Chers amis,

Nous vivons un temps inimaginable !

Eudravigilance de Janvier :

https://healthimpactnews.com/2022/38983-deaths-and-3530362-injuries-following-covid-shots-in-european-database-as-mass-funeral-for-children-who-died-after-pfizer-vaccine-held-in-switzerland/

et avec des chiffres pareils on continue…quand on sait que moins de 10% des cas d’effets secondaires ou de décès sont enregistrés on devrait faire cesser cette « folie vaccinale ou plutôt injectable » au plus vite ! Hélas nos dirigeants sont aux ordres des génocidaires mondiaux et les medias sont à leur merci. Journalistes, de grâce, prenez quelques infos de ce blog et investiguez pour vérifier vous-même !           Comme cet appel a bien peu de chances d’être entendu, il vous appartient, ami lecteur, de faire le travail de vous informer puis de diffuser les informations vous-même par tous les moyens possibles !

LA GRIPPE ESPAGNOLE : INCROYABLE !

La même combine meurtrière il y a cent ans !

https://cogiito.com/a-la-une/la-grippe-espagnole-de-1918-seuls-les-vaccines-moururent/

NB Note de Tal : j’ai à disposition de ceux qui le souhaitent une liste de témoignages de médecins américains homéopathes qui obtenaient facilement la guérison de leurs malades avec les moyens naturels…c’était avant la main mise de Rockfeller sur les écoles de médecines, ce qui a fait disparaître homéopathes et naturopathes pour ne laisser règner que la médecine allopathique…

Sur le net :

Le régulateur britannique des médicaments a confirmé que sur une période de douze mois, les vaccins Covid-19 ont causé cinq fois plus de décès que le nombre total de décès dus à tous les autres vaccins disponibles combinés au cours des 21 dernières années.

https://francemediasnumerique.com/2022/01/22/la-mhra-confirme-que-le-royaume-uni-a-enregistre-5-fois-plus-de-deces-en-12-mois-dus-a-la-vaccination-covid-19-quil-nen-a-enregistre-de-deces-dus-a-tous-les-autres-vaccins-combines-e/

Exclusivité mondiale : Les embaumeurs trouvent des veines et des artères remplies de caillots caoutchouteux jamais vus auparavant – Actu Intel

https://www.actuintel.com/2022/01/28/exclusivite-mondiale-les-embaumeurs-trouvent-des-veines-et-des-arteres-remplies-de-caillots-caoutchouteux-jamais-vus-auparavant/

UN FILM PUISSANT DE VERITE ET DE SINCERI

TE

odysee.com/@Récents:9/Tout-est-dit-dans-ce-film-sur-l’infernal-paltoquet-martyrisant-son-peuple.:a

Urgent! Arrêtez l’approbation par la FDA des injections Pfizer pour les enfants de 6 mois à 4 ans

L’essai clinique a échoué dans ce groupe d’âge. Nous avons 14 jours pour empêcher la Food and Drug Administration américaine de commettre un crime contre l’humanité.

blog55a

Cette annonce est sortie le 31 janvier et c’est tellement horrible. Il m’a fallu plusieurs minutes pour comprendre ce qui se passait. Je sais que la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis est diabolique, mais cela amène les choses à un autre niveau.

Pfizer veut que son injection d’ARNm désastreuse soit ajoutée au calendrier officiel pour les enfants afin que le fabricant de vaccins puisse bénéficier d’ une protection contre la responsabilité pour toujours.

L’ARNm de Pfizer injecté chez les enfants de 2 à 4 ans a échoué dans l’essai clinique. Mais, la commissaire par intérim de la FDA, le Dr Janet Woodcock, probablement à la suite des ordres de l’administration Biden, a quand même demandé à Pfizer de soumettre une demande.

Ainsi, le 1er février, Pfizer a soumis une demande d’autorisation d’utilisation d’urgence (EUA) pour les enfants de 6 mois à 4 ans.

Pfizer et la FDA proposent de commencer avec deux injections dans ce groupe d’âge, même si cette approche a déjà échoué, puis ils ajouteront une troisième dose plus tard au printemps si des données confirment cette utilisation.

Le plan est littéralement – tirer sur les enfants d’abord, obtenir les données plus tard.

https://childrenshealthdefense.org/defender/stop-fda-approval-pfizer-shots-kids/?utm_source=salsa&eType=EmailBlastContent&eId=8c95b23d-b9a3-42a7-aa8a-dcc05def9d28

USA : trois-hauts-grades-de-lus-army-devoilent-le-scandale-des-vaccins-crime-contre-lhumanite/

https://qactus.fr/2022/01/29/usa-trois-hauts-grades-de-lus-army-devoilent-le-scandale-des-vaccins-crime-contre-lhumanite/

On a vacciné 22 millions de militaires américains pour une maladie, le COVID, qui n’ a tué qu’une dizaine !

USA : Énorme fuite de la DARPA, département de la défense US fournie par un commandant Marine.

ParQactus

“SARS-Cov2 est un VACCIN recombinant créé par les Américains OU SON VIRUS PRÉCURSEUR. C’est une chimère synthétique de protéines spike créée à Wuhan, les détails dès 2018″.

blog55b

blog55c

DARPA 2 :

Ils savaient que les traitements Covid marchent depuis 2020. “L’ivermectine est identifiée comme curative en avril 2020, réduit la réplication virale et module la réponse immunitaire. L’hydroxychloroquine (aussi curative depuis 2020) inhibe le virus comme l’interféron”.

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DARPA 3 :

Sur les vaccins, “l’ARN messager marche mal, car ils sont des réplications synthétiques des protéines du virus et ne possèdent pas d’autres épitopes. L’ARNm fait produire des protéines Spike directement dans le sang, produisant le MÊME ORAGE IMMUNITAIRE… (suite)

blog55e

“Plusieurs docteurs ont vu que les réactions des vaccins sont un miroir des symptômes de la maladie, corroborant la nature synthétique des protéines Spike. L’injecté n’a pas de protection contre l’entrée dans son sang, là où le nez protège lors de l’infection naturelle…

blog55f

 

Une amende de 2,3 milliards de dollars… et ils continuent !

deRévélations Santé et Bien-Être 

lire[6] :,

Le Covid a mis en lumière le profit indécent des monstres de la pharma (34 milliards en 2021 grâce aux vaccins anti-Covid, soit 1 000 dollars par seconde)…

… mais aussi sur leurs pratiques pas toujours honnêtes pour s’enrichir sur le dos des malades. Avant la crise, peu de gens savaient par exemple que Pfizer avait été condamné à de nombreuses reprises par la justice et avait même reçu, en 2009, une amende record de 2,3 milliards de dollars[1].

Dans un rapport de 2018, l’organisme de surveillance Public Citizen relevait d’ailleurs qu’aux USA « de 1991 à 2017, GlaxoSmithKline et Pfizer ont payé plus de pénalités financières – 7,9 milliards de dollars et 4,7 milliards de dollars, respectivement – (…) que toutes les autres entreprises ».

Mais Pfizer et GSK ne sont pas les seuls laboratoires à avoir régulièrement des démêlés avec la justice : parmi ceux qui ont reçu des pénalités supérieures à 1 milliard de dollars, on peut citer Johnson & Johnson, Merck, Abbott, Eli Lilly, Novartis, AstraZeneca[2]

De nombreuses accusations… En toute impunité

Les accusations sont multiples : corruption de responsables gouvernementaux, pratiques commerciales frauduleuses, fausses déclarations sur leurs produits, surfacturations, tromperie des autorités sur la sécurité de leurs médicaments, etc.

La liste est longue… de quoi s’interroger sur la sûreté réelle des vaccins et médicaments autorisés.

Comment nos autorités peuvent-elles continuer de confier notre santé à des industries qui possèdent un tel « casier judiciaire » et qui semblent prêtes à toutes les infractions pour prospérer, quitte à mettre en danger la vie des malades ? Donneriez-vous votre argent à un malfaiteur condamné pour des braquages à répétition ?

On se souvient tous des scandales sanitaires comme le Vioxx ou le Médiator… Mais le plus inquiétant, ce sont tous les scandales à venir avec les médicaments actuellement sur le marché… En décembre 2021, le magazine Prescrire, la revue médicale de référence en France, listait pas moins de 105 médicaments autorisés plus dangereux qu’utiles[3] !

Ce mois-ci dans Révélations Santé & Bien-Être, notre journaliste d’investigation Pryska Ducœurjoly a mené l’enquête sur ces médicaments dont vous devez absolument vous méfier…

Quand le remède devient pire que le mal

Distilbène, Vioxx, Mediator, Prozac, Dépakine… Au-delà des scandales à répétition, une autre bombe sanitaire, insidieuse et silencieuse, vient d’être révélée : la grande majorité de nos molécules pharmaceutiques sont en réalité des perturbateurs endocriniens. Nos médicaments nous rendent obèses, diabétiques, cardiaques mais aussi infertiles.

Cette enquête révèle de nombreuses informations dont on ne parle pas ailleurs et qui sont, pour la plupart, choquantes, telles que :

  • Savez-vous comment sont fabriqués nos médicaments ? (Indice : il est question de pétrole…)
  • La liste des 6 poisons présents dans des centaines de médicaments très courants (dont des parabènes et des pesticides)
  • Les résultats des recherches scientifiques sur les ovaires polykystiques et l’endométriose, ils auraient une origine fœtale
  • La vérité sur les pilules contraceptives, officiellement classées dans la catégorie des « cancérigènes de groupe I » depuis 1998 (pourquoi personne n’en parle jamais ?!)
  • Pourquoi vous devriez tout de suite arrêter le paracétamol si vous êtes enceinte
  • Comment l’asthme pourrait se déclencher avant même la naissance
  • Pourquoi certains hommes voient leurs seins pousser… et leur fertilité diminuer de façon inquiétante
  • La raison pour laquelle certains antidouleurs ne sont pas banals du tout
  • Et même des schémas pour comprendre les syndromes de dysgénésie ovarienne et testiculaire (nous sommes beaucoup à être concernés sans même le savoir !)
  • Etc.

Et bien sûr, comme d’habitude dans Révélations Santé et Bien-Être, notre experte ne se contente pas de dénoncer les scandales, mais elle vous propose également des solutions pour échapper à tous ces hormonotoxiques qui nous entourent.

Sur le net :Dans mon armoire à pharmacie, quatre ingrédients seulement !

Chers amis,

Depuis quelques semaines, 4 produits sont devenus les indispensables de ma trousse à pharmacie.

Ce sont le vinaigre, le bicarbonate de soude, le citron et l’argile.

Je ne plaisante pas… j’ai jeté quasiment tout le reste…

Voici pourquoi j’ai gardé ces 4 produits-là :

  • J’utilise le vinaigre pour stopper un début d’inflammation comme un mal de gorge, un état grippal, un rhume ou un coup de fatigue. Je l’utilise également pour réguler mon transit intestinal (en cas de constipation par exemple), et pour soulager mes aigreurs d’estomac ;
  • Je me sers du bicarbonate de soude quand j’ai du mal à digérer. Comme il est alcalin, il neutralise l’acidité de l’estomac, et diminue mes brûlures d’estomac, les remontées acides et m’aide à digérer après un repas copieux. Il me sert aussi pour réguler les odeurs de transpiration ou encore en cas d’aphte.
  • Le citron est une excellente source de vitamine C, qui soutient mon immunité. J’ai découvert qu’il a aussi un fort pouvoir antioxydant (il lutte contre le vieillissement prématuré de la peau et favorise une bonne santé cardiovasculaire). Il peut aussi m’aider à résister à mes envies de grignotage… ;
  • L’argile est le remède que j’utilise pour beaucoup de maux du quotidien. Elle possède un puissant pouvoir absorbant qui lui permet de nettoyer en profondeur le système digestif et de débarrasser l’intestin des mauvaises bactéries. Je l’utilise également dès que je souffre de douleurs articulaires ou musculaires, en cataplasme ou enveloppement : c’est radical… ou bien comme fortifiant en cas de carences, car elle est riche en minéraux (en fer, silice, calcium, potassium et magnésium).

Les microbes, les anticorps et Blanche-Neige

Rodolphe Bacquet – La lettre alternatif bien-être

Dans notre époque terrorisée par les virus et obsédée par les moyens de s’en protéger, Blanche-Neige fait figure d’héroïne iconoclaste.

Elle débarque dans la maison des nains, qui est toute sale et mal rangée, pleine d’écureuils et d’oiseaux.

Elle trouve des chaussettes sur la table, des souliers dans les casseroles, plein de poussière sur la cheminée, des toiles d’araignée partout et des piles d’assiettes sales[4].

N’importe quel ayatollah de l’hygiénisme actuel tomberait en apoplexie devant une telle concentration de germes et d’acariens. Mais pas Blanche-Neige : elle s’allonge dans les lits des nains sans les avoir désinfectés et devient leur femme de ménage sans se pincer le nez.

Non seulement elle entreprend ce grand nettoyage de printemps domestique, mais en plus elle leur apporte autre chose, qui leur manquait : de l’affection.

Elle les cajole, leur fait des risettes et des bisous. Et tout cela, sans gel hydroalcoolique ni masque… et spontanément.

Aujourd’hui, cette leçon apparaît puissante : elle nous rappelle que l’hygiène et la propreté, ça n’est pas se tenir à distance des autres, bien au contraire.

Avant leur départ pour la mine, Blanche-Neige embrasse chaque nain comme une mère le ferait avant le départ de ses enfants pour l’école.

Et l’un de ces nains, rappelez-vous, s’appelle Atchoum ! Parce qu’il éternue régulièrement, bien sûr.

Pourquoi ces éternuements à répétition ? Allergie ou rhume, l’histoire ne le dit pas ; le plus important pour ce qui nous occupe est que ça n’est pas cela qui prive Atchoum de son baiser.  

Le cauchemar d’Atchoum

Si Atchoum sortait de sa mine ou de sa forêt et se rendait dans n’importe quelle ville française aujourd’hui, il passerait vraisemblablement une mauvaise journée.

Les gens le regarderaient de travers dans l’autobus, voire l’invectiveraient.

On lui demanderait de bien remettre son masque ou de rester en télétravail pour ne pas contaminer ses concitoyens.

Il serait renvoyé chez lui en quarantaine en attendant le résultat de son test rhinopharyngé, se demandant avec angoisse s’il a attrapé Delta, Omicron ou Zeugma ou – pire encore ! – le variant BA.2, qui ne se détecte que par… un test anal[5].

Bref, ce serait l’angoisse. Pauvre Atchoum !

Si je le croisais dans la rue, dépité d’être ainsi mal vu à cause de ses éternuements, je tiendrais à le déculpabiliser, non seulement face à l’hygiénisme intolérant de beaucoup de nos contemporains, mais également pour le rassurer.

Pourquoi éternue-t-on ?

Quiconque s’est retrouvé avec le nez bouché sait à quel point c’est désagréable : on perd l’odorat, notre cavité buccale et notre gorge s’assèchent à force de respirer par la bouche, on développe une mauvaise haleine…

Bref, c’est une phase très désagréable soit d’un rhume, soit d’une rhinite allergique.

C’est précisément pour éviter au maximum cette situation que nous éternuons.

L’éternuement, d’abord, permet d’évacuer les particules et les pathogènes qui peuvent encombrer le conduit nasal.

Mais ce n’est pas tout. Il y a dix ans, des chercheurs américains ont découvert que la brutale expiration d’air provoquée par une surpression allant des poumons au nez permettait de redynamiser le système circulatoire du mucus[6].

Autrement dit : il ne faut surtout pas réprimer un éternuement ! Cette brutale explosion est en réalité un coup de fouet donné à notre mucus pour l’aider à mieux nettoyer bactéries, virus mais aussi résidus de pollution urbaine.

C’est équivalent à un système de ventilation : il tourne au ralenti voire se bloque – se bouche – si trop de saletés s’accumulent.

Vous pouvez le nettoyer méthodiquement (j’y reviens dans un instant), mais le moyen le plus simple consiste à… le redémarrer, comme un reset.

Éternuer, ou pas

Mettre sa main devant sa bouche au moment d’éternuer est un conseil passé de mode, sauf si on se lave les mains immédiatement pour retirer les virus qui les recouvrent.

Il vaut donc mieux, effectivement, éternuer dans sa manche ou dans son coude pour éviter de propulser à plus de 200 km/h d’éventuels virus.

Sachez qu’une personne enrhumée est contagieuse durant 5 jours en moyenne, avec un pic entre le troisième et le cinquième jour[7]… et que c’est essentiellement par les mains que se transmet le rhume.

Si vous avez le nez en partie ou complètement bouché, voici 3 moyens simples de désencombrer vos fosses nasales.

Le premier consiste, évidemment, à se moucher. Cela peut vous faire sourire, mais beaucoup de gens ignorent comment se moucher efficacement : il faut totalement appuyer sur l’une des deux narines au moment où l’on pousse l’expiration.

Le deuxième, c’est de ne pas lésiner sur les épices. Les piments et la harissa provoquent une liquéfaction du mucus nasal : autrement dit, ils favorisent l’écoulement nasal.

Le troisième, c’est le nettoyage du nez au moyen d’une solution saline et d’un lota. Un lota est un petit pot qui ressemble à un arrosoir miniature, comme ceci :

blog55g

Vous en trouverez facilement en pharmacie, en boutique bio, ou sur Internet.

Mode d’emploi :

  • versez 1 cuillère à café de sel (marin ou de Nigari) dans le lota (à acheter)
  • Ajoutez de l’eau tiède et mélangez
  • Quand le sel est dissout, penchez la tête de côté et introduisez le lota dans la narine supérieure pour faire couler l’eau salée. L’eau ressort par la narine inférieure.
  • Changez de côté ;
  • séchez les narines : soufflez fort par le nez, recommencez à plusieurs reprises jusqu’à éliminer toute trace d’humidité.

Qui a peur du grand méchant rhume ?

Revenons à nos nains. Blanche-Neige les embrasse, sans crainte de leurs miasmes.

Nous dirions d’elle, aujourd’hui, qu’elle ne respecte pas les gestes barrière ; je préfère souligner qu’elle a un bon système immunitaire.

Et pour avoir un bon système immunitaire, il faut le mettre à l’épreuve !

Blanche-Neige nous rappelle qu’en termes d’hygiène, le mieux est l’ennemi du bien ; autrement dit, que trop d’hygiène est contre-productif.

Ne pas fuir à tout prix les contaminations, mais accepter que la vie quotidienne nous expose immanquablement à des pathogènes, stimule le système immunitaire, c’est même la condition de la production d’anticorps.

Et dans le cas du rhume… ces anticorps peuvent jouer un rôle plus important qu’il n’y paraît.

Il y a un an, je vous écrivais déjà pourquoi un rhume banal pouvait nous protéger du Covid-19[8].

L’explication est simple : beaucoup de virus responsables du rhume sont des coronavirus.

Les anticorps acquis au moment d’un rhume à coronavirus seraient donc susceptibles de nous protéger ultérieurement d’un Covid.

Eh bien, rebelote : une étude de l’Imperial College de Londres et publiée dans Nature Immunology il y a un mois a confirmé qu’une infection préalable à un rhume de la famille des coronavirus permettait de « bénéficier » d’anticorps ciblant spécifiquement la protéine Spike du SARS-CoV-2[9].

Les variants actuels du SARS-CoV-2 étant en train de faire évoluer le Covid-19 vers une maladie endémique et hivernale apparentée à un rhume, la boucle est maintenant bouclée.

Et il serait donc temps que les politiques sanitaires publiques s’adaptent à la notion de risque mesuré, et comprennent le principe d’une immunité collective naturelle.

C’est ce qu’ont fait nos voisins anglais en prenant en compte la dangerosité réelle d’Omicron : on ne chasse pas les mouches à coups de boulets de canon.

Jusqu’à 65 % d’augmentation des décès chez les 18-49 ans aux États-Unis en 2021, l’année des « vaccins » expérimentaux contre la COVID

De prepare for change

Plus tôt ce mois-ci (janvier 2022), Scott Davison, le PDG de OneAmerica, une compagnie d’assurance de 100 milliards de dollars basée dans l’Indiana, a fait la une des médias alternatifs lorsqu’il a annoncé que le taux de mortalité sur les réclamations d’assurance-vie avait grimpé en flèche de 40 % sans précédent. parmi les personnes âgées de 18 à 64 ans en 2021. Voir :

Crise en Amérique : les décès ont augmenté de 40 % parmi les personnes âgées de 18 à 64 ans sur la base des réclamations d’assurance-vie pour 2021 après le déploiement du vaccin COVID-19

Les «vérificateurs de faits» habituels des médias d’entreprise ont rapidement publié des articles essayant de contenir les dégâts, et j’ai reçu quelques e-mails de personnes crédules qui ne se donnent pas la peine de faire des recherches par eux-mêmes et n’ont pas pris la peine de vérifier les «vérificateurs de faits» pour voir si en fait ils ont réellement démystifié l’histoire.

Ils ne l’ont pas fait, bien sûr, mais de manière typique, ils ont installé un homme de paille à abattre dans la plupart des cas, en déclarant que Scott Davison n’a jamais imputé l’excès de décès au déploiement des tirs COVID-19 en 2021.

Mais cela ne démystifie guère les chiffres de l’industrie de l’assurance-vie qui étaient vraiment une grande nouvelle, montrant clairement que les décès ont considérablement augmenté en 2021, l’année du déploiement du «vaccin» expérimental COVID-19.

J’ai mené ma propre enquête pour corroborer ce qu’il rapportait et j’ai examiné le nombre de décès signalés par le CDC jusqu’en décembre 2020, avant de réviser leur site Web et de modifier le nombre total de personnes décédées en 2020, l’année où l’arnaque à la pandémie a commencé. , qui a clairement montré que le nombre total de décès en 2020 était à peu près le même que les deux années précédentes, et que tout ce qu’ils ont fait a été d’éliminer la plupart des décès dus à la grippe et de les blâmer sur COVID-19.

Le résultat de cette enquête a été que nous avons vu environ 400 000 décès supplémentaires en 2021, l’année du déploiement du vaccin COVID-19. Voir:

2021 : Augmentation des décès dus au COVID, disparition des décès dus à la grippe, plus de 400 000 décès totaux de plus qu’en 2020

Depuis la publication de ce rapport,  Petr Svab d’Epoch Times  a également mené une enquête sur cette question, en examinant les certificats de décès du site Web du CDC de personnes âgées de 18 à 49 ans en 2021.

Il a examiné les données par État et a constaté que dans certains États, les décès dans ce groupe d’âge avaient augmenté de 65 % par rapport à la même période en 2018 et 2019.

Quelques extraits :

SELON UNE ANALYSE DES  DONNÉES DES CERTIFICATS DE DÉCÈS DES CENTERS  FOR DISEASE CONTROL ET PRÉVENTION (CDC) PAR THE EPOCH TIMES.

L’AUGMENTATION A ÉTÉ NOTABLE DANS TOUT LE PAYS ET DANS AUCUN ÉTAT, LE COVID N’A ÉTÉ SIGNALÉ DANS PLUS DE 60% DES DÉCÈS EN EXCÈS.  CERTAINS ÉTATS ONT CONNU DES HAUSSES BEAUCOUP PLUS RAIDES QUE D’AUTRES.

LE NEVADA A ÉTÉ LE PIRE AVEC UNE AUGMENTATION DE 65% DE LA  MORTALITÉ DANS LA FORCE DE L’ÂGE,  DONT SEULEMENT 36% ONT ÉTÉ ATTRIBUÉES AU COVID. LE TEXAS A TERMINÉ DEUXIÈME AVEC UN BOND DE 61% DONT 58% ONT ÉTÉ ATTRIBUÉS AU COVID. L’ARIZONA ET LE TENNESSEE ONT ENREGISTRÉ DES AUGMENTATIONS DE 57 %, DONT 37 % ET 33 % RESPECTIVEMENT ATTRIBUÉES AU COVID. PAS LOIN DERRIÈRE SE TROUVAIT LA CALIFORNIE AVEC 55% ET 42% ATTRIBUÉS AU COVID AINSI QUE LE NOUVEAU-MEXIQUE (52%, 33%), LA FLORIDE (51%, 48%) ET LA LOUISIANE (51%, 32%).

LES SERVICES DE SANTÉ DE PLUSIEURS ÉTATS ONT CONFIRMÉ À EPOCH TIMES  QU’ILS ENVISAGEAIENT UNE FORTE AUGMENTATION DU TAUX DE MORTALITÉ DES PERSONNES ÂGÉES DE 18 À 49 ANS EN 2021, DONT LA MAJORITÉ N’EST PAS LIÉE AU COVID-19.

LE TEXAS A VU LA MORTALITÉ DES 18 À 49 ANS BONDIR DE 61%, LA DEUXIÈME AUGMENTATION LA PLUS ÉLEVÉE DU PAYS. DE CE NOMBRE, MOINS DE 58 % ONT ÉTÉ ATTRIBUÉS AU COVID-19.

Les leçons de Covid de l’Afrique pour le monde

PREPARE FOR CHANGE

Quelque chose de “mystérieux” se passe en Afrique qui déroute les scientifiques, a déclaré Wafaa El-Sadr, titulaire de la chaire de santé mondiale à l’Université de Columbia. “L’Afrique n’a pas les vaccins et les ressources pour lutter contre le Covid-19 qu’ils ont en Europe et aux États-Unis, mais d’une manière ou d’une autre, ils semblent faire mieux” .

L’Afrique évite la catastrophe de Covid – les scientifiques sont mystifiés et méfiants“, lit un titre dans le New Zealand Herald, sur un article qui note que le taux de vaccination sur le continent est inférieur à six pour cent.

Les journalistes grand public ont largement échoué à remettre en question le récit dominant selon lequel la vaccination de masse est la clé pour mettre fin à la pandémie, mais un coup d’œil rapide sur les chiffres comparatifs devrait inciter à se demander pourquoi l’Afrique est sortie pratiquement indemne.

Manquent-ils des vérités qui devraient être aveuglément évidentes ?

Dix-neuf des 20 pays les plus jeunes du monde se trouvent en Afrique – l’autre est la Palestine – avec un âge médian d’adolescents, contre plus de 40 ans en Occident. L’âge médian pour toute l’Afrique subsaharienne était de 18,7 ans en 2020, selon l’ONU. Cela pourrait-il être un facteur dans le nombre extrêmement bas de décès de Covid sur le continent, à l’exception de l’Afrique du Sud ? Même en corrigeant la sous-déclaration, les chiffres sont irréfutables : 22 pour 100 000 en Afrique contre 160 pour 100 000 en Europe.

Les Africains sont également bas sur les échelles mondiales de l’obésité et du diabète, deux des principales comorbidités associées aux décès de Covid. Une étude réalisée l’année dernière par le National Center for Health Statistics a révélé que seulement 6% des décès étudiés étaient considérés comme étant dus à Covid seul.

L’obésité est généralement corrélée à la prospérité, il n’est donc pas surprenant que les régions les plus pauvres du monde – l’Afrique subsaharienne et l’Asie du Sud – soient au bas de l’échelle mondiale de l’obésité, selon la ressource en ligne Our World in Data.

Les Africains sont également les moins touchés par le diabète, selon l’Atlas 2019 de la Fondation internationale du diabète. Cette année-là, la prévalence du diabète en Afrique (hors Afrique du Nord) était estimée à 4,7 % des personnes âgées de 20 à 79 ans , l’incidence la plus faible de toutes les régions. C’est la moitié de la prévalence mondiale qui a été estimée à 9,3 %.

Et ils sont aussi au bas de l’échelle des êtres humains atteints de cancer . Le taux est de 45,9 pour 100 000 en Afrique, contre 131,6 pour 100 000 en Asie et 587,4 pour 100 000 en Amérique du Nord.

La longue exposition des Africains au paludisme peut aussi aider à expliquer le « mystère ».

En novembre 2021, des chercheurs ont présenté les résultats d’études en Ouganda et au Mali à l’American Society of Tropical Medicine and Hygiene (ASTMH) suggérant que l’exposition au paludisme pourrait réduire les risques posés par Covid.

“Nous nous sommes lancés dans ce projet en pensant que nous verrions un taux plus élevé de résultats négatifs chez les personnes ayant des antécédents d’infections paludéennes, car c’est ce qui a été observé chez les patients co-infectés par le paludisme et Ebola”, a déclaré Jane Achan, co-auteur de l’étude. Étude ougandaise, publiée dans The Lancet .

“Nous avons en fait été assez surpris de voir le contraire – que le paludisme puisse avoir un effet protecteur”, a déclaré Achan, conseiller principal en recherche au Malaria Consortium, lors de la réunion annuelle de l’ASTMH.

Pour mener une étude significative sur les interactions cliniques entre le SRAS-CoV-2 et le paludisme, les chercheurs ont naturellement choisi une région à exposition relativement élevée au paludisme. On pourrait également supposer qu’une région fortement exposée au paludisme serait en corrélation avec l’utilisation prophylactique de médicaments antipaludiques tels que la chloroquine et l’hydroxychloroquine (HCQ).

Ce que l’on sait, c’est qu’en avril 2020, les premiers utilisateurs de HCQ dans le monde connaissaient un succès spectaculaire dans le traitement précoce de Covid en utilisant des traitements combinés à base de HCQ. En mai 2020, le Dr Harvey Risch, professeur d’épidémiologie à l’Université de Yale et illustre autorité mondiale en matière d’analyse de données cliniques agrégées, a publié l’étude la plus complète à ce jour sur l’efficacité de l’HCQ contre le Covid. Sa méta-analyse a conclu que les preuves sont sans équivoque pour une utilisation précoce et sûre de l’HCQ [1] .

L’Afrique est infectée par le virus de la folie du confinement

En phase avec le reste du monde, malgré un nombre de cas incroyablement bas, un gouvernement africain après l’autre a imposé des fermetures, privant des millions de leurs moyens de subsistance, alors qu’une grande majorité de gens ordinaires travaillent à plus l’extérieur, vivant au jour le jour – vendeurs de marché et commerçants de rue, chauffeurs de moto-taxi, agriculteurs de subsistance, etc. Les preuves de la destructivité des confinements ne peuvent plus être ignorées et leur cruauté économique a sans doute été la prononcée en Afrique.

Certains ont résisté, pour changer de tactique. Feu le président tanzanien John Magufuli, titulaire d’un doctorat en chimie, a encouragé les gens à continuer comme d’habitude, suscitant une condamnation généralisée. Il avait secrètement envoyé des échantillons d’huile moteur, de viande de chèvre et de jus de fruits pour des tests PCR, et ils sont revenus positifs pour Covid.

Magufuli est décédé en mars à l’âge de 61 ans, remplacé par sa vice-présidente Samia Suluhu Hassan, qui est devenue la première femme présidente du pays.

L’Afrique est lésée !

Au lieu de saluer le succès relatif de l’Afrique dans l’atténuation de Covid, tout ce que nous entendons dans les MSM, c’est se tordre la main sur sa faible absorption de vaccins. Cela a commencé tôt avec des commentateurs soulignant que les vaccins Pfizer et Moderna nécessitaient un stockage à des températures extrêmement froides (moins 80-60 degrés Celsius pour Pfizer et moins 25-15 pour Moderna), soulevant des questions quant à savoir si le continent dispose de l’infrastructure pour accueillir cela. exigence très inhabituelle.

 « Hésitation » face au vaccin ou méfiance légitime ?

L’Afrique a encore des souvenirs bruts des abus de Big Pharma dans l’expérimentation de médicaments. 

Le groupeZimbabwe Lawyers for Human Rights a menacé de poursuivre le gouvernement en justice s’il ne procédait pas à des essais cliniques avant de proposer Sinopharm au public.

De nombreux pays africains qui ont déployé des vaccins ont vu les cas et les décès de Covid augmenter par la suite – un schéma qui a émergé dans le monde entier, notamment chez le champion de la vaccination, Israël. En Afrique, ils comprennent les Seychelles (surnommées “la nation la plus vaccinée du monde”), la Namibie, le Zimbabwe, le Congo, l’Angola, le Malawi, le Kenya et la Zambie.

Premier de la classe

L’un des nombreux paradoxes de la réponse mondiale à Covid est que le continent qui devait subir le pire a surpassé toutes les autres régions.

Deux ans plus tard, nier que le virus s’est propagé à travers l’Afrique et que les 1,3 milliard d’habitants du continent ont atteint l’immunité collective, c’est ignorer les bases de l’épidémiologie et l’histoire naturelle des virus respiratoires. La vaccination de masse des populations bénéficiant d’une immunité collective est non seulement inutile, mais pourrait faire plus de mal que de bien.

L’Afrique a pris la tête par inadvertance alors peut apprendre du monde, mais ce que le monde peut apprendre de l’Afrique.


[1] Robert F. Kennedy Jr, Le vrai Anthony Fauci, New York, Sky Horse Publishing, 2021, Ch 1, pages 21-36

[2] Robert F. Kennedy Jr, Le vrai Anthony Fauci, New York, Sky Horse Publishing, 2021, Ch 1, pages 24-34

Effet des masques faciaux sur l’empathie et la continuité relationnelle : un essai contrôlé randomisé en soins primaires

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/22445730/

Résumé

Contexte : Il existe peu de preuves à l’appui de l’utilisation de masques faciaux dans la prévention des infections pour les professionnels des soins primaires. Des effets négatifs sur la communication ont été suggérés lorsque le médecin porte un masque facial. Comme les compétences en communication et la relation médecin-patient sont essentielles aux consultations de soins primaires, les effets du port du masque facial par le médecin ont été explorés.

Méthode : Une étude contrôlée randomisée a été menée en soins primaires pour explorer les effets du port de masques faciaux par les médecins sur la perception qu’ont les patients de l’empathie des médecins, de l’habilitation des patients et de la satisfaction des patients. Les médecins de soins primaires ont été randomisés pour des consultations cliniques avec et sans masque dans des cliniques publiques de soins primaires à Hong Kong. Les points de vue des patients ont été recueillis à l’aide de la mesure d’empathie de consultation et relationnelle (CARE), de l’instrument d’habilitation du patient (PEI) et d’une échelle d’évaluation de la satisfaction globale. Les effets du port du masque facial ont été étudiés à l’aide d’une modélisation à plusieurs niveaux (hiérarchique).

Résultats : 1 030 patients ont été randomisés pour des consultations portant un masque médical (n = 514) et des consultations sans masque (n = 516). Un effet significatif et négatif a été trouvé dans la perception des patients de l’empathie des médecins (réduction du score CARE -0,98, p-value = 0,04). Dans la relation médecin-patient la plus établie, l’effet du port du masque par les médecins était plus prononcé (réduction du score CARE -5,67, p-value = 0,03).

Conclusion : Cette étude démontre que lorsque les médecins portent un masque lors des consultations, cela a un impact négatif significatif sur l’empathie perçue du patient et diminue les effets positifs de la continuité relationnelle. Il convient de prendre en compte la planification de l’utilisation appropriée des masques faciaux dans la politique des maladies infectieuses pour les soins primaires et les autres professionnels de la santé au niveau national, local ou de la pratique.

Enregistrement de l’essai clinique : cet essai a été enregistré dans le registre chinois des essais cliniques (ChiCTR). N° d’enregistrement : ChiCTR-TTRCC-12002519. URL : http://www.chictr.org/en/proj/show.aspx?proj=3486. En raison d’une erreur administrative, l’enregistrement du procès n’a eu lieu qu’après le début du procès le 1er août 2011 et le numéro d’enregistrement a été publié le 21 septembre 2012.Figure 1

MANIFESTATION DE BRUXELLES du 23.01.2022

La tromperie est clairement partout.

1.   

Lors du journal du matin du dimanche 23.01.2022, les radios ont annoncé que 100 000 personnes étaient attendues pour une marche de protestation contre les mesures Corona. À partir de l’après-midi, ce nombre a été réduit à 50 000. C’est le chiffre que la police aurait communiqué à la presse.

C’était et c’est toujours un mensonge. En réalité, il y avait plus de 500 000 manifestants.

Le 21.11.2021, ils étaient 100 000 (au lieu des 35 000 annoncés par la presse) et le parcours était complet de la gare du Nord jusqu’à City 2. C’était beaucoup.

Hier, tout le parcours entre la gare du Nord et le parc du Cinquantenaire était rempli de manifestants. De plus, alors que la tête du groupe était déjà arrivée au Cinquantenaire, il y avait encore des gens qui partaient de la gare du Nord.

Le trajet entre la gare du Nord et le parc du Cinquantenaire est long de 6 km.

Cette fois, le périphérique intérieur a été fermé à la circulation dans les deux sens. La manifestation s’est déroulée sur toutes les voies dans les deux sens et sur les trottoirs des deux côtés ainsi que sur les 4 voies de la longue Belliardstraat et enfin sur toutes les rues latérales jusqu’à l’entrée principale du parc du Cinquantenaire.

Selon nos informations, le parc du Cinquantenaire peut accueillir 1,4 million de personnes. La section entre l’entrée principale et les arcades était bondée et la place derrière l’Arc était également bondée de monde. C’était vraiment beaucoup plus que les “50 000” suggérés. De plus, nous avons entendu dire que de nombreux manifestants ont été arrêtés par des piquets de grève bien avant le Cinquantenaire et n’y sont pas arrivés.

2.   

La presse a annoncé à l’unisson que la manifestation était une “démonstration corona”. Ce n’était pas le cas. C’était une marche pour la liberté, la démocratie et les droits de l’homme. Pas un mot n’a été dit à ce sujet. La presse n’a montré AUCUNE image de la promenade pacifique et colorée entre la gare du Nord et le parc du Cinquantenaire (tout comme le 21.11, où le public n’a vu que des images des émeutes). Nous avons encore une fois été sévèrement accusés d’être des hooligans et des émeutiers, alors que ce n’était et n’est absolument pas le cas.

Les intervenants qui ont pu prendre la parole ont également tous été dépeints comme des anti-vaxx extrêmes et des personnes coupables de formes extrêmes de désinformation. C’est également un mensonge pertinent.

Pas un seul mot de ce que les différents intervenants ont dit n’a été diffusé. Seules les images d’une dame néerlandaise lisant un poème sur …. ont été montrées. l’amour et les images de Brecht Arnaert qui, en plus de ses vues scientifiques, célébrait la vie avec son “viva la vida ! ” .

Les orateurs internationaux n’ont pas été entendus (et moi non plus). Le maire Philippe Close a arrêté la manifestation vers 15h30 car il y avait des émeutes à l’EXTERIEUR du parc et a ordonné à la police administrative (robocops) d’évacuer le parc immédiatement avec des canons à eau et des gaz lacrymogènes.

Par “coïncidence”, cela s’est produit juste avant le début de la deuxième partie des discours des orateurs internationaux.

Tom et moi avons parlé au représentant de la police. J’ai demandé de fermer le parc et de protéger les manifestants. Cette demande a été refusée. Puis j’ai demandé à ce qu’on nous donne une demi-heure de plus”. Cette demande a également été refusée. “Je ne suis qu’un messager”, a dit l’homme, “le parc doit être libéré par le maire, vous avez le choix, soit vous quittez NOW volontairement, soit nous vous écraserons tous avec des canons à eau et des gaz lacrymogènes, avec une lourde amende en plus”.

Comme il n’y avait rien à dire, nous avons accepté la décision. La sécurité des participants est primordiale. Je suis monté sur scène, j’ai attendu que le chanteur qui interprétait une chanson ait terminé, puis j’ai annoncé la fin de l’événement, je lui ai demandé de partir et je lui ai fait remarquer que celui qui restait le faisait à ses propres risques.

Cependant, on ne nous a pas laissé le temps de partir tranquillement. Les canons à eau ont continué à avancer jusqu’à 50 mètres de la scène où se trouvait l’équipement sonore coûteux (loué). Nous avons dû démonter la scène avec 30 personnes en 7 fois afin de ne pas subir de dégâts d’eau.

Le président de la branche allemande de WWD s’est avancé avec trois hommes, les bras en l’air (en signe de reddition) dans l’intention de ralentir les canons à eau. Il a été littéralement projeté à l’envers par un canon à eau dirigé vers lui et s’est blessé au dos.

La police administrative a été extrêmement agressive envers les manifestants pacifiques. Des gens ont été frappés à coups de matraque parce qu’ils ne s’étaient pas enfuis assez vite vers la seule sortie latérale par laquelle on pouvait encore sortir du parc. La violence était totalement disproportionnée.

3.   

Annelies Verlinden a proclamé dans les médias qu’elle était en colère.

” Il ne s’agit pas d’une manifestation corona mais de pure violence” a-t-elle déclaré.

C’est absurde, bien sûr. Un pur encadrement. Comme toutes les manifestations précédentes.

Elle n’a pas pu se résoudre à dire honnêtement qu’environ 500 000 personnes avaient rejoint pacifiquement une manifestation pour la liberté, la démocratie et les droits de l’homme. Un signal clair que le peuple en a assez. Non seulement en Belgique, mais aussi dans 60 villes de nombreux pays où de nombreuses personnes sont également apparues pour réclamer leurs libertés. Bien sûr, pas un mot à ce sujet dans la presse non plus.

4.   

Il y a aussi quelque chose à dire sur le parcours de la promenade en direction du parc du Cinquantenaire :

Sur le périphérique intérieur de Bruxelles (à la moitié de la marche) sont soudainement apparus de nulle part (comme toutes les fois précédentes) environ 20 hooligans habillés de noir avec des bandanas noirs devant le visage. Avec les gillets jaunes de France, ils ont marché devant nous. Nous avons délibérément retenu le cortège pour créer une certaine distance et faire comprendre qu’ils ne nous appartenaient pas.

Je savais que ces types (comme à toutes les occasions précédentes) allaient faire du grabuge et j’ai explicitement demandé au policier en civil qui se trouvait en tête du cortège avec nous (D.) de prendre des mesures préventives pour sauvegarder les participants pacifiques. Elle a été refusée. “Nous ne pouvons rien faire parce qu’ils n’ont encore rien fait”, a-t-il déclaré. Et encore : “Ce sont des anarchistes, nous les connaissons, nous les surveillons. Et c’est ce que nous avons dû supporter.

Un modèle reconnaissable. Toujours le même scénario et toujours la même réponse.

Peu de temps après, trois hommes de forte corpulence, entièrement vêtus de noir avec un bandana noir devant le visage, sont passés juste à côté de moi (je marchais à l’avant du cortège pour garder un œil sur tout).

J’ai demandé à l’un d’eux ce qu’il faisait là et pourquoi il se couvrait le visage d’un bandana noir. Il m’a ignoré. J’ai continué à lui parler et je lui ai indiqué que je continuerais à le suivre et que s’il faisait un pas de travers, je saurais comment le retrouver. Soudain, il s’est éloigné de moi et a marché juste à côté de l’équipe des médias de la VRT ! (En tête du cortège, il y avait des journalistes de presse de nombreux pays). Stefan, chef de l’équipe de sécurité (un membre de l’équipe avec une mémoire phénoménale) m’a dit : “Carine, ces gars-là étaient aussi à Terkamerenbos. Ils appartiennent à l’équipe de la VRT”. Lorsque j’ai levé les yeux, j’ai effectivement vu les 3 “hooligans” parler au journaliste de la VRT. Je ne me suis pas laissé faire, je me suis approché d’eux et je me suis à nouveau adressé à eux : “Ah donc, vous êtes de la presse, vous venez ici habillé en hooligan pour donner l’impression qu’il y a des émeutiers qui accompagnent la manifestation ! “, ce à quoi l’ingénieur du son de la VRT m’a répondu en souriant : ” oui, et alors, c’est autorisé, n’est-ce pas ? “

Alors c’est comme ça qu’ils font ….

Dès leur arrivée dans le parc du Cinquantenaire, tous les participants se sont immédiatement dirigés vers l’avant où se trouvaient la scène et les nombreux stands (et les toilettes Dixie). Europeans United l’avait très bien organisé et y avait investi beaucoup d’argent, avec le soutien financier de sponsors (dont la HFF). L’homme mérite un compliment.

Il y avait une grande ambiance. Outre les discours, il y avait aussi des chants et des danses.

Vers 15h30, nous avons soudainement vu à l’extérieur du parc (à environ 250 m) une grande quantité de fumée blanche. Nous avons reçu un message disant qu’il y avait des émeutes à l’extérieur du parc. Nous avons demandé à la police d’isoler l’entrée principale du parc afin que notre manifestation ne soit pas compromise. Cette demande a été refusée. Pourtant, la police aurait parfaitement pu se positionner devant l’entrée du parc pour protéger les manifestants afin que nous puissions continuer pacifiquement, mais… Ils ne l’ont pas fait. Au contraire, ils ont délibérément fermé toutes les rues du quartier afin que ceux qui voulaient partir ne puissent le faire que par … l’entrée principale du parc du Cinquantenaire. Ils ont littéralement chassé les émeutiers dans le parc.

5.   

Les émeutes ont à nouveau été mises en scène dans leur force et leur ampleur et ont été clairement provoquées.

Oui, des anarchistes étaient présents, mais ils n’étaient pas “environ 200” comme l’a prétendu la presse. Ils étaient à peine 20-30. On peut le voir très clairement sur les images en continu de beaucoup d’entre eux. Très étrangement, Youtube a supprimé tous les flux. Nous n’avons pu en télécharger qu’un seul qui donne une image claire de ce qui s’est exactement passé À L’EXTÉRIEUR du parc. Cependant, le streaming n’est pas complet. Le temps que le streamer (qui streamait sur la scène) sorte du parc du Cinquantenaire, les rues d’entrée étaient déjà tendues de barbelés et les rues étaient remplies de robocops.

La question de savoir quand tout cela a été mis en place (sans doute quelque temps auparavant) et pourquoi, et qui ou quoi a provoqué les émeutes, reste ouverte. Aucune annonce n’a été faite à ce sujet par la police. La seule chose que l’on voit au début de la deuxième partie du streaming est une dizaine de hooligans qui brisent les fenêtres d’un bâtiment commercial. Les images montrent clairement que les hooligans ont été littéralement chassés dans le parc. Ils n’avaient pas d’autre issue. Toutes les rues ont été fermées. Ils ne pouvaient sortir que par l’entrée principale du parc. Il s’agissait d’un acte stratégique délibéré de la part de la police administrative. De cette façon, ils pouvaient également chasser tous les manifestants pacifiques du parc, tandis que ces centaines de milliers de personnes ne faisaient rien du tout.

Le streaming montre également que de nombreux policiers déguisés en hooligans circulent dans le parc (comme les fois précédentes). Nous voyons deux hooligans vêtus de noir avec un bandana noir devant le visage qui traînent de force deux autres “hooligans” hors du parc (arrestation). De nombreuses autres images que j’ai reçues entre-temps (et qui circulent sur Twitter) montrent que deux hooligans habillés en noir s’approchent d’une rangée de robocops qui a été mise en place et s’écartent pour laisser passer leurs collègues habillés en hooligans.

Par pure coïncidence, la presse était massivement présente sur les lieux des émeutes à l’extérieur du parc et … Par pure coïncidence, ils avaient tous des masques à gaz avec eux (et sur eux) afin de pouvoir filmer l’événement.

Autant pour la coïncidence. Ils savaient que cela se produirait, ils savaient où cela se produirait et ils ont pris tout le matériel nécessaire pour le filmer.

Le maire Close autorise les manifestations parce qu’il s’agit d’un droit constitutionnel, mais chaque fois, vers 15h30-16h00, des émeutes éclatent dans des endroits spécifiques, loin des grandes masses, et Close s’en sert pour interdire la manifestation et évacuer le lieu par la force, alors qu’il sait que les manifestants sont très pacifiques. Il est de son devoir de protéger les citoyens pacifiques et de les préserver des attaques des émeutiers, mais il ne le fait pas. Il utilise des émeutes provoquées et mises en scène comme une excuse pour chasser tout le monde par la force. Il n’est pas de bonne foi. Et Annelies Verlinden non plus. Le fait qu’elle qualifie toujours chaque manifestation de “pure violence” et qu’elle qualifie tous les manifestants d’extrême droite, de violents et de menteurs coupables de désinformation (alors qu’elle-même ment effrontément) en dit suffisamment sur les intentions réelles de cette dame.

La 5G provoque-t-elle des symptômes du COVID-19 ?

Par le journaliste indépendant Jordan Muhsin

De prepare for change

Avant de plonger dans les recherches de Jordan, j’aimerais partager le fait qu’il existe une histoire de pandémies qui semblent conicider avec les technologies émergentes, en particulier celles qui génèrent des fréquences électromagnétiques (EMF), des ondes radio, des micro-ondes et des radiations. Bien qu’il y ait eu de nombreuses épidémies de pestes dans l’histoire, je suppose que celles du 20e siècle semblent avoir commencé avec la première introduction de câbles aériens pour envoyer des télégrammes, puis des ondes radio (y compris la télévision) et plus tard des micro-ondes, de l’énergie nucléaire et maintenant , Rayonnement de champ radiofréquence-électromagnétique. Chaque fois qu’une nouvelle forme d’EMF est introduite dans la société, un pourcentage de la santé de la population semble être affecté négativement. Nous sommes obligés d’adopter ou de mourir avec les nouvelles fréquences. Les nouvelles vaccinations n’ont pas toujours aidé, et comme pour les vaccinations Covid-19, semblent blesser et même tuer beaucoup de ceux qui les ont volontairement pris ainsi que les boosters. Parce qu’il a été expérimental (et qu’il appartient à l’individu d’accepter de le prendre), il n’y a aucune aide financière de la part des fabricants de vaccins. Mais les fréquences pourraient-elles jouer un rôle plus important dans notre santé ou sa perte ?

Les pandémies sont-elles le résultat de technologies émergentes ?

Prenons la Première Guerre mondiale ou la Grande Guerre. C’était un conflit international qui a commencé le 28 juillet 1914 et s’est terminé le 11 novembre 1918. La pandémie de 1918 (virus H1N1) a commencé à la fin de la guerre et avec l’introduction de la radio.

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En 1928, les premières émissions télévisées ont commencé, ainsi qu’une épidémie de grippe. Cependant, celui-ci était plus doux que la grippe espagnole de 1917.

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À la fin de 1946, une épidémie de grippe s’est produite au Japon et en Corée parmi les troupes américaines. … Le plus remarquable est l’échec total du vaccin contenant une souche H1N1 de 1943 (efficace dans les saisons 1943-1944 et 1944-1945). Que se passait-il d’autre à cette époque ? Essais d’armes atomiques et utilisation à Hiroshima et Nagasake. En outre, le radar à micro-ondes était maintenant testé par l’armée et considéré comme l’une des raisons possibles des accidents d’OVNI à Roswell au Nouveau-Mexique.

La pandémie de grippe asiatique de 1957-1958 était une pandémie mondiale de sous-type H2N2 du virus de la grippe A originaire du Guizhou, dans le sud de la Chine. Le nombre de décès excessifs causés par la pandémie est estimé à 1 à 4 millions dans le monde (1957-1958 et probablement au-delà), ce qui en fait l’une des pandémies les plus meurtrières de l’histoire. Au même moment, la Russie a lancé Spoutnik et les États-Unis et d’autres pays testaient encore l’énergie nucléaire.

Le premier sous-marin à propulsion nucléaire au monde est entré en service en 1954. Nommé d’après le sous-marin fictif du classique de Jules Verne Vingt mille lieues sous les mers ainsi que plusieurs navires précédents de la marine américaine, Nautilus a innové dans la conception et la propulsion des sous-marins. La marine russe, lorsqu’elle a commencé à utiliser l’énergie nucléaire, a perdu une grande partie de l’équipage car les sous-marins nucléaires avaient tendance à chauffer (fuite de rayonnement).

Entre le 16 juillet 1945 et le 23 septembre 1992, 1 132 armes nucléaires ont été tirées ou testées. Liste des essais d’armes nucléaires aux États-Unis

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Nous avons également vécu la catastrophe de Tchernobyl, un accident nucléaire survenu le 26 avril 1986 au réacteur n° 4 de la centrale nucléaire de Tchernobyl, près de la ville de Pripyat au nord de la RSS d’Ukraine en Union soviétique. Elle est considérée comme la pire catastrophe nucléaire de l’histoire, tant en termes de coûts que de pertes. Il s’agit de l’un des deux seuls accidents nucléaires évalués à sept, la gravité maximale.

La catastrophe nucléaire de Fukushima était un accident nucléaire de 2011 à la centrale nucléaire de Fukushima Daiichi à Ōkuma, Fukushima, Japon. La cause immédiate de la catastrophe était le tremblement de terre et le tsunami de Tōhoku en 2011. Il s’agissait de l’accident nucléaire le plus grave depuis la catastrophe de Tchernobyl en 1986. Il a été classé au niveau 7 sur l’échelle internationale des événements nucléaires (INES). 

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Les normes de rayonnement radiofréquence-champ électromagnétique sont apparues environ tous les dix ans depuis l’introduction des systèmes 1G en 1979 et du début au milieu des années 1980. Chaque génération se caractérise par de nouvelles bandes de fréquences, des débits de données plus élevés et une technologie de transmission non rétrocompatible. Les premiers réseaux 3G commerciaux ont été introduits à la mi-2001. La 4G a été introduite en 2009, ce qui a coïncidé avec la dernière grande pandémie (et crise économique) avant 2020. Est-ce une simple coïncidence ?

Passons à l’article de Jordan à partir de maintenant….

Bien que la 5G soit en développement depuis des décennies, sa mise en œuvre publique officielle a commencé le 31 octobre 2019, juste avant l’apparition initiale de la pandémie de COVID-19 en Chine en décembre 2019.  Bien que  la 5G ne soit peut-être pas responsable de l’épidémie de COVID-19, mais pourrait Le rayonnement RF-EMF est-il un facteur contributif à ses symptômes durables ?

Lorsque le déploiement de la 5G a commencé, les symptômes et la gravité du COVID-19 étaient encore largement inconnus. Semblable au tabac et aux cigarettes électroniques, la 5G et d’autres formes de rayonnement RF-EMF sont à la fois addictives et cancérigènes au fil du temps. Au fil du temps, l’acte de fumer du tabac s’intègre dans la routine quotidienne de l’utilisateur. De même, les fréquences EMF 5G ont également la capacité de contrôler le comportement des utilisateurs et de former une dépendance, provoquant une dépendance à long terme, malgré les conséquences négatives potentielles connues. L’Organisation mondiale de la santé classe le rayonnement RF-EMF comme un  “facteur environnemental potentiellement cancérigène pour l’homme”, et le décrit comme une “pollution électromagnétique”.

Considérer la 5G comme totalement inoffensive, c’est ignorer les données et la science existantes limitées qui ont été documentées. De nombreux utilisateurs RF-EMF désavouent la conscience des dommages résultant du rayonnement RF-EMF afin de maintenir un faux sentiment de sécurité. Aujourd’hui, la majorité de l’humanité est devenue dépendante de ses appareils de télécommunication, fonctionnant comme une extension de notre corps. Certains utilisateurs interagissent avec leurs appareils cellulaires matin, midi et soir. Cette habitude addictive produit une exposition constante à de petites quantités de rayonnement RF-EMF.

Par coïncidence, le commutateur 5G s’est activé lorsque l’épidémie de la pandémie a commencé. Depuis lors, il y a eu des symptômes constants de COVID-19, des effets durables sur la santé et une augmentation des décès. Tout le monde dans le monde, des politiciens aux athlètes, a vu des changements physiologiques majeurs dans la santé globale de la race humaine. Statistiquement, davantage de décès ont commencé à se produire, contribuant chaque décès au COVID-19. Au cours des dernières années, le développement de la technologie 5G est devenu un sujet de plus en plus controversé. La 5G permet de projeter un signal plus fort, permettant une connexion Internet plus rapide, une meilleure surveillance, plus d’appareils et d’utilisateurs et une connexion plus claire. Pourtant, malgré les nombreux avantages de la technologie 5G, il existe une force inquiétante de connaissances, de données et d’informations contre la technologie de pointe qui s’est accumulée et matérialisée à l’ère moderne. 

Le rayonnement 5G pourrait-il être un facteur contributif au COVID-19 ? Bien que le développement de la technologie 5G permette une surveillance de masse et d’autres efforts financiers mondiaux, les effets secondaires émergents de la 5G pourraient être propices aux symptômes présentés comme « COVID-19 ». Cette distraction permet aux fournisseurs de 5G de continuer à produire des rayonnements RF-EMF, similaires aux campagnes de cigarettes des grands tabacs. 3GPP  – l’association mondiale responsable du développement des débutants 5G dans le monde, a annoncé 1  un retard de trois mois dans son calendrier pour la publication de ses prochaines spécifications 5G (versions 16 et 17) en raison de la gravité des décès et des destructions rapportés par les médias à l’épidémie de COVID-19.

La 5G peut-elle produire des rayonnements ionisants ?

Comme indiqué 3  par les National Institutes of Health  « Le rayonnement radiofréquence (RF) est de plus en plus reconnu comme une nouvelle forme de pollution de l’environnement.  Pour comprendre les dangers de la 5G, il faut d’abord comprendre les dangers existants du rayonnement RF-EMF. Ces conditions officiellement reconnues sont documentées par diverses institutions, telles que l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et l’American Cancer Society.

Connexe: Rayonnement RF-EMF

Le  site Web officiel des National Institutes of Health  (NIH)  affiche des études illustrant la corrélation entre les symptômes du coronavirus et le rayonnement 5G 4 . Alors que COVID-19 est documenté pour produire des dommages oxydatifs, les dommages oxydatifs proviennent également de l’exposition aux rayonnements ionisants. Les dommages oxydatifs résultant du rayonnement RF-EMF 5G pourraient-ils être mal diagnostiqués à la suite de COVID-19 ?

“La 5G est un protocole qui utilisera des bandes de hautes fréquences et des bandes passantes étendues du spectre électromagnétique dans la vaste gamme de radiofréquences de 600 MHz à près de 100 GHz”

« Environ 100 000 satellites émetteurs devraient être lancés en orbite. Cette infrastructure modifiera considérablement l’environnement électromagnétique mondial à des niveaux sans précédent et pourrait avoir des conséquences inconnues sur l’ensemble de la biosphère, y compris les humains.  La nouvelle infrastructure desservira les nouveaux appareils 5G, y compris les téléphones mobiles 5G, les routeurs, les ordinateurs, les tablettes, les véhicules autonomes, les communications de machine à machine et l’Internet des objets.

“Au cours de la première vague pandémique aux États-Unis, les cas et les décès attribués au COVID-19 étaient statistiquement plus élevés dans les États et les grandes villes dotés d’une infrastructure 5G que dans les États et les villes qui ne disposaient pas encore de cette technologie “  , a déclaré  Beverly Rubik  du  Département de Mind-Body Medicine ,  College of Integrative Medicine and Health Sciences , à Pasadena CA, et  Robert R. Brown Department of Radiology , Hamot Hospital, University of Pittsburgh Medical Center, Erie, PA; Partenaires de radiologie, Phoenix, AZ

Les effets du rayonnement des communications sans fil 5G (5G WCR)

La 5G produit des rayonnements de communication sans fil (WCR), mais les gouvernements et les entreprises du monde sont silencieux sur ses effets, la vantant comme la prochaine technologie pour améliorer les vitesses de téléchargement et permettre l’intelligence artificielle, parmi les technologies les plus récentes.

En réalité, les effets sur la santé du rayonnement des communications sans fil sont également les mêmes risques pour la santé que la 5G. Ces effets sur la santé comprennent :

  • risque accru de cancer
  • changements endocriniens
  • augmentation de la production de radicaux libres
  • dommages causés par l’acide désoxyribonucléique (ADN)
  • modifications du système reproducteur
  • défauts d’apprentissage et de mémoire
  • troubles neurologiques

Pourtant, le monde continue d’avancer, plaçant ces technologies à l’avant-garde de la civilisation. Alors que la société devient dépendante de ce danger scientifiquement reconnu pour l’humanité, quels effets à long terme notre espèce subira-t-elle en conséquence ?

Comparaison des effets biologiques du COVID-19 et du rayonnement des communications sans fil (WCR)

Les effets biologiques du COVID-19 et du rayonnement de communication sans fil (WCR) produisent des corrélations surprenantes non seulement dans les symptômes, mais aussi dans les effets biologiques et les changements visibles sur le corps humain 6 . Ces changements agissent à la fois à court et à long terme, contribuant aux changements sanguins, au stress oxydatif, à la perturbation du système immunitaire, à l’augmentation du calcium intracellulaire et aux effets cardiaques. Les effets biologiques du rayonnement de communication sans fil (WCR) pourraient-ils être souvent mal interprétés et diagnostiqués à tort comme CVID-19 ?

Changements sanguins.  WCR et COVID-19 provoquent des changements sanguins notables. Il s’agit notamment des effets à court terme des rouleaux 7  (l’empilement des globules rouges), des échinocytes. Les modifications à long terme du sang comprennent la réduction du temps de coagulation sanguine, la réduction de l’hémoglobine (protéine qui transporte l’oxygène) et les troubles hémodynamiques.

Stress oxydatif.  Le WCR et le COVID-19 provoquent tous deux un stress oxydatif. Ceux-ci comprennent la diminution du niveau de glutathion 8 , l’augmentation des radicaux libres et du peroxyde lipidique, ainsi que des lésions oxydatives, des lésions organiques et des lésions des tissus et des organes.

Perturbation du système immunitaire. Le WCR et le COVID-19 provoquent tous deux une perturbation du système immunitaire. Ceux-ci comprennent la suppression immunitaire, l’hyperactivation immunitaire, la diminution de la production et la suppression des lymphocytes T (cellules T), l’auto-immunité, les lésions organiques et la défaillance organique.

Augmentation du calcium intracellulaire. Le WCR et le COVID-19 provoquent tous deux une augmentation du calcium intracellulaire. Il en résulte de “nombreux effets secondaires”, selon la US National Library of Medicine.

Effets cardiaques. Le WCR et le COVID-19 provoquent tous deux des effets cardiaques. Celles-ci comprennent la «régulation à la hausse du système nerveux sympathique», les arythmies cardiaques, les palpitations, la myocardite, l’ischémie myocardique, les lésions cardiaques et l’insuffisance cardiaque.

Malgré les corrélations entre les symptômes, de nombreux experts et organisations veulent que l’humanité croie qu’il n’y a aucune similitude entre RF-EMF 5G WCR et COVID-19. Il n’existe actuellement aucune méthode standard pour déterminer si les symptômes produits résultent du COVID-19 ou du rayonnement RF-EMF.

Tout au long de la pandémie de coronavirus, la concentration de cas infectés en Amérique a reflété directement les emplacements regroupés des tours cellulaires 5G assemblées pour le lancement du 31 octobre 2019.

La vérité sur la 5G

L’  Organisation mondiale de la santé (OMS)  déclare  « Actuellement, l’exposition des infrastructures 5G à environ 3,5 GHz est similaire à celle des stations de base de téléphonie mobile existantes. Avec l’utilisation de plusieurs faisceaux d’antennes 5G, l’exposition pourrait être plus variable en fonction de la localisation des utilisateurs et de leur utilisation. Étant donné que la technologie 5G en est actuellement à un stade précoce de déploiement, l’étendue de tout changement dans l’exposition aux champs de radiofréquence est toujours à l’étude.

L’  OMS  met en garde contre la prévalence croissante de la 5G utilisant  “des antennes de formation de faisceaux pour concentrer les signaux plus efficacement vers l’appareil utilisé, plutôt que de diffuser le signal dans de larges directions comme dans les antennes de station de base actuelles”.

6G et au-delà :

Mal des micro-ondes

Semblables aux effets biologiques prétendument produits par la technologie 5G, les micro-ondes, une autre forme de rayonnement RF-EMF, sont également connues pour produire une maladie physiologique, en fonction de la force, de la durée et de la fréquence d’exposition des micro-ondes. Radiofréquences entre 300 MHz et 300 GHz. Les micro-ondes sont également un électroménager courant. Au-delà de la cuisine, les micro-ondes sont utilisées dans les radars, les téléphones et les communications télévisuelles. Alors que la plupart des micro-ondes domestiques sont blindés et ne produisent pas de rayonnement significatif, d’autres formes de rayonnement micro-ondes existent dans le monde entier. Une exposition prolongée au rayonnement micro-ondes provoque appareil les mêmes effets que le rayonnement de communication sans fil (WCR) car ils sont tous deux des rayonnements RF-EMF.

Déclarations

“NOUS RECOMMANDONS UN MORATOIRE SUR LE DÉPLOIEMENT DE LA CINQUIÈME GÉNÉRATION, 5G, POUR LES TÉLÉCOMMUNICATIONS JUSQU’À CE QUE LES RISQUES POTENTIELS POUR LA SANTÉ HUMAINE ET L’ENVIRONNEMENT AIENT ÉTÉ PLEINEMENT ÉTUDIÉS PAR DES SCIENTIFIQUES INDÉPENDANTS DE L’INDUSTRIE… IL A ÉTÉ PROUVÉ QUE LES RF-EMF SONT NOCIFS POUR LES HUMAINS ET L’ENVIRONNEMENT.”  —  THE 5G SCIENTIFIC APPEAL  (APPEL SIGNÉ PAR PLUS DE 250 SCIENTIFIQUES ET MÉDECINS DE 35 PAYS)

Théorie du dépeuplement

Si le virus COVID-19 était obtenu, refabriqué, transformé en arme et diffusé par le Parti communiste chinois dans le but de détourner l’attention du public des effets sur la santé du déploiement de la 5G, cela constituerait une menace très réelle pour la société. Imitant directement les effets secondaires du rayonnement RF-EMF 5G, chaque « variante » du virus COVID-19 présente exactement les mêmes symptômes, mais chaque itération évoque une nouvelle hystérie, préparant notre espèce à un anéantissement certain.

Alors que de nouveaux vaccins continuent d’apparaître rapidement avec chaque variante, la majorité de la population a été convaincue de la nécessité de subir des injections régulières, sans aucun doute. Les vaccins à ARNm pourraient-ils jouer un rôle dans la suppression des symptômes du rayonnement 5G ? Alors que la 5G continue d’être pompée dans notre corps, détruisant lentement le système immunitaire et affaiblissant notre ADN, qui est le plus à risque de de tous âges. Cela permettrait aux entreprises de continuer à profiter du développement du réseau 5G, tout en dissimulant publiquement les symptômes du symptômes immédiats de type COVID-19 produits par le rayonnement 5G ? Les personnes non vaccinées pourraient-elles être plus sensibles aux rayonnements 5G nocifs, alors que les gouvernements mondiaux continuent d’imposer des vaccins pour les personnes rayonnement 5G.

Alors que les gens du monde entier commencent de plus en plus à succomber aux effets de la 5G, le pandémonium du coronavirus pourrait-il continuer à hypnotiser la population mondiale assez longtemps pour qu’une purge de masse commence à prendre effet ? Il se peut très bien que ce soit déjà le cas. La 5G pourrait être un effort coordonné de dépopulation massive, stratégiquement exécuté par les dirigeants décentralisés du monde, en collaboration avec le Parti communiste chinois, les sociétés pharmaceutiques et les institutions médicales, si la technologie de l’ARNm avait la capacité de masquer les symptômes physiques de la 5G pendant jusqu’à six mois , la population mondiale pourrait connaître un démocide médical lent et contrôlé, tout en récoltant des billions de dollars dans le processus. Un transfert de richesse peut être en cours, utilisant la monnaie des vies humaines.

Conclusion

.Alors que la communauté scientifique affirme que la 5G tombe techniquement en dessous des «limites d’exposition humaine», sa position ne préconise pas l’exposition à long terme au rayonnement 5G quotidien. Comme avec la montée des vaccins COVID-19, personne ne sait vraiment quels effets à long terme peuvent se présenter.

Certains rapports officiels dénoncent ces découvertes scientifiques comme des théories du complot, citant l’impact de la désinformation utilisant “l’incendie de tours 5G au Royaume-Uni”. Doit-on avoir tort de remettre en cause la légitimité des nouvelles technologies ? Dans le cas des extrémistes, reconnaître les dangers de la 5G et détruire les tours 5G ne fera rien pour empêcher l’évolution de son existence.  La 5G est-elle responsable des symptômes du COVID-19 ? Après le déclenchement de la pandémie, l’humanité a subi un changement biologique dans notre civilisation qui pourrait très bien rester permanent. Avec l’introduction de deux technologies révolutionnaires et controversées, la race humaine ne sera peut-être jamais vraiment en mesure de déchiffrer entre le rayonnement RF-EMF 5G et les variantes perpétuelles de COVID-19.  Comment la biotechnologie et le transhumanisme impacteront-ils l’avenir de la technologie 5G ? Quels risques pour la santé seront révélés dans les futurs développements et itérations ? Dans quelle mesure allons-nous devenir dépendants de la technologie RF-EMF avant de considérer les risques pour la durabilité de notre espèce ?

1https://www.3gpp.org/specifications/releases

2https://www.whitehouse.gov/briefing-room/statements-releases/2022/01/04/statement-by-president-joe-biden-on-5g-deployment-agreement/

3https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/29655646/

4https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8580522/

5https://www.who.int/srilanka/news/detail/16-10-2021-post-covid-19-condition

6https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC8580522/table/T1/?report=objectonly

7https://www.sciencedirect.com/topics/medicine-and-dentistry/rouleaux

8https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4684116/

9https://www.who.int/news-room/questions-and-answers/item/radiation-5g-mobile-networks-and-health

10https://www.scmp.com/tech/tech-war/article/3163261/china-pursue-major-standards-setting-role-6g-mobile-technology-amid

11https://www.fda.gov/radiation-emitting-products/resources-you-radiation-emitting-products/television-radiation

12https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC7405337/

Le rôle crucial du NAC dans la prévention et le traitement du COVID-19

Par Joseph Mercola

https://www.theepochtimes.com/nacs-crucial-role-in-preventing-and-treating-covid-19_4236090.html?utm_source=healthnoe&utm_campaign=health-2022-01-26&utm_medium=email&est=TAiYwsMW07fYpHUeAAlEzXMXFjenYVg2EWRDwAFQ9oe8uhZphodRMoiYqBvJPQK9DdE%3D

La N-acétylcystéine ( NAC ) est utilisée depuis longtemps pour aider à prévenir les dommages au foie et, plus récemment, comme traitement des virus de la grippe. Maintenant, les chercheurs ont découvert sa valeur vitale pour COVID-19.

La N-acétylcystéine (NAC) est un précurseur du glutathion réduit, qui semble jouer un rôle crucial dans le COVID-19. Selon une analyse de la littérature d’avril 2020, une carence en glutathion peut être associée à la gravité du COVID-19, ce qui amène l’auteur à conclure que la NAC peut être utile à la fois pour sa prévention et son traitement.

La NAC est utilisée depuis longtemps comme remède de premiers secours en cas d’empoisonnement à l’acétaminophène. Il neutralise les effets toxiques du médicament en rechargeant le glutathion, prévenant ainsi les dommages au foie. Mais l’idée que la NAC peut également être utile contre les infections virales n’est pas nouvelle. Des études antérieures ont montré qu’il réduit la réplication virale de certains virus, y compris le virus de la grippe.

Dans une de ces études, le nombre nécessaire à traiter (NNT) était de 0,5, ce qui signifie que pour deux personnes traitées avec la NAC, une sera protégée contre la grippe symptomatique. C’est nettement mieux que les vaccins contre la grippe, qui ont un NNV (nombre nécessaire pour vacciner) de 71, ce qui signifie que 71 personnes doivent être vaccinées pour prévenir un seul cas de grippe confirmée. C’est encore mieux que la vitamine D, qui a un NST de 33.

Dans la conférence MedCram ci-dessus, le pneumologue Dr Roger Seheult passe en revue la dernière littérature médicale sur la NAC pour COVID-19, en commençant par un article publié dans le numéro d’octobre 2020 de Clinical Immunology intitulé “Therapeutic Blockade of Inflammation in Severe COVID-19 Infection With Intravenous N-acétylcystéine.

Le déficit en G6PD aggrave les résultats du COVID-19

Des recherches antérieures ont montré que la NAC inhibe l’expression des cytokines pro-inflammatoires dans les cellules infectées par le virus de la grippe H5N1 hautement pathogène. Les cytokines pro-inflammatoires jouent également un rôle crucial dans la gravité du COVID-19.

Les chercheurs ont confirmé que dans les cas graves de COVID-19, les cytokines telles que l’interleukine-6 (IL6), l’interleukine-10 (IL10) et le TNF-ɑ sont toutes élevées. Une fois qu’ils atteignent des niveaux excessifs, une soi-disant tempête de cytokines se développe, causant des dommages tissulaires importants. NAC peut être en mesure d’inhiber cette cascade dommageable.

Dans l’article « Therapeutic Blockade of Inflammation in Severe COVID-19 Infection With Intravenous N-acetylcysteine», les chercheurs se concentrent sur un groupe spécifique de patients, à savoir ceux présentant un déficit en glucose 6-phosphate déshydrogénase (G6PD), dont il a été démontré qu’il facilite infection à coronavirus humain due au fait que le G6PD épuise le glutathion.

Le déficit en G6PD est une maladie génétique qui affecte généralement les hommes et est plus répandue chez les hommes noirs et ceux de la région méditerranéenne, d’Afrique et d’Asie. (Les femmes atteintes de cette anomalie génétique sont porteuses et peuvent la transmettre à leurs enfants, mais présentent rarement des symptômes.)

La G6PD est une enzyme nécessaire au bon fonctionnement des globules rouges. Il protège également vos globules rouges des radicaux libres dans votre sang en limitant le stress oxydatif.

Lorsque votre corps ne produit pas suffisamment de cette enzyme, une anémie hémolytique – une condition dans laquelle les globules rouges sont décomposés plus rapidement qu’ils ne sont fabriqués – peut résulter d’un stress oxydatif non neutralisé dû à la production de quantités insuffisantes de NADPH.

Comme indiqué dans « Blocage thérapeutique de l’inflammation dans les cas graves d’infection au COVID-19 par la N-acétylcystéine intraveineuse » :

“Le déficit en G6PD peut particulièrement prédisposer à l’hémolyse lors d’une infection par la maladie à coronavirus 2019 (COVID-19) lors de l’utilisation d’un traitement pro-oxydant. Cependant, la déplétion en glutathion est réversible par l’administration de N-acétylcystéine (NAC).

Nous décrivons un cas grave d’infection au COVID-19 chez un patient déficient en G6PD traité par hydroxychloroquine qui a bénéficié d’une NAC intraveineuse (IV) au-delà de l’inversion de l’hémolyse.

Le NAC a bloqué l’hémolyse et l’élévation des enzymes hépatiques, de la protéine C-réactive (CRP) et de la ferritine et a permis le retrait du respirateur et de l’oxygénateur à membrane extracorporelle veino-veineuse et le rétablissement complet du patient déficient en G6PD.

Comment le déficit en G6PD affecte le processus de la maladie COVID-19

Dans sa conférence, Seheult passe en revue les moindres détails de la façon dont le G6PD influence le processus de la maladie COVID-19, pourquoi une carence en cette enzyme peut aggraver les résultats et comment la supplémentation en NAC court-circuite cette chaîne d’événements nocifs.

En résumé, le peroxyde d’hydrogène (H2O2), une espèce réactive de l’oxygène (ROS), doit être converti en eau (H2O) autant que possible dans vos cellules pour éviter l’hémolyse des globules rouges, c’est-à-dire la destruction des globules rouges.

Comme l’a noté Seheult, on craint que le médicament hydroxychloroquine n’augmente ce processus chez les patients déficients en G6PD, augmentant ainsi le risque d’hémolyse des globules rouges.

Les preuves ne sont cependant pas concluantes. Une étude de 2018 portant sur l’incidence de l’anémie hémolytique chez les patients déficients en G6PD recevant de l’hydroxychloroquine a conclu que le risque pouvait être exagéré, car “aucun épisode d’hémolyse n’a été signalé au cours de plus de 700 mois d’exposition à l’HCQ parmi les 11 patients déficients en G6PDH”.

L’enzyme responsable de la conversion du peroxyde d’hydrogène en eau est la glutathion peroxydase (GPX). GPX fait deux choses simultanément. Tout en réduisant le peroxyde d’hydrogène en eau, il convertit également la forme réduite du glutathion (GSH) en disulfure de glutathion (GSSG), qui est la forme oxydée du glutathion. En d’autres termes, lorsque le GPX transforme le peroxyde d’hydrogène en eau inoffensive, le glutathion s’oxyde.

Pour recycler le GSSG vers sa forme réduite, le GSH, vous avez besoin d’une enzyme appelée GSH réductase. L’agent réducteur nécessaire pour que cela se produise est le NADPH. Le NADPH est également converti simultanément en NADP+. Pour recycler NADP+ en NADPH, vous avez besoin de G6PD.

Le point ici est le suivant : les patients qui ont un déficit en G6PD auront également un NADPH plus faible et ne seront donc pas en mesure de réduire le GSSG (la forme oxydée du glutathion) en sa forme réduite en GSH. Cela conduit à son tour à une accumulation de peroxyde d’hydrogène, entraînant des niveaux plus élevés d’hémolyse.

Comme l’a expliqué Seheult, les deux éléments constitutifs du glutathion sont le NAC et l’acide aminé glycine. La glycine est assez abondante, alors que la NAC ne l’est pas, donc la théorie est que, si vous êtes déficient en G6PD, vous pourrez peut-être contourner cette spirale néfaste en fournissant des niveaux élevés de NAC. Cela permettra à votre corps de produire son propre glutathion (GSH).

Cette théorie est ce qui a été étudié dans «Blocage thérapeutique de l’inflammation dans les infections graves au COVID-19 avec de la N-acétylcystéine intraveineuse», et la réponse est oui. Lorsqu’il a reçu de l’hydroxychloroquine, le patient déficient en G6PD a développé une hémolyse sévère, qui a été inversée avec succès en administrant du NAC par voie intraveineuse. En fin de compte, le patient a complètement récupéré.

En ce qui concerne la posologie, le patient déficient en G6PD a reçu 30 000 milligrammes de NAC par voie intraveineuse divisés en trois doses sur 24 heures, après quoi le patient a commencé à montrer une amélioration immédiate des indices d’hémolyse. Environ une semaine plus tard, IV NAC a été redémarré à une dose de 600 mg toutes les 12 heures pendant une semaine.

NAC bloque l’inflammation

En plus de ce patient déficient en G6PD, la NAC a également été administrée à neuf autres patients COVID-19 qui étaient sous respirateurs mais qui n’avaient pas de déficit en G6PD. Chez ces patients, « la NAC a entraîné une amélioration clinique et une réduction marquée de la CRP chez tous les patients et de la ferritine chez 9 patients sur 10 ». Les auteurs émettent l’hypothèse que le mécanisme d’action de la NAC “peut impliquer le blocage de l’infection virale et la tempête de cytokines qui s’ensuit”.

Cela dit, ils soulignent qu’il est difficile de discerner si ces effets anti-inflammatoires étaient spécifiques à l’utilisation de la NAC, car les stéroïdes et autres anti-inflammatoires étaient utilisés sporadiquement. Pourtant, ils pensent que la NAC a la capacité de réduire l’inflammation chez les patients atteints de COVID-19. Comme expliqué dans le journal :

«Nous proposons que la NAC retienne les voies métaboliques pro-inflammatoires qui contrôlent le stress oxydatif et la génération dépendante de mTOR de la tempête de cytokines émanant du système immunitaire…

L’IL-6, la cytokine primaire qui provoque l’inflammation chez les patients infectés par le COVID-19, provoque un stress oxydatif mitochondrial au niveau du complexe I de la chaîne de transport d’électrons mitochondriale (ETC). Cela conduit à son tour à une activation redox-dépendante de mTORC1.

Plus en aval, l’activation incontrôlée de mTORC1 favorise l’inflammation. La NAC inhibe le stress oxydatif en servant de précurseur d’acide aminé perméable aux cellules du principal antioxydant intracellulaire, le GSH.

Agissant à l’extérieur de la cellule, le NAC peut rompre les liaisons disulfure au sein de l’ACE2 qui sert de récepteur cellulaire au COVID-19. Le NAC peut également bloquer la liaison du COVID-19 en perturbant la liaison disulfure dans son domaine de liaison au récepteur…

Il a été démontré que plusieurs médicaments anti-inflammatoires atténuent la tempête de cytokines dans l’infection au COVID-19, tels que les corticostéroïdes, la colchicine, l’imatinib et l’inhibiteur du complément C3 AMY-101. Cependant, la sécurité du blocus mTOR se distingue par sa propension à prolonger la durée de vie globale.

La NAC IV est utilisée depuis longtemps pour traiter en toute sécurité les patients présentant une surdose d’acétaminophène, ou SDRA [syndrome de détresse respiratoire aiguë]. Il a également été constaté que la NAC réduisait les niveaux de CRP dans plusieurs essais cliniques contrôlés. L’élévation de la CRP est un facteur de risque important de progression de la maladie chez les patients infectés par le COVID-19.

NAC protège également contre les caillots sanguins

Surtout, la NAC peut également protéger contre d’autres problèmes associés au COVID-19, y compris l’hypercoagulation qui peut entraîner un accident vasculaire cérébral et/ou des caillots sanguins qui altèrent la capacité d’échanger de l’oxygène dans les poumons.

De nombreux patients atteints de COVID-19 souffrent de caillots sanguins graves et la NAC contrecarre l’hypercoagulation, car elle possède à la fois des propriétés anticoagulantes et antiplaquettaires. Un article de 2017 a également révélé que la NAC a de puissants effets thrombolytiques, ce qui signifie qu’elle décompose les caillots sanguins une fois qu’ils se sont formés.

C’est en grande partie grâce au soufre contenu dans la NAC (provenant de la cystéine). Le soufre réduit les liaisons disulfure intrachaîne par les facteurs de von Willebrand qui se sont polymérisés en dissociant les liaisons soufre qui les maintiennent ensemble, contribuant ainsi au caillot. Une fois que les liaisons soufre du facteur von Willebrand sont rompues, les caillots commencent à se dissoudre et les vaisseaux sanguins s’ouvrent à nouveau, permettant l’échange d’oxygène et de dioxyde de carbone.

Selon les auteurs, “la NAC est une alternative efficace et sûre aux agents antithrombotiques actuellement disponibles pour restaurer la perméabilité des vaisseaux après une occlusion artérielle”. (La restauration de la perméabilité du vaisseau signifie que le vaisseau sanguin n’est plus obstrué, de sorte que le sang peut circuler librement.) Deux documents supplémentaires montrent la même chose.

«On peut s’attendre à ce que la NAC intraveineuse à forte dose joue un rôle adjuvant dans le traitement des cas graves de COVID-19 et dans le contrôle de ses complications mortelles… y compris les événements indésirables pulmonaires et cardiovasculaires.» ~ Journal du FASEB 11 août 2020

Il est important de noter que le mécanisme d’action de la NAC ne semble pas augmenter les troubles hémorragiques comme le fait l’héparine, ce serait donc probablement une alternative plus sûre à l’héparine utilisée dans le protocole MATH+.

NAC améliore également une variété de problèmes liés aux poumons

Des études ont également démontré que la NAC aide à améliorer une variété de problèmes liés aux poumons, y compris la pneumonie et le SDRA, qui sont tous deux des caractéristiques communes du COVID-19. Par example:

  • Une recherche publiée en 2018 a révélé que la NAC réduit les dommages oxydatifs et inflammatoires chez les patients atteints de pneumonie communautaire.
  • Une autre étude de 2018 a révélé que la NAC améliore la fonction pulmonaire postopératoire chez les patients subissant une transplantation hépatique.
  • Une méta-analyse de 2017 a révélé une réduction significative des séjours en soins intensifs chez les patients atteints de SDRA traités par NAC (bien qu’il n’y ait pas eu de différence significative dans le risque de mortalité à court terme).
  • Une étude de 2007 a conclu que la NAC améliore le SDRA en “augmentant les molécules de glutathion intracellulaire et de thiol extracellulaire” ainsi que les effets antioxydants généraux.
  • Une étude de 1994 a révélé que la NAC améliore la récupération après une lésion pulmonaire aiguë, régressant de manière significative le score de lésion pulmonaire des patients au cours des 10 premiers jours de traitement et réduisant considérablement le besoin de ventilation. Après trois jours de traitement, seuls 17 % des personnes recevant la NAC avaient besoin d’une ventilation, contre 48 % dans le groupe placebo.
  • La NAC est également un mucolytique bien connu utilisé pour aider à éliminer le mucus des voies respiratoires des patients atteints de mucoviscidose. Certaines études suggèrent également que la NAC peut aider à réduire les symptômes de la MPOC et à prévenir l’exacerbation de la maladie.

La norme de soins pour COVID-19 devrait inclure le NAC

Étant donné que de nombreux cas de COVID-19 impliquent des caillots sanguins en plus d’un stress oxydatif excessif, et que la NAC traite efficacement les deux, je pense que la NAC devrait être incluse dans la norme de soins pour COVID-19. Comme indiqué dans « Rationale for the Use of N-acetylcysteine ​​in Both Prevention and Adjuvant Therapy of COVID-19 », publié le 11 août 2020 dans le FASEB Journal :

« Le COVID-19 peut provoquer une pneumonie, un syndrome de détresse respiratoire aiguë, des altérations cardiovasculaires et une défaillance multiviscérale, qui ont été attribuées à une tempête de cytokines, une réponse inflammatoire systémique et une attaque du système immunitaire. De plus, il a été démontré qu’un déséquilibre du stress oxydatif se produit chez les patients COVID-19.

La N-acétyl-L-cystéine (NAC) est un précurseur du glutathion réduit (GSH). En raison de sa tolérance, ce médicament pléiotrope a été proposé non seulement comme agent mucolytique, mais aussi comme agent préventif/thérapeutique dans une variété de troubles impliquant une déplétion en GSH et un stress oxydatif…

Les thiols bloquent l’enzyme de conversion de l’angiotensine 2, entravant ainsi la pénétration du SARS-CoV-2 dans les cellules. Basée sur un large éventail de mécanismes antioxydants et anti-inflammatoires… l’administration orale de NAC est susceptible d’atténuer le risque de développer le COVID-19, comme cela a été démontré précédemment pour la grippe et les syndromes grippaux.

De plus, on peut s’attendre à ce que la NAC intraveineuse à forte dose joue un rôle adjuvant dans le traitement des cas graves de COVID-19 et dans le contrôle de ses complications mortelles… y compris les événements indésirables pulmonaires et cardiovasculaires.

Dans le même ordre d’idées, un article encore plus récent, publié dans le numéro d’octobre 2020 de Medical Hypotheses, souligne que :

«L’épuisement des lymphocytes T, une charge virale élevée et des niveaux élevés de TNF-ɑ, IL1β, IL6, IL10 ont été associés à un SRAS-CoV-2 sévère. La surstimulation des cytokines et des antigènes est potentiellement responsable d’une mauvaise réponse humorale au virus. Un statut redox cellulaire inférieur, qui conduit à des états pro-inflammatoires médiés par le TNF-ɑ, est également potentiellement impliqué.

Des essais cliniques in vivo, in vitro et humains ont démontré que la N-acétylcystéine (NAC) est une méthode efficace pour améliorer le statut redox, en particulier en cas de stress oxydatif.

Dans les essais cliniques humains, la NAC a été utilisée pour reconstituer les réserves de glutathion et augmenter la réponse proliférative des lymphocytes T. Il a également été démontré que la NAC inhibe la voie de l’inflammasome NLRP3 (IL1β et IL18) in vitro et diminue le TNF-ɑ plasmatique dans des essais cliniques humains.

La médiation de la charge virale pourrait se produire grâce à la capacité de la NAC à augmenter le statut redox cellulaire en maximisant l’étape limitante de la synthèse du glutathion, et ainsi potentiellement en diminuant les effets du stress oxydatif induit par le virus et de la mort cellulaire.

Nous émettons l’hypothèse que la NAC pourrait agir comme un agent thérapeutique potentiel dans le traitement du COVID-19 par le biais de divers mécanismes potentiels, notamment l’augmentation du glutathion, l’amélioration de la réponse des lymphocytes T et la modulation de l’inflammation.

Les vaccins COVID sont un échec spectaculaire, selon les données

https://childrenshealthdefense.org/defender/

Les analyses de données de plusieurs pays montrent une corrélation négative entre les taux de vaccination contre le COVID et l’aggravation des taux d’infection et d’autres tendances en matière de santé :

  • Les données britanniques montrent que les injections de COVID sont un échec lamentable, car les taux d’infection au COVID au Royaume-Uni sont plus élevés parmi les «entièrement vaccinés» dans toutes les cohortes d’adultes.
  • Les taux d’infection augmentent également plus rapidement parmi les personnes entièrement vaccinées que dans les cohortes non vaccinées de tous âges. Dans l’ensemble, ces données prouvent que les passeports et les mandats de vaccination sont complètement inutiles.
  • Les données de l’Ecosse montrent plus de la même chose. Les Écossais à double piqûre sont plus susceptibles d’être admis à l’hôpital pour COVID que non vaccinés. Depuis qu’Omicron est devenu dominant, les taux de cas de COVID sont également plus faibles chez les non vaccinés que chez les personnes à simple, double et même triple piqûre.
  • À l’échelle internationale, les journalistes commencent maintenant à essayer de détourner le récit des cas, des hospitalisations et des décès en soulignant le manque de fiabilité de ces données. Ce qu’ils n’admettent pas, c’est que de « dangereux désinformateurs » ont mis en lumière ces problèmes depuis deux ans déjà.
  • Omicron fait d’énormes trous dans le récit de la pandémie, car il affecte principalement les vaxxés, prouvant ainsi que les mandats et les passeports vaccinaux sont irrationnels et inutiles.

À ce stade, il n’y a tout simplement pas de question. Les coups COVID sont un échec lamentable de toutes les manières possibles. À maintes reprises, les analyses de données du monde entier montrent une corrélation négative entre les taux de «vaccination» et l’aggravation des taux d’infection et d’autres tendances en matière de santé.

Il n’y a aucune justification pour les passeports et les mandats

Parmi les derniers ensembles de données pour le montrer figurent les statistiques officielles du gouvernement britannique. Son «Rapport national de surveillance de la grippe et du COVID-19: 13 janvier 2022 (semaine 2)» montre que les taux d’infection au COVID au Royaume-Uni sont plus élevés parmi les «entièrement vaccinés» dans toutes les cohortes d’adultes.

Les taux de croissance des infections augmentent également plus rapidement chez les personnes totalement vaccinées que chez les cohortes non vaccinées de tous âges. Dans l’ensemble, ces données prouvent que les passeports et les mandats de vaccination sont complètement inutiles et ne sont rien de plus qu’un outil de coercition. Ils ne réduisent en aucun cas les taux d’infection, les hospitalisations ou les décès dus au COVID .

Quel que soit le nombre de vaccins qu’une personne a reçus, elle continue d’être infectée et de la transmettre. De plus, on sait que les piqûres sont de véritables incubateurs de souches mutantes. Tout dans cette campagne de vaccination de masse est préjudiciable à la santé publique.

Des taux d’infection beaucoup plus élevés parmi les personnes entièrement piquées

À l’aide des données du gouvernement britannique, un utilisateur de Twitter nommé Don Wolt a créé une série de graphiques utiles qu’il a publiés le 16 janvier. Le graphique ci-dessous montre les différences de taux d’infection selon l’âge et le statut vaccinal, et il est vraiment révélateur.

Dans l’ensemble, à l’exception peut-être du groupe d’âge de 80 ans et plus, les personnes entièrement piquées ont des taux d’infection au COVID significativement plus élevés, décimant complètement le mythe selon lequel nous sommes dans une « pandémie de non-vaccinés ». Clairement ce n’est pas le cas.

(Wolt précise que chaque barre de ce graphique représente quatre semaines de données, obtenues à partir de rapports hebdomadaires successifs de l’Agence britannique de sécurité sanitaire, et le graphique illustre les taux d’infection – c’est-à-dire le nombre d’infections pour 100 000 personnes – et non des chiffres absolus. ” Vaxxed 2 doses » comprend également ceux qui ont reçu un troisième rappel.)

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Les taux d’infection augmentent plus rapidement parmi les personnes entièrement piquées

Dans un autre graphique, vous pouvez clairement voir comment les taux d’infection augmentent également plus rapidement dans les cohortes entièrement piquées que dans les non vaccinés – et cela n’est pas le résultat de taux de vaccination plus élevés.

Ici, Wolt a déterminé la croissance du taux d’infection pour chaque cohorte d’âge en comparant les données de la semaine 1 à la semaine 2 dans le rapport de surveillance. Comme vous pouvez le voir par les barres orange du graphique, le taux de croissance de l’infection chez les non vaccinés est relativement stable dans tous les groupes d’âge, tandis que le taux de croissance de l’infection chez les personnes entièrement piquées continue d’augmenter avec l’âge.

Comme l’a noté Wolt, cette augmentation du taux de croissance des infections n’est pas due à une augmentation en tandem du nombre de personnes recevant un deuxième ou un troisième coup. Les données montrent que plus le taux de vaccination d’une cohorte d’âge est élevé, plus son taux de croissance de l’infection est élevé (c’est-à-dire le taux d’augmentation d’une semaine à l’autre).

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Le risque de décès est extrêmement faible chez les moins de 50 ans

Le rapport de surveillance COVID du 13 janvier au Royaume-Uni montre que parmi les personnes âgées de 50 ans et plus, les injections de COVID semblent réduire les taux d’hospitalisation et de décès.

Cependant, toute personne de moins de 50 ans dont le test de dépistage du SRAS-CoV-2 est positif a toujours un risque exceptionnellement faible d’hospitalisation ou de décès, quel que soit son statut vaccinal. Chez les moins de 30 ans, le risque d’être hospitalisé ou de mourir du COVID est “effectivement nul”, note Wolt, ce qui, encore une fois, “rend la vaccination obligatoire totalement injustifiée”.

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Répondant aux détracteurs qui soulignent que le rapport avertit que ses données brutes ne peuvent pas être utilisées pour estimer l’efficacité du vaccin, Wolt souligne que ses graphiques ne sont pas destinés à illustrer l’efficacité du vaccin en soi. Ils montrent simplement les tendances des taux entre «vaccinés» et non vaccinés, et ces tendances invalident clairement tout besoin perçu de mandats de vaccination. Les données de l’Ecosse montrent plus de la même chose. Tel que rapporté par The Herald, le 13 janvier :

«Les Écossais à double piqûre sont désormais plus susceptibles d’être admis à l’hôpital avec COVID que les non vaccinés au milieu d’une augmentation du nombre de personnes âgées tombant malades en raison d’une immunité décroissante.

“Cela vient au milieu de données” étranges “montrant que les taux de cas ont été plus faibles chez les individus non vaccinés que les simples, doubles ou même triples piqûres depuis qu’Omicron est devenu la variante dominante en Écosse.”

Omicron oblige les médias à repenser ce qu’ils rapportent

La pandémie de COVID a été une question d’ingénierie sociale, ce qui bien sûr ne peut se faire sans la pleine complicité des médias grand public. De manière détournée, un article du 12 janvier de l’Associated Press (AP) News admet ce rôle :

«Depuis deux ans, le nombre de cas de coronavirus et les hospitalisations sont des baromètres largement utilisés de la marche de la pandémie à travers le monde. Mais la vague omicron bouleverse les statistiques habituelles, obligeant les agences de presse à repenser la façon dont elles rapportent ces chiffres.

“C’est juste un désastre de données”, a déclaré Katherine Wu, rédactrice en chef qui couvre COVID-19 pour le magazine The Atlantic. Le nombre de cas a grimpé en flèche pendant les vacances, une évolution attendue compte tenu de l’émergence d’une variante plus transmissible que ses prédécesseurs.

«Pourtant, ces chiffres ne reflètent que ce qui est rapporté par les autorités sanitaires. Ils n’incluent pas la plupart des personnes qui se testent à domicile ou qui sont infectées sans même le savoir. Les vacances et les week-ends entraînent également des retards dans les cas signalés.

«Si vous pouviez additionner tous ces chiffres – et vous ne le pouvez pas – le nombre de cas serait probablement beaucoup plus élevé. Pour cette raison, l’Associated Press a récemment dit à ses rédacteurs en chef et à ses journalistes d’éviter de mettre l’accent sur le nombre de cas… De nombreux organes de presse débattent de la meilleure façon d’utiliser les statistiques maintenant pendant la montée subite d’Omicron…

«Les hospitalisations et les taux de mortalité sont considérés par certains comme une image plus fiable de l’impact actuel de COVID-19 sur la société. Pourtant, même l’utilité de ces chiffres a été remise en question ces derniers jours. Dans de nombreux cas, les hospitalisations sont accidentelles : il y a des gens qui sont admis pour d’autres raisons et qui sont surpris de constater qu’ils sont positifs pour le COVID.

Commutateur narratif visant à masquer les échecs

Pour ceux qui ont été “éveillés” à la censure et aux reportages trompeurs au cours des deux dernières années, cette tentative d’orienter le récit dans une nouvelle direction est tout simplement risible.

Comment l’AP a-t-il pu passer à côté du fait qu’il s’agissait d’un désastre de données depuis le début ? Et intentionnellement ?

Le nombre de cas n’était toujours pas fiable, étant donné que le test PCR ne peut pas diagnostiquer une infection active, et des seuils de cycle excessifs garantissaient des quantités ridicules de faux positifs.

Les données d’hospitalisation COVID étaient toujours peu fiables, car toute personne testée positive pour COVID était comptée comme une hospitalisation COVID, qu’elle soit symptomatique ou non. Rien n’a changé à cet égard.

La seule chose qui a changé, c’est que maintenant les médias l’admettent – en prétendant qu’il s’agit d’un tout nouveau développement, bien sûr. Il en va de même pour le nombre de décès COVID. Ils ont été largement surestimés depuis le début, encore une fois, en raison du recours à des tests PCR défectueux.

Le fait est qu’Omicron agrandit tellement les trous dans le récit que tout s’effondre. Ils perdent complètement la justification des passeports vaccinaux et des mandats pour le travail, l’école et les événements sociaux, car plus le taux de vaccination est élevé, plus le taux d’infection est élevé.

À cette fin, le Premier ministre britannique Boris Johnson a annoncé le 19 janvier qu’il mettait fin à toutes les restrictions COVID restantes en Angleterre, y compris les mandats de masque dans les transports publics et dans les écoles, ainsi que les exigences de passeport vaccinal pour les événements publics.

Ouais! “Bien que nous saluons la déclaration du Premier ministre de lever les restrictions draconiennes du COVID au Royaume-Uni, nous pensons que ce récit de la” victoire par la défaite du COVID “soulève plus de questions qu’il n’en résout.” – Mary Holland, @ChildrensHD https://t.co/cBibJqxPnB

– Robert F.Kennedy Jr (@RobertKennedyJr) 19 janvier 2022

C’est tout le contraire de ce dont les technocrates ont besoin pour justifier passeports et mandats. Pour cacher, du mieux possible, cette tendance à tuer les récits, les médias «expliquent» maintenant pourquoi ils ne discuteront plus du nombre de cas ou même des hospitalisations ou des taux de mortalité.

Le nouveau récit n’a pas de sens non plus

Le nouveau récit, selon AP News, mettra en évidence des éléments tels que les hôpitaux en surcapacité et les pénuries générales de personnel.

Le problème est que ceux-ci ne brossent pas non plus une image fidèle de l’impact du COVID, car les hôpitaux ont mis du personnel en congé en raison du manque de patients (beaucoup ont renoncé aux traitements médicaux de routine par peur du COVID), ils ont licencié le personnel pour ne pas avoir reçu le jab , d’autres membres du personnel ont simplement quitté leur emploi face aux mandats de vaccination et les hôpitaux ont fermé des ailes entières en raison de ces réductions de personnel.

Bien sûr, si les patients commencent à revenir, ils pourraient rapidement se retrouver avec plus de patients qu’ils ne peuvent actuellement en gérer. À quoi d’autre pouvez-vous vous attendre lorsque les hôpitaux font intentionnellement ce genre de coupes ?

Les pénuries générales de personnel dans d’autres industries sont un baromètre tout aussi erroné de l’impact de COVID. Beaucoup reçoivent encore une aide fédérale et ne veulent donc pas réintégrer le marché du travail. D’autres sont expulsés en raison des mandats de vaccination.

D’autres sont trop malades pour travailler grâce aux blessures par injection du COVID .  Les compagnies d’assurance signalent une augmentation de 40 % des décès prématurés non liés au COVID. Les cadres de l’assurance ont évalué le taux de mortalité extraordinairement élevé comme «le plus élevé… que nous ayons vu dans l’histoire de cette entreprise… cohérent pour tous les acteurs de cette entreprise». https://t.co/9gkLe3fjAX

– Robert F.Kennedy Jr (@RobertKennedyJr) 6 janvier 2022

EXCLUSIF : Un médecin traite gratuitement des patients atteints de Covid : « Fauci est le plus grand meurtrier de masse de l’histoire », « les hôpitaux sont les nouveaux camps de concentration ».

par Mohamed Tahiri

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Les mesures prises par le gouvernement fédéral et administrées à l’échelle nationale pour “arrêter la propagation” et atténuer l’infection au COVID-19 sont en fait un stratagème mis en œuvre par “Nazi Fauci” pour instituer un gouvernement mondial unique et légaliser les meurtres de masse, prévient le Dr Ben Marble , un spécialiste en médecine familiale basé en Floride. “C’est un génocide de masse. Nazi Fauci est le plus grand meurtrier de masse de l’histoire du monde. Il doit être arrêté et jugé pour Nuremberg 2.0 avec Bill Gates et George « Sarass », le nazi Klaus Schwab – toute l’élite milliardaire », a déclaré le Dr Marble au Gateway Pundit lors du rassemblement Defeat the Mandate à Washington, DC. “Il s’agit d’un démantèlement de l’Amérique pour mettre en place le plan du gouvernement mondial. La thérapie génique par ARNm ou les thérapies par ADN — ce ne sont pas des vaccins. Ce sont des thérapies géniques expérimentales », a-t-il poursuivi. «Certainement – ​​personne n’a besoin d’un vaccin contre Covid. Même s’il s’agissait d’un vrai vaccin qui fonctionnait réellement, nous n’avons pas besoin d’un vaccin contre le Covid. En avril 2020, après avoir travaillé à l’hôpital pour soigner des patients Covid 24 heures sur 24, Marble a conclu que tout ce qui était recommandé par le Center for Disease Control et «Nazi Fauci» pour traiter le nouveau coronavirus en train de se reproduire «était tout simplement totalement faux» et «en fait le contraire de tout ce que nous devons faire. Malgré le contrecoup potentiel, Marble a décidé d’ignorer Fauci et le gouvernement fédéral et de “commencer à fournir un traitement précoce à mes patients”. REGARDEZ: 

Un médecin soigne gratuitement des patients pendant la pandémie sur myFreeDoctors.Com

Alors que le nombre de décès par coronavirus continuait de grimper dans le cadre du respect systémique des nouvelles réglementations illogiques du CDC, Marble a commencé à traiter gratuitement les patients de Covid : “A cette époque, je faisais de la télémédecine et j’avais cette chose étrange. J’ai fait un court rêve à propos de Jésus, et il m’a dit que je devrais soigner mes patients gratuitement. Je me suis dit : ‘Comment vais-je faire ça ? L’hôpital ne m’appartient pas. Et il m’a regardé et a dit : “Eh bien, j’ai guéri les aveugles gratuitement”, puis il s’est moqué de moi. Et puis je me suis réveillé, c’était la fin du rêve », a expliqué le médecin. « Je n’y ai pas beaucoup pensé. «Puis, environ une semaine plus tard, Trump est passé à la télévision et il a dit qu’il voulait que les médecins pratiquent la médecine à travers les frontières de l’État. J’ai immédiatement eu ce moment d’eurêka dans ma tête et j’ai pensé: “Wow, je peux traiter des patients dans les 50 États, alors peut-être que je vais les traiter gratuitement.” Et donc, je l’ai fait. Au moins 866 968 Américains sont morts du Covid selon les États-Unis au 25 janvier 2022, selon les données publiées par le Center for Disease Control. La plupart ne sont pas morts du virus, mais le protocole meurtrier des hôpitaux, affirme Marble : «Il y a 1,1 million de médecins en Amérique et il y en a probablement moins de 1 000 qui sont prêts à traiter les patients Covid tôt. Je les appelle les “médecins Fauci”. Les médecins Fauci à travers l’Amérique ont abandonné leurs patients. Nous avons une épidémie, une pandémie de faute professionnelle, où les gens tombent malades de Covid. Leur médecin les abandonne, commettant une faute professionnelle », a-t-il déclaré. « Ils ne leur donneront aucun traitement et leur diront : ‘Ne venez pas dans mon cabinet parce qu’ils ont peur et ne veulent pas l’attraper. Et si vous êtes mourant, allez à l’hôpital. Même les verrouillages de Covid, les mesures de quarantaine forcée, font partie du plan anti-américain de dépeuplement. “L’obésité est l’un des plus grands facteurs de risque, mais tout ce qu’ils veulent que vous fassiez, ils veulent que vous restiez à la maison, que vous soyez paresseux et que vous grossissiez, ce qui augmente encore plus votre risque de mourir”, a poursuivi Marble. “Donc, littéralement tout ce que le CDC et Fauci – littéralement, tout ce qu’ils font est de maximiser la mort.”

LA POLICE BRITANNIQUE LANCE UNE VASTE ENQUÊTE SUR LES CRIMES D’ENTREPRISE ET LES MENACES POUR LA SANTÉ PUBLIQUE LIÉS AU VACCIN ARNM COVID-19

Numéro de crime de la police métropolitaine : 6029679/21. Numéro d’affaire de la Cour pénale internationale (La Haye) : OTP-CR-473/21

La plus grande enquête criminelle internationale jamais menée dans le monde est en cours, impliquant la police de Hammersmith, la police métropolitaine et la Cour pénale internationale. La police britannique a accepté les informations fournies à l’appui de l’enquête et a convenu qu’il y avait suffisamment de preuves pour poursuivre l’enquête sous le numéro de dossier susmentionné.

https://infovf.com/video/crimes-contre-humanite-enquete-internationale-est-cours–11615.html

PREUVES DE LA TOXICITE DES VACCINS

Les docteurs Arne Burkhardt et Sucharit Bhakdi apportent la preuve que les vaccins COVID-19 ne peuvent pas protéger contre une infection virale et déclenchent l’autodestruction des organes vitaux.

https://odysee.com/@LugNassad:0/Preuve-irr%C3%A9futable—Les-vaccins-Covid-19-tuent-des-gens-!:cc?r=AGv13hPkyGx6ntLubYssVKNCPicDE77x

Les données officielles suggèrent que les triples vaccinés développent le syndrome d’immunodéficience acquise à un rythme alarmant

https://dailyexpose.uk/2022/01/15/triple-vaccinated-developing-ade/Une enquête approfondie de 5 mois de données officielles du gouvernement britannique publiées par la UK Health Security Agency semble confirmer les prédictions précédemment faites par The Expose selon lesquelles la dose de «rappel» de Covid-19 fournirait un coup de pouce temporaire de très courte durée au système immunitaire. Systèmes de la population vaccinée avant de décimer leur système immunitaire beaucoup plus rapidement que ce qui avait déjà été observé chez des personnes ayant reçu deux doses du vaccin Covid-19.

En bref, les données officielles du gouvernement britannique suggèrent fortement que la population vaccinée contre le Covid-19 développe une nouvelle forme de syndrome d’immunodéficience acquise induite par le vaccin Covid-19.

L’Agence britannique de sécurité sanitaire (UKHSA) publie un rapport hebdomadaire de surveillance des vaccins, chaque rapport contenant quatre semaines de données sur les cas de Covid-19, les hospitalisations et les décès par statut vaccinal. Pour notre enquête, nous avons analysé 5 de ces rapports de surveillance des vaccins publiés contenant des données du 16 août 2021 au 2 janvier 2022, afin d’obtenir une image claire de l’effet que les vaccins Covid-19 ont sur le système immunitaire de la population vaccinée, et c’est ce que nous avons trouvé…

Les rapports de surveillance des vaccins de l’UKHSA utilisés pour notre enquête peuvent tous être trouvés ici –

Efficacité du vaccin Covid-19 dans le monde réel

Pfizer affirme que son injection d’ARNm Covid-19 a une efficacité vaccinale de 95 %. Ils ont pu prétendre cela grâce à un simple calcul(donttous les détailspeuventêtreconsultésici)effectué sur le nombre d’infections confirmées parmi le groupe vacciné et le groupe non vacciné au cours des premières étapes des essais cliniques toujours en cours. .

Maintenant, grâce à une multitude de données publiées par la UK Health Security Agency, nous sommes en mesure d’utiliser le même calcul que celui utilisé pour calculer l’efficacité à 95 % du vaccin Pfizer, pour calculer l’efficacité réelle des vaccins Covid-19, et les données brossent malheureusement un tableau extrêmement préoccupant.

Le rapport de surveillance des vaccins de la semaine 37 comprenait le nombre de cas de Covid-19 par statut vaccinal entre la semaine 33 et la semaine 36 de 2021 (du 16 août au 12 septembre). Parce que le rapport nous indique les taux de cas de Covid-19 pour 100 000 personnes parmi la population non vaccinée et vaccinée à deux doses, nous sommes en mesure de calculer l’efficacité du vaccin dans le monde réel au cours de cette période, et il s’est avéré être comme suit :

blog55q

La source

L’efficacité réelle de tous les vaccins Covid-19 disponibles combinés était aussi faible que moins-47 % dans le groupe d’âge 60-69 ans, et aussi élevée que +66 % dans le groupe d’âge des moins de 18 ans entre le 16 août et le 12 septembre 2021. Les seuls autres groupes d’âge pour lesquels le vaccin montrait un effet positif à ce stade étaient les 18-29, 30-39 et 80+. Mais comme vous pouvez clairement le voir, aucun des groupes d’âge ne montrait une efficacité vaccinale proche de 95 %.

Cependant, regardez simplement comment les tables tournent un mois plus tard.

Le rapport de surveillance des vaccins de la semaine 41 comprenait le nombre de cas de Covid-19 par statut vaccinal entre la semaine 37 et la semaine 40 de 2021 (du 13 septembre au 10 octobre), et l’efficacité du vaccin dans le monde réel au cours de cette période s’est avérée être la suivante :

blog55r

La source

L’efficacité réelle de tous les vaccins Covid-19 disponibles combinés était aussi faible que moins -109 % dans le groupe d’âge 40-49 ans, et aussi élevée que +89 % dans le groupe d’âge des moins de 18 ans entre le 13 septembre et le 10 octobre 2021. Le seul autre groupe d’âge pour lequel le vaccin montrait un effet positif à ce stade était celui des 18-29 ans.

Ce qui est préoccupant ici, cependant, c’est dans quelle mesure l’efficacité réelle du vaccin a chuté dans tous les groupes d’âge, mais en particulier le groupe d’âge 40-49 ans qui est passé d’une efficacité réelle de moins-36% à moins-109%.

Le fait que l’efficacité réelle des vaccins ait dépassé la barrière des moins 100 % suggère que non seulement les vaccins échouaient, mais qu’ils décimaient également complètement le système immunitaire des receveurs.

Cela rend la lecture du prochain rapport de surveillance des vaccins effrayante.

Le rapport de surveillance des vaccins de la semaine 45 incluait le nombre de cas de Covid-19 par statut vaccinal entre la semaine 41 et la semaine 44 de 2021 (du 11 octobre au 7 novembre), et l’efficacité du vaccin dans le monde réel au cours de cette période s’est avérée être la suivante :

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La source

L’efficacité réelle de tous les vaccins Covid-19 disponibles combinés était aussi faible que moins-126 % dans le groupe d’âge 40-49 ans et aussi élevée que +78 % dans le groupe d’âge des moins de 18 ans entre le 11 octobre et le 7 novembre 2021. Le seul autre groupe d’âge pour lequel le vaccin montrait un effet positif à ce stade était à nouveau celui des 18-29 ans.

Ce qui est préoccupant ici, c’est que deux autres groupes d’âge ont dépassé la barrière des moins 100 %, le groupe des 50 à 59 ans tombant à moins 116 % et le groupe des 60 à 69 ans tombant à moins 120 %. Mais ce qui est peut-être plus inquiétant, c’est que l’efficacité des injections de Covid-19 a continué de baisser dans la tranche d’âge des 40-49 ans après avoir déjà dépassé la barrière des moins 100 % le mois précédent.

Ce que nous pouvons également voir d’après ce qui précède, c’est que l’efficacité de l’injection de Covid-19 chez les personnes de plus de 80 ans est passée de moins-22 % à moins-9 %. Cela coïncide avec le déploiement du vaccin de rappel dans ce groupe d’âge, ce qui suggère que les vaccins renforcent en fait le système immunitaire. Mais il convient de noter qu’il existe toujours une efficacité négative dans ce groupe d’âge, et qu’elle est toujours inférieure au moins-3. % d’efficacité observé entre la semaine 33 et la semaine 36 de 2021.

Le rapport de surveillance des vaccins de la semaine 49 donne cependant une image beaucoup plus claire de l’effet des rappels sur la population vaccinée à court terme.

Le rapport de surveillance des vaccins de la semaine 49 comprenait le nombre de cas de Covid-19 par statut vaccinal entre la semaine 45 et la semaine 48 de 2021 (du 8 novembre au 5 décembre), et l’efficacité du vaccin dans le monde réel au cours de cette période s’est avérée aussi suit :

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L’efficacité réelle de tous les vaccins Covid-19 disponibles combinés était aussi faible que moins -120 % dans le groupe d’âge 40-49 ans et aussi élevée que +80 % dans le groupe d’âge des moins de 18 ans entre le 8 novembre et le 5 décembre 2021. L’efficacité réelle des injections de Covid-19 n’a en fait diminué que chez les 18-29 ans et les 30-39 ans au cours de ces quatre semaines.

Les personnes de plus de 70 ans ont été récompensées par un renforcement majeur de leur système immunitaire au cours de ces quatre semaines, l’efficacité du vaccin se révélant être de +27% chez les 70-79 ans entre le 8 novembre et le 5 décembre 21, contre moins- 84 % entre le 11 octobre et le 7 novembre 21.

Alors que l’efficacité du vaccin chez les personnes de plus de 80 ans est passée à +47% entre le 8 novembre et le 5 décembre 21, contre moins-9% entre le 11 octobre et le 7 novembre 21.

Toutes les personnes âgées de 40 à 69 ans ont également été récompensées par un renforcement de leur système immunitaire au cours de cette période, mais pas suffisamment pour montrer une efficacité vaccinale positive. Cette augmentation de l’efficacité du vaccin coïncide avec le moment où les injections de rappel ont été administrées à chaque groupe d’âge, comme le montre le graphique ci-dessous tiré du rapport de surveillance des vaccins de l’UKHSA – Semaine 1 – 2022.

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 Source – Page 23

Sur la base de l’efficacité du vaccin devenant positive chez toutes les personnes de plus de 70 ans à la suite du rappel après avoir précédemment montré une efficacité négative, nous devrions nous attendre à voir une efficacité du vaccin bien améliorée chez les 40 à 69 ans dans le prochain rapport de surveillance des vaccins publié.

Mais malheureusement ce n’est pas le cas.

Le rapport de surveillance des vaccins de la semaine 1 – 2022 comprenait le nombre de cas de Covid-19 par statut vaccinal entre la semaine 49 et la semaine 52 de 2021 (du 6 décembre au 2 janvier), et l’efficacité du vaccin dans le monde réel au cours de cette période s’est avérée être comme suit :

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L’efficacité du vaccin dans le monde réel a chuté aux niveaux les plus bas à ce jour dans tous les groupes d’âge, à l’exception des plus de 70 ans entre le 6 décembre et le 2 janvier, mais les plus de 70 ans sont toujours tombés dans une efficacité négative.

La nouvelle augmentation attendue des 40 à 69 ans ne s’est pas concrétisée et une énorme chute de l’efficacité du vaccin a été enregistrée, tombant à -151% chez les 40-49 ans.

L’efficacité du vaccin a également chuté dans le groupe d’âge des 30 à 39 ans à moins 123 %, malgré le rappel administré à des millions de personnes au cours de la semaine 49.

EXPLOSION des cas (ce n’est pas le Covid!)

Revue médecines extraordinaires :site internet de l’A.N.S.M.

Agence Nationale de écurité du Médicament et des Produits de Santé.

Cet organisme est chargé de ce qu’on appelle « la pharmacovigilance ».

Autrement dit, de surveiller et d’évaluer les risques liés aux médicaments qu’on vous prescrit et aux produits qu’on vous injecte.

Et le rapport du mois de janvier qui vient d’être publié fait froid dans le dos,le nombre d’effets indésirables cumulés depuis le début de la vaccination est en train d’EXPLOSER 1.

J’ai failli tomber de ma chaise quand j’ai regardé les chiffres de près :

  • 83 708 cas d’effets indésirables ont été enregistrés en France depuis le début de la vaccination;
  • 26% sont des « cas graves », ce qui représente presque 17 000 personnes !!

Sachant que, toujours selon L’ANSM, un effet indésirable est classé comme « grave s’il » :

•      Entraîne le décès ;

•      Engage le pronostic vital :

•      Nécessite une hospitalisation ou la prolongation d’une hospitalisation ;

•      Entraîne une infirmité/incapacité constante ou importante ;

•      Constitue une anomalie congénitale/malformation à la naissance ou induit d’autres problèmes de santé importants.

Rien que ça !

Et je vous épargne la liste interminable des maladies en entraînées par l’injection…

Ce qui est très préoccupant, c’est que ce sont des maladies qui s’attaquent aux organes vitaux.

Dans plus de 7000 cas, c’est le cerveau qui est touché.

Et on compte plus de 4000 cas de maladies cardiaques en lien direct avec le vaccin…

Même les médias classiques se retrouvent obligés de tirer la sonnette d’alarme.

Même le directeur de recherche de l’INSERM le reconnaît :

« Si les vaccins étaient absolument sûrs, il n’y aurait pas de dispositif de pharmacovigilance ! » 2

C’est absolument ABERRANT quand on sait que :

La 3ème dose ne sera clairement pas la dernière !

Omicron l’a parfaitement démontré : l’efficacité des vaccins diminue au fil du temps et disparaît même face à certains variant3 .

Pourtant, le gouvernement a l’air bien déterminé à imposer des rappels réguliers.

Même si ça n’a pas encore été officiellement annonce, on entend déjà parler de 4ème dose4 

Et tout cela sans AUCUN dispositif de prévention pour protéger la population de ces effets indésirables !

… AUCUN traitement préventif n’a été conseillé ;

… AUCUNE solution pour soutenir ses défenses immunitaires n’a été donnée ;

… PAS UNE SEULE recommandation n’a été faite non plus pour aider votre corps à supporter toutes ces injections ou à éliminer les adjuvants présents dans les vaccins.

POUR UNE FRANCE CITOYENNE ET NOS LIBERTÉS RETROUVÉES

100 000 médecins refusent la vaccination obligatoire.

(Ne rêvez pas, ce n’est pas en France, mais en Allemagne)

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Andreas Gassen

Dirigeant de l’Association des médecins de l’assurance maladie obligatoire en Allemagne

L’édito politique de Libre Consentement Éclairé

Chirurgien spécialisé en traumatologie et rhumatologie, Andreas Gassen représente les 100 000 médecins membres de l’Association des médecins de l’assurance maladie obligatoire en Allemagne.

Impensable dans la France néonazie de 2022.

Les médecins de cette puissante association professionnelle refusent de participer à la vaccination obligatoire, ils le disent et le font savoir, haut et fort !

Andreas Gassen refuse de recommander la « vaccination » aux patients et il affirme, « les cabinets médicaux ne sont pas des lieux pour imposer une action gouvernementale ».

Autre déclaration choc, qui lui vaudrait sans doute la prison, l’hôpital psychiatrique et la radiation de l’Ordre des médecins en France : « Nous n’attendrons pas de nos médecins qu’ils procèdent à une vaccination contre la volonté du patient ».

Stefan Hofmeister, le directeur adjoint de l’association a déclaré quant à lui que la vaccination obligatoire était « une décision politique » (sous-entendu, absolument pas médicale) et « Si le gouvernement fédéral veut adopter cela, il doit aussi s’occuper de la mise en œuvre » (sous-entendu, les médecins ne le feront pas).

Merci à eux, merci à Andreas Gassen et aux 100 000 médecins qu’il représente et pour qui le « libre consentement éclairé » signifie encore quelque chose.

Sur le net :Grand-père, comment viviez-vous avant avec aucune technologie ??

*Pas d’avions

*Pas d’Internet

*Pas d’ordinateurs

*Pas de téléviseurs

*Pas de téléphone portable…?

Grand-père a répondu :

Tout comme votre génération vit aujourd’hui :

*Pas de compassion

*Pas d’honneur

*Pas de respect

*Pas de honte

*Pas de modestie

Nous, les gens nés entre 1935-1960 sommes les bienheureux …  Notre vie en est unepreuve vivante.*

*En jouant et en faisant du vélo, nous n’avons jamais porté de casque.

*Après l’école, nous avons joué jusqu’au crépuscule, nous n’avons jamais regardé la  télé.    (y en avait pas ou peu pardi)

*Nous avons joué avec de vrais amis, pas des amis sur internet ou Facebook

*Nous ne sommes jamais tombés malades en buvant dans le même verre avec nos amis.

*Nous n’avons jamais pris de poids en mangeant des assiettes de pâte tous les jours avec ou sans gluten qu’on savait pas ce que c’était d’abord.

*Rien n’est arrivé à nos pieds malgré l’errance aux pieds nus.

*Nous n’avons jamais utilisé de compléments alimentaires pour rester en bonne santé.*

*Nous avions l’habitude de créer nos propres jouets et de jouer avec ceux-ci.

*Nos parents n’étaient pas riches. Ils nous ont donné l’amour…pas le matériel.

*Nous n’avons jamais eu de téléphone portable, de DVD, de console de jeux, de jeux vidéo, d’ordinateurs personnels, d’Internet,  de tchat, mais nous avions de vrais amis.

*Nous rendions visite à nos amis sans y être invités et avons partagé et apprécié la soupe avec eux.

*Nos parents vivaient à proximité pour profiter du temps passé en famille.

*Nous avons pu avoir des photos en noir et blanc, mais vous pouvez trouver des souvenirs colorés par nous dans ces photos.

*Nous sommes une génération unique et la plus compréhensive, car la dernière génération à écouter ses parents …

Nous sommes une édition limitée !

Profitez vite de nous.

Apprenez de nous, profitez de notre mémoire.

Nous sommes des Trésors de l’humanité appelés à disparaitre.

PCB : Un appel au personnel du Vatican afin qu’il refuse le troisième vaccin

vidéo : https://vkpatriarhat.org/fr/?p=14962  https://pardonnez-moi.wistia.com/medias/2qvhof4ujl  https://bcp-video.org/fr/personnel-du-vatican/  https://ugetube.com/watch/TOivwrJEdMayV1O  https://rumble.com/vsalep-personnel-du-vatican.html  https://cos.tv/videos/play/33366288601486336  https://www.bitchute.com/video/vjIJMFpOjWbx/

extrait :

Cher personnel du Vatican – cardinaux, évêques, prêtres, ou à toute personne que cela puisse concerner,

Vous avez déjà reçu deux vaccins sous la forte pression du Pape illégitime. Ce faisant, vous avez créé un précédent préjudiciable pour la vaccination obligatoire dans le monde entier. Vous avez causé une grande offense car votre geste donne l’impression que le vaccin à ARN messager est inoffensif et bon pour la santé, ce qui est un mensonge colossal ! Même si vous n’avez pris qu’un placebo, votre culpabilité pour cette offense trompeuse et causée à beaucoup de personnes, persiste. Sur l’ensemble du personnel du Vatican, seuls trois gardes suisses ont quitté le Vatican de façon honnête. C’est dommage qu’il n’y ait pas de cardinal, d’évêque ou de prêtre qui préfère également quitter le Vatican, plutôt que de prendre part à ce précédent criminel de la vaccination.

Vous avez déjà reçu un ultimatum exigeant cette troisième vaccination avant le 1er février ; sinon vous risquez d’être expulsés du Vatican. Qu’allez-vous faire ? Y a-t-il au moins trois évêques ou prêtres courageux qui quitteront le Vatican à temps ? Tous les experts honnêtes mettent en garde contre cette vaccination. N’avez-vous pas entendu parler du Sommet des médecins qui s’est tenu à Rome, en septembre ? Ses participants ont mis en garde contre le dangereux vaccin à ARN messager. Ils sont soutenus par plus de 12.700 médecins et spécialistes. Nous fournissons au moins quelques déclarations d’experts incorruptibles afin de vous aider à prendre la bonne décision, sur  base d’informations vraies.

Le Dr. Luc Montagnier: « Ce vaccin constitue le plus grand risque de génocide de toute l’histoire de l’humanité. »

Commentaire : Le professeur Montagnier est lauréat du prix Nobel dans le domaine de la virologie. Aujourd’hui, il met clairement en garde contre le risque de génocide vaccinal. Bergoglio, de son côté, claironne dans le monde entier : « Aujourd’hui, nous devons nous faire vacciner. »

Le Dr. Wolfgang Wodarg : « La personne vaccinée devient un organisme génétiquement modifié. Ce qui se passe maintenant frise le génocide. Nous devons les traduire en justice pour crimes contre l’humanité. »

Commentaire : Le professeur Wodarg a longtemps été président du Comité sanitaire du Conseil de l’Europe. Il vous met en garde contre le fait de devenir un organisme génétiquement modifié par le biais de la vaccination ! Il tire la sonnette d’alarme parce que ce crime contre l’humanité constitue une menace de génocide.

Le professeur Alexander Alexeevich Redko : « La vaccination n’est possible que contre des infections stables telles que la rougeole, la rage… On reçoit le vaccin et, ensuite, on est immunisé pour le reste de sa vie. Si le virus mute, il ne peut y avoir de vaccin non nocif contre celui-ci ! »

Commentaire : Le professeur russe A. Redko souligne le non-sens des vaccins Covid en raison de la mutation rapide du virus.

Le Dr. Vernon Coleman : « Nous avons une horrible avalanche de preuves montrant que ces maudits vaccins tuent et mutilent des gens… C’est un génocide mondial. Combien de temps les gens vont-ils rester silencieux ? Combien de personnes doivent (encore) mourir ? »

Commentaire : Dès le début, le Dr. Coleman a averti que l’affaire du covid, avec son vaccin expérimental à ARN messager, est une fraude organisée.

Le Dr. Lawrence Palevsky : « Il a été démontré que la protéine spike provoque une inflammation du cerveau et des dommages neurologiques, des crises cardiaques, des maladies pulmonaires, des maladies du foie et des reins. L’ARN messager permet au corps de produire des protéines spike de façon continue. »

Commentaire : le Dr Palevsky avertit le public que le vaccin à ARNm incite le corps à produire des protéines de pointe de manière continue. La protéine de pointe provoque une inflammation du cerveau et des dommages neurologiques, des crises cardiaques, des maladies pulmonaires, des maladies du foie, des maladies rénales et d’autres maladies.

Pamela Acker, chercheuse dans le secteur des vaccins : « Lorsque vous recevez ce vaccin, vous injectez dans votre corps des morceaux de cet individu qui a été assassiné. Ainsi, vous finissez par perdre votre ADN réel et par avoir l’ADN de ces cellules fœtales avortées qui s’incorpore à vos propres cellules. Dans de nombreux cas, les bébés … parce que cela est fait exprès et à des fins de recherche, donc ils accoucheront effectivement ces bébés par césarienne. Donc, ils enlèvent ces tissus pendant que le bébé est vivant, et cela implique des quantités extrêmes de douleur, ce qui rend le tout encore plus sadique. Les Aztèques, lorsqu’ils consacraient leurs temples, arrachaient littéralement le cœur battant des victimes qu’ils tuaient au sommet des temples, puis jetaient leurs corps sur le côté. C’est à peu près exactement la même chose que font ces chercheurs. »

Commentaire : Bergoglio, ainsi que la Congrégation pour la doctrine de la foi du Vatican et de nombreuses conférences épiscopales, déclarent que ces vaccins sont éthiques. Ils trouvent des excuses en disant qu’il ne s’agit que de quelques lignées cellulaires remontant à environ un demi-siècle. Cependant, une scientifique américaine prouve, sur base de son expérience de première main sur le terrain, que ces crimes de meurtre sadique d’enfants à naître se produisent aujourd’hui !

Le professeur et Dr. Jean-Bernard Fourtillan : « Ils ont ainsi déclenché une fausse pandémie, pour nous faire accepter et réclamer un vaccin, soi-disant « salvateur », qui est en fait un poison mortel, destiné à nous contrôler, à nous asservir et, finalement, à nous exterminer, en réduisant la population mondiale selon le plan annoncé par Bill Gates. »

Commentaire : En une évaluation complète, cet expert français montre ce que le vaccin est destiné faire, à savoir mutiler, asservir et finalement exterminer l’humanité. Bergoglio, cependant, prétend absurdement qu’il s’agit d’un acte d’amour.

Le professeur et Dr. Sucharit Bhakdi, microbiologiste : « Le grand danger de ce vaccin est que vous injectez le gène du virus dans votre corps. Il va circuler dans le corps et entrer dans des cellules que vous ne connaissez pas. Et je vous préviens, si vous faites cela, vous courez à votre perte. Pour clarifier les choses, je ne me ferai jamais vacciner. »

Commentaire : Ce professeur de microbiologie et chercheur, insiste sur les dangers du vaccin à ARN messager et, par son exemple, incite à ne pas se faire vacciner. Son contraire est le pseudo-pape Bergoglio, qui a soumis tout le Vatican à une vaccination criminelle. Il les terrorise à présent pour qu’ils prennent la troisième dose de vaccin.

Carlo Maria Viganò : « On ne peut en aucun cas accepter l’administration de sérums génétiques expérimentaux, au cours de la fabrication desquels des enfants ont été tués au troisième mois de grossesse : leur sang retomberait sur ceux qui les produisent, comme sur ceux qui les imposent, ainsi que sur ceux qui les reçoivent. »

Vous avez entendu une évaluation effectuée par des spécialistes et, enfin, l’attitude morale envers ce dangereux vaccin, qui est associé au meurtre d’enfants à naître. Un chercheur américain témoigne qu’il ne s’agit pas d’une lignée cellulaire du passé, mais que les crimes associés au vaccin se produisent aujourd’hui dans les laboratoires !

CONTENU DES INJECTIONS / Circuits nanométrique autoconstruits

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Des images absolument bouleversantes !!

UN SITE INTERESSANT SUR LES MASQUES : https://masksaredangerous.com/

L’AFP : la plus grande fabrique française de fausses nouvelles

03/02/2022 (2022-02-03)

Par Gérard Delépine

https://nouveau-monde.ca/lafp-la-plus-grande-fabrique-francaise-de-fausses-nouvelles/

L’AFP, c’est 8 « Fake News » [Fausses nouvelles] en une seule dépêche[1] contre le Pr Perronne

Jadis, les agences de presse rapportaient les faits sans prendre parti, laissant les commentaires aux éditorialistes et autres commentateurs. Mais depuis le Covid-19 la plupart d’entre elles, rémunérées par Bill Gates, sa fondation et ses extensions, se sont transformées en organes de propagande provax et émettent sans arrêt des désinformations qu’elles surnomment pompeusement « checknews » [vérification de nouvelles].

Actuellement l’AFP, financée largement par l’État met à la disposition de tous l’information disponible facilement utilisable et qui devient la référence facile pour tous les petits journaux qui n’ont pas de subsides pour envoyer des journalistes dans le monde. « Fact check » [Vérification des faits] à disposition !

Parmi celles-ci, l’AFP se signale par son agressivité malveillante envers les donneurs d’alerte comme récemment envers le professeur Perronne.

Nous reprendrons quelques-uns des mensonges de l’AFP les plus éhontés utilisés pour discréditer le professeur Perronne qui ne peut pas être qualifié d’antivax : expert vaccins de l’OMS pour l’Europe, il a établi pendant plus de dix ans le calendrier vaccinal français.

1°) Les injections Covid actuelles seraient des vaccins ! L’AFP ment en le prétendant

Pasteur a défini un vaccin comme contenant des antigènes provenant d’un virus tué ou inactivé. Les injections anticovid actuelles ne contiennent aucun antigène, mais ont pour principe actif un ARN messager. Ce sont donc des médicaments génétiques à visée préventive et non pas des vaccins.

Affirmer le contraire comme le fait l’AFP témoigne de l’ignorance de ce qu’est un vaccin ou d’une mauvaise foi marchande. D’ailleurs le Pr Delfraissy lui-même a récemment admis qu’il s’agissait en réalité d’« une forme, un peu, de vaccin médicament… Disons un « vaxicament”. » L’AFP va-t-elle bientôt le traiter lui aussi de complotiste ?

2°) Ces injections sont bien expérimentales. L’AFP ment en prétendant : « les vaccins autorisés en France ne sont plus au stade expérimental »

Pour tenter de démentir ce fait établi et vérifiable, l’AFP utilise des déclarations trompeuses de responsables des vaccinations ou de médecins très liés aux lobbys pharmaceutiques, mais ne montre aucun fait probant.

Il est pourtant très facile de savoir si un médicament est encore en expérimentation : il suffit de consulter le site gouvernemental américain « clinicaltrials.gov » qui recense tous les essais médicamenteux en cours, leur état d’achèvement et éventuellement leurs résultats publiés.

Si l’AFP l’avait fait, elle aurait constaté qu’aucun pseudovaccin actuel n’a terminé ses essais phase 3 dont la fin est espérée pour janvier 2023.

L’essai le plus avancé, celui de Pfizer ne sera terminé que dans un an !

Par définition tant que l’essai phase 3 n’est pas terminé, le médicament est expérimental. D’ailleurs l’autorisation de mise sur le marché qui lui a été accordée est conditionnelle rappelant qu’elle n’est que provisoire en attendant la fin des essais.

Mais peut-être que les « fact checkers » de l’AFP ne savent pas consulter le site « clinicaltrials.gov » ou ont du mal à lire l’anglais.

3°) Les vrais vaccins sont destinés à empêcher les contaminations. L’AFP ment en prétendant le contraire

Le succès des vaccinations contre les viroses telles que la variole, la fièvre jaune, l’hépatite B, les oreillons, la rubéole, la poliomyélite repose sur cette capacité à empêcher d’attraper et de transmettre la maladie. Cette propriété première des vaccins à prévenir toute transmission virale constitue même l’argument fétiche pour imposer les obligations vaccinales :

« il faut vacciner tout le monde pour protéger les plus faibles ».

Certes, certains vaccins n’y parviennent qu’à 90-95 % (vaccin contre la rougeole) et les vaccins antigrippaux sont les moins efficaces (10 à 50 %), car le virus mute chaque année et la formule vaccinale retenue ne constitue qu’un pari sur le mutant le plus probable et c’est pour cette raison qu’ils ne sont obligatoires dans aucun pays.

Un vaccin incapable d’empêcher les transmissions risque, d’un point de vue sociétal, de se révéler plus dangereux qu’utile, car il risque d’inciter les injectés qui se croient protégés à adopter des comportements à risques. Cela a été constaté lors des essais de vaccins antisida et aussi lors de la mise en œuvre du passe sanitaire en Autriche.

4°) Il faut au moins dix ans pour qu’un vaccin normal soit autorisé. L’AFP ment en prétendant le contraire

Vaccination info service, organe de promotion des vaccins, précise sur son site[2]:

« Compte tenu des études et des tests exigés par les autorités, le développement d’un vaccin est très long, d’une durée pouvant aller de neuf à quatorze ans, voire plus (exemple du VIH/SIDA)»

Le dernier vaccin de Sanofi, le vaccin Dengvaxia a nécessité 20 ans de recherche d’après Dr Olivier Brandicourt, Directeur Général de Sanofi.[3]

Le dernier vaccin contre l’hépatite a de même nécessité plus de dix ans de recherche.

Le vaccin Mosquirix développé pour lutter contre le paludisme à partir de 1996 n’a été accepté en Europe qu’en 2015 (19 ans après le début des recherches).

Mais l’AFP fait semblant d’ignorer ces informations indiscutables.

5°) L’AFP prétend imprudemment : « la technologie de l’ARN messager, élaborée depuis près de 30 ans et qui s’est révélée très efficace contre le Covid ». C’est trompeur et mensonger

Certes cette technologie d’injection génique a été développée depuis longtemps, mais avec des échecs graves (leucémies après traitement des enfants bulles), mais elle n’avait jamais été utilisée en pathologie infectieuse. Pour un « vaccin », il s’agit donc d’une technologie expérimentale qui justifie les plus grandes précautions.

Surtout, les résultats avérés de ces pseudo vaccins en population réelle sont franchement mauvais : incapables d’éviter la maladie et les contaminations.

L’évolution sanitaire des pays les plus vaccinés le démontre, comme celle d’Israël désormais dans le peloton de tête mondial du nombre de personnes contaminées par nombre d’habitants.

D’après les chiffres du ministère israélien de la Santé publiés le 30 janvier 2022, beaucoup de personnes testées positives avaient déjà contracté le Covid-19 ou bien avaient été vaccinées, et parfois même avaient reçu une quatrième dose.

De quelle efficacité l’AFP glorifie-t-elle les pseudo vaccins ? De faciliter l’infection ?

6° Les vaccins n’empêchent pas de faire des formes graves ni de mourir du covid. L’AFP ment en le niant

Toutes les agences gouvernementales françaises sont mobilisées pour faire croire cette fable comme à l’époque de Tchernobyl pour prétendre que le nuage s’était arrêté à la frontière. Mais dans les autres pays, les agences sanitaires sont moins dépendantes de l’état et permettent une appréciation plus objective.

Ainsi en Israël, en janvier 2022 le nombre de patients développant des symptômes sévères n’a pas cessé d’augmenter. Ce chiffre devrait dépasser le record de 1 200 cas graves atteint il y a un an, alors que la première campagne de vaccination n’avait pas encore produit ses effets. D’après le ministère de la Santé, au 30 janvier 2022, sur les 1 099 cas graves recensés dans le pays, 47 % sont à jour de leur vaccination anti-Covid.

La mortalité quotidienne actuelle dépasse déjà les records de la vague précédente.

Grande-Bretagne

Le 29/12/2021 UK Health Security Agency (UKHSA) a recensé 815 malades hospitalisés en soins intensifs pour Omicron.

25 % (206) d’entre eux n’avaient reçu aucune injection, 6 % (49) une dose, 43 % (352) deux doses et 23 % (189) 3 doses, ce qui reproduit à peu près le statut vaccinal de la population générale et montre l’absence de protection des formes graves par les injections.

7°) Oui, il existait des traitements efficaces au moment de l’homologation des vaccins. L’AFP ment en prétendant le contraire

Pour s’en convaincre, il suffit de comparer l’évolution de l’épidémie en Algérie (qui a utilisé le protocole Raoult) à celle des pays voisins, Tunisie, Italie, France dont les populations sont proches par le pourcentage de plus de 60 ans et leurs comorbidités, mais qui ont interdit l’utilisation de l’hydroxychloroquine.

Fin janvier 2022 l’Algérie compte 13 à 15 fois moins de morts de Covid par millions de personnes que les pays qui ont interdit les traitements précoces.

Mais l’AFP croit peut-être qu’il y a eu un miracle en Algérie.

8°) L’AFP se comporte en révisionniste des procès de Nuremberg et défend ainsi la position nazie de la primauté de la société sur l’individu, pourtant clairement condamnée lors de ces procès.

Rappelons les faits historiques.

Après la 2e Guerre mondiale, les alliés voulant punir les responsables des crimes contre l’humanité ont organisé deux procès, l’un contre les responsables politiques, l’autre contre les médecins responsables des expériences médicales faites dans les camps de concentration.[4][5] La moitié de ces essais thérapeutiques concernait des vaccins et en particulier contre le typhus, l’hépatite virale, le typhus, la typhoïde, la fièvre jaune, la dysenterie, la tuberculose, la gangrène gazeuse.

Pour réfuter l’argumentation de défense des accusés, les experts du tribunal ont approfondi les questions éthiques et juridiques, jusque-là peu explorées qu’ils ont résumées en Code de Nuremberg.[6][7]

Ce code que les entreprises pharmaceutiques et leurs mercenaires voudraient abolir constitue le fondement des règles éthiques de la recherche médicale rappelées dans la déclaration d’Helsinki[8] de l’Association Médicale Mondiale[9] et de la convention d’Oviedo.[10][11] Les accords signés par la France à Oviedo en 1997 proclament entre autres :

Article 1 : « Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Cela veut dire que la personne concernée doit avoir la capacité légale de consentir ; qu’elle doit être placée en situation d’exercer un libre pouvoir de choix, sans intervention de quelque élément de force, de fraude, de contrainte, de supercherie, de duperie ou d’autres formes sournoises de contrainte ou de coercition ; et qu’elle doit avoir une connaissance et une compréhension suffisantes de ce que cela implique, de façon à lui permettre de prendre une décision éclairée.

Article 2 : Primauté de l’être humain L’intérêt et le bien de l’être humain doivent prévaloir sur le seul intérêt de la société ou de la science.

Article 5 : Une intervention dans le domaine de la santé ne peut être effectuée qu’après que la personne concernée y a donné son consentement libre et éclairé. Cette personne reçoit préalablement une information adéquate quant au but et à la nature de l’intervention ainsi que quant à ses conséquences et ses risques. La personne concernée peut, à tout moment, librement retirer son consentement. »

Le jugement rendu les 20 et 21 août 1947 a acquitté 7 des 23 accusés. 9 ont été condamnés à de longues peines de prison, et 7 condamnés à mort ont été exécutés par pendaison le 2 juin 1948 pour n’avoir pas respecté le consentement volontaire du sujet humain.

La convention d’Oviedo, signée par la France en 1997 a été transposée dans le droit national par le Décret no 2012-855 du 5 juillet 2012.[12]

D’un point de vue légal, ce n’est pas le code de Nuremberg, mais la convention d’Oviedo qui interdit donc d’imposer une obligation d’injecter des substances expérimentales comme le sont actuellement les pseudo vaccins Covid.

En affirmant le contraire, l’AFP reprend l’argumentaire de défense des médecins nazis.

Globalement dans ce réquisitoire mensonger contre le Professeur Perronne, l’AFP ne s’est pas comportée en journaliste, mais plutôt comme un tribunal de l’Inquisition n’interrogeant même pas l’accusé, ne citant aucun fait avéré, diffusant sans précaution des mensonges d’État et n’hésitant pas à faire du révisionnisme historique.

Y a-t-il encore des journalistes respectueux de l’éthique à l’AFP ?

Mais il est vrai qu’un chien ne mord pas la main qui le nourrit et l’État nourrit généreusement l’AFP à qui elle fournit environ la moitié de son budget.

Note de TAL :graphiques à voir sur le site ! Cet article est excellent pour montrer à  quel point les medias officiels sont DEVENUS DES MENTEURS A TEMPS PLEIN … à faire circuler pour informer le plus de gens possible !

LA MORT EST ICI: Les paiements d’assurance-vie montent en flèche  de 258% alors que les décès post-vaccinaux s’accélèrent rapidement 

Par Mike Adams,

De prepare for change

Dans un article peu connu de Reuters qui n’a presque pas retenu l’attention des médias d’entreprise, l’assureur néerlandais Aegon a révélé que les versements d’assurance-vie du troisième trimestre 2021 avaient grimpé en flèche de 258 % par rapport aux versements du troisième trimestre 2020. La différence, bien sûr, se trouve dans les vaccins covid. En 2020, les vaccins n’étaient pas encore disponibles, donc les paiements pour Aegon n’ont atteint que 31 millions de dollars. Mais après les trois quarts de vaccinations agressives tout au long de 2021, les prestations de décès ont atteint 111 millions de dollars, soit une augmentation de 258 %.

De  Reuters via Yahoo Finance :

L’assureur néerlandais Aegon, qui réalise les deux tiers de son activité aux États-Unis, a déclaré que ses réclamations dans les Amériques au troisième trimestre s’élevaient à 111 millions de dollars, contre 31 millions de dollars un an plus tôt. Les assureurs américains MetLife et Prudential Financial ont également déclaré que les réclamations d’assurance-vie avaient augmenté. L’Old Mutual d’Afrique du Sud a utilisé une plus grande partie de ses provisions pandémiques pour payer les sinistres et le réassureur Munich Re a relevé son estimation 2021 des sinistres vie et santé liés au COVID-19 à 600 millions d’euros contre 400 millions.

Les compagnies d’assurance commencent lentement à réaliser la vérité sur les vaccins covid, alors même que le grand public complice et meurtrier tente de dissimuler l’accélération des décès. Les signaux de mort qui émergent actuellement dans les finances des compagnies d’assurance ne peuvent pas simplement être balayés sous le tapis, et étant donné qu’une augmentation de 258 % a été enregistrée pour le troisième trimestre 2021, cela soulève la question évidente : dans quelle mesure cela sera-t-il pire pour le quatrième trimestre, 2021 ? Ou Q1, 2022 ?

Chaque jour «normal» (pré-covid) en Amérique, environ 7 700 personnes meurent. Si ces décès augmentent de 100 %, cela signifie que  7 700 personnes supplémentaires  meurent chaque jour. Multipliez cela sur un an, et cela représente  2,8 millions de décès supplémentaires. Notez qu’il ne s’agit que d’une augmentation de 100% des décès.

Aegon signale une augmentation de 258% des paiements sur les polices d’assurance-vie. Bien qu’Aegon n’assure pas l’ensemble du pays, évidemment, ce point de données devrait sonner l’alarme parmi les personnes qui y prêtent attention. Si nous commençons à voir constamment quelque chose comme une augmentation de 200% de la mortalité toutes causes confondues, cela signifierait que plus de 15 000 personnes supplémentaires meurent chaque jour en Amérique. C’est un  holocauste vaccinal  qui se déroule en temps réel.

À vrai dire, nous sommes probablement à ce stade en ce moment. Les ensembles de données n’ont tout simplement pas encore rattrapé la réalité de ce qui se passe en février 2022. Les taux de mortalité par cancer ont presque certainement doublé en 2021 et se dirigent vers des chiffres encore plus élevés en 2022, mais l’industrie du cancer – dominée par les intérêts pharmaceutiques – va bien sûr enterrer les chiffres aussi longtemps que possible pour éviter que quiconque ne se pose des questions sur les raisons pour lesquelles tant de personnes meurent du cancer tout d’un coup.

(La réponse est évidente : ce sont les vaccins à ARNm.)

L’holocauste du vaccin est réel et s’accélère… Des MILLIONS mourront en Amérique

Ainsi, non seulement nous avons un véritable  holocauste vaccinal  en Amérique en ce moment, mais nous avons  une dissimulation de l’holocauste  dirigée par toutes les parties complices et meurtrières, y compris Big Pharma, Big Tech, Big Media et Big Government. Ils sont tous dans le coup. Ce sont tous des meurtriers de masse, et ils travaillent tous pour dissimuler cela aussi longtemps que possible afin de pouvoir contraindre encore plus de personnes à se suicider par vaccin avant que le nombre de morts ne devienne indéniable.

C’est le niveau de mal auquel nous sommes confrontés dans la société en ce moment, et tout est dirigé sous la bannière de la « science ».

Sous ce dangereux culte de la mort de la «science», le monde entier est censé prétendre que les vaccins covid arrêtent les maladies infectieuses, la transmission et les hospitalisations, tout en fermant les yeux lorsque tant de personnes vaccinées meurent prématurément. Israël, avec un taux de vaccination de 96,2 % sur l’ensemble de la population, est désormais en tête du monde en nombre de cas de covid par habitant. Cela prouve que le vaccin a l’  effet inverse de  ce qu’on nous avait promis au nom de la “science”. En fait, plus un pays vaccine sa population, plus les cas de covid augmentent.

C’est parce que, bien sûr,  le vaccin, c’est la pandémie . Covid serait maintenant terminé si les vaccins ne continuaient pas à injecter aux gens des armes biologiques à protéines de pointe qui provoquent une défaillance des organes et la mort. Ce n’est pas un hasard si les symptômes des blessures causées par les vaccins sont ensuite classés comme “covid” par l’establishment médical corrompu et meurtrier qui reçoit des pots-de-vin du gouvernement pour avoir tué des personnes avec des ventilateurs et du remdesivir.

Le virus inexistant ; une interview xplosive de Christine Massey

Par Christine Massey et Jon Rappoport

https://www.mondialisation.ca/le-virus-inexistant-une-interview-explosive-de-christine-massey/5661427

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Avec une formation en biostatistique, Christine Massey a utilisé les demandes de liberté d’information (FOIA) comme un outil de recherche, comme une fraise à diamant, pour découvrir la vérité sur le SARS-CoV-2. C’est-à-dire : Le virus existe-t-il ?

Son approche a donné des résultats choquants.

Dans un monde à moitié sain d’esprit, le travail de Christine remporterait de nombreux prix et bénéficierait d’une large couverture médiatique. Dans le monde actuel, de plus en plus de personnes, de leur propre chef, s’éveillent à ses découvertes et révisent complètement leur perception de la “pandémie”.

Voici mon récent entretien avec la brillante et implacable Christine Massey :

Q : Vous et vos collègues avez adressé de nombreuses demandes de communication d’informations aux agences de santé publique du monde entier. Vous avez demandé des documents qui montrent que le virus SARS-CoV-2 existe. Comment avez-vous développé cette approche ?

R : En 2014, une dame d’Edmonton a soumis une demande de liberté d’information à Santé Canada, demandant des études relatives à l’ajout d’acide hydrofluorosilisique (acide fluorure résiduel industriel) à l’eau potable publique (fluoration de l’eau). La réponse de Santé Canada indiquait qu’elle ne disposait d’aucune étude pour étayer ses affirmations selon lesquelles cette pratique est sûre ou efficace.

Quelques années plus tard, des études de grande qualité financées par le gouvernement ont montré que les niveaux courants d’exposition au fluorure pendant la grossesse sont associés à un QI inférieur et à des symptômes accrus de trouble du déficit de l’attention chez les enfants. Néanmoins, les dentistes et la communauté de la santé publique ont continué à promouvoir et à défendre la soi-disant “grande réussite de santé publique” consistant à imposer ce traitement dentaire préventif controversé à des communautés entières, et ont fait fi de ces études. J’ai donc eu recours à des demandes de liberté d’information pour montrer que diverses institutions promouvant et défendant la fluoration de l’eau en Ontario, en Alberta et dans l’État de Washington n’ont pas pu fournir ou citer ne serait-ce qu’une seule étude primaire indiquant l’innocuité de ces résultats.

Ainsi, lorsque j’ai appris de la part de personnes comme David Crowe, le Dr Andrew Kaufman, le Dr Stefan Lanka et le Dr Thomas Cowan que le prétendu virus [Coronavirus] n’avait jamais été isolé (purifié) à partir d’un échantillon de patient, puis caractérisé, séquencé et étudié au moyen d’expériences comparatives, et que son existence n’avait donc jamais été démontrée, j’ai réalisé que les demandes de liberté d’information pouvaient être utilisées pour vérifier leurs affirmations.

La plupart des gens ne vont pas prendre le temps de vérifier toutes les études sur la soi-disant “isolation du virus” par eux-mêmes, donc les demandes de liberté d’information étaient un moyen de 1) s’assurer que rien n’avait été oublié, et 2) d’aller droit au but et de confirmer ce que ces messieurs [Kaufman, Cowan, Crowe, Lanka] disaient, s’ils étaient effectivement corrects.

Ainsi, en mai 2020, j’ai commencé à soumettre des demandes d’accès à l’information pour tout document détenu par l’institution concernée décrivant l’isolement/la purification du prétendu “virus du COVID-19” à partir d’un échantillon non altéré prélevé sur un patient malade, par quiconque, n’importe où sur la planète.

Q : Combien d’agences de santé publique et d’agences gouvernementales avez-vous interrogées dans le cadre de demandes FOIA ?

R : J’ai personnellement posé des questions et reçu des réponses de 22 institutions canadiennes. Il s’agit d’institutions de santé publique, d’universités qui prétendent avoir “isolé le virus”, et de 3 services de police – en raison de leur application des restrictions liées au “COVID-19”. J’ai également reçu personnellement des réponses de plusieurs institutions à l’extérieur du Canada, y compris les Centres américains de contrôle et de prévention des maladies et le National Institute of Allergy and Infectious Diseases (NIAID) d’Anthony Fauci. J’attends les réponses d’un certain nombre d’autres institutions.

De nombreuses personnes à travers le monde ont obtenu des réponses à des demandes identiques, similaires ou connexes de la part d’institutions de leur propre pays. Une personne qui a beaucoup travaillé sur ce sujet en Nouvelle-Zélande et dans d’autres pays est mon collègue Michael S. Un collègue nommé Marc Horn a également obtenu de nombreuses réponses au Royaume-Uni. Une poignée d’autres personnes ont obtenu plusieurs réponses, et beaucoup de gens en ont obtenu une ou deux.

J’ai compilé toutes les réponses qui m’ont été envoyées sur ma page FOI[archive cv19], et au moment où je tape ces lignes (4 octobre 2021), nous avons des réponses FOI de 104 institutions dans plus de 20 pays, toutes relatives à la purification/existence du prétendu virus. En outre, il y a des documents judiciaires d’Afrique du Sud et du Portugal. Au total, 110 instructions sont représentées en ce moment sur mon site web. Il y a des réponses FOI d’autres institutions que je n’ai pas encore eu l’occasion de mettre en ligne.

Q : Comment qualifieriez-vous les réponses que vous avez reçues de ces agences ?

R : Toutes les institutions sans exception ont omis de fournir ou de citer ne serait-ce qu’un seul document décrivant la purification du prétendu virus à partir d’un seul échantillon de patient.

Vingt et un des 22 établissements canadiens ont admis sans détour qu’ils ne possédaient pas de tels documents (comme l’exige la législation canadienne). De nombreuses institutions à l’extérieur du Canada ont admis la même chose, y compris le CDC (2 novembre 2020), le ministère de la Santé de l’Australie, le ministère de la Santé de la Nouvelle-Zélande, le ministère de la Santé et des Soins sociaux du Royaume-Uni…

Et dans certains cas, des excuses stupides ont été fournies. Par exemple, la réponse de la Direction norvégienne de la santé a été qu’elle ne possède pas, ne stocke pas et ne contrôle pas les documents contenant des informations sur les patients. La Direction de la santé publique du Pays de Galles a répondu au Dr Janet Menage qu’elle n’avait pas produit de tels documents et que, même si elle était normalement disposée à l’orienter vers des documents relevant du domaine public, ce serait trop difficile dans ce cas.

L’agence brésilienne de réglementation de la santé (Anvisa), qui approuve les injections à la manière de la FDA, a déclaré à Marcella Picone qu’elle ne disposait d’aucun dossier sur la purification du virus et qu’elle n’y était pas tenue par la loi, de sorte qu’il n’est pas de son ressort de s’assurer que le virus existe réellement.

Q : Quel est le texte exact de vos demandes FOIA ?

Le texte a quelque peu varié au fil du temps. Par exemple, au début, j’utilisais le mot “isolation”. Mais comme ce terme est tellement galvaudé par les virologues, je m’en tiens maintenant à “purification”.

Dans toutes mes demandes, j’ai spécifié exactement ce que j’entendais par “isolement/purification” (séparation du prétendu virus de tout le reste), et que les particules purifiées devaient provenir directement d’un échantillon prélevé sur un être humain malade, l’échantillon du patient n’ayant pas été préalablement altéré par une autre source de matériel génétique (c’est-à-dire les cellules rénales de singe, alias cellules Vero, et le sérum bovin fœtal qui sont généralement utilisés dans les études bidon d’”isolement de virus”).

J’ai toujours précisé que je ne demandais pas de dossiers où les chercheurs n’ont pas purifié le prétendu virus et ont plutôt cultivé quelque chose et/ou effectué un test PCR et/ou séquencé quelque chose. J’ai également précisé que je demandais des documents rédigés par n’importe qui, n’importe où – et pas seulement des documents créés par l’institution en question. Et j’ai demandé des citations pour tout document de purification détenu par l’institution mais déjà disponible au public ailleurs.

La dernière itération [de la demande FOIA] est publiée sur une page de mon site Web où j’encourage les autres à soumettre des demandes aux institutions de leur propre pays : Template for “SARS-COV-2 isolation” FOI requests.

Q : Ces agences disent toutes qu’elles n’ont pas de dossiers prouvant l’existence du SARS-CoV-2, mais en même temps, certaines de ces agences parrainent et financent des études qui affirment que le virus existe. Comment expliquez-vous cette contradiction ?

Je vais aborder cette question à l’aide d’un exemple.

L’Agence de la santé publique du Canada (ASPC) est la seule institution canadienne qui n’a pas fourni de réponse directe ” aucun dossier ” jusqu’à présent. Au lieu de cela, elle m’a fourni ce qu’elle prétendait être des documents recevables.

Il s’agit de quelques courriels et d’une étude de Bullard et al. qui a été soutenue par l’ASPC et son Laboratoire national de microbiologie, ainsi que par Santé Manitoba et le Laboratoire provincial Cadham du Manitoba.

Ni l’étude ni les courriels ne décrivent la purification du prétendu virus à partir d’un échantillon de patient ou de quoi que ce soit d’autre. Le mot “isoler” (ou “isolation” / “purifier” / “purification”) n’apparaît même pas, sauf dans le manuscrit de l’étude dans le contexte de l’isolement de personnes, pas d’un virus.

…dans la section Matériaux et méthodes, nous constatons que ces chercheurs ont effectué des “tests” PCR pour une partie de la séquence du gène E (pas un virus), et qu’ils ont incubé des échantillons de patients (pas un virus) sur des cellules Vero (cellules rénales de singe) supplémentées avec du sérum bovin fœtal, de la pénicilline/streptomycine et de l’amphotéricine B, et qu’ils ont surveillé les dommages causés aux cellules de singe.

Aucun virus n’a été recherché ou purifié dans les échantillons des patients. Aucun groupe de comparaison, de quelque nature que ce soit, n’a été mis en place dans les procédures relatives aux cellules de singe. Aucun virus n’a été requis ou démontré comme étant impliqué dans l’étude, mais “il” a été accusé de tout dommage aux cellules de singe et “il” a été mentionné à plusieurs reprises tout au long de l’étude (j’ai compté 26 occurrences).

Néanmoins, il s’agissait du seul document fourni par l’Agence de santé publique du Canada.

Et bien que les chercheurs n’aient pas prétendu avoir “isolé” le prétendu virus dans cet article, ils ont effectué le même genre de procédure de culture cellulaire et de travaux sur les singes que les virologues de tous les pays font passer pour un “isolement du virus”. (Parce que la virologie n’est pas une science).

…Notez l’admission dans le résumé [de l’étude] : “La RT-PCR détecte l’ARN, pas le virus infectieux”.

…J’ai donc écrit à l’Agence de la santé publique du Canada pour l’informer qu’aucun des documents qu’elle m’a fournis ne décrit réellement la séparation du prétendu virus de tout le reste dans un échantillon de patient, et que j’exige une réponse précise indiquant qu’elle n’a aucun document à ce sujet.

Dans sa réponse révisée, l’Agence a insisté sur le fait que l’essai de référence utilisé pour déterminer la présence d’un virus intact dans les échantillons de patients est l’effet cytopathique visible [destruction des cellules] sur les cellules dans une culture cellulaire, et que “la PCR confirme en outre la présence d’un virus intact”.

…Comme vous l’avez souligné à vos lecteurs à maintes reprises : Personne n’a isolé/purifié “le virus”. Ils supposent simplement que les échantillons de patients le contiennent (sur la base de tests PCR sans signification). Ils falsifient les échantillons de patients avec du matériel génétique et des médicaments toxiques, affament les cellules, puis accusent de manière irrationnelle le “virus” de nuire aux cellules. Ils montrent du doigt quelque chose qui n’a jamais été purifié, caractérisé, séquencé ou étudié scientifiquement, dans une culture cellulaire et insistent sur le fait que “c’est le virus”. Ils fabriquent les “génomes” à partir de zillions de séquences détectées dans une soupe. Ce ne sont que des spéculations et des hypothèses sauvages, aucune science.

Les personnes responsables des affirmations manifestement frauduleuses faites par ces institutions sont donc soit extrêmement incompétentes, soit intentionnellement menteuses.

-fin de l’interview-

***

Pour soutenir les derniers commentaires de Christine, ces agences répondront aux demandes de FOIA par : “nous n’avons pas de dossiers sur la purification du virus” – et parraineront ensuite des études qui prétendent que le virus A ÉTÉ purifié et découvert, parce que…

Les normes de purification du virus dans les études ne sont pas des normes du tout. Elles sont totalement irrationnelles.

Cependant, parce que Christine est très précise et exacte dans ses demandes FOIA, quand il s’agit de ce que signifie la purification, les agences sont obligées de répondre …

“Eh bien, dans ce cas, nous n’avons aucune trace de purification du virus…”

Ce qui veut dire : Il n’y a pas de documents montrant que le virus a été isolé

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Forwarded from ROGER MORELLE

Information et rappel à mes confrères

Si la médecine a encore un rôle à jouer dans les soins des personnes malades et la prévention des maladies dans une situation où la déontologie médicale est piétinée par la majorité des pouvoirs exécutifs de nos pays occidentaux, je me permettrai de rappeler que :
1) La vaccination est un acte médical.
2) Tout acte médical ne peut être proposé au patient que par un médecin diplômé et compétent.
3) Quel que soit l’acte médical, il requiert pour sa réalisation le consentement du patient.
4) Ce consentement nécessite que le médecin informe valablement son patient sur les effets secondaires possibles du traitement proposé, d’où la notion de consentement éclairé du patient qui est libre de le refuser.
5) Ces exigences déontologiques sont incontournables.
6) Pour informer, le médecin doit avoir les preuves de l’efficacité du traitement et en connaître le rapport entre son efficacité et les risques encourus.
7) Les clauses des contrats signés entre l’UE et les producteurs des thérapies géniques à ARNm et ADNo excluent toute responsabilité des firmes en cas de dommages causés par leur produit dont elles ne garantissent pas l’efficacité (consulter Véronique Jonron et Francesca Donato, députées européennes à la Commission qui ont lu les contrats).
8) Le médecin ne connaissant pas la composition réelle de ces produits en raison du secret commercial, différent du secret de fabrication, n’est pas valablement informé.
9) Tenu par le principe sacré « Primum non nocere », d’abord ne pas nuire, le médecin vaccinateur se met en porte-à-faux avec sa déontologie et son serment d’Hippocrate
10) Au nom du principe de précaution et dans l’incapacité d’informer valablement son patient sur les effets à moyen et long terme de ces injections, le médecin doit s’abstenir d’obéir aux ordres de l’Etat qui s’est arrogé une fonction qui n’est pas la sienne.

J’espère que vous jugerez en conscience

t.me/infolibre_fil_d_actus/8845

Des vaccins dans les biberons, annonce Pfizer

Les complotistes avaient raison

Dans le monde de l’industrie pharmaceutique il n’y a pas de petits profits et comme Omicron casse les bénéfices de Pfizer, ce dernier avance ses pions en déposant auprès de la Food and Drug Administration une demande d’autorisation d’utilisation d’urgence du vaccin pour les 6 mois à 4 ans aux Etats-Unis.


Pfizer et son partenaire BioNTech, les fabricants du vaccin, comptent bien rafler ce segment de marché qui pèse des milliards d’euros. Les bambins se verront injecter trois doses afin de participer à l’effort mondial pour lutter contre le covid, bien qu’ils n’en souffrent pas. Albert Bourla ne perd pas le nord : « Nous pensons que trois doses de vaccin seront nécessaires pour les enfants de 6 mois à 4 ans afin d’atteindre un haut niveau de protection contre les variants actuels et futurs. »

 

Évidemment, dans un premier temps, la vaccination se fera sur la base du volontariat des parents jusqu’au moment où l’obligation pointera son nez sous condition de ne pas accepter les enfants dans les crèches… La boucle sera bouclée. Quand vous verrez Le MondeLibération20 Minutes… titrer « Faut-il vacciner les enfants de moins de 5 ans ? » comptez un mois pour une autorisation du gouvernement français… à moins que les Français se réveillent de cette longue léthargie !

Le Média en 4-4-2

Mise à jour en Israël : flambée de cas « vaccinaux »

https://reseauinternational.net/mise-a-jour-en-israel-flambee-de-cas-vaccinaux/

par Sébastien Renault.

La situation est pire que jamais en Israël (en date du 2 février 2022), le pays laboratoire par excellence pour le reste du monde : « 80% des cas graves sont entièrement [doublement ou triplement] vaccinés », déclare le directeur de l’hôpital d’Ichilov :

• « “80% of serious COVID cases are fully vaccinated” says Ichilov hospital director », Israel National News – Arutz Sheva

Mais dans quelle mesure la situation catastrophique décrite par le directeur de l’hôpital d’Ichilov se reflète-t-elle dans les chiffres officiels de référence à l’échelle nationale ? Impossible ici de cacher que le nombre de nouveaux cas déclarés d’infections et de décès confirmés sont nettement plus élevés chez les « vaccinés » que chez les « non-vaccinés » :

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Nombre total de personnes ayant reçu une double dose d’injections à ARN messager en Israël :

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Nombre total d’injections de rappel (troisième dose) administrées en Israël :

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Pareilles données sont clairement incompatibles avec un vaccin qui serait, non seulement digne du nom, mais encore efficace… En plus d’induire une carence d’anticorps neutralisants (problème dont nous avons récemment traité dans « Covidisme : la religion de l’illusion scientifique et le nouvel attentat contre les peuples », cette biotechnologie expérimentale est désormais en train d’endommager l’immunité tant adaptative qu’innée des populations plusieurs fois injectées à travers le monde.

Celles-ci sont engrenées dans un cercle vicieux de réinfections continuelles…

Ce à quoi nous sommes en train d’assister, comme en attestent les chiffres les plus officiels, n’est en rien naturel.

La mystification « vaccinale » est évidente aujourd’hui. Pas de place pour une échappatoire relativiste prétextant des « interprétations » différentes des données chiffrées. Il y a unanimité des chiffres officiels, pourtant répercutés par des agences d’information qui cherchent à en camoufler, autant que possible, la signification manifeste.

Il est urgent de se réveiller !

HIPPOCRATE GENIE DE LA VRAIE MEDECINE

Jean-Marc Dupuis

SANTENATURE INNOVATION

Chère lectrice, cher lecteur,

Ce matin, je souhaitais vous présenter un vieil ami, le Dr Hippocrate.

Le Dr Hippocrate est grec. Nous fêtons cette année l’anniversaire des 2476 ans de sa naissance !!

Certes, le Dr Hippocrate est mort il y a bien longtemps, en 379 avant J.-C.

Mais son esprit est toujours bien présent parmi nous.

De là où il se trouve, le Dr Hippocrate continue à nous accompagner quotidiennement, nous tous qui nous intéressons à la santé et à la médecine naturelle.

J’écris bien « médecine naturelle » car la médecine conventionnelle moderne, elle, a largement rompu avec les enseignements d’Hippocrate. Ce rejet a commencé à la Renaissance, avec le médecin-alchimiste Paracelse, dont nous avons déjà parlé, qui brûla en place publique les ouvrages d’Hippocrate et des médecins arabes qui s’étaient inspirés de lui.

Ce pathétique événement eut lieu à Bâle (Suisse), la nuit de la Saint-Jean, le 23 juin 1527.

À partir de là, le rejet d’Hippocrate et de sa conception du corps humain se généralisa progressivement. L’enseignement de ses idées fut définitivement abandonné dans les universités de médecine à la fin du XIXe siècle.

Hippocrate, un artisan du corps humain

En revanche, on peut dire que les médecines naturelles restent complètement imprégnées de la tradition hippocratique.

C’est une richesse inouïe. Lisez la suite et vous allez pouvoir mesurer la dette que nous avons à son égard :

Hippocrate expliquait qu’il fallait traiter un individu, pas une maladie [1].

Il s’efforçait de traiter le corps dans son ensemble, pas uniquement une partie du corps.

C’est ce que nous appelons aujourd’hui la médecine« holistique ».C’est celle qui prend en compte toutes les dimensions de la personne. Le terme vient du grec « holis », qui veut dire « tout ».

Pour élaborer ses traitements, Hippocrate expliquait que la nature, physis, possède en elle-même des forces de guérison. Le rôle principal du médecin est d’aider la nature à faire son travail, plutôt que de la diriger arbitrairement.

On ne saurait mieux dire. C’est exactement ce que nous pensons à Santé Nature Innovation !

La théorie des humeurs

Pour Hippocrate, la santé est un état d’équilibre harmonieux des différentes humeurs (fluides) dont le corps est constitué.

Ces humeurs sont au nombre de quatre : le sang, la lymphe, la bile noire et la bile jaune.

Elles correspondent aux quatre éléments qui constituent l’univers dans la philosophie d’Aristote : l’air, l’eau, la terre et le feu.

Le sang correspond à l’air, l’eau à la lymphe, la terre à la bile noire, le feu à la bile jaune.

Chaque personne a un « tempérament » individuel, déterminé par le rapport de ces humeurs entre elles. C’est ainsi que certaines personnes sont sanguines, bilieuses, lymphatiques, ou mélancoliques (mélanos signifie « noir » en grec, et celui qui est mélancolique a trop de bile noire).

Chaque élément est une combinaison particulière entre les quatre qualités de base : le froid, le chaud, le sec et l’humide.

La théorie des humeurs, et ses relations avec les éléments et les qualités, peut-être schématisée comme suit :

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Toute maladie est provoquée par un déséquilibre des humeurs. Pour la corriger, il faut favoriser les humeurs en manque, et évacuer les humeurs en excès.

Cette théorie servira à justifier par la suite le recours massif aux vomitifs, purgatifs et surtout à la saignée, qui firent des catastrophes et se poursuivirent malheureusement bien au delà des moqueries (bien justifiées) de Molière contre les médecins de son époque.

Toutefois, il est absolument faux de prétendre que cela soit la faute d’Hippocrate.

Hippocrate est innocent !

Hippocrate n’a jamais encouragé les interventions audacieuses et risquées sur les patients.

Au contraire, son grand principe moulte fois répété était : « Primum non nocere », autrement dit « d’abord ne pas nuire ».

Un de ses principaux apports à la médecine fut d’appeler les médecins à identifier les cas désespérés et à s’abstenir de toute intervention incertaine.

Le premier des traitements devait toujours, selon lui, être la « diète », un terme qui chez lui signifie non seulement l’alimentation mais aussi l’ensemble du mode de vie.

« Que ton aliment soit ton premier médicament », disait-il.

Il recommandait de manger une nourriture équilibrée et proportionnée, c’est-à-dire des aliments sans abus correspondant à ses besoins et à son tempérament individuel.

Selon lui, certains aliments doivent être mangés crus, mais d’autres doivent être cuits pour faciliter la digestion.

Premiers diagnostics scientifiques

Un des points forts de la médecine hippocratique était l’accent mis sur l’anamnèse du malade, soit le récit des antécédents, pour comprendre comment il en est arrivé là.

Suivait un examen clinique approfondi permettant le pronostic. Il procédait par auscultation, palpation et utilisait beaucoup l’odorat et l’ouïe. Il avait mis au point une technique appelée « succussion » consistant à secouer le malade afin d’écouter les bruits de fluides circulant à l’intérieur de son corps, et ainsi faire son diagnostic.

C’est ainsi qu’Hippocrate fut amené à créer la première classification des maladies. Il distinguait les maladies aiguës, chroniques, endémiques et épidémiques, des distinctions qui sont toujours utilisées.

Il commença à utiliser les termes médicaux tels que « exacerbation », « rechute », « résolution », « crise paroxystique », « pic » et « convalescence », toujours utilisés également.

Sa description de la pleurésie purulente (suppuration de la muqueuse pleurale dans la cavité thoracique) est toujours enseignée de nos jours aux étudiants en pneumologie et en chirurgie.

Il fut le premier à décrire le symptôme des « doigts en baguette de tambour », un signe important pour le diagnostic de maladies du cœur, du cancer du poumon et de broncho-pneumopathie chronique obstructive. Ce phénomène est d’ailleurs souvent appelé « hippocratisme digital » en son honneur. Il fit également le pronostic de la « face hippocratique », le changement qui se produit dans le visage au moment de la mort, ou pendant une longue maladie.

Il inventa le traitement des hémorroïdes par ligature et assèchement au fer chaud, une technique toujours en cours actuellement.

Haute tenue morale

Plus que tout le reste, la grande œuvre d’Hippocrate fut d’insuffler dans la profession des médecins, peu prestigieuse à l’époque, une haute tenue morale.

Il enseigna que le médecin devait être honnête et son comportement exemplaire.

C’est peu connu mais, dans le célèbre « Serment d’Hippocrate », le médecin doit jurer de « suivre lui-même la diète qu’il considère être bonne pour ses patients ».

Pas question donc qu’un médecin qui fume recommande à ses patients d’arrêter de fumer ! Pas question qu’il fasse des excès à table s’il recommande la sobriété à ses malades !

Mais la bonne moralité recommandée par Hippocrate ne s’arrête pas là :

« Dans toutes les maisons où j’entre, je n’irai que pour le bien du malade, et je m’abstiendrai de tout acte volontaire de malfaisance ni de corruption ; de plus, je m’abstiendrai de séduire les femmes ou les hommes, les esclaves ou les hommes libres. »

Pas question non plus, donc, de profiter de leur prestige pour multiplier les conquêtes amoureuses !

Il fut un exemple d’honnêteté rare dans sa pratique médicale, n’hésitant pas à rapporter scrupuleusement un cas où il essaya de traiter 42 patients, dont 25 moururent.

La gentillesse, la douceur (« Là où est l’amour des hommes se trouve aussi l’amour de l’art ») et la dignité sont constamment encouragées, à tel point que l’image traditionnelle que nous avons du bon médecin, humain, dévoué mais aussi cultivé et aimable, s’est construite à la suite de toutes les générations de médecins qui s’efforçaient de cultiver ses vertus, conformément à leur « Serment d’Hippocrate ».

Quel que soit le caractère étrange, donc, de certaines de ses théories, la dette que nous avons à son égard est absolument gigantesque.

Merci, cher Hippocrate. Merci d’avoir été, et de continuer à nous accompagner dans notre recherche.

Ensemble avec tous ceux qui ont ouvert les yeux, agissons pour créer un monde délivré des  guerres, conflits, racismes, croyances erronées et de tous ces mythes de peur propagés par cette élite de psychopathes-ploutocrates-génocidaires qui veulent contrôler l’humanité mais qui « ne sont debouts que parce que nous sommes à genoux »

Suivons l’exemple des camionneurscanadiens et des tous ceux qui préparent des plans du même genre dans bien des pays ! Nous allons vaincre… Le covidisme, cette religion sans aucun fondement scientifique est en train de se désagréger , vive la liberté, vive la vie !

TAL SCHALLER

Ensemble avec tous ceux qui ont ouvert les yeux, agissons pour créer un mode délivré des guerres, conflits, racismes, croyances erronées et de tous ces mythes de peur propagés par cette élite de psychopathes-ploutocrates-génocidaires qui veulent contrôler l’huumanité mais qui “ne sont debouts que parce que nous sommes à genoux”.

Suivons l’exemple des camionneurs canadiens et de tous ceux qui préparent des plans du même genre dans bien des pays ! Nous allons vaincre … Le covidisme, cette religion sans aucun fondement scientifique est en train de se désagréger, vive la liberté, vive la vie !

TAL SCHALLER

Ensemble avec tous ceux qui ont ouvert les yeux, agissons pour créer un monde délivré des  guerres, conflits, racismes, croyances erronées et de tous ces mythes de peur propagés par cette élite de psychopathes-ploutocrates-génocidaires qui veulent contrôler l’humanité mais qui « ne sont debouts que parce que nous sommes à genoux »

Suivons l’exemple des camionneurscanadiens et des tous ceux qui préparent des plans du même genre dans bien des pays ! Nous allons vaincre… Le covidisme, cette religion sans aucun fondement scientifique est en train de se désagréger , vive la liberté, vive la vie !

TAL SCHALLER

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