Chers amis,

Voici des infos utiles en ces temps de grande mascarade, où le virus de la peur a remplacé le coronavirus ! Il est presqu’incroyable que les autorités et les media arrivent à dire des choses aussi peu logiques et aussi peu scientifiques que le port de masques obligatoires alors que l’épidémie est terminée. Mais on comprend que leur but est de maintenir les populations dans le stress, la peur et l’obéissance même si les arguments pour justifier cela manquent totalement. Evidemment les « scientifiques » bien payés par les multinationales continuent un discours abracadabrant mais calculé pour vous faire espérer le « vaccin sauveur » qui va être présenté cet automne et qui fera de vous un OGM pucé et soumis, par la 5G aux ordres des technocrates qui veulent diriger le monde. J’espère que l’éveil des consciences parviendra à les faire échouer ! Retroussons nos manches pour diffuser des informations salvatrices autour de nous.

À méditer

Un professeur a amené des ballons à l’école et a demandé aux enfants de les gonfler.

Et que chacun écrive son nom sur un ballon.

Ils ont jeté tous les ballons dans le couloir et le professeur les a mélangés d’un bout à l’autre.

Ensuite le professeur leur a donné 5 minutes pour trouver le ballon avec leur nom dessus. Les enfant allaient dans tous les sens, regardant frénétiquement, mais quand le temps a été écoulé, personne n’avait trouvé son propre ballon.

Puis le professeur leur a dit de prendre le ballon le plus proche d’eux et de le donner à la personne dont le nom est écrit dessus. En moins de 2 minutes chacun avait son propre ballon.

À la fin, après que les élèves aient pu s’exprimer sur ce qu’ils apprenaient de cette expérience, le professeur a dit ceci :

« Les ballons sont comme le bonheur. Personne ne le trouvera s’il cherche le sien seulement. Au lieu de cela, si tout le monde se soucie les uns des autres, chacun trouvera son propre bonheur plus aisément ».

 

Leçon : Chacun pour soi n’aboutit à rien

OBLIGATION DU MASQUE
Mesure sanitaire
ou mesure politique ?

Newsletter de Michel DOGNA

Voilà encore un sujet qui risque de m’amener une désapprobation violente, voire une nouvelle rafale de désabonnements de la part de certains peureux formatés par TELEMENSONGES.
Que m’importe puisque mon abonnement est gratuit ! Ainsi, après quelque hésitation, j’ai quand même décidé de me lancer dans l’aventure car j’aime le risque, et que je vois de plus en plus de gens qui trichottent en mettant le masque sous le nez ou carrément sous le menton (ce que je fais aussi) ; et que j’ai bien envie de justifier ceux-là, dans leur choix de braver un règlement prétendument d’ordre sécuritaire.
Je vais donc expliquer pourquoi ces gens ont mille fois raison même s’ils réagissent d’une façon instinctive.

L’erreur pasteurienne entretenue

Pour commencer, si vous croyez dur comme fer que les virus et les microbes sont la cause des maladies, il vaut mieux ne pas continuer cette lecture. Pasteur en son temps était excusable car il découvrait tout juste l’existence du monde microbien.
Pourtant le génial Béchamps et le grand Claude Bernard disaient l’inverse, c’est-à-dire que leur présence était la conséquence et non la cause – qui n’a pas entendu sa célèbre formule “Le terrain est tout, le microbe n’est rien” ? Il se dit d’ailleurs qu’au moment de sa mort Pasteur avoua “je me suis trompé”.
Mais l’industrie pharmaceutique a sauté sur l’occasion de sacraliser la version pasteurienne qui désignait les microbes comme un ennemi extérieur à abattre, ceci pouvant générer un gigantesque business.
De fait, l’exploitation de ce dogme erroné l’a élevée au premier rang financier de toutes les industries ; et malheur à celui qui s’aventure à donner un coup de pied dans ce mensonge enseigné à tous dès l’école, qui a permis de réaliser la manne pharaonique rapportée par les vaccins.

  • NOTA : Etant d’origine paysanne, j’ai toujours su qu’un terrain à chardons est considéré malade et déséquilibré. Détruire les chardons ne sert à rien, ils reviennent parce qu’ils se plaisent là. Autre exemple, dans l’ulcère d’estomac il y a présence de l’Helicobacter, et l’on vous donne un antibio pour l’éliminer – c’est aussi stupide que de chasser les mouches d’une gangrène pour la guérir.

Les virus sont partout

Il a fallu l’arrivée des microscopes électroniques pour découvrir les virus car ils sont trop petits pour être décelés avec des microscopes optiques simples. Savez-vous que nous sommes une usine ambulante de micro-organismes qui sont aussi nombreux que nos quelques milliards de cellules et même plus, ceci représentant un poids de 4 à 5 kg par individu de petits ouvriers amis collaborant 24 h sur 24 à notre survie.

Les études actuelles ont montré que certains virus sont des excrétions de cellules intoxiquées, qui pour se purifier sont contraintes d’expulser des débris nuisibles. De ce fait, les virus sont des éléments protéinés d’ADN ou d’ARN expulsés de cellules empoisonnées.
Les virus ne sont donc pas la cause de la maladie, mais de la toxicité qui mène à ces excrétions. Ces virus dits pathogènes ne sont donc que des messagers indiquant au corps qu’il doit se débarrasser d’une toxicité ; et lorsque c’est fait, ils meurent.

Ceci est le côté endogène (interne), mais il y a aussi la partie exogène (extérieure)

Selon les endroits de prélèvement, chaque mètre cube d’air contient entre 1.7 et 40 millions de virus, et entre 860 000 et 11 millions de bactéries. En particulier, nous inhalons en moyenne 200 000 virus par minute.
Sont-ils tous des ennemis ? Certainement pas, pas plus que les moustiques ne sont pas tous porteurs de la malaria. Et là, c’est le rôle de nos défenses immunitaires (leucocytes – lymphocytes – NK) de faire la douane. D’ailleurs tout ce qui vit est doté de défenses contre des éventuels prédateurs, même les plantes en exhalant des parfums aromatiques.

Les barrières naturelles

  • La peau, dont le sébum est la première barrière de l’épiderme avant les couches profondes du derme. Se décaper sans cesse la peau avec des savons est une ineptie de l’asepsie totale qui tue la flore cutanée ; j’ai remarqué que les gens qui se douchent tout le temps avec les gels parfumés du commerce sont plus fragiles que ceux qui se contentent d’un rinçage à l’eau chaude et ne se savonnent pas régulièrement. Donc vive la crasse propre !
  • Le tube digestif, dont l’acidité gastrique est une première barrière solide avant d’arriver à la flore intestinale.
  • Les muqueuses nasales qui protègent le cerveau et le système broncho pulmonaire et qui doivent être en bon état, non enflammées et humides – à savoir que des muqueuses sèches ne fonctionnent plus. Et c’est là que nous en arrivons au port du masque…

Le masque : un filtre illusoire ?

La taille moyenne d’un coronavirus est de 20 nanomètres (= 20 millionièmes de mm = 2 centièmes de microns). Les lumières (espaces) entre les mailles des masques font parait-il 3 microns de côté. Il peut donc passer 150 coronavirus côte à côte, et au carré cela nous donne 22 500 virus par maille – en multipliant par le nombre de mailles que je ne connais pas cela doit donner des millions de virus pouvant passer simultanément.
J’espère que les masques chirurgicaux ne sont pas les mêmes…

Les effets collatéraux des masques

  1. – D’après les essais d’une vingtaine de laboratoires, nous subissons une perte de près de 20% d’oxygénation – or nos plus grands consommateurs constants au repos sont le cerveau et le cœur – pour ceux qui sont déjà en insuffisance respiratoire (qui respirent par la bouche au moindre effort) c’est catastrophique.
    Si de plus par malheur on se trouve dans une zone couverte par la 5G avec le 60 giga Hz branché, qui comme nous l’avons déjà vu, crée un oxygène excité partiellement inutilisable par l’hémoglobine du sang pour son transport, on peut craindre le pire !
  2. – Toujours par ces mêmes laboratoires, on apprend que nous recyclons ainsi 25 à 30% de notre CO² – d’où de possibles maux de tête, mais aussi une baisse des défenses immunitaires. Par contre, c’est à mon avis bon contre la spasmophilie.
  3. – Si vous inhalez un méchant virus grippal ou autre pathogène, au lieu de le rejeter au moins en partie, ceci limitant son agression, vous le recyclez sans cesse ce qui augmente dangereusement votre charge virale, et donc nécessite des forces immunitaires beaucoup plus importantes et un risque augmenté d’être très malade.
  4. – Il est dit que le port du masque en conduisant est dangereux, car il peut induire des étourdissements sur certaines personnes. Je veux bien le croire car j’ai appris que parmi des jeunes qui portent continuellement le masque (par choix personnel), certains tombent en syncope dans la rue…
  5. – Si l’on m’avait dit il y a quelques années que bientôt on serait interdit d’accès d’entrée dans une banque si l’on n’est pas masqué… j’aurais pris cela pour un gag !

Contradictions et inepties flagrantes

  • Quand il n’y avait pas de masques disponibles en France, on nous a dit qu’ils étaient inutiles.
  • Quand ils sont arrivés ils sont devenus indispensables et obligatoires, avec 135 € d’amende aux contrevenants.
  • De qui se moque-t-on ?

Certains me disent que les pays où tout le monde porte un masque (Japon, Corée du sud) sont ceux où il y a eu le moins de décès, Hong Kong y compris où 7,5 millions d’habitants vivent dans une forêt de gratte-ciels accrochés sur un pan rocheux, donc avec la plus forte densité de population au monde – mais ceci n’est qu’une interprétation, car dans ces pays il n’y a jamais eu de confinement généralisé – et l’on a pu constater que la mortalité a été maximale dans les pays confinés (Italie, France, Espagne…), donc manquant de solarisation.
En outre, on sait maintenant que les rayons UVB tuent instantanément le covid.

Par ailleurs, on nous dit qu’il y a des gens testés positifs qui n’ont aucun symptôme et qui sont donc dangereux s’ils ne portent pas de masque, ce qui revient à justifier le port du masque pour tous.
Or, différentes études statistiques de suivis de contacts de porteurs sains effectuées contestent cette allégation, et c’est même l’OMS qui le dit : Aucun positif asymptomatique n’a transmis la maladie.

Lorsque je vois des gens masqués qui font de la moto, du vélo, ou du jogging dans la nature ou mieux encore monsieur et madame masqués dans leur voiture (à qui j’ai envie de demander s’ils gardent le masque dans le lit), je me dis que ces peureux incapables de réfléchir par eux-mêmes sont déjà des esclaves dans l’âme et fiers de l’être.

 

Aux USA, pendant que le port du masque est rendu obligatoire dans les états majoritairement démocrates (vassaux du gouvernement profond sataniste et sauvagement anti Trump), Donald Trump a éjecté l’OMS, fait entrer massivement le traitement Raoult à disposition, déconfiné les gens en bonne santé et dispensé du port du masque.
A la grande et magnifique fête anniversaire de “l’Indépendance Day” des Etats Unis au Dakota du sud à Rushmore au pied de la montagne sculptée avec les célèbres têtes des quatre grands présidents d’Amérique (Washington, Lincoln, Jefferson, Roosevelt) la présence de Donald Trump et de sa femme Mélania a été un délire d’ovations lors de son discours … et ni lui ni personne des milliers de participants ne portaient de masque !

  • Nota : comme par hasard, silence radio total en France sur le reportage de 2h 25 de cet événement majeur à portée mondiale où il apparaît clairement que Trump est en train de faire aboutir le plan de libération de l’humanité que JF Kennedy avait initialisé, et qui lui avait coûté la vie. A noter que le président Trump a déjà fait l’objet – parait-il – de 25 attentats qui ont été à chaque fois déjoués…

Conclusion

  • Il est clair que ces mesures illogiques imposées ont pour but de nuire à la communication entre les personnes, à entretenir la méfiance des autres et la peur de la maladie (ce qui baisse les défenses immunitaires). Le but final est de toute évidence de faire accepter, voire réclamer « le vaccin miracle » et détourner l’attention de la généralisation de la 5G.
  • Enfin, on comprend mal que face à un plan avoué de dépopulation de la planète, il soit préconisé des mesures pour protéger les gens.
    Mes amis, vous voyez bien que depuis longtemps le mensonge est roi et que toutes les valeurs sont inversées. C’est pour cela que lorsqu’on vous dit d’aller à gauche, il faut aller à droite, et inversement, mais tous ensemble !

Devant des lois criminelles avérées,

le devoir du peuple est la désobéissance civique.

blog9a

 

LETTRE A DONNER A UN MEDECIN AVANT UNE VACCINATION

https://www.infovaccinsfrance.org/-/legislatif/la-lettre-qui-tue/

CETTE LETTRE CORRESPOND A LA LOI DU LIBRE CONSENTEMENT ECLAIRE : le médecin doit vous donner des informations précises avant tout acte médical !

La vaccination, pionnière de l’identification numérique mondiale

L’appel à des vaccinations de masse et la demande d’une carte d’immunité ont tous deux été lancés en public pendant la crise du coronavirus. Kla.TV informe ses téléspectateurs dans cette émission sur les liens entre l’industrie de la vaccination avec Bill Gates et l’identification numérique. Saviez-vous que le vaccin est également destiné à vous « implanter » une identité numérique en même temps ? Découvrez le projet d’asservissement de l’humanité par un contrôle universel – et découvrez-le maintenant ! [lire la suite]
www.kla.tv/16685

Grippe espagnole : des morts en masse dues aux vaccinations de masse ?

Pour souligner la menace que représente le coronavirus, les médias font régulièrement référence à la « grippe espagnole » de 1918, qui aurait causé 20 à 100 millions de morts. Mais la théorie d’un dangereux agent pathogène de cette grippe ne peut être confirmée. Les sources historiques mettent en lumière des faits très différents [lire la suite]
 www.kla.tv/16731

 

QUELQUES ACTIONS MARQUANTES DE TRUMP

Donald Trump mène un combat de pied ferme pour changer le pouvoir établi du nouvel ordre mondial.

A rappeler tout d’abord il n’a reçu aucun soutien financier lors de sa candidature à la présidence des USA car il s’est auto-financé avec sa propre fortune

Voilà certaines de ses actions depuis le début de son mandat:

1.- Il a rendu les vaccins non obligatoires. Les militaires vont vérifier la pureté des vaccins et les distribuer. Cela signifie que les citoyens Fédéraux ne seront pas contraints de se faire vacciner. Les Américains n’ont jamais été soumis à une telle obligation.

2.- Il a arrêté le financement de l’Organisation Mondiale de la Santé OMS et lancé une enquête sur son fonctionnement.
https://www.lemonde.fr/…/donald-trump-annonce-que-les-etats…

3.- Il a mis fin au projet de loi Démocrate de la Chambre des Représentants HR 6666, connu sous le nom de Loi TRACE du Covid-19 – le projet de diagnostic et de suivi (surveillance) de Bill Gates. Soutenu par les Démocrates.

4.- Il a annulé un autre projet de Bill Gates – ID2020, qui aurait permis d’identifier les gens comme du bétail.

5.- Il a ouvert un forum destiné à recueillir les plaintes pour censure de la part de Facebook, Twitter et YouTube.
https://fr.sputniknews.com/…/202006051043903501-twitter-su…/
https://m.youtube.com/watch?feature=youtu.be&v=jDvkV5Iocy4

6.- Il a arrêté l’installation au niveau national de la 5G. (Huawei)

7.- Une enquête contre lui pour collusion avec la Russie a été ouverte afin de le destituer et rien n’a été trouvé..
https://fr-mb.theepochtimes.com/spygate-lhistoire-vraie-dun

8.- Émis un Décret Présidentiel pour prendre le contrôle des réseaux électriques, ce qui va mettre fin indirectement à l’usage prohibé des ondes publiques par des groupes de surveillance privés — tels que le réseau hors de contrôle que des parties inconnues ont constitué pour remplir nos cieux de 78.000 minisatellites.

9.- Déclaré les lieux de culte comme des “Services Essentiels” et mis fin à cette stupide querelle insensée antireligieuse.

10.- Applaudi les efforts de l’Australie et de 116 autres pays pour découvrir ce qui s’était vraiment passé à Wuhan et comment la maladie s’est répandue en Italie et dans le monde entier alors qu’elle n’a jamais atteint Pékin – et d’autres anomalies inexplicables.

11.- Il a fermé ses frontières avec la Chine dès le début de l’épidémie contre l’avis de l’OMS.

12. Il a demandé une étude sur le traitement du Pr Raoult et s’est auto-prescrit le traitement en prévention.

13. Il était contre le confinement strict des citoyens américains, et a appelé les citoyens à défendre leurs libertés.

14. Il a nationalisé la Réserve Fédérale Américaine (FED), et rendu la souveraineté monétaire aux USA.

15. Il n’aime pas les médias mainstream et les a traité de “Fake News”.

16. Il combat la pédocriminalité et le trafique d’organes en arrêtant plus de 3700 personnes impliqués.
https://fr-mb.theepochtimes.com/trump-cree-un-nouveau-…/amp…
https://m.youtube.com/watch?v=uk5jwBdlXSA&feature=youtu.be
https://www.patriote.info/…/video-trump-declare-la-guerre…/…

17. Dès son élection il a arrêté les traitées de libre échange internationaux.

18. Il n’est entré dans aucun nouveaux conflits internationaux. Il souhaite même prolonger et améliorer le traité de l’alliance atomique avec la Russie.
https://fr.sputniknews.com/…/202006031043892459-trump-veut…/

Cette liste n’est pas exhaustive car chaque jour connaît un rebondissement.

Je le soutiens donc dans son action contre l’état profond et ces satanistes aux pouvoirs depuis bien trop longtemps !
https://m.youtube.com/watch?feature=youtu.be&v=Ql9n_SMKaIs
https://www.lalibre.be/…/twitter-n-exclut-pas-de-suspendre-…

Faite vos propres recherches et n’écoutez plus les médias qui nous manipulent.

 

Déjà 26 enfants morts : L’OMS suspend le vaccin Quinvaxem

blog9b

Selon les rapports, au moins 26 enfants sont morts et la santé de plusieurs autres a été sérieusement endommagée après qu’ils aient reçu un vaccin avec 5 valences, à savoir le Quinvaxem. [1] Les journaux ont rapporté que toutes les victimes ont subi des effets indésirables dont la fièvre, des vomissements et l’apparition d’ecchymoses sur l’ensemble du corps. [2] Le Quivaxem qui est offert gratuitement par l’UNICEF, est un vaccin « préqualifié à l’essai » pour les pays en voie de développement. Actuellement administré aux bébés dès l’âge de huit semaines, ce vaccin pentavalent est destiné à protéger les nourrissons et les jeunes enfants contre la diphtérie, le tétanos, la coqueluche, l’hépatite B et HiB (Haemophilus influenzae de type b).

Selon les rapports, les autorités locales ont suspendu tous les lots controversés pour pouvoir procéder à des vérifications. Le Ministère de la Santé a cependant déclaré que le vaccin ne posait aucun problème quant à sa qualité, sa distribution, sa conservation ou son administration. [3]

Bien que des décès aient été signalés au Vietnam, au Sri Lanka, au Pakistan, au Bouthan et en Inde, l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) s’en est tenue à évoquer la sécurité du Quinvaxem, indiquant que toutes les études du vaccin, fabriqué en Corée du sud, confirmaient sa sécurité !

Enfants utilisés comme cobayes

Voici un nouvel exemple d’enfants qui meurent et beaucoup d’autres qui souffrent des effets secondaires d’un vaccin testé sur des enfants vulnérables de pays en voie de développement. N’est-il pas grand temps que l’OMS arrête de prétendre que leurs programmes sont destinés à protéger les enfants ?

J’invite les lecteurs à lire un document rédigé par le Dr Rebecca Carley intitulé : « Vaccinations : les véritables armes de destruction massive (qui provoquent des maladies induites par les vaccins) », dans lequel elle écrit :

« En fait, la « prévention » d’une maladie par le biais de la vaccination représente en réalité une incapacité à expulser certains organismes en raison de la suppression de la réponse à la médiation cellulaire. Ainsi, plutôt que de prévenir la maladie, la vaccination empêche que cette dernière trouve une solution. » [4]

Le Dr R.Carley a pris conscience de toutes ces atrocités et elle a tenté désespérément de mettre tout le public en garde.

La maladie de Kawasaki

Il est tout à fait possible que nombre de ces enfants aient souffert d’une réponse auto-immune après qu’on leur ai injecté ce vaccin. Je base mon opinion sur une série d’articles et d’études effectuées sur la maladie de Kawasaki. La maladie de Kawasaki est une maladie auto-immune qui peut survenir après une vaccination. En fait, les scientifiques qui ont étudié de près cette maladie disent que des preuves suggèrent fortement qu’un agent infectieux comme un virus ou un vaccin puisse provoquer la maladie. Les enfants souffrant de la maladie de Kawasaki souffrent de symptômes très proches de ceux des enfants qui ont été vaccinés avec le Quinvaxem. J’ai établi un lien avec le Quinvaxem car la maladie peut entraîner les problèmes suivants :

* Yeux rouges et injectés de sang provoqués par une conjonctivite (mais sans présence de pus)

* Couperose, taches rouges principalement sur le tronc ou sur les organes génitaux.

* Lèvres sèches, rouges et fissurées

* Langue rouge, enflammée avec des taches blanches circulaires ; gorge rouge.

* Ganglions lymphatiques gonflés de chaque côté du cou.

* Mains et pieds gonflés qui deviennent rouges et durs avec desquamation des doigts et des orteils deux à trois semaines après que la maladie a débuté.

* Mal de gorge

* Toux

* Abdomen douloureux

* Vomissements

* Diarrhée

* Articulations gonflées ou douloureuses.

Plusieurs enfants peuvent mourir d’une insuffisance cardiaque ou d’une crise cardiaque. Au Royaume-Uni et aux Etats-Unis, la maladie de Kawasaki est réputée être la cause la plus courante de maladies cardiaques chez les enfants. [6]

Dans un document publié par P.A. Brogan et al et intitulé : « Maladie de Kawasaki : une approche fondée sur des preuves pour le diagnostic, le traitement et les futures recherches », les auteurs déclarent :

« En 1967, Kawasaki Tomisaku décrit le cas de 50 enfants japonais atteints de fièvre, d’éruptions cutanées, d’érythème, de gonflement des mains et des pieds et d’adénopathies cervicales… KD (Kawasaki Syndrome ; Kawasaki Disease) est la plus fréquente au Japon, où plus de 125.000 cas ont été signalés. La maladie est également plus fréquente chez les japonais et les autres enfants asiatiques vivant à l’étranger. Les enfants âgés de 6 mois à 5 ans sont les plus sensibles avec un pic d’incidence chez les enfants de 9 à 11 mois. On a signalé des variations saisonnières de la maladie, avec l’apparition d’un pic en hiver et au printemps. On n’a pas observé de contagion directe de personne à personne. Au Japon la maladie est plus fréquente entre frères et sœurs avec un pic d’incidence de 8-9% entre frères et sœurs de moins de deux ans. »

Il est intéressant de noter que les auteurs mentionnent la vaccination comme un déclencheur possible :

« … L’irritabilité est un signe important ; elle est presqu’universellement présente bien que ne figurant pas dans les critères de diagnostic. Le mécanisme exact de l’irritabilité n’est pas clair, mais il peut être lié à la présence d’une méningite aseptique. Un autre signe clinique qui n’est pas repris dans les critères de diagnostic et qui est relativement spécifique à KD (Maladie de Kawasaki), est l’apparition d’un érythème et d’une induration aux sites de la vaccination BCG… Comme un nombre croissant de nourrissons reçoivent le BCG au Royaume Uni, il est probable que ce signe deviendra de plus en plus habituel et la prise de conscience de ce fait pourrait permettre un diagnostic et un traitement plus précoces. »

Si vous lisez attentivement les déclarations qui précèdent, vous pourrez reconnaître que l’âge des enfants le plus à risque de contracter la maladie est précisément l’âge à partir duquel les enfants reçoivent le plus de vaccins.

Le Dr Michael Innis se réfère souvent à la maladie dans les cas où des enfants sont abusés. Elle dit que les marques et les ecchymoses que l’on retrouve dans la maladie de Kawasaki sont souvent confondues avec la maltraitance des enfants. [7]

Trois chercheurs qui ont écrit un article intitulé « La maladie de Kawasaki chez un nourrisson après la vaccination » et publié par l’Institut National de Santé, précisent dans leur résumé :

« Nous décrivons ici le cas d’un enfant de 35 jours qui a fait la maladie de Kawasaki 1 jour après avoir reçu la seconde dose du vaccin contre l’hépatite B. Bien que très rare, cet effet secondaire possible doit être noté et étudié d’une manière plus approfondie. » [8]

Ce document a été écrit en 2003. Comment se fait-il dès lors que le lien entre vaccinations et le syndrome de Kawasaki n’ait pas fait l’objet d’un examen plus approfondi ? Un autre article intitulé « Maladie de Kawasaki après vaccination : rapport d’événements indésirables (système de déclaration) 1990-2007. » stipule : « Depuis le 14 octobre 2007, 107 rapports de KD (maladie de Kawasaki) ont été transmis au VAERS : 26 cas ont été considérés classiques, 19 cas classés atypiques, 52 cas possibles, 10 non classifiés. Sur 97 cas, 91% étaient des cas d’enfants. » [9]

Les auteurs ont conclu que leur étude ne voulait pas suggérer un risque élevé de maladie de Kawakasi pour le RotaTeq ou les autres vaccins, ils suggèrent que soit poursuivie la surveillance post-commercialisation pour la maladie de Kawasaki.

Tous ces documents suggèrent que la série habituelle des vaccins puisse éventuellement accroître le risque pour les enfants de faire cette maladie.

L’un des articles parmi les plus mémorables qui fait comprendre que la maladie de Kawasaki peut survenir après les vaccinations a été écrit par Lisa Blakemore-Brown dans une réponse à une étude finlandaise au sujet de la sécurité du vaccin ROR dans le British Medical Journal de 2001. Elle écrivait :

« Si un groupe de personnes s’effondrent après avoir mangé, par exemple de la sole limande dans un restaurant, on trouverait inacceptable et ridicule que les responsables tentent d’étouffer l’affaire en disant que des millions de gens mangent de la sole limande tous les jours et qu’il n’y a pas de problème. De leur côté, les responsables de la Santé et de la sécurité n’hésiteront pas à aller droit au but: ils examineront les personnes malades, le poisson du restaurant et vérifieront les tests de laboratoire.

Comme des centaines de parents se sont rendu compte que leurs enfants réagissaient au vaccin et que dans certains cas, on avait affaire à « une nouvelle variante de l’autisme », à la perte des compétences en communication, à des déficiences motrices, à des problèmes intestinaux, n’aurait-on pas pu considérer qu’il appartenait au gouvernement de chercher à obtenir des réponses ?

Cette incidence de l’autisme est indiscutable. Il ne s’agit pas d’un meilleur dépistage de l’autisme. Ce TYPE d’autisme est inhabituel et déroutant pour des professionnels de l’éducation à la santé. Un des cas que j’ai pu observer était une réaction claire et indiscutable au vaccin contre la coqueluche. On a pu observer que l’enfant en question souffrait de la maladie de Kawasaki, son système immunitaire s’étant retourné contre l’enfant. Il s’agissait d’un cas d’Asperger. Il n’existait aucun cas d’autisme dans la famille, mais le bébé souffrait d’allergies avant la vaccination. Ce sont des examens scientifiques comme celui-ci qui pourront finalement nous permettre de mettre en place les mesures qui pourront rassurer le public.

Le refus catégorique de s’occuper des véritables problèmes et de s’occuper des individus qui souhaitent pouvoir choisir nous semble relever d’une politique dangereuse, tout spécialement avant une élection. » [10] J’ai choisi de publier cet extrait parce qu’il peut concrétiser certains conseils très fermes pouvant s’appliquer à des organisations comme l’UNICEF qui offrent aux enfants des vaccinations comme s’il s’agissait de bonbons.

Comme ce fut le cas pour le Dr Carley, le travail de Madame Blakemore-Brown a été lui aussi discrédité, alors qu’il s’agit de professionnels talentueux et doués qui partagent les graves inquiétudes de centaines d’autres professionnels de la santé et qui font les mêmes déclarations. Nombre d’entre eux ont été les cibles de campagnes de haine avant de voir leur carrière sabotée.

Conclusion

L’OMS et l’UNICEF ne se sont pas gênées d’effectuer des tests et d’offrir gratuitement des vaccins douteux aux populations pauvres et vulnérables des pays en voie de développement. La vie de ces enfants est aussi très précieuse. Ce ne sont pas des rats de laboratoire ni des cobayes que l’on peut utiliser à volonté. Ce sont des enfants comme tous les autres ; Ils ont des frères, des sœurs, une maman, un papa, des oncles, des tantes et des grands-parents qui les aiment beaucoup.

Leurs parents crédules croient la propagande que des groupes comme l’UNICEF met à leur disposition. Ils croient que ces vaccins sont sans danger et qu’ils protégeront leurs précieux bébés. Au lieu de cela, leurs enfants sont en train de mourir après avoir reçu des vaccins.

Références

  1. http://www.examiner.com/article/at-least-26-infants-five-countries-dead…
  2. http://kinhbacenglish.blogspot.co.uk/2013/03/vietnam-province-recalls-quinvaxem.html
  3. http://talkvietnam.com/2013/01/who-deems-vaccine…
  4. www.drcarley.com/innoculations_wmd_dr_carley.pdf
  5. http://www.vaccineinjuryhelpcenter.com/kawasaki-disease-vaccine/

 

RAISONS DE REFUSER LE TEST

Les « gentils » vaccinateurs suivent leur méthodologie habituelle. Ils vont commencer par les tests. Ils testeront les gens gratuitement (bons de la sécu) dans les villes d’Ile de France les plus défavorisées (les plus musulmanes aussi). Il y a actuellement une liste de 32 villes publiée par Veran (liste non exhaustive qui s’étendra ensuite à la France entière). Cela ressemble à une opération humanitaire.

Ils utiliseront les bâtons dans le nez, dangereux pour plusieurs raisons :

1/ risque de perforation des sinus et atteinte du 2ème chakra (ajna, le chakra de la clairvoyance).

2/ risque d’inoculer par ce moyen des nanoparticules, virus ou bactéries…

3/ risque de fichage de la population.

4/ risque de chantage : une personne entrée à l’hôpital récemment pour se faire opérer a refusé de se faire tester, se sachant parfaitement saine. On l’a alors menacée de ne pas l’opérer. Elle a été obligée de subir ce test invasif.

5/ risque de faux positifs, ces tests n’étant pas fiables.

Les tests ne sont que la 1ère étape du processus… Vous avez compris la suite.

Question : pourquoi toujours s’attaquer en premier aux plus défavorisés, aux handicapés, aux enfants, aux vieillards, aux immigrés d’origine maghrébine et musulmans ?

https://aphadolie.com/2018/12/31/vaccingate-litalie-decouvre-une-fraude-massive-liee-aux-vaccins/amp/

Rappel préalable vidéo 7mn28, qui parle aussi de vaccins

=> La recette macabre du créateur des vaccins Dr S. Plotkin : fœtus d’avortement coupés et cultivés

https://www.youtube.com/watch?v=PJjZVLsUThc&feature=share&fbclid=IwAR0BQ33d50YS3_TEJnrXocrndICQyl9v1y-Vz_H2PxCZo7eGA7ZjJ5U5hLk

 

Youtube : Marcel sur le Covid-19 au Racisme, Soros, Traoré/Floyd…

« Covid-19 a transformé la santé publique en une expérience qui tue les patients »

blog9c

DU SITE PREPARE FOR CHANGE

R Editeur : Off-Gardien est Catte noir nous invite à considérer le contexte plus large du traitement des personnes âgées et malades par rapport à la crise Covid comme elle discute ci-dessous les choquant, des essais contraires à l’éthique de l’hydroxychloroquine sur les patients qui ne devraient jamais avoir reçu la traitement dans la façon dont il a été fait.

Pour que nous devons ajouter l’entrevue avec Off-Gardien propre de Rosemary Frei et Corbett James. Voyez comment le taux de mortalité « Covid » élevé dans les foyers de soins a été créé exprès [VIDEO]. Frei examine comment un article du New England Journal of Medicine, par exemple, a établi de nouvelles lignes directrices pour les soins et les traitements en mars (le Canada et le Royaume-Uni ont également emboîté le pas à leur manière), selon lequel, tout d’un coup, l’âge est devenu un critère de refus de soins.

Nous rappelons également aux lecteurs un article que nous avons publié sur les maisons de repos en France qui montrait la même négligence envers les personnes âgées. L’avocat des plaignants pense qu’une défaillance systémique est à l’œuvre. Voir les foyers de soins français confrontés à une enquête pour homicide involontaire : l’avocat des victimes raconte à RT les détails du « scandale au milieu de l’épidémie » [VIDEO]. Voir également cet article qui couvre l’Europe plus largement : Coronavirus : les personnes âgées européennes ciblées, refusées de traitement.

Nous ne pouvons que souscrire à la conclusion de Black selon laquelle « quelque chose de vraiment grotesque et potentiellement diabolique se passe ici, et nous ne pouvons pas nous permettre de l’ignorer ».

« Covid-19 a transformé la santé publique en une expérience qui tue les patients »

Des doses potentiellement mortelles du médicament thérapeutique hydroxychloroquine sont administrées dans le cadre d’« essais cliniques », parfois sans le consentement du patient. Près du quart des personnes participant à l’un de ces procès sont décédées par la suite.

CATTE NOIR

Depuis le début de la pandémie de SRAS-COV-2 / COVID19, il y a eu des indices inquiétants, des rumeurs et même des déclarations de dénonciateurs de faute médicale apparemment grossière liées au traitement et à la prise en charge de personnes prétendument infectées.

Nous avons entendu parler des ordonnances obligatoires de non-réanimation émises pour les personnes âgées, les personnes ayant des difficultés cognitives, les personnes autistes et même les enfants souffrant de troubles congénitaux assez mineurs.

Nous avons entendu parler d’une utilisation terrifiante et inappropriée de la ventilation invasive qui ne peut qu’augmenter le nombre de « décès » de covid19, ainsi que des niveaux généraux d’incompétence et de mauvaises pratiques qui doivent avoir le même résultat.

Et maintenant, nous avons la preuve de trois essais cliniques qui exigent que les patients reçoivent jusqu’à 4 fois la dose normale d’hydroxychloroquine, avec ou sans leur consentement. Dans l’une de ces études, plus de 25% des patients sont décédés.

Cela a été découvert par le Dr Meryl Nass MD et est couvert en détail sur son site et à l’Alliance for Human Research Protection, un site dédié à exposer la pratique contraire à l’éthique dans la communauté médicale.

Les trois études sont :

Solidarité, menée par l’Organisation mondiale de la santé, auprès de 3.500 patients Covid-19 dans 400 hôpitaux, dans 35 pays. Outre l’hydroxychloroqine, l’essai comprenait le remdesivir, le lopinavir avec le ritonavir, le lopinavir avec le ritonavir et l’interféron bêta-1a.

Recovery, menée au Royaume-Uni, parrainée par le Wellcome Trust (GlaxoSmithKline) et la Fondation Bill et Melinda Gates et le gouvernement britannique. 1.542 patients y ont participé, dont 396 (25,7%) sont décédés.

Remap, un projet multinational en cours qui teste maintenant l’hydroxychloroquine en tant que thérapie SARSCOV2.

Les doses utilisées dans toutes les études étaient bien supérieures aux doses thérapeutiques normales et auraient pu s’avérer mortelles, en particulier pour les personnes très fragiles et compromises inscrites à l’essai, dont beaucoup étaient déjà sous respirateurs ou autres formes de respiration assistée. En fait, pour être même envisagé pour l’essai Remap, un patient devait être « proche de la mort, sous ventilation ou en état de choc, sous médicaments sous pression ».

Aucune dose n’a été non plus accordée à la posologie pour les patients présentant une insuffisance rénale ou hépatique, qui pourraient avoir des difficultés accrues dans le traitement du médicament. Seule une insuffisance hépatique réelle était un motif de réduction de la dose :

Aucun ajustement posologique n’est nécessaire en cas de dysfonctionnement rénal ou d’utilisation concomitante d’une thérapie de remplacement rénal. Les cliniciens devraient envisager un ajustement de la dose en cas d’insuffisance hépatique ; cependant, aucun ajustement posologique n’est nécessaire pour les tests de fonction hépatique anormaux en l’absence d’insuffisance hépatique.

Le consentement du patient n’a pas été jugé nécessaire :

« Pour les patients qui ne sont pas compétents pour consentir, un accord prospectif ou une entrée par renonciation au consentement ou une forme de consentement différé peuvent être appliqués, comme requis par un organisme d’examen éthique approprié. »

Ironiquement, l’essai d’hydroxychloroquine de Solidarité a été suspendu le 25 mai à la suite du rapport Surgisphere dans The Lancet qui faisait état de taux de mortalité supérieurs de 35% chez les patients recevant de l’hydroxychloroquine, mais qui s’est avéré plus tard frauduleux, et Nass suggère que ces essais médicaux sacrifient cyniquement l’homme sujets dans le cadre de la guerre en cours contre l’hydroxychloroquine afin de prouver qu’elle ne fonctionne pas ou n’est pas sûre :

Pourquoi la santé publique est-elle retournée ? REMAP-Covid est le troisième essai clinique multicentrique majeur d’hydroxychloroquine à administrer des doses toxiques aux patients Covid. Qui ou quoi se cache derrière cet effort concerté pour mutiler ou tuer des patients afin de supprimer toute apparence de bénéfice de l’hydroxychloroquine dans le traitement de Covid-19 ?

C’est plus que possible, bien sûr, mais je pense aussi que nous devons replacer ces « procès » franchement meurtriers dans le contexte plus large mentionné ci-dessus – la distribution des DNR aux personnes en bonne santé ou légèrement compromises, le système brutal de décès presque délibérément provoqués et inutiles décrit par les infirmières aux États-Unis, les décès par négligence « accidentelle » dans les maisons de soins.

Tout cela commence à s’additionner à quelque chose de très sombre et très étrange qui se passe dans l’ombre, juste au-delà de l’examen du public.

Qu’il s’agisse d’une politique délibérée ou d’une terrible tempête parfaite de peur institutionnalisée et de sous-financement chronique est difficile à dire. Mais quelque chose de vraiment grotesque et potentiellement mauvais se passe ici, et nous ne pouvons pas nous permettre de l’ignorer.

Youtube : SENOMYX rend tous cannibales, business de fœtus, monde des Néphilim et fin

Une vrai cauchemar…Les apprentis sorciers sont vraiment malades !

 

L’industrie pharmaceutique est la «première source de corruption dans le monde», dénonce un médecin

© Sputnik . Mikhail Voskresenskiy

https://fr.sputniknews.com/france/2

Auteur d’un livre sur la gestion de la crise sanitaire, l’infectiologue Christian Perronne a pointé du doigt la corruption de l’industrie pharmaceutique, dans un entretien donné au Nouvel Obs. Le médecin remet également en cause les études publiées dans certaines revues spécialisées.

Christian Perronne, chef du service des maladies infectieuses de l’hôpital de Garches s’en est pris à certaines pratiques de l’industrie pharmaceutique, lors d’un entretien avec le Nouvel Obs, le 26 juin.

© REUTERS / DIEGO VARA

Le professeur Perronne, fervent partisan de la chloroquine, visé par le Conseil de l’Ordre des médecins

L’infectiologue était interrogé après la parution de son ouvrage sur la crise du Covid-19, intitulé Y a-t-il une erreur qu’ils n’ont pas commise ?

Le Dr Perronne a en particulier critiqué les « marges faramineuses », faites sur des médicaments « ne coûtant pas grand-chose à fabriquer ». Il a également évoqué le monopole de quelques grands groupes sur le secteur.

« L’industrie pharmaceutique s’est beaucoup concentrée ces dernières années. Il n’y a plus que quatre ou cinq très gros groupes qui dominent le monde. Le niveau de corruption a monté de façon fantastique. […] Un rapporteur de l’ONU m’avait confié, voilà quelques années, que l’industrie pharmaceutique est la première source de corruption dans le monde, devant l’industrie du bâtiment », a-t-il déclaré au Nouvel Obs.

Des études « payées par les labos »

Questionné sur le rôle du Conseil scientifique Covid-19 et du Haut Conseil de la Santé publique pendant la crise, Christian Perronne a mis en cause des personnalités qui « touchent des dizaines de milliers d’euros » depuis des années.

Revenant sur la question du lobbying dans la santé, il a affirmé que les déclarations d’intérêt des membres de ces différents conseils n’ont pas été vérifiées. L’infectiologue s’est aussi interrogé sur le rôle des revues scientifiques, dont certaines relaient selon lui des études payées par des laboratoires.

« Certains scientifiques ont fait carrière en publiant dans les plus prestigieuses revues scientifiques, comme « The Lancet », avec des études qui sont en fait payées par les labos. Le rédacteur en chef du « Lancet » l’avait lui-même dénoncé en 2016 mais il est toujours là ! », a confié Christian Perronne au Nouvel Obs.

Le médecin a par ailleurs mis en doute les avis négatifs rendus par le Haut Conseil de la Santé publique sur la chloroquine. Avis rendus par le président de l’instance, au lieu d’une commission dédiée, contrairement à la procédure habituelle, explique Christian Perronne à la même publication.

 

Italie : vendue à Big Pharma

blog9d

Une lettre à Robert F. Kennedy, Jr. par le Dr Antonietta M. Gatti

Cher Robert,

Je ne sais pas si vous êtes parfaitement au courant de la situation italienne. Résumant tout en quelques mots, l’Italie a été vendue à Big Pharma et est devenue un immense laboratoire où des expériences sont menées sur la population: adultes, enfants, personnes âgées, en bonne santé, malades… cela ne fait aucune différence, nous sommes tous des cobayes. Maintenant, l’entreprise, et pas seulement économique, est de forcer 60 millions d’Italiens à se faire vacciner contre le COVID, à tel point que des dizaines de millions de doses d’un produit ont déjà été achetées, un produit qui, en fait, est inconnu à la fois en termes d’efficacité et, surtout, en termes d’effets secondaires. En attendant, en attendant de recevoir la marchandise, une loi est en vigueur selon laquelle tout le monde, y compris les enfants, doit être vacciné contre la grippe (pourquoi ?), Et ce en plus des 10 vaccins déjà obligatoires.

Comme si cela ne suffisait pas, de nombreuses libertés individuelles, bien que garanties par la Constitution, ont été brutalement annulées.

Comme vous le savez, depuis des années nous analysons les vaccins, les trouvons toujours dangereusement pollués et nous sommes contactés quotidiennement par des familles d’enfants endommagés par les vaccins.

Maintenant, dans notre parlement, il n’y a plus de différence entre la majorité et l’opposition et, si la situation reste celle d’aujourd’hui, nous n’aurons pas d’échappatoire.

Depuis quelques mois, un groupe de personnes très instruites a formé un parti politique appelé MOVIMENTO 3 V (Mouvement nous voulons la vérité sur les vaccins). Ni Stefano ni moi ne sommes membres du parti, mais on nous a demandé de les aider d’un point de vue scientifique, et c’est ce que nous faisons.

Nous serions tous très reconnaissants si vous pouviez informer votre peuple de ce qui se passe en Italie et si vous pouviez écrire un appel pour encourager les Italiens à soutenir le parti qui, à l’heure actuelle, est la seule possibilité de faire entendre une voix qui est différent de celui du régime.

Merci beaucoup et meilleures salutations,

Antonietta

PS : Pendant le verrouillage, nous n’avons pas eu de « syndromes de mort subite du nourrisson ». Après le verrouillage, la vaccination des bébés a recommencé et nous avons eu un bébé mort à Turin et un autre enfant sur deux jumeaux est décédé et la fille a survécu mais elle est une thérapie d’urgence.

Dr. Antonietta M. Gatti

International Fellow USBE

Professeur invité à l’Int. Clean Water Institute (Washington, États-Unis),

Président de la Health, Law and Science Association

Ancien consultant auprès de la Commission gouvernementale sur l’uranium appauvri

 

La famille Gates, l’eugénisme et COVID-19

30 juin 2020 par Edward Morgan

Bill Gates, grâce à des projets philanthropiques, s’est positionné comme une personnalité sympathique et modérée, qui exprime son ambition d’améliorer la santé du monde grâce au développement de nouveaux vaccins et à l’innovation technologique.

Une enquête plus approfondie révèle que la famille Gates a des liens documentés avec les mouvements eugéniques réinventés de l’ère moderne et le travail effectué par leur organisation montre des arrière-pensées contraires à sauver des vies.

Dans ce qui suit, Ethan Nash examine les liens entre les « solutions » de COVID-19 et les mouvements d’eugénisme social, notamment Bill Gates Snr et Planned Parenthood, la Fondation Gates et les tromperies philanthropiques, les intérêts vaccinaux acquis et l’ingénierie d’une pandémie.

LE MOUVEMENT EUGENICS

À la fin du XIXe siècle – une période critique pour le développement des sciences – le savant britannique Sir Francis Galton, dans son livre Inquiries into Human Faculty and Its Development, a inventé le terme d’eugénisme.

Galton, dont le cousin était Charles Darwin, espérait « mieux l’humanité » grâce à la « science de l’amélioration de l’espèce humaine » en accouplant sélectivement les gens avec des traits héréditaires souhaitables spécifiques.

Des décennies de recherche sur « l’élevage contrôlé », y compris par le biais de la stérilisation, sont rapidement devenues la science dominante acceptée au tournant du siècle et le mouvement eugénique est né.

Les partisans de l’eugénisme croient que les gens héritent de maladies mentales, de tendances criminelles et même de la pauvreté, et que ces conditions peuvent être « extirpées » du patrimoine génétique humain grâce à la stérilisation forcée. Sans surprise, les caractères « indésirables » étaient concentrés dans les populations pauvres, sans instruction et minoritaires.

De nombreux professionnels des domaines scientifique et biologique ont rigoureusement recherché des moyens pour « améliorer la race humaine » en éliminant ces « traits négatifs », et le mouvement obtiendrait bientôt un large soutien politique – en particulier en Australie.

Comme nous l’avons exploré, les goûts du professeur Richard Berry et des sociétés d’eugénisme en pleine croissance de NSW et Victoria ont joué un rôle central dans les campagnes de masse pour des lois permettant la création d’une « chambre meurtrière » pour euthanasier ce que ces groupes appelaient « les types les plus grossiers de notre mental » défectueux.

Après la Première Guerre mondiale, de nombreuses idéologies basées sur l’eugénisme ont commencé à pénétrer les sociétés dominantes à travers le monde. Cependant, après qu’Hitler aurait adopté ces concepts et mis en œuvre une forme agressive du concept, le monde s’est aigri et un nouveau changement était nécessaire pour continuer.

MARXISME CULTUREL

Les concepts d’eugénisme n’ont pas été exorcisés de la pensée occidentale après la Seconde Guerre mondiale, ils sont plutôt allés sous terre ou ont été réinventés en prenant des formes plus « compatissantes ».

Les contributions importantes de Julian Huxley au mouvement ont assuré que les notions sous-jacentes associées à l’eugénisme se transformeraient et continueraient en de nouveaux mouvements sociaux.

Au cours des années 1950, ces groupes redéfiniraient l’eugénisme comme « socialement progressiste », avec des liens avec les États-providence nouvellement formés et complets qui offraient des « solutions » à la pauvreté et à la maladie.

La Fondation Rockefeller a largement financé le mouvement eugéniste moderne et des groupes de réflexion tels que le Tavistock Institute donneraient naissance à de nombreuses personnes influentes et organisations « sociales ».

Huxley a judicieusement associé le mouvement eugénique « nouveau et moderne » à une gamme d’idéologies réformistes, telles que la vulgarisation du contrôle des naissances, la dépénalisation de l’homosexualité et la réforme de la loi sur l’avortement. Il a décrit ce processus comme une « modernisation eugénique ».

La prémisse de base est toutefois restée la même: il est beaucoup plus facile d’éliminer les pauvres et les souffrants que d’éliminer les sources complexes et tenaces de leur pauvreté ou de leurs souffrances.

Ces gens croient que les masses sont trop débiles pour se gouverner.

Une pléthore d’organisations et de mouvements new-age surgirait à l’ère de la « contre-culture », et cette « progression » s’est poursuivie, la désormais célèbre famille Gates allait bientôt entrer en scène.

BILL GATES SNR ET PARENTHOOD PLANIFIÉ

blog9e

Photo : WUM

La clé pour comprendre l’exposition de Bill Gates aux concepts eugéniques est de retracer son passé familial.

Le père de Bill Gates, William H. Gates, père, était un banquier de premier plan et un avocat de Preston Gates & Ellis. Il a également présidé de nombreuses associations du barreau, des conseils d’administration et lancé la Technology Alliance – une initiative régionale pour développer les emplois technologiques tout au long du 20e siècle.

Surtout, Gates Sr. a siégé au conseil d’administration de Planned Parenthood (PP) pendant la petite enfance du groupe – une organisation rebaptisée née de l’American Eugenics Society.

L’entreprise s’est propagée depuis ses débuts dans les laboratoires de génétique et de virologie de Cold Spring Harbor à Long Island et à Berlin, pour devenir aujourd’hui l’une des plus grandes organisations aux États-Unis. Rockefeller-Bayar Co., BASF et le consortium pétrochimique et pharmaceutique Hoechst étaient tous les premiers bailleurs de fonds du groupe.

Ne vous y trompez pas: Planned Parenthood a été construit sur des plans de contrôle de la population – alliés aux mêmes groupes qui voulaient que les lois sur la hiérarchie génétique « préservent » l’humanité et qui cherchaient à « embellir » les pays en empêchant les « impropres » de se reproduire.

Dans leur rapport annuel 2014, le groupe pro-avortement et anti-famille a déclaré avoir vu plus de 2,5 millions de patients dans plus de 4 millions de visites cliniques, dont 324.000 avortements. Le groupe prétend être un partisan du « libre choix », mais c’est une organisation du front eugéniste déguisée.

Planned Parent a récemment traversé son deuxième exécutif en seulement huit mois, après avoir limogé la présidente Leana Wen pour avoir osé suggérer que le groupe devrait se concentrer davantage sur la santé des femmes.

Cela ressemble-t-il à un groupe voué à l’amélioration de la société ? Cette confrontation a révélé une véritable fracture dans l’organisation et une simple vérité : la promotion de la « santé des femmes » a toujours été une couverture.

Bill Gates parle avec fierté de la participation de son père au conseil d’administration de Planned Parenthood, qui a été fondé sur le concept que la plupart des êtres humains ne sont que des « éleveurs téméraires ».

Le père de Gates prendrait les concepts appris à Planned Parenthood et les incorporerait dans la construction du modèle de base pour une nouvelle ère d’activités de philanthropie qui reste à ce jour.

LA FONDATION GATES

William Gates Snr. continuerait ses efforts eugénistes en devenant un instrument dans la formation d’une nouvelle idée philanthropique appelée la Fondation William H. Gates en 1994.

Le groupe, comme Planned Parenthood, se concentrerait d’abord sur « l’amélioration » de la santé reproductive et infantile dans le monde en développement. Après des activités philanthropiques pionnières, la société a fusionné avec la nouvelle Fondation Gates Learning pour créer la Fondation Bill & Melinda Gates en 2000.

Les méthodologies ont évolué à pas de géant depuis la formation initiale du mouvement, mais l’objectif reste le même. Cette fois, la nouvelle approche multidimensionnelle verrait le groupe philanthropique s’associer à de puissantes organisations des Nations Unies comme l’Organisation mondiale de la santé (OMS) et l’UNICEF.

Aujourd’hui, le groupe se concentre sur de nombreux domaines qui stimulent le travail continu à travers le monde. Ces activités ont donné naissance à de nouvelles formes d’efforts technologiques et eugéniques.

L’organisation poursuit simplement l’héritage de la famille Gates consistant à essayer de dominer et de contrôler les systèmes mondiaux, y compris dans les domaines de la technologie, de la médecine et maintenant de l’agriculture.

En 2010, la Fondation Bill & Melinda Gates a acheté 500.000 actions de Monsanto d’une valeur de plus de 23 millions de dollars. C’est à ce moment-là qu’il est devenu très clair que la soi-disant charité bienveillante devait faire autre chose que « éradiquer » la maladie et nourrir les pauvres du monde.

Les preuves que les OGM causent des maladies s’accumulent depuis des décennies, alors que la liste des pays interdisant leur importation et leur culture s’allonge. Le projet de loi fait ouvertement la promotion des OGM comme « réponse » à la faim dans le monde.

Melinda Gates a également fait des « questions féminines » l’une des principales priorités de son travail philanthropique. Cela inclut la décision d’élever la promotion de la contraception et le contrôle de la population comme « sans doute la partie la plus importante de son travail ». Elle a été ouvertement critiquée pour ces mouvements.

En 2017, la Fondation Gates a promis 375 millions de dollars supplémentaires pour la « planification familiale », dans le but de fournir une contraception à 120 millions de femmes à travers le monde, en particulier dans les pays en développement.

Cet accent mis sur la couverture des pays en développement avec une contraception artificielle pour laquelle les femmes ne demandent pas des relents d’ingénierie sociale et de pensée eugéniste paternaliste.

Le fait que les couples dans les pays en développement désirent et apprécient souvent les familles nombreuses ne signifie rien pour de nombreux philanthropes élitistes occidentaux : la présomption sous-jacente pas si subliminale est que les femmes qui souhaitent des familles nombreuses ne savent tout simplement pas ce qui est bon pour elles. En tant que tels, ils doivent être éduqués et « encouragés » par des sociétés de publicité à grande échelle financées par l’étranger et la coercition.

Maintenant que nous avons exploré l’histoire de la famille Gates, les influences et les objectifs des philosophies philanthropes et des programmes eugéniques modernes à travers le monde, explorons le tableau de la relation.

BILL GATES ET VACCINS

Bill Gates n’a pas besoin d’être présenté. Il est l’un des Polyergus les plus influents de tous les temps. Pendant 25 ans, il a contrôlé ce qui est devenu un colosse de plusieurs milliards de dollars, Microsoft, et s’est fait l’un des hommes les plus riches du monde. Le monde de la technologie est né en grande partie de Gates.

Il a accompli cet exploit non pas en inventant une nouvelle technologie, mais en prenant la technologie existante, en l’adaptant à un « marché spécifique », puis en dominant ce marché.

Ces dernières années, Gates a tourné une grande partie de son attention vers la philanthropie en créant la plus grande fondation privée au monde, avec plus de 46 milliards de dollars d’actifs. Il a obtenu des milliards de dollars de contributions d’autres riches bienfaiteurs tels que Warren Buffett, et se consacre principalement à « l’amélioration des soins de santé » et à « la réduction de la pauvreté » à travers le monde.

Bill Gates est fortement impliqué dans le développement de nouveaux vaccins, ainsi que dans la « prévision » des défis sanitaires internationaux de demain (tels que la préparation aux épidémies), et travaille au-delà de la portée de la surveillance et de la responsabilité nationales dans la plupart des cas.

Il a passé des années à participer au processus de fabrication des vaccins, notamment au contrôle de la qualité et à l’évaluation clinique. Cette compréhension a permis à Gates de « conseiller » les programmes de développement de vaccins et de financer la recherche dans de nouveaux domaines d’innovation pour les programmes de maladies multiples :

blog9d2Source : B & MGF

Gates investit dans l’expertise et les technologies de plate-forme qui nous aident à rendre les vaccins plus rapides, « meilleurs » et moins chers, en plus d’investir également dans de nombreux programmes d’éducation et de formation pour garantir que les connaissances sur les vaccins sont créées, partagées et conservées. En voici quelques exemples :

  • Modèles d’essai adaptatifs.
  • Rationalisation du calendrier et du dosage des vaccins.
  • Nouveaux formats de livraison pour les vaccins.
  • Plateformes de fabrication modulaires et automatisées permettant la production de vaccins en petits lots.

Le milliardaire a été l’un des premiers partenaires à investir dans l’Alliance mondiale pour les vaccins et la vaccination (GAVI), qui a maintenant développé un portefeuille substantiel de partenariats internationaux de santé public-privé qui se sont engagés à accroître l’accès à la vaccination.

Aujourd’hui, GAVI s’est considérablement développé. Le groupe rassemble les pays en développement et les gouvernements donateurs (y compris l’Australie), l’Organisation mondiale de la santé, l’UNICEF, la Banque mondiale, l’industrie des vaccins, les agences de recherche et techniques, la société civile et d’autres philanthropes privés.

La Fondation Bill et Melinda Gates a fait un don de 1,56 milliard de dollars à la période stratégique 2016-2020 de l’alliance en mars 2019 et continue de conseiller le groupe sur les décisions commerciales clés.

La forte implication de Gates dans l’industrie des vaccins, en plus de poursuivre les visions eugénistes de la réforme « sociale », était fondamentale pour encadrer sa perception positive du public à ce sujet.

Considéré comme un « héros » dans la lutte pour développer de nouvelles technologies contre les maladies en croissance, Gates était désormais prête à devenir la nouvelle voix « à laquelle s’adresser » si une pandémie venait à éclater.

 

COVID-19 : UN PLAN-DEMIC ? – « PRÉDIRE » UNE ÉPIDÉMIE

Le co-fondateur de Microsoft a laissé entendre à plusieurs reprises au cours de la dernière décennie que le potentiel de quelque chose comme le coronavirus qui se présenterait bientôt et que le monde devait être « prêt ».

En 2015, Bill Gates a donné une conférence TED intitulée, La prochaine épidémie ? Nous ne sommes pas prêts, ce qui a été largement partagé en ligne ces dernières semaines compte tenu de l’impact de COVID-19 à travers le monde.

La partie de la conférence qui fait des tournées en ligne montre Gates expliquant que si la plus grande menace pour l’humanité quand il grandissait était la guerre nucléaire, la plus grande menace est maintenant un virus :

« Si quelque chose tue plus de 10 millions de personnes au cours des prochaines décennies, il s’agit probablement d’un virus hautement infectieux plutôt que d’une guerre. Pas des missiles, mais des microbes. »

Cependant, comme nous l’avons exploré, il n’y a aucune preuve fondamentale pour suggérer une menace du CoronaHoax, qui a été inventé comme un moyen d’inaugurer d’autres mécanismes de contrôle.

Au lieu de cela, à travers ces messages « cryptiques », Gates se positionnait sous un jour positif pour se connecter avec la psyché publique. Si quelque chose devait arriver, « Gates connaîtrait la solution ! », Pleureront-ils.

Gates savait-il quelque chose que nous ne savions pas à l’avance ? De nouvelles preuves suggèrent que cette « pandémie » a été prédit par le milliardaire, qui sert maintenant de mécanisme pour poursuivre la réalisation de l’agenda.

ÉVÉNEMENT 201

Le 18 octobre 2019, le Centre Johns Hopkins pour la sécurité sanitaire, le Forum économique mondial et la Fondation Bill et Melinda Gates ont organisé l’événement 201, décrit sur le site Web du groupe comme « un exercice de pandémie de haut niveau » réalisé à New York.

L’exercice a illustré les domaines dans lesquels des partenariats public / privé seront « nécessaires » lors de la réponse à une grave pandémie afin de réduire les conséquences économiques et sociales à grande échelle :

« Les experts s’accordent à dire que ce n’est qu’une question de temps avant qu’une de ces épidémies ne devienne mondiale – une pandémie aux conséquences potentiellement catastrophiques.

Une pandémie grave, qui deviendra « l’événement 201 », nécessiterait une coopération fiable entre plusieurs industries, les gouvernements nationaux et les principales institutions internationales. »

Le groupe affirme qu’il n’a pas « prédit » le coronavirus, malgré la modélisation de leur pandémie sous le même nom. Cependant, lors de l’examen de leurs documents, des similitudes frappantes commencent à émerger :

« L’événement 201 a simulé une épidémie d’un nouveau coronavirus zoonotique transmis de chauves-souris à des porcs à des personnes qui finit par devenir efficacement transmissible d’une personne à l’autre, conduisant à une grave pandémie. L’agent pathogène a été modelé en grande partie sur le SRAS, mais il est plus transmissible en milieu communautaire par les personnes présentant des symptômes bénins.

Il n’y a aucune possibilité qu’un vaccin soit disponible la première année.

Pensons : le « vrai » coronavirus est né d’une chauve-souris dans un marché de viande, transmis à l’homme et présentant des symptômes bénins. Le vaccin est également à 12-18 mois de son développement.

De plus, la Fondation Melinda et Bill Gates a financé un centre de recherche en Angleterre appelé le Pirbright Institute, spécialisé dans l’étude des virus qui affectent les animaux de ferme et des virus qui se transmettent des animaux aux humains. Ils possèdent un brevet très similaire pour un type de coronavirus affectant les animaux.

Le monde est tombé pour la tromperie, la ligne de crochet et le plomb. Maintenant, les nations réclament une « solution » à la « crise » croissante du COVID-19 et Bill Gates (sans surprise) a émergé en tête du peloton.

PORTES AU SAUVETAGE

Bill Gates est maintenant le sujet de discussion de la ville, et dans une récente interview, il a déclaré au Daily Show que sa fondation finançait la construction d’usines pour sept « candidats » au vaccin contre le coronavirus.

Il dit que la fondation ne choisirait qu’un ou deux des sept, ce qui signifie que des milliards de dollars dépensés dans la fabrication seraient abandonnés. Cependant, dépenser quelques milliards pour capitaliser sur le marché croissant des vaccins à 35 milliards de dollars semble être un investissement calculé.

La Fondation Bill & Melinda Gates a déjà engagé 100 millions de dollars pour lutter contre le coronavirus, dans le cadre de ses efforts plus larges en matière de santé internationale. Le groupe aurait également exploré l’idée de fournir des kits de test à domicile pour le coronavirus.

Il a également lancé un accélérateur thérapeutique COVID-19 de 125 millions de dollars et 5 millions de dollars pour aider les agences de santé publique de la région de Seattle à « renforcer leur capacité » à détecter le virus.

Ainsi, un homme qui a largement profité du développement de vaccins pendant des années et qui a également organisé des « simulations » d’épidémies de pandémie se lance maintenant dans la chasse pour développer un vaccin COVID-19 ? Comme c’est approprié.

L’influence ultime de Gates sur ce plan de déploiement se trouve dans les instructions données ces dernières semaines.

LA ‘SEULE VOIE’

Bill Gates a maintenant une valeur nette de 97,8 milliards de dollars. Pourtant, étant la personne « relatable » qu’il est, il a fallu reddit pour un Ask Me Anything sur la pandémie COVID-19. Il partagerait ses réflexions sur « la meilleure façon de faire face » à l’épidémie et explorait les effets possibles à long terme sur le monde.

Gates a déclaré qu’une large vaccination contre le COVID-19 devra être disponible « avant de pouvoir être complètement en sécurité ». Jusque-là, selon ses affirmations, il existe un risque que les communautés rebondissent à moins de continuer à pratiquer une distanciation sociale stricte et des quarantaines pour voir le nombre de cas se stabiliser.

Gates a déclaré qu’il ne pensait pas que les grands rassemblements pourraient reprendre jusqu’à ce qu’une vaccination généralisée ait eu lieu, car les « risques l’emporteraient sur les avantages » de tels événements :

Les dirigeants mondiaux sont également d’accord avec le calendrier et les perspectives de Gates. Peu de temps après avoir fait le tour des médias, le gouvernement australien a laissé entendre que la société serait bloquée jusqu’à ce qu’un vaccin soit développé. Cela a été bientôt suivi par le gouvernement de la Nouvelle-Galles du Sud et d’autres.

En outre, Gates a appelé à un « système de suivi national similaire à la Corée du Sud », affirmant que « à Seattle, l’Université de Washington fournit des milliers de tests par jour, mais personne n’est connecté à un système de suivi national ». Il a déclaré que chaque fois qu’un test est positif, il devrait être utilisé pour comprendre où se trouve la maladie et si nous devons renforcer la distanciation sociale.

À l’avenir, il a lancé l’idée de « certificats de vaccination » pour montrer la preuve de la vaccination après le déploiement généralisé des produits COVID-19. Ce serait une nouvelle exigence pour les voyages internationaux et nationaux, et il est prévu de l’étendre à tous les aspects de la vie.

Compte tenu du contexte détaillé dans cette pièce, faites-vous confiance aux intentions de cet homme ?

Gates a une riche histoire d’influence eugénique et participe à des activités à travers le monde qui font progresser les objectifs du mouvement d’origine, bien que déguisés.

Telle est l’histoire de la déshumanisation de l’humanité. La « mort de Dieu » a conduit les parasites à croire qu’ils étaient des dieux, et cette prémisse sert de force sous-jacente à l’ère transhumaniste.

En utilisant une logique objectiviste, nous devons tous appliquer le principe de précaution lorsque nous abordons les allégations de Gates visant à « améliorer » la santé grâce aux vaccins.

Si un vaccin COVID-19 utilise des souches d’un virus réel, comme beaucoup le font, afin d’encourager l’organisme à développer la vaccination, les sujets qui reçoivent le vaccin seront porteurs de ce virus.

Bill Gates et les forces qui conduisent cette marionnette poussent le monde vers un choix: prendre le vaccin COVID-19 et faire face aux conséquences sur la santé, ou refuser et se voir refuser des services de base et après avoir été étiqueté comme une « menace pour la santé ». Prenez le jab ou soyez ciblé.

Je sais où j’en suis.

Allez- vous faire la queue pour recevoir le nouveau vaccin financé par Gates ?

 

RUPTURE : Des chercheurs affirment un taux de guérison de 100% par rapport à Covid-19 dans plus de 100 essais cliniques menés en Équateur, à l’aide de dioxyde de chlore intraveineux

De Natural News:

Les données préliminaires d’un essai clinique impliquant plus de 100 patients covid-19 en Équateur ont abouti à un taux de guérison de 100 réclamés en quatre jours, selon Andreas Kalcker qui suit de près les résultats de l’effort. Les tests ont été effectués par l’Asociacion Ecuatoriana de Medicos Expertos en Medicina Integrativa, un groupe de praticiens de médecine intégrative.

L’Équateur a été particulièrement durement touché par le coronavirus, et la « norme de soins » actuelle promue par la médecine occidentale – largement basée sur l’utilisation de ventilateurs – a tué la grande majorité des patients critiques tout en échouant complètement à s’attaquer à la véritable racine de la problème.

Il s’avère que Covid-19 n’est pas une maladie respiratoire aiguë (ARD). Au contraire, il se présente souvent comme une inflammation et une condition de coagulation du sang (voir la recherche The Lancet, ci-dessous) qui empêche le sang de transporter l’oxygène, entraînant une hypoxie du patient et une asphyxie éventuelle.

C’est pourquoi le dioxyde de chlore intraveineux – qui délivre immédiatement une forte dose d’oxygène aux cellules sanguines – est censé agir si efficacement contre le covid-19. Il rétablit apparemment la capacité de transport de l’oxygène de l’hémoglobine et élimine la coagulation dans les poumons, tout en détruisant les agents pathogènes.

Le chercheur et défenseur du dioxyde de chlore Andreas Kalcker a publié une vidéo (en espagnol) où il explique les résultats. Cette vidéo, intitulée « Mas de 100 Casos de Covid-19 recuperados con CDS por toubibs de Aememi », se trouve à ce lien sur Lbry.tv.

Dans la vidéo, Andreas explique que les chercheurs ont pu obtenir une guérison complète en seulement quatre jours grâce à l’utilisation de dioxyde de chlore intraveineux (ClO2). Voici une photo de certains chercheurs détenant des seringues de dioxyde de chlore, qui est ensuite infusé dans le sang des patients, où il libère une vague d’oxygène qui, selon les chercheurs, sature le sang d’O2 tout en tuant les agents pathogènes :

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Un autre essai clinique impliquant du dioxyde de chlore est actuellement en cours, documenté par la National Library of Medicine des États-Unis à ClinicalTrials.gov. L’étude utilise du dioxyde de chlore oral (plutôt que par voie intraveineuse) et s’intitule « Détermination de l’efficacité du dioxyde de chlore oral dans le traitement de COVID 19 ». L’essai est mené par la Genesis Foundation et concerne 20 patients.

L’identifiant ClinicalTrials.gov pour cet essai est NCT04343742.

Andreas Kalcker explique dans sa vidéo que le dioxyde de chlore est un puissant désinfectant qui détruit les virus et les bactéries. La substance est utilisée depuis longtemps dans les processus de purification de l’eau et est approuvée par divers organismes gouvernementaux américains comme agent de traitement et de purification de l’eau.

 

Covid-19 n’est pas une maladie respiratoire aiguë

Dans un autre article scientifique explosif publié le 7 mai 2020 dans The Lancet, les chercheurs Dennis McGonagle et d’autres ont déterminé que la covid-19 n’est pas une maladie respiratoire mais plutôt une « coagulopathie pulmonaire intravasculaire diffuse », une sorte de coagulation sanguine présente dans les tissus pulmonaires.

Cela explique pourquoi les patients atteints de covid-19 meurent d’hypoxie (manque d’oxygène) et sont souvent tués par l’utilisation de ventilateurs. Comme un médecin de l’USI de New York l’avait prévenu il y a des mois, les médecins traitent la mauvaise maladie. (La chaîne YouTube de ce médecin a été supprimée et toutes ses vidéos ont été censurées, bien sûr. Personne n’est autorisé à remettre en question l’orthodoxie médicale dans l’État de la police médicale connu sous le nom des États-Unis d’Amérique.)

Les auteurs de l’étude ont également constaté que l’inflammation déclenche une aggravation de la maladie, ce qui implique que les interventions anti-inflammatoires pourraient être la clé pour sauver des vies et mettre fin à la pandémie. De l’étude :

Le mécanisme immunitaire sous-jacent à une inflammation interstitielle alvéolaire et pulmonaire diffuse dans COVID-19 implique un état de type MAS qui déclenche une immunothrombose étendue…

MAS signifie Macrophage Activation Syndrome, et c’est une réponse inflammatoire résultant d’une réponse immunitaire hyper-réactive, similaire à la « tempête de cytokines » qui est largement discutée (que la vitamine C aide à prévenir, selon des recherches publiées). Comme l’explique l’étude :

La gravité de l’inflammation systémique en réponse aux membres de la famille des coronavirus humains présente des caractéristiques rappelant une tempête de cytokines ou un syndrome d’activation des macrophages (MAS), également connu sous le nom de lymphohistocytose hémophagocytaire secondaire (sHLH).

Figure 1 de l’étude :

blog9g

Pour simplifier ces résultats, covid-19 n’est pas une pneumonie virale aiguë affectant le système respiratoire mais plutôt une réponse immunologique basée sur l’inflammation qui conduit à une thrombose (coagulation dans les poumons) qui tue le patient. L’utilisation de ventilateurs ne fait que le pire problème, ce qui explique pourquoi précédentes observationa l’études ont montré que 88% des patients mis sur les ventilateurs finissent par mourir. Ils meurent parce que le traitement par ventilateur n’est pas le bon traitement.

Le dioxyde de chlore sauverait 100% des patients étudiés jusqu’à présent car le dioxyde de chlore inonde le sang d’oxygène immédiatement utilisable tout en tuant les agents pathogènes responsables de la coagulation. Il existe également des preuves anecdotiques que certaines personnes battent des infections à covid-19 avec des doses élevées d’aspirine, un anticoagulant, bien que ces informations ne devraient pas être considérées comme des conseils pour le traitement, et beaucoup plus de recherches sont nécessaires sur les anticoagulants et les interventions anti-inflammatoires.

Cela peut également aider à expliquer pourquoi le curcuma et la vitamine D sont associés à de fortes réductions de l’inflammation dans le corps, ce qui peut s’avérer utile pour équilibrer la réponse immunitaire et prévenir le type de déséquilibre qui peut entraîner des réactions excessives du système immunitaire.

Les cartels médicaux criminels censurent tous les traitements et traitements qui contribuent à sauver des vies

Notamment, les cartels criminels Big Pharma et les régulateurs gouvernementaux corrompus (comme la FDA, la FTC, le CDC) font tout leur possible pour essayer de criminaliser ou de supprimer toutes les solutions non vaccinales et non pharmaceutiques qui pourraient sauver des vies. Au cours du dernier mois, nous avons tous été témoins d’un niveau étonnant d’agressivité et de tactiques de style mafieux utilisées par la FDA et la FTC contre des chercheurs pionniers offrant une variété de solutions possibles, de l’argent colloïdal au dioxyde de chlore et même à la vitamine C. intraveineuse.

Ils ont même déclaré la guerre à l’hydroxychloroquine et l’établissement médical a conçu des essais cliniques qui sont conçus pour échouer dès le début afin de discréditer le médicament hors brevet et abordable.

Il ne fait aucun doute que les laquais obéissants du gouvernement de Big Pharma sont en guerre avec la vérité et essaient désespérément de supprimer les informations sur les remèdes naturels et les traitements d’intégration qui pourraient éliminer la covid-19 avant que les vaccins ne soient disponibles.

Les géants de la technologie techno-fasciste comme Facebook, Google, Vimeo, YouTube et Twitter sont à fond avec Big Pharma, faisant tout leur possible pour censurer et détruire toutes les informations qui critiquent les vaccins ou offrent la sagesse des traitements naturels ou des interventions de médecine intégrative. Cette cabale criminelle de Big Tech et Big Pharma est l’ennemi de l’humanité, car ils travaillent délibérément à aggraver la pandémie, à augmenter les souffrances et la mort et à prolonger le plus longtemps possible les fermetures punitives afin de causer plusieurs dommages économiques tout en préparant les masses pour les vaccins obligatoires.

Nous assistons tous à un puissant gang criminel de sociétés et de régulateurs qui cherchent délibérément à détruire la société humaine telle que nous la connaissons aujourd’hui, et ils sont les gardiens des informations sur le net (et dans les nouvelles). C’est pourquoi nous réitérons notre appel pour que les PDG de tous les grands géants de la technologie soient arrêtés et accusés de crimes contre l’humanité, puis poursuivis en justice. Au cours du week-end, une députée italienne a prononcé un discours entraînant dans lequel elle a qualifié Bill Gates de « criminel du vaccin » et a exigé qu’il soit arrêté et accusé de crimes contre l’humanité.

Ces efforts ne doivent cependant pas se limiter à Bill Gates. Ils doivent inclure les criminels d’autres géants de la technologie ainsi que les criminels corrompus et anti-humains qui dirigent la FDA, la FTC et le CDC, entre autres. Leurs crimes contre l’humanité ne doivent pas rester sans réponse et ils doivent être tenus pour responsables devant un tribunal.

Les agendas destructeurs et anti-humains de Big Pharma et Big Tech sont incompatibles avec la liberté humaine et une civilisation humaine durable. Ces institutions anti-humaines doivent être définitivement démantelées et l’humanité doit se dresser contre cette menace de la même manière que nous nous sommes réveillés contre le Troisième Reich et la montée du fascisme nazi et de l’Holocauste.

À l’heure actuelle, Big Pharma, Big Tech, la FDA et le CDC complotent pour tuer des milliards d’êtres humains avec une arme biologique conçue, un vaccin risqué et des médicaments d’ordonnance hautement mortels qui rendent les gens plus vulnérables à Covid-19. Ces ennemis de l’humanité doivent être arrêtés et la vérité sur le dioxyde de chlore doit être libérée afin que les êtres humains puissent être sauvés de la souffrance et de la mort.

40.000 A4, couleur citron sont, en ce moment, distribués dans plusieurs localités françaises. Nous vous engageons à agir de la sorte, photocopiez le document joint et distribuez-le. Merci.

Nos médecins, pharmaciens, biologistes accréditent l’information ci-dessous. “Libération” quotidien pourtant en phase avec le Pouvoir, vient de nous donner la possibilité de convaincre les plus désinformés. Un geste simple, une question de survie.

 

Les virus ne sont pas responsables de la dernière pandémie !

Par Florian Gouttière 14 mai 2020 – CheckNews.fr – Libération

Sur une publication Facebook, attribuée au « PJacques Théron neuroradiologue CHU Caen ». Selon ce texte, grâce à 50 autopsies effectuées à Bergame et à Milan sur des patients décédés du Covid-19, « il a été démontré que [le Covid-19] n’est pas une pneumonie [mais] une coagulation intravasculaire disséminée ; présence de caillots de sang, (thrombose). La façon de le combattre s’effectue avec des antibiotiques, des antiviraux, des anti-inflammatoires et des anticoagulants. Soigner certes, mais avant tout neutraliser les causes, c’est-à-dire bloquer la 4G+, 5G, 6G et les vaccins.

Cette coagulation étrange en premier lieu, est démystifiée par cette vidéo :

https://youtu.be/YycZn1W6oNg

La fréquence 60 Ghz des 4G+, 5G, voire 6G perturbe l’entrée de l’oxygène dans le sang. Cette particularité est reconnue par les opérateurs de téléphonie mobile. En dehors des zones d’action de cette fréquence, les inspirations de l’individu permettent à l’air d’être absorbé correctement par les poumons. Par contre, en pleine zone d’action des ondes électromagnétiques dans un secteur donné, dit « couloir de la mort » les rotations des molécules sont telles qu’il est impossible à l’hémoglobine d’assimiler l’oxygène et de le distribuer au reste du corps. Cette information provient du livre :

« Magnetobiology Underling Physical Problems de Vladimir N Binhi ».

Tels sont, apparemment, les problèmes physico-biologiques qu’entraînent l’emploi de ces ondes, sans qu’aucune étude sérieuse n’ait été effectuée. Les sénateurs Blumenthal et Gillen, citoyens américains, l’attestent dans la vidéo du lien ci-dessus. Si l’on ne supprime pas les causes, donc 4G+, 5G et 6G, nous allons vers une pandémie avec des millions de victimes.

La fibre optique d’après le Professeur Paul Héroux (Voir plusieurs de ses vidéos) résoudrait en partie tous les travers de ces ondes. Le mystère de la pandémie du premier trimestre 2020 est largement expliqué.

[1]

[1] Edité par les associations Ecogenos, Artémisia Collège et Académie de Défense des Êtres Humains. Prière de ne point abandonner sur la voie publique. Merci.

 

Hydroxychloroquine, c’est tout juste si la néonazie Agnès Buzyn connaissait son existence

Extrait de la lettre sur Libre consentement éclairé :

Madame, monsieur, chère amie, cher ami,

La vaccinolâtre néonazie Agnès Buzyn, ex-ministre de la Santé des actionnaires de l’industrie pharmaceutique, qui avait fièrement porté la meurtrière obligation vaccinale voulue par la Grande Faucheuse des Ehpad, Emmanuel Macron, semble ne pas connaître l’hydroxychloroquine.

Alors que c’est sans doute le mot actuellement le plus universellement connu, en bafouillant, semblant ne pas savoir de quoi on lui parlait, elle a affirmé que ce serait sur demande de l’ANSM qu’elle aurait classé ce médicament parmi les substances vénéneuses, sans en connaître les raisons.

Et d’ajouter après cette hallucinante déclaration : « Mon sentiment est que nous consommons trop de médicaments », suggérant ainsi que c’est la raison pour laquelle elle aurait suivi les recommandations des obscures fonctionnaires de l’ANSM.

Rappelons qu’elle a fait classer ce médicament, en vente libre pendant plus de 70 ans, en substance vénéneuse le 13 janvier 2020, décret préparé en octobre 2019.

Les « 13 ordures dans nos hôpitaux », tout comme le célèbre docteur Fauci aux États-Unis, font comme s’ils ne connaissaient pas les qualités thérapeutiques de la chloroquine et de l’hydroxychloroquine.

En France, les 13 commerciaux du laboratoire Gilead (accessoirement professeurs de médecine), et co responsables des 25 ou 35.000 décès de personnes âgées qui n’ont pas été soignées avec l’hydroxychloroquine associée à l’azithromycine, affirmaient que personne ne savait si la chloroquine et l’hydroxychloroquine étaient efficaces contre les coronavirus et qu’il fallait faire des « essais ».

Et les essais, il fallait les faire avec d’autres médicaments (comme le Remdesivir vendu par Gilead et pourtant réputé totalement inefficace et dangereux), pour savoir comment soigner les victimes de pneumonies hivernales.

Ou alors, il fallait démontrer que l’hydroxychloroquine ne soigne pas et qu’elle est dangereuse, comme avec la fausse étude publiée par The Lancet.

Et en attendant que les bienfaits du poison de Gilead soient démontrés, les malades n’avaient cas mourir chez eux en se gavant de doliprane, ou encore ils n’avaient cas crever sur leur lit dans les Ehpad, déshydratés sur leurs excréments.

Ces 13 ordures n’en avaient que faire, seul comptait la commercialisation du poison de Gilead, le Remdesivir, qui sera vendu 2.076 euros les 5 jours de traitement dont 2.071,85 de marge bénéficiaire.

Précisons que les 5 jours de traitement efficace à l’hydroxychloroquine couplée à l’azithromycine reviennent à moins de 20 euros.

Les effets thérapeutiques de l’hydroxychloroquine et de la chloroquine dans le traitement des infections pulmonaires à coronavirus sont connus depuis 18 ans !

La chloroquine a été utilisée et testée en 2002 contre le coronavirus SRAS-1 dans une étude dirigée par le CDC (Centers for Disease Control and Prevention) et publiée en 2005 dans le très sérieux Virology Journal.

Conclusion de l’article « La chloroquine est un puissant inhibiteur de l’infection par le coronavirus du SRAS et de sa propagation. Elle a été utilisée lors de l’épidémie de SRAS-1 en 2002. Elle a été approuvée par le CDC. »

À l’époque, le célèbre docteur Anthony Fauci en avait vanté les mérites. Toutefois, il semble être devenu amnésique sur ce point, puisqu’à l’occasion de la publication par le torchon The Lancet de l’étude menée par les escrocs de Surgisphere, il déclara à CNN, tout sourire, « les données (de l’étude publiée avant rétractation) montrent que l’hydroxychloroquine n’est pas un traitement efficace… »

Pour télécharger l’article publié le 22 août 2005 dans Virology Journal, cliquez sur « cela fait 18 ans qu’ils savent que c’est efficace contre les pneumonies associées aux coronavirus ».

Pour visiter la page du site, cliquez sur « En 2005, le Virology Journal vantait les mérites de la chloroquine contre les infections pulmonaires associées aux coronavirus ».

Rappelons également que The Lancet a publié un peu plus d’un plus tard, le 1er novembre 2003, un article qui concluait : « Les résultats obtenus dans la prophylaxie de la fièvre Q indiquent que la chloroquine / hydroxychloroquine peut être utilisée avec succès dans la gestion clinique des infections autres que le paludisme. En ce qui concerne les maladies virales, il est clair que le médicament a des effets antiviraux et immunomodulateurs qui méritent une attention particulière. »

Pour lire ou relire notre lettre du 30 mai 2020 qui fait état de cet article, cliquez sur « Enfin ! ».

Ils devaient interdire ou décrédibiliser l’hydroxychloroquine

Pour arriver à leurs fins et faire durer le plus longtemps possible cette fausse pandémie, il leur fallait interdire la chloroquine et l’hydroxychloroquine dont l’efficacité dans le traitement des infections respiratoires associées à des coronavirus est connue depuis 2002.

Alors que pensez du « j’ai interdit la chloroquine parce que moins on prend de médicaments mieux c’est » de la néonazie Agnès Buzyn ?

À voir en cliquant sur « 25 ou 35.000 morts pour nous soumettre »

Que pensez des déclarations mensongères de la bande des « 13 ordures dans nos hôpitaux » en charge de notre santé ?

Ils ne savaient pas

Si Donald Trump est réélu (invoquons le Grand Tout pour que cela soit le cas), si les choses se gâtent pour eux (espérons-le), ils invoqueront très vite le « On ne savait pas », « les connaissances scientifiques ne permettaient pas de … ».

La réalité, c’est que depuis 2020 les connaissances scientifiques permettent de traiter les pneumonies hivernales, y compris celles de l’hiver 2019-2020, avec l’hydroxychloroquine et l’azithromycine. Ce qu’ont d’ailleurs fait les nombreux pays qui n’ont quasiment pas eu de mort à déplorer.

Ajoutons une autre vérité scientifique, depuis plus de 2.500 ans, l’Artemisia annua, « Qing Hao » est recommandée par la médecine chinoise pour également traiter ces pathologies.

Cette plante est interdite de commerce en France, et aucun herboriste ou pharmacien n’a le droit de vous en vendre.

Pourtant, en Afrique, à Madagascar, au Vietnam (0 mort), elle a largement été utilisée par les familles et le résultat est là : quasiment pas de victimes.

Karine Lacombe, le visage féminin le plus connu des « 13 ordures de nos hôpitaux » voulait prendre les Guyanais pour des cobayes

« On va mettre en place les essais thérapeutiques, les accès aux traitements, aux quelques molécules qui semblent avoir une efficacité dans la Covid-19. Et surtout leur faire bénéficier (les médecins en Guyane) de l’expérience que l’on a acquise en métropole à l’occasion de l’épidémie de mars avril. »

Réponse des Guyanais

« L’avancée inquiétante de l’épidémie (…) ne saurait faire de la Guyane un terrain de jeu » pour « des chercheurs de l’Hexagone »

Antoine Karam sénateur, au ministre de la Santé des Actionnaires de l’industrie pharmaceutique : « Nous avons exigé que la mission du professeur Lacombe n’ait pas lieu en Guyane. Elle n’est pas la bienvenue et nous avons demandé au préfet de prendre toutes les dispositions pour qu’elle ne soit pas accueillie en Guyane »

Rodolphe Alexandre, président de la Collectivité Territoriale de Guyane

 

Grande pétition nationale : « Non au vaccin obligatoire »

blog9h

Merci de votre signature ! Maintenant, faisons TOUT pour stopper ça !

Chère madame, cher monsieur,

Je vous remercie de tout cœur d’avoir signé cette pétition pour refuser le vaccin obligatoire.

Il faut qu’on soit le plus nombreux possible pour stopper ça : grâce au bouton ci-dessous !

Ensemble, on peut éviter ça :

blog9i

  • Partagez cette pétition sur grâce au bouton ci-dessus !
  • Faites circuler notre grande mobilisation nationale en transférant ce lien par email à vos proches, vos amis et vos familles : www.petition-vaccination-2020.com

C’est un des problèmes de santé publique les plus préoccupant depuis le début de cette crise, et c’est un danger réel pour notre santé et celle de nos proches.

Grâce à votre mobilisation, le Président de la République n’aura plus le choix.

Il devra immédiatement garantir aux Français la liberté de se faire vacciner ou non et se porter garant de nos libertés fondamentales, même en période de crise.

Un grand merci d’avance pour votre aide et votre soutien,

Guillaume Chopin Secrétaire général de l’AISNSH

 

Youtube : La recette macabre du créateur des vaccins Dr S. Plotkin : fœtus d’avortement coupés et cultivés

Un document impressionnant… les aveux d’un vrai nazi des vaccins…

blog9j

Association Internationale pour une Santé Naturelle, Scientifique et Humaniste (AISNSH)

Adresse : 1211 Genève 3

Contact email : association.aisnhs@gmail.com

 

Deuxième vague de mensonges

Yves RASIR

Vous pensiez que tous les festivals estivaux étaient annulés ? Détrompez-vous : cette année, nos autorités et les médias qui leur servent de porte-voix occupent la scène et nous offrent un grand show de désinformation ! Au programme : une flopée d’infoxs, un défilé de contre-vérités et une kyrielle de mensonges nouveaux ou resservis en guise de deuxième vague. Puisque la première n’a pas été le tsunami annoncé, les confineurs-baratineurs mettent tout en œuvre pour camoufler le fiasco de leurs prédictions et l’absurdité de leurs réglementations liberticides sous une couche de tromperie supplémentaire. Ce Corona Circus m’écœure tellement que je commence à somatiser et que je souffre depuis quelques jours de véritables nausées. Toujours interdite, la compétition de football amateur me manque énormément car ce n’est pas le footing ou le vélo qui peuvent remplacer ce sport très défoulant. Heureusement, j’ai pu participer samedi soir à une belle fête sans masque ni distanciation sociale et ça m’a redonné le moral. Et pour surmonter mes haut-le-cœur, je compte sur l’effet cathartique de cette infolettre intentionnellement colérique. Parmi les bobards épandus à la pelle dans les journaux et les émissions télé en ce début d’été, en voici 6 qui me donnent littéralement envie de vomir. Désolé si je vous refile mon dégoût mais ça me fait vraiment du bien de dénoncer cette épidémie de fausses nouvelles débitées par des confrères qui me paraissent de moins en moins frères et de plus en plus…

1er mensonge : Novak Djokovic est un inconscient

Il y a quinze jours, Novak Djokovic a organisé un tournoi de tennis en Serbie et en Croatie. Ce n’était pas une compétition mais bien une exhibition ludique destinée à récolter des fonds pour des œuvres caritatives tenant à cœur au champion serbe. Les joueurs invités à cet « Adria Tour » ont aussi joué au foot et au basket sans porter de masque ni respecter la distanciation sociale. On les a vus – quelle horreur ! – se toucher sans gants et même s’étreindre sur le court pour se féliciter. Étrangement, les sportifs, leurs soigneurs et leurs coaches ont fait l’objet d’un dépistage express et une quinzaine d’entre eux – dont « Djoko » lui-même – ont été testés positifs au Covid-19. Depuis lors, c’est la curée : tous les médias ont hurlé à l’abomination et accusé le tennisman d’avoir joué avec le feu et avec la vie d’autrui. En fustigeant son « comportement inconscient », les inquisiteurs à micro ou à stylo ont souligné qu’il aggravait son cas car on le sait adepte des médecines naturelles, du régime sans gluten et de la méditation. Un mec très dangereux, quoi, un gourou sans scrupule capable d’égarer ses disciples en leur conseillant de veiller à leur immunité et à leur microbiote plutôt que de se laisser terroriser par un microbe. Malgré ses excuses publiques, le quintuple vainqueur des Masters a perdu tout crédit aux yeux du tribunal médiatique. Mais de quoi est-il coupable ? À ma connaissance, aucun participant potentiellement « contaminé » lors du tournoi n’a développé la maladie, ni même le moindre symptôme. Comme ils le font depuis deux mois, c’est-à-dire depuis que la virose saisonnière a quasiment disparu des radars sanitaires, les journalistes assimilent allègrement le test et le Covid, l’agent viral et la pathologie, les infections et les « cas confirmés ». À les lire ou les entendre, les joueurs et leurs proches ont été « touchés par le virus » et exposés à un péril mortel. La vérité, c’est que ce risque est infinitésimal et que les gens catalogués comme infectés sont toujours en parfaite santé. Je vous parie tout ce que vous voulez qu’ils vont le rester mais que les justiciers médiatiques vous le cacheront.

2ème mensonge : Les fêtards nous mettent en danger

Parmi les généreux participants au tournoi de bienfaisance, il y avait Alexandre Zerev. Négatif au test, le joueur allemand avait néanmoins battu sa coulpe et promis de se mettre en quarantaine pendant 14 jours. Hélas pour lui, il a été filmé samedi en train de danser en charmante compagnie dans une soirée : quel crime épouvantable, aux yeux de l’Inquisition pasteurienne ! En Belgique, il y a dix jours, ce sont des centaines de fêtards qui ont défrayé la chronique en se rassemblant à Bruxelles sur la place Flagey. Experts, politiques et éditorialistes ont condamné à l’unisson ce rassemblement festif risquant de rallumer l’épidémie et de ruiner le déconfinement. Le maire écologiste d’Ixelles, qui avait dépêché la police sur les lieux, a même menacé les contrevenants de graves sanctions s’ils reprenaient ce « risque insensé ». Le problème, c’est que ces procureurs autoproclamés ne disposent d’aucun élément à charge pour étayer leurs accusations. Rien, absolument rien, ne prouve que le regroupement de nombreux individus au même endroit ait joué un rôle quelconque dans la dynamique de la « pandémie ». Ce ne sont que des spéculations et des modélisations théoriques. En février, les épidémiologistes alarmistes nous ont déjà fait le coup avec la Foire du Livre. Puis en mars avec le salon de la construction Batibouw. À la veille du confinement, ils s’alarmaient des lockdown parties organisées par de jeunes « irresponsables ». Début juin, les mêmes experts ont annoncé que les manifestations contre le racisme auraient inévitablement des conséquences. Et suite aux événements ixellois, ils ont pronostiqué un funeste « effet Flagey ». À chaque fois, ces prophètes foireux pérorent mais ne fournissent aucun indice permettant de vérifier qu’il y a eu départ d’un foyer et début d’une « chaîne de transmission » dans les rassemblements de foules. La vérité, c’est que les rebonds prédits ne se produisent pas et que les faits donnent raison aux fêtards. Le Covid est mort et enterré et les 2.000 « traceurs » belges engagés pour le pister téléphoniquement se tournent les pouces avant d’être licenciés prochainement. Un gâchis financier de plus…

3ème mensonge : Les masques ont fait leurs preuves

Surréalisme à la belge : alors que l’épidémie s’est évaporée, 450 médecins viennent de publier une lettre ouverte alertant sur un manque d’adhésion de la population pour l’endiguer. Ils déplorent notamment que le gouvernement n’ait pas rendu le port du masque obligatoire. Ce dernier est déjà imposé dans les transports en commun mais les toubibs inquiets voudraient que l’obligation soit étendue et renforcée. Argumentation ? « Les masques buccaux ont un sens, sinon nous n’en n’aurions pas si massivement besoin dans les hôpitaux ». Les intellectuels y verront un sophisme, c’est-à-dire un raisonnement faussement logique. Mais comme je ne prétends pas être intello, je parlerai pour ma part de grosse couillonnade. Car les masques, ces disciples d’Hippocrate semblent l’ignorer, n’ont aucune espèce d’efficacité. Et comment en serait-il autrement ? Un masque facial standard a des pores d’un micron alors que la taille moyenne d’un virus est de 250 nanomètres. Ça veut dire que 5.000 virus peuvent traverser de front chaque trou du bâillon. Tu parles d’une protection ! Certes, ces boucliers risibles sont désormais recommandés par l’Organisation Mondiale de la Santé. Le hic, c’est que cette recommandation ne repose sur aucune base scientifique solide. Et que c’est même reconnu dans un document de l’OMS repéré par le chercheur canadien Denis Rancourt : « À l’heure actuelle, l’utilisation généralisée des masques par les personnes en bonne santé dans le cadre communautaire n’est pas encore étayée par des preuves scientifiques directes ou de haute qualité et il y a des avantages et des dommages potentiels à prendre en compte ». Via une lettre adressée au directeur de l’OMS, l’Association des Libertés Civiles de l’Ontario (OCLA) vient de sommer Mister Ghebreyesus de s’expliquer sur cette incohérence bizarre. Dans le Néosanté de juillet-août, nous publions également un article sur la mascarade des masques. Hughes Belin a trouvé d’autres publications et déclarations émanant de l’OMS et attestant que cette contrainte n’est pas fondée sur des preuves. La conclusion de notre journaliste est que « L’imposition des masques est bien une manipulation de masse fondée sur une supercherie scientifique avec des conséquences psychologiques profondes que la science, elle, fera bien d’évaluer un jour. »

4ème mensonge : Le coronavirus a fait des ravages chez nous

Dans son édition de lundi, le quotidien belge Le Soir – que j’ai pour ma part rebaptisé Le Suaire – nous affirme que le coronavirus a fait près de 30% de décès en plus que la normale entre le 1er mars et le 31 mai. C’est une manipulation éhontée car la surmortalité due aux maladies respiratoires ne se calcule pas sur 3 mois mais sur l’ensemble de la saison froide. Or, cette année, la grippe annuelle a été exceptionnellement clémente durant l’hiver. En France, on vous l’a déjà signalé, il n’y avait que 72 morts de grippe recensés officiellement au 1er avril. Pour avoir une vue correcte de la surmortalité, il faudra comparer l’ensemble de l’année 2020 avec les années précédentes. Serait-elle au rendez-vous, ça n’aurait rien d’extraordinaire. Les Français savent-ils que depuis 1945, leur pays a enregistré 13 épisodes de surmortalité comparable à celle de 2020 ? Sans compter le Covid-19, les épidémies saisonnières ont engendré à 13 reprises un excès d’au moins 10.000 décès par rapport à l’année antérieure. Vous pouvez le vérifier en lisant cette analyse publiée sur le blog du sociologue Laurent Mucchielli. La dernière fois que ce bon vieux Influenza a « ravagé » l’hexagone, c’était en 2017, avec un nombre de décès en excès estimé à 21.200 sur les 10 semaines de l’épidémie grippale. Si vous ne le croyez pas, allez lire cet article du Figaro daté du 8 mars 2017. En Belgique, on devrait se souvenir de l’année 2015 : il y a eu 17% de morts en plus lors de l’épidémie grippale et pendant le pic, on a compté jusque 2.600 décès par… semaine. Comme le prouve ce reportage télévisé de l’époque, le Dr Van Laethem n’était nullement alarmé, lui qui officie cette année comme porte-parole du comité de crise qui a créé la panique et décrété le confinement. J’ai fait suivre la séquence télé à une consœur travaillant dans la même chaîne et j’attends toujours qu’elle réagisse, ne fût-ce qu’en m’exprimant son étonnement…

5ème mensonge : Le coronavirus fait des ravages ailleurs

C’est quand même fou : la Belgique et la France n’ont pas subi une vague de trépas hors-normes mais la première est championne du monde de la mortalité (nombre de morts par million d’habitants) et la seconde est en tête pour le taux de létalité (nombre de morts rapporté à la population infectée). Bien que les chiffres soient donc sur la table pour relativiser l’ampleur de la pandémie, les médias dominants des deux pays ne le font pas. Ce qui est encore plus hallucinant, c’est qu’ils font le contraire et nous racontent maintenant qu’une apocalypse est en cours sur les autres continents. Bien sûr, l’Amérique de Trump et le Brésil de Bolsonaro – décrits comme des affreux populistes qui ont minimisé la menace à des fins électoralistes – figurent au premier rang des nations prétendument dévastées par un fléau hors de contrôle. La réalité est que, là comme ailleurs, la politique de confinement décidée par les gouverneurs a fait d’immenses dégâts parmi les personnes âgées cloîtrées chez elles ou dans des homes. À l’image de le France et de la Belgique, les États-Unis ont été le théâtre d’une tragédie – authentique celle-là et un peu décalée par rapport à l’Europe – , se déroulant dans les maisons de retraite où les vieux ont été terrorisés et emprisonnés. Et davantage terrorisés encore parce qu’emprisonnés et privés d’une vie digne. Dans une autre analyse argumentée, le chercheur Denis Rancourt s’est penché sur la mortalité toutes causes confondues des deux côtés de l’Atlantique : pour lui, pas trace d’un fléau viral mais bien « la signature probable d’homicide de masse par la réponse du gouvernement ». Un homicide de masse, c’est un génocide et je ne regrette pas d’avoir employé ce terme il y a déjà trois mois. Il y a eu génocide, c’est une certitude, mais il n’y a pas de deuxième vague : ce qui se passe actuellement, c’est qu’on teste tellement de gens dans certains pays (Afrique du Sud notamment, où le test PCR est ouvert gratuitement à tout le monde) que la pseudo pandémie est entretenue artificiellement. Comme l’expliquait David Crowe dans le Néosanté de juin, tester une population non infectée ne peut produire que des faux positifs, ce qui permet de prolonger indéfiniment une crise sanitaire qui n’en est pas une. Dimanche soir, la RTBF a diffusé un reportage atroce sur le Yémen, où le coronavirus – détecté chez un million d’habitants ! – viendrait s’ajouter à la guerre et la famine en décimant les enfants. Ainsi, même dans cet enfer sur terre, on parvient à dépister à tour de bras ! Si ce n’est pas le signe d’un plan prémédité, c’est très bien imité.

6ème mensonge : sans confinement, c’eût été pire

Ça, c’est l’infox la plus odieuse : relayant sans broncher une étude effectuée par une équipe de l’Imperial College de Londres – ce même panier de crabes qui a inspiré la décision criminelle de confiner la moitié de l’humanité sur base de modèles mathématiques délirants – les médias nous assènent que le confinement aurait évité 3 millions de morts dans 11 pays européens. Mais c’est faux, archifaux ! Tout indique au contraire que les pays ayant adopté les mesures les plus sévères ont été les plus impactés. Dans le mensuel Néosanté de juillet-août, Pryska Ducoeujoly a interviewé les Dr Nicole et Gérard Delépine : graphiques à l’appui, ce couple de cancérologues -statisticiens démontre sans ambiguïté que les pays soumis au lockdown strict sont les plus mal classés en termes de mortalité. En Suède et aux Pays-Bas, où la vie « normale » n’a pas été stoppée brutalement, le nombre de morts par million d’habitants est très inférieur à celui de la Belgique et de la France. Pourquoi voit-on si peu Jean-François Toussaint sur les plateaux télé ? Avec ses chercheurs de l’IRMES, ce professeur de physiologie a dressé un bilan accablant du Covid-19 et de sa gestion par les autorités. Dans son analyse que vous pouvez lire en cliquant ici, il déplore amèrement que les gouvernements aient « succombé à la panique » en prenant la décision calamiteuse de « confiner aveuglément ». En fait, les courbes de décès n’ont jamais épousé un tracé correspondant aux options préconisées par les experts : comme me l’a expliqué un lecteur ingénieur versé en statistique, le confinement n’a pas ralenti la phase de mortalité croissante et le déconfinement n’a provoqué aucune recrudescence. Tout ce cirque était inutile car l’épidémie de Covid-19 n’a fait que suivre l’évolution classique d’une grippe saisonnière normale. J’ai mis sa petite démonstration en ligne et vous pouvez la consulter en cliquant ici. Mais pourquoi se fatiguer à décrypter des tangentes alors qu’on a sous les yeux la preuve éclatante que la surmortalité découle du géronticide et d’une surmédicalisation iatrogène ? Cette preuve s’appelle la Grèce. Certes, ce pays a confiné tôt et a eu la grande intelligence d’autoriser totalement la prescription de chloroquine. Mais il a pris une autre décision capitale : dès la mi-mars, le gouvernement grec a réorienté sa politique de dépistage en ne testant que les personnes gravement symptomatiques. Résultat : 191 morts seulement dans un pays comptant 10,7 millions d’habitants et dont le système de santé a été durement affecté par la crise financière ! La clé de ce mystère m’a été révélée par la comptable des éditions Néosanté, qui est d’origine grecque et qui y retourne souvent pour en exporter vers la Belgique de délicieuses olives biologiques : en Grèce, les maisons de retraite n’existent quasiment pas ! Pour toute famille grecque qui se respecte, il est inimaginable de reléguer les anciens dans un hospice, il est hors de question de placer ses parents dans des mouroirs monogénérationnels. Les vieux sont pris en charge par leurs descendants et hébergés chez ces derniers, si possible jusqu’à leur dernière heure. Les seniors ont donc été confinés avec leurs enfants, petits-enfants et parfois arrière-petits-enfants. Si la vie sociale a été paralysée, la vie familiale habituelle n’a pas été brisée par le confinement. Pour moi, la Grèce est une magnifique étoile brillant dans la nuit, une super-nova qui nous dévoile combien le mythe pasteurien de la causalité virale est nul et non avenu. Les aînés ont survécu parce qu’on ne les a pas coupés de la jeunesse, qu’ils ont échappé à la pandémie de peur et qu’on ne les a pas assassinés en les séquestrant loin de leurs proches. L’essentiel se joue dans la tête et dans le cœur. Et moi, cette évidence m’aide à surmonter mon écœurement. Ça va déjà beaucoup mieux.

 

Mail recu par Tal Schaller

Bonjour monsieur.

Je vous ai découvert suite à l’émission hebdomadaire présentée par Madame Ema Krusi quant aux faits d’actualités auxquels nous faisons face.

Même si la reconnaissance est la finalité de mon intention, je dois dire que vous avez quand même bouleversé pas mal de choses dans ma façon de concevoir et appréhender le monde.

Depuis quatre semaines bientôt, mon cerveau encore juvénile carbure dans son changement de paradigme.

En tant que futur étudiant en médecine, vous paroles à tous sont pour moi un or tel que je n’hésiterais pas une seconde à m’en faire vacciner ! Rappel y compris.

Sincèrement, vous êtes une grande source d’inspiration dans le futur professionnel que je souhaite devenir.

Il n’empêche que découvrir qu’on peut marcher quand on a toute sa vie rampé, en croyant que les jambes étaient une légende, c’est assez bouleversant.

Le ciel se met soudainement à exister ; et la lumière dont on ne voyait que les reflets sur la terre à laquelle on s’était résigné d’appartenir, prend soudainement sens et source.

On se découvre non seulement aveugle, mais sourd !

Car de fait, l’intelligence et la sagesse dans la façon holistique que vous avez de voir le monde est accessible à tous. Il suffit « juste » d’avoir assez de bonne foi pour s’affranchir de nos croyances boiteuses.

« Croire », c’est vraiment comme l’indique son étymologie « avoir confiance », et ma confiance, d’une façon totalement lucide et consciente (- deux mots qui font bien peur à ceux qui ont choisi de vivre pour accroître la stupidité proportionnellement à la baisse de bon sens -), je choisi de la placer en vous.

Quand je dis vous, c’est tous les gens qui animent cette émission.

J’avoue être émerveillé devant tant d’intelligence, devant tant de professionnalisme, et tant de bonté. C’est tout du moins, un bel exemple pour construire son devenir.

« Ils ont des yeux et ne voient pas, des oreilles et n’entendent pas » dit saint Matthieu dans l’Evangile qui porte son nom.

Alors soyez mes yeux.

Alors soyez mes oreilles.

Pour ce qui est du cœur, je pense vous l’avoir déjà donné.

Alors encore une fois, c’est avec beaucoup de tendresse et de sympathie, et d’amour, que je vous remercie tous.

Cela vaut le coup, et cela a beaucoup de valeur.

C’est bien sur les bases de la pensée holistique et la pensée globale non figée dans le dogme protocolaire (dans laquelle s’embourbe la médecine occidentale), que je souhaite devenir un médecin bon, et un bon médecin.

Merci.

Signé, un étudiant de 20 ans.

 

Les masques ne fonctionnent pas : un examen de la science pertinente à la politique sociale de COVID-19

de la newsletter de prepare for change

blog9k

Publié à l’origine sur www.ocla.ca

Les masques et les respirateurs ne fonctionnent pas.

Il y a eu de nombreuses études randomisées contrôlées (ECR) et des revues de méta-analyse des études ECR, qui montrent toutes que les masques et les respirateurs ne fonctionnent pas pour prévenir les maladies respiratoires de type grippal ou les maladies respiratoires qui seraient transmises par des gouttelettes et des aérosols.

De plus, la physique et la biologie connues pertinentes, que j’examine, sont telles que les masques et les respirateurs ne devraient pas fonctionner. Ce serait un paradoxe si les masques et les respirateurs fonctionnaient, compte tenu de ce que nous savons sur les maladies respiratoires virales : la principale voie de transmission est les particules d’aérosol à temps de séjour long (<2,5 μm), qui sont trop fines pour être bloquées, et le minimum- la dose infectieuse est inférieure à une particule d’aérosol.

Le présent article sur les masques illustre la mesure dans laquelle les gouvernements, les médias grand public et les propagandistes institutionnels peuvent décider d’opérer dans un vide scientifique, ou de sélectionner uniquement une science incomplète qui sert leurs intérêts. Une telle insouciance est également certainement le cas avec le verrouillage mondial actuel de plus d’un milliard de personnes, une expérience sans précédent dans l’histoire médicale et politique.

Revue de la littérature médicale

Voici les points d’ancrage clés de la vaste littérature scientifique qui établit que le port de masques chirurgicaux et de respirateurs (par exemple, « N95 ») ne réduit pas le risque de contracter une maladie vérifiée :

Jacobs, JL et al. (2009) « Utilisation de masques chirurgicaux pour réduire l’incidence du rhume chez les travailleurs de la santé au Japon : un essai contrôlé randomisé », American Journal of Infection Control, Volume 37, Numéro 5, 417 – 419.

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/19216002

Les travailleurs de la santé masqués N95 (TS) étaient beaucoup plus susceptibles d’avoir des maux de tête. Il n’a pas été démontré que l’utilisation de masques faciaux chez les travailleurs de la santé procurait des avantages en termes de symptômes du rhume ou de rhume.

Cowling, B. et al. (2010) « Masques faciaux pour prévenir la transmission du virus de la grippe : une revue systématique », Epidemiology and Infection, 138 (4), 449-456. Doi : 10.1017 / S0950268809991658

https://www.cambridge.org/core/journals/epidemiology-and-infection/article/face e-masks-to-prevent-transmission-of-influenza-virus-a-systématiquement-review/64D368496EBDE0AFCC6639CCC9D8BC05

Aucune des études examinées n’a montré de bénéfice à porter un masque, tant chez les travailleurs de la santé que chez les membres de la communauté dans les ménages (H). Voir les tableaux récapitulatifs 1 et 2 qui y figurent.

bin-Reza et al. (2012) « L’utilisation de masques et de respirateurs pour prévenir la transmission de la grippe : une revue systématique des preuves scientifiques », Influenza and Other Respiratory Viruses 6 (4), 257-267.

https://onlinelibrary.wiley.com/doi/epdf/10.1111/j.1750-2659.2011.00307.x

« Il y avait 17 études éligibles… Aucune des études n’a établi de relation concluante entre l’utilisation d’un masque / respirateur et la protection contre l’infection grippale. »

Smith, JD et al. (2016) « Efficacité des respirateurs N95 par rapport aux masques chirurgicaux dans la protection des travailleurs de la santé contre les infections respiratoires aiguës : revue systématique et méta-analyse », JAMC mars 2016, cmaj.150835 ; DOI : 10.1503 / cmaj.150835

https://www.cmaj.ca/content/188/8/567

« Nous avons identifié 6 études cliniques… Dans la méta-analyse des études cliniques, nous n’avons trouvé aucune différence significative entre les respirateurs N95 et les masques chirurgicaux dans le risque associé (a) d’infection respiratoire confirmée en laboratoire, (b) de syndrome grippal, ou c) a signalé un absentéisme au travail. »

Offeddu, V. et al. (2017) « Efficiency of Masks and Respirators Against Respiratory Infections in Healthcare Workers : A Systematic Review and Meta-Analysis », Clinical Infectious Diseases, Volume 65, Issue 11, 1 décembre 2017, Pages 1934-1942

https://doi.org/10.1093/cid/cix681

https://academic.oup.com/cid/article/65/11/1934/4068747

« L’évaluation autodéclarée des résultats cliniques était sujette à des biais. Les preuves d’un effet protecteur des masques ou des respirateurs contre les infections respiratoires vérifiées (IRV) n’étaient pas statistiquement significatives » ; conformément à la figure 2c :

blog9l

Radonovich, LJ et al. (2019) « Respirateurs N95 vs masques médicaux pour prévenir la grippe chez le personnel de santé : un essai clinique randomisé », JAMA. 2019 ; 322 (9) : 824-833. Doi : 10.1001 / jama.2019.11645

https://jamanetwork.com/journals/jama/fullarticle/2749214

« Parmi 2.862 participants randomisés, 2.371 ont terminé l’étude et représentaient 5.180 saisons de travail… Parmi les personnels de santé ambulatoires, les respirateurs N95 par rapport aux masques médicaux portés par les participants à cet essai n’ont entraîné aucune différence significative dans l’incidence de la grippe confirmée en laboratoire. »

Long, Y. et al. (2020) « Efficacité des respirateurs N95 contre les masques chirurgicaux contre la grippe : une revue systématique et une méta-analyse », J Evid Based Med. 2020 ; 1‐ 9. https://doi.org/10.1111/jebm.12381

https://onlinelibrary.wiley.com/doi/epdf/10.1111/jebm.12381

« Un total de six ECR impliquant 9.171 participants ont été inclus. Il n’y avait aucune différence statistiquement significative dans la prévention de la grippe confirmée en laboratoire, des infections virales respiratoires confirmées en laboratoire, des infections respiratoires confirmées en laboratoire et des maladies de type grippal à l’aide de respirateurs N95 et de masques chirurgicaux. La méta-analyse a indiqué un effet protecteur des respirateurs N95 contre la colonisation bactérienne confirmée en laboratoire (RR = 0,58, IC à 95% 0,43-0,78). L’utilisation de respirateurs N95 par rapport aux masques chirurgicaux n’est pas associée à un risque plus faible de grippe confirmée en laboratoire. »

Conclusion concernant le fait que les masques ne fonctionnent pas

Aucune étude ECR avec des résultats vérifiés ne montre un avantage pour les TS ou les membres de la communauté dans les ménages à porter un masque ou un respirateur. Il n’y a pas une telle étude. Il n’y a aucune exception.

De même, aucune étude n’existe qui montre un avantage d’une large politique de porter des masques en public (plus de détails ci-dessous).

De plus, s’il y avait un avantage à porter un masque, en raison du pouvoir de blocage contre les gouttelettes et les particules d’aérosol, alors il devrait y avoir plus d’avantages à porter un respirateur (N95) par rapport à un masque chirurgical, mais plusieurs grandes méta-analyses, et tous les ECR, prouvent qu’il n’y a pas un tel avantage relatif.

Les masques et les respirateurs ne fonctionnent pas.

Le principe de précaution tourné la tête avec des masques

À la lumière de la recherche médicale, il est donc difficile de comprendre pourquoi les autorités de la santé publique ne sont pas systématiquement inflexibles sur ce résultat scientifique établi, car les dommages psychologiques, économiques et environnementaux distribués d’une large recommandation de porter des masques sont importants, mentionner les dommages potentiels inconnus de la concentration et de la distribution des agents pathogènes sur et à partir des masques utilisés. Dans ce cas, les pouvoirs publics renverseraient le principe de précaution (voir ci-dessous).

Physique et biologie des maladies respiratoires virales et pourquoi les masques ne fonctionnent pas

Afin de comprendre pourquoi les masques ne peuvent pas fonctionner, nous devons examiner les connaissances établies sur les maladies respiratoires virales, le mécanisme de variation saisonnière des décès excessifs dus à la pneumonie et à la grippe, le mécanisme des aérosols pour la transmission des maladies infectieuses, la physique et la chimie des aérosols et les mécanisme de la soi-disant dose minimale infectieuse.

Outre les pandémies qui peuvent survenir à tout moment, aux latitudes tempérées, la mortalité due aux maladies respiratoires est saisonnière et causée par des virus. Par exemple, voir la revue de la grippe par Paules et Subbarao (2017). Cela est connu depuis longtemps et le rythme saisonnier est extrêmement régulier.

Par exemple, voir la figure 1 de Viboud (2010), qui présente « Une série chronologique hebdomadaire du rapport des décès par pneumonie et grippe à tous les décès, basée sur la surveillance de 122 villes aux États-Unis (ligne bleue). La ligne rouge représente le rapport de base attendu en l’absence d’activité grippale », ici :

blog9mLa saisonnalité du phénomène n’a été largement comprise qu’il y a une dizaine d’années. Jusqu’à récemment, il a été débattu de savoir si le schéma était principalement dû à un changement saisonnier de la virulence des agents pathogènes ou à un changement saisonnier de la sensibilité de l’hôte (comme l’air sec provoquant une irritation des tissus ou une lumière du jour diminuée provoquant une carence en vitamines ou un stress hormonal). Par exemple, voir Dowell (2001).

Dans une étude historique, Shaman et al. (2010) ont montré que la tendance saisonnière de la mortalité par maladies respiratoires supplémentaires peut être expliquée quantitativement sur la seule base de l’humidité absolue et de son impact direct sur la transmission des pathogènes en suspension dans l’air.

Lowen et al. (2007) ont démontré le phénomène de virulence du virus aéroporté dépendant de l’humidité dans la transmission réelle de la maladie entre les cobayes, et ont discuté des mécanismes sous-jacents potentiels pour l’effet de contrôle mesuré de l’humidité.

Le mécanisme sous-jacent est que les particules ou gouttelettes d’aérosols chargés d’agents pathogènes sont neutralisées au cours d’une demi-vie qui diminue de façon monotone et significative avec l’augmentation de l’humidité ambiante. Ceci est basé sur le travail fondateur de Harper (1961). Harper a montré expérimentalement que les gouttelettes porteuses d’agents pathogènes viraux étaient inactivées en des temps de plus en plus courts, à mesure que l’humidité ambiante augmentait.

Harper a fait valoir que les virus eux-mêmes étaient rendus inopérants par l’humidité (« décroissance viable »), cependant, il a admis que l’effet pourrait provenir d’une élimination physique améliorée par l’humidité ou de la sédimentation des gouttelettes (« perte physique ») : Les viabilités des aérosols rapportées dans cet article sont basés sur le rapport du titre du virus au nombre de radioactifs dans les échantillons de suspension et de nuages, et peuvent être critiqués au motif que les matériaux d’essai et de traçage n’étaient pas physiquement identiques.

Cette dernière (« perte physique ») me semble plus plausible, car l’humidité aurait un effet physique universel provoquant la croissance et la sédimentation des particules / gouttelettes, et tous les agents pathogènes viraux testés ont essentiellement la même « désintégration » provoquée par l’humidité. De plus, il est difficile de comprendre comment un virion (de tous les types de virus) dans une gouttelette serait attaqué ou endommagé moléculairement ou structurellement par une augmentation de l’humidité ambiante. Un « virion » est la forme infectieuse complète d’un virus à l’extérieur d’une cellule hôte, avec un noyau d’ARN ou d’ADN et une capside. Le mécanisme réel d’une telle « dégradation viable » intra-gouttelette due à l’humidité d’un virion n’a pas été expliqué ni étudié.

Dans tous les cas, l’explication et le modèle de Shaman et al. (2010) ne dépend pas du mécanisme particulier de la désintégration des virions due à l’humidité dans les aérosols / gouttelettes. Le modèle quantitativement démontré d’épidémiologie virale régionale saisonnière de Shaman est valable pour l’un ou l’autre des mécanismes (ou une combinaison de mécanismes), qu’il s’agisse de « pourriture viable » ou de « perte physique ».

La percée réalisée par Shaman et al. n’est pas simplement un point académique. Il a plutôt de profondes implications sur les politiques de santé, qui ont été entièrement ignorées ou négligées dans la pandémie actuelle de coronavirus.

En particulier, le travail de Shaman implique nécessairement que, plutôt que d’être un nombre fixe (dépendant uniquement de la structure spatio-temporelle des interactions sociales dans une population complètement sensible et de la souche virale), le nombre de reproduction de base de l’épidémie (R0) est fortement ou dépend principalement de l’humidité ambiante absolue.

Pour une définition de R0, voir HealthKnowlege-UK (2020) : R0 est « le nombre moyen d’infections secondaires produites par un cas typique d’infection dans une population où tout le monde est sensible ». Le R0 moyen pour la grippe serait de 1,28 (1,19-1,37) ; voir la revue complète de Biggerstaff et al. (2014).

En fait, Shaman et al. ont montré que R0 doit être compris comme variant de façon saisonnière entre des valeurs estivales humides d’un peu plus grandes que « 1 » et des valeurs hivernales sèches généralement aussi grandes que « 4 » (par exemple, voir leur tableau 2). En d’autres termes, les maladies respiratoires virales infectieuses saisonnières qui affligent chaque année des latitudes tempérées vont de intrinsèquement légèrement contagieuses à virulemment contagieuses, simplement en raison du mode de transmission biophysique contrôlé par l’humidité atmosphérique, indépendamment de toute autre considération.

Par conséquent, toute la modélisation mathématique épidémiologique des avantages des politiques de médiation (comme la distanciation sociale), qui suppose des valeurs R0 indépendantes de l’humidité, a une forte probabilité d’être de peu de valeur, sur cette seule base. Pour des études sur la modélisation et sur les effets de la médiation sur le nombre de reproduction effectif, voir Coburn (2009) et Tracht (2010).

Pour le dire simplement, la « deuxième vague » d’une épidémie n’est pas une conséquence du péché humain concernant le port du masque et le tremblement de la main. La « deuxième vague » est plutôt une conséquence inéluctable d’une multiplication par la sécheresse de l’air contagieuse de la maladie, dans une population qui n’a pas encore atteint l’immunité.

Si ma vision du mécanisme est correcte (c.-à-d. « Perte physique »), alors le travail de Shaman implique nécessairement que la transmissibilité élevée entraînée par la sécheresse (grand R0) provient de petites particules d’aérosol en suspension fluide dans l’air ; par opposition aux grosses gouttelettes qui sont rapidement éliminées par gravitation de l’air.

Ces petites particules d’aérosol en suspension fluide dans l’air, d’origine biologique, sont de toutes sortes et partout, y compris jusqu’à la taille des virions (Despres, 2012). Il n’est pas tout à fait improbable que des virus puissent ainsi être physiquement transportés sur des distances intercontinentales (par exemple, Hammond, 1989).

Plus précisément, il a été démontré que les concentrations de virus aéroportés dans l’air intérieur (dans les garderies, les centres de santé et les avions à bord) sont principalement sous forme de particules d’aérosol de diamètres inférieurs à 2,5 μm, comme dans les travaux de Yang et al. (2011) :

« La moitié des 16 échantillons étaient positifs et leurs concentrations virales totales variaient de 5.800 à 37.000 copies du génome m -3. En moyenne, 64% des copies du génome viral étaient associées à des particules fines de moins de 2,5 µm, qui peuvent rester en suspension pendant des heures. La modélisation des concentrations virales à l’intérieur a suggéré une force de source de 1,6 ± 1,2 × 10 5 copies du génome m -3 air h -1 et un flux de dépôt sur les surfaces de 13 ± 7 copies du génome m -2-1 par mouvement brownien. Sur une heure, la dose par inhalation a été estimée à 30 ± 18 dose médiane infectieuse de culture tissulaire (TCID50), suffisante pour induire une infection. Ces résultats fournissent un soutien quantitatif à l’idée que la voie des aérosols pourrait être un mode important de transmission de la grippe. »

Ces petites particules (<2,5 μm) font partie de la fluidité de l’air, ne sont pas sujettes à la sédimentation gravitationnelle et ne seraient pas arrêtées par un impact inertiel à longue distance. Cela signifie que le moindre ajustement facial (même momentané) d’un masque ou d’un respirateur rend la norme de filtration de conception du masque ou du respirateur totalement hors de propos. Dans tous les cas, le matériau de filtration lui-même en N95 (taille moyenne des pores ~ 0,3-0,5 μm) ne bloque pas la pénétration des virions, sans parler des masques chirurgicaux. Par exemple, voir Balazy et al. (2006).

L’efficacité de l’arrêt du masque et l’inhalation de l’hôte ne représentent cependant que la moitié de l’équation, car la dose minimale infectieuse (MID) doit également être prise en compte. Par exemple, si un grand nombre de particules chargées d’agents pathogènes doivent être délivrées aux poumons dans un certain délai pour que la maladie prenne racine, un blocage partiel par n’importe quel masque ou tissu peut suffire pour faire une différence significative.

D’un autre côté, si le MID est largement dépassé par les virions transportés dans une seule particule d’aérosol capable d’échapper à la capture du masque, alors le masque n’a aucune utilité pratique, ce qui est le cas.

Yezli et Otter (2011), dans leur examen du MID, soulignent les caractéristiques pertinentes :

  • la plupart des virus respiratoires sont aussi infectieux chez l’homme que dans la culture de tissus ayant une sensibilité optimale en laboratoire
  • on pense qu’un seul virion peut suffire à provoquer une maladie chez l’hôte
  • le MID à probabilité de 50% (« TCID50 ») s’est avéré de manière variable être compris entre 100 et 1.000 virions
  • il y a généralement 10 3 -10 7 virions par gouttelette de grippe aérolisée de diamètre 1 μm – 10 μm
  • le MID à 50% de probabilité s’intègre facilement dans une (une) seule goutte aérosol

Pour plus d’informations :

  • Une description classique de l’évaluation dose-réponse est fournie par Haas (1993).
  • Zwart et al. (2009) ont fourni la première preuve en laboratoire, dans un système virus-insecte, que l’action d’un seul virion peut être suffisante pour provoquer une maladie.
  • Baccam et al. (2006) ont calculé à partir de données empiriques qu’avec la grippe A chez l’homme, « nous estimons qu’après un délai d’environ 6 h, les cellules infectées commencent à produire le virus de la grippe et continuent de le faire pendant environ 5 h. La durée de vie moyenne des cellules infectées est d’environ 11 h et la demi-vie du virus infectieux libre est d’environ 3 h. Nous avons calculé le nombre reproductif de base [dans le corps], R0, qui indiquait qu’une seule cellule infectée pouvait produire environ 22 nouvelles infections productives. »
  • Brooke et al. (2013) ont montré que, contrairement aux hypothèses de modélisation antérieures, bien que toutes les cellules infectées par la grippe A dans le corps humain ne produisent pas de descendance infectieuse (virions), 90% des cellules infectées sont néanmoins affectées de manière significative, plutôt que de simplement survivre indemnes.

Tout cela pour dire que : si quelque chose passe à travers (et cela arrive toujours, quel que soit le masque), alors vous allez être infecté. Les masques ne peuvent pas fonctionner. Il n’est donc pas surprenant qu’aucune étude sans biais n’ait jamais trouvé d’avantage à porter un masque ou un respirateur dans cette application.

Par conséquent, les études qui montrent un pouvoir d’arrêt partiel des masques ou qui montrent que les masques peuvent capturer de nombreuses grosses gouttelettes produites par un porteur de masque éternuant ou toussant, à la lumière des caractéristiques décrites ci-dessus du problème, ne sont pas pertinentes. Par exemple, des études comme celles-ci : Leung (2020), Davies (2013), Lai (2012) et Sande (2008).

Pourquoi il ne peut jamais y avoir de test empirique d’une politique nationale de port de masque

Comme mentionné ci-dessus, aucune étude n’existe qui montre un avantage d’une large politique de porter des masques en public. Il y a de bonnes raisons pour cela. Il serait impossible d’obtenir des résultats sans ambiguïté et sans biais :

  • Tout avantage du port du masque devrait être un petit effet, car non détecté dans les expériences contrôlées, qui serait submergé par les effets plus importants, notamment le grand effet du changement de l’humidité atmosphérique.
  • Les habitudes de conformité et d’ajustement du masque seraient inconnues.
  • Le port de masque est associé (corrélé) à plusieurs autres comportements de santé ; voir Wada (2012).
  • Les résultats ne seraient pas transférables, en raison des habitudes culturelles différentes.
  • La conformité est obtenue par la peur, et les individus peuvent s’habituer à la propagande basée sur la peur et peuvent avoir des réponses de base disparates.
  • La surveillance et la mesure de la conformité sont presque impossibles et sujettes à d’importantes erreurs.
  • L’auto-déclaration (comme dans les enquêtes) est notoirement biaisée, car les individus ont la conviction intéressée que leurs efforts sont utiles.
  • La progression de l’épidémie n’est pas vérifiée par des tests fiables sur de grands échantillons de population et repose généralement sur des visites ou des admissions à l’hôpital non représentatives.
  • Plusieurs agents pathogènes différents (virus et souches de virus) provoquant des maladies respiratoires agissent généralement ensemble, dans la même population et / ou chez les individus, et ne sont pas résolus, tout en ayant des caractéristiques épidémiologiques différentes.

Aspects inconnus du port du masque

De nombreux préjudices potentiels peuvent résulter de politiques publiques générales portant le port de masques, et les questions suivantes sans réponse se posent :

  • Les masques usagés et chargés deviennent-ils des sources de transmission améliorée, pour le porteur et les autres ?
  • Les masques deviennent-ils des collecteurs et des agents de rétention d’agents pathogènes que le porteur de masque éviterait autrement en respirant sans masque ?
  • Les grosses gouttelettes sont-elles capturées par un masque atomisées ou aérosolées en composants respirants ? Les virions peuvent-ils s’échapper d’une gouttelette s’évaporant collée à une fibre de masque ?
  • Quels sont les dangers de la croissance bactérienne sur un masque utilisé et chargé ?
  • Comment les gouttelettes chargées d’agents pathogènes interagissent-elles avec la poussière et les aérosols environnementaux capturés sur le masque ?
  • Quels sont les effets à long terme sur la santé des travailleurs de la santé, tels que les maux de tête, résultant d’une respiration gênée ?
  • Y a-t-il des conséquences sociales négatives pour une société masquée ?
  • Y a-t-il des conséquences psychologiques négatives à porter un masque, comme une modification comportementale basée sur la peur ?
  • Quelles sont les conséquences environnementales de la fabrication et de l’élimination des masques ?
  • Les masques perdent-ils des fibres ou des substances nocives en cas d’inhalation ?

Conclusion

En faisant des recommandations et des politiques sur le port du masque pour le grand public, ou en tolérant expressément cette pratique, les gouvernements ont à la fois ignoré les preuves scientifiques et fait le contraire de suivre le principe de précaution.

En l’absence de connaissances, les gouvernements ne devraient pas élaborer de politiques susceptibles de causer un préjudice. Le gouvernement a un fardeau de la responsabilité avant qu’il ne lance une vaste intervention d’ingénierie sociale ou qu’il permette aux entreprises d’exploiter des sentiments fondés sur la peur.

En outre, les individus doivent savoir qu’il n’y a aucun avantage connu découlant du port d’un masque dans une épidémie de maladie respiratoire virale, et que les études scientifiques ont montré que tout avantage doit être résiduellement faible, par rapport à d’autres facteurs déterminants.

Sinon, quel est l’intérêt de la science financée par les deniers publics ?

Le présent article sur les masques illustre la mesure dans laquelle les gouvernements, les médias grand public et les propagandistes institutionnels peuvent décider d’opérer dans un vide scientifique, ou de sélectionner uniquement une science incomplète qui sert leurs intérêts. Une telle insouciance est également certainement le cas avec le verrouillage mondial actuel de plus d’un milliard de personnes, une expérience sans précédent dans l’histoire médicale et politique.

Notes de fin :

Baccam, P. et al. (2006) « Cinétique de l’infection par le virus de la grippe A chez l’homme », Journal of Virology juil. 2006, 80 (15) 7590-7599 ; DOI : 10.1128 / JVI.01623-05

https://jvi.asm.org/content/80/15/7590

Balazy et al. (2006) « Les respirateurs N95 offrent-ils un niveau de protection de 95% contre les virus aéroportés et dans quelle mesure les masques chirurgicaux sont-ils adéquats ? », American Journal of Infection Control, Volume 34, numéro 2, mars 2006, pages 51-57. Doi : 10.1016 / j.ajic.2005.08.018

https://citeseerx.ist.psu.edu/viewdoc/download?doi=10.1.1.4.48.4644&rep=rep1&type=pdf

Biggerstaff, M. et al. (2014) « Estimations du nombre de reproducteurs pour la grippe saisonnière, pandémique et zoonotique: une revue systématique de la littérature », BMC Infect Dis 14, 480 (2014).

https://doi.org/10.1186/1471-2334-14-480

Brooke, CB et coll. (2013) « La plupart des virions de la grippe A ne parviennent pas à exprimer au moins une protéine virale essentielle », Journal of Virology févr. 2013, 87 (6) 3155-3162 ; DOI : 10.1128 / JVI.02284-12

https://jvi.asm.org/content/87/6/3155

Coburn, BJ et al. (2009) « Modélisation des épidémies et des pandémies de grippe : un aperçu de l’avenir de la grippe porcine (H1N1) », BMC Med 7, 30.

https://doi.org/10.1186/1741-7015-7-30

Davies, A. et al. (2013) « Testing the Efficiency of Homemade Masks: Would They Protect in an Influenza Pandemic ? », Disaster Medicine and Public Health Preparedness, disponible sur CJO 2013 doi : 10.1017 / dmp.2013.43

https://journals.cambridge.org/abstract_S1935789313000438

Despres, VR et al. (2012) « Particules biologiques primaires d’aérosol dans l’atmosphère : une revue », Tellus B : météorologie chimique et physique, 64: 1, 15598, DOI : 10.3402 / tellusb.v64i0.15598

https://doi.org/10.3402/tellusb .v64i0.15598

Dowell, SF (2001) « Variation saisonnière de la sensibilité de l’hôte et des cycles de certaines maladies infectieuses », Emerg Infect Dis. 2001 ; 7 (3): 369-374. Doi : 10.3201 / eid0703.010301

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC2631809/

Hammond, GW et al. (1989) « Impact of Atmospheric Dispersion and Transport of Viral Aerosols on the Epidemiology of Influenza », Reviews of Infectious Diseases, Volume 11, Issue 3, May 1989, Pages 494-497,

https://doi.org/10.1093/clinids /11.3.494

Haas, CN et al. (1993) « Risk Assessment of Virus in Drinking Water », Risk Analysis, 13 : 545-552. Doi : 10.1111 / j.1539-6924.1993.tb00013.x

https://doi.org/10.1111/j.1539-6924.1993.tb00013.x

HealthKnowlege-UK (2020) « Charte 1a – Épidémiologie : théorie de l’épidémie (nombres de reproduction efficaces et basiques, seuils épidémiques) et techniques d’analyse des données sur les maladies infectieuses (construction et utilisation de courbes épidémiques, nombres de générations, rapports exceptionnels et identification de grappes importantes) », HealthKnowledge.org.uk, consulté le 2020-04-10.

https://www.healthknowledge.org.uk/public-health-textbook/research-methods/1a-epidemiology/epidemic-theory

Lai, ACK et al. (2012) « Efficacité des masques faciaux pour réduire les risques d’exposition aux infections aéroportées parmi la population générale », JR Soc. Interface. 9938-948

https://doi.org/10.1098/rsif.2011.0537

Leung, NHL et al. (2020) « Virus respiratoire excrétant dans la respiration expirée et efficacité des masques faciaux », Nature Medicine (2020).

https://doi.org/10.1038/s41591-020-0843-2

Lowen, AC et al. (2007) « La transmission du virus de la grippe dépend de l’humidité relative et de la température », PLoS Pathog 3 (10) : e151.

https://doi.org/10.1371/journal.ppat.0030151

Paules, C. et Subbarao, S. (2017) « Influenza », Lancet Séminaire | Volume 390, NUMÉRO 10095, P697-708, 12 août 2017.

https://dx.doi.org/10.1016/S0140-6736(17)30129-0

Sande, van der, M. et al. (2008) « Les masques faciaux professionnels et faits maison réduisent l’exposition aux infections respiratoires parmi la population générale », PLoS ONE 3 (7) : e2618. Doi : 10.1371 / journal.pone.0002618

https://doi.org/10.1371/journal.pone.0002618

Shaman, J. et al. (2010) « Humidité absolue et apparition saisonnière de la grippe aux États-Unis continentaux », PLoS Biol 8 (2) : e1000316.

https://doi.org/10.1371/journal.pbio.1000316

Tracht, SM et al. (2010) « Modélisation mathématique de l’efficacité des masques pour réduire la propagation de la nouvelle grippe A (H1N1) », PLoS ONE 5 (2) : e9018. Doi : 10.1371 / journal.pone.0009018

https://doi.org/10.1371/journal.pone.0009018

Viboud C. et al. (2010) « Estimations préliminaires de la mortalité et des années de vie perdues associées à la pandémie A / H1N1 de 2009 aux États-Unis et comparaison avec les saisons grippales antérieures », PLoS Curr. 2010 ; 2 : RRN1153. Publié le 20 mars 2010. Doi : 10.1371 / currents.rrn1153

https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC2843747/

Wada, K. et al. (2012) « Le port de masques faciaux en public pendant la saison grippale peut refléter d’autres pratiques d’hygiène positive au Japon », BMC Public Health 12, 1065 (2012).

https://doi.org/10.1186/1471-2458-12-106

Yang, W. et al. (2011) « Concentrations et distributions de tailles des virus de la grippe A aéroportés mesurés à l’intérieur dans un centre de santé, une garderie et dans des avions », Journal of the Royal Society, Interface. Août 2011 ; 8 (61) : 1176-1184. DOI : 10.1098 / rsif.2010.0686.

https://royalsocietypublishing.org/doi/10.1098/rsif.2010.0686

Yezli, S., Otter, JA (2011) « Dose infectieuse minimale des principaux virus respiratoires et entériques humains transmis par les aliments et l’environnement », Food Environ Virol 3, 1-30.

https://doi.org/10.1007/s12560-011-9056-7

Zwart, MP et al. (2009) « Un test expérimental de l’hypothèse d’action indépendante dans les écosystèmes pathogènes virus-insectes », Proc. R. Soc. B. 2762233-2242

https://doi.org/10.1098/rspb.2009.0064

Ancien professeur titulaire et titulaire de physique à l’Université d’Ottawa, Canada. Connu pour les applications de la recherche en éducation physique. Publié plus de 100 articles scientifiques dans les domaines de la physique des métaux, de la science des matériaux, des méthodes de mesure et des sciences de la terre et de l’environnement, ainsi que de nombreux essais de commentaires sociaux. Auteur du livre Hierarchy and Free Expression in the Fight Against Racism.

 

Mesures du taux d’oxygène avec ou sans masque

Voici le lien de cette vidéo, qui démontre ce qui devrait être pourtant une évidence pour tous, à faire circuler auprès de vos amis à qui le port du masque est imposé en entreprise et sur les chantiers, qui plus est avec les chaleurs actuelles.

https://youtu.be/YdzA2MgdFAQ

 

Les hôpitaux interdisent toujours les traitements contre les coronavirus afin d’augmenter le nombre de décès

De prepare for change

Par Ethan Huff,

La guerre contre l’hydroxychloroquine est plus forte que jamais alors que le système médical américain continue de repousser son utilisation dans les hôpitaux, ce qui fait que les patients atteints du coronavirus de Wuhan (COVID-19) meurent en plus grand nombre.

Selon des informations, le Dr Stephen M. Smith, le spécialiste des maladies infectieuses très respecté qui, en avril, a informé le président Donald Trump des avantages potentiels de l’hydroxychloroquine, n’est plus autorisé à prescrire le médicament dans les hôpitaux de la région de New York. Nous avons également appris que la Food and Drug Administration des États-Unis (FDA) a retiré l’approbation d’urgence pour le médicament.

Ce coup de poing signifie que les patients dans le besoin auront du mal à accéder au médicament antipaludique générique, qui ne coûte que quelques centimes par pilule et qui fonctionnerait bien lorsqu’il est combiné avec le zinc minéral.

« Je n’ai jamais entendu parler d’un hôpital faisant quelque chose comme ça », a déclaré le Dr Smith à WND après avoir pris connaissance de la décision, qui a été prise par le Dr Lincoln Miller du Saint Barnabas Medical Center à Livingston, New Jersey. La nouvelle politique du Dr Miller cite les recommandations du comité de pharmacie et de thérapeutique de l’hôpital.

« Cela va à l’encontre de toute ma compréhension de l’éthique médicale dans la recherche », a déclaré le médecin, diplômé de la Yale University School of Medicine, et qui a été chercheur à l’Institut national des allergies et des maladies infectieuses sous la direction d’Anthony Fauci. comme disant.

Écoutez ci-dessous le rapport du Health Ranger alors que Mike Adams, le Health Ranger, parle de la façon dont les médecins et les hôpitaux tuent délibérément des patients atteints du coronavirus de Wuhan (COVID-19) :

La gauche préfère tuer des patients malades que d’admettre que Trump avait raison sur quelque chose

La justification de l’interdiction de prescrire l’hydroxychloroquine est que le médicament doit être administré dans le cadre d’un essai clinique s’il doit l’être, car il n’est pas approuvé pour le traitement du coronavirus de Wuhan (COVID-19). Mais selon le Dr Smith, cela n’est pas valide.

« C’est totalement contraire à l’éthique », dit-il. « Vous n’êtes pas autorisé à orienter les gens vers une étude clinique. Ce sont des gens qui arment fort. »

Lorsque WND a tenté de contacter le Dr Miller pour obtenir des éclaircissements, son bureau a indiqué qu’il ferait un commentaire. Mais en publiant du temps, le Dr Miller n’était toujours pas revenu à WND, suggérant qu’il n’avait jamais eu l’intention d’élucider sa position.

De même, Alison Brophy, membre du comité qui a recommandé de mettre fin à toute prescription d’hydroxychloroquine dans les hôpitaux de la région de New York, n’a pas pu être contactée pour commenter.

Le Dr Smith a souligné à plusieurs reprises le fait que ce genre de chose ne s’était jamais produit auparavant et que « c’est un mauvais signe pour la médecine à l’avenir ». Les médecins et les hôpitaux ont toujours été libres de prescrire des médicaments approuvés à des fins hors AMM, et il prévoit toujours de le faire avec l’hydroxychloroquine dans les cliniques qu’il dirige, y compris au Smith Center for Infectious Diseases and Urban Health à East Orange, New Jersey.

Il est clair que la croisade anti-hydroxychloroquine repose sur la haine de la gauche envers le président Trump qui, à cause de sa recommandation du médicament, l’a à lui seul fait inscrire sur la liste noire. Et à cause de cette politisation de la médecine, les patients doivent maintenant souffrir et mourir.

« C’est une chose de dire que vous ne pouvez pas avoir accès à un médicament qui n’est pas approuvé par la FDA », explique le Dr Smith. « Ce médicament a été approuvé par la FDA ».

« Plus de la moitié de ce que nous faisons est hors AMM », a-t-il ajouté, notant que la prescription d’un AMM approuvé par la FDA est parfaitement normale. « C’est une énorme violation des droits du patient et de la capacité du médecin à pratiquer la médecine. »

Pour suivre les dernières nouvelles sur la corruption médicale, assurez-vous de consulter Corruption.news.

Les sources de cet article incluent :

WND.com

NaturalNews.com

 

Zorro est arrivé !

Tal Schaller

Dans mon enfance, voir Zorro avec son masque correspondait à des moments intenses et passionnés.

Aujourd’hui, je suis à la gare de Lyon à Paris et j’ai l’impression d’être dans un film d’horreur avec tous ces passants masqués. Contrairement à Zorro ils ne cachent pas leurs yeux mais leur bouche et leur nez.

Quelle mascarade !

Jamais je n’aurais imaginé cela : voire des milliers, que dis-je, des millions et des millions d’êtres humains déambuler avec un masque de papier plastifié ou de coton sur la bouche et le nez, quel spectacle incroyable hallucinant, stupéfiant !

On s’indignait il y a peu que des femmes arabes arborent un voile qui cache leurs traits, mais maintenant c’est la « burka pour tous » hommes femmes et enfants ! On ne voit plus que des yeux…Plus de sourires échangés, de contacts chaleureux entre êtres humains, la déshumanisation a commencé !

Ajoutez-y les « gestes barrières » et bientôt tout toucher sera considéré comme dangereux, inadmissible. Chacun sera confiné dans sa prison individuelle d’où il pourra regarder la télévision pour lui dire ce qu’il doit faire.

Tout cela repose sur la croyance de l’utilité des « masques de protection » Or cette croyance n’a absolument aucune base scientifique, aucune ! Cherchez et vous verrez qu’il existe AUCUNE ETUDE SCIENTIFIQUE DEMONTRANT L’UTILITE DES MASQUES !!

AU CONTRAIRE DE NOMBREUSES ETUDES MONTRENT LEUR TOTALE INUTILITE ET LEUR DANGEROSITE !

 Les masques ne servent à rien qu’à vous empêcher de bien respirer comme je l’ai montré sur youtube tal schaller dans deux vidéos :  pire que le corona, la pandémie des masques ! et les masques sont troués et dangereux pour votre santé !

Les virus sont tout petits et ils passent à travers les masques aussi facilement qu’un moustique traverse un grillage !

Hallucinante histoire qui montre la puissance des media actuels : avoir réussi à convaincre des millions de gens qu’il fallait avoir peur et se protéger des méchants virus qui sont la cause des maladies virales, quel tour de force !

Chaque année des gens meurent de la grippe et de toutes sortes de maladies mais jamais encore les pouvoirs publics n’avaient réussi à terroriser les foules comme en cette année 2020. Le COVID 19 a été présenté comme un épouvantable coronavirus qui allait tuer des millions et des millions d’êtres humains. Et la télévision a montré toutes les heures ces chiffres qui font peur, ces chiffres qui, par leur répétition, entretiennent la terreur des spectateurs.

Avec le recul du temps on s’aperçoit que cette « pandémie » n’a existé que dans les media et les déclarations tonitruantes de l’ OMS, cette institution totalement dénaturée qui, au lieu de s’occuper de la santé des populations, ne parle que de vaccins et des médicaments chimiques. LA SANTE DEPEND DE NOTRE MODE DE VIE ET CROIRE QU’ELLE VA SOUDAIN JAILLIR DES LABORATOIRES EST UNE DES PLUS FUNESTES ILLUSIONS DE NOTRE EPOQUE.Du coup, dans les pays pauvres, au lieu de creuser des puits et de veiller à une alimentation vivante, on vaccine à tour de bras et on vend des médicaments chimiques. Dans les pays riches, l’intoxication des populations par la pollution de l’air, les vaccins, la chimie, les ondes électro-magnétiques, les aliments ultra transformés et le stress affaiblissent l’immunité de tous et font le lit des maladies de civilisation.Mais l’OMS n’en a cure, elle obéit à Bill Gates qui veut vacciner et pucer tous les habitants de la Terre ! Nous nageons en plein délire mais, contrôlés par les flux d’argent de la fondation Bill et Melinda Gates, les medias se taisent sur les vrais problèmes de notre temps et cherchent à faire obéir tous les humains aux technocrates qui veulent tout dominer. Le but du masque est de voir jusqu’où les « maîtres du monde » peuvent rendre les êtres humains dociles et disciplinés afin qu’ils acceptent de perdre toujours plus leurs libertés et de considérer, dès que possible, le vaccin non comme un agent de pollution supplémentaire mais comme un véritable sauveur !Notez que les autres « gestes barrières » sont tout aussi aberrants et sans aucune base scientifique ! Se désinfecter les mains à tout bout de champ ne fait que détruire votre flore cutanée, ces bactéries qui sont là pour vous protéger et rester à distance des autres, ne plus toucher ni embrasser ceux que l’on aime est tout simplement de la folie pure, des mécanismes pour vous faire vivre dans la peur et l’obéissance à ces « experts » auto-proclamés qui se nomment des « conseillers scientifiques »qui sont tous en graves conflits d’intérêts puisqu’ils sont grassement payés par les multinationales qui constituent BIG PHARMA afin de vous maintenir dans la soumission à leurs croyances dénuées de tout bon sens et de tout fondement scientifique.Et bien sûr personne ne mentionne la pollution majeure créée par ces nettoyages répétés avec des produits chimiques toxiques et cancérigènes ! Sans compter la pollution créée par ces millions de masques que l’on jette après emploi. Non, l’ennemi c’est le virus et lui seul pas les vaccins ni la chimie !Dans un seul vaccin on trouve plus de 200 substances chimiques et des quantités astronomiques de mercure, d’aluminium et de formol qui font de ces produits de véritables bombes qui détruisent les subtils mécanismes de notre immunité naturelle. Sans compter les cellules fœtales, les nanoparticules toxiques et toutes sortes d’autres substances tout aussi dangereuses les unes que les autres. Il faut savoir que depuis plus de trente ans les fabricants de vaccins ne sont soumis à aucun contrôle. Mais cela aucun journaliste n’ose l’écrire par peur de perdre sa place. Pire, au lieu de dire ce qui se passe vraiment, le journaliste va s’évertuer à dénoncer les « complotistes », les lanceurs d’alerte qui osent contester les dogmes de l’OMS et attirer l’attention sur le gigantesque génocide que le futur vaccin va produire.Toute la manipulation des gens du pouvoir et des media repose sur les idées de Pasteur, idées qui n’ont pas résisté aux avances de la science car on sait de manière sûre de nos jours que :

-Les virus et les bactéries ne sont pas la CAUSE des maladies mais leur CONSEQUENCE !

-Le système immunitaire n’est pas une « armée anti microbes » mais un « hymne à l’unité » qui gère nos cellules et les virus et bactéries qui vivent en nous –et qui sont bien plus nombreux que nos cellules- avec une intelligence prodigieuse et une sagesse cosmique.

-Le système immunitaire est INDIVIDUEL et chaque être humain est unique. Par conséquent donner à tous la même substance vaccinale ou médicamenteuse est une aberration totale, dénuée de sens.

-La médecine a toujours été un contact personnel entre le médecin (ou le thérapeute) et le patient. La loi du « libre consentement éclairé » stipule que le patient doit être informé, avant tout acte médical, des avantages et dangers possibles de cet acte afin qu’il puisse décider en toute conscience si il veut l’accepter ou le refuser. Une vaccination est un acte médical, un test aussi, que chacun doit pouvoir accepter ou refuser. Des « vaccinations obligatoires » ne respectent pas cette loi et devraient donc être interdites.

On devrait faire un « procès de Nuremberg » à ceux qui, comme Bill Gates et ses acolytes, prennent des millions de gens comme cobayes pour leurs expériences d’apprentis sorciers !

Les vaccins ne sont pas de la médecine mais une religion avec ses dogmes nés de cerveaux fous, une religion qui, si nous ne nous réveillons pas pour sortir de ce cauchemar, va engendrer non seulement d’innombrables morts mais aussi une incroyable « mise en servitude » des êtres humains pucés, grâce aux nanoparticules contenues dans les vaccins à venir, et donc soumis à la 5G et à ses milliers de satellites qui vont en douceur détruire notre immunité

Allez voir sur Youtube La véritable histoire de Louis PASTEUR racontée avec des dessins pleins d’humour par Louis BICKEL et ne manquez pas d’aller voir ses nombreux livres sur son site www.bickel.fr. Vous y trouverez des informations de très grande valeur pour votre santé !

En Atlantide, cette grande civilisation qui a fait suite à la Lémurie, et qui s’est finalement auto détruite, le même scénario s’est produit : peu à peu des croyances intellectuelles ont remplacé la sagesse cosmique dont chaque être humain bénéficie quand il est connecté à son corps de lumière et les autorités ont créé toutes sortes de lois et de hiérarchies ,avec ce grand principe de « diviser pour régner »

Peu avant la fin de l’Atlantide, il fut imposé la pose d’un cristal à la base du coccyx de chacun, cristal qui correspond au puçage que Bill Gates veut faire à travers les vaccins contre de Covid 19, vaccin qui sera chargé de nanoparticules jouant le rôle de « puces internes », indélogeables.

Elles auront le même rôle que le cristal des Atlantes : si une personne oser sortir des rails de la « pensée unique » », celle dictée par les autorités, elle recevra des décharges électriques et, si elle persiste dans la désobéissance envers l’ordre établi, elle pourra être tuée élégamment, sans procès ni prison, juste éliminée en douceur !

Bill Gates, Elton Musk, Soros, Rotschild, Rockfeller et ceux de leur groupe de technocrates-ploutocrates sont persuadés d’agir pour le bien de tous, il sont les « sauveurs de l’humanité ». Ils contrôlent presque tous les media de la planète qui, avec une grandiose unité, diffusent des messages de peur… jusqu’à l’arrivée du vaccin sauveur qui nous protégera du Covid dangereux, puis nous devrons accepter tous les autres vaccins qui assureront notre santé. N’oubliez pas que Paris Match a titré un article faisant son éloge à « Bill Gates, médecin du monde » en affirmant que les vaccins de sa fondation ont sauvés des millions de vies ! Bill n’agit que pour notre bien, c’est un philanthrope !
N’essayez pas de voir ce qui se cache derrière les agissements de la fondation Bill et Melinda Gates car vous seriez horrifiés : ils ont, avec leurs vaccins, non seulement gagné des milliards de dollars, mais paralysé plus de 500.000 enfants, en Inde, stérilisé en Afrique, des centaines de milliers de femmes et massacré sans vergogne un nombre colossal d’êtres humains. Mais, par le pouvoir de l’argent, ils arrivent à se faire passer pour des bienfaiteurs généreux et altruistes.
SAVOIR QUE TOUS LES VACCINS SONT TOXIQUES ET CONTIENNENT DES POISONS VIOLENTS PERMET DE VOIR LA SITUATION SOUS UN JOUR DIFFERENT…Mais quel journal, quelle chaîne de télévision osera dire cela ?
Humanité, tu es à la croisée des chemins
Vas-tu laisser les tyrans te faire porter leur masques de peur, puis te vacciner, te pucer, te domestiquer, te traiter comme leur bétail, par ceux qui se donnent le droit de tout contrôler au nom de leur « vision supérieure du bien de l’humanité », leur « Nouvel Ordre Mondial » ou vas-tu te réveiller, sortir du cauchemar de l’obéissance à autrui, devenir responsable de ta vie, ne plus faire que ce que tu sens être juste pour toi et pour les autres êtres vivants ?
Vas-tu continuer à tuer des milliards d’animaux parce qu’on t’a fait croire que « sans protéines animales, pas d’énergie ni de santé » ?
Vas-tu continuer à faire des guerres sans fin à ceux qui sont différents de toi ou les obliger à subir tes lois ou vas-tu enfin comprendre que nous formons une seule famille et devons apprendre à vivre en paix, dans le respect mutuel, l’unité dans la diversité ?

Vas-tu te délivrer des ces institutions perverties qui, comme l’OMS, diffusent des messages anti santé en ne promouvant qu’une médecine vaccinale et chimique et en excluant toutes les médecins ancestrales qui ont pourtant, depuis des millénaires, montré leur immense valeur ?

Vas-tu continuer à te laisser berner pas tous ces media marchands de peur qui ont vendu leur âme au diable et te privent de toutes les informations qui pourraient contribuer à ton éducation en développant ta capacité à comprendre les grandes lois de la vie ?

Vas-tu cesser d’être un esclave terrorisé et cherchant à plaire à ses maîtres pour ne pas être puni ou vas-tu assumer ta souveraineté et ta force divine pour agir consciemment , guidé par l’intelligence du cœur, pour ton bonheur et celui de tous ?

Le choix t’appartient !

LES MASQUES DE PAPIER VUS PAR LES GUIGNOLS

https://m.facebook.com/story.php?story_fbid=10223734817584180&id=1405443932&sfnsn=scwspmo&extid=YJu9sIaCISiwB4vJ

Pour finir le cri d’un député italien  qui ose dire la vérité :

https://www.facebook.com/NeoSalv/videos/658699438337476/?sfnsn=mo&d=n&vh=e

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