Cher amis,

Voici une moisson d’informations de valeur…A vous de choisir ce qui vous parle et ce qui peut toucher ceux e vos proches qui sont ouverts au changement ! Ceux qui ont des certitudes venant des autorités ou de BFM TV, acceptez leurs point de vue en souriant et contentez-vous de leur poser des questions tout en les laissant avoir raison ! Les confrontations ou débats pour ou contre sont inutiles. Par contre, en douceur, avec des questions pertinentes et aimables vous pouvez amener votre interlocuteur à s’intéresser à autre chose que ce qu’il croit être LA VERITE, LA SEULE L’UNIQUE ! Vous pouvez lui tendre une perche en disant  « Connais-tu tel ou tel article, telle ou telle information, tel ou tel livre, car je serais hereux d’avoir ton avis ! Vous gardez les portes ouvertes pour un échange, un dialogue, sans imposer un point de vue définitif et fermé. Et puis bien sûr, riez beaucoup !!

LE RIRE MAGIQUE

Tal SCHALLER

 

Le grand avantage du rire

C’est qu’après quelques minutes de rire

Tout devient amusant

Drôle, surprenant,

Magique, étincelant

Le rire a cette vertu

De changer en or

Tout ce qu’il touche

Un tas d’immondices ?

Si vous riez

Vous y  verrez

Un magnifique compost

Qui fertilisera votre jardin

Une personne sombre

Lugubre et qui se plaint ?

Votre rire vous la montrera

Comme jouant un rôle

Dans une comédie

Avec un grand talent

Et il se peut que votre rire

Soudain la fasse sourire

Avec le rire toutes les tragédies

Deviennent comédies

Le monde du cerveau gauche

Est austère, anguleux

Plein de problèmes terribles

Mais quelques minutes de rire

Vous ouvrent tout grand

Les portes du cerveau droit

Et alors le spirituel

Illumine tous les recoins de la vie

Donne du sens à tout ce qui est

Puisque tout est expérience

Pour faire grandir sans cesse

Notre conscience 

Et notre capacité d’aimer 

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Suède : chute du taux de natalité suite aux vaccinations Covid. Entretien avec le psychiatre Sven Román

https://www.francesoir.fr/videos-les-debriefings/suede-chute-du-taux-de-natalite-suite-aux-vaccins-covid-entretien-avec-le

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Sven Romàn s’est opposé à la remise du prix Nobels aux docteurs Kariko et Weissman.

 EXTRAITS

Le tour du monde des médecins et scientifiques de France-Soir continue.  Nous recevons le psychiatre pour enfants et adolescents suédois, Sven Román, connu dans son pays pour avoir lancé, en mars 2021, un appel de médecins qui demandaient un ‘’traitement ciblé sur les personnes à risques” et refusaient la mise en place d’un passeport vaccinal.

Aujourd’hui, le docteur Sven Román évoque la situation sur en Suède. Dans cet entretien, Sven Román évoque la surmortalité constatée en Suède, suite aux campagnes de vaccinations contre le Covid (plus de 400 décès alors que pour le vaccin de la grippe les chiffres sont de l’ordre de 3 décès) et des effets secondaires sans pareil (1300 effets secondaires serieux). Ainsi que le taux de natalité (qui) a baissé de 10 % lors des deux dernières années par rapport aux dix dernières années.” .

Sven Román avec d’autres soignants ont lancé le Doctors’s appeal et le Nobel Prize Protest afin d’unir des personnes autour des problématiques des patients et de la vaccination à ARNm.

Dernièrement, Román a également lancé le Nobel Prize Protest un mouvement contre la remise du prix Nobel, qui a récompensé, cette année, les docteurs Kariko et Weissman, pour leurs ‘’ découvertes concernant les modifications des bases nucléosidiques qui ont permis le développement de vaccins ARNm efficaces contre le Covid-19 ’’.  D’après l’étude du Dr Rancourt au Canada, l’excès de mortalité pendant les périodes de vaccination Covid serait de 17 millions dans le Monde.  Un chiffre qui contredit de manière importante les analyses de l’OMS sur le nombre de vies sauvées par la vaccination Covid. 

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Crowdbunker :La malédiction médiatique, en France comme partout..

 Julien ASSANGE montre que le medias corrompus sont à l’orgine des guerres… suit une liste de journalistes français avec le sous-titre « ce n’est pas un journalistgoe mais un agent de  propagande au service du pouvoir »

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Crowdbunker Quand le mensonge prend l’ascenseur, 

la vérité prend l’escalier ! 

Les CoronaX-Files

Quand le mensonge prend l’ascenseur, la vérité prend l’escalier ! Les CoronaX-Files Ce nouvel épisode des CoronaX-Files déconstruit la nouvelle propagande d’injections létales de Big Pharma pour la saison automne hiver 2023-2024. Digne d’un film d’horreur et de Science-Fiction qui se déroule dans un ascenseur avec 2 hommes en noir et 3 victimes potentielles, ce nouveau clip vidéo anxiogène diffusé sur tous les médias de masse pendant des semaines, ignore impunément les dégâts déjà causés par leurs injections faites sous la contrainte et via l’hypnose de la peur. Je passe en revue les incohérences, les réels dangers plus que palpables et observables pour notre société, nos libertés individuelles et notre intégrité physique / morale / psychique et spirituelle, et je décris le vrai film d’horreur qui se déroule dans notre vie quotidienne prise en otage à tous les niveaux de façon exponentielle depuis 3 ans. Voici quelques liens concernant les informations évoquées dans la vidéo : Morts après vaccination https://mortsapresvaccination.wordpress.com/

Note de TAL : Les vaccins sont une arme qui tue et la pharmacovigilance est complice de l’église de la vaccinologie. Les chiffres de surmortalité sont effacés et les effets secondaires des vaccins ne peuvent plus être cachés. Des documents d’avant 1900 montrent que la vaccination est toxique et inutile !

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PHILIPPOT : Vaccins : juges, médias et chercheurs jettent un énorme pavé dans la mare !

https://youtu.be/avp0Ej_3jyo?si=y89X4Iq76Rm_QLUn

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Alex Jones « La mauvaise nouvelle, c’est que Big Pharma, contrôlée par les mondialistes, prépare ouvertement une nouvelle épidémie de virus afin de s’emparer d’un pouvoir encore plus grand. La bonne nouvelle, c’est que l’humanité les a rattrapés ! N’oubliez jamais les crimes qu’ils ont commis contre nous tous et ne les laissez jamais s’en tirer ! »

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« Les politiciens et les fonctionnaires vivent de nos impôts, de nos taxes et de nos charges sociales. Impôts, taxes et charges sociales dont ils fixent, entre eux, le montant, tout comme ils décident, entre eux, du montant de leurs salaires, indemnités, défraiements, avantages en nature, et retraites. Mais, ne serait-elle pas belle la vie, lorsqu’on jouit de tels privilèges exorbitants (à nos frais) ? Et je ne pose pas cette question uniquement par ironie ; je la pose, car elle permet de comprendre pourquoi ces politiciens, ces hauts fonctionnaires s’opposeront toujours au moindre changement qui pourrait menacer leurs privilèges. 

Une autre définition permet également de comprendre la nature de l’État, elle est empruntée à Pierre-Joseph Proudhon : « L’État, c’est la grande fiction à travers laquelle tout le monde s’efforce de vivre aux dépens de tout le monde. ».

Cette définition date, nous pourrions l’actualiser ainsi : « L’État, c’est la manière dont des politiciens professionnels et de hauts fonctionnaires contrôlent de A à Z l’existence de leurs concitoyens tout s’enrichissant continuellement sur leurs dos ».

Patrick Ledrappier

Président co-fondateur

Libre Consentement Éclairé

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https://lh3.googleusercontent.com/cm/AOgkWRbbGiGO3OrGEGC6JXt3nNSj5U2wiE5SuD04z-R1vpv3Wiw2WAZO-aW4enOHuU1y=s40-p

Roland Reymondier 

 

Chers ami(e)s,

 

La France, pays des Lumières, est de plus en plus mal éclairée !

Une gouvernance sur le plan éthique, moral, philosophique est en place et permet de démontrer la difficulté que les gens de bonne volonté ont à faire passer le message d’une bonne santé par des voies naturelles.

A partir du moment où, pour nous conseiller sur le plan sanitaire on choisit des escrocs américains voilà ce que cela donne Crise des opiacés : McKinsey paie 573 millions de dollars pour solder des poursuites (lefigaro.fr)

Affaire McKinsey : sur quoi portent les trois enquêtes ouvertes par le Parquet national financier ? (francetvinfo.fr)

Le prestigieux cabinet McKinsey malmené dans la crise des opiacés | JDM (journaldemontreal.com)

 

Donc, en France la politique sanitaire s’établit désormais avec les pires instruments de propagande made in USA comme Mckinsey , mais regardez donc ce type de scandale dont pour ainsi dire PERSONNE ne parle Opiacés : 4 sociétés pharmaceutiques prêtes à payer – Sciences et Avenir 

Opiacés : 4 sociétés pharmaceutiques prêtes à payer 26 millards de dollars pour solder les litiges

 

Dans le domaine ” Médecines douces alternatives ” ce sont les ténèbres qui se sont abattues sur nos consciences.

La France est entrée avec le concours de ses amis américains dans le brouillard médiatique et l’obscurantisme moral mercantile touchant le domaine de la santé et les affaires sombres ne manquent pas avec comme exemple Pfizer :

Le groupe Pfizer a-t-il été condamné par le passé à des milliards de dollars d’amendes? – Libération (liberation.fr)

Vrai ou Fake : le laboratoire Pfizer est-il un habitué des tribunaux ? (francetvinfo.fr)

Des décennies de profits et de scandales pour une industrie pharmaceutique qui mise sur les vaccins (theconversation.com)

Moderna accuse Pfizer/BioNTech de violation de brevet sur le vaccin contre le Covid – Sciences et Avenir

 

Alors, vous savez quoi ?

Ces labos ignominieux se sont frottés les mains quand ils ont eu l’opportunité de fabriquer des vaccins que dans le monde entier ont été commandés par milliards de doses SIMPLEMENT en un premier temps pour payer leurs amendes et frais de justice.
En vous piquant sous le charme envoutant des propos d’un président qui voulait EMMERDER les non vaccinés vous avez contribué à renflouer les caisses de ces escrocs sans que PERSONNE ne sache, qu’en fait, les soits disants vaccins ARN étaient la planche de salut, le bol d’oxygène de ces très gros labos étranglés par la justice américaine.

 

NOUS POUVONS ETRE FIER D’AVOIR BLANCHI CES GROUPES PHARMACEUTIQUES ET DE LES AVOIR “IMMUNISÉS À L’ENCONTRE DES JUSTIFIABLES QUI LES AVAIENT TRAÎNÉ EN JUSTICE ET ON FAILLI LES METTRE SUR LA PAILLE.

 

Comme quoi, l’immunité, ça finit par fonctionner, il suffit pour ça des millions de bras à piquer et de l’immense mansuétude de nos gouvernants de Bruxelles.

En fait, le QUOI QU’IL EN COUTE, Mckinsey et la bande à Pfizer, Moderna et les autres l’ont transformé en QUOI QU’IL EN RAPPORTE.

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Le courage de la vérité, la vertu du doute

SANTE CORPS ESPRIT

Cher(e) ami(e) de la Santé,

Il y a maintenant quatre ans que la folie Covid a commencé.

Cette période très spéciale me fait penser à deux citations du grand Soljenitsyne.

La première concerne nos gouvernements et médias :

« Nous savons qu’ils mentent. Ils savent qu’ils mentent. Ils savent que nous savons qu’ils mentent. Nous savons qu’ils savent que nous savons qu’ils mentent. Et, pourtant, ils persistent à mentir. »

Je pourrais multiplier les exemples – et je suis sûr que vous en avez en tête, vous aussi.

Je me contenterai de cette phrase récente de l’ex-ministre de la Santé, Aurélien Rousseau :

« On a un vaccin (Covid) qui est plus efficace que celui de l’an dernier et on a maintenant trois ans de recul, on sait qu’on n’a pas d’effets secondaires, et donc il faut y aller » – 3 octobre 2023, sur France Inter.

C’est tellement énorme que même les pseudo « fact-checkers » de Libération ont été obligés de reconnaître que cette déclaration était « évidemment » fausse[1].

De toutes façons, les Français ne sont pas dupes.

Parmi les plus de 65 ans, une personne sur quatre seulement a tendu le bras cet automne pour recevoir une nouvelle dose de vaccin Covid[2].

Cela veut dire que les trois quarts des personnes âgées n’ont pas suivi la recommandation du gouvernement – malgré toute la communication déployée dans les médias complaisants.

Les Français ont parfaitement compris que ces vaccins n’empêchaient pas la maladie et pouvaient causer d’épouvantables effets indésirables.

Les soignants aussi l’ont compris.

Ils sont à peine 10 % à s’être vaccinés contre le Covid à l’automne !

Donc, 9 soignants sur 10 sont des « antivax », « anti-science », à en croire nos autorités.

En réalité, presque tout le monde a compris que, sur ce sujet-là, le gouvernement a menti et continue de mentir (étonnamment, le gouvernement voit que nous ne sommes plus dupes mais persiste à mentir).

Ce qui m’amène à la deuxième citation de Soljenitsyne :

« Je n’ai pas la force, tout petit individu que je suis, de m’opposer à l’énorme machine totalitaire du mensonge, mais je peux au moins faire en sorte de ne pas être un point de passage du mensonge ».

C’est un point capital.

On doit éviter de participer au mensonge, d’une manière ou d’une autre.

Or il existe une façon très insidieuse de « participer au mensonge ».

C’est de tourner la page.

De lâcher l’affaire.

De faire comme si rien ne s’était passé.

D’oublier.

Non !

Il ne faut surtout pas oublier ce qui s’est passé, c’est trop grave !

Gardons toujours garder en tête ces huit éléments factuels sur cette période Covid :

  1. Le coronavirus de Wuhan n’est pas un virus naturel issu de la romance entre une chauve-souris et un pangolin. C’est un virus qui a été trafiqué en laboratoire pour le rendre plus infectieux, dans le cadre des recherches scientifiques de « gain de fonction » ;
  2. Ce virus n’a jamais été une menace existentielle: on a su dès le début qu’il touchait essentiellement les personnes très âgées et vulnérables – comme les « mauvaises grippes », ni plus, ni moins ;
  3. Les confinements n’ont eu globalement aucun effet sur la gravité de l’épidémie, mais ont eu des conséquences catastrophiques à tout point de vue : médical (retards de soin), économique (dette, faillites), sociétal (isolement, dépression, etc.) et scolaire (retard d’apprentissage des enfants), etc.
  4. L’hôpital n’a jamais été menacé « d’implosion» : certains hôpitaux ont été effectivement débordés, comme chaque hiver, mais beaucoup sont restés désespérément vides pendant le confinement – et sur l’ensemble de l’année 2020, les hospitalisations Covid n’ont représenté que 2 % du total des hospitalisations ;
  5. Il existait dès le début des protocoles de prévention et de traitement précoce efficaces – comme le protocole Raoult, la vitamine D ou l’ivermectine – qui nous auraient permis de passer cette « mauvaise grippe » sans le moindre drame ;
  6. Les obligations généralisées de port du masque n’ont pas eu le moindre impact sur la gravité de l’épidémie ni la circulation du virus (elles ont en revanche contribué à maintenir la population sous psychose) ;
  7. Les vaccins anti-Covid, tels qu’ils étaient formulés, ne pouvaient pas empêcher la transmission du virus (biologiquement, un vaccin injecté dans le muscle ne peut pas éviter la multiplication du virus dans la cavité nasale ni sa transmission à autrui). Les passes sanitaires et vaccinaux étaient donc bâtis sur un énorme mensonge ;
  8. La vaccination de masse a été une expérimentation médicale géante, avec des milliards d’êtres humains qui ont servi de cobayes sans s’en rendre compte – et le bilan de cette expérimentation, avec le recul, est catastrophique (le Covid circule toujours, les effets indésirables graves sont fréquents et les pays les plus vaccinés connaissent une surmortalité inédite depuis 2021).

Je ne vais pas vous faire de longues démonstrations sur tous ces points – je l’ai fait suffisamment dans mes lettres et mes livres, ces dernières années.

Et peut-être avez-vous encore des divergences avec moi sur l’un ou l’autre de ces éléments.

Ce n’est pas grave : l’important, c’est que nous soyons d’accord pour dire qu’il y a eu beaucoup de mensonges éhontés, qui perdurent encore aujourd’hui.

Ce qui doit nous interroger.

S’ils nous ont menti de manière aussi manifeste sur le Covid, sur quoi d’autres nous mentent-ils ?

Je sais bien que c’est une question à se faire traiter de « complotiste ».

Mais si le complotiste est celui qui se pose des questions, alors il faut ne faut pas craindre d’être complotiste.

Au contraire, il est capital de cultiver le doute, sur tout ce que l’on nous raconte (y compris sur ce que JE vous écris !)

Laissez-moi vous raconter ce qui s’est passé quand j’ai soumis le manuscrit de mon livre Big Pharma démasqué à un premier éditeur.

Je connaissais l’éditeur personnellement.

Un homme ouvert et intelligent, qui a reconnu l’intérêt et la crédibilité du propos. Et un professionnel aguerri, qui a perçu dans ce livre un potentiel « best-seller ».

Mais il a refusé de l’éditer.

Le problème de ce livre, m’a-t-il dit, est qu’il « sème le doute ».

Eh bien, oui… c’était précisément mon intention !

Oui, il est dangereux de croire « sur parole » nos autorités, sans vérification !

Oui, le meilleur rempart contre les « mensonges officiels », c’est bien l’esprit critique – et donc le doute.

Voilà pourquoi j’aimerais que nous soyons nombreux à cultiver le doute en 2024.

Ou mieux, que nous essayons de « semer le doute » autour de nous, chacun à notre niveau !

Pas seulement sur les vaccins.

Mais aussi sur la façon dont la médecine conventionnelle (mal)traite beaucoup de patients souffrant de maladies chroniques.

Sur la façon dont les médias nous (dés)informent sur les médecines naturelles, alternatives ou complémentaires.

Oui, il est bon de douter de ce que nous disent les autorités. Il ne faut pas hésiter à vérifier, faire ses propres recherches. Il faut se diriger vers des sources fiables et indépendantes… et faire davantage confiance à son bon sens.

C’est mon vœu pour sortir de la spirale dangereuse dans laquelle nous sommes plongés depuis quatre ans.

Et je pense que nous sommes sur la bonne voie.

J’ai le sentiment que de plus en plus de citoyens sont en train de se « réveiller ».

C’est sans doute mon côté « optimiste » qui vous parle.

Mais l’optimisme fait du bien.

J’ai bon espoir que la lumière sera au bout du tunnel.

Alors je vous souhaite à tous une très belle année 2024, remplie de joie, de beauté et de santé.

Amicalement,

Xavier Bazin

 

Note de TAL : Cette excellente lettre mérite d’être largement diffusée car elle contient des VERITES CAPITALES !!

 

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AIDE CGU

 

 

Crowdbunker Accaparements ultimes !  Frédéric CHAUMONT

Il montre, entre autres, qu’en Angletterre, l’an passé, un million de personnes vaccinées 

sont mortes contre seulement 61.000 chez les non-vaccinés…

 

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blog114b

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Des poursuites contre Pfizer. La surmortalité ne 

peut plus être cachée. Les gouvernements complices

CrowdBunker 

86++++++++++9 abonnés

Alcyon Pléiades Conseillé : La journaliste australienne Maria Zeee et la lanceuse d’alerte 

américaine Karen Kingston, ancienne employée de Pfizer, rapportent que le procureur 

général du Texas, Ken Paxton, poursuit Pfizer ! et que le gouvernement néo-zélandais a

 admis qu’il avait participé à la suppression des données initiales sur les décès survenus 

depuis la vaccination.Ceci est très utile pour tous ceux qui veulent faire la même chose,

 c’est à dire poursuivre Pfizer et leur gouvernement. Venez visiter mon site : 

https://www.etresouverain.com

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Les sionistes sont les ennemis des juifs et de

tous les peuples

par Aguellid

Le comportement totalement inhumain des soldats sionistes en Palestine occupée est maintenant visible pour le monde entier, la planète est horrifiée parcette sauvagerie gratuite et inutile qui n’a strictement rien à voir avec le Hamas mais bien avec un suprématisme sioniste extrêmement violent et dangereux. Détruire des quartiers résidentiels entiers puis faire semblant de  toquer à la porte et de s’étonner que personne n’ouvre étant donné que les habitants sont certainement morts sous les décombres relève de la pathologie mentale. Même les nazis n’ont pas fait ça, c’est vrai qu’il n’y avait pas TikTok ni Instagram à l’époque.

Cette perversion malsaine montre à quel point l’âme du sionisme est malade, elle montre également comment ont été élevés ces jeunes, dans la haine de l’autre, comme personne ne l’a jamais été avant eux. C’est d’autant plus consternant d’entendre les sionistes parisiens nous expliquer qu’il s’agit de l’armée la plus morale du monde…

Les sionistes sont les nazis d’aujourd’hui. Une génération sioniste perverse et meurtrière grandit en Israël.

Cette génération est hostile à Dieu et à la Torah. Les sionistes sont les ennemis des juifs et de tous les peuples

source : Le Libre Penseur

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Masques faciaux COVID dans leur ensemble preuves montrant le manque total d’efficacité, l’échec des mandats de masques et les méfaits/toxicité des masques faciaux COVID ; ils n’ont JAMAIS été efficaces

Le Dr Ramin Oskoui mérite d’énormes éloges car il a fait beaucoup de choses dans les coulisses de FOX, etc. et avec des scientifiques qui ont tout mis en lumière sur le manque de preuves et la pure inefficacité des masques faciaux ! 

Je me concentre ici sur les masques faciaux COVID et sur la science dominante dont nous disposons depuis près de 36 mois. Pourtant, je souhaite aborder ce sujet des masques à un niveau de 50 000 pieds sur les politiques restrictives de confinement en général. Je m’appuie sur l’excellent travail effectué par Gupta, Kulldorff et Bhattacharya sur la Déclaration de Great Barrington (GBD) et sur l’impulsion similaire du Dr Scott Atlas (conseiller du président Trump) qui, comme moi, était un ardent défenseur d’un type de protection ciblée qui reposait sur une approche stratifiée selon l’âge et le risque.

Parce que nous avons constaté très tôt que les confinements étaient la plus grande erreur de l’histoire de la santé publique. Nous connaissions l’histoire et savions qu’ils ne fonctionneraient pas.. Malheureusement, nos enfants subiront les conséquences catastrophiques, et pas seulement sur le plan éducatif, de la politique profondément imparfaite de fermeture des écoles pour les décennies à venir . Beaucoup subissent encore des pressions pour porter des masques et sont punis pour ne pas le faire.

Des chercheurs du Centre de médecine factuelle (CEBM) de l’Université d’Oxford ont examiné les données concernant l’efficacité de l’utilisation des masques dans le contexte politique actuel très chargé. Ils ont conclu qu’après près de 20 ans de préparation aux pandémies à venir, les preuves sur l’utilisation des masques restent très contradictoires. Dans l’ensemble, cela correspond au principe décrit ci-dessus, selon lequel si le masquage pouvait être utilisé pour prévenir efficacement la propagation du virus, il y aurait déjà eu des preuves claires.

Les informations qui s’accumulent concernent les porteurs de masques dans un environnement Covid-19 et soulèvent de nombreuses inquiétudes, notamment en ce qui concerne les dommages psychologiques, notamment chez les nourrissons et les enfants, avec des impacts potentiellement catastrophiques sur le développement cognitif des enfants. Ceci est encore plus critique en ce qui concerne les enfants ayant des besoins spéciaux ou appartenant au spectre autistique, qui doivent être capables de reconnaître les expressions faciales dans le cadre de leur développement continu. Les preuves accumulées suggèrent également que l’utilisation prolongée d’un masque chez les enfants ou les adultes peut causer des dommages :

i) difficulté à respirer

ii) l’inhalation de substances toxiques telles que les microplastiques et les composés chlorés présents dans les masques (risques potentiellement graves)

iii) Intoxication au CO2

iv) arrêt cardiaque soudain observé chez les enfants

v) une diminution de l’oxygénation du sang (hypoxie) ou une élévation du CO2 sanguin (hypercapnie)

vi) dommages psychologiques

vii) (masques N95) une réduction du niveau de PaO2, une augmentation de la fréquence respiratoire et une augmentation de l’apparition d’inconfort thoracique et de détresse respiratoire en cas d’utilisation prolongée

viii) étourdissements et étourdissements, maux de tête, en particulier chez le personnel soignant

ix) accumulation de bactéries et de moisissures dans les masques pour enfants qui peuvent ensuite être inhalées

x) problèmes d’anxiété et de sommeil, troubles du comportement et peur de la contamination chez les enfants

xi) désoxygénation pendant la chirurgie

xii) dommages aux poumons potentiellement mortels (par exemple, les ingénieurs de Stanford rapportent que les masques peuvent rendre la respiration beaucoup plus difficile, estimant que les masques N95, par exemple, réduisent l’apport en oxygène de 5 % à 20 % et s’ils sont portés pendant une période prolongée )

xiii) comme rapporté par Koops, infections de la peau du visage, infections du nez/de la gorge et des sinus, modification des habitudes respiratoires.

Paul ALEXANDER

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CROWDBUNKER : Message important de la Quinta Columna : Pneumonie CHIMIQUE / Chine

 « Ceci est un message pour toute la Quinta Columna. Récemment, nous observons des nouvelles dans les médias officiels de désinformation qui font référence à une pneumonie qui touche les enfants et qui vient de Chine, attribuant également l’origine de cette maladie à des infections virales ou bactériennes. Le modèle opérationnel en cours est une copie bon marché de celui déployé fin 2019 dans la ville de Wuhan avec l’activation 5G. Vous savez très bien que la véritable origine de ces pneumonies chez les enfants est l’élimination, principalement par les poumons, du graphène contenu dans les injectables, dont la population cible a été précisément, et récemment, les enfants, tout comme en 2020 les personnes âgées dans les maisons de retraite furent la cible des « vaccins » anti-grippe. Le graphène génère des cytokines pro-inflammatoires et une inflammation pulmonaire en tant que réponse immunitaire, ce qui entraîne également des dyspnées et des difficultés respiratoires. Sa présence est visible en plaques sous forme de taches noirâtres et carbonées. De plus, le graphène est un hyper coagulant, à l’origine de tous types de thrombogénicité et donc d’accidents cardiovasculaires. Sont inclus tous les troubles du système nerveux central, pour lequel le graphène a également une affinité. On parle donc, à juste titre, d’une PNEUMONIE CHIMIQUE provoquée avec préméditation par un empoisonnement chimique au graphène. En tant qu’amplificateur du rayonnement des micro-ondes scalaires, le graphène amplifie le stress oxydatif, et la capacité de générer simultanément des turbo-cancers dans les systèmes organiques dans un temps très court. Techniquement et d’un point de vue neuroscientifique, le graphène est un support magnétique au sein de la biologie, ce qui en fait une interface qui intensifie également les signaux cérébraux. C’est le seul objectif, avec des techniques de neuromodulation, de neurostimulation et de surveillance neuronale. Il est très probable qu’ils réintroduisent des modèles de confinement pour réduire la mobilité de la population, l’utilisation de masques au graphène, l’utilisation d’écouvillons au graphène dirigés directement à la base du cortex cérébral à travers le système nasal, et qu’ils conduisent également la population à se faire inoculer davantage de doses de graphène et de nanotechnologie dans les soi-disant « vaccins ». Tout cela par voie intraveineuse, ou intranasale, avec transfert immédiat du matériau à la mode du nez au cerveau, tel qu’il est mentionné dans la littérature scientifique. Tout cela, encore une fois, pour une souche virale inexistante, et malheureusement, ils arriveront à entraîner un bon pourcentage de la population qui fait encore confiance aux institutions et qui n’a pas entendu le message de La Quinta Columna. Depuis La Quinta Columna, nous avons fait connaître toute notre recherche, et bien plus encore, il y a maintenant plus de deux ans. Le message que nous donnons désormais à vous qui dites ouvertement la devise « Je le sais » est qu’il ne faut en aucun cas céder. Restez dynamiques, car une population confinée ou statique, avec l’émission de nouvelles qualités de fréquence comme le nouveau 26 gigahertz, est une population morte et/ou malade. Notamment dans des circonstances dictées de confinement, nous avons besoin de mouvement à l’excès pour ne pas contribuer au rendement optimal de la bioneuromasse que nous constituons en tant qu’êtres humains. Un masque comme le FFP2, officiellement fabriqué à partir de graphène, ou tout autre masque optimisé avec du graphène, catalyse les dommages causés par les radiations amplifiées à proximité de nos neurones. En fait, tout produit qui interagit avec notre biologie dans ce contexte est délibérément constitué de cette interface qu’est le graphène. Ne cédez en aucun cas à la tromperie et au mensonge, ni aux abus de ces criminels, car céder signifie, en fin de compte, la mort. Par conséquent, restez fermes vis-à-vis de vos principes et convictions, car il est question d’analyses scientifiques et empiriques, et de découvertes, réalisées par La Quinta Columna et corroborées au quotidien et de manière indépendante dans d’autres parties du monde. Leur temps est compté et nous devons contribuer ensemble à accélérer leur chute. Tout cela en raison du respect que mérite l’être humain à titre individuel et au niveau de l’espèce. Vive La Quinta Columna ». Ricardo Delgado. Source de la vidéo : https://odysee.com/@David19:7/video_2023-12-12_07-28-51:8

CROWDBUNKER :LA QUINTA COLUMNA: NOUS SOMMES CONFRONTÉS À UN PARASITISME D’UNE AUTRE ESPÈCE SUR L’ÊTRE HUMAIN.

Le but des mondialistes est de contrôler les champs énergétiques des êtres humains. Il s’agit d’un NEUROESCLAVAGE de l’humanité. Le graphène était déjà utilisé , dans les années 1980 à 1990, dans les implants mis par des extraterresres (le docteur LEIR a enlevé nombre des ces implants)°

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Crowdbunker :Oxyde de Graphène Solution Prévention & Nettoyage (Quinta Columna) Glutathion & Hygiène de Vie

L’oxyde de graphène se trouve dans les injections mais aussi dans les tests PCR, les masques, les serviettes hygiéniques,divers aliments et médicaments. Lorsqu’ils mettront en marche la 5G cela fera des dégâts terribles.

Voici ce qui peut neutraliser sa toxicité

NAC 750 mg complément le plus important 1 capsule le matin à jeûn

Fait sécréter le glutathion endogène, c’est l’idéal.

GLUTATHION peu assimilé, moins bien  que NAC

ZINC : 25 à 50 mg par jour, un par jour

ASTAXANTHINE : antioxydant puissant, améliore aussi la vue

QUERCETINE : excellent

VITAMINE D idem

CHADON MARIE idem

MELATONINE : à prendre le soir au coucher

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Robert F. Kennedy Jr. (Partie 1) : Les sombres secrets du calendrier de vaccination des enfants et du processus d’approbation des vaccins

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Interview vraiment passionnant d’un des grands personnages de notre temps

TRANSCRIPTION 

Jan Jekielek : Robert F. Kennedy Jr., quel plaisir de vous compter parmi les leaders d’opinion américains.

Robert F. Kennedy Jr. : Merci de m’avoir invité.

M. Jekielek : Vous avez écrit The Real Anthony Fauci, que j’ai commencé à écouter sous forme de livre audio, et qui dure en fait 27 heures. C’est tout un opus.

M. Kennedy : Je m’excuse.

M. Jekielek : C’est un livre remarquable, et il parle en fait bien plus que du Dr Anthony Fauci, mais de l’ensemble du développement de ce qu’on a surnommé le complexe industriel biopharmaceutique. Dans le sous-titre, vous décrivez une guerre mondiale contre la démocratie et la santé publique, et vous en faites également état. Parlez-moi de la genèse de ce vaste tome.

M. Kennedy : J’étais dans une position unique parce que j’ai passé près de 40 ans en tant que défenseur de l’environnement, et j’avais vu et écrit de nombreux articles et plaidé sur cette question de captation de l’agence, qui est le produit d’une conspiration de mécanismes ou d’une panoplie de mécanismes par lesquels les organismes de réglementation sont capturés par les industries qu’ils sont censés réglementer.

Au lieu de continuer à protéger la santé publique, l’intégrité financière ou l’environnement, ils deviennent des marionnettes pour l’industrie qu’ils sont censés réglementer. Lorsque j’ai commencé à plaider et à plaider sur la question des vaccins en 2005, j’ai été immédiatement stupéfait non seulement par le niveau de capture des agences au sein des agences de santé publique, mais aussi par les enchevêtrements financiers, qui étaient sans précédent dans d’autres agences qui mettaient essentiellement la capture des agences sous stéroïdes.

Par exemple, la FDA [Food and Drug Administration des États-Unis] a reçu 75 pour cent de son budget d’approbation des médicaments de l’industrie pharmaceutique. Près de 45 pour cent de son budget total provient de l’industrie pharmaceutique. Non seulement les NIH [National Institutes of Health] en tant qu’agence, mais aussi les scientifiques individuels au sein des NIH sont autorisés à breveter les médicaments sur lesquels ils travaillent, puis à les remettre à l’industrie pharmaceutique et à percevoir des redevances sur ceux-ci. Au cours de la dernière décennie, ces scientifiques ont perçu quelque 300 millions de dollars de redevances.

Il y a des scientifiques qui sont censés être des régulateurs et qui gagnent en réalité de l’argent grâce aux produits qu’ils sont censés réglementer. Ils paient leur hypothèque, ils paient les frais de scolarité de leurs enfants, ils achètent des bateaux ou quoi que ce soit d’autre, et ils financent leur retraite en fonction de produits avec lesquels ils sont censés rechercher des problèmes. Ils sont incités à ne pas trouver de problèmes avec ces produits, mais plutôt à les éliminer et à étendre leur portée. La fonction réglementaire de ces agences est englobée par les ambitions commerciales des sociétés pharmaceutiques qu’elles réglementent.

Pour vous donner un autre exemple, le CDC [Centers for Disease Control and Prevention] dispose d’un budget annuel de 12 milliards de dollars. Près de 5 milliards de dollars sont consacrés à l’achat de vaccins dans le cadre d’accords secrets avec les grandes sociétés de vaccins, puis à contraindre ou persuader un grand nombre de personnes de prendre ces vaccins, principalement des enfants. Ce sont 74 millions d’enfants que le CDC a essentiellement le pouvoir d’exiger qu’ils se fassent vacciner. Beaucoup d’entre eux se voient imposer des restrictions quant à leur fréquentation scolaire et à l’exercice d’autres types de droits.

Avec les paramètres de cette agence, si vous voulez une promotion ou si vous voulez une augmentation de salaire, vous n’obtiendrez pas cela en trouvant un problème avec un vaccin. Vous obtenez cela en montrant que vous avez contribué à élargir la couverture vaccinale. Il s’agit d’une incitation perverse pour un organisme de réglementation, car cela en fait un bras de l’industrie plutôt qu’un organisme de réglementation fonctionnel qui protège la santé publique. Anthony Fauci était véritablement l’incarnation de cette corruption institutionnelle et systémique.

Vous pouvez consulter le NIH ou la FDA, et il y a des scientifiques célèbres comme Frankie Kelsey de la FDA, la femme qui a empêché l’entrée de la thalidomide aux États-Unis alors qu’elle avait des effets dévastateurs sur les enfants européens. Bernice Eddie du NIH a découvert qu’il y avait un virus cancérigène appelé SV40 dans 98 millions de vaccins contre la polio et a tenté de tirer la sonnette d’alarme à ce sujet. John Anthony Morris s’est rendu compte que le vaccin contre la grippe était en réalité contre-productif et qu’il rendait les gens plus susceptibles de contracter des infections liées à la grippe et d’autres infections respiratoires, et qu’il provoquait également des lésions neurologiques.

Lorsque Bernice Hadie, Frankie Kelsey et Morris ont signalé ces problèmes, au lieu de recevoir des médailles, ils ont été punis. Leurs carrières étaient pratiquement terminées. Si vous souhaitez fonctionner et prospérer au NIH ou dans l’une de ces agences de réglementation, la meilleure façon d’y parvenir est de transporter de l’eau pour l’industrie pharmaceutique. La raison pour laquelle Anthony Fauci a duré 50 ans n’est pas parce qu’il a fait du bon travail en matière de protection de la santé publique. C’est parce qu’il a fait du bon travail en protégeant les profits de l’industrie.

Si l’on considère la santé publique au cours de ce mandat de 50 ans, lorsqu’il est arrivé au pouvoir, environ 6 % des Américains souffraient d’une maladie chronique. Par maladie chronique, j’entends non seulement l’obésité, mais aussi les maladies neurologiques, les maladies allergiques et les maladies auto-immunes. Fauci est arrivé en 1968. En 1986, 11,8 % des enfants américains souffraient d’une maladie chronique.

En 2006, ce chiffre était passé à 64 pour cent. C’est son palmarès. Ce qu’il prétend, c’est qu’il protège les Américains des maladies infectieuses, mais il parle rarement de l’impact des maladies chroniques, qui sont bien plus dévastatrices que les maladies infectieuses.

Les vaccins prévus au cours de cette période sont passés des trois vaccins que j’ai pris quand j’étais enfant, et j’étais pleinement conforme, à 72 doses qui sont aujourd’hui obligatoires sur 16 vaccinsLa question est : comment cela a-t-il amélioré la santé des Américains ? En 2000, le CDC a réalisé une étude avec l’Université Johns Hopkins, dont l’auteur principal s’appelait Guyer, GUYER.

Ils ont examiné cette question : « Les vaccins ont-ils quelque chose à voir avec une baisse de la mortalité due aux maladies infectieuses avec cette baisse importante, une baisse de 70 ou 80 % de la mortalité due aux maladies infectieuses entre 1900 et aujourd’hui ? La question est : « Les vaccins ont-ils quelque chose à voir avec cela ?

L’étude du CDC a révélé que les vaccins n’avaient presque rien à voir avec cela. Au lieu que ce soient les médecins et les scientifiques qui soient responsables de cette réduction, ce sont les ingénieurs qui sont responsables de cette réduction. Ce sont un meilleur assainissement, les routes qui amenaient des aliments comme les oranges et les agrumes dans les villes du nord, une meilleure nutrition, de meilleures usines de traitement des eaux usées, la chloration de l’eau et un certain nombre d’autres progrès techniques qui étaient réellement responsables de la baisse des décès et de la mortalité due aux maladies infectieuses. .

Cela ne veut pas dire que les vaccins n’ont pas réduit l’apparition de maladies infectieuses. Un vaccin contre la rougeole peut vous empêcher de contracter la rougeole, du moins lorsque vous êtes un enfant, mais il ne vous rend pas en meilleure santé et ne vous rend pas plus susceptible de vivre longtemps et en bonne santé. Cette question est une question à laquelle Anthony Fauci n’a jamais répondu. Il existe de nombreuses preuves selon lesquelles les vaccins ne prolongeront probablement pas la vie. En fait, ils sont susceptibles de raccourcir votre vie, de la rendre moins enrichissante et de faire de vous un être humain moins efficace.

M. Jekielek : Ce que vous décrivez ici va à l’encontre de ce que tout le monde est censé savoir. Les vaccins sauvent en général 2 à 3 millions de vies par an, c’est ce qu’on dit généralement. Ensuite, bien sûr, il y a la question de ces nouveaux vaccins génétiques. Comment s’intègrent-ils dans le tableau ?

M. Kennedy : Permettez-moi d’abord de répondre à votre première question. Il y a beaucoup d’affirmations sur les vaccins et sur le nombre de vies qu’ils ont sauvées. Il existe très, très peu de données scientifiques pour étayer cela. Je vais vous donner un exemple. Les vaccins eux-mêmes sont exemptés des tests de sécurité préalables à l’homologation. L’innocuité des vaccins n’est pas testée par rapport aux placebos dans le cadre d’essais fonctionnels avant d’être approuvés. Et la raison en est que les vaccins sont réglementés différemment des autres médicaments.

Cela a vraiment à voir avec l’héritage du CDC en tant que service de santé publique. Le service de santé publique des États-Unis est une organisation militaire. C’est l’un des cinq services militaires en uniforme, et c’est le prédécesseur du CDC. Le Service de Santé Publique a initialement lancé le programme de vaccination comme moyen de défense de la sécurité nationale contre les attaques biologiques contre notre pays.

Ils voulaient s’assurer que si les Russes attaquaient l’Amérique avec l’anthrax ou une autre arme biologique ou pathogène, nous pourrions rapidement formuler un vaccin et le déployer sur 200 millions de civils américains sans aucun obstacle réglementaire. Au départ, ils ont dit : « Si nous appelons cela un médicament, nous devrons faire un essai contrôlé par placebo, et cela prendra cinq ans. »

Pourquoi cela prend-il cinq ans ? Parce que bon nombre des blessures causées par les vaccins, comme tous les médicaments, sont des blessures à long terme. Vous pouvez dire que le vaccin a empêché l’infection, mais vous ne comptez pas les cancers, les troubles neurologiques, le TDAH et les maladies auto-immunes qui apparaîtront dans cinq ans. Il faut des études à long terme.

Mais ils ne voulaient pas le faire parce qu’ils estimaient qu’il était urgent de les déployer rapidement. Ils ont dit : « Si nous appelons cela un médicament, nous devrons faire une étude à long terme. Au lieu de cela, nous l’appellerons un produit biologique, et nous exempterons les produits biologiques des études de sécurité à long terme. Aucune des 72 doses de vaccins actuellement obligatoires pour les enfants n’a jamais été testée dans le cadre d’une étude de sécurité préalable à l’autorisation par rapport à un véritable placebo.

Je l’ai dit pendant de très nombreuses années. Tony Fauci disait publiquement que j’étais inexact et qu’il s’agissait d’une désinformation sur les vaccins. Nous les avons donc poursuivis en justice, moi et Aaron Siri, qui est l’un de mes collègues avocat. Après avoir fait obstacle à ce procès pendant un an, nous avons dit : « Montrez-nous une étude contrôlée par placebo pour n’importe quel vaccin. » Après un an d’obstruction et de mise dans des sacs de sable, ils ont reconnu sur les marches du palais de justice qu’il n’y en avait pas et ils ont mis cela par écrit. Nous avons maintenant cet écrit publié sur le site Web de CHD.

Voici un exemple, et c’est ce qui m’inquiète. Pendant de nombreuses années, Bill Gates et l’OMS [Organisation Mondiale de la Santé] ont poussé les enfants à recevoir le vaccin DTC [Diphtérie, Tétanos, Coqueluche]. C’est le vaccin le plus populaire au monde grâce à leurs efforts, grâce aux efforts de Bill Gates. En 2016, il s’est adressé au gouvernement danois avec ce vaccin et lui a dit : « Vous devriez nous donner de l’argent. »

Soit dit en passant, nous avons retiré ce vaccin dans ce pays dans les années 1980 parce qu’il tuait de nombreux enfants. Selon une étude du NIH réalisée par l’UCLA, cela provoquait des lésions cérébrales. Nous y avons mis fin aux États-Unis. Nous l’avons remplacé par un vaccin DTaP, une version atténuée, plus sûre, mais moins efficace. Ils ont fait la même chose en Europe.

Alors qu’il était essentiellement interdit aux enfants blancs du monde entier, Bill Gates et l’OMS l’offraient aux enfants africains et asiatiques. Le gouvernement danois, sachant qu’il n’utilisait pas ce vaccin au Danemark, a demandé : « Pouvez-vous nous montrer une étude qui montre que cela sauve réellement des vies ? Bill Gates n’a pas pu le faire.

Ensuite, le gouvernement danois a déclaré : « Nous allons réaliser cette étude. » Ils sont allés en Afrique, où les Danois disposent de vastes et très bonnes cliniques dans toute l’Afrique de l’Ouest. Ils avaient 30 ans de carnet de vaccination. Ils ont fait venir les meilleurs scientifiques du monde ; Peter Aaby, qui est une sorte de divinité du programme de vaccination africain, du Centre Sigrid Morgan, et d’un certain nombre d’autres scientifiques pro-vaccination très célèbres et très respectés. Ils ont réalisé une étude sur 30 ans de dossiers.

Ce qu’ils ont découvert, c’est que les enfants, les filles qui avaient reçu ce vaccin, risquaient 10 fois plus de mourir que les enfants non vaccinés. Ils ne mouraient pas de choses que quiconque avait jamais associées au vaccin. Ils étaient d’ailleurs protégés contre la diphtérie, le tétanos et la coqueluche qui étaient les pathogènes cibles. Mais ils mouraient d’anémie, de bilharziose, de paludisme, de dysenterie et de problèmes respiratoires pulmonaires comme la pneumonie. Personne n’avait jamais fait le lien.

Ce n’est que lorsque ces scientifiques danois sont arrivés et ont examiné les données sur 30 ans qu’ils ont réalisé : « Sainte vache, ce vaccin tue plus de personnes que la diphtérie, le tétanos et la coqueluche avant l’introduction du vaccin.

C’est ça le danger. Vous pourriez avoir un vaccin pendant 30 ou 40 ans et personne ne remarquerait que les enfants qui le prennent sont dans une pire situation du point de vue de la santé, parce que vous n’avez jamais fait d’essais contrôlés par placebo. C’est un gros problème, et c’est un problème endémique. Dans tout le domaine de la vaccinologie, on ne fait jamais cet essai.

M. Jekielek : Cela met à rude épreuve la crédulité qu’un type de test aussi évident ne soit pas effectué. Il y a des informations de sécurité sur chaque vaccin dans la notice. On entend dire qu’il faut 10 ans pour développer un vaccin. Joseph Lalapo, dont j’ai remarqué le livre que vous avez ici, écrit que la manière dont les vaccins sont enseignés aux étudiants en médecine se fait avec une sorte de respect. Après avoir été au milieu de la pandémie de COVID et avoir examiné la réponse à celle-ci, beaucoup d’entre nous ont commencé à examiner plus en profondeur ces choses que vous étudiez depuis bien plus longtemps.

M. Kennedy : Les étudiants en médecine apprennent très brièvement les vaccins. Le Dr Meryl Nass m’a dit qu’à la faculté de médecine, elle disposait de moins d’une heure sur les vaccins, et que tout dépendait de la manière de les administrer et du moment opportun. Il n’a pas été fait mention des blessures causées par les vaccins ni de la façon de reconnaître les blessures causées par les vaccins, ni du fait que nous devrions rechercher les blessures causées par les vaccins et qu’il faut signaler les blessures causées par les vaccins. Cela n’a jamais été enseigné.

Si vous regardez une notice de vaccin, elle pourrait par exemple indiquer que le vaccin ROR [rougeole, oreillons, rubéole] comporte probablement 60 ou 70 blessures répertoriées. À un moment donné, à cause d’un procès, j’ai dû consulter toutes les notices des vaccins obligatoires qui sont désormais administrés aux enfants entre la naissance et 18 ans. Il y avait 420 effets secondaires répertoriés, y compris des décès, des paralysies et des lésions cérébrales, et même l’autisme est désormais répertorié. C’est le seul endroit où ils disent la vérité : les fabricants de vaccins.

La loi sur les vaccins de 1986 a interdit de poursuivre en justice un fabricant de vaccins pour négligence. Aujourd’hui, la loi stipule que, peu importe la gravité de votre blessure, aussi imprudente que soit votre conduite, aussi négligente que soit votre conduite, vous ne pouvez pas poursuivre cette entreprise en justice. Le seul endroit où vous pouvez les poursuivre est s’ils étaient au courant d’une blessure et qu’ils ne l’ont pas répertoriée sur la notice de leur fabricant. Les inserts du fabricant disent là la vérité.

Soit dit en passant, l’une des choses que l’industrie aime dire, c’est que nous jetons tout là-dedans, y compris l’évier de la cuisine, pour nous protéger de toute responsabilité. Mais ce n’est pas vrai. La loi fédérale stipule qu’ils ne sont pas autorisés à inscrire les dommages causés par le vaccin sur la notice du fabricant, à moins que la FDA ne détermine que le vaccin est la cause probable de ces dommages. Il y a toutes ces blessures industrielles vraiment atroces que la plupart des médecins ne lisent jamais, et ils ne les lisent certainement pas aux patients avant de leur administrer le vaccin.

En gros, on dit aux médecins que ce sont des technologies miracles. Ils ont sauvé des millions, des dizaines de millions, des centaines de millions de vies, mais aucune science ne le soutient. Il n’existe tout simplement aucune science qui étaye cela. De nombreuses données scientifiques soutiennent l’hypothèse selon laquelle la plupart de ces vaccins, pas tous, mais la plupart d’entre eux, causent plus de blessures et de décès qu’ils n’en évitent.

M. Jekielek : Avant de continuer, je veux expliquer comment vous en êtes arrivé là où vous en êtes aujourd’hui. Il semblerait que ce soit votre principal problème, car autrefois, votre principal problème était la pollution de l’environnement. La capture réglementaire que vous envisagez était la capture des agences par l’industrie pétrolière. Peut-être simplement décrire un peu plus tôt comment vous êtes arrivé là-dedans, ce que vous avez vu et comment cela vous a finalement conduit à aujourd’hui.

M. Kennedy : Je me suis lancé dans cette affaire à contrecœur, en donnant des coups de pied et en criant. Cela n’a pas été un bon choix de carrière pour moi en termes de vie sociale ou amicale. Cela m’a coûté cher en termes de relations familiales, amicales, commerciales et politiques, ce dont je ne me plains d’ailleurs pas, mais c’est un fait.

J’ai dirigé le plus grand groupe de protection de l’eau au monde, et c’est un groupe que j’ai contribué à bâtir. Cela s’appelle la Waterkeeper Alliance. Nous avons 350 gardiens d’eau sur les voies navigables dans 46 pays, dont environ sept en Chine. Nous les patrouillons à bord de bateaux, nous recherchons les pollueurs, puis nous engageons des poursuites contre eux. Nous sommes vraiment une organisation chargée de l’application de la loi. Nous avons de très bonnes lois environnementales dans la plupart des pays.

Le problème est que l’industrie capte les régulateurs. Les lois ne sont jamais appliquées, mais un grand nombre d’entre elles permettent aux individus, lorsque le gouvernement n’agit pas, de se mettre à la place du procureur et de poursuivre eux-mêmes les pollueurs. Ce sont ces lois dont nous profitons.

Vers 2003, le rapport indiquait que tous les poissons d’eau douce d’Amérique du Nord avaient des niveaux dangereux de mercure dans leur chair, et qu’une femme américaine sur six avait suffisamment de mercure dans son sang pour garantir que ses enfants souffriraient d’une sorte de cerveau. dégâts, au moins quelques pertes permanentes de points de QI. Il s’agissait d’un problème environnemental et d’un problème de santé publique.

Mon groupe représentait à l’origine des pêcheurs. Cela m’a frappé à l’époque, comme bien d’autres, que nous vivions dans un cauchemar de science-fiction dans lequel mes enfants et les enfants de tous les autres Américains ne pouvaient plus se livrer à l’activité fondamentale et primordiale de la jeunesse américaine, qui consiste à aller à la pêche avec leurs enfants. maman ou papa, puis rentrez à la maison et mangez le poisson en toute sécurité.

Nous avons commencé à poursuivre en justice les responsables de cette pollution, les coupables, qui étaient principalement les centrales électriques au charbon et les fours à ciment. Ce sont eux qui ont le plus contribué. Il y a aussi l’industrie minière qui contribue au mercure présent dans le poisson dans les États de l’Ouest, mais principalement aux États-Unis et dans les provinces du Canada, ce sont les centrales électriques. À ce moment-là, j’avais près de 40 procès de la part de différents gardiens d’eau et je parcourais les États-Unis et le Canada.

Nous poussions des mesures législatives pour réformer le système et éliminer le mercure. Je parlais régulièrement en tant que défenseur, souvent devant de grands groupes de personnes. Ce que j’ai remarqué, c’est que ces femmes ont commencé à apparaître à tous mes discours. Ils occupaient le premier rang, puis ils venaient vers moi ensuite. Elles étaient mères d’enfants handicapés intellectuels et elles croyaient toutes que les vaccins au mercure étaient à l’origine des blessures de leur enfant.

M. Jekielek : Le mercure dans les vaccins.

M. Kennedy : Oui. Certains vaccins contiennent du mercure, et d’autres non. Mais les vaccins contre les virus morts contenaient principalement du mercure, comme les vaccins contre l’hépatite B, le DTC, la hanche et certains autres contenaient du mercure. Ils pensaient que ces vaccins avaient causé les blessures de leur enfant. Ils me disaient, d’une manière très respectueuse, mais vaguement réprimande : « Si vous êtes vraiment intéressé par l’exposition des enfants au mercure, vous devez envisager des vaccins.

Ce n’était pas quelque chose que je voulais faire. Je ne voulais pas aborder une question de santé publique. Ma famille était profondément impliquée dans le domaine de la déficience intellectuelle et de la santé publique, et j’avais choisi une voie différente pour moi-même, celle de la protection de l’eau. L’une de ces femmes était une psychologue du Minnesota nommée Sarah Bridges, qui s’est présentée chez moi à l’été 2005 à Hyannis, dans le Massachusetts.

J’avais un petit bungalow là-bas et elle m’a trouvé. Elle sortit de sa malle une pile d’études scientifiques publiées, d’environ 10 pouces de profondeur. Elle les a posés sur mon perron et a dit : « Je ne vais pas partir d’ici tant que vous n’aurez pas lu ceci. »

Son fils était un enfant en bonne santé qui avait reçu un vaccin contre le mercure quand il avait deux ans et était gravement handicapé de façon permanente, et n’était pas habitué à parler et à aller à la propreté. À cette époque, il avait environ 16 ou 17 ans et il avait reçu 20 millions de dollars du tribunal des vaccins. Le tribunal des vaccins avait reconnu que son autisme provenait du vaccin.

C’était au début, avant que l’idéologie ne soit réprimée et que vous n’étiez plus autorisé à dire cela. Elle ne voulait pas que cela arrive à d’autres enfants. Alors, je me suis assis là. J’ai grandi en aimant la science. Je voulais être scientifique quand j’étais enfant ou vétérinaire. Mon travail consiste à lire des données scientifiques parce que je présente des cas environnementaux. J’en ai évoqué plusieurs centaines. Dans presque chacun de ces cas, il existe une controverse scientifique.

Je dois être capable de lire la science et je sais comment la lire de manière critique. J’ai commencé à lire uniquement les résumés de ces études qu’elle y avait mis. Ils étaient stupéfiants et à couper le souffle. J’ai été immédiatement abasourdi par l’énorme écart entre ce que disaient les agences de santé publique sur la sécurité des vaccins et ce que disaient les publications scientifiques évaluées par les pairs.

J’ai passé la semaine suivante à appeler des responsables sanitaires de haut niveau. L’un des avantages que j’ai grâce à mon nom, mes relations, ma famille et mon oncle Teddy Kennedy qui était mon parrain, c’est qu’il a dirigé le comité de la santé du Sénat américain pendant 50 ans. Il a rédigé le budget, il a créé certaines de ces agences et il en a rédigé les budgets chaque année.

Il connaissait Tony Fauci, Francis Collins et tout le monde. Mon oncle et mon père avaient rédigé une grande partie des lois qui ont créé ces agences. Il existe des institutions au sein du NIH, les instituts Eunice Shriver et Rose Kennedy, qui portent le nom de membres de ma famille. J’ai réussi à joindre ces personnes au téléphone et j’ai commencé à les interroger spécifiquement sur les études.

J’ai reconnu que les principaux régulateurs n’étaient tout simplement pas au courant de la science. Ils ne l’avaient tout simplement pas lu. Quelques-uns d’entre eux m’ont menti et je les ai surpris en train de mentir. Ce qui est étrange, c’est que les régulateurs, comme Francis Collins, Kathleen Stratton de l’Institute of Medicine et Marie McCormick, m’ont dit : « Je ne connais pas la réponse à ces questions, vous devriez appeler Paul Offit.

Paul Offit est un fabricant de vaccins qui est partenaire chez Merck. Cela m’a déconcerté. Parce que si j’appelais l’EPA et lui disais : « Dites-moi pourquoi vous avez adopté ce règlement, qui ne semble pas avoir de sens à la lumière des données scientifiques que j’examine », ils répondraient à cette question. Ils ne me disaient pas : « Va parler à un responsable du secteur du charbon, au PDG d’une société charbonnière. » Mais c’est ce qu’ont dit les régulateurs de la santé.

Ils m’ont envoyé voir Paul Offit, qui était un fabricant de vaccins et un initié. À ce moment-là, j’étais en quelque sorte aspiré par un trou de ver, parce que j’étais en colère, comme je pouvais le constater, comme le faisaient les régulateurs. Je lisais des documents scientifiques qui disaient : « Cela pénètre chez les enfants, cela tue leur cerveau. » Je parlais à des régulateurs qui n’avaient aucune explication ni excuse. Ce fut le début de mon voyage.

M. Jekielek : Je dois demander comment c’était de grandir dans la famille Kennedy ?

M. Kennedy : C’est un changement. Pour moi, j’ai eu la plus belle enfance. J’ai écrit sur mon enfance dans un livre intitulé American Values. Mon enfance était passionnante. Dès mon plus jeune âge, je me suis senti pleinement impliqué dans ce qui se passait dans ce pays. Nous savions que ce que nous voyions au quotidien faisait partie de l’histoire de notre pays. Mes parents nous parlaient chaque jour d’histoire, de littérature et de valeurs. Nous avons tous été élevés dans l’idée que nos vies seraient consumées par une grande controverse et que nous serions très privilégiés si nous parvenions à y prendre une part significative.

M. Jekielek : Il semble que cela se soit réalisé.

M. Kennedy : Pour le meilleur ou pour le pire.

M. Jekielek : L’une des choses dont j’ai discuté avec quelques-uns de nos rédacteurs et contributeurs pour savoir de quoi parler à Robert F. Kennedy Jr. est qu’il y avait ce contrat social aux États-Unis où la distance entre les gens dans la charge du pays et le peuple n’étaient pas si éloignés. Il y avait une capacité de dialogue. Ce que nous avons appris ces derniers temps, c’est que la distance semble être beaucoup plus grande que ce que beaucoup d’entre nous avaient imaginé.

Nous avons également appris, depuis l’assassinat de votre oncle dans les années 1960, que des agences américaines pourraient avoir été impliquées à cette époque. Il y a même des gens qui se demandent : « Vivons-nous encore dans une démocratie aujourd’hui ? » La guerre mondiale contre la démocratie est le sous-titre du livre The Real Anthony Fauci. Je veux avoir votre avis sur ce qui s’est passé pendant cette période ? Quelque chose a-t-il changé à ce moment-là dont nous n’avions pas conscience ? Est-ce toujours le pays dans lequel la plupart des pays du monde réclament à grands cris d’entrer, parce qu’il représente la liberté, la démocratie et un avenir radieux ?

M. Kennedy : Oui, je pense que quelque chose a changé lorsque mon oncle est décédé. Quand j’avais sept ans, le 17 janvier 1961, jour de mon anniversaire, le président Eisenhower a prononcé ce qui était probablement, et ce que je considère aujourd’hui, comme le discours le plus important de l’histoire américaine. C’était son discours d’adieu à la nation.

Intervenant : « Aux conseils de gouvernement, nous devons nous garder de l’acquisition d’une influence injustifiée, qu’elle soit recherchée ou non par le complexe militaro-industriel. »

M. Kennedy : Trois jours plus tard, mon oncle John Kennedy prêterait serment et j’y serais présent. Mais Eisenhower a prononcé ce merveilleux discours dans lequel il a mis en garde l’Amérique contre l’émergence d’un complexe militaro-industriel, d’une industrie de guerre permanente et d’une technocratie scientifique fédérale associée, qu’il a spécifiquement mentionnée, qui émergeraient bientôt si nous ne la limitions pas et ne dominerions pas. la démocratie américaine et nous prive de toutes nos valeurs et de tout ce qui est important pour notre pays.

Mon oncle s’est vite rendu compte qu’Eisenhower avait saisi l’enjeu le plus important de notre époque. Il s’en est rendu compte lors de l’invasion de la Baie des Cochons. Au milieu de cette invasion, il s’est rendu compte que ses chefs d’état-major, Curtis LeMay et Louis Lemnitzer, ainsi que la CIA, en particulier Alan Dulles, Charles Cabell et Richard Bissell, lui avaient menti au sujet de l’invasion. Ils avaient fait une série de mensonges afin de le tromper, deux mois et demi après le début de sa présidence, pour qu’il procède à cette invasion alors qu’ils savaient qu’elle échouerait.

Ils pensaient qu’il serait embarrassé. Ce serait un jeune président. Afin d’éviter l’humiliation de cet échec, il ferait appel à la marine américaine, et en particulier au porte-avions Essex, et il ordonnerait un soutien aérien pour renverser Castro. Mon oncle a refusé de faire ça.

Cet après-midi-là, il dit à l’un de ses collaborateurs, alors qu’il se tenait dans le Bureau Ovale : « Je veux prendre la CIA, l’écraser en mille morceaux et la disperser aux quatre vents. » Au cours des mois suivants, il a licencié tous les chefs de la CIA, Charles Cabell, Richard Bissell et Alan Dulles, qui, ironiquement, siégeraient plus tard à la Commission Warren et la dirigeraient.

Il a passé les trois années suivantes de sa présidence à combattre au corps à corps avec son propre complexe militaro-industriel et son appareil de renseignement, essayant de maintenir notre pays hors de la guerre, dans laquelle ils voulaient que nous nous engagions parce que c’est leur affaire. Il a refusé d’envoyer des troupes de combat au Laos. Ils pensaient déjà qu’il était un traître.

Il refuse d’affronter les Russes. Il organise le retrait des Russes en contactant Khrouchtchev directement depuis le mur de Berlin pour le conflit de Checkpoint Charlie. Il a refusé d’envoyer des troupes de combat au Vietnam, bien qu’il soit entouré de pratiquement tous les membres de son cabinet, de tous les chefs d’état-major, de toutes les agences de renseignement et de hauts bureaucrates comme Dean Acheson qui lui disaient : « Nous devons envoyer 250 000 à 500 000 soldats américains. troupes au Vietnam.

Il a dit : « C’est leur guerre. Nous pouvons les soutenir, nous pouvons les entraîner, mais nous n’allons pas envoyer de troupes de combat.» À la fin de sa présidence, malgré cette pression extraordinaire, il avait envoyé 16 000 conseillers qui n’étaient techniquement pas autorisés. Ils n’étaient pas autorisés à participer aux combats, même si beaucoup d’entre eux le faisaient illégalement.

Juste avant sa mort, en octobre 1963, il a émis un ordre de sécurité nationale ordonnant à toutes les troupes de rentrer du Vietnam, les mille premiers rentrant chez eux avant décembre 1964 et les 15 000 autres avant la fin de 1965. l’ordre qui a scellé son sort.

Un de ses meilleurs amis, Ben Bradley, qui dirigeait le Washington Post, lui a demandé un jour ce qu’il voulait sur sa pierre tombale, l’épithète qu’il voulait sur sa pierre tombale. Il a dit qu’il avait maintenu la paix. Il a déclaré : « La tâche principale d’un président américain est de maintenir le pays hors de la guerre », ce qui est exactement ce qu’a dit le président Eisenhower. Et il l’a fait.

Et bien sûr, dès sa mort, les agences de renseignement de la Marine ont concocté un faux drapeau, essentiellement appelé l’incident du golfe du Tonkin et l’ont utilisé comme prétexte pour américaniser la guerre du Vietnam. Immédiatement après, le président [Johnson] a envoyé 250 000 soldats américains et c’est devenu une guerre américaine. Mon père s’est ensuite présenté contre [Johnson] sur la question de la guerre et contre le complexe militaro-industriel, et il a été tué dans le processus.

Martin Luther King s’est également prononcé contre la guerre. Martin Luther King était entouré d’autres leaders des droits civiques qui disaient que nous ne devrions pas nous impliquer dans la guerre du Vietnam. “Ce n’est pas une question de droits civiques.” Il a dit ce que mon père avait répété à plusieurs reprises et que mon grand-père avait dit : « L’Amérique ne peut pas être un État impérial à l’étranger et continuer à être une démocratie constitutionnelle à l’intérieur. Si vous êtes impérial, vous ne pouvez pas être une démocratie chez vous.

King a estimé que notre objectif principal devait être de mettre fin à la guerre du Vietnam, car tant que le complexe militaro-industriel dirigerait notre pays, nous n’aurions pas de système de justice chez nous. Nous aurions une excuse pour transformer l’Amérique en un État policier, un État de surveillance, un État de sécurité nationale. Il a été tué deux mois avant mon père.

Dès la mort de mon père, Nixon a doublé le nombre de personnes impliquées dans la guerre et a continué. La plupart des personnes décédées au Vietnam sont mortes après cela. Lorsque mon oncle a été tué, 73 Américains ont été tués là-bas et il a dit : « C’est tout. » C’est à ce moment-là qu’il est mort, après l’ordre de sécurité nationale.

Nous avons perdu 53 000 personnes. Les Vietnamiens ont perdu des millions et les Cambodgiens des millions dans ce conflit. La mort de mon père a aussi été un tournant. Une fois de plus, le complexe militaro-industriel a accru sa puissance. Nous sommes devenus de plus en plus un État de surveillance intérieure et un État de sécurité nationale.

Le prochain grand changement s’est produit le 11 septembre. La guerre froide était terminée. Nous étions censés recevoir les dividendes de la paix. En 1992, la guerre froide a pris fin et nous étions censés recevoir les dividendes de la paix. Nous étions censés transformer nos épées en socs de charrue. Nous arrêterions de fabriquer des bombardiers furtifs qui coûtent un milliard de dollars et ne peuvent pas voler sous la pluie.

Nous investirions cet argent dans les écoles, dans les routes, dans la protection policière, dans l’environnement, dans la reconstruction de la classe moyenne éventrée de ce pays et dans la reconstruction des structures et des institutions de la démocratie américaine. L’année suivante, nous avons eu la première attaque contre le World Trade Center. La chose suivante qui s’est produite a été le 11 septembre. À la fin de cette décennie, nous disposions de 888 bases militaires à l’étranger. C’est une nation impériale.

Je dirais que le coup final de ce coup d’État contre la démocratie porté par le complexe militaro-industriel et par le programme de biosécurité a été le Covid19, lorsque l’Amérique s’est vraiment débarrassée de notre Déclaration des droits. Le gouvernement a commencé à censurer le discours pour la première fois dans l’histoire américaine. Une fois que vous avez censuré le discours, Jefferson, Madison, Hamilton et Adams ont tous dit la même chose ; « Nous avons inscrit la liberté d’expression dans le premier amendement, car tous les autres amendements et droits en dépendent. Si un gouvernement a le droit de censurer ses détracteurs et de les faire taire, il a le droit de commettre toutes les atrocités.»

Ils ont affirmé ce pouvoir avec succès pour réprimer la dissidence. Ils ont fermé toutes les églises pendant un an sans référence scientifique ni processus réglementaire. Il n’y a pas eu d’audiences, il n’y a pas eu de déclaration d’impact environnemental, il n’y avait aucune raison pour que quiconque puisse voir ou contester de quelque manière que ce soit ce qu’il pourrait faire.

Ils se sont débarrassés de la liberté de réunion, qui figure également dans le premier amendement, grâce aux diktats de la distanciation sociale. Ils se sont attaqués aux droits de propriété pour le Cinquième Amendement, fermant 3,3 millions d’entreprises sans procédure régulière ni juste compensation, en violation totale de la Constitution. Ils se sont ensuite attaqués aux procès devant jury, au septième amendement.

Ils ont fait en sorte que si vous faites partie des milliers d’entreprises fournissant des vaccins, des masques, des tests PCR ou d’autres contre-mesures, quel que soit leur comportement négligent ou imprudent, vous ne pouvez pas les poursuivre en justice. Voici ce que dit le septième amendement : “Aucun Américain ne sera privé du droit à un procès devant un jury composé de ses pairs dans des affaires ou des controverses d’une valeur dépassant 25 dollars.” Il n’y a pas d’exception pandémique. Il dit que si une entreprise vous fait du mal, vous pouvez la poursuivre en justice. Mais du coup, on ne pouvait plus faire ça.

À propos, les rédacteurs de la Constitution savaient tout sur les pandémies. Il y a eu deux pandémies pendant la guerre d’indépendance, l’une d’elles qui a décimé l’armée de Virginie, une épidémie de paludisme. Ensuite, il y a eu une épidémie de variole qui a paralysé et gelé l’armée de la Nouvelle-Angleterre à un moment critique alors que nous combattions à Montréal. L’armée de Benedict Arnold a pris Montréal, et le Canada aujourd’hui ferait partie des États-Unis sans cette épidémie de variole.

Entre la fin de la révolution et l’adoption ou l’approbation de la Déclaration des droits et de la Constitution américaine, il y a eu des épidémies dans chaque ville de notre pays qui ont tué des dizaines de milliers de personnes. Il y avait la variole, la fièvre jaune et le choléra dans toutes les villes. Et pourtant, les auteurs ont décidé de ne pas inscrire d’exception épidémique dans la Constitution. Nous avons connu des tragédies bien pires que Covid19.

Nous avons eu cette guerre civile qui a tué 669 000 Américains, l’équivalent de 10 millions aujourd’hui, et qui a presque détruit notre pays. Notre pays était sur le point d’être décimé. Et pourtant, lorsque Lincoln a tenté de suspendre l’Habeas Corpus, la Cour suprême a déclaré qu’il ne pouvait pas le faire.

L’épidémie de grippe espagnole, qui a tué 50 millions de personnes dans le monde, éclipse la pandémie de COVID. Nous n’avons toujours pas suspendu la Constitution. Soudain, il est devenu acceptable de suspendre la Constitution. C’est assez difficile à expliquer.

Prochainement sur les leaders d’opinion américains.

M. Kennedy : Si vous regardez ces simulations encore et encore, ils mettent en pratique une chose.

M. Jekielek : Dans la deuxième partie de mon entretien avec Robert F. Kennedy Jr., fondateur et conseiller juridique en chef de Children’s Health Defense, il explique comment les outils du gouvernement américain développés pour influencer les populations d’outre-mer ont été déployés sur les Américains.

M. Kennedy : La CIA est devenue un gouvernement au sein de notre gouvernement et une véritable tumeur dans notre système.

M. Jekielek : Que pense-t-il des allégations selon lesquelles la CIA aurait été impliquée dans l’assassinat de son oncle, John F. Kennedy ? À une époque où beaucoup ont perdu confiance dans le système américain, comment redonner le pouvoir au peuple américain et raviver les idéaux américains ?

Robert F. Kennedy, Jr. : L’une des grandes inquiétudes des auteurs de la Constitution est que, par la démagogie, la peur et essentiellement la propagande, les démagogues et les tyrans pourraient facilement persuader, en particulier un public non éduqué, d’abandonner le pouvoir. des droits pour lesquels les fondateurs s’étaient battus et pour lesquels, dans certains cas, ils étaient morts. Nous avons été le premier pays à rendre l’enseignement public obligatoire. Ils ont compris qu’un public non éduqué pouvait facilement être manipulé par la propagande pour renoncer à ces droits.

Aujourd’hui, malheureusement, nous disposons des mécanismes par lesquels les gens sont éduqués, à savoir les médias sociaux et les médias traditionnels, qui sont en train de se ratatiner et de mourir en ce moment. Mais les médias sociaux sont, comme nous l’avons vu, entièrement contrôlés par les agences de renseignement, par les intérêts militaires, par le gouvernement et par les agences de régulation qui ont orchestré tout ce coup d’État contre la démocratie.

Les sociétés de médias sociaux, Mark Zuckerberg, Sergey Brin, Jeff Bezos et tous les autres, nous ont initialement promis que les médias sociaux allaient démocratiser le monde. Nous avons vu en un an qu’elle est devenue le principal instrument par lequel les intérêts totalitaires nous tyrannisent.

Jan Jekielek : Il y a tellement de choses dont je voudrais parler ici, mais l’une d’elles est que vous avez dit que les personnes instruites sont censées être capables de remarquer la démagogie et la propagande. En fait, il s’agissait des camionneurs, apparemment les moins instruits. qui ont pu voir à travers cela.

M. Kennedy : C’est un très bon point, et c’était choquant. J’ai été choqué que les gens les plus instruits et ceux qui ont traditionnellement été les plus tenaces dans leur défense de la Déclaration des droits contre toutes les attaques pendant l’ère McCarthy, pendant la guerre du Vietnam, pendant la guerre en Irak, ceux qui se sont tenus debout et a dit : « Nous devons être capables de critiquer notre gouvernement », est soudainement devenu handicapé. Leur capacité de pensée critique a été handicapée par cette campagne de propagande incroyablement habile.

Vous et moi en avons parlé dans le passé. La CIA [Central Intelligence Agency], bien sûr, perfectionne depuis des décennies ces techniques de contrôle mental. Au fait, ce n’est pas de la paranoïa. Leur programme s’appelait MK-Ultra dans l’original, MK-NAOMI, MK-Dietrich dans les autres. MK signifie contrôle mental. C’était le code du contrôle mental. Ils inventaient des moyens de contrôler les individus et de les amener à devenir des assassins involontaires, ce qu’ils appellent des candidats mandchous.

Tout cela est bien documenté grâce au Comité Church, à la Commission Rockefeller et à bien d’autres. Ce que je dis maintenant, ce ne sont pas les délires d’un anti-vaccin paranoïaque. Je ne pense même pas que ce soient des concepts controversés car ils sont très bien documentés. Mais ils imaginaient également des moyens de contrôler des populations entières.

Comment imposer un contrôle centralisé à une population indigène d’un pays étranger ? Tout d’abord, vous désactivez les institutions en utilisant la propagande pour semer la peur par polarisation, la polarisation délibérée de la population en semant le pays avec des agents du chaos, et toutes ces techniques pour créer le chaos dans les pays en développement afin que vous puissiez entrer. La CIA était impliquée. lors de coups d’État ou de tentatives de coup d’État entre 1947 et 1997 contre un tiers des nations de la planète.

La plupart d’entre eux étaient des démocraties. La CIA ne s’occupe pas de la santé publique. Elle fait des coups d’État. C’est dans cela qu’ils se spécialisent. Durant cette période de MK-Ultra, ils payaient des spécialistes des sciences sociales pour concevoir des moyens de contrôle social, et certains d’entre eux concernaient des individus. Ils consommaient des drogues psychédéliques comme le LSD. Ils utilisaient la privation sensorielle, les techniques de torture, la peur et la propagande, les messages autoritaires, et expérimentaient toutes ces choses pour comprendre ce qui fonctionnait.

Vers 2016, avec l’élection de Trump et le Brexit, il semble qu’à ce moment-là, les agences de renseignement aient pris la décision de retourner toutes ces armes contre le peuple américain. On a vu cette extraordinaire campagne de propagande au début de la pandémie. Dans la mesure où les gens disent simplement : « La CIA ne ferait pas ça à l’Amérique. Il est illégal de faire de la propagande en Amérique », ce n’est plus le cas.

Sous l’administration Obama, l’ancienne loi qui interdisait cela a été annulée. Il a également été écrasé dans le Patriot Act en 2001, sous l’administration Bush. La CIA a acquis tous ces pouvoirs croissants. Ils font de la propagande envers le peuple américain et utilisent ces techniques contre les Américains. De plus en plus, nous assistons au contrôle de la presse dans notre pays, à la résurrection de l’Opération Mockingbird, qui est l’opération où l’on contrôlait des centaines et des centaines de journalistes et de rédacteurs en chef des journaux les plus importants de notre pays.

Cela a été découvert en 1973 et la CIA a dit : « D’accord. Nous ne le ferons plus aux États-Unis », mais ils le font à l’étranger. Encore une fois, cela ne prête pas à controverse. La CIA l’admet. Elle finance ces programmes. à hauteur de milliards de dollars par an, principalement via l’USAID [Agence des États-Unis pour le développement international]. Le gouvernement américain est le plus grand financier du journalisme dans le monde. Nous ne finançons pas un journalisme neutre. C’est un journalisme qui soutient l’agenda américain.

Nous faisons cela partout dans le monde, et presque certainement nous le faisons subrepticement dans notre pays depuis de nombreuses années également. Tout d’un coup, ces techniques se sont retournées contre notre pays. D’ailleurs, dans mon livre, le livre Fauci, je parle de cet événement appelé Event 201, qui était une simulation de pandémie qui a eu lieu en octobre 2019 à New York.

Il a été parrainé par Bill Gates, le Forum économique mondial et le CDC chinois. George Gao était là. Les sociétés de médias sociaux étaient là et les sociétés pharmaceutiques étaient là. Les grandes agences de relations publiques étaient là.

M. Jekielek : L’actuel DNI [directeur du renseignement national] était là ?

M. Kennedy : Oui, l’actuel DNI, Avril Haines, directrice du renseignement national, qui est actuellement le meilleur espion au monde. A cette époque, elle était l’ancienne directrice adjointe de la CIA. Avril Haines a fait ses armes à la CIA en dissimulant les enregistrements de torture d’Abou Ghraib et de Guantanamo Bay et en dissimulant la destruction illégale de ces enregistrements, puis en dissimulant les écoutes téléphoniques illégales du Sénat américain par ceux qui avaient détruit ces enregistrements. ou qui essayaient de protéger les personnes qui les détruisaient.

Elle est comme un imprésario en matière de dissimulation. Elle est la meilleure espionne du président Biden. Elle était l’ancienne directrice adjointe de la CIA et elle participe à cette simulation. Que fait la CIA dans une simulation de pandémie ? Ce n’est pas une agence de santé publique. Comme je l’ai dit, c’est une agence qui fait des coups d’État. Si vous regardez ce qu’ils ont fait, cette agence simule une pandémie mondiale de coronavirus qui a tué 60 millions de personnes, bien plus que la pandémie réelle dont nous avons eu connaissance deux mois plus tard, alors qu’elle circulait déjà en octobre 2019.

Nous n’en avons eu connaissance que le 8 janvier 2020. De quoi parlent-ils ? Ils ne parlent pas de santé publique. Ils ne parlent pas de la façon dont nous pouvons fournir de la vitamine D à tout le monde pour renforcer son système immunitaire ? Comment les garder dehors en bonne santé ? Comment faire perdre du poids aux gens ? Comment pouvons-nous mettre les malades en quarantaine tout en protégeant les droits constitutionnels et les personnes vulnérables et tout ce genre de choses dont vous parlez normalement ?

Non, ce dont ils parlent, c’est d’utiliser cette pandémie comme prétexte pour réprimer les contrôles totalitaires. La première chose qu’ils ont dite, c’est : « Nous devons limiter la liberté d’expression. Nous ne pouvons pas permettre aux gens de critiquer les politiques gouvernementales et, en particulier, nous ne pouvons pas permettre aux gens de parler d’une fuite dans un laboratoire.» Ils le font en octobre 2019, avant que quiconque d’entre nous n’ait entendu parler de Wuhan.

Si vous regardez cette partie de la discussion, qui est la quatrième partie, c’est Avril Haines qui la dirige.

Intervenant 3 : Comment les gouvernements, les entreprises internationales et les organisations internationales peuvent-ils garantir que des informations fiables parviennent au public et empêcher, dans la mesure du possible, des informations extrêmement préjudiciables et fausses sur la pandémie de se propager et de provoquer des crises aggravées dans le monde entier.

Intervenant 4 : Chaque fois que quelque chose qui ressort est en fait une fausse information qui commence à entraver notre capacité à lutter contre la pandémie, nous devons alors être en mesure d’y répondre rapidement. L’une des choses que nous voulons faire est de travailler avec les entreprises de télécommunications pour garantir que tout le monde ait accès aux communications que nous souhaitons fournir, car cela sera essentiel pour faire face à l’explosion de la maladie.

Haut-parleur 5 : Il y a de la désinformation et il y a une certaine croyance. Les gens croient que le virus est d’origine humaine, qu’une société pharmaceutique a créé ce virus. Il nous suffit donc de former les agents de santé, les agents de santé. Ils accèdent aux lieux, au public et s’assurent qu’ils reçoivent la bonne information.

Intervenant 6 : Et donc je pense que nous devons vraiment nous assurer, premièrement, du point de vue de l’information, que ces informations sont diffusées correctement et que nous disposons des ressources appropriées pour fournir ces informations.

Intervenant 7 : Il ne s’agit pas seulement de transmettre aux gens un élément de connaissances, il s’agit également de savoir comment nous les incitons à gérer leurs comportements, ce qui, dans toute épidémie de maladie transmissible, un comportement d’un type minimisera vos risques de contracter une maladie par rapport à un comportement d’un autre type. ce qui peut maximiser cette chance.

Intervenant 8 : Il s’agit d’une avancée de la part des gouvernements en matière de mesures coercitives contre les fausses nouvelles.

M. Kennedy : George Gao, qui est le directeur du CDC chinois, doit savoir à ce moment-là que ce virus circule déjà, car il est l’expert chinois en matière de coronavirus. Il doit savoir que ça circule à Wuhan. À propos, en septembre 2019, le laboratoire de Wuhan a supprimé les 22 000 échantillons viraux du site Web. Donc, à ce stade, c’est clair. Pendant ce temps, le satellite montre que l’hôpital se remplit déjà. Dans les discussions suivies par Harvard, Brown et la BU [Université de Boston], ils parlent tous des symptômes du coronavirus.

Le gouvernement chinois devait le savoir. George Gao devait le savoir. Il est là en octobre 2019 avec l’ancien directeur adjoint de la CIA, expliquant comment nous faisons taire les gens lorsqu’ils commencent à parler d’une fuite de laboratoire. Et elle dit : « Non seulement nous devons les censurer, mais nous devons inonder la zone de voix faisant autorité », ce qui signifie de la propagande.

Intervenant 4 : Si vous disposez d’une source fiable, je crois en l’idée selon laquelle nous ne devrions pas essayer de contrôler la communication, mais plutôt inonder la zone d’une certaine manière avec une source fiable qui discute avec des dirigeants communautaires influents ainsi qu’avec des agents de santé.

M. Kennedy : Bien sûr, c’est exactement ce qu’ils ont fait. En recherchant le livre, comme vous le savez, parce que vous avez lu mon dernier chapitre, j’ai découvert qu’il ne s’agissait pas d’une simulation de pandémie ponctuelle. La CIA menait ces simulations depuis 2001, cinq mois avant l’attaque à l’anthrax, et avait prédit tout ce qui allait se passer. Dans chacune de ces simulations, des membres de haut niveau de la CIA participent et les dirigent, comme James Woolsey, le directeur adjoint, Ruth David et Tara O’Toole et d’autres personnes d’In-Q-Tel et de la CIA.

Encore et encore, ils s’entraînent à utiliser la prochaine pandémie pour exécuter un coup d’État contre la démocratie américaine et contre la Déclaration des droits. Comment démanteler la Déclaration des droits ? Et c’est très, très inquiétant parce que tout ce qu’ils ont mis en bouteille, ils l’ont fait.

M. Jekielek : Il est intéressant de voir comment vous formulez cela en ce moment, car je lisais ces derniers chapitres qui parlent de toutes ces différentes simulations qui ont été exécutées par wargaming pour déterminer à quoi ressemblerait une réponse à une pandémie. Ils ont tous un caractère très similaire, la nature que vous décrivez. Ils ne parlent pas de toutes les méthodes dont nous savons qu’elles ont été historiquement efficaces. C’est ce que je trouve fascinant.

C’est presque comme un endoctrinement selon lequel c’est ainsi que la réponse à la pandémie devrait être menée à l’avenir. C’est comme un sursaut de dire : « Il s’agit d’un plan visant à organiser un coup d’État à l’intérieur de l’Amérique. »

M. Kennedy : Je ne peux pas dire que c’était le cas ou non, parce que je ne peux pas regarder dans la tête de ces gens. Je peux dire que c’est très étrange de penser qu’ils faisaient cela et qu’ils étaient des devins si extraordinaires qu’ils avaient prédit avec précision ce qui allait se passer. À propos, certaines de ces simulations sont appelées Operation Lockstep. Nous avons vu ce pivot juste après mars 2020 environ, lorsque toutes les démocraties libérales du monde ont pivoté et se sont retournées contre les droits constitutionnels et la liberté d’expression.

Si vous regardez ces simulations, l’Événement 201 n’impliquait qu’une poignée de personnes très, très puissantes. Si vous regardez les autres, ils ont impliqué des centaines de milliers de personnes et ils étaient les premiers intervenants de villes partout aux États-Unis, au Canada, en Europe, en Australie et dans d’autres pays.

Même la Chine a participé à certaines d’entre elles. Ils étaient secrets ou top secret, mais les personnes qui y participeraient seraient de bas niveau. Ils seraient maires de villes. Il s’agissait des premiers intervenants, des pompiers, des systèmes hospitaliers, des services publics, de la police, du FBI, de la CIA, des US Marshals, de toutes ces différentes agences qui étaient toutes informées que c’était ce qu’il fallait faire en cas de pandémie.

Ce que je dirais, c’est que normalement, si on leur demandait simplement de réagir à une pandémie et que quelqu’un disait : « Ce que vous faites quand il y a une pandémie, c’est de vous débarrasser du premier amendement et de la Constitution et de commencer à étouffer la parole », les gens réagiraient et diraient : , “Attendez une minute, cela ne me semble pas juste. Pourquoi faisons-nous ça?” Il y aurait des dissensions dans les rangs et des questions. Mais si vous faites cela encore et encore et encore et encore et que tout le monde entre dans cette étape et dit : “D’accord, c’est ce que nous faisons. C’est ce que disent les experts.”

Chacune de ces pandémies a été dirigée par une personne respectée qui est une figure de proue comme Madeleine Albright ou Tom Daschle ou Sam Nunn ou Bill Gates ou quelqu’un qui lui a donné l’imprimatur de légitimité. La plupart d’entre eux étaient probablement des idiots utiles qui ne savaient même pas ce qu’ils faisaient là. Ils essayaient juste d’être utiles. Mais cela a légitimé, en tant que réponse très, très étrange aux pandémies, le fait que la façon dont vous gérez les pandémies consiste à se débarrasser de la Déclaration des droits.

Bien sûr, l’une des choses qu’Eisenhower a déclarées en 1961 lors de son discours sur le complexe militaro-industriel, c’est que nous devons trouver un moyen d’équilibrer ces besoins ; l’armée, la recherche scientifique et toujours garder les droits constitutionnels au premier plan de tout ce que nous faisons. Cette dernière partie a été complètement oubliée. On n’essaye pas de sauver l’Amérique en la détruisant. Et qu’est-ce que l’Amérique ? Nous sommes la majesté des montagnes violettes. Nous sommes un groupe de personnes de différentes races du monde entier.

Ce qui nous unit et donne la qualité et la définition de qui nous sommes est la Constitution des États-Unis. C’est quelque chose que nous disons tous : « D’accord, quoi qu’il arrive, c’est ce en quoi nous allons tous croire. Nous n’allons pas tous appartenir à la même religion. Nous sommes musulmans, nous sommes juifs, nous » Concernant le Falun Gong. Nous sommes tout le monde. Nous n’allons pas être d’accord sur beaucoup de choses. Mais nous allons être d’accord sur ceci. Tout le monde va être d’accord sur ces dix amendements à la Constitution, qu’il y ait une guerre, s’il y a une peste, s’il y a la famine ou s’il y a une dépression.

Pendant la Grande Dépression, de nombreuses personnes voulaient abandonner la Constitution. Le président Roosevelt a prononcé ce célèbre discours lors de son premier discours inaugural dans lequel il a déclaré : « La seule chose que nous devons craindre, c’est la peur elle-même. »

Haut-parleur 9 : Permettez-moi d’affirmer ma ferme conviction que la seule chose que nous devons craindre est la peur elle-même. Une terreur sans nom, irraisonnée et injustifiée, qui paralyse les efforts nécessaires pour convertir la retraite en avance.

M. Kennedy : La raison pour laquelle il a dit cela, c’est parce qu’il savait que la peur était l’outil des tyrans et qu’il voyait que la dépression était une dépression mondiale. Il a vu ce qui se passait en Allemagne, en Espagne et en Italie, où les fascistes totalitaires avaient utilisé la dépression et la peur qu’elle avait suscitée pour prendre le pouvoir avec un contrôle totalitaire et autoritaire. Il a constaté qu’en Russie, la même dépression était utilisée pour renforcer le régime communiste.

Cela se produisait également dans certains pays d’Europe de l’Est. Il y avait aussi des gens aux États-Unis. Huey Long, qu’un tiers de la population de notre pays aimait, disait : « L’heure est à la révolution. Cela ne marche pas. » Beaucoup de gens ont perdu confiance dans le capitalisme et dans la démocratie.

Ce qu’il nous a dit, c’est : « La seule chose que vous devez craindre, c’est la peur elle-même. Nous allons nous en sortir et nous allons reconstruire ces institutions », et c’est exactement ce qu’il a fait. Mais il a dit : « Vous devez vous calmer.” C’est la grande chose qu’il a fait pour notre pays, c’est qu’il a calmé tout le monde.

C’était la pièce maîtresse du Parti démocrate. Nous sommes la maison des courageux, la terre des libres. Nous sommes le pays de la liberté, parce que nous sommes le pays des courageux et que la peur ne nous handicapera pas. Tout d’un coup, pour la première fois de notre histoire, nous avions un gouvernement qui attisait la peur, qui essayait de nous faire peur, et ils étaient tous en phase avec les grands médias et les réseaux sociaux qui nous inspiraient la peur à chaque instant. seule journée. “Le virus va vous attraper. Il va vous tuer. Peu importe votre âge. Vous allez mourir. Éloignez-vous de vos voisins. Ce sont des risques biologiques.”

“Mettez le masque, faites ce qu’on vous dit, obéissez.” Cette peur a la capacité de désactiver notre capacité de pensée critique. C’est pourquoi c’est l’outil des tyrans et ils l’ont transformé en arme.

M. Jekielek : Deux choses me viennent à l’esprit, en fait trois choses. La première est, et vous l’écrivez dans le livre, que nous avons connu le plus grand transfert de richesse vers le haut de l’histoire. C’est profondément inquiétant et cela représente en même temps une décimation de la classe moyenne à cause de la COVID. C’est essentiellement le cas dans tous les pays occidentaux qui ont mis en œuvre ces politiques de confinement sur place.

La deuxième chose est que vous parlez de ce que la CIA a fait et de ce que notre pays a fait avec la suspension de la Déclaration des droits. C’est une musique pour tous les tyrans ici, comme le Parti communiste chinois. Xi Jinping est très heureux d’entendre l’Amérique se retirer. Ils vont utiliser cela et dire : « Écoutez, l’Amérique a perdu sa position morale. C’est vers nous que vous devriez vous tourner. »

Vladimir Poutine utilise déjà exactement les mêmes arguments. La troisième chose dont vous parlez est l’amour de l’Amérique et de ce pays. La question est : « Y a-t-il un avenir pour l’Amérique dans tout cela ? Je ne peux m’empêcher de me sentir très déprimé à l’égard de l’Amérique au moment où nous parlons ici. Commençons par la première chose. Commençons par ce qui s’est passé avec ce transfert de richesse vers le haut.

M. Kennedy : Oui. Pendant la pandémie de COVID-19, rien qu’aux États-Unis, la richesse a augmenté de 3 800 milliards, en grande partie de la classe moyenne et des pauvres de notre pays vers, au moins en partie, cette nouvelle oligarchie de milliardaires. Il y a eu 500 nouveaux milliardaires créés pendant la pandémie. Une grande partie de l’argent a fini par se concentrer, ironiquement ou par hasard, dans les sociétés de médias sociaux qui bénéficiaient réellement des confinements et qui censuraient simultanément les critiques à l’égard des confinements. Ces sociétés ont de solides liens avec le Pentagone ainsi qu’avec les agences de renseignement. Beaucoup de ces sociétés ont été créées dans la Silicon Valley avec la participation d’In-Q-Tel, la société d’investissement de la CIA.

Ce sont le Pentagone et la DARPA [Defense Advanced Research Projects Agency] qui ont créé l’ARPANET [Advanced Research Projects Agency Network] en 1979. Ils ont créé Internet et ont ensuite commencé à ensemencer ces entreprises avec des investissements très, très secrets. La plupart du temps, un grand nombre de PDG de haut niveau dans ces entreprises, de hauts dirigeants de ces entreprises, ont signé des accords de sécurité d’État avec l’agence en échange d’investissements dans l’entreprise, ce qui en faisait essentiellement un pion de l’entreprise. agence.

Presque tous ont d’énormes contrats avec l’armée et avec la CIA ou avec d’autres agences de renseignement de défense ou d’autres agences. Il existe toutes sortes d’enchevêtrements financiers et de pouvoir. Et puis, les pauvres ont été frappés dans ce pays. Les enfants ont perdu 22 points de QI selon l’étude de l’Université Brown, les plus jeunes enfants pendant la pandémie. Il y a eu une augmentation du suicide et de l’alcoolisme.

Si vous étiez riche dans ce pays, les confinements étaient une soirée pyjama. Vos enfants doivent rester à la maison. Pour moi, c’était merveilleux, car mes enfants étaient à la maison avec moi. J’ai sept enfants. Je n’aurais jamais pensé qu’ils vivraient tous à nouveau à la maison et que nous devions sortir. Nous avons passé beaucoup de temps dehors car je vis à côté d’une nature sauvage et à proximité d’une plage où nous pourrions surfer. Mais si vous viviez à Compton, Harlem ou Watts, la police y est entrée et a cadenassé les terrains de jeux.

Les parkings où les gens du centre-ville peuvent venir se garer et aller à la plage ont tous été fermés. Les skateparks, ils leur jetaient du sable. C’est une maladie qui se propage à l’intérieur, et pourtant nous avons enfermé tout le monde à l’intérieur. Ils distribuaient des billets aux surfeurs sur la plage. La police était là-bas et leur a donné une amende de mille dollars. Vous n’allez pas propager le COVID. Vous allez avoir du soleil qui va vous protéger contre le COVID. Les terrains de jeux qu’ils ne pouvaient pas fermer, ils ont enlevé les paniers de basket. Si vous viviez dans un quartier pauvre, vous étiez enfermé à l’intérieur. Pour beaucoup de ces enfants, le seul repas chaud qu’ils recevaient était à l’école et ils ont fermé les écoles. Le seul indice de pauvreté et de détérioration sociale qui s’est réellement amélioré est la maltraitance des enfants.

La maltraitance des enfants dans de nombreux registres a diminué pendant la COVID. C’était un artefact du reportage, car la plupart des abus sur enfants étaient signalés par les écoles, ils fermaient l’école et enfermaient l’enfant maltraité avec leurs agresseurs.

50 pour cent ont signalé une forme de violence, physique ou verbale. Je pense que 9 pour cent des abus physiques ont doublé ou triplé par rapport aux niveaux précédents. C’était une attaque contre les pauvres. C’était une guerre contre les pauvres. Il y avait 10 000 enfants en Afrique qui mouraient de faim chaque mois à cause des confinements. Partout dans le monde, des enfants mouraient faute d’accès aux médicaments contre la dysenterie et le paludisme.

C’était une guerre contre les pauvres partout dans le monde. Selon Larry Summers et l’étude de Harvard, le coût des confinements s’élevait à 16 000 milliards de dollars. Comment allons-nous payer cela ? Nous allons le payer en imprimant de la monnaie, de la même manière que nous allons payer la guerre en Ukraine avec cent milliards. Nous allons imprimer de l’argent.

Lorsque vous imprimez de l’argent, vous obtenez de l’inflation et l’inflation est un impôt sur les pauvres. C’est une autre manière de transférer de la richesse aux banques et aux riches en détruisant les retraites, en détruisant la valeur de votre chèque de sécurité sociale, en détruisant le compte bancaire et vos économies. Tout cela s’érode et la richesse est transférée aux très, très riches. Était-ce intentionnel ? Je ne peux pas le dire, mais c’est très, très mauvais pour notre pays.

M. Jekielek : De nombreux Américains, de nombreux Canadiens et de nombreux habitants des pays occidentaux examinent ce qui est arrivé à l’Amérique. Est-ce vraiment une démocratie ici ? Les gens se posent ces questions et je dois souvent leur répondre : « Oui, absolument, par rapport à la Chine communiste ». Certains disent : « Nous sommes comme la Chine communiste. Nous sommes comme la Russie.

Je réponds : “Non, en fait, nous ne sommes pas comme ça. Peut-être que si nous continuons dans cette voie, nous y arriverons.” J’entends deux côtés. Vous dites qu’il y a eu un coup d’État. En même temps, j’entends que vous avez un cœur pour l’Amérique. Où allons-nous à partir d’ici ?

M. Kennedy : Je ne mènerais pas ce combat si je ne pensais pas qu’il y avait un espoir de restaurer la démocratie et la valeur de notre pays. C’est en quelque sorte au cœur de ce que je fais de ma vie. Je ne sais pas sous quelle forme cela prendra, mais je sais que mon travail consiste à me battre pour cela. Cela se produira si suffisamment de personnes assument personnellement la responsabilité de faire en sorte que cela se produise. Pour ma part, je ne fais pas de prédictions et j’essaie de ne pas m’investir dans les résultats.

La seule chose que je contrôle et sur laquelle j’ai réellement contrôle, c’est ce petit morceau de bien immobilier à l’intérieur de mes propres chaussures. La façon dont je vis ma vie est que j’essaie d’abandonner les résultats et de ne pas m’y investir. Mais je sais que je dois me lever tous les jours et dire : « Au rendez-vous, monsieur », me regarder dans le miroir et sortir et monter sur les barricades et me battre pour la démocratie, et me battre pour la dignité humaine, et me battre pour les droits de l’homme et la liberté et la tolérance, la patience et la gentillesse, et toutes les choses pour lesquelles mon Dieu veut que je me batte.

J’ai été leader du mouvement environnemental pendant 40 ans. Je suis juste un écologiste. Mais si vous êtes écologiste, chaque victoire est temporaire, et chaque perte et défaite est permanente. Si vous perdez une espèce, elle disparaît à jamais. Si vous perdez un morceau de paysage, Dieu ne le remplacera pas par quelque chose. Si vous le recouvrez, vous ne le récupérerez jamais.

Beaucoup d’écologistes s’épuisent parce qu’ils se sentent vaincus. Leurs âmes sont brisées et ils se sentent désespérés. J’ai juste pris la décision au début de ma carrière, après avoir vu beaucoup de gens s’épuiser, que je n’allais pas faire ça et que je n’allais pas m’investir dans les résultats. Si vous n’avez pas d’attentes, vous ne serez jamais déçu. S’ils ne sont pas capables de vous décevoir, ils ne peuvent pas vous vaincre et vous devenez implacable.

C’est ce qui rend quelqu’un comme moi dangereux. Peu importe ce qu’ils me font, je vais me lever et les combattre à nouveau. C’est l’une des choses qui font de Hong Kong une menace pour le gouvernement chinois. Beaucoup de gens disent : « Nous n’avons d’attentes que de nous-mêmes, de notre propre âme, de notre propre devoir de faire ce qui est juste. Nous le ferons, peu importe ce que vous nous faites. “

Nous devons tous adopter cette attitude, car c’est ce qui, en fin de compte, nous donnera la victoire, et nous ne pouvons pas être vaincus. Si vous savez ce que vous allez faire, vous abandonnez les résultats et vous ne pourrez jamais être battu.

M. Jekielek : Très rapidement, vivons-nous dans une démocratie? Selon vous, vivons-nous aujourd’hui dans une république constitutionnelle ?

M. Kennedy : Pour le moment, je dirais seulement le nom. Nous n’avons plus de presse libre aux États-Unis. Nous avons les formes de la démocratie. Nous avons des élections, mais les individus ont-ils vraiment une influence sur la plupart de leurs responsables politiques ou sur les agences gouvernementales ? Je dirais non, ceux-ci sont contrôlés par l’argent. Maintenant, il y a des choses que vous pouvez faire. Il existe des réformes simples qui peuvent restaurer l’Amérique et une véritable démocratie dans ce pays.

L’une d’elles consiste à retirer de l’argent du processus électoral. Nous avons eu cette règle pendant 100 ans dans notre pays. Nous l’avons adopté en 1908, puis, avec l’arrêt Citizens United en 2008, il a été rejeté par la Cour suprême. C’est essentiel, car sinon vous avez une société. Écoutez, se présenter aujourd’hui au Sénat de l’État de New York, notre Sénat américain à New York, coûte 50 millions de dollars.

Cela signifie que si vous vous présentez, vous devez appeler des centaines de personnes chaque jour et leur demander des contributions de 10 000 $, voire 25 000 $. Lorsque vous arrivez au bureau et qu’ils vous rappellent, vous devez répondre à leurs appels téléphoniques. Cela veut dire qu’il ne vous reste plus de temps pour le petit bonhomme qui se fait piétiner par le gouvernement.

Ce n’est plus vraiment une démocratie. Il s’agit plutôt d’une oligarchie ou d’une ploutocratie qui ne répond qu’aux besoins des riches et aux besoins des entreprises qui paient les frais de lobbying électoral des politiciens, qui deviennent ensuite leurs serviteurs sous contrat au Capitole.

C’est l’un des problèmes. Le problème de la mainmise des entreprises sur nos agences de régulation est également assez facile à résoudre. Si vous avez un dirigeant, qu’il s’agisse d’un gouverneur ou d’un président, qui est déterminé à le faire et qui sait comment s’y prendre et faire ces choses, le NIH serait une agence facile à réparer.

Vous n’êtes pas obligé de le brûler jusqu’au sol. Il existe des moyens de le faire. C’est la même chose avec le CDC et la FDA. Il faut sortir l’argent. Vous devez retirer l’argent des produits pharmaceutiques. La CIA est également facile à réparer. Mon père allait réparer la CIA. Lorsqu’il était candidat, son intention était de ramener la CIA à ce qu’elle était censée être, c’est-à-dire une agence d’espionnage, ce qui implique de recueillir des informations, de les analyser et de fournir ces informations à l’exécutif.

Ce qui a vraiment amené la CIA dans la mauvaise direction, c’est qu’Allen Dulles l’a manipulée pour permettre des actions dans ce qu’ils appellent la division des plans, qui assassine des dirigeants, truque les élections et fait toutes ces affaires de singes dans le monde entier. Parce qu’ils sont tous les deux dans la même agence, la queue, qui est la division des plans, commence à remuer le chien, qui est la division de l’espionnage et de l’information qui devient une extension de la division paramilitaire, et sa fonction est maintenant de justifier ces interventions paramilitaires et pour les dissimuler et s’assurer qu’il n’y a aucune responsabilité.

Ce dont vous avez besoin, c’est d’une agence distincte qui examine la division des plans et demande : « Quel est le coût du retour de flamme ? Le coût du retour de flamme n’est jamais mesuré. Regardez la guerre en Irak. La CIA a fabriqué des preuves de la guerre en Irak, des armes de destruction massive. George Tenet a déclaré à George Bush : « C’est un jeu d’enfant. Nous allons en Irak et ensuite cela nous mène en Syrie. » La guerre syrienne entraîne l’arrivée de 2 millions de réfugiés en Europe, puis la démocratie s’effondre en Europe. Nous avons le Brexit.

Tout cela fait partie du coût du retour de flamme. Nous avons renversé Mohammad Mossadegh en Iran en 1953, et nous en payons encore le prix avec le gouvernement iranien et avec les tensions dans la région. Personne n’a à rendre compte du coût d’un retour de flamme. Il faut qu’une agence examine, critique et dise : « C’était une énorme erreur ». Malheureusement, la CIA est devenue un gouvernement au sein de notre gouvernement et une véritable tumeur dans notre système, et nous devons y remédier.

M. Jekielek : Nous avons beaucoup parlé de propagande émanant du gouvernement, soutenue par le gouvernement et approuvée par les médias sociaux. L’une des critiques du système américain formulées par différents groupes dissidents est qu’il n’y a pas assez de propagande pro-américaine du genre : « L’Amérique est un endroit incroyable. Ce sont les principes de l’Amérique. C’est presque comme si les armes de propagande n’étaient pas pro-américaines en apparence.

M. Kennedy : Ce que je dirais, c’est que nous devrions moins nous soucier de la propagande et davantage de la politique. Mon oncle, le président Kennedy avait quelques idées sur la politique étrangère. Premièrement, nous devrions soutenir les groupes nationalistes. Nous devons soutenir la souveraineté nationale contre les puissances coloniales traditionnelles. L’Amérique devrait adopter une position contre l’impérialisme, quelle que soit sa position. Nous devrions gagner par nos idées et non par l’armée, en laissant nos idées s’imposer sur le marché des idées.

Le point de vue des enfants d’Afrique et d’Asie lorsqu’ils entendent parler des Américains devraient être ceux des volontaires du Peace Corps et non des hommes armés, et que le bras de l’Amérique devrait être l’USAID, qui à ce moment-là aidait en fait les pauvres avant que la CIA ne prenne le relais, avec l’Alliance pour le Progrès et le programme Kennedy Milk. Quand je vais en Afrique, je rencontre tellement de gens qui s’appellent Kennedy, parce qu’ils portent le nom de mon oncle.

Dans chaque capitale d’Afrique, d’Amérique latine et dans de nombreuses capitales d’Asie, il y a des boulevards portant le nom de mon oncle, ainsi que des écoles de médecine, des collèges et des universités. Il y a des statues de lui dans les principaux lieux de ces villes. Je dirais que c’est difficile à mesurer, mais il existe de nombreux sondages pour déterminer qui est le meilleur président. Si vous souhaitez utiliser comme mesure le nombre de noms de lieux portant le nom d’un certain président, mon oncle les dépasserait tous.

C’est parce que la plupart des gens dans le monde espèrent que l’Amérique sera l’Amérique qui tiendra ses promesses et ses idéaux. Lorsque nous avons un président qui fait réellement cela, nous en recevons du crédit. Ce n’est pas à cause de la propagande, c’est parce que les gens voient la bonté de l’Amérique et de leur vie. C’est sur cela que nous devrions nous concentrer, plutôt que d’inventer des moyens de convaincre les gens de choses qui peuvent être vraies ou non.

M. Jekielek : En ce qui concerne votre oncle, John F. Kennedy, et son assassinat, que savons-nous réellement à ce stade ? Les gens ont vu l’épisode de Tucker Carlson, il fait allusion à une implication qui n’a pas été niée. Que savons-nous réellement ?

M. Kennedy : C’est une grande question. Il existe désormais des millions et des millions de documents qui relient la CIA à la mort de mon oncle, et les résumer serait presque impossible. Ce à quoi Tucker faisait référence a été pour certaines personnes une révélation, mais pas pour moi, car je lis ces documents depuis des années, que Lee Harvey Oswald était un atout de la CIA.

Il a été recruté. Il avait été opérateur radar de la marine américaine à la base aérienne d’Atsugi au Japon, d’où décollait l’avion espion U2. Il a été recruté par James Jesus Angleton pour faire une fausse défection vers l’Union soviétique.

La raison pour laquelle ils voulaient faire une fausse défection est qu’ils savaient qu’il y avait une taupe à Langley qui donnait au Kremlin toutes les informations sur les programmes d’espionnage de la CIA en Union soviétique. Tous nos espions étaient tués dès leur arrivée sur place ou dès leur défection.

Ils voulaient savoir de qui il s’agissait. Angleton pensait que si Oswald faisait défection avec cette défection de très haut niveau et très médiatisée, le Kremlin se soucierait de savoir s’il était ou non un espion et demanderait à son espion à Langley de vérifier son dossier.

Il y avait un système de déclenchement sur ce dossier qui révélerait quiconque le vérifierait. C’était le but de l’envoi d’Oswald en Union soviétique. Bien sûr, rien ne s’est passé. Deux ans plus tard, il est rentré chez lui sans aucune punition. Le Département d’État a payé son billet et il a été envoyé à Dallas où il a été récupéré par George Mohrenschildt, qui était un agent de la CIA, et par d’autres personnes de la CIA, et il a obtenu le poste au Texas Book Depository.

Mais il existe de très nombreux autres détails difficiles à résumer. La CIA l’avait nié pendant si longtemps, et le FBI l’avait nié, alors qu’ils savaient qu’il était vrai qu’il était un agent de la CIA.

M. Jekielek : Serait-ce le bon moment pour déclassifier cette information?

M. Kennedy : Légalement, il était censé avoir été déclassifié il y a longtemps. La question est pourquoi ne le déclassifient-ils pas ? Toutes les personnes impliquées sont désormais mortes. La raison est clairement liée à la protection institutionnelle.

M. Jekielek : La protection institutionnelle est un sujet dont nous entendons beaucoup parler de la part de nombreuses institutions. C’est ce que je voulais vous demander. Il y a un nouveau sous-comité sur la militarisation du gouvernement fédéral. Quelles sont vos recommandations à leur égard ?

M. Kennedy : S’attaquer à la censure est la chose la plus importante, ainsi qu’à la suppression de l’hydroxychloroquine, de l’ivermectine et des traitements précoces. Les États-Unis ont le pire bilan au monde en matière de gestion du COVID. Il est difficile de comprendre pourquoi Anthony Fauci est toujours un héros. Nous représentons 4,2 pour cent de la population mondiale et 16 pour cent des décès dus au COVID, ce n’est donc pas un bon bilan. Nous avons eu un taux de mortalité d’environ 3 000 personnes par million d’habitants à cause du COVID. Vous pouvez regarder l’un des pays qui utilisaient l’ivermectine et l’hydroxychloroquine ; Le Nigeria comptait 14 habitants par million, soit un 200e de notre taux de mortalité.

Vous pouvez dire : « Ce sont des populations jeunes et le COVID est une maladie des vieux », ce qui est vrai. Mais la population la plus âgée du monde est le Japon, qui a également autorisé l’accès à l’hydroxychloroquine et à l’ivermectine. Leur taux de mortalité était de 1/10. des nôtres.

Vous parcourez le monde et il y a une corrélation directe très claire, et les études sont si claires. De nombreux Américains sont morts alors qu’ils n’auraient pas dû mourir, probablement environ 650 000 selon Harvey Risch et d’autres biostatisticiens qui ont examiné les études, qui sont claires. Les études montrent systématiquement, plus de 100 études, que 85 pour cent des personnes décédées n’auraient pas dû mourir, car on leur a refusé un traitement précoce.

C’est une question très importante à aborder directement. Bien sûr, les origines du virus dans le laboratoire de Wuhan et sa dissimulation doivent être abordées, mais la censure est la chose la plus importante. S’il n’y avait pas de censure et si la presse faisait son travail, ces choses ne se seraient pas produites.

M. Jekielek : Vous avez actuellement une poursuite en justice contre la Trusted News Initiative.

M. Kennedy : Nous avons actuellement de nombreuses poursuites judiciaires pour censure.

M. Jekielek : Sans doute, ce que vous appelez les médias traditionnels, c’est comme si leur mandat avait changé. La recherche de la vérité n’est plus un mandat. Qu’espérez-vous que ces poursuites aboutiront ? Je pense à celui-ci spécifiquement contre Reuters et le Washington Post, que peuvent accomplir ces poursuites en cas de modification de ce mandat ?

M. Kennedy : Notre objectif, en fin de compte, est de rendre la censure si embarrassante ou si coûteuse pour eux qu’ils cesseront. C’est vraiment extraordinaire pour moi d’avoir tous ces jeunes reporters qui ont fait une école de journalisme. Ils ont été capturés par l’idéalisme, l’enthousiasme de rechercher des vérités existentielles et de les exposer ensuite au public. Ils connaissaient l’importance de la libre circulation de l’information pour la démocratie. C’est la lumière du soleil, c’est l’engrais et c’est l’eau de la démocratie. Sans cela, il dépérit et meurt. La presse libre est importante.

À court terme, les régimes totalitaires sont presque toujours plus efficaces que les démocraties. Les démocraties sont en désordre. Ils sont lents. Ils sont bâclés. Ils sont exaspérants et inefficaces. À long terme, nous pensons qu’ils sont plus efficaces qu’à court terme. Les États-Unis l’ont montré au cours de leur histoire. Si vous voulez tuer des gens qui sont vos ennemis et mettre en œuvre des politiques, vous pouvez opérer comme les Chinois le font, et vous pouvez avoir une certaine efficacité à court terme dans ce domaine.

Mais les rédacteurs de la Constitution ont fait valoir que le seul avantage que nous avons réellement par rapport aux avantages à court terme d’un régime totalitaire est qu’avec la libre circulation de l’information, les meilleures idées surgissent sur le marché des idées et triomphent, et elles ont été forgé dans la fournaise du débat.

Ces idées finiront par aboutir à de meilleures politiques. Les politiques qui sont le fruit d’un consensus obtiennent l’adhésion de la population et vous obtenez un électorat plus stable, car il a le sentiment d’avoir été consulté et d’en faire partie.

Ces jeunes reporters l’ont bien compris. Ils sont tous arrivés à l’école de journalisme avec l’idée qu’ils allaient avoir une chance de dire la vérité au pouvoir et de défendre les petits gars et contre les gouvernements puissants. Aujourd’hui, ils sont devenus l’outil, le porte-voix permettant à ces gouvernements puissants d’intimider et de soumettre les petits gars.

Ils vivent contre leur conscience. Il faut imaginer qu’ils vivent contre leurs valeurs. Nous devons leur donner une chance d’honorer les valeurs et les aspirations qui les ont initialement appelés au journalisme. Nous devons y parvenir en embarrassant leurs patrons et en rendant la censure coûteuse pour eux.

M. Jekielek : Il y a un article du New York Times qui parle de la façon dont votre famille est gênée par vous, si je me souviens bien. Epoch Times a été attaqué de toutes sortes de manières avec toutes sortes de surnoms très malheureux. En fait, ce qui me rend fou, c’est que lorsque nous sommes attaqués, ils ne nous attaquent généralement pas vraiment. Ils attaquent nos fondateurs qui sont des pratiquants de Falun Gong, l’un des groupes les plus persécutés au monde, et pour ce faire, ils utilisent la propagande du Parti communiste chinois. Il y a un coût élevé à tenter de rechercher la vérité aujourd’hui. Est-ce que tu ressens ça ?

M. Kennedy : J’ai l’impression qu’il y a un coût, mais je n’ai pas l’impression d’avoir quoi que ce soit à redire. Nous avons tous un travail à faire et avoir une vie difficile ou ces défis est en fin de compte un cadeau. Mon père, juste avant de mourir, m’a tendu un livre de Camus intitulé La Peste. Il m’a appelé dans sa chambre et me l’a donné et il a dit : « Je veux que tu lises ceci », avec ce genre d’intensité particulière.

Après sa mort, je l’ai lu plusieurs fois pour essayer de comprendre la raison pour laquelle il tenait tant à ce livre. Le livre parle d’un médecin dans une ville en quarantaine où sévit la peste et où personne ne peut entrer ou sortir. Personne ne sait ce qu’est la peste et ne sait pas comment la soigner. Ils savent que c’est contagieux et que si vous y êtes exposé, vous risquez fort d’en mourir.

Une grande partie du livre montre le médecin ayant une conversation avec lui-même dans sa chambre et disant : « Je ne veux pas partir, parce que je vais mourir. Et pourtant, je suis médecin, donc je suis censé J’aide les gens, mais je ne sais pas comment aider les gens. Il n’y a pas de traitement pour ça. Je ne peux vraiment rien faire.

Et à la fin, il va s’occuper des malades, des mourants, des personnes mal à l’aise, et il fait son travail. Camus a écrit un autre livre. Camus était un existentialiste et il était l’héritier de la philosophie romaine et grecque du stoïcisme. Il a écrit un livre sur le héros stoïcien, le héros stoïcien emblématique, Sisyphe.

Sisyphe était maudit par les dieux pour pousser tout le temps une pierre vers le haut de la colline, un rocher géant. Mais une fois arrivé au sommet de la colline, il ne pourra jamais s’en remettre. Il y arrive presque, mais cela lui revient toujours, et ensuite il doit recommencer. Il doit faire cela pour l’éternité.

Cela semble misérable, mais dans l’esprit des stoïciens, Sisyphe était un homme heureux parce qu’il avait un travail et qu’il s’efforçait toujours de s’élever. Il mettait son épaule contre la pierre et il faisait son devoir. C’est de là que viennent le bonheur, la satisfaction et la paix. Bien souvent, les choses que nous considérons comme des pénalités, des blessures ou des malheurs sont en réalité des cadeaux pour nous et elles sont évoquées. La douleur est la pierre de touche de la croissance spirituelle.

Je me sens très heureux de ma vie et paisible face aux choix que j’ai faits. J’ai de la compassion pour les membres de ma famille qui ne sont pas d’accord avec moi sur de nombreux sujets, et je n’ai de rancune envers personne. Je sais ce que je dois faire et je fais de mon mieux pour le faire.

M. Jekielek : Robert F. Kennedy, Jr., c’est un tel plaisir de vous avoir dans l’émission.

M. Kennedy : Merci beaucoup, Jan, de m’avoir invité.

M. Jekielek : Merci à tous d’avoir rejoint Robert F. Kennedy, Jr. et moi dans cet épisode d’American Thought Leaders. Je suis votre hôte, Jan Jekielek.

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Une nouvelle vision du monde émerge qui peut changer notre vision de la réalité

-pepareforchange

Qu’est-ce qui changerait si, depuis votre naissance jusqu’à aujourd’hui, on vous enseignait que, d’une manière ou d’une autre, nous sommes tous véritablement connectés ? Et si une histoire d’interconnexion était le fondement de votre vision du monde, vous faisant savoir que vous êtes connecté à la terre, aux plantes, aux animaux, aux gens et à l’univers d’une manière qui ne serait peut-être pas si évidente ? Je ne parle pas de cela de manière superficielle, mais en pratique.

Et si, au lieu de nous voir tous comme des objets matériels séparés les uns des autres, nous nous voyions les uns les autres comme des fragments de nous-mêmes et reconnaissions vraiment cela au plus profond de notre être ?

Eh bien, si vous avez grandi dans une culture autochtone, ce serait probablement déjà votre vision du monde. Mais nous voyons maintenant cette compréhension se frayer un chemin dans la culture occidentale et dans la pensée dominante.

D’un point de vue scientifique, cette interconnexion peut être envisagée   à travers l’intrication quantique. L’intrication quantique se produit lorsque deux particules, dans leur état quantique, sont séparées l’une de l’autre, mais lorsque vous faites quelque chose à l’une d’elles, l’autre fait exactement la même chose, quelle que soit la distance qui les sépare.

Par exemple, si vous séparez les deux particules de 1 000 milles et que vous « faites tourner » l’une d’elles, l’autre commencera également  instantanément  à tourner de la même manière. Cela suggère que les deux particules matérielles, même si elles sont séparées et éloignées l’une de l’autre, sont toujours interconnectées d’une manière que nous ne comprenons pas encore vraiment.

Les scientifiques ont réalisé ces expériences à plusieurs reprises et ont été fascinés par les explications possibles. L’une d’elles est que l’information peut voyager à une vitesse bien supérieure à celle de la lumière, ce qui est une explication qui briserait probablement notre compréhension actuelle de la mécanique classique. L’autre étant qu’ils sont toujours connectés d’une manière ou d’une autre.

En 1965,  des rythmes cérébraux alpha ont été provoqués  chez une paire de vrais jumeaux suite à l’évocation de ces rythmes de manière conventionnelle uniquement chez l’autre. Comment est-ce possible? Comment les participants aux programmes de visualisation à distance du gouvernement américain voient-ils des personnes, des lieux et des objets situés à des centaines de kilomètres avec rien d’autre que leur esprit ?

Comme le soulignait l’Institut chinois de l’énergie atomique en 1991,  dans une étude archivée par la CIA :

« DE TELS PHÉNOMÈNES ET CAPACITÉS PARANORMALES DU CORPS HUMAIN SONT INIMAGINABLES POUR LES GENS ORDINAIRES. NÉANMOINS, ILS SONT RÉELLEMENT VRAIS.

Serait-il possible qu’il existe un lien profond qui ne nous est pas immédiatement apparent ? Celui qui n’est peut-être pas reconnu dans notre esprit quotidien, mais lorsque nous prenons le temps de ralentir, de nous calmer et de ressentir, cela semble présent ?

Mes propres expériences de visualisation à distance et de non-localité à travers la pratique me disent que l’explication matérielle selon laquelle ces « capacités » ne sont pas possibles et, d’une manière ou d’une autre, une erreur d’observation ou un vœu pieux ne me suffit tout simplement pas.

En fait, personnellement, je ne suis même pas sûr d’avoir besoin de savoir exactement « comment » tout cela fonctionne, mais je peux voir l’intérêt de l’explorer pour déterminer les réponses qu’il pourrait apporter à notre vision collective du monde. Si je pouvais être aussi audacieux, je parierais que même les plus sceptiques sur ces sujets sentent au fond qu’il y a une vérité sur quelque chose de « non matériel » à propos de notre réalité, et que les humains y sont directement connectés.

Cela dit, je pense qu’il est utile d’avoir le doute. Cela peut nous aider à remettre en question le réflexe et à tirer des conclusions hâtives, ce type de pensée qui peut se généraliser à la recherche d’une certaine explication. Mais à mon avis, il est également très important de ne pas simplement dire : « nous n’avons pas d’explication matérielle et c’est donc un non-sens ». C’est l’erreur fatale du dogme religieux et scientifique actuel. Il s’agit d’une vision anti-scientifique qui suggère que nous savons déjà presque tout.

Qu’est ce que cela veut dire pour nous?

Ce que je vois se produire ici est un changement qui semble apparaître comme une graine plantée quelque part dans notre être. Peut-être s’agit-il des graines plantées par des expériences antérieures ou peut-être d’une pression évolutive au sein de notre conscience pour évoluer continuellement, peut-être les deux !

Quoi qu’il en soit, quelque chose pousse notre curiosité à continuer à poser des questions dans ce domaine, et pour les scientifiques qui sortent de la structure d’incitation de notre paysage scientifique actuel, ils s’aventurent dans un territoire fascinant.

Est-il possible que nous nous influencions de cette manière quantique ? Si c’est le cas, comment? Est-ce que nous affectons certaines choses et pas d’autres ? Existe-t-il une sorte de « permission » qui doit être accordée pour affecter certaines choses ? Comment pourrions-nous le savoir ? De quelles manières pourrions-nous affecter la nature, les animaux ou notre planète ? Et les autres planètes ? Comment d’autres planètes pourraient-elles nous affecter, ou peut-être même d’autres dimensions ? Autant de questions curieuses.

Mais même sans aborder des questions aussi profondes, nous pouvons simplement nous demander : n’est-il pas évident que nous avons un impact sur notre réalité simplement par les décisions et les actions que nous prenons ? Ne pouvons-nous pas voir que même si une décision semble n’affecter que nous, il est en réalité possible qu’elle affecte davantage de personnes – même certaines pour les générations à venir ? Cela ne suggère-t-il pas à lui seul une profonde interdépendance ?

Qu’est-ce qui changerait dans votre prise de décision quotidienne si vous considériez que vous êtes connecté et que vous devez être un gestionnaire responsable de la terre, des animaux, des autres, des communautés, etc. ? Et si, comme le font de nombreuses cultures autochtones, vous vous demandiez comment vos décisions et vos choix pourraient affecter les gens jusqu’à 7 générations après vous. Comment pourriez-vous réfléchir et ressentir cela ?

Il peut être difficile d’élargir notre conscience à une telle vision du monde. Après tout, nous avons été élevés en pensant et en voyant le monde à travers une lumière de séparation, tout le reste nous semble étranger. En fait, dans une grande partie de la culture occidentale, nous en sommes venus à ridiculiser et à nous moquer de ce qui sort du domaine matériel. On se moque même de l’idée de faire plus que simplement prendre soin de soi… en ce moment. Vous êtes un hippie si vous pensez à 7 générations !

Mais un changement dans notre vision collective du monde, passant d’une vision de séparation et de compétition à une vision d’interconnectivité et de collaboration, serait-il possible ?

Je le pense et je le ressens – je le sais. Cela se passe juste devant nous. Bien sûr, je peux avoir un certain parti pris ici. Au cours des 15 dernières années, j’ai créé  des entreprises,  des médias, des films et  du contenu éducatif  explorant l’idée que notre vision collective du monde est en fait en train de changer et que nous réaliserons continuellement que nous sommes tous beaucoup plus interconnectés que nous ne le pensons. Mais je ne suis pas le seul.

L’historien culturel et écothéologien Thomas Berry considérait l’univers comme une communauté d’  êtres  et non comme une collection d’objets. Sa philosophie suggérait une reconnaissance de la connectivité entre toutes choses – une communauté connectée.

Bien entendu, l’interconnexion est également au cœur de la vision du monde et des modes de connaissance de nombreuses Premières Nations. En tant que peuple, ils pensent qu’ils sont conscients que tout dans notre monde et notre univers est connecté. Cet état d’esprit renforce le fait que chacun et toute chose a un but, est digne de respect et d’attention et a sa place dans la vie. Comment pourrions-nous traiter notre monde différemment en Occident si ces idées étaient ancrées dans notre culture ? Au contraire, la domination sur tout et sur tout le monde est généralement le moteur de la vie occidentale.

Au sein des communautés des Premières Nations, ils adhèrent à l’idée d’interdépendance via le terme « Toutes mes relations ». Cela les relie à leurs familles, communautés, ancêtres et futurs descendants, à la terre et à toute vie végétale et animale. Même avec cette vision du monde différente, ces cultures font preuve d’une compréhension scientifique de la terre, de la météo, des cycles des saisons, des sources médicinales et alimentaires, de la récolte et de la création de tout ce dont elles ont besoin à partir de l’abondance de la nature.

Comme vous pouvez le constater, cette vision du monde n’est pas une idée nouvelle, mais une idée à laquelle nous pourrions revenir plus collectivement. Il s’agit bien sûr d’un processus auquel chacun d’entre nous peut réfléchir et adhérer, au lieu d’attendre qu’un politicien nous dise quoi penser de l’orientation possible de notre monde. De nouveaux systèmes et façons d’être sont présents en chacun de nous, et pas seulement dans les systèmes externes que nous créons. Si nous ne pouvons pas contenir de nouveaux mondes en nous, comment pouvons-nous espérer qu’ils soient créés ?

Cette prise de conscience suggère que nous devons prendre une part active et engagée à la création d’un monde meilleur. Cela ne doit pas non plus être trop compliqué. Explorez de nouvelles idées, réfléchissez aux raisons pour lesquelles nous faisons ce que nous faisons, demandez-vous si de nouvelles façons d’être ont plus de sens pour vous au fond et demandez-vous comment vous pouvez commencer à adopter ces idées dans votre propre vie.

Il peut être intimidant d’essayer de « réparer » le monde et de se demander comment tout peut être changé en une seule fois. Pour cette raison, il est préférable de voir les choses comme une progression, qui commence en vous.

Commencez seul si vous ressentez ou connectez-vous en communauté autour de nouvelles idées et apprenez à les intégrer dans des parties toujours croissantes de votre perception. Cela peut être un peu difficile en ce moment, car beaucoup autour de vous ne pensent peut-être pas de cette façon, mais les choses changent et évoluent rapidement. Je me souviens qu’il y a 15 ans, lorsque j’ai lancé Collective Evolution, ce n’était pas du tout un sujet de conversation courant. Aujourd’hui, il s’est tellement développé que c’est difficile à croire. Même s’il  semble  y avoir peu d’incitation à penser et à agir ainsi en surface, en particulier dans notre jeu sociétal actuel, il y a beaucoup de beauté et de paix là-dedans.

Et lorsqu’il s’agit de science, cette même évolution de la pensée se produit. Il y a une  sorte de renaissance  par laquelle de nombreux scientifiques s’ouvrent à l’étude de la conscience et du non-matériel.

Même si la culture pop et les médias suggèrent qu’il y a de nombreuses raisons d’avoir peur de notre avenir, je suis très optimiste et plein d’espoir. Je vois des choses incroyables se produire et tout ce que nous vivons maintenant est un signal d’alarme pour commencer à adopter une nouvelle façon de penser et d’être. C’est un canal de naissance pour un nouveau monde, et vous en êtes un élément clé.

De collective-evolution.com

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blog114c

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Jacky BOISSET :L’une des méthodes d’optimisation de la performance les plus efficaces et qui ne prend que 3 fois 20 secondes par jour…

Je ne vais pas vous donner un truc bidon à faire à l’entraînement pour épater la galerie, non non je vous donne un truc de fond, un truc qui fonctionne sur le long terme et qui devient de plus en plus puissant avec le temps. Quand tu fais du sport, surtout à haut niveau, tu t’entraînes le matin, l’après-midi, si tu es chanceux tu fais des siestes entre ou tu te reposes, sinon tu vas travailler et tu te fatigues encore plus. Cette charge d’entraînement, d’activité physique est un stress énorme pour l’organisme, qui dit stress dit acidification. Qui dit acidification, dit déminéralisation. Tu me suis ? Qui dit déminéralisation, dit problème de récupération. Ça y est, tu l’as ! Oui oui, le truc de fou qui est hyper facile pour optimiser ta performance c’est la minéralisation. Car en chargeant ton corps de minéraux BIODISPONIBLES, tu vas pouvoir récupérer plus, faire plus d’entraînements dans la semaine et plus intenses ; c’est bien de l’optimisation de la Performance ! Concrètement, tu bois 3 fois par jour un verre d’eau de mer ; une portion d’eau de mer pour 3 portions d’eau douce. En bonus, l’eau de mer a tous les minéraux dont notre corps a besoin, dans les bonnes proportions (si diluée) et surtout les minéraux peuvent être utilisés facilement par notre corps. Grâce à cela, nous avons pu revenir à un niveau ultra performant après 30 ans et rester ultra performant jusqu’à 40 ans. Nous aurions pu continuer mais la vie nous a dirigés vers le partage de nos expériences et connaissances ! Minéralise ton corps et cela changera ta pratique sportive dans son ensemble.

 

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EXPOSÉ : GÉNOCIDE planifié par les sionistes, fuite du plan israélien de nettoyage ethnique de Gaza

prepareforchange

Le plan préconise le transfert forcé de la population de la bande de Gaza vers le Sinaï de façon permanente, après des consultations américaines, et appelle à ce que la communauté internationale soit mise à profit pour soutenir cette décision.

Un mémorandum officiel « secret » rédigé par le ministère israélien du Renseignement  « recommande le transfert forcé et permanent des 2,2 millions d’habitants palestiniens de la bande de Gaza vers la péninsule égyptienne du Sinaï »,  notamment vers un  camp de réfugiés en territoire égyptien.

Il existe des indications de  négociations entre Israël et l’Égypte ainsi que  de consultations avec les États-Unis , selon un rapport de  Global Research.

Selon les mots du journaliste canadien  Andrew Mitrovica ,

« Ce n’est pas une attaque. Ce n’est pas une invasion. Ce n’est même pas une guerre. C’est un génocide. … Le plan monstrueux est aussi clair que  le caractère misérable  de Netanyahu : en finir avec Gaza en effaçant Gaza.

L’opération israélienne « Pour rayer Gaza de la carte »,  y compris  le programme sous fausse bannière,  a été soigneusement coordonnée avec l’armée et les renseignements américains. Cela fait partie d’un programme militaire plus large des États-Unis et de l’OTAN.

La pratique militaire tacite de l’Amérique depuis la Seconde Guerre mondiale jusqu’à aujourd’hui consiste à prendre systématiquement pour cible des civils, ce qui constitue un crime contre l’humanité. Netanyahu est le mandataire de Washington.

Il faut comprendre que le ciblage délibéré par Israël des civils à Gaza fait partie d’une stratégie militaire américaine de longue date consistant à tuer des civils. À cet égard, l’Amérique soutient pleinement son mandataire israélien.

Dans les développements récents,  les responsables israéliens  ont justifié le massacre de civils à Gaza en soulignant le bombardement de la ville allemande de Dresde (une cible civile) ainsi que de nombreuses autres villes allemandes par les États-Unis et la Grande-Bretagne vers la fin de la Seconde Guerre mondiale. 

De la même manière, les États-Unis ont appliqué la même  stratégie en ciblant les civils japonais  avec des bombes incendiaires vers la fin de la deuxième guerre mondiale.


Fuite : un projet israélien de nettoyage ethnique de Gaza

Publié initialement par The Cradle

Le magazine culturel israélien  Mekomit  a publié  le 28 octobre un document divulgué par le ministère israélien du renseignement recommandant l’occupation de Gaza et le transfert total de ses 2,3 millions d’habitants vers la péninsule égyptienne du Sinaï.

Le document, publié le 13 octobre, identifie un projet de transfert de tous les habitants de la bande de Gaza vers le nord du Sinaï comme l’option privilégiée parmi trois alternatives concernant l’avenir des Palestiniens de Gaza à la fin de la  guerre actuelle entre Israël  et le Hamas. a dirigé la résistance palestinienne.

Le document recommande à Israël d’évacuer la population gazaouie vers le Sinaï pendant la guerre,  d’établir des villes de tentes et de nouvelles villes dans le nord du Sinaï pour accueillir la population déportée, puis de créer une zone de sécurité fermée s’étendant sur plusieurs kilomètres à l’intérieur de l’Égypte. Les Palestiniens déportés ne seraient pas autorisés à retourner dans les zones proches de la frontière israélienne.

L’existence de ce document n’indique pas nécessairement que ses recommandations sont mises en œuvre par les services de sécurité israéliens.

Le ministère du Renseignement, dirigé par Gila Gamliel du parti Likoud, ne contrôle aucune des agences de renseignement israéliennes, mais prépare de manière indépendante des études et des documents politiques, qui sont distribués pour examen par le gouvernement et ses organes de sécurité.

Cependant, les récentes déclarations des responsables du gouvernement israélien et les actions de l’armée israélienne à Gaza suggèrent que ce plan est bel et bien mis en œuvre. Depuis le 7 octobre , les responsables israéliens ont averti à plusieurs reprises les Palestiniens de se déplacer vers le sud de Gaza avant  une invasion terrestre imminente. 

Israël a imposé un siège total à Gaza, coupant la nourriture, l’eau, le carburant et l’électricité. Le siège, combiné aux intenses bombardements israéliens qui ont tué plus de 8 000 Palestiniens, en majorité des femmes et des enfants, menace  de rendre Gaza inhabitable.

Un responsable du ministère du Renseignement a confirmé que le document de dix pages est authentique mais « n’était pas censé parvenir aux médias », a  noté Mekovit  .

Le document recommande sans équivoque et explicitement de procéder à un transfert de civils de Gaza comme résultat souhaité de la guerre.

Le plan de transfert est divisé en plusieurs phases : dans la première phase, la population de Gaza doit être contrainte de se déplacer vers le sud de Gaza, tandis que les frappes aériennes israéliennes se concentreront sur des cibles au nord de Gaza.

Dans la deuxième phase, commencera l’entrée terrestre de l’armée israélienne dans Gaza, ce qui conduira à l’occupation de toute la bande, du nord au sud, et au « nettoyage des bunkers souterrains des  combattants du Hamas ».

Parallèlement à l’occupation de la bande de Gaza, les citoyens de Gaza se déplaceront vers le territoire égyptien et ne pourront plus y revenir définitivement.

“Il est important de laisser praticables les voies de circulation vers le sud, pour permettre l’évacuation de la population civile vers Rafah”, précise le document.

Le document recommande de lancer une campagne spécifique qui « motivera » les Gazaouis « à accepter le plan » et les fera abandonner leurs terres.

https://www.gospanews.net/en/2023/11/01/unicef-gaza-now-a-graveyard-for-children-as-the-fuhrer-of-zionists-wanted/

Gazan devrait être convaincu qu’« Allah a fait en sorte que vous perdiez cette terre à cause de la direction du Hamas – il n’y a pas d’autre choix que de déménager ailleurs avec l’aide de vos frères musulmans », peut-on lire dans le document.

En outre, le plan stipule que le gouvernement doit lancer une campagne de relations publiques qui promouvra le programme de transfert vers les États occidentaux d’une manière qui ne favorise pas l’hostilité envers Israël ni ne nuise à sa réputation. L’expulsion de la population de Gaza doit être présentée comme une mesure humanitaire nécessaire pour bénéficier du soutien international.

Une telle déportation pourrait être justifiée si elle entraîne « moins de victimes parmi la population civile par rapport au  nombre attendu de victimes si elles restent »,  indique le document.

Le document indique également que les États-Unis devraient faire pression sur l’Égypte pour qu’elle accueille les résidents de Gaza et pour encourager d’autres pays européens, et en particulier la Grèce, l’Espagne et le Canada, à aider à accueillir et à installer les réfugiés qui seront évacués de Gaza. Gaza. 

Enfin, le document affirme que si la population de Gaza reste, il y aura « de nombreux morts arabes » pendant l’occupation attendue de Gaza par l’armée israélienne, ce qui nuira encore plus à l’image internationale d’Israël que la déportation de la population. Pour toutes ces raisons, la recommandation du ministère du Renseignement est de promouvoir le transfert  permanent de tous les Palestiniens de Gaza vers le Sinaï.

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Les coeurs unis Magazine

Déc 26

Le Forum économique mondial (FEM) et son fondateur Klaus

Schwab font pression pour mettre en place leur programme

mondialiste qui vise à contrôler tous les aspects de la vie publique.

En 1971, Klaus Schwab a reçu un capital de départ de 6 000 dollars et a transformé le FEM, qui n’était à l’origine qu d’économistes, en un club des plus exclusifs pour les élites mondiales.

Le FEM, qui était à l’origine une organisation « à but non lucratif », engrange aujourd’hui la somme astronomique de 390 millions de dollars par an.

Un nouveau livre du journaliste d’investigation Seamus Bruner a mis en lumière l’agenda du FEM et la manière dont Schwab s’est positionné en tant que marionnettiste mondial.

Bruner a dirigé les équipes dont les conclusions ont déclenché de multiples enquêtes du FBI et du Congrès sur les Clinton et les Biden.

Aujourd’hui, il dénonce les milliardaires qui contrôlent les leviers du pouvoir qui dominent tous les aspects de votre vie.

Le livre, intitulé « Controligarchs : Exposing the Billionaire Class, Their Secret Deals, and the Globalist Plot to Dominate Your Life« , suit l’argent au-delà des politiciens dans le marécage de Washington D.C. et va directement au sommet : Davos.

C’est dans cette petite ville alpine de Suisse que les milliardaires de la jet-set et les bureaucrates de l’ombre préparent la prochaine décennie de nos vies.

La capitalisation boursière des principaux membres du FEM – des mastodontes comme Apple, Microsoft, Amazon, Meta, Google, Comcast et Pfizer – dépasse les 10 000 milliards de dollars.

Ce chiffre est doublé si l’on inclut le gestionnaire d’actifs BlackRock, qui pèse 10 000 milliards de dollars.

Le fondateur et PDG de BlackRock, Larry Fink, est membre du conseil d’administration du FEM.

Avec plus de 20 000 milliards de dollars, soit plus que le PIB de tous les pays du monde à l’exception des États-Unis, qui se baladent dans les coffres de ses membres, il est facile de comprendre pourquoi le FEM peut exercer une influence extraordinaire.

Mais la domination constante du FEM sur les gouvernements du monde a permis d’obtenir bien plus que ce que l’argent aurait pu permettre.

Le pouvoir économique de l’organisation lui permet d’exercer un contrôle politique et social.

Les nombreuses façons dont le FEM complote pour contrôler l’avenir de la société font froid dans le dos.

Les principaux points à l’ordre du jour comprennent la prise de contrôle par les mondialistes non seulement de la finance, mais aussi de l’énergie, de l’alimentation, de la santé, de l’information personnelle et de la technologie.

Les contrôligarques tire le rideau et révèle en détail les systèmes dystopiques que le FEM est en train de mettre en place.

Les éléments clés de l’ordre du jour du FEM comprennent :

 La mise en place de monnaies numériques des banques centrales (CBDC) et d’identifiants numériques

 Instaurer des « confinements climatiques » et des coupures d’électricité

 Interdiction des véhicules et des poêles à gaz et réduction des thermostats

 Développement de viandes cultivées en laboratoire

 Semences brevetées et « aliments » à base d’insectes destinés à être consommés par le grand public

 Développer les technologies médicales obligatoires

 Promouvoir l’intelligence artificielle (IA) et le transhumanisme.

La fameuse déclaration de Schwab sur la « Grande Réinitialisation » au milieu du COVID-19 a démontré que le FEM avait l’intention d’utiliser la pandémie pour influencer le présent et commander l’avenir.

En contrôlant les industries et les infrastructures essentielles, le FEM et ses alliés mondialistes non élus, tels que l’Organisation des Nation unies (ONU), la Banque mondiale et l’Organisation mondiale de la santé

(OMS), exerceront un contrôle sans précédent sur tous les aspects de notre vie.

La Banque des règlements internationaux, quiest le banquier central des banques centrales,

travaille d’arrache-pied au déploiement des monnaies numériques des banques centrales

(CBDC).

Avec une CBDC, le système financiermondialiste peut annuler financièrement (ou « dé-banquer ») un individu, une entreprise, une ville entière, voire un pays tout entier.

Étant donné qu’aucune crise ne justifie l’urgence des CBDC, celles-cisont vantées pour leur commodité.

 Lorsque Schwab a annoncé la « grande remise à zéro », il a dit au monde qu’une fois que tout le monde serait vacciné, les blocages prendraient fin et le monde se reconstruirait de manière plus « verte ».

Le lien entre la pandémie et le changement climatique n’était pas évident à l’époque.

Mais le lien est aujourd’hui évident. L’idée d’un « confinement climatique » n’est pas farfelue.

La prétendue menace du « changement climatique » a également permis aux gouvernements du monde entier de bouleverser des méthodes agricoles établies de longue date en interdisant les engrais traditionnels et en aplatissant les sources de protéines comme le bétail.

Les restrictions soutenues par le FEM réduisent les agriculteurs à néant.

Pour « résoudre » la pénurie alimentaire mondiale qui s’annonce, les membres du FEM et leurs alliés, tels que Bayer- Monsanto, Beyond Meats et Impossible Foods, ainsi que des entreprises innovantes de protéines à base d’insectes, sont entrés dans la danse.

Les contrôligarques qui investissent massivement dans ce secteur sont Bill Gates, Jeff Bezos, Mark Zuckerberg et Richard Branson de Virgin Galactic.

Le mois dernier, les partenaires du FEM, dont l’ONU et la Fondation Gates, ont organisé un événement intitulé « 50 en 1 » au cours duquel les alliés se sont engagés à déployer des systèmes d’identification numérique dans 50 pays d’ici cinq ans..

De nombreux partenaires du FEM, dont Bill Gates, envisagent unsystème d’identification numérique obligatoire  depuis plus de dix ans.

Mais les passeports vaccinaux COVID-19 ont montré comment les cartes d’identité numériques peuvent être utilisées pour imposer sans pitié le respect des règles par les citoyens.

En fait, l’identification numérique de l’Union européenne, liée au FEM, est une extension du système mis au point pour le passeport vaccinal européen.

Lors d’un événement parrainé par l’ONU en 2010, Gates a déclaré que « les vaccins allaient être la clé », car « on pourrait enregistrer chaque naissance sur le téléphone portable, obtenir les empreintes digitales, obtenir une localisation, puis utiliser ces systèmes pour se déplacer et s’assurer que la vaccination a bien lieu », ce qui permettrait de gérer les soins de santé « de manière plus efficace ».

Des visionnaires du FEM comme Yuval Noah Harari vantent hardiment des innovations telles que les micropuces cérébrales, les médicaments de complaisance de type pilule du bonheur et l’édition de gènes de type eugénique.

Harari, quant à lui, pense que le corps humain tout entier peut être et sera « piraté ».

Harari a fait remarquer que le COVID-19 était « critique » parce qu’il a  convaincu les gens d’ »accepter » et de « légitimer la surveillance biométrique totale ».

Mais il ne suffit pas de surveiller tout le monde. À l’avenir, « nous devrons surveiller ce qui se passe sous leur peau ».

Les micropuces sous-cutanées ne sont qu’un début, car le corps humain tout entier est la toile de fond d’étranges expérimentations mondialisteset d’un pouvoir centralisé.

Tout au long de l’histoire, « la mort a été le grand égalisateur », poursuit Harari.

Les élites seront alors en mesure d’acheter l’immortalité grâce à des améliorations biotechnologiques, afin de transcender l’humanisme lui- même.

Ce ne sont là que quelques-uns des projets choquants et liberticides que le FEM a commencé à mettre en œuvre.

Parmi les autres secteurs soumis à la prise de contrôle du FEM figurent le logement dans les « villes du quart d’heure« , l’éducation grâce à l’IA qui fait progresser « l’apprentissage socio-émotionnel », la circulation de l’information via la répression de ce qu’on appelle la « désinformation« , et bien d’autres encore.

Traduction de Slay News par Aube Digitale

https://www.aubedigitale.com/le-fem-veut-controler-tous-les-aspects-de-la-vie-publique/

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Dr McCullough : « L’hyper-vaccination » des enfants est probablement à l’origine de l’augmentation de l’autisme et du transgenre

dans Bioéthique, Santé et Science — par Pierre-Alain Depauw — 26 décembre 2023

Dans un discours complet, le célèbre cardiologue américain a documenté les

crimes du « complexe biopharmaceutique », y compris la « montée en flèche

» de la « mortalité toutes causes confondues » dans le monde, qui se

poursuit.

Le Dr Peter McCullough, éminent cardiologue et critique de l’establishment

médical du COVID, a fourni une présentation complète et bien documentée à

ses collègues concernant les crimes du « complexe

biopharmaceutique », l’origine du virus SARS-CoV-2, les causes des

centaines de milliers de décès dus au « vaccin » COVID et comment des études

montrent désormais un lien entre « l’hyper-vaccination » des enfants, les taux

élevés d’autisme et les individus qui se soumettent à une intervention

chirurgicale transgenre.

McCullough a fourni une analyse détaillée de plusieurs études scientifiques et

rapports de données démontrant la suppression intentionnelle

par le gouvernement américain des traitements

précoces efficaces et comment les enfants « sans injection » ont de

meilleurs résultats de santé globaux « sur la base d’une analyse contemporaine

».

S’adressant à la réunion annuelle de l’Association américaine des médecins et

chirurgiens, l’épidémiologiste et cardiologue s’est d’abord concentré sur les

origines non naturelles du virus SARS-CoV-2 et sur sa

dissimulation apparente en s’appuyant sur un rapport d’un comité de

l’Association américaine des médecins et chirurgiens auprès de la Chambre des

représentants des États-Unis, intitulé L’origine proximale d’une dissimulation :

les « Bethesda Boys » ont-ils minimisé une fuite de laboratoire ?

Sous la direction du Dr Brad Wenstrup, le sous-comité spécial sur la pandémie

de coronavirus a documenté comment les Dr Anthony Fauci,

Francis Collins et d’autres ont cherché

frauduleusement à « réfuter » la « théorie des fuites

en laboratoire » du virus en publiant un article de mars 2020 basé

sur une « science fatalement erronée ».

Virus chimérique fusionnant des coronavirus de chauve-souris et humains

Pourtant, McCullough a souligné comment deux articles de Ralph Baric de

l’Université de Caroline du Nord (UNC) en 2015 et 2016, publiés dans Nature

Medicine, annonçaient que son université, l’EcoHealth Alliance et le

gouvernement chinois avaient créé ensemble le SRAS-CoV-2.

“Il est rappelé dans la littérature de 2015 et 2016 qu’ils ont créé un virus

chimérique fusionnant des coronavirus de chauve-souris et humains et

démontrant clairement qu’il pouvait infecter et envahir les cellules épithéliales

respiratoires humanisées dans un modèle de souris”, a-t-il déclaré. Le fait que le

SRAS-CoV-2 a été créé en laboratoire est « cité dans les

rapports ! »

C’est même évident étant donné l’un des titres du journal, WIV1-CoV de type

SRAS, prêt à émerger chez l’homme , a-t-il déclaré. « Ils l’avaient créé et il était

prêt à émerger dans les populations humaines dès sa sortie ou sa sortie du

laboratoire. Les papiers sont clairs. »

Par conséquent, il est plus qu’évident qu’« Anthony Fauci, un acteur clé dans ce

dossier… a orchestré une dissimulation de l’information selon laquelle le virus,

le SRAS-CoV-2, a été conçu par des chercheurs américains et chinois dans le

laboratoire de Wuhan, en Chine », a expliqué McCullough. « Fauci a

organisé un groupe de scientifiques et d’autres

responsables de la réglementation pour mentir aux

États-Unis et au monde pendant trois ans et dire que

cela sortait de la nature. Il a conspiré pour

dissimuler une menace sanitaire mondiale.

Vaccin codé pour la protéine Spike

De plus, dans le cadre de la création du virus en

laboratoire, « le code génétique de la protéine Spike

a été intentionnellement manipulé pour rendre cette

protéine Spike invasive et mortelle pour le corps

humain ». McCullough a révélé.

Et les dossiers montrent que le fabricant de « vaccins » génétiques Moderna «

possédait le code de la protéine de pointe des années avant la pandémie », y

compris un « accord de transfert de matériel » avec Baric et l’UNC. Et avant de

devenir PDG de Moderna, Stéphane Bancel a été PDG de BioMérieux, qui a

également construit l’annexe de biosécurité du laboratoire de Wuhan pour les

Chinois.

Par conséquent, « le laboratoire qui a créé le virus, ainsi

que l’homme et l’entreprise qui ont créé le premier

vaccin avec les États-Unis travaillent tous ensemble

», a souligné McCullough. « Il s’agit d’un complexe

biopharmaceutique. C’est en fait un crime. »

Jusqu’à présent, on estime à 636 000 le nombre de décès dus à des vaccins rien

qu’aux États-Unis, et ce n’est pas fini.

Rappelant qu’il a tiré l’alarme au sujet du « grand pari du développement d’un

vaccin contre le COVID-19 » dès août 2020, et qu’avec un groupe de 57 auteurs

dans 17 pays, dix mois plus tard, ils ont exigé des réponses concernant les

problèmes de sécurité, s’adressant à chaque gouvernement administrant les

injections, « dès le début, ces vaccins auraient dû être fortement remis en

question par tout médecin digne de ce nom. Sur la base de ces considérations,

aucune faculté de médecine ou aucun centre médical universitaire n’aurait

jamais dû présumer que ces produits seraient sûrs. »

« Et rappelez-vous, nous discutons toujours de la sécurité avant l’efficacité,

toujours », a-t-il souligné. « La présomption selon laquelle les injections étaient

sûres, puis la présomption encore plus ténue selon laquelle elles fonctionneraient

étaient ridicules. » De plus, cette présomption sans fondement a été formulée «

par chaque doyen de chaque faculté de médecine aux États-Unis. Honte à eux.

Honte à eux de ne pas avoir la perspicacité, le courage et la force intellectuelle

nécessaires pour remettre en question l’ensemble de cette entreprise. »

Depuis le début du déploiement du vaccin, « l’examen de la sécurité a été un

désastre », a poursuivi McCullough, qui est lui-même l’auteur de 691 articles

dans des revues scientifiques à comité de lecture et reste la personne la plus

publiée dans son domaine.

« En avril 2021 », les rapports sur les effets secondaires causés par les injections

étaient « hors de l’échelle de Richter » sur le système de notification des

événements indésirables liés aux vaccins (VAERS) parrainé par les Centers for

Disease Control and Prevention des États-Unis, a-t-il déclaré en citant un article

de l’époque démontrant les énormes pics de dommages causés par les vaccins

cette année-là.

Tout en montrant les décès actuels dus aux injections rien qu’aux États-Unis,

comme le VAERS l’a volontairement rapporté, dénombrant 18 188 à l’époque,

il a souligné “qu’il s’agit d’une sous-déclaration flagrante”, citant un

témoignage du Dr David Wiseman selon lequel le comité consultatif de la FDA

“a accepté une sous-déclaration”  « d’un facteur de 35 », ce qui « signifie que le

nombre réel d’Américains qui sont probablement

décédés après avoir pris l’un de ces vaccins est

supérieur à 636 000… au cours des trois dernières

années ».

Même cette estimation peut être considérée comme plus que prudente

puisqu’une étude réalisée en 2010 par Harvard et commandée par le ministère de

la Santé et des Services sociaux (HHS) a révélé que « moins de 1 % des

événements indésirables liés aux vaccins » sont signalés au VAERS et au

fabricant de vaccins Connaught Laboratories.

« Où est l’inquiétude quant aux 636 000 Américains qui meurent après un

vaccin sous notre surveillance ? Vous pouvez voir le manque de reconnaissance,

la nébulosité de tout cela » dans l’esprit des professionnels du domaine médical.

“Les lots ne sont pas les mêmes”, variabilité de la

concentration d’ARNm, ADN contaminé, impuretés sans inspection

Citant un article de mars 2023 de Max Schmeling et de ses co-auteurs,

McCullough affirme que « les lots ne sont pas les mêmes », démontrant

qu’heureusement, environ 30 % des lots n’avaient pratiquement « aucun effet

secondaire, pas même un bras douloureux », tandis que deux autres tiers

provoquent des effets secondaires modestes et 4,2 % où « le taux d’effets

secondaires est assez élevé ».

Certains flacons présenteraient une hyperconcentration d’agrégation d’ARNm, y compris des nanoparticules lipidiques, tandis que d’autres études ont rapporté la découverte d’ADN contaminé dans la substance. Une troisième possibilité

concerne simplement les impuretés présentes dans les produits, raison pour

laquelle les Japonais « ont rendu des millions de flacons ».

« Pfizer affirme effectuer 40 inspections de chaque flacon, mais n’a produit

aucun rapport d’inspection”, a déclaré l’expert en santé publique. « Moderna ne

dit même pas qu’ils l’inspectent. La FDA a déclaré qu’elle n’avait jamais

inspecté les flacons. Cela fait trois ans que nous sommes là. Où sont la FDA, les

sous-traitants et autres pour inspecter la qualité, la pureté et la sécurité ? »

Les dangers mortels persistent au moins jusqu’à

deux ans après les injections

« Les nouvelles quotidiennes sur les vaccins sont mauvaises », a poursuivi

McCullough. « Il n’y a pas eu une seule bonne nouvelle depuis leur sortie.

Quatre domaines majeurs de dommages prouvés sur le corps avec ces vaccins

incluent les maladies cardiovasculaires, neurologiques, hématologiques et

immunologiques », le cancer n’étant pas encore prouvé, mais « émergent ».

Afin d’illustrer ce point, le cardiologue a passé en revue les dommages causés à

la santé de diverses personnalités publiques américaines, notamment l’ancien

entraîneur des Buccaneers de Tampa Bay, Bruce Arians (myocardite), l’épouse

de Justin Bieber (caillot de sang au cerveau), Jamie Fox (accident vasculaire

 cérébral), Kirk. Herbstreit (plusieurs caillots sanguins) et Megyn Kelly

(problèmes auto-immuns).

En fait, « nous disposons de plus de 3 400 articles évalués par des pairs sur les

blessures, les handicaps et les décès liés aux vaccins. La littérature en regorge, et

il existe un fort préjugé contre la publication de l’un de ces articles. Il est très

difficile de publier un article sur les effets secondaires des vaccins. Très dur. Et

pourtant, il y en a 3 400 », a-t-il déclaré.

Il cite un article de Harvard étudiant des enfants hospitalisés atteints de

myocardite après vaccination contre le COVID. « Aucun vaccin ne devrait

amener des enfants américains à l’hôpital avec une myocardite. » Et compte

tenu du risque extrêmement faible des jeunes face au virus COVID-19, ils ne

peuvent être soumis qu’à des risques sans réel bénéfice.

Une autre étude réalisée par Jessica Rose et McCullough a révélé que les risques

de myocardite augmentent à chaque injection supplémentaire.

En outre, « si quelqu’un suit actuellement les

instructions du gouvernement américain, du CDC et

de la FDA, il en est à sa neuvième injection.

Neuvième! », a-t-il dit. Et « ces vaccins sont administrés sans aucune

précaution quant aux dommages causés au corps humain ». Pourtant, un autre

article de Yale indique que « les dommages au cœur ne se réparent pas chez 80

% » des patients.

Preuve de ces dommages, le cardiologue a déclaré que dès qu’un seul cas mortel

de myocardite avait été confirmé en 2021, ces injections auraient dû être retirées

du marché.

En examinant de plus près la documentation d’un incident concernant un jeune

homme de 22 ans « en parfaite santé » décédé cinq jours après une injection de

Pfizer, McCullough a expliqué qu’il était décédé sept heures après son arrivée à

l’hôpital. « Malgré toutes les mesures de réanimation, son cœur est détruit par

une inflammation, le système de conduction, tout a disparu. Ils ne peuvent pas le

sauver. L’hôpital ne peut pas sauver un jeune homme de 22 ans », à cause de

cette injection.

Deux autres rapports d’autopsie d’adolescents morts dans leur sommeil ont été

examinés par des experts de prestigieuses universités américaines et concluent

que ces adolescents sont morts d’une « myocardite induite par le vaccin Pfizer

Covid-19 ».

D’autres exemples, notamment celui d’un pasteur de 44 ans nommé Andrew

Dunnigan, décédé dans son sommeil, et la triste histoire du basketteur Oscar

Cabrera Adames, révèlent que les lésions cardiaques dues aux injections

persistent pendant au moins deux ans. Un communiqué de presse indique que

Dunnigan « est mort de causes naturelles », a regretté McCullough. « Savez-

vous que le terme « mort de causes naturelles » a été étendu aux enfants de cinq

et sept ans ? »

« Il n’y a pas d’autre explication au nombre massif de morts subites auquel nous

assistons partout dans le monde. La mortalité toutes causes confondues monte en

flèche. Il n’y a pas d’autre explication. C’est clair. Le vaccin

contre le Covid-19 est responsable d’un excès de

mortalité », a-t-il déclaré.

Expliquant une vaste étude réalisée en Chine qui a révélé « un taux quatre fois

plus élevé d’embolies artérielles et veineuses dans les vaisseaux rétiniens au

fond de l’œil », McCullough a déclaré que « les personnes qui se font vacciner

sont prothrombotiques. Nous voyons dans notre bureau des gens arriver avec des

caillots sanguins deux ans après avoir reçu ces injections. »

De plus, après avoir mené une étude d’autopsie qui a révélé que 74 % des cas

indiquaient clairement que « le vaccin contribuait ou provoquait le décès », le

Lancet l’a retiré de son serveur après des « téléchargements records », a-t-il

rappelé. Et pourtant, « le formulaire de consentement pour le vaccin ne prévient

pas quelqu’un qu’il peut mourir d’une maladie cardiaque mortelle… ou d’un

caillot sanguin mortel. Ils ne sont pas en sécurité. Et il est de votre responsabilité

de parler à chacun de vos patients, vos collègues et autres. »

Corrélations entre « l’hyper-vaccination » des enfants, les pics d’autisme et

les troubles transgenres

McCullough a ensuite exposé les preuves de plus en plus nombreuses selon

lesquelles l’énorme augmentation des schémas

vaccinaux chez les enfants a considérablement

augmenté les taux d’autisme, ce qui peut à son tour

expliquer la montée du phénomène transgenre, car ceux

qui suivent des traitements aussi nocifs ont tendance à souffrir de ce trouble.

« Nous savons qu’il y a eu une accélération du calendrier de vaccination sans

prêter attention à la sécurité des produits combinés », a-t-il expliqué en

fournissant plusieurs rapports de sauvegarde. « Et maintenant, nous disposons de

très bonnes données provenant d’une étude démontrant qu’une fois que nous

avons combiné plusieurs vaccins, les taux d’autisme ont commencé à augmenter

aux États-Unis. »

Bien que la cause exacte de l’autisme reste insaisissable, l’épidémiologiste a

observé que lorsqu’il était enfant, le taux était de 1 sur 10 000 et maintenant il

est de 1 sur 36. « Le plus grand changement qui s’est produit dans le système

immunitaire est l’hyper-vaccination de nos enfants. »

En outre, McCullough a cité cinq études qui montrent qu’un enfant « sans

injection » équivaut à « de meilleurs résultats », notamment « des taux plus

faibles d’asthme, de dermatite allergique… de troubles du déficit de l’attention,

de la maladie d’Asperger et de l’autisme ».

En ce qui concerne le phénomène LGBT, avec l’augmentation exponentielle des

taux d’autisme, il estime pertinent que des pourcentages élevés d’individus « qui

se soumettent à une intervention chirurgicale transgenre ont tendance à être

autistes », ce qui est « soutenu par de nombreuses études ».

Et d’autres études montrent que « les programmes transgenres augmentent le

fardeau des soins psychiatriques. Ils ne le réduisent pas. Ils l’augmentent », a-t-il

expliqué.

Citant un autre article paru dans le Journal of the American Medical Association

(JAMA), McCullough a résumé que la médecine dite transgenre

« augmente la mortalité par homicide, suicide et

autres causes ».

« La médecine transgenre est une mauvaise médecine. Et elle aurait dû

être interdite partout. Nous ne devrions même pas avoir une interdiction, car

aucun médecin éthique ne devrait pratiquer cela », a-t-il déclaré.

Ainsi, en résumé, « nous sommes confrontés à une double épidémie d’autisme et

de transgenre qui y est associée. La grande majorité des enfants qui donnent

volontairement leur corps pour changer de sexe sont atteints d’autisme ou de

troubles du spectre autistique. Il faut se rendre compte qu’ils sont des proies et

qu’ils sont endoctrinés », a-t-il conclu.

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Santé Publique France et Libération attribuent la surmortalité vaccinale au Covid !

francesoir.fr/opinions-tribunes/sante-publique-france-et-liberation-attribuent-la-surmortalite-vaccinale-au-covid

Dr Gérard Delépine 

Extraits (sans les graphiques)

Une surmortalité chronologiquement liée aux campagnes de rappel est apparue dans tous les pays vaccinés alors que l’épidémie de Covid a disparu grâce à l’immunité conférée par Omicron.

TRIBUNE – En mai 2021, nous avions signalé l’hécatombe qui survenait constamment dans les semaines qui suivaient les campagnes de vaccination massives. Qu’il s’agisse des premiers apôtres des injections (Royaume-Uni, Israël) ou de pays moins peuplés (Emirats, Koweït, Mongolie, Monaco, Gibraltar), les huit semaines qui les suivaient étaient marquées par une surmortalité Covid qui dépassait fortement celle observée durant la période sans vaccin.

Les médias ont d’abord nié les faits pourtant établis par les données et les courbes de l’OMS, puis, devant l’évidence croissante de la surmortalité post vaccinale, les médias l’ont attribuée au Covid sans même envisager qu’il s’agissait plus certainement d’un phénomène de facilitation de la maladie [1] par les vaccins, non reconnu par des essais bâclés.

Gouvernements, agences sanitaires et médias refusaient d’évoquer la possibilité de la moindre responsabilité des injections et les “fast checkers” ne pouvant démentir la surmortalité observée l’ont attribuée au Covid et à “l’efficacité retardée des vaccins”.

Depuis lors, les pseudos vaccins ont montré leur totale inefficacité sur la propagation de la maladie qu’ils ont été incapables de ralentir et qu’ils ont même probablement facilitée, puisque le rythme mensuel de contaminations mondiales a été multiplié par six après leur généralisation et souvent davantage dans les pays les plus vaccinés au moment d’Omicron.

Les injections anti-Covid ont également fait la preuve de leur échec à prévenir les formes graves et la mortalité qui atteignait en novembre 2022 des taux 20 à 50 fois plus élevés dans les pays très vaccinés (Europe, USA) que dans ceux qui y avaient échappés (Afrique).

Cette inefficacité dramatique des pseudo-vaccins s’accompagne de plus d’une toxicité croissante avec le temps. Les médecins israéliens ont été les premiers à décrire les myocardites post vaccinales reconnues maintenant par tous les auteurs et auxquelles se sont depuis associés des morts subites, accidents neurologiques, troubles des règles et de la fertilité, apparition de turbo-cancers…

Parallèlement à la reconnaissance de ces complications post vaccinales, une surmortalité chronologiquement liée aux campagnes de rappel est apparue dans tous les pays vaccinés [2] alors que l’épidémie Covid a disparu grâce à l’immunité conférée par Omicron.

Cette surmortalité toutes causes confondues est observée en France où elle a atteint 9 % de la mortalité attendue en 2022 (+53 800 décès) 

Le possible lien de causalité entre cette surmortalité et la vaccination Covid est renforcée par sa survenue dans des classes d’âge inférieures à 55 ans (où les risques de mortalité sont faibles et chez lesquels aucune cause connue autre que la vaccination ne l’explique) et après 85 ans (groupe vacciné à plus de 90 %).

Pour innocenter la vaccination de cette surmortalité croissante, Fanny Fontan et Libération inventent une “énième vague de Covid qui déferle à l’approche de Noël” qui n’existe pourtant dans aucun relevé, ni pour l’Institut national de la statistique et des études économiques, ni pour l’OMS comme l’illustre la courbe suivante :

Pour tenter encore de disculper les injections anti-covid, Fanny Fontan et Libération citent des avis d’experts qui décrivent les lésions vasculaires typiques de la protéine spike et en accusent les Covids longs en oubliant de rappeler que le vaccin Pfizer stimule la production de cette protéine toxique sans qu’on n’en connaisse la durée.

Pour tenter toujours de nier le rôle des injections anti-Covid dans la surmortalité, Santé publique France suggère que la hausse des décès pourrait être liée aux effets tardifs des confinements [3] dont ils nous avaient jadis tellement vanté les avantages supposés alors que nous en dénoncions les résultats calamiteux.

Mais quand ils avancent comme possible explication de la surmortalité actuelle le “port du masque tombé en désuétude” (en l’absence d’épidémie !), ils atteignent le sommet du ridicule.

Dans cet article trompeur destiné à disculper le rôle des vaccins dans la surmortalité actuelle, l’épidémiologiste Mircea Sofonea pose une interrogation d’une brûlante actualité, “ce surrisque qu’on observe est-il constant au cours du temps, auquel cas, on va avoir une accumulation, ou bien est-ce que cet effet va s’estomper au fur et à mesure ?”

Il est dommage qu’en ne rappelant pas le rôle causal des injections à ARNm, il se soit privé d’aborder le problème crucial qui taraude médecins et malades, celui des traitements destinés à neutraliser les effets secondaires des injections anti-Covid. Espérons que des chercheurs résoudront rapidement ce problème pour arrêter la nouvelle hécatombe post injection.

Gérard Delépine est chirurgien oncologue et statisticien médical.

[1] En anglais Antibody-dependant enhancement (ADE)

[2] Denis G. Rancourt COVID-19 vaccine-associated mortality in the Southern Hemisphere

[3] “Retard de prise en charge, isolement social plus important jouant sur les comportements, hausse de la consommation nocive d’alcool, difficultés d’accès aux soins.”

separateur1

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