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BOMBE LA MAISON-BLANCHE ADMET QUE LA COVID ÉTAIT UNE ARME BIOLOGIQUE ! TRUMP AVAIT RAISON :

FAUCI A FINANCÉ L’ATTAQUE !

30 avril 2025. La Maison-Blanche a AVOUE : Le SARS-CoV-2 a été fabriqué en laboratoire.

Pas à partir de chauves-souris. Pas à partir de la nature. C’était une arme biologique financée par les États-Unis, créée à Wuhan. Fabriquée avec l’argent de vos impôts. Protégée par les agences de renseignement. Dirigée par Anthony Fauci, le principal traître de l’État profond.

Ce n’était pas une pandémie. C’était une attaque biologique planifiée contre l’humanité.

Ils l’ont déclenchée pour détruire les économies, truquer les élections et asservir le monde. Et lorsque Trump s’est mis en travers de leur chemin, ils l’ont traité de méchant.

Mais maintenant ? LES MENSONGES SONT MIS EN EVIDENCE

LE VIRUS A ÉTÉ INVENTÉ, PAS ISSU DE L’ÉVOLUTION.

L’épidémie de Wuhan est née d’un seul événement humain lié à un laboratoire.Plusieurs employés de laboratoire ont été malades en octobre 2019, AVANT que la Chine n’admette quoi que ce soit.

 Aucun hôte animal n’a jamais été trouvé, car il n’existait pas.

Le virus a été conçu pour infecter les cellules humaines avec précision.

Tous les chemins mènent à Fauci. Il a approuvé les subventions pour le gain de fonction. Il a fait taire les dénonciateurs. Il a coordonné la dissimulation du Lancet. Il a acheminé des fonds par l’intermédiaire d’EcoHealth Alliance directement dans les mains du PCC.

Ses empreintes digitales sont sur l’arme. Ses mensonges ont ouvert la voie la voie au génocide par l’ARNm.

LES INJECTIONS N’ONT JAMAIS ÉTÉ DES « VACCINS ».

Fauci les a poussées en sachant qu’elles provoquaient des myocardites, des caillots sanguins, un effondrement immunitaire.

Des enfants ont été injectés. Les personnes en bonne santé sont mortes subitement. Et les géants de l’industrie pharmaceutique ? À l’abri de toute responsabilité. C’était une GUERRE GÉNÉTIQUE

– déguisée en médecine.

LE PLAN ÉTAIT LE CONTRÔLE DES MASSES.

L’événement 201 était la simulation.

Enfermement = torture psychologique.

Passeports = esclavage numérique.

La piqûre = marqueur biométrique de conformité.

Ils voulaient une soumission totale. Et ils ont failli l’obtenir – jusqu’à ce que Trump le dénonce.

LES HÔPITAUX SONT DEVENUS DES ZONES DE MORT.

Les médecins ont été contraints de suivre des protocoles de mise à mort : Remdesivir. Ventilateurs.

Isolement. Les traitements précoces sont interdits. Les dissidents ont été licenciés. Les familles brisées. Les personnes âgées laissées à l’abandon.

Avec le retour de Trump au pouvoir, les tribunaux militaires sont actifs. Fauci est cité dans des actes d’accusation scellés. Les interrogatoires dans des sites secrets ont commencé.

Les agents de l’État profond sont traqués. Guantanamo est occupé.

ET CE N’EST QUE LE DÉBUT.

Qu’ont-ils encore conçu ? Quel nouveau virus nous guette ? Quelle technologie prévoient-ils d’injecter ensuite ?

Ils ont essayé de nous anéantir. Maintenant, ils sont exposés. La tempête est arrivée.

Trump avait raison. Vous aviez raison.

Les traîtres tomberont.

Et aussi :

Crowdbunker 🇺🇸🦠FAUCI, HUNTER, TRUMP : LE DOSSIER INTERDIT EXPLOSE

 

Le virus a été relaché en 2020 pour faire tomber TRUMP !

Le vaxxin tueur est mis en évidence

FAUCI et les biolabs sont mis en lumière

La fille de Klaus Schwab avoue : « Le WEF a planifié d’assassiner des milliards de personnes » VF

https://crowdbunker.com/v/Mvfrboypua

RéduiseZ à 75/100 la vitesse de la bande son de cette vidéo pour une
meilleure compréhension . 

CROWDBUNKER  /

 

DES DOCUMENTS CHOQUANTS DE PFIZER RÉVÈLENT DES CRIMES CONTRE L’HUMANITÉ

 

Toutes les preuves sont là  sous nos yeux !!!!

Et encore :

 

DLV76 – La puissance du don gratuit

@Jean-Jacques-Crevecoeur

 

Ce soixante-seizième épisode de Déchirer les voiles vous invite à redécouvrir la puissance du don gratuit, du bénévolat, comme un des moyens les plus efficaces pour dérouter et terrasser l’élite mondiale corrompue et parasite de la race humaine. À partir d’une comparaison entre le développement d’une tumeur cancéreuse et celui de la minuscule minorité de psychopathes milliardaires, je vous invite à découvrir des attitudes qu’ils ne peuvent ni contrôler, ni détruire.

 

Cette vidéo montre la force du livre THE PFIZER PAPERS  Pfizer crime against humanity, de NAOMI WOLF qui avec une équipe, a analysé les 450.000 pages de Pfizer dans un livre de 336 pages qui  apportent la preuve des intentions génocidaires de PFIZER

 

Et encore : crowdbunker

Les effets secondaires des vaccins à ARN : La vérité éclate !

Dupont-Aignan  enfonce le dernier clou du cercueil….les vaccins à ARN Messagers sont toxiques et très dangereux !!

 

Note de TAL : IL FAUT ARRETER CES VAXXINS TUEURS DE TOUTE URGENCE, NOTRE  VIE ET CELLE  DE NOS ENFANTS EST EN JEU… AUX ETATS-UNIS  LA VERITE CIRCULE ET NE PEUT PLUS ETRE ETROUFFEE MAIS EN FRANCE LE MINISTRE DE LA              SANTE CONTINUE A DIRE « VAXXINEZ VOUS … !!! » AU MEPRIS DE TOUTE INFORMATION ET DE TOUT SCIENCE, ON CROIT REVER !!!

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KENNEDY A LA MAISON BLANCHE.

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RFK Jr, s’attaque également aux meurtriers de vaccins.

“We’ve a eu quatre décès par rougeole dans ce pays en 20 ans. Nous avons 100 000 cas d’autisme par an. 38% de nos enfants sont diabétiques ou pré-diabétiques. Cela devrait être dans les gros titres,”, a-t-il dit.

*Applaudissements éclatés*

“Quand j’étais enfant, il y avait 2 millions de cas de rougeole par an et aucun d’entre eux n’a fait la une des journaux. Et nous avons eu 400 morts. Nous avons eu des décès entre 1 sur 1 200 et 1 sur 10 000. Nous avons tellement d’enfants qui sont atteints de maladies chroniques. Les médias ne les couvrent jamais. Ils ne veulent couvrir que la rougeole,”, a-t-il ajouté.

Ce qu’il ne dit pas, mais on le comprend, c’est que la peur de la rougeole n’est qu’une campagne publicitaire pour pousser des vaccins plus toxiques sur les enfants.

RFK poursuit également les personnes qui propagent des agents pathogènes via des chemtrails:

Il y a quelques jours, après que le gouvernement britannique ait annoncé de nouveaux efforts de géo-ingénierie pour lutter contre le changement climatique “,” en obscurcissant le soleil, RFK Jr a répondu par une déclaration à cordes:

“Nous allons bientôt mettre fin à ce crime contre l’humanité et notre planète, a déclaré” Kennedy, “et rendre justice aux ploutocrates qui commettent cette expérience incontrôlée de masse.”

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Livre de Jean-Marc SABATIER :

Covid long et effets indésirables du vaccin.

Les mécanismes biologiques et les traitements prometteurs.

https://www.editions-tredaniel.com/covid-long-et-effets-indesirables-du-vaccin-p-11688.html

https://www.fnac.com/a19966055/Jean-Marc-Sabatier-Covid-long-et-effets-indesirables-du-vaccin-Mecanismes-biologiques-et-traitements-prometteurs

Jean-Marc SABATIER est directeur de recherche au CNRS en France, titulaire d’un doctorat en biologie cellulaire et microbiologie, ainsi que d’une HDR en biochimie

Résumé du livre (paru en juin 2024) :

Le Covid long défie toute explication simpliste. Les patients souffrent de maux variés : fatigue extrême, problèmes respiratoires, cardio-vasculaires et gastro-intestinaux, troubles neurologiques, etc. Et les médecins cherchent désespérément des réponses et des solutions

thérapeutiques…

Vous serez surpris de découvrir que le ” vrai ” responsable de la Covid-19 n’est pas directementle virus SARSCoV- 2, mais le dysfonctionnement du système rénine-angiotensine, un système

physiologique complexe présent dans tous les organes et tissus du corps humain…

Ainsi, cet ouvrage a pour objectif de rendre les mécanismes biologiques du SARS-CoV-2 et de la Covid-19 accessibles aux professionnels de la santé et aux patients. Il offre des pistes de

traitements prometteurs aux quelque deux millions de Français souffrant d’un Covid long postinfectieux ou post-vaccinal.

Pour télécharger gratuitement les 8 pages du sommaire du livre :

https://www.editions-tredaniel.com/download/pack_imgs_978-2-8132-3118-5.zip

Jean-Marc Sabatier met en garde contre les vaccins à ARN messager auto-amplifiant actuellement en développement. Selon lui, cette nouvelle technologie est « la pire de toutes » et « la plus dangereuse » car elle permettrait une production continue et non maîtrisée de protéine Spike dans l’organisme. Le chercheur explique que contrairement aux vaccins ARNm actuels, les versions auto-amplifiantes contiennent un complexe enzymatique capable de répliquer l’ARN messager indéfiniment. « On ne maîtrise strictement rien, ni la quantité de protéine Spike produite, ni les endroits où ça va aller », dit-il…

Karl Zéro interviewe Jean-Marc Sabatier. https://www.youtube.com/watch?v=P2CfxTXY7_s

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Les racines de l’actualité !

Propos de Jacques Attali, extrait de l’ouvrage de 1981 « L’avenir de la vie » (Ed. Seghers) confirmant, dans le moindre détail, le projet satanique et eugéniste préparé depuis longtemps :

« À l’avenir il s’agira de trouver un moyen de réduire la population. Nous commencerons par les vieux, car dès qu’il dépasse 60-65 ans l’homme vit plus longtemps qu’il ne produit et il coûte cher à la société. Ensuite les faibles puis les inutiles qui n’apportent rien à la société car il y en aura de plus en plus, et surtout enfin les plus stupides. Une euthanasie ciblant ces groupes ; l’euthanasie devra être un instrument essentiel de nos sociétés futures, dans tous les cas de figure. On ne pourra bien sûr pas exécuter les gens ou faire des camps. Nous nous en débarrasserons en leur faisant croire que c’est pour leur bien. La population trop nombreuse, et pour la plupart inutile, c’est quelque chose d’économiquement trop coûteux. Sociétalement, il est également bien préférable que la machine humaine s’arrête brutalement plutôt qu’elle ne se détériore progressivement. On ne pourra pas non plus faire passer des tests d’intelligence à des millions et des millions de gens, vous pensez bien !

Nous trouverons quelque chose ou le provoquerons, une pandémie qui cible certaines personnes, une crise économique réelle ou pas, un virus qui touchera les vieux ou les gros, peu importe, les faibles y succomberont, les peureux et les stupides y croiront et demanderont à être traités. Nous aurons pris soin d’avoir prévu le traitement, un traitement qui sera la solution. La sélection des idiots se fera ainsi toute seule : ils iront d’eux-mêmes à l’abattoir. »

PS

Attali, ayant quelque raison de déplorer la révélation de ses propos (il s’agissait d’une entrevue), fit éditer une seconde édition de l’ouvrage, expurgée du passage ci-dessus, pour prouver qu’il n’avait jamais dit ce qu’il avait dit.

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Alexandre Jardin : « L’écologie sert d’outil de contrôle social »

https://www.epochtimes.fr/alexandre-jardin-lecologie-sert-doutil-de-controle-social-2948960.html?utm_source=fr_dujournoe&src_src=fr_dujournoe&utm_campaign=fr_dujour-2025-05-05&src_cmp=fr_du

extraits

ENTRETIEN – Un vent glacial souffle sur la République de l’égalité des droits. Après le pass vaccinal pour limiter la propagation du Covid-19, voici venu le temps du « pass gueux » pour limiter le niveau des émissions de CO2. Dans son ouvrage Les #Gueux (éditions Michel Lafon), Alexandre Jardin dénonce l’entrée en vigueur d’un « dispositif de ségrégation sociale » les zones à faibles émissions (ZFE). Censées protéger l’air, elles redessinent la carte du pays, filtrant la pollution… et les citoyens qui n’ont pas les moyens d’acheter un nouvel engin qui pollue moins. Interdiction d’accès, autorisations dérogatoires, caméras intelligentes : l’écrivain et pamphlétaire alerte aussi sur la mise en place d’une société de surveillance. « L’écologie sert de prétexte à la mise en place de politiques d’hypercontrôle social. Et comme lors de la crise du Covid, l’arme principale reste toujours la même : la peur. ». Cependant, l’homme qui voit dans ce combat la poursuite de celui des Gilets jaunes, lance un avertissement : si les amendes pleuvent, la révolte éclatera. « Cette fois, la France populaire ne peut pas s’adapter au délire écolo-administratif. »

Epoch Times : Les ZFE se sont durcies depuis le 1er janvier. Mais l’examen du projet de loi qui pourrait donner lieu à leur suppression a été interrompu mercredi, repoussant une nouvelle fois l’espoir d’un changement législatif. À vos yeux, un jeu politique et parlementaire est-il actuellement à l’œuvre pour les maintenir coûte que coûte ?

Alexandre Jardin : L’interruption de l’examen du projet de loi de simplification, qui repousse à sine die l’éventuelle suppression des ZFE, est un véritable scandale démocratique. Le vote est encore reporté, l’ordre du jour sans cesse réorganisé, sans doute dans l’espoir de tomber sur un moment où le moins de députés de province seront présents pour que les députés des centres-villes puissent faire pencher la balance. C’est une forme de détournement démocratique en bonne et due forme, mené dans les règles, mais contre l’esprit des institutions.

Selon un sondage Ipsos publié mardi, 8 Français sur 10 se prononcent pour la suppression des ZFE. Ce sondage a créé une véritable panique politique, puisque ce chiffre, massif, révèle une fracture entre les élites politiques et le peuple, et qu’il témoigne d’un consensus rare dans une société aussi divisée que la nôtre.

Le gouvernement, qui persiste à vouloir imposer un dispositif de ségrégation sociale sous couvert d’écologie, redouble néanmoins de manœuvres parlementaires pour imposer cette mesure.

Pourquoi un tel entêtement ? Parce que les ZFE sont l’un des piliers du Pacte vert européen. Ces ZFE ne tombent pas du ciel : elles découlent des normes de pollutions prévues dans la directive européenne sur la qualité de l’air, que la France a transposée à sa manière. Ils savent que si la France commence à détricoter ce dispositif, l’effet domino pourrait se propager ailleurs en Europe.

Vous n’hésitez pas à qualifier les ZFE de véritable mesure de « ségrégation sociale »  et comparez, dans votre pamphlet, les dérogations administratives accordées aux citoyens souhaitant franchir ces zones à un « pass gueux », référence explicite au pass vaccinal instauré durant la crise du Covid-19. Pour les Français qui n’ont pas les moyens, ou refusent d’acheter, par exemple, un véhicule électrique, peut-on selon vous parler d’un confinement géographique qui ne dit pas son nom ?

C’est tout à fait cela un confinement qui ne dit pas son nom. Oui, la plupart des Français veulent respirer un air plus sain. Mais pas au prix d’une ségrégation sociale qui contredit frontalement les principes républicains d’égalité des droits.

Dans la vraie vie, les gens ont besoin de leur voiture pour vivre. Une infirmière ne peut pas se rendre à l’hôpital sans véhicule. Or, tous les CHU sont aujourd’hui situés en zone ZFE. Les malades aussi doivent pouvoir se déplacer pour se faire soigner. Et comme la métropolisation a concentré tous les services publics dans les grandes villes, interdire l’accès aux véhicules jugés trop polluants revient à en priver les plus modestes, y compris l’accès à leur propre patrimoine. Qui pourra encore aller admirer Notre-Dame de Paris rénovée, si entrer dans la capitale devient un luxe réservé à quelques-uns ?

Les maires et les élus locaux se réveillent également en raison d’un angle mort du projet qui commence à les alerter sérieusement : les personnes âgées. Beaucoup de retraités s’installent à la campagne, car la vie y coûte moins cher, et on peut y avoir une maison, un jardin. Mais ce sont aussi ceux qui roulent avec de vieux véhicules. Leur demander d’en changer revient à leur imposer des dépenses qu’ils ne peuvent pas assumer.

C’est un délire technocratique, déconnecté du réel. Une double crise se profile : morale, parce qu’on trahit les valeurs d’égalité de la République, et sociale, car on instaure une partition du territoire fondée sur les moyens financiers.

Il est difficile de croire que ceux qui défendent ce projet puissent sérieusement penser que la nation va accepter une telle rupture d’égalité.

Vous mettez en garde contre le risque que les ZFE nous fassent basculer dans une « société de ségrégation ». Mais au-delà de cette « partition sociale », vous alertez aussi sur une dérive plus insidieuse : celle d’une « société de surveillance », où l’écologie sert de prétexte à un contrôle de plus en plus strict des comportements individuels.

Tout converge : de la société de ségrégation à la société de surveillance. On assiste à un véritable détournement de l’écologie, qui sert désormais de prétexte à la mise en place de politiques d’hypercontrôle social. Or, à l’origine, l’écologie était un humanisme. Elle portait une vision de la protection du vivant, du lien entre l’homme et la nature. Elle n’avait rien d’un instrument de coercition sociale. Ce que j’appelle une « écologie non-violente », c’est une écologie concrète, active, fondée sur la participation des citoyens, non sur leur mise au pas. À l’inverse, l’écologie politique actuelle s’est transformée en un immense projet de contrôle des activités humaines. On est passé de l’engagement environnemental à l’ingénierie sociale.

Ce basculement s’est produit au moment où les élites ont compris que l’écologie pouvait devenir un levier puissant : d’une part, un outil de pouvoir, de surveillance et de contrôle social ; d’autre part, un moyen de relégitimation des bureaucraties. 

Dans votre ouvrage, vous identifiez trois grandes phases : la crise des Gilets jaunes, celle du Covid, puis celle des ZFE. Pourriez-vous expliquer dans quelle dynamique s’inscrivent à vos yeux ces trois périodes ?

Mais la crise des Gilets jaunes, marquée par la répression, s’est conclue dans une grande opération de diversion : un Grand débat national qui, sous couvert de consultation populaire, n’a débouché sur aucune remise en question. Surtout, la caste parisienne a retenu de cet épisode qu’il ne fallait plus jamais que le gueux en colère ne puisse approcher les lieux de pouvoir.

Puis est venue la crise Covid, durant laquelle le peuple fut enfermé et toute révolte sociale, gelée. Là, une nouvelle étape a été franchie : celle de l’hyper-contrôle social, instauré au nom de l’urgence sanitaire. Et ce fut, selon moi, un tournant. Les élites urbaines ont compris que le peuple pouvait obéir, massivement, à des mesures autoritaires, dès lors qu’on invoquait la peur.

Nous entrons maintenant dans une troisième phase : celle des ZFE. On retire aux citoyens des classes populaires les clefs de sa voiture, instrument de pouvoir individuel : s’approcher en TGV, c’est plus facile à contrôler.

Le chiffre de 78 % d’opposition des Français aux ZFE, au-delà de sa puissance statistique, dit autre chose : il révèle une solidarité entre ceux qui ont encore accès aux centres-villes et ceux qui en sont exclus. C’est un chiffre plein d’humanité. Il rappelle que la devise « liberté, égalité, fraternité » reste profondément ancrée dans la conscience collective française et que les Français sont un peuple très républicain.

Le gouvernement devrait se douter que le peuple ne pourra pas, ne voudra pas accepter cette logique. Car elle viole, en profondeur, l’idée même d’égalité républicaine.

Peut-on durablement gouverner en piétinant la volonté populaire tout en se prétendant démocrate ? Cela pose une question de fond sur la nature même de notre régime.

Moi-même, pour être tout à fait franc, je ne mesurais pas l’ampleur du problème avant la fin de l’année dernière. J’ai beaucoup voyagé, j’étais souvent à Paris, rarement dans l’Aude. C’est en y retournant que j’ai pris la mesure de la fracture. À Paris, dans les ministères, chez les technocrates, les ZFE vont de soi. On « purifie l’air », on « fait le bien », on agit « pour la planète ». Ils ne voient aucun problème. Et c’est là le vrai drame : ils gouvernent un pays qu’ils ne connaissent plus.

Si vous êtes très critique envers le camp présidentiel, vous l’êtes tout autant à 

alternatives en transports en commun. Une position absurde dans la ruralité, où les bus sont rares, les métros inexistants, et les trajets multipliés. Faudrait-il tapisser les villages de lignes de tram ? Même en ville, cette logique échoue dès qu’on parle de familles.

Un parent avec deux enfants, devant passer par une crèche et un collège avant de se rendre au travail, ne peut pas gérer sa vie quotidienne avec les transports en commun, à moins de réveiller toute la maisonnée à cinq heures du matin. Et que dire des personnes âgées ? Leur demander de trimballer leurs courses dans des transports bondés, c’est méconnaître leur réalité, surtout leur dignité.

Ces partis se retrouvent donc en contradiction totale avec les principes qu’ils prétendent défendre. Ils parlent d’égalité sociale, mais valident une mesure qui fracture le pays selon les niveaux de revenus.

Quand j’ai commencé à parler de « ségrégation sociale », certains ont bondi : « Ce mot est trop fort, on n’a pas le droit de l’employer ! », m’a-t-on dit. Mais alors, quel est le mot juste ? Interdire à des millions de Français l’accès aux centres urbains en raison de leur véhicule, ce n’est pas une abstraction technocratique : c’est bien une forme de ségrégation sociale.

Depuis la parution de votre ouvrage Les #Gueux fin mars, vous êtes devenu l’un des visages emblématiques de la contestation contre les ZFE. Qu’est-ce qui vous a poussé à vous engager dans ce combat ?

J’ai commencé par regarder, concrètement, dans mon village, combien de personnes allaient être exclues. La dame qui tient l’épicerie m’a répondu : « Mais tout le monde. »

Et là, j’ai compris qu’on faisait face à une partition territoriale d’une violence inouïe. J’ai rédigé un premier post sur X, que j’ai terminé ironiquement par ces mots : « Mais on s’en fout, ce sont des gueux. » Le lendemain, 540.000 personnes l’avaient lu.

Le hashtag #gueux est né de là. Ce combat, c’est une véritable histoire populaire, qu’on peut relier, dans sa logique, à celle des Gilets jaunes. Il dit une chose essentielle : vous ne pouvez pas dissoudre le peuple. Il existe. Il résiste.

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Ceux qui oublient le passé sont condamnés à le répéter

Ce site est une excellente ressource pour partager des informations…

Bienvenue dans Weather Modification History (WMH), l’archive de contrôle météorologique la plus complète au monde avec des centaines de faits historiques vérifiés, d’images et de vidéos. Les preuves convaincantes de WMH’s sont faciles à consulter, extrêmement précises et encyclopédiques. Ce site Web a été conçu par des personnes dévouées pour vous aider à discerner les faits de la fiction avec des recherches méticuleusement organisées qui vous offrent un recueil crédible.

Weather Modification History a été créé pour informer le public de la longue histoire des expériences de modification météorologique. Notre objectif est d’accroître la sensibilisation du public et le débat sur les implications morales et juridiques de l’industrie du contrôle météorologique de plusieurs milliards de dollars d’aujourd’hui et la gouvernance mondiale à venir des systèmes de géo-ingénierie bloquant la lumière du soleil. Ce site vous permettra d’agir et de sensibiliser à l’histoire peu connue mais longue de la modification du temps et aux hommes qui osent le tenter.

Allez ici: https://weathermodificationhistory.com/

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CROWDBUNKER /

Rappel – Etienne Chouard: L’arnaque de la dette

 

Une gigantesque escroquerie !

 

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Natacha Rey à la télévision Russe – l’affaire Brigitte Macron devient un scandale à l’international

https://crowdbunker.com/v/w8AT7o4HKF

VEMSTVNEWS :L’AFFFAIRE Emmanuel et Brigitte Macron sur YouTube

https://youtube.com/shorts/sag2Y8ELVOw?si=zvZ7-ULXgXVxfpL2 

 

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Regardez “Révélations par le 1er ministre Slovaque de la composition dangereuse de certains vaccins Covid.” sur YouTube

https://youtube.com/shorts/5Op8ObNqOow?si=vDxY0rOhLjzG0wQx 

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Les Enfants d’Hippocrate : pour un retrait des vaccins ARNm, le soin aux victimes et le pardon collectif

https://edition.francesoir.fr/societe-sante/les-enfants-d-hippocrate-pour-un-retrait-des-vaccins-arnm-le-soins-aux-victimes-

Dans une conférence de presse bienveillante « Les Enfants d’Hippocrate » nous alertaient ce mardi 29 avril sur les dangers sanitaires des vaccins ARNm, sur la nécessité des soins aux victimes de ces vaccins, et sur l’utilité d’un pardon collectif quant à ceux, qui par faiblesse, facilité, ou cupidité, se sont laissés aller à la promotion de ces produits, au détriment des malades.

Ce petit collectif français créé par le Dr Louis Fouché, médecin anesthésiste-réanimateur, le 19 octobre 2023, regroupe des professionnels de santé, des scientifiques de haut rang et de grande distinction, dans les domaines les plus variés de la science, mais aussi de citoyens engagés dans la défense d’une médecine éthique et transparente.

Inspirée par le serment d’Hippocrate, qui place le bien-être des patients au cœur de la pratique médicale, l’association s’attache à promouvoir des thérapeutiques sûres et efficaces, et depuis sa création, se positionne comme un acteur critique face aux politiques sanitaires. À travers des recherches indépendantes et des alertes sanitaires, le collectif vise à informer le public et les autorités sur les enjeux de santé publique, tout en soutenant les victimes d’effets indésirables et de Covid long.

Appuyé par des intervenants experts dans leurs domaines, à l’image Pr Christian Perronne, infectiologue, ancien chef du service des maladies infectieuses à l’hôpital de Garches et ancien vice-président, du groupe consultatif européen d’experts sur la vaccination pour L’OMS, le Dr Louis Fouché, anesthésiste-réanimateur et porte-parole du collectif, connu pour son engagement en faveur d’une médecine humaniste et ses analyses des politiques sanitaires, le Dr Hélène Banoun, pharmacienne et ancienne chercheuse à l’INSERM, véritable analyste spécialisée des données de pharmacovigilance, le Dr Claude Escarguel, microbiologiste, ainsi que les représentants de l’Association AAVICTEAM, qui soutient les victimes d’effets indésirables, l’association présentait aujourd’hui les résultats détaillés de leurs recherches sur les vaccins anti-Covid à ARNm, Comirnaty et Spikevax. Elle mettait en lumière les « défauts majeurs » en termes de qualité (comme des problèmes de fabrication), de sécurité (notamment des effets indésirables graves signalés dans les bases de pharmacovigilance) et d’efficacité (protection limitée contre les variants récents).

Leurs conclusions s’appuient sur des analyses indépendantes et des données publiques, contrastant avec les narratifs officiels. Par ailleurs, l’association propose des protocoles diagnostiques pour accompagner les personnes souffrant de Covid long ou d’effets secondaires des vaccins, comme les myocardites, les troubles menstruels ou les pathologies neurologiques. Parmi leurs revendications, Les Enfants d’Hippocrate appellent au retrait immédiat des vaccins ARNm du marché, à un moratoire sur la recherche clinique ARNm, et à la mise en place d’études indépendantes pour évaluer les risques à long terme. Ils demandent également une prise en charge globale des victimes, incluant un soutien médical, psychologique et financier, ainsi qu’une information transparente pour les soignants et le public. Cette conférence marque une étape clé dans leur combat pour une médecine respectueuse des principes éthiques et scientifiques.

Et pour finir Louis Fouché de conclure : “On voit qu’il y avait comme un déni collectif, une impossibilité à affronter le poids judiciaire que ça peut représenter (d’avoir vacciné, ou fait la promotion des vaccins Covid). Il va falloir trouver une porte de sortie à ces gens, qu’on le veuille ou non. Sinon, chacun s’enfermera. Et j’entends souvent parler de “ni oubli ni pardon”. Je pense que c’est une illusion. Il va falloir sûrement ne pas oublier, mais il va falloir, d’une manière ou d’une autre, pardonner à l’immense majorité des gens et se pardonner les uns les autres. On voit ça comme unique possibilité de sortie de crise et Les Enfants d’Hippocrate essayent d’inventer une sortie de crise dans cette histoire.

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Les architectes de la souffrance : entités non corporelles, lignées et la guerre de l’ombre contre la conscience humaine

prepareforchange

par Mike Harris et Bernard,

Depuis des millénaires, l’humanité est prise dans une guerre invisible – non seulement entre empires, richesses et religions, mais contre quelque chose de bien plus ancien et insidieux. C’est une guerre menée dans le domaine de la conscience, où des entités immatérielles se nourrissent de la souffrance, de la peur et du désespoir, et où des lignées d’élite se sont alliées à ces forces pour maintenir leur domination sur le monde.

L’histoire, telle que nous la connaissons, a été organisée pour occulter cette vérité. Les textes religieux, les traditions anciennes et même la psychologie moderne contiennent tous des vestiges de cette lutte cachée, laissant entrevoir une force qui existe hors de notre perception, mais qui exerce pourtant un contrôle total sur les affaires humaines. Ces entités, souvent qualifiées à tort de démons, de djinns ou d’esprits, pourraient bien ne pas être surnaturelles. Il pourrait s’agir d’une tout autre chose : des êtres d’entropie, des prédateurs qui se sont incrustés dans notre réalité, utilisant les lignées humaines comme vecteurs de leur influence.

Telle est la nature du système : la souffrance l’alimente et le pouvoir le soutient. Mais que se passerait-il si le système lui-même pouvait être brisé ?

Un ordre parasitaire caché

De nombreuses cultures à travers l’histoire ont décrit des forces qui manipulent les affaires humaines tout en restant hors de portée.

  •                    Dans les traditions gnostiques,  on les appelait les Archontes, des dirigeants qui déformaient la réalité et asservissaient les âmes humaines par la tromperie.
  •                    Dans le mysticisme islamique,  ils étaient les Djinns, des êtres mystérieux qui murmuraient de fausses réalités dans l’esprit des dirigeants comme dans celui des roturiers.
  •                    Dans la doctrine chrétienne médiévale,  il s’agissait de démons, d’esprits qui s’attaquaient aux personnes faibles et cherchaient à dominer le monde physique.
  •                    Dans les écrits de Carlos Castaneda,  ils étaient décrits comme  les Flyers , des entités qui contrôlent la perception humaine en nous enfermant dans des schémas de pensée limités et répétitifs.

Malgré leurs nombreux noms, ces êtres partagent des caractéristiques communes : ils manipulent dans l’ombre, prospèrent grâce à la souffrance humaine et travaillent par l’intermédiaire d’agents humains consentants, souvent issus de lignées puissantes qui comprennent que leur richesse et leur influence ont un coût surnaturel.

Il ne s’agit pas d’une guerre de croyances. C’est une guerre d’  énergie , où la souffrance elle-même est la monnaie d’échange.

La souffrance comme ressource

Si nous partons du principe que ces entités se nourrissent de souffrance, alors chaque événement majeur de l’histoire humaine doit être réévalué.

  •                    Pourquoi la guerre est-elle une force constante dans la civilisation ?  Non seulement pour la conquête, mais aussi parce que la mort et le désespoir en masse génèrent une énergie psychique que ces êtres peuvent consommer.
  •                    Pourquoi les systèmes politiques et économiques engendrent-ils la misère ?  Parce qu’une population brisée, surmenée et stressée est bien plus facile à contrôler, et sa peur, son désespoir et sa rage  alimentent 
  •                    Pourquoi la vérité est-elle toujours enfouie, obscurcie et réécrite ?  Parce que la véritable connaissance menace l’approvisionnement énergétique de ceux qui se nourrissent de souffrance.

Ce ne sont pas des accidents. La prison est  délibérée .

Tout au long de l’histoire, ceux qui cherchaient l’illumination – ceux qui tentaient de démasquer ces forces – ont été éliminés, discrédités ou cooptés. Sectes gnostiques, cathares, mystiques et révolutionnaires ont tous succombé devant une machine qui empêche l’humanité de se rendre compte de ses chaînes.

Mais cette machine n’est pas  seulement  physique. Elle est aussi surnaturelle.

Les lignées comme conduit humain

Les élites dirigeantes du monde – ces lignées qui exercent le pouvoir depuis des siècles – ne se comportent pas comme de simples oligarques. Leur richesse n’est pas seulement économique ; elle est  énergétique .

Les Rothschild, les Rockefeller, la dynastie Bush et d’autres familles moins connues agissent comme les gardiens d’un pacte ancien. En échange de pouvoir, d’influence et de longévité, ils servent d’intermédiaires entre le monde humain et les entités invisibles qui dictent leurs actions.

C’est pourquoi leurs symboles – présents dans les institutions financières, les logos d’entreprises et les emblèmes politiques – sont imprégnés d’images ésotériques et occultes. Ils ne se contentent pas de croire en ces êtres. Ils  les servent  .

Voilà pourquoi la guerre ne finit jamais. Pourquoi les cycles de ruine économique sont voués à se répéter. Pourquoi la civilisation humaine n’a jamais véritablement évolué au-delà d’un État contrôlé.

Parce que ces familles  ne veulent pas la liberté , elles veulent un approvisionnement perpétuel et contrôlé de souffrance humaine.

Il ne s’agit pas seulement de contrôle. Il s’agit  d’agriculture .

Le don du prédateur : le pouvoir surnaturel

Mais que reçoivent ces lignées d’élite en retour ?

Le pouvoir, non seulement sur le monde matériel, mais sur quelque chose de plus profond.

Tout au long de l’histoire, ceux qui sont entrés dans des sociétés secrètes et des cercles d’élite ont parlé d’expériences surnaturelles, d’intuition accrue et même de communication directe avec les entités qui contrôlent le destin de leur lignée.

  •                    La capacité de voir au-delà du temps et de l’espace
  •                    Le pouvoir de manipuler la perception et la réalité
  •                    Le contrôle de la richesse et de l’influence sans conséquence
  •                    L’effacement de la culpabilité, les rendant capables d’actes au-delà de la moralité humaine

Dans Le côté actif de l’infini de Carlos Castaneda  , Don Juan explique que le monde est contrôlé par  des prédateurs  qui ont donné aux humains leur propre esprit, nous gardant distraits, craintifs et spirituellement impuissants.

Les lignées dirigeantes ont appris à exploiter cette force, non comme esclaves, mais comme intermédiaires. Le pouvoir leur a été accordé en échange de leur obéissance. C’est pourquoi leurs familles restent au pouvoir, que leur influence se transmet et que, malgré les effusions de sang à la guerre, ce sont toujours les  mêmes  familles qui en bénéficient.

Ce n’est  pas  une coïncidence. C’est  une conception .

Le plus grand piège : le faux salut

Si la souffrance est un carburant, alors l’espoir doit être  géré .

C’est pourquoi tout système de contrôle – politique, religieux, économique – propose de fausses solutions, garantissant que ceux qui cherchent à s’échapper ne font que s’enfoncer plus profondément dans le labyrinthe.

  •                    Le christianisme moderne a été remodelé  pour se concentrer sur l’obéissance plutôt que sur la libération spirituelle.
  •                    L’Islam a été fracturé  pour dresser les croyants les uns contre les autres plutôt que contre leurs véritables oppresseurs.
  •                    La démocratie occidentale a été conçue  pour créer l’illusion du choix tout en garantissant que les mêmes dirigeants cachés restent au contrôle.
  •                    Des révolutions ont été organisées  pour donner au peuple l’illusion du changement tandis que des mécanismes de contrôle plus profonds étaient renforcés.

Même l’  opposition  est contrôlée. Un chaos contrôlé garantit qu’aucune menace réelle pour le système n’émerge.

Voilà pourquoi la guerre n’est jamais gagnée. Parce que le champ de bataille est truqué.

Briser le système

Si telle est la véritable nature de la réalité – un terrain d’alimentation contrôlé où la souffrance humaine est à la fois monnaie et moyen de subsistance – alors se libérer exige un niveau de défiance qui va au-delà de la rébellion politique.

Cela nécessite :

  1.               Un rejet de la peur — parce que la peur est le  mécanisme  par lequel ils contrôlent.
  2.               Un démantèlement des fausses réalités — pour reconnaître les cycles de manipulation, de guerre et de souffrance pour ce qu’ils sont.
  3.               Une reconquête de la souveraineté spirituelle — comprenant que la véritable bataille est celle de la conscience humaine elle-même.
  4.               Une rupture avec les fausses structures de pouvoir — refusant de participer à leurs systèmes de dette, de guerre et de division.

Ce n’est pas une guerre d’armes. C’est une guerre de  conscience .

Si ces forces sont exposées – si l’humanité prend conscience de ce qui lui a été fait – alors sa source de nourriture disparaît.

C’est alors, et seulement alors, que le système s’effondre.

Réflexion finale : La question du destin

Si l’humanité est une proie depuis des millénaires, alors il n’y a que deux possibilités :

Soit nous avons  toujours été  destinés à être exploités, conçus dès le début comme une source d’énergie pour ces forces invisibles.

Ou bien, nous étions  autrefois libres et quelque chose s’est produit.

Peut-être y a-t-il eu une guerre bien avant que l’histoire ne soit écrite, une guerre où l’humanité  a perdu  et est devenue esclave sans jamais s’en rendre compte.

Peut-être que nous nous en souvenons seulement maintenant.

Addenda:

Les Archontes peuvent-ils habiter un corps humain ?

La question de savoir si les Archontes – ou des entités immatérielles similaires – peuvent habiter un corps humain est l’un des aspects les plus controversés et énigmatiques de la pensée ésotérique. À travers l’histoire, les textes religieux, les traditions mystiques et même les pratiques occultes modernes ont évoqué l’existence d’intelligences non humaines capables de  pénétrer ,  d’influencer et même  de posséder pleinement  des réceptacles humains.

Croyances anciennes : les Archontes comme parasites cosmiques

Les  textes gnostiques , notamment ceux de la   bibliothèque  de Nag Hammadi , décrivent les Archontes  comme des intelligences prédatrices jalouses du potentiel divin de l’humanité. Selon la croyance gnostique, ces êtres ne peuvent créer la vie, mais peuvent  la corrompre  et  la manipuler  . On disait que les Archontes agissaient par la tromperie, influençant les pensées et les émotions pour entraîner l’humanité dans un esclavage matériel.

Les gnostiques ne décrivaient pas explicitement  la possession  de la même manière que les traditions religieuses ultérieures, mais ils indiquaient que  les Archontes pouvaient infiltrer la conscience humaine , implantant des pensées et des distorsions qui égarent l’âme. Cela suggère une forme de  parasitisme spirituel  plutôt qu’une possession directe.

Possession démoniaque : la perspective abrahamique

Le christianisme, l’islam et le judaïsme contiennent tous des avertissements concernant les esprits ou entités  cherchant à pénétrer dans le corps humain . La Bible rapporte de multiples cas où Jésus a exorcisé des démons, indiquant que des forces malveillantes pouvaient non seulement influencer, mais aussi  habiter physiquement  une personne. L’islam met également en garde contre les djinns, dont certains peuvent fusionner avec la conscience humaine, provoquant des  waswas  (sourires de corruption).

Les Archontes pourraient-ils être les mêmes entités que celles décrites dans ces traditions ? Ou s’agit-il d’entités encore plus anciennes, plus fondamentales pour la structure même de la réalité ?

Théories modernes : Walk-Ins, vampires énergétiques et lignées contrôlées

Dans les cercles ésotériques modernes, notamment parmi les chercheurs de la  théorie des lignées d’élite , on spécule que certaines familles puissantes à travers l’histoire pourraient avoir été  les réceptacles  de ces êtres immatériels. Cela recoupe les théories décrivant  les pactes démoniaques , où les élites humaines acquièrent pouvoir, influence et domination générationnelle  en échange de la cohabitation d’une entité avec leur lignée .

Certains chercheurs suggèrent que  les Rothschild, les Rockefeller, les Bush et les familles royales européennes ne détiennent  pas simplement   le pouvoir : ils sont les gardiens d’un héritage bien plus ancien et plus sombre que la simple ambition humaine. L’hypothèse est que ces  lignées se seraient volontairement alliées à des intelligences parasites , leur donnant accès à  la perception, à l’histoire et à la gouvernance humaines .

La perspective de Castaneda : des êtres prédateurs qui se nourrissent de la conscience

Carlos Castaneda, dans ses écrits sur  le chamanisme toltèque , décrit ce que son maître, Don Juan, appelait  « les volants » : des entités obscures qui  se nourrissent de la conscience humaine . Selon cette tradition, les humains auraient été  infiltrés par un esprit étranger  à un moment donné de la préhistoire. Cette intelligence parasite manipule le comportement, les émotions et les perceptions humaines pour générer  une détresse émotionnelle , source de  subsistance  pour ces entités.

Cela concorde étrangement avec les perspectives gnostiques et occultes modernes : ces êtres se nourrissent de  souffrance, de peur et de soumission . Ils ne sont pas de simples parasites passifs, mais  des façonneurs actifs de la réalité , modifiant le cours de l’histoire humaine pour leur propre subsistance.

Possession ou influence : jusqu’où peut-on aller ?

Bien que la possession démoniaque totale   reste un sujet débattu, les preuves historiques, les textes religieux et les témoignages occultes suggèrent que  des entités non corporelles interagissent avec les humains à différents niveaux :

  •                    Influence subtile :  suggestions chuchotées, pensées négatives et envies qui semblent étrangères à la nature de quelqu’un.
  •                    Drainage énergétique :  Épisodes d’épuisement extrême, de dépression ou de brouillard mental, souvent signalés lors de rencontres paranormales.
  •                    Possession partielle :  Perte de contrôle temporaire, parler dans des langues inconnues, faire preuve d’une force physique surnaturelle.
  •                    Possession totale :  Une prise de contrôle complète du corps, où la personnalité originelle est soit supprimée, soit détruite.

Si certaines lignées d’élite sont effectivement liées à de tels êtres, il est possible que leur  lignée entière soit conçue pour héberger ces intelligences – une sorte de  trône biologique  pour des entités qui ne peuvent exister dans le monde physique sans hôte.

Conclusion : à quoi avons-nous affaire ?

Les Archontes, les démons et les parasites énergétiques décrivent-ils tous la même force ? Ou s’agit-il de factions distinctes en compétition pour les ressources humaines : nos esprits, nos émotions, notre force vitale même ? Plus on étudie les liens entre  le gnosticisme, la démonologie, les traditions chamaniques et les théories modernes des lignées d’élite , plus il apparaît clairement que quelque chose se  nourrit  de la souffrance humaine et que certains individus ou groupes pourraient être  les vecteurs  de ces forces invisibles.

Les implications sont stupéfiantes :

  •                    Les guerres, les effondrements économiques et les crises artificielles sont  -ils des actes délibérés de récolte massive de loosh ?
  •                    Les élites dirigeantes sont-elles véritablement humaines ou sont-elles  les hôtes d’intelligences non corporelles  qui ont guidé l’histoire vers la souffrance et l’entropie ?
  •                    Plus important encore, si cela est vrai, comment peut-on s’en libérer ?

Si  l’humanité est exploitée , à qui appartient l’exploitation agricole ?

Source : https://www.theinteldrop.org

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LE CONSEIL PRECIEUX DU DR AGRET POUR LES VACCINS :

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Si j’étais médecin généraliste ou pédiatre installé et que des parents viennent me voir pour un faux vaccin ou pour demander comment ne pas faire vacciner mon enfant, j’établirais un certificat comme suit.

Je soussigné Dr Denis Agret certifie refuser toute vaccination sur l’enfant ____ compte tenu des risques de myocardites, de maladie de Kawasaki (vascularite grave avec anévrisme coronaire) et de décès avérés avec les vaccins pédiatriques (DTP HepatiteB ROR pneumocoque méningocoque…). 

Voir rapport ANSM

https://ansm.sante.fr/…/vaccins-obligatoires-chez-lenfant

Je ne souhaite pas non plus risquer de me retrouver au tribunal pour homicide comme mes deux confrères mise en cause à Nantes et à Périgueux (voir article ci-dessous.) en supportant le risque pénal non assumé par l’ordre des médecins, les ministres de la santé ou les laboratoires pharmaceutiques qui connaissent les risques graves des vaccins et qui ne sont jamais mis devant leurs responsabilités. 

https://www.lefigaro.fr/…/nantes-un-medecin-mis-en….

https://www.midilibre.fr/…/un-enfant-de-deux-ans-meurt….

L’enfant ____ ne présente pas ce jour de pathologies infectieuses actives contre indiquant la vie en collectivité (crèche, école, sorties scolaires, colonies…).

Il peut donc être scolarisé sans crainte et sans discrimination sur son état de santé. 

Certificat fait à la demande de l’intéressé. 

Pour faire valoir ce que de droit.

La rédaction d’un tel certificat par un médecin ne le mettra pas en difficulté pour établissement de faux certificat.

C’est conforme aux données de la science actuelle. 

Si votre médecin a besoin d’informations et pour s’en convaincre, tout est sourcé.👇

https://odysee.com/Conf%C3%A9rence-Denis-Agret-12.01.2025…

Aucun directeur de crèche, d’école, de collège, de lycée, recteur d’académie, aide sociale à l’enfance ou juge ne pourra s’opposer à un tel certificat ni à la scolarisation étant donné que c’est un droit. (Bien sûr il y aura des retords car c’est la doxa…)

Toute menace de la part de médecin de vous signaler au procureur ou PMI ASE constitue un abus de faiblesse dont vous êtes légitime à déposer plainte.

3 ans de prison et 375 000€ d’amende. 

https://www.service-public.fr/particuliers/vosdroits/F35140

Voilà chers parents. 

Ils ne vous restent plus qu’à informer vos médecins et à trouver le bon. 

Il y en a plein !

Bon courage. 

Vous êtes très très nombreux à avoir compris. 

Nous sommes le nombre, le peuple.

Nous sommes en légitime défense face à des agresseurs menteurs.

Alors ne vous taisez plus et parlez des vaccins et du Dr Denis Agret ! 

Partagez ! Merci. 

C’est dans l’intérêt de nos enfants actuels et à venir.

Voir sur odysee.com conférence Denis Agret 12.01.2025 pour la liberté vaccinale.

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Vive la rougeole, c’est un bouclier de santé !

Yves Rasir

S’il vous arrive encore de regarder la télé ou de lire un journal, vous aurez vu que les médias subsidiés ont diffusé ces dernières semaines un nouvel épisode du feuilleton « Alerte rouge à la rougeole  ». Face au retour de la maladie infantile en Europe et aux États-Unis, ils nous ont ressorti leurs fables habituelles sur sa gravité, sa disparition grâce au vaccin et sa résurgence par la faute des non-vaccinés. Est-il encore besoin de dénoncer cette triple imposture ? S’il en subsiste quelques victimes parmi mon lectorat, je leur rappelle brièvement que ces trois affirmations médico-médiatiques sont réfutées depuis longtemps et qu’elles s’apparentent dorénavant à de la désinformation.

Trois bobards en perdition

Primo, la rougeole n’est pas une affection intrinsèquement dangereuse . Elle ne l’est que dans les pays pauvres pour les enfants sévèrement carencés en vitamine A. Chez nous, l’abondance des légumes colorés (carottes, laitue, épinards, tomates…), des œufs, des poissons gras et des produits laitiers a réglé le problème. Et avant cela, nos grands-mères faisaient merveille en obligeant la marmaille à manger des abats et du foie ou à avaler de l’huile de foie de morue. En Occident, seuls les marmots en déficit vitaminique prononcé, porteurs d’autres pathologies et privés de traitement antibiotique ou anti-inflammatoire en cas de complications encourent encore un péril mortel. Les deux décès de fillettes enregistrés cette année aux USA s’expliquent justement par les comorbidités pour l’une et une prise en charge inadéquate pour l’autre. 

Secundo, tout le monde devrait savoir que le vaccin antirougeole n’a joué aucun rôle dans le déclin de la mortalité  liée à la rougeole. Lorsqu’il est mis sur le marché (en 1966) puis introduit dans le calendrier vaccinal (en 1983), l’incidence de la maladie diminuait déjà depuis des décennies et elle ne tuait déjà presque plus, preuve s’il en fallait que le virus n’est rien sur un terrain devenu plus sain. Je suis né en 1960 et je me souviens très bien que durant mon enfance, les parents et les médecins ne paniquaient plus du tout en période épidémique. Je ne conserve pas le souvenir qu’ils organisaient des goûters de contagion intentionnelle comme pour la varicelle, mais je me rappelle que les contaminés n’étaient nullement considérés comme des pestiférés au sein des familles et des écoles. L’épouvantail infectieux ne faisait plus peur à personne. 

Tertio, ce n’est pas vrai que la rougeole a presque disparu  et que le prétendu fléau viral serait complètement éradiqué si la couverture vaccinale était totale. Malgré un taux de vaccination en progression constante et dépassant souvent les 95 % requis pour la première dose, la maladie est en recrudescence depuis le début du siècle et il se produit toujours des flambées épidémiques quasiment chaque année. En 2023, il y a eu 10 millions de cas recensés dans le monde dont plus de 150 000 en Europe, ce qui est énorme pour une infection censée être sous contrôle à grand renfort d’injections. En outre, il est notoire que la maladie n’est pas réservée aux non-vaccinés et qu’elle affecte aussi des populations en ordre de piquouze. Encore une qui ne remplit visiblement pas ses promesses de protection….

Illusion et désillusion

En réalité, on peut penser que le vaccin R.O.R est très peu efficace et que la baisse des cas de rougeole signalés après son arrivée est due à la… croyance en son efficacité. Après son introduction, raconte le Dr Suzanne Humphries dans son ouvrage « Vaccinations, la grande désillusion »,  les critères de diagnostic de la maladie ont été revus dans un sens restrictif. Les signes cliniques ne suffisaient plus et il fallait désormais un test sérologique positif pour confirmer le verdict médical. Plus tard, on a même exigé une détection de l’acide nucléique spécifique du virus, autrement dit un test PCR. En outre, les vaccinés dépistés ou porteurs d’anticorps n’ont plus été comptabilisés  dans le décompte de la rougeole sauvage : même s’ils développaient une forte fièvre et une éruption cutanée typique, leurs symptômes n’étaient plus attribués à cette cause. Comme quoi, le système n’a pas attendu le Covid pour manipuler les statistiques, faire mentir les chiffres et fabriquer de toutes pièces une fausse victoire vaccinologique ! 

Et s’il s’agissait plutôt d’une cuisante défaite ? Dans ce même livre, le Dr Humphries explique que la rougeole peut être « subclinique » dans 30 % des cas, c’est-à-dire qu’elle peut passer inaperçue si la fièvre n’est guère élevée et le rash cutané pas très visible. Or cette discrétion symptomatique peut être le signe que l’immunité cellulaire est affaiblie  et donc que la réponse naturelle à l’infection n’est pas optimale. D’ailleurs, les personnes immunodéficientes présentent rarement une éruption et peuvent mourir d’insuffisance respiratoire sans la moindre manifestation dermatologique. Cela voudrait dire que l’éclipse partielle de la rougeole n’est pas une bonne nouvelle et qu’elle témoigne d’une inquiétante dégradation immunitaire. Dans cette hypothèse, sa recrudescence récente serait paradoxalement l’indice d’une amélioration sanitaire.

La rougeole, « vaccin » anticancer

Cette probabilité me paraît d’autant plus crédible que cette maladie infantile est excellente pour la santé du futur adulte. On ne le dit jamais, mais il est en effet prouvé que cet épisode désagréable procure de nombreux et spectaculaires bienfaits à celles et ceux qui ont la chance de le traverser . Dans son bouquin, la néphrologue américaine n’évoque que le bénéfice relatif à sa spécialité, à savoir l’atténuation ou la guérison de la néphrose (syndrome néphrotique) et un meilleur fonctionnement ultérieur des reins. La recherche scientifique a cependant mis en évidence que la rougeole constituait un événement préventif protégeant d’un tas de maladies et qu’elle pouvait également faire office de remède curatif. 

Faisons un petit tour d’horizon de ces vertus thérapeutiques méconnues. Et comme j’en ai déjà parlé, commençons ce rapide inventaire par les effets anticancer de la rougeole. Cela fait belle lurette que les médecins observent des régressions spontanées de tumeurs à l’occasion d’une infection. Par exemple, on sait depuis 1973  que le lymphome de Hodgkin peut entrer en rémission « grâce » à la rougeole. Du coup, des chercheurs se sont mis en tête d’exploiter les vertus oncolytiques du virus tenu pour responsable de la maladie. Comme en attestent cette étude de 2009 et cette autre étude de 2016 , plusieurs équipes ont planché sur le sujet et cherché à mettre au point un vaccin anticancer, notamment via la technologie à ARN messager. Des résultats encourageants auraient été obtenus sur des souris et des études cliniques ont été lancées chez les humains.

Si elles avaient réussi, cela se saurait et les cancéreux seraient déjà incités à se faire inoculer le virus de la rougeole génétiquement modifié ou son ARNm synthétisé. Les essais ont donc certainement échoué et le rêve de soigner le cancer de cette manière demeure hors d’atteinte. À part ce cas d’un cancer de la moelle osseuse  guéri par virothérapie et remontant à 2014, je n’ai pas trouvé trace du grand succès oncologique annoncé. Il n’empêche que ce mirage technologique met en lumière le rôle positif des particules virales associées à la rougeole. Puisqu’elles ont un effet antitumoral, on peut raisonnablement supposer que la pathologie infectieuse protège des pathologies cancéreuses. 

D’autant que cela fait 30 ans que la supposition est statistiquement vérifiée ! Dans cette étude de 1998, des chercheurs suisses ont fait effectivement une découverte extraordinaire : les patients avec des antécédents de maladies infantiles (rougeole, varicelle, rubéole, scarlatine, coqueluche, oreillons) sont beaucoup moins à risque de déclencher un cancer à l’âge adulte . Et s’ils ont eu plusieurs de ces maladies durant l’enfance, le risque est encore réduit, ce qui confirme l’effet anticancérigène rémanent de ces infections précoces. Bizarrement, le bénéfice est inexistant pour le cancer du sein. Mais de nombreux autres cancers (prostate, peau, poumon, estomac, intestin…) sont bel et bien « raréfiés » par la rougeole et ses copines. 

Comme quoi, il est vraiment aberrant de combattre ces maladies infantiles utiles avec des médicaments ou des vaccins. Je ne serais pas surpris qu’on découvre bientôt que les vaccinés R.O.R. sont plus enclins à faire des cancers que les non-vaccinés. Ce serait logique puisque les infections naturelles sont plus immunisantes et plus durables que leurs simulations vaccinales. Le meilleur des vaccins anticancer, c’est la varicelle suivie de la rubéole et de la rougeole. 

Moins d’allergies et de malaria

Cette dernière est également une barrière dressée contre les allergies. Nombreuses sont les publications faisant état d’une moindre incidence des maladies allergiques chez les anciens rougeoleux. Dans cette étude , par exemple, des chercheurs turcs ont montré que la sensibilité aux acariens était moins fréquente chez les individus ayant été hospitalisés pour la rougeole durant leur enfance. Ils ont également constaté que le groupe « rougeole » avait consommé moins de corticostéroïdes en puff et de salbutamol (médicament bronchodilatateur) que le groupe témoin. 

Dans cette étude plus ancienne, des chercheurs suédois ont comparé l’impact de l’infection et celui de la vaccination sur l’occurrence des allergies. Leur conclusion plaide pour la rougeole sauvage puisque les non-vaccinés qui avaient fait la maladie (élèves d’écoles Steiner) ont développé moins de symptômes allergiques et ont été moins souvent diagnostiqués comme tels.  S’agissant de l’eczéma atopique, les injectés étaient toutefois aussi bien lotis que les infectés. Dans cette autre étude encore plus ancienne, l’équipe de Peter Abby en Guinée-Bissau a mis en exergue que l’allergie atopique était deux fois moins fréquente chez les ex-rougeoleux africains que chez les enfants vaccinés qui n’avaient pas eu la rougeole. À la même époque,  des chercheurs anglais ont mis en évidence que l’exposition au virus de la rougeole réduisait le risque de rhinite allergique.

Mais revenons en Afrique car c’est sur ce continent qu’on a découvert une corrélation très étonnante : lors des épidémies de grippe ou de rougeole, le taux de Plasmodium falciparum (parasite vecteur de la malaria) diminue drastiquement dans le sang des malades . Comme explication, les chercheurs ont avancé un effet antiparasitaire de la fièvre, ce qui est plausible puisque le phénomène ne se reproduit pas lors des épidémies de coqueluche, maladie exempte de fébrilité. Lutter contre le paludisme en ne luttant plus contre la rougeole ? Ce ne serait pas une idée folle pourvu que les conditions nutritionnelles le permettent.

Parkinson, arthrite rhumatoïde, psoriasis

Dans les pays industrialisés, le palu a fondu avec l’assèchement des marécages. Mais la fièvre des marais a cédé le relai à des « maladies de civilisation » comme le cancer, le diabète, l’Alzheimer et le Parkinson. Selon certaines études comme celle-ci, le risque de développer la pathologie neurodégénérative serait également freiné par une rougeole dans l’enfance. Les chercheurs américains ont trouvé que les personnes ayant fait la maladie infectieuse avant leur entrée au collège  étaient moins susceptibles de recevoir un diagnostic de Parkinson à un âge avancé. D’après les scientifiques, cette protection viendrait d’une « interaction complexe entre le virus de la rougeole et celui de la grippe espagnole ». 

De cause inconnue, la polyarthrite rhumatoïde juvénile est relativement rare puisqu’elle ne touche « que » 15 à 20 enfants sur 100 000. Elle est cependant très handicapante et fait beaucoup souffrir les jeunes malades puisqu’elle se traduit par l’inflammation simultanée de plusieurs articulations. Une « bonne » rougeole les aurait-elle prémunis de ces rhumatismes douloureux ? Ce n’est pas impossible car lorsque l’infection survient chez de jeunes patients déjà atteints, elle les fait parfois immédiatement entrer en rémission ! Le phénomène a en tout cas été observé chez  une fillette japonaise et une jeune italienne. Chez la première, les douleurs sont revenues après 10 jours. Mais la seconde a été tranquille durant 4 ans, un répit qu’aucun traitement médicamenteux n’est capable d’offrir.

Selon d’autres cas mentionnés dans la littérature médicale, le psoriasis chronique serait également balayé chez les enfants développant la rougeole. Le mécanisme en jeu est tout aussi énigmatique mais il est peu douteux que l’épisode infectieux contrecarre la maladie cutanée , laquelle est d’ailleurs souvent couplée à l’arthrite juvénile idiopathique. Tout se passe comme si la maladie rougeoleuse en chassait d’autres et comme si elle constituait un « bouclier de santé » mettant à l’abri d’autres soucis plus tard dans la vie, et non des moindres.

Une étape vers la maturité

En conclusion de ce petit survol des avantages sanitaires de la rougeole – j’entends ceux qui ont été repérés car il y a certainement d’autres bénéfices toujours inconnus – je signale que cette affection a fait l’objet d’un décodage psychobiologique dans le mensuel Néosanté (numéro 44 d’avril 2015). Selon le Dr Alain Scohy, cette maladie infantile est un processus de guérison (phase de réparation virale) d’un traumatisme provoqué par le sevrage . L’enfant finit son deuil de la séparation du sein maternel et le franchissement de ce cap lui permet d’évoluer vers l’autonomie. Lorsque la maladie était très répandue, parents et médecins observaient généralement une importante maturation intellectuelle et psychologique de l’enfant, ainsi qu’une poussée de croissance. En perturbant tout cela, la vaccination a probablement aussi contribué à saper l’intelligence et la maturité des jeunes générations. Raison de plus pour faire machine arrière et pour permettre à nouveau à la rougeole, dont la létalité est devenue insignifiante chez les enfants allaités et bien nourris, d’apporter sans entraves ses nombreux bienfaits. 

Vaccination ARN messager des animaux : une mystification scientifique répétée ?

 

Depuis octobre 2023, la France impose une mesure inédite : la vaccination ARN messager des animaux, et plus précisément des canards d’élevage. Cette décision, unique au monde, relance les débats autour de cette technologie controversée.

 

Après l’humain, c’est désormais notre alimentation qui est concernée. Peut-on encore ignorer les risques potentiels ? Ou s’agit-il d’une nouvelle mystification scientifique, dans la continuité de la gestion de la pandémie de COVID-19?

 

Vaccination ARN messager des animaux : une première mondiale inquiétante

 

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La vaccination ARN messager animale, et en particulier chez les canards, repose sur une technologie dite autoamplificatrice. Ce type de vaccin se réplique dans les cellules de l’animal, produisant une grande quantité de protéines antigéniques.

 

Cette innovation soulève des inquiétudes : quels sont les effets sur la santé animale ? Et surtout, sur la santé humaine, lorsque ces animaux sont consommés ?

 

La France est le seul pays au monde à rendre cette vaccination obligatoire. 
Une décision isolée, qui interroge sur ses motivations réelles et sur la transparence des autorités sanitaires.

 

 

 

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Alerte Sanitaire sur les Vaccins à ARNm antiCovid auprès des tutelles institutionnelles. https://lesenfantsdhippocrate.org Retrouvez les sources ici: https://conseil-scientifique-independant.org/alerte-sanitaire-sur-les-vaccins-arnm-contre-la-covid-19-comirnaty-de-pfizer-et-spikevax-de-moderna/

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Youtube : Belle Mélodie Sombre d’une Pirate Afro : Entre Violon, Piano et Destin Maudit

Entrez dans un univers musical où l’élégance et la force s’unissent. Une pirate afro à la beauté magnétique, aux dreadlocks majestueuses et au regard déterminé, vous transporte avec son violon et son piano dans une mélodie douce, mystérieuse et envoûtante. Dans une taverne oubliée, au cœur des mers noires, elle exprime ses cicatrices, ses combats, et ses rêves à travers une musique émotionnelle inspirée du dark fantasy et de la légende pirate. Cette création est une fusion unique entre culture, féminité puissante et art instrumental, idéale pour les amateurs de musiques de film, d’univers gothiques et de récits épiqu

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Le taux de conceptions réussies (naissances vivantes) est de 30% inférieur pour les femmes vaxxinées comparées aux non vaxxinées covid.

par Patrice Gibertie

En résumé, cette étude montre que sur les 1,3 million de femmes tchèques suivies pendant 27 mois le taux de natalité était inférieur d’environ 30% pour les femmes vaccinées à partir de février 2022 jusqu’en mars 2023

Contexte/Objectifs : Des effets indésirables de la vaccination contre la COVID-19 sur les caractéristiques du cycle menstruel humain ont été observés, mais les données disponibles sur la relation entre le statut vaccinal contre la COVID-19 et les taux de natalité sont limitées.

Par conséquent, nous avons utilisé les données nationales de la République tchèque pour examiner les taux de conceptions réussies (CS), c’est-à-dire les conceptions menant à des naissances vivantes 9 mois plus tard, pour les femmes qui étaient vaccinées ou non vaccinées contre la COVID-19 avant la CS.

Résultats : Au cours de la période d’étude, il y avait environ 1 300 000 femmes âgées de 18 à 39 ans en République tchèque, et la proportion de femmes vaccinées contre la COVID-19 a augmenté jusqu’à atteindre un état stable d’environ 70% à la fin de 2021.

Pendant toute la période d’étude, les SC pour 1000 femmes étaient considérablement plus faibles chez les femmes vaccinées, par rapport à celles qui n’étaient pas vaccinées, avant la SC. Ces résultats préliminaires et générateurs d’hypothèses appellent à des études supplémentaires sur l’influence potentielle de la vaccination contre la COVID-19 sur la fécondabilité et la fertilité humaines.

https://preprints.org/manuscript/202504.2487/v1

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RUMBLE  VENINS SYNTHETIQUES

Dr. Bryan Ardis, Dr. Jane Ruby & Mike Adams: The Truth is Far Scarier Than Fiction! Buckle Up!

Les venins  synthétiques ( plus de 50) trouvés dans les vaxxins à haute doses sont d’une toxicité terrible ! En 2012 sur Google conotoxines (venins) : potentials weapons qui créent des symptômes respiratoires. Les vaxxins RNA-DNA sont des instructeurs pour que le corps fabrique ces venins. Et les gens infectés sont infectieux pour leurs proches qui perdent leur sens du goût et de l’odorat, ce qui est le signe des venins. Les chemtrails, l’eau chlorée, les pesticides répandus sur les cultures et les aliments industriels peuvent apporter ces venins… Les gouvernements sont des terroristes génocidaires ! On ne connait pas la séquence des protéines contenues dans les vaxxins mais on comprend que ces venins sont la cause des caillots qu’on trouve chez les vaxxinés. Ces venins font perdre le zinc, le selenium, le cuivre, le glutathion et la vit C dont le corps a tant besoin.

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Macron EST UN ÉVADÉ FISCAL !

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https://crowdbunker.com/v/gahqpePeYo

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VACCIN CONTRE LA GRIPPE ? UNE CATASTROPHE

 

Une nouvelle étude de la Cleveland Clinic vient de tomber—La clinique a suivi plus de 53 000 de leurs propres employés pendant la saison grippale. Et devinez ce qu’ils ont trouvé? Ceux qui ont pris le vaccin contre la grippe étaient 27% PLUS SUSCEPTIBLES de contracter la grippe. L’injection de grippe est poussée année après année comme mesure préventive mais elle rend les gens plus vulnérables. “L’incidence cumulative de la grippe a augmenté plus rapidement chez les vaccinés que chez les non vaccinés.” Et toujours le CDC insiste toujours sur le fait que ce tir est sûr et efficace.“ Ils ont poussé cette injection pour les bébés dès l’âge de 6 mois sans aucune reconnaissance de ces données choquantes. Le CDC se vante de millions de doses administrées… Tout en ignorant 533 décès signalés depuis 2020 rapportés suite au vaccin antigrippal. Et fermer les yeux sur 4 597 événements indésirables graves, ce n’est pas seulement trompeur. It’s criminal. Les États-Unis sont maintenant une valeur aberrante. Le Canada et le Royaume-Uni réduisent leurs recommandations de vaccin antigrippal. Mais ici, sous l’influence des agences capturées et du silence des médias, la presse va à fond que pour les tirs annuels ne se terminent jamais. Lorsque le gouvernement cesse de poser des questions, ICAN commence à exiger des réponses.

The Informed Consent Action Network (ICAN) has won over 40 lawsuits against the Federal Government. Together, we can build on our strong winning record and protect your Constitutional Liberties; we can hold politicians responsible; and we can enact new civil protections for you and your family.

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Inquiet? Irritable? Stressé ? Peut-être que vous respirez trop et trop vite.

Roland REYMONDIER 

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Chers ami-e-s,

L’acte fondamental pour notre vie quotidienne à tous est bien celui de la RESPIRATION.

Pourquoi cette nourriture gazeuse, prânique de notre corps et de notre esprit est-elle si négligée dans tous les soins infirmiers et hospitaliers, c’est un mystère pour moi !

Vous voulez réduire votre acidité et équilibrer votre PH sanguin ? Changez votre respiration !

Vous voulez être parfaitement “oxygéné” ? Changez votre manière de respirer !

Vous voulez vous recharger en “prana” ? Changez encore de respiration !

Vous voulez vous sentir calme et détendu ? Changez toujours de respiration !

Vous souffrez d’angoisses, de peurs, de tétanie, de spasmophilie ?   Personne ne vous l’a dit : Respirez DIFFÉREMMENT !

 

Le drame de notre société hyper-stressée c’est l’hyperventilation chronique.
Nous respirons trop, trop vite, superficiellement et trop souvent de manière thoracique.

Bâillements, soupirs, halètements, bavardage ( trop d’air passant par la bouche) et pour la nuit cela se traduit par de l’apnée.

 

L’apnée nocturne est en fait, une tentative que notre corps fait pour récupérer du CO2 dont il a furieusement besoin. Le problème qui se pose c’est qu’il le fait de façon brutale et c’est pour cette raison que votre toubib va vous prescrire un appareil ( qui ne résoudra rien mais permettra à votre corps de ne pas souffrir de trop long moment de retention qui fatigue votre cœur).

Le véritable traitement de l’apnée du sommeil devrait passer par une rééducation respiratoire dans la journée, mais sachez que cela devient gratuit alors ça ne rapporte rien et pourtant ….

Inquiet? Irritable? Stressé ? Peut-être que vous respirez trop vite. 

Je fais appel à mon ami Dennis Lewis qui a écrit LE TAO DE LA RESPIRATION NATURELLE éditions Soleil et qui a une expertise orientale taoïste très originale de la perception de notre respiration. Pour lui le constat est sans appel : nous respirons trop et très mal !

 

Vous vous promenez le long d’une belle plage et vous vous retrouvez rempli de tension et d’anxiété. Vous êtes assis à la maison en train d’essayer de vous détendre et vous vous retrouvez craintif et inquiet. Vous parlez à un ami au téléphone et vous remarquez que vous êtes irritable et mal à l’aise. Vous êtes au travail et vous n’arrivez pas à vous concentrer. Le moment d’aller en psychothérapie ? Pas nécessairement, du moins pas selon Dennis Lewis, l’auteur des livres très acclamés The Tao of Natural Breathing, Free Your Breath, Free Your Life, Breathe Into Being, et du programme audio de trois CD Natural Breathing.

Lewis soutient que les expériences émotionnelles négatives telles que l’anxiété, l’inquiétude, etc., peuvent être le résultat d’une respiration excessivement rapide, également appelée « respiration excessive ». Ce type de respiration, appelé hyperventilation, se produit souvent lorsque nous prenons des respirations rapides et superficielles du haut de notre poitrine. 

Il se produit également fréquemment lorsque nous respirons par la bouche. Il souligne que bien que la fréquence respiratoire moyenne des personnes au repos soit d’environ 12 à 17 fois par minute, beaucoup d’entre nous respirent encore plus vite que cela.

Et lorsque nous le faisons, nous nous retrouvons généralement anxieux, irritables, appréhensifs et même craintifs, tout cela sans raison apparente. 

Il croit également que même le rythme respiratoire de 12 à 17 fois par minute est souvent plus rapide qu’il ne devrait l’être et est lui-même souvent une forme subtile d’hyperventilation chronique. « Les personnes qui entreprennent le qigong (chi kung), le tai-chi, le yoga, la thérapie respiratoire ou d’autres pratiques similaires réduisent souvent leur rythme respiratoire entre 4 et 10 respirations par minute », ainsi que leurs niveaux de stress et d’anxiété.

« Il est important de comprendre le rôle du dioxyde de carbone dans l’utilisation efficace de l’oxygène dans le corps, ce qui est absolument impératif pour maintenir une bonne santé. Lorsque notre rythme respiratoire est trop élevé, c’est-à-dire lorsque nous respirons trop vite, explique Lewis, nous réduisons le niveau de dioxyde de carbone dans notre sang en dessous de son niveau optimal. Cette réduction du niveau de dioxyde de carbone pose de nombreux problèmes. 

Par exemple, il provoque la constriction des artères, y compris l’artère carotide allant au cerveau, réduisant ainsi le flux sanguin dans tout le corps. 

Il est également plus difficile pour les globules rouges de libérer de l’oxygène vers les cellules du cerveau et du corps. Lorsque nous avons trop peu de dioxyde de carbone, notre cerveau et notre corps connaissent une pénurie d’oxygène, quelle que soit la quantité d’oxygène que nous respirons dans nos poumons. 

Ce manque d’oxygène active le système nerveux sympathique – notre réflexe de « combat ou de fuite » – qui nous rend tendu, anxieux et irritable. Cela réduit également notre capacité à penser clairement et a tendance à nous mettre à la merci de pensées et d’images obsessionnelles.

Les dangers de l’hyperventilation chronique ne sont jamais vus dans notre société et pourtant …

Selon Lewis, cependant, les effets de l’hyperventilation chronique (un rythme respiratoire trop élevé) vont bien au-delà des symptômes mentaux et émotionnels tels que l’anxiété et la peur. Lewis affirme que certains chercheurs et médecins, dont le professeur Konstantin Buteyko de Russie, croient maintenant, sur la base de nombreuses études, que le taux respiratoire trop élevé de l’hyperventilation chronique est instrumental dans quelque 200 problèmes et maladies médicaux, y compris l’asthme, les maladies cardiaques, l’hypertension artérielle, le syndrome de fatigue chronique, le syndrome du côlon irritable, la perte de mémoire, la sinusite, la sinusite. l’arthrite, les attaques de panique, le stress, la rhinite, les maux de tête, les brûlures d’estomac et bien d’autres.

Lewis souligne que bien que l’hyperventilation chronique puisse être le résultat de problèmes émotionnels ou psychologiques sous-jacents, elle peut également être le résultat de mauvaises habitudes respiratoires formées dans l’enfance. L’une de ces habitudes est la respiration buccale, qui libère très rapidement d’énormes quantités de dioxyde de carbone. Il est très important, c’est pourquoi apprendre à respirer uniquement par le nez fait partie des activités normales de votre vie quotidienne, y compris lorsque vous faites de l’aérobic. 

L’hyperventilation chronique peut également être le résultat d’une mauvaise posture, d’une tension musculaire excessive, d’une mauvaise alimentation et de l’image dominante du ventre dur et plat que l’on trouve dans les magazines de mode et de fitness. 

Respirer naturellement, dit Lewis, c’est respirer avec tout notre corps, comme le fait un bébé ou un animal. Pour que cela se produise, nous avons non seulement besoin d’une cage thoracique souple et non resserrée, mais aussi d’un ventre souple. 

Notre ventre doit être capable de se dilater à l’inspiration et de se rétracter à l’expiration.

Selon Lewis, ce mouvement du ventre, semblable à un soufflet, soutient le mouvement ascendant et descendant du diaphragme. Lorsque le ventre se dilate lors de l’inspiration, le diaphragme peut s’étendre plus bas dans l’abdomen, ce qui permet aux poumons de se dilater plus complètement. Lorsque le ventre se rétracte à l’expiration, le diaphragme peut se détendre plus haut vers le haut, ce qui aide à vider les poumons. L’amplitude accrue des mouvements vers le bas et vers le haut du diaphragme permet non seulement aux poumons d’absorber et de libérer de l’air (y compris l’oxygène, le dioxyde de carbone et d’autres gaz) avec des respirations moins nombreuses, plus lentes et mieux coordonnées, mais il aide également à masser tous les organes internes. Ce « massage interne », dit Lewis, a un impact sain sur la digestion, l’élimination, la circulation sanguine, le système immunitaire et le système nerveux, réduisant ainsi le stress et l’anxiété globaux.

Lewis, cofondateur d’une entreprise technologique très prospère, étudie le processus de respiration depuis 30 ans dans diverses disciplines. Après avoir vendu son entreprise il y a plusieurs années à une grande entreprise anglaise, il s’est retrouvé avec une douleur abdominale que ses médecins ne pouvaient ni diagnostiquer ni guérir. Durant cette période, il rencontre un praticien qui a su pallier le problème en plusieurs séances d’une heure. Ce praticien a utilisé une technique appelée Chi Nei Tsang, une forme de massage énergétique des organes internes et de respiration apportée en Occident par le maître taoïste Mantak. Lewis a trouvé cette approche si utile qu’il est devenu un praticien certifié et a travaillé pendant quelques années dans une clinique d’acupuncture bien connue à San Francisco.

Lewis dit que ce sont ses expériences avec le Chi Nei Tsang qui l’ont inspiré à écrire son premier livre, The Tao of Natural Breathing, et à développer son programme audio Natural Breathing, qui réunit la sagesse méditative de l’Orient avec les connaissances scientifiques de l’Occident en ce qui concerne la respiration. ” Lorsque j’ai commencé à travailler sur des personnes ordinaires souffrant de divers problèmes physiques et émotionnels, j’ai constaté que bon nombre de ces problèmes, y compris l’anxiété, étaient souvent liés à leur respiration. J’ai également constaté que la plupart d’entre nous ne sont pas conscients de nos mauvaises habitudes respiratoires et comprennent mal comment ces habitudes nuisent à notre santé et à notre bien-être.”

Lewis dit qu’il a écrit le livre et développé son programme audio pour que les gens puissent commencer à explorer ce sujet important par eux-mêmes. « Les exercices de respiration sont légion », dit Lewis, « en particulier les exercices avancés tels que la rétention du souffle, la respiration alternée rapide des narines et la respiration inversée. Vous pouvez entrer dans presque n’importe quelle librairie et trouver une variété de livres et de cassettes faisant la promotion de tels exercices. Ce que vous ne pouvez généralement pas trouver dans ces magasins, cependant, ce sont des livres et des cassettes avec une compréhension claire de la respiration naturelle et de la façon dont la façon dont nous respirons, y compris notre rythme respiratoire, est liée aux divers aspects intérieurs et extérieurs de notre vie – non seulement à la quantité d’oxygène que nous absorbons, mais aussi à notre capacité à éloigner la maladie. penser clairement, ressentir et ressentir les besoins et les émotions qui motivent notre comportement, et ainsi de suite. Jusqu’à ce que nous commencions à avoir cette compréhension, et jusqu’à ce que nous commencions à avoir une certaine expérience de la respiration naturelle, de nombreux exercices de respiration peuvent en fait être préjudiciables à notre santé et à notre bien-être.

Un exemple que Lewis donne de la façon dont les exercices de respiration peuvent être préjudiciables à notre santé est les nombreux exercices de respiration profonde que les gens font souvent. « La respiration profonde n’est pas la panacée qu’elle est censée être souvent c’est l’inverse », dit Lewis, « surtout lorsqu’elle est forcée. 

Dans le monde d’aujourd’hui, de nombreuses personnes n’ont pas suffisamment de conscience corporelle, de force diaphragmatique et de coordination respiratoire pour respirer intentionnellement profondément sans hyperventilation. 

Les personnes qui essaient de respirer profondément finissent souvent par rentrer leur ventre et essayer d’élargir leur poitrine, ce qui n’est qu’une forme très inefficace et malsaine de respiration superficielle, qui accélère le rythme respiratoire. De tels exercices de respiration profonde mal faits de cette manière ou d’autres peuvent entraîner encore plus d’hyperventilation et d’anxiété, affaiblir le diaphragme et provoquer une dysharmonie dans les muscles respiratoires. Quoi qu’il en soit, notre respiration n’a jamais été destinée à être toujours profonde, mais plutôt à répondre spontanément et naturellement aux besoins du moment.

Comment la respiration excessive affecte le corps

L’hyperventilation chronique crée un volume respiratoire élevé qui exerce une pression supplémentaire sur le corps et affecte la santé et le bien-être d’un individu de différentes manières. Lorsque la respiration excessive devient une habitude, le corps a du mal à faire face à un déséquilibre des gaz sanguins et tous les systèmes et organes du corps peuvent être affectés, notamment :

  •                               Le système respiratoire : respiration sifflante, nez bouché, perte de l’odorat et du goût, écoulement nasal, écoulement post-nasal, essoufflement, toux, oppression thoracique, infections pulmonaires fréquentes, bâillements fréquents et ronflements.
  •                               Le système nerveux : manque de concentration, étourdissements, étourdissements, engourdissements, transpiration, étourdissements, brouillard cérébral, vertiges, picotements des mains et des pieds, évanouissement, tremblements et maux de tête.
  •                               Le cœur : un rythme cardiaque rapide, une douleur dans la région de la poitrine et un rythme cardiaque sifflant ou irrégulier.
  •                               L’esprit : anxiété, frustration, agitation, irritabilité, tension, dépression, appréhension et stress.

D’autres symptômes généraux comprennent : sécheresse de la bouche, fatigue, difficulté à s’endormir, réveils réguliers la nuit, réveils fatigués, productivité réduite, gêne, mauvais rêves, cauchemars, peau sèche et qui démange, paumes moites, augmentation de la miction (y compris l’énurésie nocturne ou des visites régulières aux toilettes pendant la nuit), diarrhée, constipation, faiblesse générale et épuisement chronique.« L’hyperventilation chronique peut affecter n’importe quel organe ou système à des degrés divers. » – Dr Claude Lum.

Personnellement je dois beaucoup à Dennis Lewis qui est un instructeur thérapeute extraordinaire. En écrivant ce texte, il m’est apparu fondamental de partager une approche qu’on ne trouve presque nulle part ailleurs.

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COMMENT LA CHINE MANOEUVRE

Sur le net : Le PCC déploie un nombre croissant d’organisations se faisant passer pour des ONG dans les instances de l’ONU pour intimider et surveiller les militants défenseurs des droits de l’homme, dévoile le consortium international des journalistes d’investigation (ICIJ) dans une enquête rendue publique le 28 avril.

L’un des volets de l’enquête, baptisée « China targets » et fruit du travail de 42 médias, porte sur l’offensive de Pékin au sein du Conseil des droits de l’homme des Nations unies à Genève.

Des organisations non gouvernementales pro-chinoises investissent les sessions du Conseil pour faire l’éloge du PCC et présenter des comptes-rendus dithyrambiques de ses actions, en contradiction totale avec les conclusions des experts et des rapports de l’ONU faisant état de violations généralisées des droits de l’homme.

Selon l’ICIJ, sur 106 ONG chinoises de Chine continentale, de Hong Kong, de Macao et de Taïwan enregistrées auprès de l’ONU, 59 entretiennent des liens étroits avec le gouvernement ou le Parti communiste chinois.

Lors d’un examen régulier en 2024 du bilan de la Chine en matière de droits de l’homme, plus de la moitié des ONG qui se sont vu accorder un temps de parole étaient des organisations pro-PCC.

« C’est malhonnête », a réagi Michele Taylor, ambassadrice des États-Unis au Conseil des droits de l’homme de 2022 jusqu’à janvier 2025.

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1746945173 blog 153 superfini 8 : « Robert Kennedy Jr entend identifier les causes possibles de l’épidémie d’autisme, vaccination comprise »

https://www.epochtimes.fr/mary-holland-presidente-de-childrens-health-defense-robert-kennedy-jr-entend-identifier-les-causes-possibles-de-lepidemie-dautisme-vaccination-comprise-

 

ENTRETIEN – Le nombre de cas d’autisme s’envole. Lors d’une conférence de presse à Washington, le 16 avril dernier, Robert Kennedy Jr.. a décidé de s’attaquer à ce qu’il désigne sans ambages d’« épidémie » : une vaste étude scientifique destinée à en identifier les causes a donc été annoncée. Pour Mary Holland, ancienne professeure à la New York University School of Law et présidente de Children’s Health Defense, l’organisation fondée par Kennedy pour défendre la santé des enfants, cette flambée ne saurait être reléguée à une simple évolution des critères diagnostiques, ou noyée dans des arguties génétiques. Vaccins, polluants, pesticides… : tous les facteurs environnementaux possibles, plaide-t-elle, doivent pouvoir être investigués, sans a priori ni tabou. Car la science ne se nourrit pas de certitudes figées, mais avance au rythme des bonnes questions posées.

Epoch Times : Que ce soit aux États-Unis ou en France, le discours de Robert Kennedy Jr au cours duquel il a annoncé une étude des autorités sanitaires américaines sur les causes de l’autisme a été critiqué par une large partie de la presse. Par exemple, dans l’Hexagone, TF1, dénonçant un « antivax à la Santé » qui « multiplie les fausses déclarations en matière de santé publique », affirme que « parler d’ »épidémie d’autisme », comme le fait Robert Kennedy Jr, n’a aucun fondement scientifique ». « L’augmentation de ces cas est d’abord la conséquence des redéfinitions successives dans les nomenclatures », soutient, dans le même esprit, France info. Que répondez-vous à ces affirmations ?

Mary Holland : J’étais présente à Washington, D.C., le mercredi 16 avril, lors de la conférence de presse du secrétaire Kennedy. Celui-ci y a fermement contesté l’idée selon laquelle l’épidémie d’autisme, dont le point de départ remonterait à 1989 selon une étude de l’Agence américaine de protection de l’environnement (EPA) qu’il a citée, pourrait s’expliquer par une simple amélioration des capacités diagnostiques. Il est totalement fallacieux de prétendre qu’une multitude d’enfants autistes auraient auparavant échappé à toute détection pour cette principale raison.

Certes, l’élargissement de la définition de l’autisme a évolué au cours des vingt dernières années et explique en partie l’augmentation du nombre de diagnostics. Autrefois, il existait plusieurs sous-catégories distinctes, telles que le syndrome d’Asperger, le trouble désintégratif de l’enfance ou encore le trouble envahissant du développement non spécifié (TED-NS). Aujourd’hui, tous ces diagnostics ont été regroupés sous une seule et même appellation : le trouble du spectre de l’autisme (TSA).

Cependant, cette redéfinition plus large ainsi que la « meilleure prise en compte de ces troubles » ne sauraient justifier l’explosion du nombre de cas, passés d’un enfant sur 10.000 en 1970 à… un enfant sur 31 en 2022, selon les chiffres publiés en ce mois d’avril par les Centres de contrôle et de prévention des maladies (CDC). En Californie, on recense désormais jusqu’à 1 garçon sur 12,5 diagnostiqué…

Kennedy a rappelé à juste titre qu’il est âgé de plus de soixante-dix ans, et qu’au sein de sa génération, on n’observait nullement une prévalence des troubles autistiques comparable à celle qui frappe aujourd’hui les jeunes générations. L’argument selon lequel cette différence serait donc imputable aux progrès des capacités de diagnostic a ainsi été écarté par ces mots : un « canular de l’industrie pharmaceutique » repris par les médias mainstream.

Dès lors, il n’est guère étonnant qu’une bonne partie de la presse américaine et internationale s’en prenne à lui : depuis plus de vingt ans, les médias dominants et une large partie du corps médical s’emploient à minimiser cet essor fulgurant des cas d’autisme qui, aujourd’hui, apparait au grand jour.

Selon un rapport des CDC publié en 2023, un enfant autiste sur quatre présente un trouble sévère. Durant sa conférence de presse, le ministre a parlé « d’enfants qui ne paieront jamais d’impôts, n’auront jamais d’emploi, ne joueront jamais au baseball, n’écriront jamais de poème, n’iront jamais à un rendez-vous galant. Beaucoup d’entre eux, a-t-il ajouté, ne pourront même jamais utiliser les toilettes sans assistance. » En réaction, une large partie de la presse américaine, à l’instar de CNN, s’est fait le relai de critiques accusant Kennedy de donner une « description réductrice de l’autisme », jugée à la fois « simpliste et préjudiciable ».

S’il existe des personnes qui s’identifient comme autistes et rapportent avoir surmonté de grandes difficultés, il va de soi que la population autiste qui préoccupe prioritairement Robert Kennedy n’est pas celle capable de parler, de travailler, de nouer des amitiés et de suivre un parcours scolaire classique.

Comme le ministre l’a indiqué, son attention se porte avant tout sur le gros quart de personnes autistes sévères qui ne pourront jamais vivre pleinement de manière autonome.

Imaginez ce que serait votre existence si vous étiez incapable d’exprimer vos besoins, vos sentiments ou même vos pensées les plus simples.

Selon Robert Kennedy Jr, les causes de l’augmentation alarmante des cas d’autisme doivent être identifiées, et elles trouvent nécessairement leur origine dans des facteurs environnementaux. Cette hypothèse est contestée par des scientifiques qui insistent sur le rôle du facteur génétique, et que la majorité des médias choisissent de privilégier comme interlocuteurs.  En France, l’AFP cite par exemple Thomas Bourgeron, responsable de l’unité de génétique humaine et fonctions cognitives à l’Institut Pasteur, qui affirme qu’« environ 80 % des cas d’autisme peuvent être liés à des mutations génétiques ». Qu’en pensez-vous ?

Les gènes peuvent muter au fil du temps, mais ils n’évoluent pas radicalement en l’espace d’une ou deux générations. Par nature, les mutations génétiques majeures nécessitent généralement plusieurs centaines d’années pour se traduire en changements significatifs. Or, les troubles profonds observés chez de nombreuses personnes autistes témoignent d’altérations substantielles du fonctionnement cérébral, des transformations qui ne sauraient raisonnablement être attribuées à la seule évolution génétique sur une période aussi brève.

Comme l’a souligné le ministre, si le facteur génétique peut effectivement prédisposer à une certaine vulnérabilité, il ne peut pour autant provoquer une épidémie.

Avant d’aborder la question d’un éventuel lien entre autisme et vaccination, considérez-vous que d’autres facteurs environnementaux, tels que la pollution atmosphérique ou l’exposition à certains pesticides, pourraient être responsables de l’augmentation exponentielle du nombre de cas d’autisme ?

Dans le cadre de cette vaste étude scientifique annoncée le 16 avril, Robert Kennedy ambitionne de fournir, à tout le moins, des données préliminaires sur les causes de l’autisme. S’il n’a pas encore désigné de facteurs spécifiques, il s’est montré catégorique sur un point : les causes de l’autisme sont nécessairement environnementales, et non génétiques. Moisissures, additifs alimentaires, pesticides, médicaments, ultrasons… tout sera donc passé au crible de l’analyse.

Pour ma part, bien que je sois convaincu que les vaccins ne sont pas le seul facteur en cause, à Children’s Health Defense, nous avons particulièrement concentré notre attention sur la vaccination. Nous avons recueilli les témoignages de milliers de parents, qui racontent invariablement la même histoire déchirante : un enfant se développant normalement, se faisant vacciner, puis régressant brutalement, souvent de manière spectaculaire, peu de temps après. C’est également l’épreuve que j’ai vécue avec mon fils, il y a vingt ans.

De nombreux médias n’hésitent pas à écrire que Robert Kennedy fait de « fausses déclarations » concernant le lien entre vaccination et autisme, en particulier à propos du vaccin ROR (rougeole, oreillons, rubéole). « Le doute n’est pourtant scientifiquement plus permis : de très nombreuses études ont démontré l’absence totale de lien entre le vaccin ROR et le développement de l’autisme », peut-on lire dans une dépêche de l’AFP largement reprise par la presse française. Même son de cloche outre-Atlantique. Selon vous, l’absence de lien entre vaccination et autisme a-t-elle réellement été scientifiquement démontrée ?

Non, l’existence d’un lien entre vaccins et autisme n’a pas été réfutée par la science. En réalité, les recherches existantes se sont concentrées sur un champ d’étude extrêmement restreint : seul le vaccin ROR a été examiné pour déterminer l’existence éventuelle d’un lien avec l’autisme. Un seul vaccin.

Ainsi, aucun des vaccins administrés durant les six premiers mois de vie — une période critique où, conformément au calendrier vaccinal, les nourrissons reçoivent la majorité de leurs premières doses — n’a fait l’objet d’une évaluation scientifique sérieuse à cet égard. De même, parmi tous les composants utilisés dans les vaccins, un seul — le thiomersal, un composé neurotoxique à base de mercure, toujours présent dans certains vaccins contre la grippe — a été spécifiquement étudié pour son rôle possible dans le développement de troubles autistiques.

Or, un vaccin ne se compose pas uniquement des antigènes cibles (par exemple ceux de la rougeole ou des oreillons) ; il contient également de nombreux autres ingrédients, dont certains, comme les adjuvants à base d’aluminium, sont neurotoxiques et franchissent la barrière hémato-encéphalique, qui protège le cerveau contre les substances nocives.

En outre, au-delà de leur champ limité, les études fréquemment citées pour affirmer l’absence de lien entre vaccination et autisme présentent toutes des défauts méthodologiques majeurs. Comme l’a rappelé Robert Kennedy Jr récemment, même l’Académie nationale de médecine des États-Unis a reconnu que quatorze de ces études étaient invalides.

Leur faiblesse principale tient à ce qu’aucune d’entre elles n’a comparé un groupe vacciné à un groupe non vacciné, ce qui constitue pourtant la seule méthode fiable pour évaluer l’existence d’un lien de causalité.

Pour contester l’existence d’un lien entre autisme et vaccination, France info cite David Masson, psychiatre au Centre psychothérapique de Nancy : « Il est difficile d’imaginer comment un vaccin pourrait provoquer l’autisme alors que ces troubles concernent un développement cérébral pendant la grossesse, et donc avant même la naissance. » Que répondez-vous à cette déclaration ?

Que l’exposition des femmes enceintes à certains composants chimiques pendant la grossesse peut avoir un impact important sur le développement du fœtus et augmenter significativement le risque de donner naissance à un enfant autiste. Cette réalité scientifique est aujourd’hui établie et officiellement reconnue.

Ceci étant rappelé, aux États-Unis, il est actuellement recommandé aux femmes enceintes de recevoir quatre vaccins : le DTaP (diphtérie, tétanos, coqueluche), le vaccin contre le VRS (virus respiratoire syncytial), le vaccin contre le Covid-19 et le vaccin contre la grippe. Et aucun de ces vaccins n’a été spécifiquement testé pour évaluer sa sécurité chez les femmes enceintes. C’est irresponsable.

Si le lien entre autisme et vaccination n’a pas encore été scientifiquement et officiellement établi, il existe néanmoins un faisceau d’indices suffisamment sérieux et concordants pour justifier non seulement la conduite d’études sérieuses à ce sujet, mais aussi un appel à la prudence, selon vous.

Il est par ailleurs important de rappeler que la capacité des vaccins à provoquer des lésions cérébrales est déjà reconnue. Les laboratoires pharmaceutiques eux-mêmes mentionnent cette possibilité dans les notices d’information de leurs produits (product inserts). De plus, le Vaccine Injury Compensation Program (VICP) aux États-Unis reconnaît clairement que des blessures vaccinales peuvent survenir, notamment des inflammations cérébrales (encéphalopathies) et des lésions cérébrales, deux affections dont les manifestations comportementales recoupent fréquemment les symptômes associés à l’autisme.

Il y a plus de dix ans, j’ai personnellement mené une étude sur les cas indemnisés par le VICP. Parmi les 83 dossiers que nous avons examinés, il apparaissait clairement que de nombreux enfants avaient été diagnostiqués autistes après avoir été indemnisés pour des lésions cérébrales ou des troubles épileptiques, deux conditions étroitement liées à l’autisme. Nous avons contacté directement les familles concernées pour confirmer les diagnostics, et toutes les ont validés.

En 2010, lorsque nous avons interrogé le service de presse du ministère américain de la Santé pour savoir s’ils suivaient les cas où un vaccin pourrait avoir causé un autisme, leur réponse fut révélatrice : « Non, nous ne suivons pas les cas où les vaccins pourraient causer l’autisme. Nous suivons seulement les cas d’encéphalopathie ou de troubles épileptiques. »

Autrement dit, les autorités américaines disposent de données montrant que les vaccins peuvent provoquer des lésions cérébrales, lésions dont l’autisme peut être une manifestation directe.

Il est à noter que même des adultes peuvent, après certaines vaccinations, développer des symptômes proches de ceux de l’autisme, tels que l’hypersensibilité sensorielle ou des troubles de la coordination motrice.

L’accès aux données détenues par le gouvernement américain a d’ailleurs donné lieu, en mars, à une passe d’armes entre Robert Kennedy Jr et Peter Marks, alors directeur du Centre d’évaluation et de recherche biologique de la Food and Drug Administration (FDA), qui a, en conséquence, démissionné.

Le secrétaire Kennedy a demandé l’accès au Vaccine Adverse Event Reporting System (VAERS), le système national de déclaration des effets indésirables liés aux vaccins, afin d’analyser les données qu’il contient. Cependant, Peter Marks a refusé de le lui accorder.

Marks l’a lui-même admis lors d’une interview accordée à The Associated Press, déclarant qu’il craignait que Kennedy et son équipe ne manipulent ou n’effacent des informations : une accusation qui relève de l’absurde.

Ce qui est certain, en revanche, c’est que le ministre de la Santé demeure fermement résolu à examiner et à évaluer l’immense quantité de données détenues par le gouvernement américain. Et très franchement, il était grand temps que quelqu’un s’attelle sérieusement à cette tâche.

Le National Childhood Vaccine Injury Act, ou Loi nationale sur les blessures dues aux vaccins infantiles en français, revient régulièrement dans le débat public sur la vaccination aux États-Unis. Pouvez-vous expliquer quels sont les tenants et aboutissants de cette loi controversée, adoptée en 1986, qui protège les fabricants de vaccins contre les poursuites judiciaires ?

En 1986, le Congrès américain a adopté le National Childhood Vaccine Injury Act, une loi toujours en vigueur aujourd’hui. Ce texte relativement concis poursuivait trois objectifs principaux.

Premièrement, il offrait une protection juridique aux fabricants de vaccins et aux professionnels de santé, sous le prétexte que les vaccins étaient si « vitaux » qu’il fallait prémunir l’industrie contre les poursuites judiciaires.

Deuxièmement, il instituait un programme d’indemnisation destiné aux victimes d’effets secondaires vaccinaux, reconnaissant de fait que les vaccins sont, en termes juridiques, des produits « inévitablement dangereux ». Ce programme devait être rapide, sans faute et équitable, reposant sur un principe simple : en cas de doute, l’indemnisation devait être accordée.

Troisièmement, la loi chargeait le ministère de la Santé (Department of Health and Human Services – HHS) de rendre compte tous les deux ans au Congrès des mesures prises pour améliorer la sécurité vaccinale, notamment en détaillant les efforts entrepris par des agences comme les CDC pour inciter l’industrie à progresser, dans un contexte où les fabricants devenaient juridiquement intouchables.

Dans les faits, presque aucune de ces promesses n’a été tenue. Le programme d’indemnisation s’est transformé en un véritable cauchemar administratif : les procédures peuvent durer plus de dix ans. Sur plus de 5000 dossiers déposés par des familles mentionnant l’autisme, pas un seul n’a abouti favorablement.

En outre, le délai de prescription pour déposer une demande est extrêmement court — seulement trois ans après la première apparition des symptômes — ce qui complique encore davantage l’accès à la justice pour de nombreuses familles, en raison du temps nécessaire pour obtenir un diagnostic précis, du manque d’information sur l’existence du programme, ou encore de la lourdeur administrative et juridique.

Surtout, le HHS n’a jamais respecté son obligation de remettre des rapports biennaux au Congrès sur l’état de la sécurité vaccinale. En 2018, Robert Kennedy Jr, en collaboration avec l’Informed Consent Action Network, a poursuivi avec succès le HHS, le forçant à reconnaître publiquement cette violation flagrante de la loi.

Parallèlement, cette immunité juridique octroyée aux laboratoires pharmaceutiques en 1986 a déclenché une véritable ruée vers l’or. Comme Bobby Kennedy le rappelle souvent, une fois les fabricants libérés de tout risque judiciaire et capables d’exercer des pressions sur les législateurs pour imposer des obligations vaccinales au niveau des États, le marché des vaccins a littéralement explosé.

Aujourd’hui, le calendrier vaccinal fédéral recommande quinze vaccins, administrés en plus de 72 doses entre la naissance et l’âge de 18 ans…

Face à un système ne reposant ni sur de solides assises scientifiques, ni sur un authentique souci de la sécurité vaccinale, personnellement, je me félicite que Robert Kennedy soit aujourd’hui en position d’agir.

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L’ISLAM CONQUERANT

Salik de Bonnault 

Serait-ce parce que j’écrivais ces lignes il y a plusieurs années qu’elles ne sont plus d’actualité ?

Ou bien faudra-t-il attendre que les petits Français tout comme les enfants italiens soient sommés de pratiquer une religion qui n’est pas la leur.

Si votre religion est celle de  la soumission (signification de “Islam”), alors sachez au moins que ceux auquel vous vous soumettez ne sont pas ceux que vous croyez…

“Quant à l’Islam, il ne reconnaît pas la séparation entre spirituel et temporel, ces deux pouvoirs étant soumis à l’impitoyable loi de la Charia, fondement de la constitution juridique musulmane encadrant l’esclavage et présentée comme la loi divine. De sorte que si l’on juge l’arbre à ses fruits, l’archaïque cruauté de la Charia à l’origine de l’arriération sociétale et technologique des pays musulmans n’apparaît guère comme la manifestation du Divin…

Aussi, de nos jours la prolifération des mosquées et le développement de la nourriture Halal (propriété du business Casher) dans une Europe ouvrant ses frontières aux clandestins musulmans ne sont-ils pas les prémices du Jihad ?

D’où le rôle du Ministère de la Vérité relayé par ses serviles mass-média traitant de racistes et de conspirationnistes les sonneurs d’alerte. Alors que ces derniers, précisément parce qu’ils observent la conspiration usant du diviser pour mieux régner contre les peuples, avertissent du risque de guerre civile. Celle-ci est voulue par la finance apatride appliquant la devise franc-maçonne Ordo ab chaos (l’ordre à partir du chaos), héritée du concept de « destruction créatrice » d’après la conception kabbaliste du Monde. Ce, afin de déclencher la guerre civile « au nom de la paix », pour justifier ensuite l’établissement de la dictature orwellienne du Nouvel Ordre Mondial…”

conclusion du Prologue Historique d’ https://eveilleursdelaube.fr/

https://www.breizh-info.com/2025/05/08/246725/italie-des-eleves-de-maternelle-sommes-de-prier-dans-une-mosquee-lors-dune-sortie-de-classe/

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youtube : Taxis Volants, Usines Géantes, Centrales à Thorium : La Chine, Nouveau Moteur du Futur ?

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Idriss J. Aberkane

En 1793, l’empereur Qianlong riait face à la machine à vapeur britannique, mais aujourd’hui, la Chine construit l’avenir à une vitesse fulgurante. Découvrez 15 innovations qui redéfinissent l’impossible : le pont suspendu Huajiang, perché à 625 mètres au-dessus des nuages, des usines comme celle de BYD, plus vastes que San Francisco, produisant 2 millions de voitures électriques par an, ou encore l’usine Foxconn qui fabrique un smartphone par seconde. Explorez des taxis volants EHang survolant Shenzhen, des robotaxis Baidu naviguant dans les embouteillages de Pékin, et le premier réacteur nucléaire à thorium au monde, promettant une énergie plus propre. Sans oublier DeepSeek, une IA chinoise qui rivalise avec les géants mondiaux, et des projets futuristes comme un jet civil Mach 4 reliant Pékin à Los Angeles en 3 heures. De l’urbanisation éclair de Shenzhen, passée de village à mégalopole, au “Grand Mur Vert” stoppant le désert de Gobi, la Chine ne suit plus : elle mène la danse.

 

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