Marseille a donc autant de rapport avec le SARS-COV-2 qu’un humain en a avec une souris. Quand on cherche des virus, on ratisse large.

La séquence de Wuhan a permis de fabriquer et de vendre partout sur la planète les fameux tests RT-PCR. Des millions de tests ont été réalisés en France pour savoir si une personne était “infectée par le coronavirus”. En fait, il s’agissait de vérifier si l’échantillon prélevé possède un fragment spécifique de la prétendue séquence de SARS-COV-2. La réalisation à grande échelle de ces tests nous a permis de découvrir que pendant bien des mois, la majorité des personnes sur lesquelles on trouve ces fameux virus, qui avaient donc des tests positifs, étaient en parfaite santé.

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Au lieu d’avouer l’absence de rapport entre ce bout de virus et la maladie, on a déclaré ces “cas positifs” comme étant des “malades asymptomatiques” reprenant la formule du docteur Knock “tout bien portant est un malade qui s’ignore”. Inversement, les vrais malades, ceux avec des symptômes, ont présenté en majorité des tests négatifs. Ces résultats auraient dû faire définitivement tomber la croyance que ce qui est appelé “virus” est seul responsable de la maladie. Malheureusement, le business de l’industrie pharmaceutique est aujourd’hui axé sur la chasse aux virus. En effet, lutter contre la maladie ne rapporte pas suffisamment. Il y a trop peu de malades dans la population à chaque instant. Alors que, lutter contre les virus chez tous les individus, même ceux en parfaite santé, rapporte gros. L’industrie a intérêt à faire disparaître la notion de malade pour la remplacer par celle de “cas positif”. Le test permet de déclarer n’importe qui comme “malade” de façon à le mettre sous traitement. Enfin, puisque chaque virus a son vaccin, le fait de déclarer toute maladie comme étant causée par un virus permet de commercialiser le vaccin correspondant. Les rhumes ne sont pas les seuls à se faire assigner un virus comme seule cause possible : voici venir l’avènement des vaccins contre les cancers. On n’arrête pas le progrès, ni les rentrées d’argent pour Big Pharma.

Difficile de remonter jusqu’à l’origine de l’affirmation que les “papillomavirus sont la cause de cancers”. En remontant dans la littérature, on tombe souvent sur la grande étude de 2013 “maladies humaines associées avec une infection au papillomavirus”. Même le titre ne parle que d’une “association” : l’article ne montre qu’une corrélation et suppose la causalité vraie. On peut lire : “Au cours des dernières décennies, la cause associée du HPV avec le cancer du col de l’utérus, mais aussi avec une augmentation du nombre de carcinomes épidermoïdes sur des sites spécifiques, a été reconnue.” Aucune source n’est citée pour étayer cette affirmation. L’article montre que l’on trouve des signatures de papillomavirus sur tous les types de verrues, sur la peau des doigts, des pieds, des orteils, du visage, dans la bouche, sur l’anus ou au niveau de l’utérus. Il fait mention de plus de 200 variants du papillomavirus.  Certains types seraient plus spécifiques à certaines parties du corps qu’à d’autres. On retrouve toutefois le même biais de confirmation concernant l’étude des virus pour ces verrues que pour les virus des maladies respiratoires : les résultats présentés concernent en majorité des malades pour lesquels la découverte d’un papillomavirus sera considérée comme une cause. Pourtant on peut lire “Les infections des muqueuses associées aux types de HPV α sont plus fréquentes que les HPV cutanés (Winer et al., 2005) et la majorité sont asymptomatiques.”. Autrement dit, tout le monde a du HPV sur les muqueuses sans pour autant avoir une verrue ou un cancer, de la même manière que les tests Covid-19 ont trouvé des virus partout et en grand majorité chez des gens en parfaite santé. Dans un cas comme dans l’autre, le virus incriminé ne répond à aucune définition d’un pathogène selon les postulats de Koch. L’étude propage ensuite une erreur d’interprétation en affirmant que “Plus de 99 % des cancers du col de l’utérus contiennent de l’ADN du HPV, bien que la proportion associée à des types spécifiques de HPV à haut risque (HR-HPV) soit différente selon les pays et présente des variations démographiques, ethniques et socio-économiques.” Or on trouve dans la méta-analyse originale datant de 2010 (qui a dû compiler 243 études étalées sur 20 ans pour réussir à trouver assez de données) : “Dans l’ensemble, la prévalence de tout type de HPV, HPV16 et HPV18, était respectivement de 89,9 %, 56,6 % et 16,0 %.” Ainsi, dans la seule étude citée pour avoir une idée de la prévalence, on a 10% de cancers du col de l’utérus sans le moindre HPV détecté. Pour la prévalence du HPV16, et le fait qu’il est plus souvent trouvé que les autres, il faudrait être certain que ce n’était tout simplement pas celui qui a été le plus recherché.

Pour finir, l’histoire racontée par les vendeurs de vaccins, les politiques et les médias, est que les papillomavirus sont transmis lors d’un contact sexuel. Or, une étude menée en 1990 montre qu’on trouve du HPV chez la moitié des filles vierges.

En résumé, on trouve des papillomavirus partout sur la peau et les muqueuses, chez des personnes avec ou sans activité sexuelle. Citons Gérard Delépine, chirurgien orthopédiste, oncologue et statisticien : “On n’a jamais réussi à créer un cancer chez une lapine en infestant son col de l’utérus par des HPV, alors qu’on fait apparaître un cancer cutané en badigeonnant de goudron la peau d’un lapin. Les HPV se comportent donc possiblement comme de simples témoins d’une activité sexuelle importante et/ou d’une immunité déficiente et sont accusés d’être coupables de cancérisation parce qu’ils sont présents sur les lieux. Possibles témoins innocents du cancer.” Mais un virus c’est bien, parce qu’un virus, c’est potentiellement un vaccin. Et un vaccin, c’est une grosse somme d’argent.

Le vaccin qui protège des virus (mais qui rend malade)

Le tour de passe-passe de l’industrie pharmaceutique pour vendre ses produits est assez simple : on substitue la maladie à un autre critère. Pour le cas du Covid-19, les fabricants n’ont jamais promis que leurs vaccins protègent du fait d’être malade (d’ailleurs il n’existe aucun symptôme spécifique au gloubiboulga appelé Covid-19), mais contre le fait d’avoir un test positif. Il a été démontré par Christine Cotton ou Openvaet que l’essai clinique de Pfizer s’est arrangé pour trouver des tests positifs chez les non-vaccinés et pas chez les vaccinés. Le vaccin protégeait le patient d’être testé correctement. Ensuite, lorsque les vaccins ont été distribués dans la population, le pass sanitaire, puis vaccinal, a permis de faire croire à une efficacité du vaccin. Le vaccin protège très bien contre le fait de se tester, et pas d’être malade. Cette pseudo-efficacité a été stoppée le jour même de la fin du pass sanitaire.

Pour le Gardasil et les autres vaccins contre le HPV, il s’agit du même glissement de critère. Il est impossible de réaliser un suivi de cohorte dans le cadre d’une étude clinique, qui suivrait des jeunes filles vaccinées à l’âge de 15 ans, jusqu’à l’âge médian d’apparition du cancer 35 ans plus tard. Cette simple considération montre qu’aucun laboratoire ne pourra jamais prouver l’efficacité d’un vaccin précoce sur l’apparition de cancers. Une méta-analyse a été publiée en 2020 : “Avantages et inconvénients des vaccins contre le virus du papillomavirus humain (HPV) : revue systématique avec méta-analyses des données d’essais issues de rapports d’études cliniques” dont les conclusions sont parfaitement claires : “Après 4 ans de suivi, les vaccins contre le HPV ont diminué les précurseurs du cancer et les procédures de traitement liés au HPV, mais ont augmenté les troubles graves du système nerveux (analyse exploratoire) et les dommages généraux. Étant donné que les essais inclus étaient principalement conçus pour évaluer les avantages et n’étaient pas suffisamment conçus pour évaluer les inconvénients, il n’est pas clair dans quelle mesure les avantages des vaccins contre le HPV l’emportent sur leurs inconvénients. L’accès limité aux rapports d’études cliniques et aux données d’essais avec les formulaires de rapport de cas a empêché une évaluation approfondie.”.

Pire : “Après 4 ans de suivi, les vaccins contre le HPV n’ont pas diminué le nombre de cancers lié au HPV (7 dans les groupes vaccinés contre le HPV contre 3 dans les groupes de comparaison) ou le nombre de décès (2 contre 1) ;” Il y a donc davantage de vrais cancers et de décès dans les essais cliniques chez les vaccinées que chez les non-vaccinées. C’est parfaitement aberrant dans un essai qui, précisément, va suivre de près les cancers des femmes !

Ainsi, les critères retenus arrangent l’industrie : on ne regarde pas l’apparition de cancer, mais la simple apparition d’une verrue, d’un carcinome non forcément cancéreux, sur lequel on ne retient que le fait qu’il contienne du HPV. Il suffit de trouver moins de HPV dans le groupe vacciné pour déclarer un vaccin efficace. Dans les faits, en sommant les résultats des 24 études, on trouve “Après 4 ans de suivi, les vaccins contre le HPV ont réduit le carcinome in situ lié au HPV (367 dans le groupe vacciné contre le HPV contre 490)”. Trouver 367 au lieu de 490 n’est pas exceptionnel. Il suffit d’un petit nombre d’arrangements pour arriver à ce résultat. De plus, il y a 100 000 participants suivis pendant 4 ans. La principale conclusion devrait être (comme pour les vaccins anti-Covid) qu’il y a trop peu de cas pour envisager la moindre généralisation du produit. C’est toute la différence entre l’“efficacité relative” toujours mise en avant par l’industrie pharmaceutique et l’”efficacité absolue”. L’efficacité relative ne prend en considération que les “cas positifs”. Ainsi, en considérant qu’il y a autant de vaccinés que de non-vaccinés, l’efficacité relative est de 1-367/490 = 25%. Ce qui signifie “En 4 ans, les vaccinées ont 25% de chance en moins d’avoir une verrue avec un test positif au HPV”.  Mais pour cela il a fallu suivre 100 000 personnes. Donc de manière absolue, le risque pour les vaccinées est de 367/50 000 = 0,7%, le risque pour les non-vaccinées est de 490/50 000 =1%. L’efficacité absolue est de 1%-0,7% = 0,3 pts. Et encore, les articles scientifiques cités annoncent que 90% de ce type de verrues disparaissent spontanément. Donc le gain absolu pour le cancer est à diviser par 10 : 0,03 pts. Un cancer n’amène pas nécessairement au décès, et quand ce dernier a lieu, c’est majoritairement au-delà de 70 ans. Il est, tout simplement, mathématiquement impossible d’envisager d’observer le moindre gain dans la population après une vaccination de masse au Gardasil. C’est encore pire en regardant les résultats des essais cliniques du Gardasil 4 présentés au Comité consultatif sur les vaccins et les produits biologiques connexes (VRBPAC) en 2006. Ce document a été obtenu par FOIA et révèle que la promesse d’efficacité relative n’était que de 17%, même pas significative.

Notons que Merck promettait une superbe efficacité de son Gardasil 4, censé protéger les femmes contre 4 types de papillomavirus prétendument  majoritairement responsables des cancers du col de l’utérus. Chacun peut constater que le laboratoire s’est senti obligé de revenir quelques années plus tard avec le Gardasil 9, contenant 9 types. Un peu de bon sens nous permet de juger les promesses du passé pour évaluer celles du présent.

Du côté des effets indésirables, les auteurs constatent que les troubles du système nerveux et les troubles généraux sont significativement plus élevés dans le groupe vacciné. Les évènements indésirables graves et les morts sont également plus nombreux, mais pas assez pour être significatifs. Les vaccins ont prouvé être néfastes et laissent planer la menace d’un danger grave voire mortel. Ceci, alors que les auteurs se plaignent du mauvais suivi des effets indésirables : “Les préjudices graves ont été signalés de manière incomplète pour 72 % des participants”. Ajoutons que, pour éviter une comparaison trop défavorable “Presque tous les participants témoins ont reçu des comparateurs actifs (48 289/48 595, 99 %).”. Le Gardasil 4 a été testé contre un adjuvant aluminium et le Gardasil 9 a été testé contre le Gardasil 4. A chaque fois, le produit testé s’est révélé encore plus dangereux que le produit de contrôle. On comprend pourquoi ils n’ont pas essayé contre une solution saline…

Le résumé de cette méta-analyse est assez simple : les données des fabricants montrent clairement que leurs produits vont significativement rendre malade les vaccinés sans donner le moindre bénéfice significativement décelable, le tout pour un prix exorbitant. Les autorités de santé du monde entier leur ont toutes donné la même réponse : “J’achète !”.

Le vaccin en population réelle : promesse tenue

La propagande autour de l’efficacité miracle du Gardasil sur le cancer du col de l’utérus illustre parfaitement la passivité totale des médias. Il suffit d’un message du gouvernement L’Australie sur la voie de l’éradication du cancer du col de l’utérus” pour qu’il soit relayé dans toute la presse sans qu’aucun journaliste ne fasse l’effort de consulter les données publiques mises en ligne par les autorités de Santé australiennes. 

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Il est graphiquement évident que le taux d’incidence du cancer du col de l’utérus a atteint son minimum en 2002. La baisse constatée entre 1990 et 2002 est attribuée à la généralisation du dépistage. Depuis la vaccination, il n’y a pas la moindre baisse d’incidence, mais une relative stabilisation. Ce résultat est parfaitement conforme aux conclusions que nous avons tirées des essais cliniques.

Les résultats au Royaume-Uni sont identiques. Il n’y a pas la moindre trace visible d’une quelconque baisse liée à la campagne de vaccination de 2008. La baisse pour les femmes de plus de 50 ans se poursuit. Pour les 25-49 ans, la situation est stable. La hausse constatée entre 2000 et 2006 mériterait d’être approfondie. Il faudrait savoir si le nombre de dépistage a augmenté à cette période chez les jeunes femmes. Merck a commercialisé son produit en 2006. Cela signifie que les travaux ont démarré au début des années 2000. Pour vendre ce type de produit, il était vital que le nombre de tests positifs au cancer augmente de façon à faire croire à un problème de santé publique. On retrouve la même création de panique du côté des tests Covid.

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Bien que l’efficacité soit (comme prévu) indétectable, ces vaccins ne sont pas sans effets. Depuis le début de la vaccination au Gardasil 9 à l’automne 2023, l’ansm déclare avoir  “mis en place un dispositif de surveillance renforcée”. L’ansm fait ce genre d’annonce régulièrement, comme pour les vaccins Covid. Dans les faits, la pharmacovigilance est toujours passive. Aucune enquête proactive n’est jamais lancée pour prendre des nouvelles des vaccinés. Vu le coût global d’une campagne de vaccination, il suffirait de consacrer un très faible pourcentage du budget pour réaliser une enquête solide. La vérification de la sécurité des vaccins n’est pas une priorité des autorités. Elles attendent que les victimes ou leurs médecins reconnaissent les effets indésirables et fassent l’effort de les déclarer. Il s’ensuit une énorme sous-déclaration reconnue par les industriels du médicament : les effets indésirables déclarés ne représentent que 5 à 10% des effets réels. Une “surveillance renforcée” signifie que l’Ansm attend passivement que l’information lui revienne, mais un peu plus fort. Malgré ce manque d’enthousiasme à chercher l’information, 846 effets indésirables graves ont été notifiés et confirmés médicalement dont 4 décès depuis le début de la vaccination au Gardasil 4 en 2006. A ce titre, l’Association d’Entraide aux Malades de Myofasciite à Macrophages, qui se bat pour un retour des vaccins sans aluminium assure un important travail de suivi et d’alerte sur la pharmacovigilance des vaccins.

Évidemment, l’Ansm refuse de considérer que le vaccin est la cause du décès : “Aucun de ces décès ne semble lié, directement ou non, à la vaccination, soit en raison de l’existence d’une autre cause, soit en raison d’un délai de survenue trop long pour retenir un rôle du vaccin.”. D’une manière générale, on ne peut jamais prouver la causalité d’un médicament sur un effet indésirable. On peut juste noter qu’une personne se met à souffrir de quelque chose, de manière plus ou moins grave, et peut même décéder après la prise d’un médicament. Les industriels et les autorités de santé se contentent alors de faire l’autruche. Peu importe, la sous-notification reconnue par l’industrie pharmaceutique signifie que, si 4 décès sont remontés par pharmacovigilance, cela signifie qu’une estimation reconnue par l’industrie pharmaceutique est plutôt de 40 décès. Les 4 décès notifiés ne font pas forcément partie de ces 40 décès, mais ils sont les révélateurs du problème. Pour les effets indésirables graves, il y a eu environ 7,4 millions de doses de Gardasil 4 distribuées entre 2006 et 2020. D’après la pharmacovigilance, cela fait 11,4 effets indésirables graves remontés toutes les 100 000 doses. En comptant la sous-notification et en considérant que le gouvernement conseille 3 doses pour être vacciné, cela fait 3,4 effets indésirables graves pour 1000 enfants vaccinés. Un taux d’effet indésirable de 0,3% pour un gain absolu de 0,03 point. Le risque est tout simplement 10 fois trop grand.

En Australie, grâce à une requête Freedom Of Information Act (FOIA) demandée par Surya Arby, nous savons que, dès 2007, le Comité consultatif sur les effets indésirables des médicaments (ADRAC) s’inquiète : ”les taux signalés de réactions anaphylactiques aux vaccins contre le VPH semblaient être de l’ordre de 10 à 20 fois plus élevé avec le vaccin contre le VPH que les taux habituellement rapportés pour les vaccins”. De manière encore plus visible, le décès est reconnu comme un effet indésirable possible du vaccin par la FDA qui le mentionne directement dans la notice américaine. La FDA admet faire porter le risque d’un décès pour gagner une protection totalement anecdotique.

Que reste-t-il de la médecine ?

Le terme corruption est le plus souvent entendu comme “soudoiement”. Il signifie aussi “décomposition” ou “pourriture” lorsque l’on fait état de la corruption d’un cadavre par exemple. La corruption de la médecine peut s’entendre aussi bien dans un sens que dans l’autre. La folie Covid en est un formidable révélateur. Il est essentiel d’en comprendre les fondements pour décrypter l’absurdité d’une grande partie de la médecine moderne. La population vieillit. Les baby-boomers arrivent, tous en même temps, aux âges où l’on décède. Nous vivons la crise de panique existentielle de toute une génération. Une génération qui a peur de la mort et donc de la maladie, du terrorisme, de la guerre, des aléas climatiques et à qui le pouvoir fournit un coupable à tout cela : l’autre. Il faut donc masquer les jeunes, les vacciner, les empêcher de consommer, de se reproduire, les enregistrer, les surveiller et les envoyer faire la guerre. Sur le seul aspect santé, la médecine a été entièrement redéfinie. Soigner, c’est normalement la rencontre entre un malade et un médecin. Un médecin qui, avec sa sensibilité, sa connaissance, son expérience, va prendre une décision pour améliorer l’état de santé du malade. Chaque être humain et chaque état appelé “maladie” étant unique, la part d’empirisme est colossale. Il s’agit d’une science humaine, ou plutôt d’un art et pas d’une science dure. Il est bien évidemment parfaitement impossible d’industrialiser un tel système. La médecine moderne a réalisé le tour de force de répondre à la peur de la maladie de la population tout en prenant le contrôle du processus. La médecine moderne s’appuie sur les “tests” totalement déshumanisés. Chaque hypocondriaque (non pardon, patient) peut régulièrement subir un test. Il se dit qu’il a échappé au pire quand son test est négatif et devient officiellement “malade” avec un test positif, même quand il est en parfaite santé. Le test positif est relié à un protocole que le praticien suit en fermant les yeux. Il est totalement accessoire de laisser des médecins dans un tel système. Un algorithme et un robot seront bien plus efficaces et rentables pour appliquer ces tâches sans discussion. Le pendant de ces tests est évidemment la vaccination. Un acte dit “préventif” dont l’efficacité est uniquement basée sur des tests cherchant des marqueurs comme des virus. Peu importe que jamais personne n’ait prouvé la moindre causalité entre le virus et la maladie. Le schéma est ancré dans les esprits et toute velléité d’en sortir s’accompagne d’un bannissement de la société. L’escroquerie intellectuelle du Gardasil est rigoureusement la même que celle des vaccins anti-Covid. Ce n’est pas un hasard ou une coïncidence. Ce ne sont que deux révélateurs du fonctionnement total de la médecine de notre époque.

 

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