Quel monde !! Le pire et le meilleur se côtoient…En voici des exemples variés !

 

Canada : La première ministre de l’Alberta vire tous les fanatiques du confinement et les responsables des mesures strictes du Corona dans les services de santé.

blog77a

La nouvelle première ministre de la province canadienne de l’Alberta fait le ménage dans le service de santé de la province canadienne. Elle élimine les fanatiques du lockdown et les responsables des mesures strictes de Corona. Danielle Smith devient un brillant modèle politique pour le monde.

L’Informateur.  #WeStandAsOne

La première ministre conservatrice de l’Alberta, Danielle Smith, est considérée comme une critique virulente des mesures Corona totalement excessives prises par les autorités canadiennes. Au cours des dernières semaines, elle a déjà affirmé clairement que sous sa direction, il n’y aurait pas de mandats de vaccination dans sa province, ni aucune discrimination liée à la Covid-19. Le partenariat entre le service de santé de la province et le Forum économique mondial (WEF) est également problématique.

Un produit chimique cancérigène trouvé dans 21 marques de désinfectant pour les mains, selon des scientifiques

Par Cogiito

    

Sur le net(prepareforchange) DR RUSSEL BLAYLOCK : MRNA VAXX VERA 

UNE EXPLOSION DE L’AUTISME ET DE LA SCHIZOPHRÉNIE DANS LES GÉNÉRATIONS FUTURES

Sur le net : 

Le Co² gaz  LOURD et RARE ( 0,04% de l’atmosphère ! ) n’a pas augmenté et il ne peut pas participer à un “effet de serre “…

car il est LOURD et à 10 km d’altitude…il fait moins 50°c ou moins 55°C !!

 Les réchauffements périodiques des planètes sont dus à l’activité solaire

LA VERITE SUR LA TUBERCULOSE

https://www.aimsib.org/2022/11/13/tuberculose-et-realite/

Attention, l’AIMSIB va encore devoir marcher sur des œufs pendant un article entier. Quelle origine réelle peut-on attribuer au bacille de la tuberculose ? Sujet connexe plus terriblement interdit encore : la tuberculose est-elle contagieuse par elle-même ? Rangez les couteaux et les sagaies, Bernard Guennebaud connaît tous les pièges tendus par le maniement des objets intellectuels les plus dangereux de l’histoire des maladies infectieuses. Et Jules Tissot* (1870-1950), vous connaissez ? Bonne lecture.   

Introduction

Le bacille de Koch, le fameux BK, fut découvert en 1882 comme le raconte Wikipedia |1] :

  • « Koch présente sa découverte du bacille à l’Institut de physiologie d’Emil du Bois-Reymond le 24 mars 1882. À l’issue de la présentation, les scientifiques stupéfaits, n’émettent aucune question ; Virchow, connu pour son opposition à la théorie des germes, quitte la salle sans mot dire. Le soir même, le télégraphe porte la nouvelle dans le monde entier. »

R. Koch a réussi à isoler le bacille de la tuberculose poursuit Wikipedia « en mettant au point une méthode de culture in vitro et en reproduisant la maladie chez les animaux avec la souche cultivée, prouvant que le germe est bien responsable de la maladie et invalidant la théorie cellulaire de Virchow. »

Du bacille de Koch à Mycobacterium tuberculosis

Jules Tissot, professeur au Museum d’Histoire Naturelle, va publier en 1936 le second volume de son œuvre [2]. Il est consacré à l’étude du BK avec photographies. Mais d’abord, voici comment Tissot y relate l’évolution de la recherche et des croyances sur la tuberculose. C’est un peu long mais passionnant, remarquablement décrit et surtout, qui renverse des montagnes :

  •  « La tuberculose était considérée, avant Laennec, comme la conséquence d’inflammations chroniques du poumon. Laennec, le premier, a, en 1811, exposé que la tuberculose se présente sous deux formes, la granulation tuberculeuse produisant un petit nodule et l’infiltration tuberculeuse qui envahit progressivement le tissu pulmonaire sans produire de nodule. Vers 1850, Virchow à la suite de ses études d’anatomie pathologique, conclut que seule la granulation tuberculeuse se rapporte véritablement à la tuberculose et il considère que l’infiltration tuberculeuse, ainsi que toute lésion qui n’a pas la forme de nodule est un produit inflammatoire et n’a aucun rapport avec le tubercule. Jusqu’à 1865, de nombreux travaux sont publiés dont une partie appuient les conclusions de Laennec et une autre partie, celles de Virchow. En 1865-1866, Villemin démontre que l’inoculation sous la peau du lapin de la matière tuberculeuse prise sur l’homme, une vache ou un lapin déjà rendus tuberculeux, reproduit la tuberculose ; il déduit de ce fait sa doctrine de la contagiosité de la maladie. Ainsi était introduite dans la science la grave erreur qui devait diriger toutes les recherches futures dans une voie fatalement stérile. Les expériences de Villemin ne comportaient nullement la conclusion qu’il en a tirée. Cette conclusion aurait dû être strictement limitée à la signification du résultat de ses expériences qui était la suivante :

L’inoculation sous-cutanée de matière tuberculeuse aux animaux leur

Ici, Tissot se montre rigoureux du point de vue de la logique élémentaire qui demande 

de ne pas confondre une proposition avec sa réciproque, à savoir que  »si A est vraie, alors B est vraie » n’implique pas pour autant que  »si B est vraie, alors A est vraie »

 

SUITE DE L’ARTICLE SUR LE SITE

 

Myocardite chez les enfants 

après la vaccination – Une vidéo à partager avec tous les parents

PAR  RHODA WILSON ,

Une vidéo déchirante publiée la semaine dernière par la  Vaccine Safety Research Foundation  met en lumière le nombre croissant d’enfants diagnostiqués avec une myocardite après avoir reçu des injections de Covid.

La vidéo commence par la publicité télévisée de Pfizer fin 2021 pour manipuler et recruter des enfants pour ses essais cliniques. Dans la publicité, le message de l’entreprise est que tout enfant qui se porte volontaire pour l’essai du roman « vaccin » de Pfizer deviendra un héros. « Courage », « aider les autres » et « courage » sont les qualités décrivant les enfants qui s’inscrivent à l’essai clinique de Pfizer.

Après la publicité du héros de Pfizer, une publicité publiée par un hôpital de New York recrute des enfants dans son service de soins intensifs qui pourraient avoir une myocardite. La myocardite, ou inflammation du cœur, est un effet secondaire avéré du vaccin Covid-. 19 de Pfizer

La supernova du Canada 

Yves RASIR

 

La semaine dernière, je vous disais que la France avait la chance d’avoir Pierre Chaillot et la Belgique Christophe de Brouwer pour voir plus clair dans l’univers des statistiques. Par leurs décryptages des chiffres et de leur manipulation par les autorités, ces deux « étoiles dans la nuit » ont grandement contribué à démontrer toute la fausseté du récit plandémiste. Mais c’est à mon avis au Canada qu’est apparue la source de lumière la plus éclairante incarnée en la personne de Denis Rancourt. Dès l’entame de la saga corona, cet ancien professeur de physique à l’université d’Ottawa est monté au front de la ré-information, d’abord pour dénoncer l’inutilité et la dangerosité des masques, ensuite pour fustiger les autres mesures sanitaires délétères et liberticides. Comme de bien entendu, ses articles scientifiques publiés sur Researchgate ont été  rapidement censurés et ses interventions vidéo prestement bannies des réseaux sociaux. C’est contraint et forcé que le chercheur indépendant et pluridisciplinaire a dû créer son propre site internet pour y loger ses travaux et les mettre à l’abri de la censure. Sur cette page, vous pouvez retrouver la trentaine d’ analyses et de rapports qu’il a produits depuis le mois d’avril 2020. Et sur cette autre page, vous pouvez visionner toutes ses prestations  audiovisuelles, en anglais ou en français. Je vous invite à regarder la toute dernière – sa participation au Conseil Scientifique Indépendant du 10 novembre – car ce  passionnant 78ème numéro du CSI l’oppose courtoisement  aux autres participants (Éric Ménat, Louis Fouché, Hélène Banoun, Olivier Soulier, Emmanuelle Darles). Alors que ceux-ci s’accrochent à la narration d’un fléau infectieux et d’un nouveau virus relativement dangereux, Denis Rancourt objecte tranquillement que cette vision n’est pas la sienne et que tout peut parfaitement s’expliquer autrement.

Les solutions ont créé le problème

À l’instar des deux « stars » française et belge, l’éclaireur canadien souligne d’abord ce que nous avons maintes fois rappelé dans Néosanté : la gravité d’une épidémie ne peut s’évaluer que par la surmortalité toutes causes confondues. C’est la seule donnée qui ne peut pas être biaisée et dont la fiabilité est très élevée. Or il n’y a pas eu d’excès de décès en 2020 dans certains pays ou dans certaines régions d’un même pays durement touché, ce qui indique déjà que le narratif dominant est mensonger. Certes, il y a eu une vraie hécatombe aux États-Unis –  1,2 millions de morts en plus que la normale – mais ce pays partage une très longue frontière et entretient des échanges intenses avec le Canada, où la mortalité excédentaire (+ 3%) a pourtant été dérisoire : cherchez l’erreur ! Selon Denis Rancourt, la surmortalité et son hétérogénéité ne peuvent s’expliquer que par les mesures adoptées durant les premiers mois de la pseudo-pandémie. Ce sont les solutions choisies (masques, confinements, distanciation sociale, …) qui ont créé le problème et non un problème qui exigeait des solutions. Si les mêmes recettes sanitaires n’ont pas rempli les cimetières partout de la même manière, c’est parce que la vulnérabilité des populations diffère fortement d’un pays à l’autre et d’une région à l’autre. Qu’est-ce qu’une personne vulnérable ? Contrairement à ce qu’on pourrait croire, ce n’est pas  tant une question d’âge. Il n’y a pas de corrélation évidente entre l’importance de la surmortalité et le nombre d’habitants âgés. En revanche, Denis Rancourt a trouvé de très fortes corrélations avec le taux de pauvreté et la fréquence du handicap mental. Pour lui, ces deux critères de fragilité ont pesé tellement lourd qu’ils suffisent à expliquer l’ampleur des pics enregistrés aux USA. Certes, les pauvres et les malades mentaux sont également plus sujets aux comorbidités telles que diabète ou obésité. Mais avec les seules variables du revenu et du trouble psychique, on obtient déjà la preuve statistique que les stratégies « non pharmaceutiques » sont les vraies responsables du désastre humain survenu à certains endroits en 2020. 

Le stress a pesé très lourd

Et Denis Rancourt d’insister : chez les individus fragiles, les décisions gouvernementales et l’attitude du corps médical ont eu un impact terriblement violent. Chez les personnes vulnérables, très dépendantes,  séjournant en institution et déjà isolées socialement, la politique de lockdown n’a pu que  nuire directement à l’équilibre psychologique et indirectement au système immunitaire, le second étant intimement lié au premier. Selon le chercheur, en définitive, toute la mortalité excédentaire américaine peut être attribuée au stress infligé par les autorités et à ses effets nuisibles pour la santé. D’ailleurs, on en a statistiquement la preuve :  aux States, les sept ou huit  états qui n’ont pas confiné sont aussi ceux où la pandémie a été la plus clémente. Et inversement, les mesures de confinement et d’isolement sont associées à une surmortalité importante dans les états qui les ont prises. Ce qui est valable outre-Atlantique est évidemment valable en Europe : inutile de vous rappeler que certains pays ont fait mieux que d’autres et que la Suède n’a pas fait pire malgré le « laxisme » de sa gestion de la crise. Quand je lis et que j’écoute Denis Rancourt, je ne peux m’empêcher de constater que ses analyses rejoignent totalement celles de Néosanté quant au rôle prépondérant de la peur panique suscitée par les gouvernements et les médias. Que se serait-il passé si la télé n’existait pas ?

L’hypothèse virale est superflue

Si les médias n’avaient pas propagé la légende d’un terrifiant virus se répandant sur terre, il ne se serait probablement rien passé de spécial : tel est le message central de Denis Rancourt dont les propos ne sont pas sans susciter un malaise palpable sur le plateau du CSI. À plusieurs moments de l’émission, il fait en effet observer que « l’hypothèse virale » est superflue pour expliquer la surmortalité et qu’il n’y a donc pas nécessité à postuler l’existence d’un « pathogène particulièrement virulent ». Quand Louis Fouché note que les urgentistes ont quand même été confrontés à de nombreuses pneumonies atypiques, le chercheur canadien fait gentiment observer que les médecins cliniciens ne sont pas à l’abri de la propagande médiatique et des interprétations biaisées : même s’ils se défient des discours officiels, ils sont naturellement tentés d’y adhérer quand il s’agit de trouver une cause aux cas mortels. Selon Rancourt, les toubibs de terrain auraient probablement « vu la même chose » il y a 5 ans si le contexte de paranoïa virophobique avait été identique. Et tout ce qui est mis sur le dos d’un hypothétique virus peut être attribué, comme en 1918, aux infections bactériennes non soignées. Le chercheur canadien est tellement persuadé que l’explication virale est fausse qu’il réagit promptement à une phrase déplorant l’inefficacité des vaccins : « Si on dit ça, ça veut dire qu’il y avait un pathogène justifiant un vaccin qui aurait pu être efficace.  Or il n’y a aucune raison de croire ça ».  Ça fait plaisir de voir que 

des scientifiques balaises puisent aux mêmes sources que nous pour

établir la vérité sur l’origine des maladies. 

La Guerre de la Conscience ( Graham Hancock )

excellent résumé conjoncturel en dessins semi animés.

https://odysee.com/@JeanneTraduction:a/Guerre-de-la-conscience:7   (9mn09″)

 

Canada : Horreur, le Canada vient d’approuver l’euthanasie des enfants dépressifs. Tucker Carlson compare cela à ce que les nazis faisaient en Allemagne dans les années 40 – tuer ceux qui sont faibles…

Qactus

 

L’informateur


Horreur, le Canada vient d’approuver l’euthanasie des enfants dépressifs. Tucker Carlson compare cela à ce que les nazis faisaient en Allemagne dans les années 40 – tuer ceux qui sont faibles…

L’Horreur absolue pour un humain, mais aucunement pour les valeurs occidentales du Nazisme officiellement déclaré et bien visible, désormais depuis le conflit Ukro/Russe, voici ce qu’il va bientôt arriver à en France si vous dormez toujours, parce qu’au Canada, ils veulent faire adopter une loi selon laquelle les “médecins” peuvent aider un enfant à se suicider s’il se sent déprimé. Et tout cela sans prévenir ses parents.

Permettez-nous de faire quelques commentaires à ce sujet. Et à quoi s’attendaient le Canada et les USA quand ils ont sauvé tous ces fonctionnaires nazis et les ont promus à des postes plus élevés ? (voir OPÉRATION PAPERCLIP)

Auparavant, les médecins étaient ceux qui considéraient qu’il était de leur devoir de sauver les gens. Maintenant, tout est différent. Les soi-disant médecins sont des vendeurs de produits pharmaceutiques et contribuent au meurtre de personnes. Mais de telles lois sont déjà du fascisme direct et non déguisé et une carte blanche pour les pédophiles, satanistes et autres esprits maléfiques vivant dans ce monde. Après tout, dans le cadre de cette “loi”, vous pouvez kidnapper et tuer n’importe quel enfant, déclarant plus tard qu’il était déprimé. 

 

Surmortalité en hausse de 40 

dans le me entier suite à la 

publication de “vaccins” covid

Copier le lien

15KVUES

naturalnews.com/2022-11-18-excess-mortality-soaring-around-world-covid-vaccines.html4

Le mathématicien Igor Chudov a mené une évaluation de deux ensembles de données complètement différents englobant des dizaines voire des centaines de millions de personnes à partir desquelles il a conclu que le risque relatif de décès pour les personnes qui ont été «vaccinées» pour le coronavirus de Wuhan (Covid-19) est de 40 % supérieur à celui des non-vaccinés.

Partout dans le monde où les vaccins contre la grippe Fauci ont été déclenchés, dit Chudov, la surmortalité est à son comble. C’est quelque chose que beaucoup d’entre nous connaissent depuis un certain temps maintenant, mais cela a été étayé par un patchwork de données d’ici et d’ailleurs – pas tout à fait suffisant pour convaincre certains, en d’autres termes, qu’un dépeuplement de masse est, en fait, en train de se produire. .

Eh bien, Chudov a abordé cette question en effectuant une analyse approfondie de nombreux ensembles de données pour prouver scientifiquement que les coups de covid tuent beaucoup, beaucoup de gens, bien qu’ils soient qualifiés de «remèdes» contre les germes chinois. (Connexe : plus une personne reçoit de coups covid, plus ses chances de mourir sont grandes .)

“De nombreux pays connaissent une surmortalité”, écrit Chudov. « Il y a des indications que la surmortalité est liée au programme de vaccination Covid… Divers pays ont des TAUX de vaccination Covid très différents parmi leurs populations – et leurs statistiques de mortalité sont disponibles.

“Au Royaume-Uni, la population est divisée en quintiles de privation avec des niveaux de vaccination variables, avec une surmortalité également connue… J’ai analysé la surmortalité par pays ainsi que la surmortalité au Royaume-Uni par quintile de privation.”

 

L’opération Warp Speed a entraîné PLUS de surmortalité, pas moins

Chudov pointe vers deux articles différents, l’un qui montre la surmortalité par pays et l’autre qui la montre en utilisant le quintile de privation du Royaume-Uni. Étonnamment, les analyses de ces deux ensembles de données complètement différents produisent exactement les mêmes résultats.

Si vous êtes intéressé par les détails les plus fins, vous pouvez regarder de plus près la méthodologie mathématique utilisée par Chudov sur sa page Substack .

L’une des choses découvertes par Chudov est un “effet d’entraînement” dans l’ordonnée à l’origine de son graphique de régression linéaire. En bref, l’effet d’entraînement montre que si les soi-disant « vaccins » étaient vraiment efficaces pour réprimer la pandémie , alors il y aurait eu une surmortalité négative après leur déclenchement. C’est exactement le contraire qui s’est produit.

“Un triste résultat des deux premières années de la pandémie de Covid est que Covid a tué des personnes avec des” comorbidités “, des personnes très âgées, etc.”, explique Chudov. « Si la pandémie n’avait pas eu lieu, la mortalité serait la même chaque année. Cependant, Covid a causé la malheureuse disparition prématurée de personnes qui risquaient de mourir dans les prochaines années. »

“Donc, si la pandémie s’arrêtait et que les vaccins n’affectaient pas la mortalité, vous vous attendriez à une surmortalité NÉGATIVE – simplement parce que les personnes susceptibles de mourir en 2022 sont déjà décédées en 2020. L’ordonnée à l’origine négative montre cet effet d’entraînement, discuté dans détail par le sceptique éthique .

Bien qu’il soit vrai qu’il est « extrêmement spéculatif », le dernier travail de Chudov est une véritable matière à réflexion, d’autant plus qu’il est basé sur deux ensembles de données complètement différents et sans rapport qui l’ont conduit aux mêmes conclusions.

Une augmentation de 40% de la mortalité est tout sauf mineure, prévient Chudov, faisant référence aux responsables gouvernementaux et aux médias d’entreprise qui continuent d’affirmer que les décès par piqûre de covid sont “rares”.

Gardez à l’esprit que, dans ce contexte, une augmentation de 40% de la mortalité signifie qu’une personne “entièrement vaccinée” vivra désormais beaucoup moins de temps qu’elle n’aurait autrement eu des vaccins covid non injectés.

“Par exemple, on s’attendait à ce qu’un homme de 40 ans vive jusqu’à environ 80 ans”, explique Chudov. “Si la mortalité augmente de 40%, le même homme de 40 ans ne devrait vivre que jusqu’à 64 ans. Il ne s’agit pas d’une estimation précise – cela ne vise qu’à montrer que la surmortalité est un problème grave.”

Vous souhaitez en savoir plus sur les dangers et l’inefficacité des vaccins contre la grippe Fauci ? Visitez ChemicalViolence.com .

Les sources de cet article incluent :

IgorChudov.substack.com

NaturalNews.com

TheEthicalSkeptic.com

 

 

100 000 tonnes de pesticides

SantéVieNature

Selon le site de référence Notre-Planete, la France est le plus gros 

consommateur de pesticides au monde.

100 000 tonnes de pesticides sont utilisées sur seulement 660 000 exploitations.

Tout cela finit dans nos assiettes…

Chaque année, le français moyen consomme 1,50 kg de pesticides.

Alors on fait comme si de rien n’était.

C’est normal, car cela fait peur.

On ne comprend pas bien ce que cela nous fait.

Alors, je vais vous le dire.

Selon le célèbre site Lepoint, 1 enfant sur 440 va développer un cancer juste en France.

À savoir que c’est la deuxième cause de mortalités chez les -15 ans.

Et ce n’est pas tout…

Une étude scientifique menée par le Pr Charles Sultan du CHU de Montpellier établit un lien clair entre les malformations génitales de 1442 nouveau-nés et l’exposition aux pesticides de leurs parents.

Voilà ce que cela fait.

Et pour gagner quoi ?

En France, l’industrie agroalimentaire est l’un des premiers secteurs d’activités en chiffre d’affaires, avec 212 milliards d’euros

SS

Youtube 

[AVS] “J’avais le devoir de parler !” – Pr Christian Perronne

Le livre “Les 33 questions auxquelles ILS n’ont toujours pas répondu !” 

FILM HOLD OUT (HOLD UP 3) UN VRAI CHEF D’ŒUVRE !

 https://odysee.com/@Ai%D0%AFPuR-Officiel:d/HOLD-OUT-2022-exclu_hold-up_3-c

complet-fr:d.

 

Vous n’avez pas de problème chimique dans le cerveau

Jean-Marc Dupuis – Santé Nature Innovation 

Chère lectrice, cher lecteur,

Une des plus grandes fables de notre époque, et sans doute la plus dangereuse :

Les maladies de l’esprit (dépression, anxiété, psychoses…) seraient causées par des problèmes chimiques dans le cerveau.

Selon cette théorie, aujourd’hui discréditée par la Science, votre cerveau manquerait d’un « neurotransmetteur », un produit chimique qui permet aux neurones de communiquer.

Vous vivez tranquillement. Votre cerveau tourne comme un bon moteur bien réglé.

Et voilà qu’un jour : paf ! Plus d’essence, ou plus d’huile. Votre cerveau ralentit, tousse, crache. C’est la dépression. Ou la crise d’angoisse. Ou la schizophrénie (vous avez des visions, des voix…)

Le médecin accourt.

De sa trousse à pharmacie, il sort des pilules pour vous remettre d’aplomb. Comme s’il vous remettait du diesel, du liquide de frein, ou du lave-glace, il vous remet à niveau.

Il ré-équilibre votre niveau en « sérotonine », en « dopamine », en « norépinéphrine », ou encore en « acétylcholine ». Elémentaire, mon cher Watson !

Chacun, à ces mots, se rengorge. « Comme l’humanité a progressé ! » ; « La Médecine est vraiment devenue une science exacte ! » ; « Comme nous employons des mots compliqués ! » ; « Comme nous sommes devenus savants ! »

Mais au fond de nous-mêmes, cher lecteur, nous le savons (et nos médecins le savent aussi) :

Nous n’avons pas la moindre idée de ce qu’est la « sérotonine ». Nous ne savons même pas d’où vient la dépression.

Une théorie héritée de l’époque de Jules Verne

Le mot « dépression » est tout nouveau à l’échelle de l’histoire de l’humanité. Il a été appliqué pour la première fois à la médecine en 1856 ! [1]

Rappelez-vous, 1856…

C’était la grande époque des machines à vapeur, des locomotives, de Jules Verne…

C’est là qu’on s’est mis à comparer le corps humain à une machine avec ses valves, ses pistons, ses pressions et ses… dépressions.

On croyait qu’on allait tout résoudre ainsi.

Comme pour une locomotive !

La pression baisse, la machine ralentit. Pour la relancer, il suffit de « remettre la pression », et c’est aussi simple que d’envoyer quelques pelles de charbon dans le four à combustion !

Le cerveau, objet le plus complexe de l’Univers

Mais bien sûr, cette vision simpliste, enfantine même, est aujourd’hui dépassée.

Plus on a disséqué le corps, plus les microscopes ont permis de voir petit, plus on s’est rendu compte de l’infinie complexité du corps humain, et tout particulièrement du cerveau.

« Le cerveau est l’objet le plus complexe de l’Univers », sait-on maintenant. [2]

Et il est bien illusoire – et prétentieux – d’imaginer qu’on peut l’améliorer ou le réparer par une simple pilule, fut-elle de sérotonine ou de dopamine.

La fin du mythe du « déséquilibre chimique »

Il est désormais admis par tous les psychiatres sérieux que cette histoire de « déséquilibre chimique » dans le cerveau est un mythe, une « légende ».

« Légende », c’est le mot de Ronald Pies, rédacteur en chef de la revue scientifique Psychiatric Times, qui publiait le 11 juillet 2011 un article intitulé :

« Le nouveau cerveau-esprit de la psychiatrie et la légende du déséquilibre chimique dans le cerveau ». [3]

En 2014, Peter Gotzsche, co-fondateur de la collaboration Cochrane, un réseau international de chercheurs connus pour leurs études rigoureuses des risques et bienfaits des traitements médicaux, écrivait :

« Les théories selon lesquelles les patients dépressifs manquent de sérotonine, et les patients schizophrènes ont un excès de dopamine, ont été réfutées depuis longtemps. La vérité est exactement l’inverse. Il n’y a aucun déséquilibre chimique à la base, mais, en traitant ces maladies avec des médicaments, on crée un déséquilibre chimique. » [4]

Ou encore :

« L’analyse des données médicales publiées et non publiées parce que cachées par l’industrie pharmaceutique a révélé que la plupart (si non tous) les bienfaits des antidépresseurs sont dus à l’effet placebo », selon Irving Kirsch dans la revue allemande de Psychiatrie en 2014. [5]

Aujourd’hui, l’Organisation Mondiale de la Santé dit la même chose. Le Paxil (un médicament similaire au Prozac) « n’est pas supérieur à un placebo en terme d’efficacité du traitement » chez les personnes souffrant de dépression modérée ou grave. [6]

Une très célèbre étude allemande a montré en 2002 que 25 % des patients dépressifs traités au Zoloft (un autre antidépresseur très populaire) connaissent une « guérison totale », ce qui est inférieur au taux de guérison dans le groupe placebo, qui est à 32 % ! [7]

Et pourtant, quinze ans plus tard, cela n’a quasiment rien changé à la pratique médicale.

La médecine fonce droit devant

Comme un TGV roulant à 300 km/h, la médecine n’a pas dévié d’un pouce dans son usage des médicaments psychiatriques.

Des centaines de milliers de médecins, et des dizaines de millions de patients, continuent à prescrire et à prendre religieusement leurs médicaments psychiatriques (antidépresseurs, anxiolytiques, stimulants, antipsychotiques…) avec la conviction de « corriger un problème chimique » dans le cerveau.

Cette prétendue « solution » est proposée pour tous les problèmes allant de la fatigue au licenciement, en passant par la séparation, le deuil, les conflits familiaux, l’échec scolaire, les accès de panique, les crises d’angoisse, ou les voix et les visions.

Mais non !

Pas plus qu’il y a cent ans, nous ne savons ce qui cause ces états bizarres dans le cerveau. Pourquoi certains d’entre nous sont-ils si tristes ? Angoissés ? Excités ? Pourquoi certains se mettent-ils à pousser des cris de bête, ou à voir des loups autour d’eux ?

Mystère et boule de gomme.

Nous ne savons pas réparer le cerveau, mais nous savons très bien l’abimer

En revanche, si nous ne savons toujours pas pourquoi le cerveau se détraque, ni comment le réparer, il est certain que nous sommes parfaitement capables de le détruire, que ce soit de façon chirurgicale, ou avec des drogues licites ou illicites !

Jamais nous n’avons été aussi forts dans ce domaine.

Cette fois, on peut vous écrire des manuels, des encyclopédies, sur tous les moyens d’intoxiquer votre cerveau, de le ratatiner, de perdre des points de quotient intellectuel comme de quotient émotionnel

C’est le supermarché des « solutions » :

  • Au rayon « interdit par la loi », vous avez la cocaïne, le crack, l’héroïne, le cannabis…
  • Au rayon « vendu en pharmacie », vous avez le lithium, la chlorpromazine, le Prozac et le Valium…
  • Au rayon « se trouve dans la rue ou dans l’eau du robinet », vous avez les métaux lourds, le glyphosate (Round Up), les toxines diverses et variées sorties des moteurs d’avion et de voiture…

Bref, nous sommes très forts pour nous intoxiquer nous-mêmes, à défaut d’avoir découvert la pilule pour, enfin, vivre heureux et équilibrés.

Or, les conséquences sont graves : on parle de suicides, de dépression profonde, mais aussi de handicaps physiques en tout genre, tics nerveux irrépressibles (la langue qui entre et sort mécaniquement de la bouche en permanence, ce qu’on appelle la dyskinésie tardive), voire crime, assassinat de masse, etc.

Car sous l’effet des médicaments psychiatriques, le cerveau se ratatine. Cela provoque une baisse de l’intelligence, de la mémoire, et perte de contrôle émotionnel et perte de contrôle de certains mouvements (ce qui produit les tics nerveux irrépressibles et les fameux TOC, troubles obsessionnels compulsifs).

C’est pourquoi je souhaitais aujourd’hui diffuser la mise en garde suivante, qui sera je l’espère lue par des millions de personnes.

Diffusez cette lettre autour de vous si vous trouvez qu’elle en vaut la peine, vous pourriez sauver des vies et épargner à vos proches des années d’enlisement à cause de médicaments psychiatriques utilisés à mauvais escient.

Tous les médicaments psychiatriques fonctionnent en « désactivant » le cerveau

Ce message à faire passer partout autour de vous parce qu’il explique le fonctionnement de base de tous les médicaments psychiatriques, y compris les anti-dépresseurs, les anti-psychotiques, les anxiolytiques et même les somnifères.

Ce fonctionnement de base est très simple.

Tout le monde peut le comprendre même sans avoir fait médecine.

Mais une fois qu’on le sait, on a compris une chose très importante, qui permet d’éviter de tragiques erreurs, et de lourdes conséquences.

Ce fonctionnement, c’est tout simplement que tous les médicaments psychiatriques désactivent, puis détruisent, des fonctions essentielles du cerveau.

Aucun de ces médicaments ne traite ni ne guérit une maladie. Ils sont en ce sens complètement différents des autres médicaments utilisés par la médecine.

Quand on considère qu’ils « marchent » ou qu’ils ont un effet « thérapeutique », c’est parce qu’on estime que la personne qui a ainsi perdu une partie de ses capacités est moins gênante, plus facile à gérer, plus facile à intégrer socialement, moins dangereuse pour elle-même et pour les autres.

Par exemple, les médicaments antipsychotiques fonctionnent en « déconnectant » le cerveau. Vos pensées sont brouillées, vous tombez dans l’apathie, vous avez envie de vous recroqueviller dans un coin et de ne plus bouger.

A l’échelle individuelle, cela ne paraît pas être un progrès. C’est pourquoi la plupart des patients psychotiques cherchent à éviter leur traitement.

Mais pour le médecin, le personnel soignant, l’entourage, ces effets peuvent être perçus comme positifs ! Rendez-vous compte : la personne cesse de crier, s’énerver, provoquer du bruit et de la fureur autour d’elle. Elle devient docile et n’exprime plus d’émotion. C’est la « camisole chimique » ou même la « lobotomie chimique ». On obtient le même effet sans le spectacle éprouvant et culpabilisant de voir la personne attachée.

Avec ce médicament, la personne a aussi son cerveau abîmé ? Elle perd une partie de sa capacité d’agir ? Son état se rapproche de celui d’un animal, voire d’un légume ? « Oui, sans doute, mais vous comprenez, la vie n’était plus tenable autrement ; et elle devenait dangereuse pour les autres et pour elle-même… »

Je ne dis pas qu’il ne soit jamais justifié de donner ces médicaments. Mais il est crucial de ne pas mentir aux patients ni à leur famille. Il ne faut pas leur faire croire qu’on est en train de guérir la maladie, ni de « rétablir » un quelconque déséquilibre chimique qui s’était fait dans le cerveau.

Non, on est en train de l’abrutir comme un abrutirait un rhinocéros qu’on cherche à capturer vivant. D’ailleurs, ce sont exactement ces médicaments qui sont utilisés.

Et bien sûr ce genre de traitement, répété, finit par détruire le cerveau de la personne de façon irréversible, provoquant une multitude de problèmes terribles : problèmes cardiovascuaires, respiratoires, métaboliques (obésité, diabète), insuffisance rénale, mort précoce (j’y reviendrai). Il faut avoir le courage et l’honnêteté de le faire savoir, sans faux-semblants.

La même « logique » est à l’œuvre avec les autres médicaments psychiatriques :

Vous pouvez, avec les médicaments anxiolytiques (qui suppriment l’angoisse), traverser la rue et voir un camion foncer sur vous sans que cela ne vous fasse bondir le cœur ni même accélérer le pas.

Avec des antipsychotiques, vous pouvez assister à un meurtre barbare sans éprouver la moindre compassion pour la victime, ni même avoir l’idée d’appeler la police.

C’est le prix à payer lorsque vous souhaitez faire taire vos émotions. Vous pouvez désactiver une partie de votre cerveau. Mais le côté utile de ces émotions ou de ces fonctions disparaît autant que le côté gênant. Vous ne pouvez pas avoir l’un sans l’autre.

Je me répète, mais c’est important : tous les médicaments psychiatriques fonctionnent de la même façon : ils désactivent certaines parties du cerveau, permettant de trouver l’effet recherché : docilité, passivité, indifférence à son propre sort et à celui des autres, absence d’émotion, anesthésie, comportement de robot, réticence face à la détresse des autres.

Voyons-les maintenant en détail :

Comment les médicaments antipsychotiques désactivent le cerveau :

Les médicaments antipsychotiques, aussi appelés neuroleptiques, fonctionnent tous en bloquant la dopamine (à l’exception de la clozapine). Ils servent à supprimer les psychoses, hallucinations et illusions chez les personnes schizophrènes.

Ces médicaments furent utilisés pour la première fois dans les années 50 par deux médecins français, les Dr Delay et Dr Deniker.

Ces médecins n’ont jamais prétendu avoir trouvé un « traitement » contre la schizophrénie.

Ils déclarèrent seulement avoir trouvé une substance ayant le même effet qu’une maladie du cerveau bien connue, l’encéphalite léthargique. Cette maladie provoque un handicap mental permanent : les personnes, comme le nom de la maladie l’indique, deviennent léthargiques et indifférentes à elles-mêmes et à leur entourage. C’est pourquoi ils avaient appelé ces substances « neuroleptiques », c’est-à-dire « qui affaiblissent les neurones ».

Ce ne fut que dans les années 60 que ces médicaments furent re-baptisés « antipsychotiques » par la presse et l’industrie pharmaceutiques, dans un but purement marketing.

Aujourd’hui, les antipsychotiques sont utilisés à grande échelle dans les maisons de retraite, les prisons, les centres éducatifs fermés, pour des raisons évidentes. Ils sont aussi utilisés par les vétérinaires pour contrôler les animaux.

Ces médicaments provoquent la maladie de Parkinson, pour la simple raison qu’ils bloquent l’action de la dopamine dans le cerveau et que la maladie de Parkinson elle-même est causée par le manque de dopamine.

Mais ils provoquent aussi une grave maladie appelée « dyskinésie tardive » : des tics nerveux incontrôlables, comme par exemple la langue qui entre et sort mécaniquement dans la bouche. Ils contribuent donc de façon dramatique à l’isolement social des personnes ainsi médicamentées, et dont le grand public imagine trop souvent que c’est leur « maladie mentale » qui provoque ces bizarreries de comportement.

Non, ce sont les médicaments qui sont les vrais coupables, et ces problèmes sont malheureusement souvent définitifs, même en cas d’arrêt du traitement. Cela est d’autant plus grave qu’ils touchent particulièrement les enfants, lorsqu’ils sont soumis à ces médicaments, dont la vie est alors irrémédiablement détruite.

Dans l’ensemble, les antipsychotiques provoquent une réduction de l’espérance de vie de 10 à 15 ans, ce qui contribue aussi à expliquer leur succès dans certaines institutions.

Comment les médicaments stimulants désactivent le cerveau

Les médicaments stimulants comme la Ritaline, utilisée contre le « trouble du déficit de l’attention avec ou sans hyperactivité » (TDAH) fonctionnent au contraire en augmentant le niveau de dopamine. Le but est d’obtenir un état d’hyper-acuité et de concentration. Le problème est que ces médicaments détruisent tout comportement spontané. Les expériences sur les singes ont montré que, aux doses utilisées sur les enfants, ils cessent de jouer, d’explorer, d’engager des relations avec les autres. Ils répètent à l’infini des gestes automatiques, ils s’isolent et regardent dans le vide.

Selon le psychiatre Peter Breggin, « les médicaments stimulants font apparemment de bons animaux en cage et ont le même effet sur les enfants. Ils arrêtent d’embêter les gens en essayant de leur parler, perdent leur spontanéité, deviennent plus dociles et finalement montrent une volonté de suivre des comportements qui, autrement, leur auraient paru sans intérêt ni signification. » [8]

Comment les benzodiazépine (anxiolytiques) désactivent le cerveau

Les benzodiazépines (Valium, Lexomil, Xanax, Tranxen) sont à l’origine des médicaments qui détendent les muscles (myorelaxants).

Moyennant quoi, si vous en prenez tandis que vous avez une boule d’angoisse dans la gorge ou dans le ventre, vous vous sentez détendu et vous vous endormez plus facilement. Ils ont aussi un effet hypnotique, en sur-stimulant un neurotransmetteur appelé GABA, que l’on retrouve dans tout le cerveau.

A forte dose, les benzodiazépines peuvent vous anesthésier complètement, en « débranchant » toutes les « prises » de votre cerveau. Ils ne réduisent donc pas seulement l’anxiété, c’est-à-dire notre capacité naturelle à nous faire des tracas.

Ils réduisent également toutes nos fonctions cognitives : mémoire, concentration, écoute, capacité d’apprentissage, imagination, intelligence…

Là aussi, il n’est pas honnête de ne pas le dire à un patient à qui on prescrit « un petit anxiolytique » pour traverser « une mauvaise passe » !!

Comment les antidépresseurs désactivent le cerveau

Les médicaments dits « antidépresseurs » n’ont aucun impact spécifique contre la dépression. A l’origine, ce sont des produits qui déclenchent parfois un accès d’euphorie, ce qui est le stade qui précède la manie (folie).

Rappelons que les antidépresseurs furent découverts par accident en cherchant à soigner la tuberculose avec une nouvelle molécule dérivée d’un carburant de missile (l’hydrazine). La tuberculose ne fut pas soignée mais les patients, raconte la légende, se mirent à danser dans les couloirs de l’hôpital, malgré leur état grabataire.

Bien entendu, cet état d’euphorie ne dure pas. Mais au bout de plusieurs semaines, les antidépresseurs ont suffisamment perturbé le mécanisme de la sérotonine pour provoquer une confusion, et donc une certaine anesthésie, des sentiments.

Le patient ne sait plus trop ce qu’il ressent, il ne sent plus vraiment lui-même, mais ses symptômes dépressifs peuvent avoir régressé. Bien entendu, il risque alors de devenir chroniquement apathique [9] et, pire, sur le long terme, devenir définitivement triste (syndrome dysphorique). [10]

Ces médicaments provoquent une baisse du sentiment amoureux et du désir, souvent sans retour après l’arrêt du traitement. [11]

Lorsqu’ils essayent d’arrêter le traitement, le sevrage provoque des sentiments de torture émotionnelle et physique qui paraissent pires que la « maladie » qu’ils pensaient avoir au départ, et qui pousse donc beaucoup de patients à continuer à prendre des antidépresseurs sur le long terme malgré les nombreuses et très sérieuses contre-indications.

Comment les stabilisateurs d’humeur désactivent le cerveau

Les médicaments dits « stabilisateurs d’humeur » sont en réalité des médicaments qui suppriment l’humeur. Ils détruisent la capacité de la personne à éprouver des émotions. Le lithium, longtemps présenté comme le produit miracle pour les bipolaires, inonde en fait le cerveau de toxines qui perturbent les systèmes de neurotransmission, ainsi que la propagation des signaux électriques le long des axones (les « bras » des neurones).

Le résultat est un ralentissement mental général, qui se produit chez tous les mammifères exposés au médicament.

Il faut savoir que le lithium est un métal hautement toxique, dont les propriétés destructrices pour le cerveau sont connues depuis 1949. Il fallut des décennies aux laboratoires pharmaceutiques pour oser le proposer à la vente comme « médicament ».

Autres effets indésirables

On comprend que les médicaments psychiatriques ne « soignent » que dans la mesure où ils réduisent certaines capacités du cerveau jugées gênantes pour le patient ou pour son entourage.

Moyennant quoi, ils réduisent les capacités mentales et, sur le long terme, provoquent des problèmes psychiatriques qui sont pour le coup graves et définitifs.

Je n’ai pas insisté sur les nombreux effets physiques de ces médicaments : le cerveau est la « tour de contrôle » de notre corps. Il provoque nos émotions, nos pensées, mais l’essentiel de ses capacités servent à réguler, sans que nous ne nous en apercevions, le fonctionnement de nos organes, notre équilibre, notre température…

En perturbant les neurones, nous mettons aussi gravement en danger ces fonctions vitales, ce qui réduit à grande échelle la qualité de vie, la santé et la durée de vie de millions de personnes. [12]

Avant d’aller voir le psychiatre, ou d’envoyer un proche chez le psychiatre, assurez-vous d’avoir affaire à un problème réel et qui ne passera pas tout seul.

La plupart des problèmes psychiatriques passent tout seuls

Souvenez-vous que nous sommes programmés pour nous faire du souci.

C’est une fonction essentielle de l’être humain qui augmente ainsi ses chances de survie, car cela le pousse à faire attention, à agir, à anticiper.

Mais tout cela ne signifie pas que vous êtes malade.

Vous êtes un être humain, tout simplement ! Et donc vous êtes parfois triste ou très triste, angoissé ou très angoissé. Et les souffrances morales peuvent être pires que les souffrances physiques.

C’est désagréable, car ces souffrances, à leur tour, peuvent empêcher de dormir. Le manque de sommeil nous cause d’autres problèmes (baisse d’énergie, concentration, mal de crâne, moral dans les chaussettes…)

Mais c’est ainsi. Les philosophes antiques décrivaient l’être humain comme un « irrequietum cor », c’est-à-dire un cœur inquiet.

La vie est dure. Plus les années passent, plus nous avons d’occasions d’avoir connu des accidents, des décès, et d’avoir des remords, des déceptions, des désillusions.

Il y a des coups de malchance, des événements graves qui nous retournent, nous détruisent, et la seule façon de les surmonter est de lire des livres d’Histoire et de sagesse, qui nous rappellent que l’humanité souffre beaucoup depuis son origine et que nous ne sommes malheureusement pas une exception.

Mais rassurons-nous : même si nous sommes totalement déprimé, même si nous avons l’impression d’être « au bout du rouleau », de n’avoir plus aucune chance de « rebondir », l’expérience montre au contraire qu’il est tout-à-fait probable que les choses finissent par rentrer dans l’ordre.

Une étude faite en 1997 en Grande-Bretagne, Pays-Bas et Canada par des chercheurs anglais a montré que, sans aucun médicament, les symptômes de dépression régressent au bout de six mois chez 62 % des patients (contre 33 % chez ceux qui prennent des médicaments). [13]

Une étude réalisée par des chercheurs hollandais a observé que 76 % des dépressifs qui ne prennent pas de traitement se remettent et ne retombent jamais en dépression (contre 50 % de ceux qui prennent des médicaments). [14]

Une étude de l’Organisation Mondiale de la Santé dans quinze grandes villes du monde a constaté que les patients qui ne prennent pas de traitement contre la dépression ont les meilleures chances de s’en sortir. Elle a notamment critiqué le « cliché » trop souvent répété selon lequel il serait « dangereux » de ne pas diagnostiquer et traiter la dépression, parce que supposément le patient risquerait plus de connaître des conséquences graves dans sa vie :

«  L’étude n’appuie pas l’opinion selon laquelle la non-reconnaissance de la dépression a des conséquences néfastes pour les malades », ont écrit les chercheurs. [15]

Plus rare, mais tout aussi important :

Si vous constatez d’authentiques troubles psychiatriques, chez vous ou un proche, du type hallucination, illusions, voix, etc. Ne vous inquiétez toujours pas !! C’est un phénomène qui a toujours existé chez certaines personnes et qui, dans 4 cas sur 5, disparaît de lui-même.

Aussi bizarre que cela puisse paraître, ne tombez pas dans le fatalisme, ne vous persuadez pas que vous allez forcément rester comme ça, connaître une aggravation de vos symptômes, et finir à l’asile.

De très sérieuses expériences ont lieu actuellement en Finlande, et dans certaines cliniques aux Etats-Unis, où on traite ces personnes sans médicaments antipsychotiques, par l’accompagnement, les activités apaisantes, le contact avec la nature, l’environnement social…

Au fond, ce n’est ni plus ni moins que la façon dont ces personnes étaient traitées autrefois. On les appelait des « mystiques », on s’émerveillait qu’elles soient en contact avec « les esprits », ou les « dieux ». On ne les bourrait pas de médicaments à la première crise ! Et dans la plupart des cas, la crise s’apaisait… et passait.

Tous les cas, bien sûr, ne peuvent être minimisés. Les psychiatres doivent rester un recours en cas de danger ou de problème « grave ». Mais il faut que, vraiment, le problème soit « grave », et c’est un peu la question aujourd’hui quand on sait que les médicaments psychiatriques sont devenus de loin la première source de revenu pour l’industrie pharmaceutique :

88,3 milliards de dollars en 2015 ! [16]

C’est trop.

Beaucoup, beaucoup, beaucoup trop.

 

Jean-Marc Dupuis

 

 

[1] Le mot apparaît pour la première fois dans l’usage médical chez le psychiatre français Louis Delasiauve.
[2] http://www.cerveauetpsycho.fr/ewb_pages/a/article-le-cerveau-objet-le-plus-complexe-de-l-univers-38020.php
[3] R. Pies, « Psychiatry’s new brain-mind and the legend of the chemical imbalance », Psychiatric Times, 11 juillet 2011.
[4] https://davidhealy.org/psychiatry-gone-astray/
[5] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC4172306/
[6] C. Barbui, « Effectiveness of paroxetine in the treatment of acute major depression in adults”, Canadian Medical Association Journal, 178 (2008): 296-305.
[7] https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/11939866
[8] Peter Breggin, 2015.
[9] Marangell et al. 2003.
[10] El-Mallakh et al. 2011.
[11] Csoska et Shipko, 2006.
[12] Voir Breggin 2008a et Whitaker 2010.
[13] C. Ronalds, « Outcome of anxiety and depressive disorders in primary care, » British Journal of Psychiatry 171 (1997) : 427-33.
[14] E. Weel-Baumgarten, « Treatment of depression related to recurrence, » Journal of Clinical Pharmacy and Therapeutics 25 (2000) : 61-66.
[15] D. Goldberg, « The effect of detection and treatment of the outcome of major depression in primary care, » British Journal of General Practice 48 (1998) : 1840-44.
[16] https://www.bccresearch.com/pressroom/phm/global-market-mental-health-drugs-worth-$88.3-billion-2015

 

 

NOTE DE TAL : Mon ebook Comment un malade mental peut sortir des griffes de la psychiatrie chimique et devenir thérapeute va dans le même sens et montre des voies pour sortir de l’impasse actuelle.

Voici le direct de Salim Laïbi du 9 novembre: 

https://www.lelibrepenseur.org/direct-9-nov-22-covidisme-academie-medecine-braun-blachier-cop27/

Direct 9 nov. 22 : Covidisme, Académie médecine, Braun/Blachier, Cop27…

LLP (LeLibrePenseur.org) est un site d’information indépendant fondé par M. Salim Laïbi – chirurgien dentiste – en 2006. Cette plateforme participative est dissociée de tout intérêt privé et compte parmi les sites alternatifs d’actualité les plus populaires dans l’espace francophone.

www.lelibrepenseur.org

Son analyse décrit parfaitement ce qu’est le Covidisme: on peut même aller jusqu’à dire que c’est de l’inception; je vous invite à regarder ce film avec Leonardo Di Caprio: “Inception”, dans le film, l’inception est une technique de manipulation mentale consistant à programmer une réalité virtuelle dans le subconscient d’une personne afin de lui faire croire qu’il s’agit de la réalité.

Quand on décortique la situation depuis mars 2020, on se rend compte que c’est exactement ce qui s’est produit: une pandémie mondiale imaginaire a été inventée de toute pièce et le subconscient(la perception de la réalité) des populations a tellement été bien manipulée que cette pandémie est apparue comme totalement réelle, seuls les initiés et les personnes dotées d’un esprit critique et d’un grand discernement ne sont pas tombés dans le panneau.

Les psychopathes qui dirigent notre monde ont inventé leur propre réalité délirante pour faire cadrer le réel avec leur délire et ça a fonctionné à merveille parce que les populations ont été volontairement abruties par toutes sortes de pratiques d’ingénierie sociale et affaiblies physiquement en les rendant malades volontairement plusieurs décennies en amont.

Ce que dit Salim au sujet de l’académie de médecine en est une parfaite illustration: cette “Académie de médecine” est en fait une secte qui impose son idéologie, son dogme et qui prêche, elle n’a absolument rien à voir avec la médecine, comme dit Christian Tal Schaller au sujet des vaccins: ce n’est pas de la science mais de la religion.

Conclusion: les êtres qui dirigent l’humanité sont encore plus immatures qu’elle, voilà pourquoi le monde en est arrivé à ce stade: les enfants n’ont pas les compétences pour élever d’autres enfants; ce que je dis n’est pas péjoratif, je ne fais qu’observer qu’une grande partie de l’humanité se trouve encore au stade de l’école maternelle sur le plan spirituel. 

Toute croissance spirituelle passe inévitablement par une prise de risque: dans le cas du COVID19, les plus avancés ont pris le risque d’ignorer toutes les mesures sanitaires des gouvernements et même de faire tout le contraire comme moi, c’était la seule manière de faire la preuve par neuf et de vérifier la véracité de cette pandémie et tout fonctionne de cette manière.

En informatique, pour apprendre par soi-même, il faut également prendre des risques: faire des conneries, choper des virus, foutre le système d’exploitation en l’air pour progresser et acquérir la maîtrise; si on refuse cette prise de risques, il est complètement impossible de progresser et de dépasser ses limites.

Prendre le risque de mourir fait également partie de l’initiation et c’est la plus grande difficulté à laquelle nous sommes tous confrontés pour grandir spirituellement, nous devons tous inévitablement nous confronter à la peur de la mort pour pouvoir la dépasser.

Je vous souhaite un bon visionnage de cette vidéo très instructive ainsi qu’un bon dimanche.

Gaëtan Blanchet

 

Youtube/Sécession : Manuel de résistance à l’oligarchie – Eric Verhaeghe dans Le Samedi Politique

La crise du Covid-19 a marqué pour beaucoup un tournant dans le contrôle des populations. Les outils de surveillance mis en place pendant la pandémie, conjugués au poids psychologique exercé sur les masses, ont montré que l’Etat était dans la capacité de développer leur contrôle. La propension à recourir à l’argent “magique” faisant chauffer la planche à billets a également eu un impact sur les mentalités, à l’image d’un dérèglement de la consommation incitée par la déconnexion entre l’argent et le travail. Depuis quelques mois, la guerre en Ukraine et les sanctions prises par l’Union européenne contre la Russie, tout particulièrement dans le domaine énergétique, dessine le nouveau terrain de jeu de l’oligarchie. Des pénuries au rationnement, le futur proche de la population semble voué à s’obscurcir. Dans “Sécession – Manuel d’auto-défense contre la caste”, publié chez Culture et Racines, (disponible ici https://boutiquetvl.fr/societe/eric-v… ) Éric Verhaeghe dresse un constat des outils qui nous oppressent et propose des moyens simples de s’en émanciper dans la limite des lois et du réel. L’objectif de la démarche est simple : s’extraire du maelstrom, s’émanciper des injonctions médiatiques et cesser de suralimenter l’Etat qui vous oppresse.

‘Science for Hire’, une production de Gary Null

Depuis Mercola.com :

Regardez ici : https://rumble.com/v1nk6tu-science-for-hire-full-movie-a-gary-null-production.html

L’histoire en un coup d’œil

  • “Science for Hire”, produit par Gary Null, est un film qui aborde certains des problèmes scientifiques les plus critiques menaçant la santé et le bien-être du public américain.
  • La corruption systémique de longue date dans les organisations médicales et les facultés de médecine, les agences de réglementation fédérales et les revues universitaires a conduit à un monde où règnent la pseudoscience et la désinformation
  • Les élus et les médias sont capturés par le plus offrant, et ceux qui osent parler contre l’establishment sont attaqués, leur carrière souvent détruite dans le processus
  • Le film couvre un large éventail de sujets – de la corruption à l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses (NIAID) du Dr Anthony Fauci – une branche des National Institutes of Health – à l’épidémie d’opioïdes.
  • Réservez deux heures pour regarder le film dans son intégralité pour un regard révélateur sur le côté obscur des complexes industriels scientifiques, pharmaceutiques et militaires

Par l’auteur de la bombe “Death by Medicine” qui décrivait comment le système médical américain conventionnel était devenu la principale cause de décès et de blessures aux États-Unis, affirmant que le la vie de près de 783 936 personnes chaque année. Maintenant, Null est le producteur exécutif de “Science for Hire”, un film qui aborde certains des problèmes scientifiques les plus critiques menaçant la santé et le bien-être du public américain. 2

En raison de la corruption systémique de longue date dans les organisations médicales et les facultés de médecine, les agences de réglementation fédérales et les revues universitaires, “nous entrons dans un monde où règnent la pseudoscience et la désinformation”. 3 Les élus et les médias sont capturés par le plus offrant, et ceux qui osent parler contre l’establishment sont attaqués, leur carrière souvent détruite dans le processus.

Il n’y a pas de séparation entre les gouvernements et l’industrie pharmaceutique qui opèrent, note le film, “en parallèle… pour ériger un régime mondial non réglementé, une” grande réinitialisation “, qui dictera ce que nous pouvons manger, quelles interventions médicales sont autorisées et interdites, et les récompenses et les punitions qui régissent nos choix. 4

Le film couvre un large éventail de sujets – de la corruption à l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses d’Anthony Fauci (NIAID) – une branche des National Institutes of Health – à l’épidémie d’opioïdes. Je vous invite à réserver deux heures pour regarder le film dans son intégralité pour un regard révélateur sur le côté obscur des complexes industriels scientifiques, pharmaceutiques et militaires.

Le système médical américain capturé par Big Pharma dès le début

Bon nombre des stratégies de santé les plus puissantes ne coûtent rien du tout ou peuvent être mises en œuvre à très peu de frais. Pourtant, non seulement ces stratégies naturelles ne sont pas enseignées dans les écoles de médecine conventionnelles, mais si vous allez à l’encontre des options de traitement pharmaceutiques standard, vous pouvez être contesté, réprimandé ou vous voir retirer votre licence médicale.

Ce processus d’ostracisme des thérapies naturelles a commencé en 1910 avec la publication du rapport Flexner, qui a été rédigé en commission pour la Fondation Carnegie. 5 Le rapport Flexner a essentiellement éliminé presque toutes les formes de médecine naturelle, car c’était un concurrent de la classe émergente de produits pharmaceutiques, principalement dérivés du pétrole et des produits pétroliers que John Rockefeller était à l’origine. 6

Ainsi, l’infiltration de Big Pharma dans les agences de réglementation et de santé publique remonte à plus de 100 ans, à la création de la Fondation Rockefeller en 1913. À peine deux ans plus tôt, la Standard Oil Company de Rockefeller avait été considérée comme un monopole déraisonnable et scindée en 34 sociétés, qui sont devenues Exxon. , Mobil, Chevron, Amoco, Marathon et autres. sept

Cependant, la rupture n’a servi qu’à augmenter la richesse de Rockefeller, et la fondation qu’il a créée sous son nom a été considérée comme “une menace pour le futur bien-être politique et économique de la nation”.

La Fondation, en partenariat avec Andrew Carnegie et l’éducateur Abraham Flexner, a ensuite entrepris de centraliser la formation médicale aux États-Unis, en l’orientant vers la « théorie des germes » de la maladie, qui stipule que les germes sont seuls responsables de la maladie et nécessite l’utilisation de produits pharmaceutiques pour cibler dit germes.

Avec ce récit en main, Rockefeller a financé la campagne pour consolider la médecine traditionnelle, adopter les philosophies de l’industrie pharmaceutique en pleine croissance et fermer sa concurrence. Beaucoup ne réalisent pas qu’aujourd’hui les Rockefeller possèdent la moitié de l’industrie pharmaceutique.

La croisade de Rockefeller a provoqué la fermeture de plus de la moitié des facultés de médecine américaines, a suscité le mépris du public et de la presse pour l’homéopathie, l’ostéopathie, la chiropratique, les médecines nutritionnelles, holistiques, fonctionnelles, intégratives et naturelles, et a conduit à l’incarcération de nombreux médecins en exercice. 8 L’histoire complète se trouve dans le livre de Robert F. Kennedy, “The Real Anthony Fauci”. Comme l’a noté « Science for Hire » : 9

« IL Y A ENVIRON 100 ANS, LES CHOSES COMMENÇAIENT VRAIMENT À CHANGER AUX ÉTATS-UNIS. ON PASSAIT D’UNE ÉCONOMIE AGRAIRE À UNE ÉCONOMIE INDUSTRIELLE. LES TITANS DE L’INDUSTRIE VOULAIENT VRAIMENT POUVOIR CONTRÔLER LE SYSTÈME FINANCIER MONDIAL DANS SON ENSEMBLE. LORSQUE LES ROCKEFELLER ONT REPRIS LA MÉDECINE ALLOPATHIQUE, IL EXISTAIT DE NOMBREUX TYPES D’ENSEIGNEMENT MÉDICAL AUX ÉTATS-UNIS.

IL Y AVAIT DES MÉDECINS HOMÉOPATHES ET DES MÉDECINS NATUROPATHES QUI UTILISAIENT DES MÉDECINES NATURELLES POUR GUÉRIR, ET ILS OBTENAIENT DE TRÈS BONS RÉSULTATS. UNE FOIS QUE LES ROCKEFELLER ONT PRIS LE CONTRÔLE DU SYSTÈME, ILS ONT FERMÉ CES AUTRES ÉCOLES ET ILS N’ONT FAIT QUE PROMOUVOIR LA VENTE DE LEURS MÉDICAMENTS. ILS ONT PROMU LA CHIRURGIE ET ILS ONT PROMU LA RADIOTHÉRAPIE.

LES ROCKEFELLER ÉTAIENT ÉGALEMENT EN CHARGE DE L’INDUSTRIE PÉTROLIÈRE ET DE L’INDUSTRIE CHIMIQUE. ET ILS ONT ÉGALEMENT CONCLU UNE ALLIANCE AVEC UNE ÉNORME ENTREPRISE ALLEMANDE APPELÉE IG FARBEN, QUI ÉTAIT UNE GRANDE INDUSTRIE CHIMIQUE EN ALLEMAGNE ET LE PLUS GRAND FINANCIER DE LA MONTÉE AU POUVOIR DES NAZIS.

“Dans les années 1930, la FDA est devenue un monstre”

À l’époque où la Fondation Rockefeller prenait de l’ampleur, il y avait de sérieuses inquiétudes concernant l’industrie de la viande et l’industrie alimentaire en général. Les conditions insalubres dans les usines de conditionnement de viande étaient la norme, tandis que les conservateurs et les colorants toxiques étaient largement utilisés dans les aliments. Les médicaments faisaient également de fausses allégations de « panacée » et incluaient souvent des ingrédients toxiques. dix

La Food and Drug Administration des États-Unis a été créée dans les années 1930 pour remédier à bon nombre de ces écueils et “a été vendue au peuple américain comme une agence qui allait protéger son approvisionnement en aliments et en médicaments”, note le film.

“Il y avait beaucoup de méfaits dans l’industrie alimentaire et la FDA a été créée pour corriger ce problème”, a ajouté William Faloon, directeur de Life Extension Foundation. “Ils ont évolué pour réglementer les médicaments, les dispositifs médicaux et, à ce stade, ils réglementent à peu près tout ce qui entre dans le corps humain.” 11

Mais en 1938, a déclaré Jonathan Emord, avocat constitutionnel et auteur de “Restaurer la République”, “la FDA est devenue un monstre. Et à partir de ce moment, il a grandi à pas de géant jusqu’aux années 60, lorsqu’il a acquis la compétence à la fois sur la sécurité et l’efficacité des médicaments. En 1938, sous Franklin Roosevelt, la loi sur les aliments, les médicaments et les cosmétiques a été adoptée, qui a donné à la FDA le pouvoir de réglementer les dispositifs médicaux et les cosmétiques et d’établir des normes pour les aliments. 12

Fondamentalement, la FDA s’est désignée comme experte. En 1962, un amendement a été adopté qui a élargi l’autorité de la FDA non seulement pour réglementer la sécurité des médicaments, mais aussi l’efficacité des nouveaux médicaments. Emord a poursuivi: «À ce moment-là, la FDA était en grande partie captive de l’industrie. La FDA ne fait pas elle-même de tests cliniques sur les médicaments. Il s’appuie entièrement sur les soumissions qui lui sont faites par les compagnies pharmaceutiques. Cela apparaîtrait à la personne moyenne comme un conflit d’intérêts flagrant. Et en fait, ça l’est.” 13

Leemon McHenry, professeur émérite, philosophie et bioéthique, à la California State University, Northridge, a expliqué : 14

« NOUS AVONS BESOIN DE TESTS INDÉPENDANTS POUR RETIRER LES ESSAIS CLINIQUES DES MAINS DE L’INDUSTRIE PHARMACEUTIQUE. CELA DOIT ÊTRE LA RESPONSABILITÉ DU GOUVERNEMENT ET DES UNIVERSITÉS PLUTÔT QUE DE L’INDUSTRIE PHARMACEUTIQUE QUI TESTE SES PROPRES PRODUITS. C’EST LE PROVERBIAL RENARD QUI GARDE LE POULAILLER. CE QUE NOUS AVONS, C’EST UNE CORRUPTION DU SYSTÈME. ET IL EST PARTICULIÈREMENT ALARMANT QUE LES AGENCES DE RÉGULATION DU GOUVERNEMENT NE FASSENT RIEN À CE SUJET. »

AMA, OMS, NIH, CDC Contrôlé par Big Pharma

L’American Medical Association ne fait que contribuer à la corruption de l’industrie des soins de santé, car elle vend des listes à l’industrie pharmaceutique révélant les médicaments que certains médecins prescrivent. Big Pharma peut alors récompenser les médecins prescrivant les médicaments les plus chers. McHenry a continué : 15

«L’OLIGARCHIE DES ENTREPRISES ICI A FONDAMENTALEMENT USURPÉ LES INSTITUTIONS CHÉRIES DE LA DÉMOCRATIE, QUI IMPLIQUENT DES FREINS ET CONTREPOIDS DANS LE SYSTÈME, MAIS AUSSI L’INTÉGRITÉ SCIENTIFIQUE. ALORS, QUI VEILLE À L’INTÉGRITÉ SCIENTIFIQUE ? »

Le Dr Paul Marik, médecin de soins intensifs anciennement à l’hôpital général Sentara Norfolk en Virginie-Orientale, qui est réputé pour son travail dans la création du «cocktail Marik», qui réduit considérablement les taux de mortalité par septicémie en utilisant des médicaments génériques peu coûteux et sûrs, 16 a été interviewé dans le film. Il est allé jusqu’à demander que Big Pharma soit entièrement retiré de l’équation pour protéger la santé publique dans le monde entier : 17

“L’OMS DEVRAIT ÊTRE LÀ POUR REPRÉSENTER LES INTÉRÊTS DES HABITANTS DE CETTE PLANÈTE. C’EST ÇA LEUR BOULOT. MAIS MALHEUREUSEMENT, L’OMS, LE NIH, LE CDC SONT TELLEMENT INFLUENCÉS PAR BIG PHARMA. DONC, JE PENSE, VOUS SAVEZ, QUE NOUS DEVONS ÉVOLUER AU POINT OÙ BIG PHARMA EST RETIRÉ DE L’ÉQUATION. BIG PHARMA EST LE PLUS GROS CONTRIBUTEUR AUX LOBBYISTES. ILS CONTRÔLENT LES MÉDIAS ; ILS CONTRÔLENT LA PRESSE.

AINSI, ILS ONT LA MAINMISE SUR LA LIBERTÉ D’EXPRESSION, LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE, L’INTÉGRITÉ SCIENTIFIQUE. JE PENSE QUE COVID A APPORTÉ LE PIRE À CET ÉGARD. ET JE PENSE QU’IL EST TEMPS QUE CES ORGANISATIONS REVIENNENT À CE QU’EST L’OBJECTIF, QUEL EST LE TRAVAIL FONDAMENTAL, POUR FOURNIR LA MEILLEURE SANTÉ AUX GENS DE CETTE PLANÈTE. ET CE PROFIT NE DEVRAIT PAS CONDUIRE À CELA.

Le résultat est que la liberté scientifique et la liberté académique sont des mythes. “Le NIH noue des relations contractuelles avec des entreprises qui, une fois qu’elles ont breveté un médicament, le NIH obtient un certain montant des revenus. Ils gagnent beaucoup d’argent grâce à ces médicaments brevetés et à leur développement, y compris les vaccins », a déclaré Marik. 18

Selon Robert F. Kennedy Jr., la FDA tire 45 % de son budget annuel de l’industrie pharmaceutique, tandis que l’OMS tire environ la moitié de son budget de sources privées telles que Big Pharma et ses fondations. De plus, le CDC détient 56 brevets de vaccins et achète et distribue 4,6 milliards de dollars de vaccins chaque année, ce qui représente plus de 40 % de son budget total. 19 Avec ce niveau d’emprise des entreprises, comment peuvent-elles avoir à cœur les meilleurs intérêts du public ?

L’épidémie d’opioïdes révèle les véritables motivations de l’industrie pharmaceutique

Au cours des deux à trois dernières décennies, en particulier dans le cas des médicaments à succès, a expliqué McHenry, de nombreux médicaments ont été vendus là où “le rapport bénéfice/risque n’est pas en faveur de la prise du médicament”. 20 Dans de nombreux cas, des personnes qui n’auraient pas dû prendre de médicaments ou de vaccins ont fini par avoir des effets indésirables graves après avoir pris des médicaments ou reçu des injections, comme le vaccin contre le VPH, dont elles n’avaient pas vraiment besoin.

L’épidémie d’opioïdes en est un parfait exemple. Dans le monde, 40,5 millions de personnes sont aux prises avec une dépendance aux opioïdes, une prévalence mondiale de 510 cas pour 100 000 personnes. 21 Les opioïdes ont un taux de dépendance très élevé, car ils incitent votre cerveau à libérer des endorphines qui non seulement soulagent la douleur, mais créent également des sensations de plaisir et de bien-être.

Au fur et à mesure que les bons sentiments s’estompent, l’envie de les recréer en prenant plus de pilules peut être forte, mais bientôt la tolérance se développe et une dose encore plus élevée est nécessaire pour obtenir le même coup de pouce de bien-être.

L’utilisation d’opioïdes pendant aussi peu que cinq jours augmente le risque d’utilisation à long terme, 22 et de nombreuses personnes qui commencent à prendre des médicaments pour les maux de dos ou d’autres douleurs chroniques finissent par devenir dépendantes. On estime que 21 % à 29 % des personnes auxquelles des opioïdes ont été prescrits pour des douleurs chroniques en abusent et que 8 % à 12 % développent un trouble lié à l’utilisation d’opioïdes. Beaucoup passent également à l’héroïne; on estime que 80 % des consommateurs d’héroïne ont d’abord abusé d’opioïdes sur ordonnance. 23

Malheureusement, les opioïdes continuent d’être prescrits dans les cas où des médicaments moins addictifs pourraient être utilisés à la place. Et les patients sont souvent tenus dans l’ignorance de la véritable nature addictive des médicaments, croyant qu’ils sont en sécurité puisqu’ils sont prescrits par un médecin. D’octobre 2019 à octobre 2020, il y a eu 91 862 décès par surdose estimés aux États-Unis, ce qui représente une augmentation de 30 % en 12 mois. 24

Les opioïdes, y compris l’oxycodone, l’hydrocodone et la morphine, représentaient la plupart des décès – 68 399 – suivis des opioïdes synthétiques, tels que le fentanyl et le tramadol. 25 Purdue Pharma, fabricant d’OxyContin, et ses propriétaires, la famille Sackler, paieront jusqu’à 12 milliards de dollars dans le cadre d’un règlement avec 23 États pour leur responsabilité dans le démarrage – et le maintien – de l’épidémie d’opioïdes. 26 , 27

Ceci n’est qu’un exemple. D’autres médicaments à succès, comme le Vioxx et les statines, ont également été impliqués dans des effets indésirables, y compris des décès, et leurs fabricants ont été reconnus coupables de marketing frauduleux. 28

Pandémie de COVID-19 : le point culminant de la censure et du contrôle

La seconde moitié du film détaille la censure et la corruption généralisées qui se sont produites pendant la pandémie de COVID-19. Alors que les traitements efficaces ont été minimisés et que ceux qui ont tenté de les utiliser ont été exclus de leur profession, les injections de COVID-19 ont été imposées à la population, y compris aux enfants – une population peu exposée au virus et à haut risque de préjudice par les injections.

La recherche a montré les effets des injections de COVID-19, y compris la myocardite, la diminution de la fertilité, le risque de fausse couche et les changements dans les cycles menstruels des femmes. Comme l’a déclaré le pathologiste Dr Roger Hodkinson, “S’il y a des problèmes de fertilité à la suite de cela, cela pourrait être l’erreur la plus grotesque jamais commise dans l’histoire médicale.” 29 Le Dr Richard Fleming, physicien, cardiologue nucléaire et avocat, a également expliqué : 30

“LES RECHERCHES MENÉES PAR DES CHERCHEURS INDÉPENDANTS ONT MONTRÉ QU’IL Y A DES DOMMAGES AU CERVEAU ET À D’AUTRES ORGANES DU CORPS CAUSÉS PAR CES VIRUS ET CES VACCINS APPELÉS MALADIES À PRIONS. AINSI, VOUS POUVEZ AVOIR LA MALADIE DE LA VACHE FOLLE DANS LE CERVEAU OU LA MALADIE D’ALZHEIMER DANS LE CERVEAU OU LA MALADIE AMYLOÏDE DANS LE CŒUR, QUI EST UN AUTRE TYPE DE MALADIE À PRION.

MAIS LES ÉTUDES FAITES PAR LES GENS QUI FONT LA RECHERCHE SUR LES ANIMAUX ONT ÉTÉ TRÈS CLAIRES ET TRÈS COHÉRENTES. LES MALADIES À PRIONS, L’INFLAMMATION ET LA COAGULATION DU SANG… ET DE RÉELLES INQUIÉTUDES CONCERNANT LES FAUSSES COUCHES ET AUTRES PROBLÈMES DE SANTÉ ET DÉCÈS. RIEN DE TOUT CELA N’A ÉTÉ FAIT PAR PFIZER, MODERNA, JANSSEN OU LES AUTRES SOCIÉTÉS.

Le cancer est également une possibilité, les médecins déclarant que leurs patients sont sortis de rémission après des années peu de temps après avoir reçu les injections. “Nous avons actuellement tellement de questions fondamentales en biologie auxquelles il faut répondre. Et ce n’est pas dans une boîte de Pétri. Ces produits sont maintenant présents dans 5 milliards d’êtres humains », a noté Jessica Rose, analyste de données et chercheuse postdoctorale. 31

Ouvrir la voie au contrôle mondial

À ce stade, même si l’OMS n’est pas qualifiée pour prendre des décisions en matière de santé mondiale, elle tente de prendre le contrôle de la surveillance et de la réponse à la pandémie mondiale via l’élaboration d’un nouveau traité sur la pandémie. Tel que rapporté par Ben Swann de Truth in Media : 32

“L’OMS EST SUR LA BONNE VOIE POUR AMENER PRESQUE TOUS LES PAYS OCCIDENTAUX À SIGNER CET ACCORD SUR LA PRÉPARATION À UNE PANDÉMIE QUI ACCORDERAIT À L’OMS UN POUVOIR ABSOLU SUR LA BIOSÉCURITÉ MONDIALE, COMME LE POUVOIR DE METTRE EN ŒUVRE DES IDENTITÉS NUMÉRIQUES, DES PASSEPORTS VACCINAUX, DES VACCINATIONS OBLIGATOIRES, DES RESTRICTIONS DE VOYAGE DANS LE MONDE, DES SOINS MÉDICAUX STANDARDISÉS ET BIEN PLUS ENCORE.

CE TRAITÉ COMPREND 190 PAYS ET SERAIT JURIDIQUEMENT CONTRAIGNANT. SI UNE PANDÉMIE EST DÉCLARÉE, L’OMS PREND EN CHARGE LA GESTION SANITAIRE MONDIALE DE LA PANDÉMIE. DE PLUS, L’OMS AURAIT LE PLEIN CONTRÔLE SUR CE QU’ON APPELLE UNE PANDÉMIE. ILS PEUVENT DICTER COMMENT LES MÉDECINS PEUVENT RÉAGIR, QUELS MÉDICAMENTS PEUVENT ET NE PEUVENT PAS ÊTRE UTILISÉS OU QUELS VACCINS SONT APPROUVÉS. ET C’EST POUR LE MONDE ENTIER, PAS SEULEMENT POUR UN PAYS.

Bill Gates est également en train de constituer une équipe d’intervention en cas de pandémie pour l’OMS, surnommée “Global Epidemic Response & Mobilization”, ou GERM, Team. Cette équipe sera composée de milliers d’experts en maladies sous la responsabilité de l’OMS et surveillera les nations et prendra des décisions sur le moment de suspendre les libertés civiles pour empêcher la propagation d’une maladie. 33

Swann a poursuivi: «Bill Gates a annoncé la création d’une équipe allemande pandémique qui surveillera les nations souveraines et décidera quand elles doivent suspendre les libertés civiles, forcer les gens à porter des masques et à fermer les frontières. Selon Gates, l’équipe mondiale sera composée de quelque 3 000 experts en maladies sous la responsabilité de l’OMS et recevra environ 1 milliard de dollars par an en financement. 34

Tous ces efforts – l’orchestration des agences de santé capturées par l’industrie, la recherche sur le gain de fonction, la manipulation des médias, la chute de la crédibilité scientifique, la propagande et la création de traités de «préparation à une pandémie» – sont destinés à aboutir à une chose – l’habilitation du pouvoir mondial. “C’est un nouveau véhicule pour exercer un pouvoir économique et politique mondial”, note le film. “C’est la réalité qui est derrière tout cela et nous devons nous réveiller.” 35

blog77b

 

ECRIRE POUR MIEUX DORMIR

Nelson Mandela avait une habitude méconnue durant ses 27 ans d’emprisonnement qui lui permettait de trouver le bonheur, le calme, et de mieux gérer ses émotions.

Cette habitude c’était d’écrire ses pensées dans un journal.

De 1970 à 1990 il écrivait être reconnaissant d’avoir du lait dans son thé, la joie de voir un troupeau de canards patauger bêtement ou encore que « Continuer à écrire, était la possibilité qu’un jour la chance soit de notre côté… »

Le simple fait d’écrire ses pensées et d’exprimer son sentiment lui donnait un peu de plaisir et de satisfaction. 

Emmanuell Ryser qui est spécialiste en récits vante l’effet libérateur de l’écriture : «Il n’est pas rare de ressentir ce besoin d’écrire lorsque l’on vit de grandes émotions. Cela peut avoir un effet cathartique: on déverse son malheur sur la page. C’est souvent libératoire. Personnellement, j’en ai besoin, l’écriture fait partie de mon équilibre, d’une certaine hygiène de vie.»1

Ceux qui tiennent un journal disent : 

  • Dormir sur leurs deux oreilles 
  • Évacuer une partie de leur anxiété
  • Réduire les symptômes de dépression
  • Ouvrir l’esprit
  • Clarifier leurs pensées
  • Mettre les choses en perspective
  • Augmenter leurs capacités de pleine conscience et de mémoire
  • Prendre le contrôle sur leur vie

Les études confirment : l’expression écrite de ses pensées aide à réduire la peur, la colère, la tristesse.

Et le chercheur de l’université de Californie, Matthew Lieberman, a démontré dans ses travaux que cette pratique diminue l’activité des centres amygdaliens et permet donc de mieux gérer ses émotions.

Note de TAL : Pour ma part, le fait d’écrire des poèmes m’a toujours aidé à me libérer des poids de la vie quotidienne ! Mon ebook POESIES POUR GUERIR est un reflet de la force de l’écriture

 

Final pour les anglophones :

blog77c

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