Chers amis
Certaines personnes m’ont reproché de donner trop d’informations qui disent la même chose ! Et je dois leur donner raison ! Je n’arrête pas de dénoncer les mensonges officiels et cela peut vous sembler lassant !
Mais comprenez que mon but est de vous INFORMER pour que vous puissiez choisir les infos qui vous semblent intéressantes et je vous présente, dans chaque BLOG, un buffet d’infos afin que vous puissiez faire votre marché !
Je ne vous demande pas de me croire et de m’obéir, surtout pas ! CHOISISSEZ CE QUI VOUS CONVIENT ET LAISSEZ LE RESTE POUR D’AUTRES …
Voyez-vous les médias vous abreuvent de mensonges sans cesse répétés et vous cachent soigneusement les infos « qui ne correspondent pas aux vues de l’OMS » comme le disent les censeurs de facebook, youtube et google.
Nous ne sommes plus au Moyen-Age avec des bûchers pour les hérétiques mais BIG TECH s’est associé à BIG PHARMA et à BIG MONEY (Bill GATES, SOROS, ROCKFELLER, ROTSCHILD, MUSK et quelques autres mondialistes pour diminuer la population mondiale et mettre ceux qui survivront au vaccin sous tutelle de l’Intelligence Artificielle qui, grâce à la 5G, fera de tous les êtres humains des esclaves.
Cela peut sembler de la science-fiction mais c’est la réalité de notre époque.
Les milliardaires de la technologie comme Jeff Bezos, Bill Gates et Elon Musk se sont enrichis de 637 milliards de dollars pendant la pandémie de coronavirus
Qui va gagner ? Les forces sombres de la domination ou les forces de la lumière et de la liberté ? A chacun de choisir son camp et d’agir !
Alors place à des informations utiles :
L’Art de la guerre – Distanciation sociale de la démocratie
Par Manlio Dinucci
Édition de mardi 21 avril 2020 d’il manifesto
« La distanciation sociale est là pour rester beaucoup plus que quelques semaines. Elle bouleversera notre mode de vie, d’une certaine manière pour toujours » : c’est ce qu’ont annoncé les chercheurs du Massachusetts Institute of Technology, une des plus prestigieuses universités étasuniennes (MIT Technology Review, We’re not going back to normal, 17 mars 2020).
Ils citent le rapport présenté par les chercheurs de l’Imperial College London, selon lequel la distanciation sociale devrait devenir une norme constante et être assouplie ou intensifiée selon le nombre d’hospitalisés à cause du virus dans les services de thérapie intensive. Le modèle élaboré par ces chercheurs, et par d’autres, ne concerne pas seulement les mesures à prendre contre le coronavirus. Il devient un véritable modèle social, dont on prépare déjà les procédures et les instruments que les gouvernements devraient imposer par des lois.
Les deux géants étasuniens de l’information Apple et Google, jusqu’ici rivaux, se sont associés pour insérer dans les systèmes opérationnels de milliards de téléphones iPhone et Android, dans le monde entier, un programme de « traçage des contacts » qui avertit les usagers si quelqu’un infecté par le virus s’approche d’eux. Les deux sociétés garantissent que le programme « respectera la transparence et la vie privée des usagers ».
Un système de traçage plus efficace encore est celui des « certificats digitaux », auxquels sont en train de travailler deux universités étasuniennes, la Rice University et le MIT, soutenues par la Bill et Melinda Gates Foundation, la fondation étasunienne créée par Bill Gates, fondateur de Microsoft et deuxième personne la plus riche du monde d’après la revue Forbes. Il l’a lui-même annoncé publiquement, en réponse à un entrepreneur qui lui demandait comment pouvoir reprendre les activités de production en gardant la distanciation sociale :
« Pour finir nous aurons des certificats digitaux pour montrer qui est guéri ou a été testé récemment, ou, quand nous aurons un vaccin, qui l’aura eu » (The Blog of Bill Gates, 31 questions and answers about COVID-19, 19 mars 2020).
L’invention de cette technologie a été commandée et financée par la Fondation Gates, qui déclare vouloir l’utiliser dans les vaccinations des enfants principalement dans les pays en voie de développement. Elle pourrait être utilisée aussi dans une vaccination à l’échelle mondiale contre le coronavirus.
Voilà le futur « mode de vie » qui nous est pré-annoncé : la distanciation sociale à dispositif variable toujours en vigueur, la peur constante d’être approché par quelqu’un qui est infecté par le virus signalé par une sonnerie de notre portable, le contrôle permanent à travers le « code-barres » implanté dans notre corps. Ce serait en substance une extension des systèmes militaires avec lesquels on peut suivre et frapper les « cibles » humaines.
Sans sous-évaluer la dangerosité du coronavirus, quelle que soit son origine, et la nécessité de mesures pour en empêcher la diffusion, nous ne pouvons pas laisser dans les mains des scientifiques du MIT et de la Fondation Gates la décision de ce que doit être notre façon de vivre. Et nous ne pouvons pas arrêter de penser, en posant des questions. Par exemple : il est très grave que les morts du coronavirus en Europe soient actuellement presque 97.000, mais quelles mesures devrait-on, en proportion, prendre contre les particules fines qui, selon les données officielles de l’European Environment Agency (Air quality in Europe – 2019 report) – provoquent chaque année la mort prématurée de plus de 400.000 personnes ?
Source : il manifesto
Traduction : Marie-Ange Patrizio
MASQUES INUTILES ?
(newsletter de prepare for change)
De nombreuses recherches montrent que les masques offrent peu ou pas de protection contre l’infection par les virus respiratoires, et certains masques peuvent en fait augmenter le risque d’infection.
Un essai clinique randomisé de 2009 a révélé que les masques chirurgicaux n’offraient aucune protection. Une étude de 2015 a conclu que les taux d’infection étaient particulièrement élevés dans les masques en tissu, constatant une pénétration de particules dans près de 97% d’entre eux.
Un article de 2016 qui a analysé six études cliniques a révélé que les masques respiratoires N95 ne se comportaient pas mieux que les masques médicaux pour prévenir les infections respiratoires.
Pas plus tard que le 7 avril, un article analysant les données de 15 essais randomisés a conclu que «par rapport à l’absence de masque, il n’y avait pas de réduction des cas de syndrome grippal pour la grippe pour les masques dans la population générale, ni chez les travailleurs de la santé.»
En l’espace de deux mois à peine, aux Etats-Unis, nous sommes passés du fait d’encourager les gens à ne pas acheter ou à ne pas porter de masques (et avertir que les couvertures faciales pourraient augmenter le risque d’infection) à menacer d’amende et d’emprisonner ceux qui ne les portent pas. Les Américains, naturellement, sont confus. Et ça n’aide pas
Dans un sens, l’engouement pour les masques consiste en grande partie à gérer nos peurs. Lorsque les gens ont peur, ils sont beaucoup plus disposés à accepter tout ce qui, selon eux, pourrait les rendre un peu plus en sécurité. Même de très mauvaises politiques et idées. L’illusion de la sécurité. C’est une chose puissante. Pour les humains et les gouvernements, semble-t-il
Dans un sens, l’engouement pour les masques consiste en grande partie à gérer nos peurs. Lorsque les gens ont peur, ils sont beaucoup plus disposés à accepter tout ce qui, selon eux, pourrait les rendre un peu plus en sécurité. Même de très mauvaises politiques et idées. L’illusion de la sécurité. C’est une chose puissante. Pour les humains et les gouvernements, semble-t-il
Youtube : MÉDECINS RECALCITRANTS : Un interview en direct qui passe mal
Ha.. là là… les médecins espagnols ne finissent pas de nous surprendre ! Voici l’un d’entre eux qui ose dire des vérités dérangeantes !!
Objet : Melbourne : La police peut entrer dans les domiciles sans mandat pour procéder à des « contrôles ponctuels »
« Les autorités se voient accorder des pouvoirs draconiens après l’annonce de l’« état de catastrophe ». La police de Melbourne, en Australie, a désormais le pouvoir d’entrer chez les gens sans mandat et d’effectuer des « contrôles ponctuels » pour faire respecter les nouvelles mesure de confinement pour stopper le coronavirus. »
Des contrôles sur les achats ont également été introduits, limitant les citoyens à l’achat de deux articles essentiels au maximum, dont les produits laitiers, la viande, les légumes, le poisson et le papier toilette…/…Les gens ont été informés qu’ils devaient rester dans la résidence dans laquelle ils avaient dormi la nuit précédente pendant les six semaines suivantes. Toute personne qui enfreint les nouvelles règles s’expose à une amende pouvant aller jusqu’à 1.652 dollars, montant qui devrait être majoré. »
Question : Prendrez-vous un vaccin avec un taux de mortalité de 33% pour vous sentir à l’abri d’un virus qui atteint un taux de mortalité de 0,06%
AVERTISSEMENT médical : Un médecin dit que le vaccin COVID-19 non testé modifiera votre ADN
La plupart d’entre nous ont vu des publicités télévisées sur les médicaments, accompagnées d’une voix off ultra-accélérée à la fin énumérant tous les effets secondaires possibles (qui incluent parfois même la « mort »). Vous êtes-vous déjà demandé ce que cette drogue a traversé pour obtenir 30 secondes de temps d’antenne d’un million de dollars ? Selon la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis, il a fait l’objet de nombreuses recherches, tests et contrôles … mais le nouveau vaccin COVID potentiel n’a peut-être pas les mêmes tests rigoureux.
L’approbation « accélérée » de la FDA pour la recherche sur les vaccins COVID a été effectuée sous le couvert d’une crise de santé publique (et soutenue par une législation comme la loi PREP). Mais la pression pour un médicament rapidement développé a soulevé de nombreuses préoccupations concernant la sécurité des vaccins, y compris la possibilité de dommages à l’ADN induits par le vaccin, selon certains médecins.
Un médecin en médecine interne met en garde contre les dangers potentiels liés au vaccin COVID
Dans une vidéo récemment mise en ligne, la D Carrie Madej, spécialiste en médecine interne, a récemment partagé ses idées et ses préoccupations professionnelles sur le vaccin COVID encore à créer. Faites défiler vers le bas pour voir la vidéo complète et continuez à lire pour voir quelques-uns de ses principaux points de discussion :
- L’ADN humain n’est pas fixe : nos gènes peuvent être reprogrammés et activés ou désactivés afin d’effectuer des changements dans le corps – ce qui finalement augmente ou diminue l’état de santé d’une personne, selon le type de reprogrammation qui se produit.
- Beaucoup de choses peuvent « reprogrammer » nos gènes – y compris le stress, les toxines et l’alimentation. Quelque chose d’autre qui peut reprogrammer vos gènes sont des lignées cellulaires génétiquement modifiées créées en laboratoire et utilisées dans le développement de vaccins.
- Cela soulève un dilemme éthique, selon le Dr Madej. Après tout, si quelqu’un peut fabriquer et vous donner des médicaments qui peuvent littéralement changer votre ADN, à un moment donné, n’êtes-vous plus vous-même ? De plus, comme le matériel génétiquement modifié peut être breveté, cela soulève de sérieuses questions sur la « brevetabilité » d’un être humain dont l’ADN a été altéré par un médicament breveté. Peuvent-ils eux-mêmes être considérés comme un « organisme génétiquement modifié » qui peut être breveté et détenu ?
- Ce n’est pas de la science-fiction : c’est une technologie moderne appelée ADN recombinant, et elle est proposée pour la création de vaccins COVID-19. Il n’a jamais été utilisé sur les humains auparavant, mais il est soutenu par des promoteurs de vaccins, notamment GlaxoSmithKline et la Fondation Bill et Melinda Gates.
- N’oubliez pas : la recherche sur le vaccin COVID-19 est accélérée en ce moment, ce qui remet en question la sécurité des vaccins. De plus, les responsables de la santé publique proposent que le médicament éventuel soit injecté à tous les hommes, femmes et enfants du monde entier.
Et ce n’est que de la première moitié de la vidéo ! Regardez la vidéo ci-dessous pour plus d’informations :
Restez informé, restez curieux et défendez votre famille
Comme La Dre Madej mentionne dans sa vidéo que nous avons tous le choix de faire entendre notre voix, de partager des informations et d’être ouverts d’esprit mais sceptiques, d’une manière saine.
À l’heure actuelle, il est facile de se sentir confus par les voix concurrentes sur les vaccins COVID-19 dans les médias. De nombreuses personnes hésitent à partager leurs doutes sur l’innocuité et la légalité des vaccins par peur d’être mal étiquetées ou jugées.
Mais, votre santé et celle de votre famille sont toujours ce qui compte le plus, et prendre position pour cela est quelque chose dont vous ne devriez jamais avoir honte.
NaturalHealth365 | Jonathan Landsman
Youtube : Un couple de soignants nous explique leur vision du port du masque : Les contradictions du discours officiel mises en lumière !
LES MASQUES NE SONT PAS SCIENTIFIQUEMENT VALABLES
Un long article très détaillé sur l’inutilité des masques :
Les composants de la technologie de l’ARNm « pourraient entraîner des événements indésirables importants dans un ou plusieurs de nos essais cliniques », déclare Moderna
Par l’équipe de défense de la santé des enfants
Résumé :
- Les vaccins à ARNm faisant l’objet d’essais cliniques Covid-19, y compris le vaccin Moderna, reposent sur un « système porteur » à base de nanoparticules contenant un produit chimique synthétique appelé polyéthylène glycol (PEG).
- L’utilisation du PEG dans les médicaments et les vaccins est de plus en plus controversée en raison de l’incidence bien documentée des réactions immunitaires indésirables liées au PEG, y compris l’anaphylaxie potentiellement mortelle.
- Environ sept Américains sur dix peuvent déjà être sensibilisés au PEG, ce qui peut entraîner une réduction de l’efficacité du vaccin et une augmentation des effets secondaires indésirables.
- Si un vaccin à ARNm contenant du PEG pour Covid-19 obtient l’approbation de la FDA, l’augmentation de l’exposition au PEG sera sans précédent et potentiellement désastreuse.
- Les documents et publications de Moderna indiquent que l’entreprise est bien consciente des risques pour la sécurité associés au PEG et à d’autres aspects de sa technologie d’ARNm, mais qu’elle est plus préoccupée par ses résultats.
Une douzaine de vaccins Covid-19 sont en cours d’essais cliniques, menant un domaine encombré qui compte désormais environ 170 candidats. Plusieurs des prétendants américains – Moderna, Pfizer / BioNTech et Arcturus Therapeutics – déploient une technologie d’ARN messager (ARNm) jamais approuvée auparavant, une approche expérimentale conçue pour transformer les cellules du corps en usines de fabrication de protéines virales.
Suite de l’article sur https://childrenshealthdefense.org/
Les doubles standards du Dr Fauci : polariser la nation sur l’hydroxychloroquine
Par Robert F. Kennedy, Jr., président, Children’s Health Defense
Je ne sais pas si l’hydroxychloroquine (HCQ) est efficace contre le COVID. C’est troublant que, comme beaucoup d’autres Américains, je pense que nous n’apprendrons pas la vérité du Dr Fauci. Un article de 2005 Virology Journal par MJ Vincent et Eric Bergeron et al du CDC, a fait surface la semaine dernière. L’étude conclut : « Nous rapportons… que la chloroquine a de puissants effets antiviraux sur l’infection SRAS-Coronavirus des cellules de primates. Ces effets inhibiteurs sont observés lorsque les cellules sont traitées avec le médicament avant ou après l’exposition au virus, suggérant à la fois un avantage prophylactique et thérapeutique. Cette conclusion implique que la chloroquine fonctionne à la fois comme un «vaccin» préventif et comme un remède contre les souches de coronavirus.
Si ces résultats persistent dans les modèles humains du COVID 19, comme le suggèrent l’étude de l’hôpital du Michigan du mois dernier et de nombreuses preuves de médecins américains et d’autres pays, le HCQ pourrait concurrencer les vaccins du Dr Fauci, y compris le vaccin Moderna pour lequel son agence détient la moitié du brevet et le Dr Fauci a investi 500 millions de dollars en dollars des contribuables. Pire encore – pour les fabricants de vaccins – les brevets de HCQ sont périmés depuis longtemps ; les pilules coûtent 30 cents. Le Dr Fauci insiste sur le fait qu’il n’approuvera pas le HCQ pour COVID tant que son efficacité n’aura pas été prouvée dans des « études placebo randomisées en double aveugle ». À ce jour, le Dr Fauci n’a jamais préconisé de telles études pour aucune des 72 doses de vaccin ajouté au calendrier obligatoire de l’enfance depuis qu’il a repris le NIAID en 1984. Il ne les exige pas non plus pour les vaccins COVID actuellement en course pour approbation. Pourquoi l’hydroxychloroquine devrait-elle être le seul remède nécessaire pour franchir cet obstacle élevé ? Le HCQ a moins besoin d’études randomisées sur placebo que n’importe lequel de ces vaccins car son innocuité est bien établie après 60 ans d’utilisation et des décennies sur la liste des « médicaments essentiels » de l’OMS.
Bill Gates, l’Organisation mondiale de la santé et Pharma ont alimenté les soupçons du public en finançant de multiples études sur HCQ en utilisant des protocoles calculés de manière transparente pour discréditer le médicament. La FDA a condamné HCQ pour COVID sur la base de deux études dans NEJM et Lancet, même après que les revues les ont retirées pour fraude. L’hostilité particulière du Dr Fauci envers le HCQ est conforme à son parti pris d’un demi-siècle en faveur des vaccins et des médicaments brevetés. Le double standard du Dr Fauci crée la confusion, la méfiance et la polarisation.
Experts de la santé à la FDA : Rendez vos délibérations sur les vaccins publiques !
Une coalition d’experts de premier plan en santé publique a exhorté la Food and Drug Administration à mener des examens complets de l’innocuité et de l’efficacité des vaccins potentiels contre les coronavirus avant de rendre les produits largement disponibles au public.
Dans une lettre signée par près de 400 experts en maladies infectieuses, vaccins et autres spécialités médicales, le groupe a appelé le Dr Stephen Hahn, le commissaire de la FDA, à faire part des délibérations de l’agence sur l’opportunité d’approuver un nouveau vaccin, afin de gagner la confiance du public.
« Nous devons être en mesure d’expliquer au public ce que nous savons et ce que nous ne savons pas sur ces vaccins », a noté la lettre, qui a été organisée par le Centre à but non lucratif pour la science dans l’intérêt public. « Pour que cela se produise, nous devons être en mesure d’assister à un processus d’approbation de la FDA transparent et rigoureux, dépourvu de considérations politiques. »
Plus de 30 vaccins expérimentaux contre les coronavirus sont en cours d’essais cliniques, et plusieurs entreprises se précipitent pour avoir le premier produit aux États-Unis prêt d’ici la fin de l’année. À ce jour, le gouvernement fédéral a promis plus de 9 milliards de dollars aux entreprises pour ces efforts. Mais de nombreuses personnes sont très sceptiques à l’égard de ces nouveaux vaccins et pourraient refuser de les obtenir.
« Les collaborations entre les scientifiques, l’industrie pharmaceutique et le gouvernement fédéral peuvent nous conduire à une réalisation remarquable et historique », indique la lettre. « Mais un vaccin efficace ne sera vraiment utile que si une grande partie du public est disposée à le prendre. »
Les signataires comprenaient des chercheurs universitaires et d’anciens représentants du gouvernement de partout au pays, y compris l’ancien chirurgien général Dr Joycelyn Elders ; l’ancien chef de la FDA, le Dr Jane E. Henney ; et le Dr Luciana Borio, ancienne directrice de la préparation médicale et de la biodéfense au Conseil national de sécurité.
La lettre indiquait que les scientifiques menant des essais de vaccins devraient partager les détails de leurs essais de phase 3, qui testent des milliers de volontaires pour voir si les produits préviennent les infections à coronavirus et s’ils provoquent des effets secondaires. Il est essentiel, selon la lettre, que la FDA n’approuve aucun produit tant que les données de la phase 3 ne sont pas complètes. Le groupe a également demandé que les volontaires soient surveillés pour détecter les effets secondaires inattendus survenant après les essais.
PERLES DU NET :
-La prochaine épidémie de gastro, les gens porteront tous des couches qui seront recommandes par le gouvernement.
-Qui aurait cru qu’un jour, le simple fait de respirer librement en public serait considéré comme égoïste et comme un crime social ?
LE MASQUE ET LA VIE-
Par Michel Rosenzweig (philosophe et psychanalyste)
Vivre masqué en permanence dans les espaces clos et à l’extérieur alors que ce virus circule à bas bruit est un non-sens total. Et quoi qu’en pensent les adhérents au masque obligatoire qui n’y voient toujours rien d’autre qu’une simple mesure d’hygiène envers les autres, ce qui reste encore à démontrer, c’est toute la vie quotidienne qui est affectée et durablement. Car tout est à présent soumis au règne du masque obligatoire, les moindres gestes, la moindre action, les moindres déplacements, les visites, les rendez-vous, c’est toute notre vie quotidienne qui est à présent régie et rythmée par ce régime du masque : sortir, faire ses courses, aller chez le coiffeur, au restaurant, dans un bar, un musée, au cinéma, faire du sport, de la danse, etc. etc.
Et si ce régime est imposé aujourd’hui dans des conditions sanitaires saines, qu’en sera-t-il lorsque les autres coronavirus mutants et les influenza reviendront bientôt ?
Au moindre rhume, aux moindres symptômes grippaux, que fera-t-on ?
Si ces contraintes limitantes drastiques sont imposées alors qu’elles ne se justifient pas aujourd’hui, à quelles mesures aurons-nous droit à la saison des grippes ?
Dans ces conditions, il est clair que ce régime sera maintenu sans aucune limite de temps. C’est un peu comme si on avait érigé un immense barrage face à une hypothétique vague démesurée, un tsunami dont la survenue est loin d’être certaine. C’est un peu aussi comme le désert des Tartares avec sa forteresse érigée contre un ennemi qui ne venait jamais.
Nous avons basculé dans un univers de précaution absolue visant l’asepsie et le risque zéro pour préserver la vie et nous sommes en réalité en train de perdre la vie. Car la vie n’est pas la survie.
Lorsque vous marchez dans une rue commerçante de votre quartier et qu’un inconnu masqué vous fonce dessus pour vous prévenir que la police vient de verbaliser deux personnes pour non port du masque alors que rien n’indique qu’il est obligatoire dans ce secteur, vous réalisez qu’il se passe quelque chose qui n’a strictement rien à voir avec la santé. Lorsque vous prenez les transports en commun et que des patrouilles de police sanitaire arpentent la plateforme en dévisageant les passagers, vous comprenez que ce monde est devenu invivable. Lorsque vous entrez dans votre bistrot familier et qu’on exige de vous de mettre votre masque pour faire 2m50, et qu’en vous installant, la serveuse masquée vous présente un carnet dans lequel vous êtes invité à indiquer votre nom et votre numéro de téléphone pour être autorisé à manger, vous comprenez que rien ne sera jamais plus comme avant et que la joie, le plaisir de sortir, la convivialité, les échanges et les partages dans ces conditions, c’est terminé.
Je suis désolé pour toutes les personnes qui approuvent ce régime de dictature sanitaire, sincèrement, car je pense qu’elles ont perdu leur sens commun, leur bon sens, leur faculté de juger et de discriminer. Et je le pense sincèrement. Ces personnes qui en insultent d’autres sont en réalité atteintes d’un autre virus bien plus toxique, celui de l’intoxication médiatique et du formatage des cerveaux alimenté et entretenu par la propagande médicale et politique anxiogène et contre lequel il n’y a aucun remède ni aucun vaccin.
Ce masque qu’ils exigent parfois avec violence au nom de leur santé en masque en réalité un autre, celui qui voile leur conscience et surtout leur liberté de conscience, de penser, d’apprécier et d’évaluer correctement la situation, celui qui voile la raison au profit du fantasme de la maladie mortelle qui rode à chaque coin de rue, celui de la peur panique d’être contaminé par la peste.
D’abord il y a eu un virus. Ensuite des malades, puis des morts. Comme chaque année à la même saison, cette année l’aire des morts aura juste été plus concentrée sur une plus courte période. Mais au total, comparé aux pics épidémiques annuels et saisonniers ? Prenez la peine honnêtement de regarder un graphique de santé publique étalé sur les dernières années.
C’est la visibilité de cette épidémie qui a choqué les consciences et construit une image, une représentation erronée de la réalité, une discordance, ce sont les discours et les messages changeants, les injonctions contradictoires et paradoxales, les conflits d’intérêts de toute catégorie, l’instrumentalisation, la récupération et l’exploitation politiques de l’épidémie qui ont brouillé la lisibilité correcte et rationnelle de cet épisode.
Oui il y a eu une épidémie due à un coronavirus dont l’origine demeure mystérieuse pour moi et pour d’autres.
Oui les plus fragiles et les plus âgés en ont été victimes. Soit. Et alors ? Est-ce une raison suffisante pour imposer ce régime de dictature sanitaire totalement disproportionné au moment où nous avons besoin de légèreté et d’air ?
Est-ce une raison pour enfermer et astreindre toute une population au moment où rien ne le justifie lorsqu’on regarde les courbes des hospitalisations et des décès ?
Et après ?
Le contrôle électronique et numérique des contaminés ?
Des codes de couleurs ?
Un bracelet électronique pour les pestiférés ?
Et puis pourquoi faire croire que ce régime prendra fin avec un vaccin alors que l’on sait parfaitement bien qu’aucun vaccin contre un coronavirus n’a jamais vraiment fonctionné ? Si les vaccins contre la grippe saisonnière fonctionnaient massivement, on le saurait me semble-t-il. A-t-on éradiqué la grippe avec un seul vaccin ?
Alors j’avoue, oui, j’avoue et je reconnais volontiers que je suis atteint d’un syndrome très connu : celui du canari dans la mine. Vous savez, cet oiseau que les mineurs emportaient pour les prévenir du gaz méthane qui s’échappait du charbon, un gaz incolore inodore et indétectable.
Lorsque que le canari s’endormait, ou mourait, il était temps de sortir.
Youtube : LA DOUBLE FACE DU SYSTÈME BILL GATES ?
Connaissez-vous la fondation qui dit lutter contre la pauvreté, les maladies et la faim mais qui investit dans des multinationales comme Coca-Cola, Total ou les Big Pharma, accusées de pollution et d’exploitation ? Il s’agit de la Fondation Bill et Melinda Gates !
Youtube : Phase 2, un verrouillage de l’ADN ? Sauve qui peut !
Youtube : A voir absolument avant censure : Compilation de vidéos pour comprendre les dangers à venir
WhataBeautifulWorld Youtube Channel
La Face cachée de la 5 G : Contrôle total et robotisation de la population humaine
Extrait de la newsletter de Michel DOGNA
Après la 2, la 3, la 4, qui étaient déjà souvent mal vécues, en particulier par les électro sensibles, voici la 5 (toujours plus) que l’on nous annonçait depuis longtemps, avec les fréquences qui montent, qui montent, qui montent… et les dégâts aussi !
On nous annonce un monde merveilleux en version « intelligente toute automatique », magique à la Walt Disney, mais il y a un prix fort pour en profiter qui, pour faire court, est de « vendre son âme » au 666.
Il y a des années que de nombreux semeurs d’alertes ont prévenu, sans compter plus en arrière, la prédiction de l’Apocalypse de Saint Jean (chapitre 13) cent fois reprise lorsque l’on y parle du « chiffre de la bête ».
Il s’agit bien sûr de la séduction de la puce RFID qui fait l’objet de beaucoup de débats concernant la balance entre son côté pratique et l’acceptation du traçage de tous nos faits et gestes par l’instillation de nano-éléments – ceux-ci vont se loger dans le cerveau, et l’on ne connait pas l’étendue des effets biologiques dans l’organisme.
Mais quel rapport avec la 5G ? C’est simple, les programmes de la nanotec dans la RFID peuvent être remis à jour à tout moment comme dans votre ordinateur – et ceci par les antennes relais qui poussent comme des champignons un peu partout – ce qui revient à dire que vous serez totalement pilotés par la 5G. Alors le plan en cours devient clair :
- Une fausse pandémie déclenchée par la 5G, et endossée par un classique Corona grippal (SRASS).
- Des mesures sanitaires dictatoriales aberrantes pour créer des morts et semer la peur générale.
- Présenter un (faux) vaccin obligatoire pour tous, bourré de nano technologie programmable à distance.
- Installer une couverture planétaire omniprésente de la 5G pour un contrôle total de l’humanité, n’est-ce pas monsieur Bill Gates qui gère si bien l’OMS ? (Organisation Mortifère de la Soumission).
Nous subissons déjà des attaques multiples d’ondes électromagnétiques
- Entre les téléphones portables et leurs antennes relais qui semblent être en corrélation avec l’explosion actuelle de tumeurs cérébrales…
- Entre le WIFI qui libère les appartements des tas de filasses de connexions, mais vous fait vivre dans un grand four micro-ondes (à 2,4 Giga Hertz : fréquence de résonnance de l’eau), et qui est indispensable pour avoir le WhatsApp…
- Entre les écrans TV qui semblent attaquer le cerveau des accros, et plus encore celui des petits enfants qui, selon les statistiques, ont toutes les chances d’être ensuite des cancres à l’école…
- Entre les expériences de manipulations mentales des populations par le plan HAARP (psychotronique)…
- Entre les compteurs LINKY qui vous minent gravement la santé en plus de vous fliquer honteusement et d’exploser votre facture d’électricité…
Nous vivions déjà dans un électro-smog toxique, et là, ce sera le coup de grâce !
Effets sur l’organisme humain liés à la 5G
Il y a actuellement deux bandes d’hyperfréquences disponibles : la bande de 3,5 GHz et la bande de 26 GHz
C’est sur ces bandes actuellement en service que des études indépendantes ont été effectuées. Il en est ressorti :
- Augmentation de la perméabilité de la barrière hémato-encéphalique (ce qui permet aux nanoparticules vaccinales de s’installer dans le cerveau).
- Dommages oxydatifs.
- Génération de protéines de stress.
- Perturbation du métabolisme cellulaire.
- Perturbation du métabolisme du glucose cérébral.
- Réduction de la mélatonine.
- Ruptures d’ADN simple et double brin.
Youtube :Alerte 5G Suède des gens tombent malades du aux radiations des antennes à très haute fréquence
Vidéo très courte (3’50) sur ce qui pourrait être le lien manquant :
Etonnante promotion internationale du corona virus (pas plus dévastateur qu’une bonne grippe)
- Confinement imposé sans réelle raison médicale
- Dans beaucoup de pays, les gens doivent rester chez eux
- Refus d’agréer les traitements efficaces : hydroxychloroquine…
- Ceci permet l’installation paisible de la 5G (quasiment inutile techniquement pour les usages normaux)
- Installation effective des antennes-relais de la 5G
- Augmentation progressive de la puissance de la 5G
- Un nombre croissant de personnes tombent comme des mouches
- Comme pour le corona, très difficile (voire interdit) pour les victimes de recevoir le bon traitement d’urgence : l’oxygène
L’objectif serait-il de réduire drastiquement la population ?
Sur la chaîne de Silvano TROTTA :
Bonjour Silvano juste un petit mot pour pour te dire que hier à Montréal, Québec on a eu une grosse manifestation avec près de 100.000 personnes contre le port du masque obligatoire et des autres injustices et mensonges des média et du gouvernement ils ont même repris la célèbre chanson d’y est où le bonheur, par IL EST OÙ LE COVID IL EST OÙ !!!!) et le tout dans l’ordre , la discipline et la joie …. et sans grippe bien sûr !
Le site Web américain des médecins de première ligne expose la campagne « criminelle » des géants de la technologie et des agences gouvernementales pour bloquer la guérison du COVID
(Natural News) La conférence extrêmement réussie de la semaine dernière par le groupe américain Frontline Doctors, qui a révélé une « campagne massive de désinformation » contre la capacité vitale de l’hydroxychloroquine à guérir le coronavirus chinois, a été totalement fermée à Internet par les géants de la technologie. Le groupe était à Washington le 27 juillet pour son événement « White Coat Summit », organisé et parrainé par les Tea Party Patriots et le représentant Ralph Norman (RS.C.). Il a débuté avec un ordre du jour d’une journée et s’est terminé le lendemain par une deuxième conférence de presse et un lobbying du Congrès.
(Article republié sur LifeSiteNews.com)
Un représentant de Facebook a donné comme excuse vague que l’événement avait été annulé pour avoir prétendument « partagé de fausses informations sur les remèdes et les traitements du COVID-19 ». Comme d’habitude, Facebook a refusé de donner des détails. En réalité, les entreprises technologiques elles-mêmes peuvent être coupables d’un « crime contre l’humanité » et d’une diffusion « criminelle » de fausses informations qui auraient pu entraîner de nombreux décès parce que les patients infectés et leurs médecins se sont vu refuser des informations vitales cruciales fournies lors de cet événement.
Vous comprendrez la gravité de ce que les géants de la technologie ont fait en lisant ci-dessous quelques extraits du livre blanc de l’organisateur de la conférence, le Dr Simone Gold, sur l’hydroxychloroquine.
La plupart des exposés donnés au cours de la journée de conférence complète peuvent être vus ici. Je recommanderais fortement de regarder ce que ces experts avaient à dire qui contredit de manière crédible les mensonges et la désinformation dont le public a été nourri pendant des mois sur l’hydroxychloroquine et d’autres problèmes liés au virus de Wuhan.
C’est un matériel incroyable et vous serez probablement assez en colère après les avoir regardés lorsque vous vous rendrez compte à quel point le public a été délibérément induit en erreur sur les questions abordées dans les discussions afin que les géants pharmaceutiques puissent gagner des milliards sur leur alternative, bien plus coûteuse, beaucoup moins de médicaments et de vaccins efficaces. Ils ne seraient même pas nécessaires si l’hydroxychloroquine n’avait pas été si mal représentée et dissimulée aux médecins et aux patients depuis le début de la pandémie.
Le site Web America’s Frontline Doctors (AFD) a été restauré après avoir été soudainement fermé par la société d’hébergement Web de l’organisation pour se conformer à la censure des médias sociaux. Une partie cruciale du site Web contient deux documents exceptionnels. Ils présentent des preuves bien documentées qu’un protocole d’hydroxychloroquine, administré au bon moment et avec le bon dosage, aidera considérablement la plupart des patients infectés par le COVID à se remettre rapidement de ce que trop de gens pensent à tort, grâce à l’hystérie générée par les médias, est une mort phrase.
Aujourd’hui encore, lorsque les utilisateurs de Facebook tentent de partager la vidéo de la conférence de presse de l’AFD, ils sont confrontés à une pop-up comme celle ci-dessous lorsqu’un lecteur latino-américain a tenté de partager la vidéo avec des amis. Cela indique à tort qu’il y a des informations dans le message provenant des médecins certifiés par le conseil d’administration – qui ont traité des patients covid – qui sont des « informations erronées qui pourraient causer des dommages » et qu’ils n’autorisent pas « de fausses informations sur covid-19 qui pourraient contribuer à blessure physique ». Facebook n’a fourni aucune preuve de quelque nature que ce soit pour étayer ces graves et fausses accusations.
La pop star de renommée mondiale, Madonna, a également été censurée par Instagram pour avoir publié une vidéo des médecins de première ligne. Dans son message, Madonna a félicité le Dr Stella Immanuel, le médecin de Houston, qui a déclaré qu’elle avait traité avec succès 350 patients atteints de coronavirus avec de l’hydroxychloroquine. Le discours animé du Dr Emmanuel a été le grand succès de la conférence de presse car elle a très passionnément appelé à rendre des comptes à tous ceux qui ont supprimé l’utilisation de l’HCQ au détriment de la vie des patients infectés.
J’espère personnellement que les médecins de première ligne lanceront des poursuites et encourageront des poursuites pénales contre Google, YouTube, Facebook, Vimeo et la société d’hébergement Web pour le grand préjudice qu’ils ont causé non seulement à l’AFD, mais plus important encore, à de nombreux patients infectés par le covid qui pourraient sont décédés à cause des fausses déclarations qui ont été faites au sujet des informations données lors de la conférence. Les géants des médias sociaux doivent enfin être tenus responsables. Cette censure mortelle ne peut pas continuer.
Les extraits suivants du livre blanc du Dr Simone Gold révèlent la corruption et la tromperie choquantes et profondes qui ont entraîné la suppression des traitements des infections COVID indispensables depuis le début de la pandémie :
Extraits du livre blanc sur l’hydroxychloroquine par le Dr Simone Gold, MD, JD
En France, le HCQ était vendu en vente libre depuis de nombreuses années, mais le 15 janvier 2020, le ministre de la Santé de l’époque, Buzyn, l’a reclassé en «liste II des substances toxiques». Trois jours après que Trump l’ai approuvé, le prochain ministre de la Santé, Veran, a déclaré que HCQ ne devait être utilisé que pour les patients gravement malades hospitalisés et ne pouvait pas être utilisé tôt ou en prophylaxie (trois). Puis deux mois plus tard, il a cessé de l’utiliser. Pendant tout ce temps, le réputé virologue Professeur Raoult a poursuivi ses essais cliniques et dans ses hôpitaux le taux de mortalité était de 0,52% comparé au reste de la France à 19,12%. Parce que cela a été si mal géré, entraînant tant de morts inutiles, l’ancien Premier ministre français et deux ministres de la Santé font actuellement l’objet d’une enquête criminelle.
Un tribunal français va enquêter sur l’ancien Premier ministre français Edouard Philippe et deux ministres de la Santé à la suite de plaintes concernant la gestion par le gouvernement de la pandémie de coronavirus, a déclaré aujourd’hui le procureur général François Molins. Philippe, l’ancienne ministre de la Santé Agnès Buzyn et le ministre de la Santé sortant Olivier Véran devront répondre aux accusations de s’abstenir de lutter contre une catastrophe.
Aux Pays-Bas, le Dr R. Elens a intenté une action en raison de son interdiction de prescrire du HCQ, ce qui est contraire à sa pratique de longue date en tant que médecin. Il a été sanctionné et encourt une amende de 150.000 euros. Il a déposé cette pétition pour clarifier le statut de HCQ et le poursuivra si nécessaire comme crime contre l’humanité.
Le patron du Lancet… a dit… que les compagnies pharmaceutiques sont si puissantes financièrement aujourd’hui et sont capables d’utiliser de telles méthodologies pour nous faire accepter des papiers qui… en réalité parviennent à conclure ce qu’elles veulent… Je fais des recherches depuis 20 ans de ma vie. Je n’ai jamais pensé que le patron de The Lancet pouvait dire ça. Et le patron du NEJM aussi. Il a même dit que c’était « criminel ».
Dans le cas de l’étude JAMA, les scientifiques ont donné jusqu’à 2,5 fois la dose mortelle du médicament. Sans surprise, tant de patients sont morts qu’ils ont interrompu l’étude prématurément. Ils ont également sélectionné des patients et n’avaient aucune preuve qu’il y avait une surveillance éthique standard de l’étude. JAMA était au courant de ces problèmes et a quand même publié l’étude. Divers scientifiques ont exigé sa rétractation, et même maintenant, avec des enquêtes civiles et criminelles sur ces décès, l’étude n’est toujours [sic] pas rétractée. Et les manchettes autour de cette étude blâment le médicament, pas le fait que des patients âgés, malades, hospitalisés, compromis ont reçu des doses toxiques d’un médicament.
À tout le moins, l’« assassinat » efficace de HCQ doit être annulé immédiatement. Les médecins doivent pouvoir prescrire l’HCQ comme traitement et comme prophylaxie. Il est absolument inacceptable que les médecins ne soient pas en mesure de communiquer de manière responsable et avec compassion avec leurs patients. Il faut remédier à cela.
Nous parlons en faveur du renversement immédiat de la campagne massive et irresponsable de désinformation qui empêche littéralement les médecins de dispenser du HCQ, en préconisant également qu’elle soit disponible en vente libre aux États-Unis. Ceci est logistiquement facile à faire de manière à garantir l’approvisionnement et la dispense appropriée.
L’hydroxychloroquine (HCQ) est approuvée par la FDA depuis plus de 65 ans et a été utilisée des milliards de fois dans le monde entier sans restriction. Depuis de nombreuses décennies, il a été donné aux femmes enceintes, aux femmes qui allaitent, aux enfants, aux patients âgés, aux patients immunodéprimés et aux personnes en bonne santé.
Aux États-Unis, il est le plus souvent utilisé dans trois situations: le lupus érythémateux disséminé (LED), la polyarthrite rhumatoïde (PR) et comme prophylaxie antipaludique chez les voyageurs.
Les médecins qui prescrivent le plus de HCQ sont les rhumatologues. Les patients qui ont besoin de HCQ prennent généralement le médicament pendant des années ou des décennies.
L’éminent cardiologue de Los Angeles, le Dr Daniel Wohlgelernter, déclare :
Au cours des 30 dernières années, j’ai eu plusieurs centaines de visites de patients spécifiquement pour discuter de la toxicité de l’hydroxychloroquine. Pendant ce temps, pas un seul patient n’a été retiré de ce médicament pour toxicité cardiaque. La plus grande méta-analyse publiée en 2018 n’a révélé que 50 décès cardiaques attribués à l’hydroxychloroquine en plus de 60 ans.
Dans une interview avec Laura Ingraham, le Dr Richard Urso, ophtalmologiste, a déclaré ceci : J’ai eu plusieurs milliers de visites de patients pour discuter spécifiquement de la toxicité de ce médicament au cours de mes 30 dernières années. C’est un médicament super sûr. C’est plus sûr que Tylenol, aspirine, Motrin.
Il va de soi que HCQ est à l’abri du fait qu’il a été approuvé par la FDA depuis 65 ans et a été utilisé plusieurs milliards de fois dans le monde entier et il est en vente libre dans la plupart des pays du monde, certainement avant 2020. C’est le médicament le plus utilisé en Inde, le deuxième pays le plus peuplé de la planète avec 1,3 milliard d’habitants. Si un Américain se rend dans un endroit où le paludisme est endémique, selon le CDC, il commencerait HCQ avant de partir pour son voyage. Il n’y a jamais eu d’allégation selon laquelle HCQ n’est pas en sécurité avant 2020.
Dans la plus grande étude à ce jour sur le sujet, il a été démontré que l’HCQ n’augmente pas le risque cardiaque (cardiaque). Cette étude portait sur un réseau de bases de données multinationales et distribuées. Il a étudié toutes les données pendant 20 ans, du 9 janvier 2000 à 2020, sur des patients qui se sont vu prescrire du HCQ.
La base de données de la FDA montre un total de 640 décès attribuables au HCQ sur cinquante ans. Pour mettre cela en contexte « Chaque année, la FDA reçoit plus d’un million de rapports d’événements indésirables associés à l’utilisation de produits pharmaceutiques ». « Cela concerne l’intégralité de l’utilisation du HCQ sur plus de 50 ans de données, probablement des millions d’utilisations et à plus long terme utiliser que les cinq jours recommandés pour le traitement Covid-19. »
Le CDC a une fiche d’information sur HCQ. Cette feuille comprend les questions / réponses suivantes
Q : Qui peut prendre l’hydroxychloroquine ?
R : L’hydroxychloroquine peut être prescrite aux adultes et aux enfants de tous âges. Il peut également être pris en toute sécurité par les femmes enceintes et les mères allaitantes.
Q : Qui ne devrait pas prendre d’hydroxychloroquine ?
R : Les personnes atteintes de psoriasis ne doivent pas prendre d’hydroxychloroquine.
Q : Comment dois-je prendre l’hydroxychloroquine ?
R : Les adultes et les enfants devraient prendre une dose d’hydroxychloroquine par semaine en commençant au moins une semaine avant le voyage… Ils devraient prendre une dose par semaine pendant leur séjour, et pendant quatre semaines consécutives après leur départ. La posologie hebdomadaire pour les adultes en 400 mg.
Q : Quels sont les effets secondaires potentiels de l’hydroxychloroquine ?
R : L’hydroxychloroquine est un médicament relativement bien toléré. Les effets indésirables les plus fréquemment rapportés sont les maux d’estomac, les nausées, les vomissements et les maux de tête. Ces effets secondaires peuvent souvent être atténués en prenant de l’hydroxychloroquine avec de la nourriture. L’hydroxychloroquine peut également provoquer des démangeaisons chez certaines personnes.
Q : Combien de temps est-il sécuritaire d’utiliser l’hydroxychloroquine ?
R : Les CDC n’ont pas de limites sur l’utilisation de l’hydroxychloroquine pour la prévention du paludisme. Lorsque l’hydroxychloroquine est utilisée à des doses plus élevées pendant de nombreuses années, une affection oculaire rare appelée rétinopathie est survenue. Les personnes qui prennent de l’hydroxychloroquine pendant plus de cinq ans devraient subir des examens de la vue réguliers.
Efficacité
Il n’y a que deux choses à considérer concernant un médicament : est-il sécuritaire et fonctionne-t-il ? HCQ est parmi les plus sûrs de tous les médicaments sur ordonnance aux États-Unis et c’est pourquoi dans une grande partie du monde, il est vendu sans ordonnance. Et à un moment où le monde est pris de panique face à un virus sans traitement spécifique, la question de l’efficacité est presque sans objet. Si un médicament est sûr et peut fonctionner, et s’il n’y a pas d’autres options, nous devons l’essayer.
Le bilan de sécurité de HCQ est incontestable. Mais maintenant sept mois après le début de la pandémie, des preuves accablantes s’accumulent que HCQ est également efficace pour Covid-19. Il existe des dizaines d’études démontrant son efficacité dans le monde entier. De la Chine à la France en passant par l’Arabie saoudite, l’Iran, l’Italie, l’Inde, New York, le Michigan et le Brésil. Cela n’a rien d’étonnant. Aussi loin que, la chloroquine (CQ), le cousin germain du HCQ et auparavant connue pour être efficace contre le SRAS-CoV-1, a été déclarée par la Chine comme un traitement pour Covid-19.
Corruption des revues scientifiques
Il est bien connu que The Lancet et le New England Journal of Medicine (NEJM) ont dû retirer leurs études. Il a été bien documenté dans une série publiée dans The Guardian en commençant par le titre : « The Lancet a fait l’une des plus grandes rétractations de l’histoire moderne. Comment cela pourrait-il arriver ? » Le nombre et l’ampleur des choses qui ont mal tourné ou qui manquent sont trop énormes pour être attribués à une simple incompétence.
Les données sur lesquelles ces études étaient basées étaient si ridiculement erronées qu’il n’a fallu que deux semaines à un médecin aux yeux d’aigle pour demander publiquement une explication. Ce qui est incroyable, c’est que les rédacteurs en chef de ces revues réputées ont encore un travail – c’est à quel point les données supposées sous-jacentes aux études étaient absolument incroyables. La société qui « a rassemblé » les données présumées (Surgisphere) est désormais effacée d’Internet.
The Lancet et The NEJM ont au moins été exposés, mais la troisième revue de premier plan, encore non exposée, est le Journal of the American Medical Association (JAMA). Alors que les deux premières revues ont publié des études frauduleuses, l’étude JAMA semble criminelle dans son intégralité et le mépris de la vie humaine.Le Dr Douste-Blazy, ancien ministre français de la Santé, sous-secrétaire général de l’ONU et candidat au poste de directeur de l’OMS a déclaré publiquement que The Lancet et les rédacteurs du NEJM admettent avoir été poussés par les sociétés pharmaceutiques à publier certains résultats.
.Réglementations excessives et punitives au niveau de l’État et prescription « hors étiquette »
Il y a évidemment une énorme campagne de désinformation en cours aux États-Unis d’Amérique, affirmant que HCQ n’est ni sûr ni efficace. C’est assez remarquable pour un médicament approuvé par la FDA depuis 65 ans et ayant déjà été administré des milliards de fois dans le monde avec seulement 57 événements indésirables graves (cardiaques) notés par la FDA dans sa propre base de données au cours des cinquante dernières années. Dans de nombreux pays, il est disponible en vente libre, comme l’aspirine et le Tylenol.
Néanmoins, avec la pression négative appliquée, les gouverneurs des États ont ordonné, par le biais de leurs conseils de licence d’État, que les médecins cessent de l’utiliser et que les pharmaciens arrêtent de le dispenser. Leur formulation est souvent plus prudente, mais on dit aux médecins qu’ils pourraient être accusés de « conduite non professionnelle » (une menace pour leur licence) ou être « sanctionnés » s’ils prescrivent.
COVID-19 est un acronyme pour SARS-CoV-2. Il est ainsi nommé parce qu’il s’avère qu’il y avait un SRAS-CoV-1. La lecture de la littérature scientifique liée au premier SRAS est si étrangement similaire que des extraits sont copiés / collés à la page suivante. En 2002, il y a eu un nouveau coronavirus, originaire de Chine, qui s’est rapidement propagé à des dizaines de pays, en quelques mois, conduisant à des efforts mondiaux pour le contenir. Les scientifiques ont découvert que la CQ avait un fort effet antiviral sur ce virus SRAS-CoV, que la CQ ait été utilisée avant ou après l’infection. Il a été conclu que la CQ avait un usage à la fois prophylactique et thérapeutique.
L’étude « La chloroquine est un inhibiteur puissant de l’infection et de la propagation du coronavirus du SRAS » par Vincent, Bergeron, Benjannet, et. al., a été publié par la publication officielle des National Institutes of Health lorsque le Dr Fauci était NIH Director : Étant donné que le CQ s’est avéré très efficace contre un coronavirus identique à 78% il y a moins de 15 ans dans une situation très similaire, il est très curieux qu’il y ait eu un effort multinational pour le restreindre à partir de la mi-janvier.
Le 13 janvier 2020, la France a discrètement changé le statut du HCQ de son statut de gré à gré de plusieurs années à celui de « substance toxique de liste II ». C’était une rétrogradation sans précédent. Et aux USA : « Dr. Anthony Fauci a déclaré mercredi que les données montrent que le HCQ n’est pas un agent efficace contre le coronavirus, contestant l’utilisation du médicament pour lutter contre le virus mortel alors même que le président Donald Trump le vante comme un remède potentiel.
On ne sait pas quand le Dr Fauci en est venu à croire le contraire de ce que les NIH ont publié lorsqu’il était directeur des NIH. Ce que nous savons, c’est que 70.000 à 100.000 vies américaines supplémentaires ont été perdues en raison du manque d’accès au HCQ. Alors pourquoi un médicament en vente libre depuis des décennies a-t-il été soudainement mais discrètement retiré des étagères, au milieu d’une pandémie, à cause d’un virus si similaire qu’il partage un nom ?
Il est bien connu que les médicaments nouvellement brevetés peuvent être extrêmement rentables s’il y a demande et pas d’autre offre. La demande de Remdisivir de Gilead, qui est utilisé tardivement dans la maladie, chutera évidemment si la maladie est arrêtée tôt par HCQ. Le remdisivir est vendu entre 3.200 et 5.700 dollars par traitement et le gouvernement fédéral en a déjà acheté la totalité ou la majeure partie. Le HCQ générique est d’environ 10 $ par traitement.
Il est intéressant de noter que de nombreux médicaments en vente libre, probablement la majorité, sont moins sûrs que le HCQ. Par exemple, le Tylenol et l’aspirine sont répertoriés comme plus risqués. La plupart des médecins attesteraient des problèmes fréquents que les gens ont avec Motrin / Ibuprofen / Aleve. La toxicité du tylénol est la raison la plus courante de transplantation hépatique aux États-Unis et les anti-inflammatoires représentent un nombre énorme de saignements / douleurs / détresse gastro-intestinale.
En conséquence, non seulement les patients ne sont pas traités rapidement, efficacement et en toute sécurité, mais certains patients meurent. Et comme la peur de la pandémie a dépassé le virus lui-même et qu’il est impossible de changer l’opinion du public et des médecins assez rapidement pour sauver des vies, nous devons rendre le médicament directement accessible au public.
Dr Harvey Risch, MD, PhD, professeur d’épidémiologie à la Yale School of Public Health et publié en affiliation avec la Johns Hopkins Bloomberg School of Public Health. Le Dr Risch, qui compte 39.779 citations sur Google Scholar, note que :
« Les décès cumulés aux États-Unis jusqu’au 15 juillet sont de 140.000 personnes. Si nous avions permis l’utilisation généreuse de HCQ, nous aurions économisé la moitié, 70.000 et il est très possible que nous aurions pu économiser 3/4 105.000.
Il est pertinent que le problème que rencontrent les États-Unis pour accéder à l’hydroxychloroquine est un problème du premier monde. Curieusement, les personnes qui ne peuvent pas obtenir le HCQ vivent généralement dans des démocraties du premier monde. En général, HCQ ou son ancêtre CQ, était disponible gratuitement en vente libre dans la plupart des pays du monde en Afrique, en Asie, en Amérique du Sud, même au Canada et au Mexique, avant Covid. Bien avant que le président Trump n’approuve HCQ le 20 mars 2020, le médicament a été discrètement retiré des rayons des pharmacies au Canada et il a été carrément interdit en France. Ces deux actions ont été prises en janvier 2020. C’est une spéculation pour savoir pourquoi mais il faut se demander à qui profite si HCQ n’est pas accessible.
On ne peut pas oublier qu’à l’heure actuelle, partout dans le monde, les patients qui veulent acheter HCQ le font tout simplement. Iran, Costa Rica, Italie, Panama ; beaucoup d’autres.
Ce tableau a été publié dans le livre blanc du Dr Gold
SOURCE : Dr Simone Gold, Livre blanc sur l’hydroxychloroquine
Quelle que soit la raison, il existe une relation évidente entre l’accès au HCQ et les taux de mortalité de Covid-19. S’il est vrai qu’une telle relation ne prouve pas de cause à effet, il est également vrai que ce serait de la folie de ne supposer aucune relation.
Des données pays par pays sont également disponibles et l’accès au HCQ est fortement lié à une mortalité plus faible. Nous pouvons voir que même les pays très pauvres ont des taux de mortalité beaucoup plus faibles que les pays riches, ce qui, bien sûr, est typiquement le contraire de ce à quoi on pourrait s’attendre d’une maladie respiratoire qui pourrait aboutir à une hospitalisation en USI. Kazakhstan, Bangladesh, Sénégal, Pakistan, Serbie, Nigéria, Turquie, Ukraine, Honduras… la liste est longue. Démocraties plus riches ou pays avec des protocoles HCQ particulièrement abusifs comme le font terriblement : l’Irlande, le Canada, l’Espagne, les Pays-Bas, le Royaume-Uni, la Belgique, la France… À noter, l’Italie et l’Espagne ont basculé à mi-chemin et maintenant HCQ est facilement disponible.
La limitation ou l’interdiction pure et simple du HCQ dans le monde a commencé à se fissurer. Il va bientôt s’effondrer car les preuves de son innocuité et de son efficacité sont si accablantes. Les pays qui ont moins de flexibilité pour tolérer des politiques fatales se sont déjà inversés. Au sud de nous, le Honduras, le Panama et le Costa Rica ont, ou avaient auparavant mis à disposition le HCQ. Le Brésil essaie mais fait face à plusieurs des mêmes problèmes politiques que les États-Unis. Certains pays ont commencé à faire du porte-à-porte pour faciliter sa disponibilité.
Au Honduras, leur politique nationale est désormais la suivante : « Le patient qui se présente pour la première fois dans un établissement de premier niveau de soins, si tel est le cas, un traitement doit être instauré avec : Acétaminophène, Hydroxychloroquine 400 toutes les 12 heures, Ivermectine, Azithromycine, Zinc… »
En savoir plus sur : LifeSiteNews.com
Youtube : Commission d’enquête Covid-19 : Agnès Buzyn a passé beaucoup de temps à chercher ses notes
Objet : Madame La Ministre BUZYN !!! (ne pas zapper, c’est à pleurer…) Et c’est cette bande de pieds nickelés de la médecine qui nous oblige désormais à porter des masques ??? C’est pas à pleurer ? Et ça dirige la France !!!!!!!!!!!
Le Dr Andrew Wakefield met en garde contre les vaccins contre les coronavirus et l’immunité juridique scandaleuse pour les fabricants de vaccins dans une interview à ne pas manquer
(Natural News) Le Dr Andrew Wakefield, créateur du nouveau film à la bombe « 1986: The Act », évoque la profonde corruption de l’industrie des vaccins criminels dans une nouvelle interview de Brighteon Conversations (ci-dessous).
Comme il l’explique dans l’interview, la décision prise en 1986 par le Congrès américain d’accorder une immunité juridique totale aux fabricants de vaccins a entraîné des décennies de fraude malveillante, de fabrication de produits défectueux et des millions d’enfants victimes de vaccins dangereux.
Et aujourd’hui, alors que nous sommes confrontés à la libération imminente de vaccins anti-coronavirus à voie rapide – qui sont précipités dans le processus d’approbation avec l’abandon complet de tout principe de sécurité ou d’efficacité – la pression agressive des médias pour la vaccination obligatoire de milliards d’êtres humains soulève le spectre de voir des millions de personnes blessées ou tuées par les vaccins contre le coronavirus.
Pourtant, l’industrie corrompue, anti-scientifique et anti-humaine des vaccins progresse, détruisant la vie d’enfants et d’adultes, avec un contrôle total sur les revues scientifiques, les médias d’entreprise et toute une nation de médecins soumis au lavage de cerveau qui, à ce jour, n’ont aucune idée des ingrédients réellement utilisés dans les vaccins.
Regardez et partagez cette importante interview avec le Dr Andrew Wakefield :
Lien direct Brighteon : Brighteon.com/6124310f-ecef-4f27-80e7-ae7f5199b52c
VACCINS (Mail reçu)
« Bonjour, j’écoutais une vidéo conférence où vous relatiez l’exemple d’un surdoué en calcul mental qui, suite à un vaccin, avait chuté dans ses capacités en calcul mental.
Je voudrais me rallier à votre avis, car j’ai fait le même constat depuis mon enfance. Depuis mes premiers vaccins ROR et tétanos, j’avais remarqué qu’après les injections mes capacités cognitives diminuaient franchement et immédiatement, que je me sentais comme ralenti sur le plan mental, que je n’étais plus le même.
Je n’avais pas les moyens de le prouver, je ne savais pas que certains médecins avaient fait la relation avec une perte de cognition et les vaccins, mais intuitivement je déduisais qu’il y avait une corrélation. »
4 raisons de détester le test du COVID :
Yves RASIR
Tester, tester et encore tester. Depuis des mois, c’est le mantra qu’on nous matraque dans les tympans du matin au soir. Pour contrôler la pseudo-pandémie et son soi-disant rebond, il faudrait absolument opérer un dépistage massif de la population. En Belgique comme ailleurs, les autorités mettent le turbo et espèrent arriver prochainement à tester 70.000 personnes par jour, en recrutant à la hâte 300 « testeurs » prestement formés au maniement de l’écouvillon. Car c’est bien évidemment la technique PCR (Polymerase Chain Reaction ) qui est mise en avant, au détriment du test sérologique consistant à prélever une goutte de sang. Certes, ce n’est pas moi qui vais critiquer ce choix. La détection d’anticorps dans le liquide sanguin n’a aucune espèce d’intérêt puisqu’elle indique seulement qu’un individu a rencontré UN coronavirus, dont on sait que la famille est nombreuse et dont quatre membres au moins, dixit l’infectiologue Didier Raoult, provoquent chaque année des rhumes et des syndromes grippaux. De plus, le test sérologique ne permet pas de dater la rencontre avec le système immunitaire, lequel peut continuer à réagir à l’antigène viral pendant des plombes. Pour mesurer la circulation actuelle du virus couronné, ce n’est donc pas la bonne méthode. Enfin, faut-il rappeler que certains tests de ce type suscitent énormément de fausses réponses positives ? Celui du SIDA peut réagir à des dizaines d’autres maladies, comme la tuberculose et le paludisme, et même à l’état de grossesse. C‘est ainsi qu’a été construit le mythe complet du sida en Afrique. Pour autant, ce n’est pas moi non plus qui vais vanter le dépistage par PCR. Voici les 4 raisons majeures pour lesquelles il me paraît sage de s’en méfier et s’en défier.
1) La PCR, c’est du pipeau
Au risque de me répéter (mais il faut bien le faire puisqu’aucun autre média n’ose le dire), cette méthode de biologie moléculaire « révolutionnaire » a été décriée par son inventeur lui-même, le Prix Nobel 1993 de chimie Kary Mullis. Décédé il y a tout juste un an, ce dernier contestait que la réaction en chaîne par polymérase puisse servir à détecter une infection virale et à en mesurer la gravité. Basée sur l’amplification de séquences génétiques, ce test peut faussement réagir à la présence d’impuretés et de débris protéiques. Quand bien même serait-elle fiable, cette technique sophistiquée ne permet nullement d’établir un lien de causalité entre une particule virale et la maladie qu’on lui impute. C’est pourquoi Kary Mullis avait adhéré au groupe scientifique des « repenseurs du sida » et préfacé le livre du rétrovirologue Peter Duesberg (« L’invention du virus du sida »). Membre et président de cette association savante, le canadien David Crowe a étudié l’épidémie de SRAS en 2003 et il analysait depuis janvier celle de COVID-19. Pour lui, il était clair qu’on était face à une mystification – le « nouveau » coronavirus n’a même pas été isolé et purifié dans les règles de l’art – fondée sur l’illusion que la PCR est un outil diagnostique valable. C’était l’objet de son long article que nous avons traduit et publié dans la revue Néosanté du mois de juin. Je parle de lui à l’imparfait car je dois malheureusement vous faire part d’une triste nouvelle : David Crowe est décédé début juillet d’un cancer fulgurant. Son projet de livre sur le « mythe infectieux » restera donc inachevé et ne lui survivront que les textes, vidéos et documents audio rassemblés sur son blog éponyme. Malgré la maladie qui progressait, il avait encore mis à jour le 6 juin son analyse des failles dans la théorie pandémique. Si vous maitrisez l’anglais, prenez la peine d’en lire les 50 pages car elles sont démystifiantes à souhait. Bien qu’elle nous peine énormément, la disparition brutale de David Crowe est contrebalancée par une nouvelle réjouissante : le livre « Virus Mania » vient d’être réédité aux États-Unis et sera bientôt disponible en Europe. Écrit en 2007 par un journaliste et un médecin interniste allemands, cet ouvrage explique lumineusement comment l’industrie pharmaceutique invente continuellement de nouvelles épidémies infectieuses (vache folle, grippe aviaire, cancer utérin, hépatite C…) qui n’en sont pas. La nouvelle édition est augmentée d’un volumineux chapitre consacré au COVID dans lequel Torsten Engelbrecht, le journaliste médical, dézingue à son tour la grande arnaque de la PCR. Pour vous faire une idée du bouquin, allez lire l’article (en anglais) où son co-auteur résume ses griefs envers le testing génomique. Traduction d’un passage édifiant : « Ainsi, les auteurs de quatre des principaux articles du début 2020 affirmant la découverte d’un nouveau coronavirus admettent qu’ils n’avaient aucune preuve que l’origine du génome du virus était des particules de type viral ou des débris cellulaires, purs ou impurs, ou des particules de toute nature. En d’autres termes, l’existence de l’ARN du SRAS-Cov-2 est basée sur la foi et non sur les faits.(…) “Les méthodes modernes de détection de virus comme la réaction en chaîne par polymérase ne disent pas grand-chose ou rien sur la façon dont un virus se multiplie, quels animaux le portent, ou comment il rend les gens malades. C’est comme essayer de dire si quelqu’un a mauvaise haleine en regardant son empreinte digitale.” L’usage de la PCR, estime Torsten Engelbrecht, est « scientifiquement dénué de sens ». C’est pourtant avec ce sable qu’a été bâti le gigantesque mensonge pandémique !
2) Tout dépistage fait des ravages
Même en admettant que la PCR mesure la présence d’un virus entier et spécifique – ce qui n’est pas prouvé – , sa fiabilité est loin d’être acquise. On nous dit généralement qu’elle est « très bonne » ou « excellente » mais rien n’est moins sûr. Il suffit que les réactifs soient de mauvaise qualité, que la procédure ne soit pas suivie à la lettre ou qu’il survienne une infime contamination extérieure durant le prélèvement ou l’analyse pour fausser le résultat et générer des « faux positifs ». Capitale, cette falsification involontaire ! En période estivale, il y a en effet beaucoup plus de chance de tester une population vierge de tout visiteur viral. Avec seulement 1% de faux positifs – estimation très basse – , on obtient ainsi 1% de contaminés alors qu’il y en a en réalité 0%. Si vous testez 1.000 personnes qui n’ont rien, vous aurez déjà 10 individus faussement infectés. Si vous testez un pays de 10 millions d’habitants indemnes, celui-ci comptera quand même 100.000 « cas confirmés » considérés comme des victimes en puissance. Voilà comment on fabrique une épidémie fantôme ! Si ce n’était qu’une illusion sans conséquence, on se contenterait d’en rire jaune. Or ce tour de magie est potentiellement dramatique car le dépistage de masse aboutit toujours à du « surtraitement » iatrogénique. Dans la revue Néosanté, nous avons maintes fois dénoncé ce phénomène à propos du cancer. En dépistant très largement avec un appareillage de plus en plus performant, la médecine détecte des tas de minuscules tumeurs qui n’auraient pas fait parler d’elles ou qui auraient disparu spontanément. Chaque année, dans le monde, on irradie, empoisonne par chimio ou mutile inutilement des millions de personnes. Des millions de poitrines, de prostates ou de thyroïdes sont réséquées par scalpel sans que l’espérance de vie globale des cancéreux ne soit améliorée. Rien à voir avec le COVID ? Bien au contraire : dans le contexte narratif d’une pandémie terrifiante, une multitude de gens vaguement grippés a été hospitalisée sans être « filtrée » par le médecin traitant. Et dans les hôpitaux, par psychose du virus, on a usé et abusé de l’intubation. Hier, on m’a transmis les chiffres d’un hôpital bruxellois où 80% des patients mis sur respirateur artificiel sont décédés. Il n’y a pas de deuxième vague de cet ordre mais le dépistage massif apporte inéluctablement son lot d’issues fatales. C’est un scandale en soi.
3) Les cas confirmés, on s’en bat les C…
Sorry pour la vulgarité, mais j’en ai vraiment ma claque que les experts et les médias qui en sont les perroquets nous assènent quotidiennement le chiffre des « cas » comme s’il s’agissait de malades ou de moribonds en sursis. Le test est positif, et alors ? De toute évidence, les courbes de l’évolution pathologique (admissions à l’hôpital occupations de lits en soins intensifs, décès) ne suivent plus du tout celle de l’infection. Elle s’en écarte même de plus en plus, avec un taux d’asymptomatiques qui flirte avec le maximum. Comment se fait-il que cette réalité aveuglante ne pousse pas à alléger les mesures sanitaires liberticides au lieu de mener à leur renforcement ? Il y a trois semaines, alors qu’il alarmait sur un frémissement de rebond, le journal Le Suaire (alias Le Soir) a écrit textuellement que « Les contaminés d’aujourd’hui sont les hospitalisés de demain et les morts d’après-demain (ou plutôt les morts trois semaines plus tard) ». Nous y sommes, trois semaines plus tard, et ils sont où, les monceaux de cadavres ? Vendredi dernier, la porte-parole du comité de crise a annoncé aux Belges que la situation actuelle n’avait rien de comparable avec celle du pic épidémique mais a averti que « le virus restait aussi dangereux qu’en mars ». Ah bon, alors comment se fait-il que cette particule féroce circule toujours autant sans faire de dégâts ? Ils vont bien sûr nous dire – non sans se contredire magistralement – que l’ennemi a probablement perdu en agressivité avec l’arrivée de l’été. Il faudrait toutefois aller expliquer ça aux quelques gars qui sont quand même en train d’agoniser dans les hostos. On va également nous répondre que c’est normal car les testés positifs sont principalement des jeunes. Mais justement, bande de myopes, il crève les yeux que les personnes en bonne santé ont très peu à craindre de l’agent infectieux. Dans certains clubs sportifs professionnels, on teste à rythme bi-hebdomadaire et les « cas confirmés » sont de plus en plus nombreux, notamment dans les équipes de foot. Or tous ces footballeurs demeurent en pleine forme et ne manifestent aucun signe clinique. À propos, des nouvelles de Novak Djokovic ? Si le champion de tennis avait eu, ne fût-ce qu’un pet de fièvre, les journaleux qui l’ont lynché se seraient fait une joie de ressortir la corde. Cet avant-dernier numéro du Corona Circus, avant l’apothéose vaccinale, je le trouve évidemment lamentable. Mais d’un autre côté, je suis très content que la disproportion entre la montagne de contaminations et la souris des somatisations soit désormais éclatante. Avec une telle majorité de « porteurs sains », la théorie du germe ne tient plus debout et tout le monde peut voir que l’empereur Pasteur est totalement à poil : sans terrain défaillant, aucun microbe ne fait le poids ! Finalement, c’est la seule raison pour laquelle j’irais bien me faire tester, avec l’espoir secret d’être déclaré positif et de creuser encore l’écart chiffré entre malades et présumés infectés. Mais comme ce gouffre abyssal n’a pas besoin de moi pour apparaître au grand jour, je vais m’abstenir de participer à la campagne de dépistage. Pour peu que le thermomètre portatif me gratifie d’un soupçon de température en cette période caniculaire, les testeurs fous seraient fichus de me comptabiliser parmi les malades. Je vous invite également à ne pas contribuer à cette bouffonnerie. L’augmentation des cas, pour le dire plus poliment, on s’en tamponne !
4) L’ écouvillon mérite la suspicion
En parlant de tampon, savez-vous qu’il suffirait de glisser un bout d’ouate ou un petit coton-tige dans les narines pour prélever l’ADN viral ? C’était comme ça qu’on faisait pour dépister la grippe il y a à peine dix ans. Le long bâton appelé écouvillon n’est apparu que dans la foulée – tiens, tiens, comme c’est curieux – de la pseudo-pandémie de grippe A/H1N1 en 2009. C’est seulement depuis que les modélisateurs zinzins agitent l’épouvantail d’un cataclysme coronaviral que l’enfoncement du Q-Tip (c’est le nom barbare de l’instrument) dans les fosses nasales a été recommandé. Admettons qu’il faille aller au fond du nez pour augmenter la sensibilité de la PCR, mais ce geste intrusif est-il vraiment anodin ? Selon les témoignages de mon entourage soumis au dépistage, c’est très désagréable, souvent douloureux et parfois suivi de saignements. Sur internet, je lis aussi que la douleur peut persister plusieurs jours et s’accompagner de maux de tête, voire – tiens, tiens, comme c’est à nouveau bizarre – de perte d’odorat. Mais s’il y avait pire encore ? Sur la toile, une vidéo a beaucoup circulé qui évoque des dommages possibles à la barrière hémato-encéphalique (BHE), cette cloison faite de nerfs et d’os qui sépare le cerveau du reste du corps. Quand je l’ai visionnée, j’ai haussé les épaules : il est très excessif d’insinuer que l’écouvillon puisse transpercer une digue aussi solide. Néanmoins, je ne suis pas vraiment rassuré par les articles de « fact cheking » qui ont fleuri pour torpiller la « fake-news ». Certes, la BHE est un tissu rigide peu susceptible d’être perforé. Cependant, ce n’est pas du tout une barrière hermétique bloquant tout passage. Elle protège tant bien que mal l’encéphale contre des molécules toxiques telles que les pesticides et les métaux lourds mais elle s’ouvre pour laisser passer l’oxygène et les nutriments essentiels au cerveau. Depuis quelques années, on sait aussi qu’elle autorise l’entrée de virus et de bactéries. Sa porosité à géométrie variable relève d’un mécanisme complexe encore très mal compris par la science. Et si la BHE, à défaut d’être percée, était fragilisée par l’écouvillonnage ? Et si ce frottis tournoyant et insistant permettait à des particules indésirables d’entrer par effraction dans le cerveau ? Et si la rudesse de ce protocole transmettait un message électrique délétère via les nerfs ? À mon sens, on ne peut pas exclure que cette technique non dénuée de brutalité soit d’une réelle nocivité. L’histoire de la médecine est pleine d’inventions abandonnées pour leurs dangers après avoir été banalisées. Perso, je soupçonne que l’écouvillon a été adopté pour faire croire que les « nouveaux virus émergents » nécessitaient une procédure de détection spéciale et relativement traumatisante. Je me demande également si certains départs de COVID ne découlent pas de ce traumatisme lorsqu’il est accompagné d’angoisse. Bref, je me pose des questions et il n’est pas question que le bidule pénètre profondément mon intimité nasale. C’est déjà de la médicalisation à outrance et je déteste ça.
Info : La Nouvelle-Zélande devient le premier pays à enfermer dans des camps de concentration les personnes testées positives à la co*vid-19 ainsi que leur famille au complet. Toute personne refusant le test sera automatiquement arrêtée et enfermée dans un camp.
Dans un pays où il y a eu en tout 22 morts depuis le début de l’année, le dernier remonte au 27 mai… “
ON APELLE CELA COMMENT A VOTRE AVIS !!!
Liens : https://www.aubedigitale.com/la-nouvelle-zelande-declare-quelle-va-placer-tous-les-nouveaux-infectes-par-le-covid-et-les-membres-de-leur-famille-en-quarantaine-dans-des-camps
Aucun cas depuis 100 jours !
https://www.google.com/url?sa=t&source=web&rct=j&url=https://amp.ouest-france.fr/sante/virus/coronavirus/coronavirus-la-nouvelle-zelande-n-a-connu-aucun-nouveau-cas-depuis-100-jours-6932354&ved=2ahUKEwiP6cX9-ZzrAhUIqxoKHbD9CjwQFjABegQIBhAK&usg=AOvVaw2tKbaL9k2UZub-p0voOeBC&cf=1
BONG SANG PROTEGEZ VOS ENFANTS!!!
Très grave !.Ecoutez jusqu’au bout la vidéo de Corine et ne soyez pas dans le déni. Elle vous dit la stricte vérité.
Foutage de gueule pour gogos friqués :
Le remdesivir, médicament qui aurait prouvé son efficacité face au Covid-19, est vendu 2.000 euros alors que son coût de production est évalué à… 6 euros
Si on est loin d’avoir trouvé un vaccin ou, encore moins, un médicament capable de guérir le coronavirus, l’antiviral remdesivir a montré un effet « clair » dans le traitement du coronavirus…
En avril dernier, le Dr Anthony Fauci, épidémiologiste et conseiller du président Donald Trump se montrait très enthousiaste au sujet du remdesivir : « Les données montrent que le remdesivir a un effet clair, significatif et positif pour diminuer le temps de guérison » des malades du coronavirus, avait-il assuré.
Selon les premiers résultats d’un grand essai clinique parrainé par les Instituts de santé américains (NIH), le médicament expérimental a en effet accéléré de 31 % le temps de rétablissement des malades du Covid-19. Comparés aux malades ayant reçu un placebo, les patients traités avec le remdesivir, molécule du laboratoire Gilead, ont guéri en 11 jours (temps médian) au lieu de 15 jours, selon un communiqué des NIH.
Efficace, mais cher
Si le remdesivir n’est en rien un vaccin ou un remède miracle, il a donc prouvé son efficacité face au virus. Mais ce médicament sera cher. En effet, Daniel O’Day, le président du conseil d’administration et directeur général de Gilead, dont le laboratoire a développé le remdesivir, a expliqué qu’un flacon serait vendu… 390 dollars. Étant donné que vous avez besoin de six flacons pour un traitement, le calcul est vite fait… et la somme à débourser est importante : environ 2.000 euros par patient. Ce prix devrait être le même partout, dans le monde.
300 fois moins
Mais selon le pharmacologue britannique Andrew Hill, de l’Université de Liverpool, le prix de production des matières premières pour la fabrication d’une dose de remdesivir coûte en réalité… 1 euro. Le traitement devrait donc coûter… 6 euros. Une somme 300 fois plus petite que celle demandée par Gilead. L’entreprise a évidemment réfuté ces accusations, mais, autre élément important, selon Het Laatste Nieuws, un traitement avec la version générique du remdesivir est en vente en Inde au prix de 360 euros…
L’Institut ICER, une organisation à but non lucratif qui est spécialisée dans le calcul de la valeur des médicaments, va dans le même sens. Vu qu’il n’a pas encore été prouvé que le remdesivir a une influence significative sur les chances de survies d’un patient atteint du covid-19, l’ICER estime la valeur du traitement total à 260 euros. Ce n’est que lorsqu’il aura été prouvé qu’il peut sauver des vies que le remdesivir pourra coûter 2.000 euros, estime l’ICER.
Il faut toutefois tenir compte du fait que Gilead a reçu plusieurs millions des autorités pour développer ce médicament, des coûts qui ne sont pas prix en compte.
Le débat autour du remdesivir n’est donc pas prêt d’être terminé…
LA CHINE FORCE MAINTENANT TOUS LES CITOYENS À ACTIVER LE CODE DE SANTÉ SUR LES TÉLÉPHONES INTELLIGENTS POUR L’ACCÈS AU RESTAURANT ET AU MAGASIN, SEUL UN CODE VERT LES PERMETTERA
Les restaurants et les centres commerciaux sont ouverts, mais pour entrer, les clients doivent activer un code santé sur leur smartphone. Le code suit leurs mouvements et détermine s’ils se sont rendus dans des endroits à risque. Seuls ceux qui ont des codes verts sont autorisés à entrer. De nombreux bureaux insistent également sur les codes verts. Un code rouge, ou même un code orange, est la lettre écarlate de 2020. Vous pouvez avoir des inquiétudes concernant la vie privée, ou vous pouvez avoir une vie fonctionnelle. Vous ne pouvez pas avoir les deux. Des gardes de sécurité munis de pistolets thermiques surveillent les portes des supermarchés et des complexes résidentiels, les pointant vers les poignets de chaque personne qui veut entrer.
par Geoffrey Grider,
Seuls ceux qui ont des codes verts sont autorisés à entrer. De nombreux bureaux insistent également sur les codes verts. Un code rouge, ou même un code orange, est la lettre écarlate de 2020. Vous pouvez avoir des inquiétudes concernant la vie privée, ou vous pouvez avoir une vie fonctionnelle. Pas les deux.
Petit à petit , et petit à petit , le monde entier est placé sous le contrôle du Nouvel Ordre Mondial , et cela se fait sous prétexte de combattre un virus. La Chine, le pays qui a relâché cette infection sur nous tous, semble montrer la voie à tous égards. Après avoir déployé le suivi des contacts sur les appareils intelligents, viennent maintenant les codes de santé que votre appareil générera pour vous permettre d’entrer ou vous tenir à l’écart de la société traditionnelle en Chine. Dans quelques mois, il arrivera en Amérique.
«Et il prononcera de grandes paroles contre le Très-Haut, et épuisera les saints du Très-Haut , et pensera à changer les temps et les lois: et ils seront livrés entre ses mains jusqu’à un temps et des temps et la division des temps. Mais le jugement siège, et ils ôtera sa domination, de consommer et de détruire ce jusqu’à la fin « . Daniel 7: 25,26 (KJB)
Une chose sur laquelle les élites mondiales comptent, c’est l’affaiblissement progressif de notre détermination à résister à l’oppression toujours croissante sous laquelle elles nous placent. Ayant réussi à nous faire craindre un virus avec un taux de mortalité de 0,6% et à nous avoir forcés à mettre les masques, nous faire accepter à plein temps la recherche des contacts avec des codes de santé est une promenade dans le parc. La question est, que direz-vous quand ils vous forceront à prendre le vaccin? Et rassurez-vous, sur la base de toutes leurs actions jusqu’à présent, ils vous forceront à le faire.
La guerre de l’information continue
JM DUPUIS
Chère lectrice, cher lecteur,
La guerre de l’information continue, avec une majorité écrasante des médias qui continuent de semer la panique au sujet du coronavirus.
Actuellement, vous l’avez remarqué, ils ne parlent plus du nombre de morts, et très peu du nombre de personnes en réanimation, ou sous respirateur artificiel.
Toute l’attention est portée sur les diagnostics de contaminations. Ceux-ci sont en augmentation exponentielle, ce qui est logique puisque les tests, qui étaient impossibles à faire il y a quelques mois, sont devenus simples comme bonjour, et qu’on exige des tests à tout bout de champ.
Tous les jeunes de ma famille ont déjà dû se faire tester pour cause de voyager à l’étranger, stage et autres activités d’été, et ce alors qu’ils pètent la forme et ne présentent pas le moindre symptôme.
A l’échelle de tout un pays, et en comptant tous les “faux positifs” (les tests ne sont pas fiables à 100 %), il est logique que l’on détecte chaque jour quelques centaines, voire milliers, de personnes porteuses du virus, quoique non malades.
Peu importe d’ailleurs. On traque le “porteur de virus” asymptomatique, et même surtout s’il est asymptomatique.
Pour contribuer à remettre la balle au centre, et réduire l’anxiété dans la population, j’ai donc décidé de publier deux fois par mois les tableaux des décès dans les principaux pays européens, chose que j’ai déjà fait deux fois et qui a été très apprécié.
Graphiques à voir sur https://santenatureinnovation.com
Je sais bien qu’on peut faire dire ce qu’on veut à des statistiques.
Surtout dans ce domaine où on peut dire que chaque mort est un drame.
C’est vrai, et ce n’est certes pas moi qui vais dire le contraire !
Néanmoins, pour raison garder, il me semble nécessaire de garder un œil sur ces tableaux. Ils indiquent tous, aussi clairement que possible, que le pic de l’épidémie a été atteint vers la mi-avril, puis que le nombre de victimes a progressivement diminué, jusqu’à être presque invisible sur les courbes (depuis la mi-juin, soit deux mois environ, sauf la Suède où la régression a été plus lente).
Une nouvelle étude révèle que les antipsychotiques ne préviennent pas mais provoquent en réalité la psychose
De la newsletter de prpeare for change
Extraits
Le CCHR espère que l’étude mettra fin à la pratique psychiatrique consistant à pré-droguer les enfants avec de puissants médicaments psychotropes afin de prévenir l’apparition possible d’un trouble du comportement. Les experts condamnent cette pratique comme non scientifique et nuisible.
par Jan Eastgate, président,
CCHR International
Une nouvelle étude a révélé que la prescription d’antipsychotiques pour prévenir la psychose est nocive et devrait mettre fin à cette pratique. Pendant une décennie, la CCDH s’est opposée au «pré-drogue» des jeunes et des adultes afin de prévenir théoriquement l’apparition de troubles du comportement qui n’existent pas physiquement. Les chercheurs de la nouvelle étude publiée en juillet dans le Australian & New Zealand Journal of Psychiatry , justifient les préoccupations du CCHR. Les chercheurs ont cherché à savoir si les antipsychotiques pouvaient empêcher la «conversion à la psychose» chez les personnes identifiées comme à «haut risque clinique (CHR)». Cependant, ils ont conclu:
«L’administration d’antipsychotiques à des patients atteints de CHR est potentiellement nocive sans aucun avantage préventif. Nous ne recommandons pas de traitement antipsychotique pour les personnes atteintes de RSC… »[1]
Les chercheurs ont découvert que les sujets devenaient constamment psychotiques chez ceux qui prenaient des antipsychotiques, qui avaient plusieurs ordonnances et qui prenaient une dose plus élevée d’un antipsychotique. L’étude est encore plus accablante parce que les sujets étaient naïfs de la drogue – ils ne sont pas influencés par d’autres psychotropes qui peuvent avoir été arrêtés pour commencer l’étude. Aucun des participants n’avait jamais reçu de médicament psychiatrique antérieur. De nombreux antipsychotiques différents ont été utilisés, notamment l’aripiprazole, l’olanzapine, la rispéridone, l’amisulpride et la quétiapine. Les chercheurs ont écrit que leurs «résultats ne favorisaient aucun type spécifique d’antipsychotiques». [2]
La pratique de droguer les jeunes étiquetés comme symptomatiques de «syndrome de risque de psychose» (PRS), alias CHR [3], de «syndrome de psychose atténuée» (APS [4] ) et de «prodromique» (symptôme précoce) a fait l’objet d’une opposition internationale lorsque la PRS était proposé pour inclusion dans le Manuel diagnostique et statistique des troubles mentaux 5 (DSM-5) publié en 2013.
David Webb, membre du conseil d’administration du Réseau mondial des utilisateurs et survivants de la psychiatrie et Melissa Raven, épidémiologiste psychiatrique et analyste des politiques, ont qualifié la pratique de la pré-drogue pour un trouble qui n’est jamais apparu de «prescription en cas de catastrophe». Ils ont déclaré:
«Les interventions médicales préventives comportent de nombreux risques, en particulier avec des médicaments aussi puissants que les antipsychotiques (qui ont été décrits comme probablement le deuxième produit chimique le plus toxique utilisé en médecine après les médicaments utilisés en chimiothérapie), qui ont des effets secondaires graves, notamment le diabète. , le syndrome métabolique et la mort subite cardiovasculaire. »[23]
Les antipsychotiques peuvent provoquer une maladie potentiellement mortelle appelée syndrome malin des neuroleptiques. Les tests en laboratoire montrent une numération sanguine élevée et des problèmes hépatiques entraînant une insuffisance rénale et la nécessité d’une dialyse pour restaurer la fonction hépatique, mais peuvent devenir permanents en cas de dysfonctionnement rénal irréversible. [26]
Il y a déjà une sombre histoire d’enfants et d’adolescents drogués aux États-Unis.Selon la base de données Total Patient Tracker d’IQVia pour l’année 2019, extraite en février 2020, plus de 6,7 millions d’enfants aux États-Unis se sont vu prescrire des médicaments psychotropes, dont 1022918 ont reçu des antipsychotiques et 2148871 , donné des antidépresseurs. Plus de 1,3 million de personnes se sont vu prescrire des médicaments anti-anxiété et 3 396 066 médicaments «TDAH», dont beaucoup sont plus puissants que la cocaïne. [31]
Maintenant, potentiellement, des centaines de milliers d’autres pourraient être étiquetés à risque de maladie mentale et drogués. C’est un paradigme de Brave New World en matière de santé mentale quand on a le pouvoir d’étiqueter et de droguer de manière non scientifique les gens avant même qu’ils ne soient «malades».
Espérons que cette dernière étude de l’ Australian & New Zealand Journal of Psychiatry qui réfute l’utilisation d’antipsychotiques pour traiter les symptômes «à risque» peut inciter les gouvernements à ne pas financer la pratique et à prévenir de tels abus.
Comme le psychiatre australien Niall McLaren a le mieux résumé de telles pratiques:
«Depuis [les lobotomies], la psychiatrie ne s’est pas aussi éloignée du principe de Primum, non nocere . Premièrement, ne faites pas de mal. »[32]
Références sur le site prepare for change
RECOVERY
Du site libre consentement éclairé :
Afin de justifier l’interdiction de l’hydroxychloroquine et pour imposer la future obligation vaccinale, l’Église Mondialiste et son principal bras sanitaire armé, l’OMS, ont sponsorisé, en violation du Code de Nuremberg, une prétendue étude afin de démontrer l’inefficacité de la chloroquine et l’hydroxychloroquine dans le traitement des pneumonies infectieuses.
Il s’agit de l’étude « Recovery » (récupération) qui est un essai clinique mené sous la houlette de l’Université d’Oxford (Royaume-Uni) et sous la responsabilité scientifique des médecins assassins Peter Horby et Martin Landray.
Martin Landray et Peter Horby sont responsables de la mort de plus de 100 personnes pour faire plaisir à Bill Gates et à l’Église Mondialiste afin, et en violation du Code de Nuremberg, afin de détruire la bonne réputation téhrapeutique de l’hydroxychloroquine et d’imposer la future obligation vaccinale et le puçage 5G. Nul doute que lors du procès de Nuremberg, ces deux médecins assassins auraient été condamnés à la pendaison et qu’ils auraient été pendus « haut et court » (
Cet essai clinique a été présenté comme l’étalon or de l’étude scientifique. Or, dans l’essai, ils ont volontairement utilisé l’hydroxychloroquine lorsqu’elle ne pouvait pas être efficace et à des doses très supérieures aux doses maximales recommandées par les laboratoires pharmaceutiques qui vendent ce médicament.
Alors que la posologie ainsi que le moment où il faut prescrire ce médicament et le moment où il ne faut plus le prescrire sont parfaitement connus grâce aux différentes études publiées en Chine, aux États-Unis, au Brésil ou encore à Marseille avec l’équipe du professeur Raoult, les soldats médicaux de l’Église Mondialiste et de l’Université d’Oxford, feront volontairement ce qu’il ne faut pas faire tout en sachant que cela provoquerait des morts.
Pour le traitement des pneumonies de l’hiver 2019-2020 dans l’hémisphère nord, que ce soit en Wuhan, en Chine, à Marseille, en France, à Sao Paulo, au Brésil, ou encore à New York, le protocole thérapeutique, parfaitement documenté, recommandait de prescrire l’hydroxychloroquine le plus tôt possible après l’apparition des premiers symptômes et de ne pas la prescrire lorsque les malades sont en réanimation ou lorsqu’ils sont en phase terminale, car ces états pathologiques nécessitent d’autres formes de soins.
Il en est de même pour la posologie de l’hydroxychloroquine (dont les médecins français corrompus et payés par Gilead ne cessaient d’affirmer qu’elle était dangereuse), elle est de 200 mg, 3 fois par jour (soit 600 mg par jour) pendant 10 jours.
Ajoutons que le traitement recommandé parce qu’il est très efficace comprend 500 mg d’azithromycine le 1er jour et 250 mg les 5 jours suivants.
Le dosage maximum recommandé par tous les laboratoires pharmaceutiques pour l’hydroxychloroquine est de 800 mg par jour
Sans la moindre justification médicale et scientifique, dans l’étude « Recovery » nos deux compères ont prescrit l’hydroxychloroquine en moyenne 9 jours après l’apparition des premiers symptômes ainsi qu’aux patients gravement malades ou en phase terminale (60 % étaient déjà sous assistance respiratoire et 17% sous ventilation artificielle).
Pire encore, et toujours sans la moindre justification médicale et scientifique, l’hydroxychloroquine a été prescrite à des doses 3 fois supérieures aux doses maximales recommandées par les laboratoires pharmaceutiques, soit 2400 mg par jour, la dose maximale étant de 800 mg (la dose du protocole thérapeutique usuel pour le traitement des pneumopathies étant de 600 mg).
Résultat : alors qu’à Marseille, seul 0,6 % de décès sont constatés chez les malades traités avec l’hydroxychloroquine et l’azithromycine, avec ces deux assassins, le nombre de décès de patients ayant été traités avec de l’hydroxychloroquine à des doses à tuer un cheval et lorsque cela est totalement inutile, passe à 25 %.
Précisons qu’il n’est fait nulle part état dans l’intégralité de la littérature médicale et scientifique disponible dans le monde entier, de l’utilisation de l’hydroxychloroquine à un tel dosage pour le traitement d’une maladie quelconque.
Avant les criminels d’Oxford, Peter Horby et Martin Landray, jamais aucun médecin, jamais aucune équipe médicale n’avait prescrit une telle dose d’hydroxychloroquine à un être humain.
Un article intéressant à lire sur cette question dans France Soir en cliquant sur « Ces morts qu’ils veulent cacher »
CLAIRE SEVERAC :
On pourrait croire que cette vidéo est toute récente (à copié/collé), en réalité, elle date de plusieurs années.Pour celles et ceux qui ne seraient pas au courant, cette courageuse journaliste est décédée le 25 décembre 2016 “officiellement d’un cancer foudroyant de l’estomac”. Ce n’est pas sa version révélée à des amis avant “son départ”.
Bref, “par hasard” sa grande complice Sylvie SIMON est décédée, “elle aussi”, 3 ans auparavant.
Elles étaient co-écrivaines du best seller: LA COUPE EST PLEINE.Nos enfants sont plus précieux que le CAC40.
TOUT COMMENTAIRE SUPERFLUS SERAIT TOTALEMENT INUTILE, sauf celui de transmettre si vous pensez à vos familles et amis. MERCI.
https://www.youtube.com/watch?v=MJ7Q1Cxf2FA&app=desktop
IMPORTANT :JJ Crèvecoeur s’est vu supprimer sa chaîne youtube par les censeurs de Big Tech. Du coup il a créé une chaîne nouvelle : https://www.fulllifechannel.com/
Ne manquez pas de vous y abonner !! Et chaque semaine, allez voir sur youtube talschaller la vidéo « L’INFO EN QUESTION « dans laquelle nous apportons ces infos dynamisantes et positives pour se libérer de la folie actuelle ! Sur cette chaîne des vidéos peuvent vous servir à informer vos proches. Demandez-leur de vous donner leur avis et si ils rejettent ces infos, ne faires pas de débat guerrier. Ne leur reprochez pas leur fermeture mais trouvez d’autres infos plus adaptées à vos interlocuteurs !
Il devient de plus en plus évident que nous avons affaire à un COMPLOT MONDIAL destiné à diminuer la population mondiale et à mettre en esclavage les survivants.
Tout va se jouer dans les temps à venir : soit les ploutocrates-technocrates parviennent à vacciner les populations avec leurs vaccins mortifères, soit nous, les habitants de la terre, parvenons à dire NON et mettons fin à leur pouvoir despotique ! Le temps est venu de retrousser nos manches et de toucher un maximum de gens avec des infos différentes de celles des media qui ont perdu tout bon sens et répètent en boucle des chiffres qui ne veulent rien dire pour nous faire vivre dans la peur, alors même que l’épidémie de COVID s’est arrêtée, nous faire porter des masques, qui sont totalement inutiles mais sont le signe de notre docilité aveugle, maintenir cette « distanciation sociale » qui nous prive de tout ce qui donne du sens à nos vie en nous permettant d’exprimer de l’amour à nos proches, en u n mot nous mener pas à pas vers ce « transhumanisme » qui correspond à une vie amputée de tout ce qui est humain, chaleureux, agréable, merveilleux…le futur qui nous est présenté par Bill Gates et ses collègues est tout simplement un acte de soumission totale à leur pouvoir, une existence faite de vaccins, de médicaments chimiques, d’aliments ultratransformés et de temps passé à regarder la télévision avec ses programmes où tout ce qui prône la vie et la créativité est censuré.
Petit rappel
Du 1 janvier au 30 avril 2020
Décès dans le monde :
Avortements 12 millions
Maladies contagieuses 3,7 millions
Cancers 2,3 millions
Malnutrition enfants 2,1 millions
Maladies dues au tabac 1,4 millions
Maladies dues à l’alcool 715.000
Sida 480.000
Accidents de la route 385.000
Suicides 306.000
Malaria 280.000
Grippes saisonnières conventionnelles 139.000
Pandémie COVID 19 121.000
www.worldmeters.infos
La question se pose : Les mesures et obligations actuelles prises par les gouvernements ne violent-elles pas seulement la législation mais, et c’est beaucoup plus grave, ne violent-elles pas aussi les articles du Code de Nuremberg ?
https://fr.wikipedia.org/wiki/Code_de_Nuremberg
Les expériences médicales acceptables :
La traduction moderne de référence18 du code de Nuremberg, faite depuis le texte du jugement, est la suivante pour les 10 articles : voici le premier :
- Le consentement volontaire du sujet humain est absolument essentiel. Cela veut dire que la personne concernée doit avoir la capacité légale de consentir ; qu’elle doit être placée en situation d’exercer un libre pouvoir de choix, sans intervention de quelque élément de force, de fraude, de contrainte, de supercherie, de duperie ou d’autres formes sournoises de contrainte ou de coercition ; et qu’elle doit avoir une connaissance et une compréhension suffisantes de ce que cela implique, de façon à lui permettre de prendre une décision éclairée.
Cet article 1 suffit à prouver que des tests et des vaccinations imposées sont inadmissibles !
Les artisans du grand complot mondial contre l’humanité n’ont qu’une défense : traiter de complotistes ceux qui dénoncent leurs actions ! Ils ont réussi à plonger dans la peur des millions de gens et de les priver de leurs droits les plus fondamentaux, comme de respirer librement et d’embrasser leurs enfants et leurs parents…Allons-nous les laisser poursuivre leurs plans maléfiques ou allons nous créer ce GRAND REVEIL DES ETRES HUMAINS QUI REFUSENT DE SE SOUMETTRE, NE CROIENT PLUS QUE DES VACCINS ET DES MEDICAMENTS CHIMIQUES VONT LEUR APPORTER LA SANTE ET SONT RESPONSABLES DE LEUR VIE ?
Voulons-nous laisser à nos enfants un monde aussi dégénéré et inhumain ?
Si nous voulons vivre et permettre à la Terre de vivre, il est temps de changer nos habitudes toxiques, de réveiller nos consciences aux forces spirituelles et de cultiver dans notre vie quotidienne la paix et l’harmonie afin que ces énergies, comme un tsumani, déferlent sur le monde !
En toute amitié
Tal Schaller
Dernière minute : un texte émouvant et puissant :
« Pour tenter de réveiller les gens, j’ai adopté une nouvelle stratégie qui me paraît très performante et nettement moins stressante pour les deux camps : J’ai rédigé une synthèse, la plus complète possible, sur la situation actuelle. Elle tient en deux feuilles agrafées (4 pages) sur la base des informations récoltées sur les chaînes de plusieurs lanceurs d’alerte. J’en ai imprimé une cinquantaine et, chaque jour en allant et en rentrant du travail, j’en distribue à ceux qui portent un masque en extérieur (en zones non obligatoires) ou dans leur voiture, ou en font porter aux tout jeunes enfants… Ça donne lieu à des discussions souvent intéressantes et dans un climat toujours apaisé et courtois (j’ai été agréablement surpris…). Je pense que cette méthode peut être beaucoup plus efficace que de s’énerver lors d’une discussion, avec le risque que chacun reparte avec ses propres idées : une situation frustrante et sans lendemain à laquelle on est tous régulièrement confrontés… Là, au contraire, on propose gentiment un autre éclairage sur la situation actuelle et, à part ceux qui souhaitent discuter (ce qui, jusqu’à présent, s’est toujours très bien passé), vous ne leur assénez aucune vérité qui fâche ou qui brouille le dialogue. Ils lisent votre document chez eux ou dans le bus, tranquillement, sans être agressés, une fois que vous êtes parti. Personne ne leur demande de rendre des comptes ou de réagir à chaud. À partir de là, les gens font ce qu’ils veulent de l’information que vous leur avez donnée. Vous, vous avez fait le boulot et vous pouvez repartir serein. Vous avez fait votre maximum, le reste ne vous appartient plus. C’est à la personne qui se retrouve ensuite seule, face à sa conscience, dans le huis clos de sa lecture de tirer les conclusions qui s’imposent. J’ai distribué mes cinquante feuilles à des gens de toutes sortes, parfois certains me racontent leur vie, d’autres me confient leurs angoisses, leurs peurs profondes aussi, la sidération générée par les informations anxiogènes et dissonantes que délivrent les médias, ça donne lieu à des discussions vivantes, et au final peut-être un ou une éveillée de plus par jour. Oui, par jour ! C’est beaucoup plus efficace et agréable que le système du “face-à-face” où très souvent chaque camp se perd dans un conflit sans fin… A ce rythme-là, j’ai potentiellement retourné trente ou quarante “endormis” en moins de trois semaines… À raison de 100000 personnes de bonne volonté, imaginez-vous la puissance de feu qui est la nôtre si tout le monde s’y met… Ci-dessous le lien vers le fichier téléchargeable. Libre à chacun de l’améliorer bien sûr, de s’en inspirer, ou de le compléter en mettant ainsi au point un précieux document commun que tous pourraient reprendre, imprimer et distribuer autour d’eux : http://dl.free.fr/kmRpIJdS2 Et n’oublions pas que notre énorme atout est que les digues du réveil sont toujours à sens unique. On a en effet encore jamais vu un seul “éveillé” vouloir revenir dans le camp “mainstream”. Chaque action compte. Bon courage à tous ». Ludovic
Et voici ce que dit France Soir
Crise du coronavirus en France: épidémie terminée versus panique organisée. Pourquoi ?–
http://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/crise-du-coronavirus-en-france-epidemie-terminee-
versus-panique-organisee-pourquoi Dr Nicole DELEPINE (extraits)
(références sur le site de France Soir°
En mars 2020, nous sommes entrés dans un monde délirant gouverné par la peur et les mensonges de nos autorités qui font actuellement tout pour prolonger la panique sans justifications médicales réelles.
Confinement : la pire catastrophe française depuis 1940
En mars, notre président a déclaré la guerre au Covid19 et ses ministres nous ont expliqué que la suspension des libertés fondamentales, l’obligation : « restez chez vous » (sous contrôle policier tatillon) et la rupture de tous les liens sociaux, étaient nécessaires pour sauver nos aïeux, empêcher nos hôpitaux d’être débordés et limiter le nombre de morts que nous infligerait inéluctablement le Covid19.
Trois mois plus tard, nous constatons que ces mesures ont abouti à l’assassinat de nos anciens dans les Ehpad, que les lits des cliniques privées sont restés vides même dans les régions qui ont enregistré le plus grand nombre d’hospitalisations liées au COVID-19 (et ont transféré des patients à l’étranger), et que la France se retrouve parmi les pays qui comptent le plus de morts de Covid19 par million d’habitants.
La réalité est à l’opposé de ce que nous annonçaient les prédicateurs d’apocalypse, leurs simulations[2] et le comité scientifique, celui-là même qui aujourd’hui nous recommande de porter des masques, de nous faire tester et d’installer une application de traçage sur nos téléphones (stop covid) alors que la maladie a quitté notre territoire.
L’assassinat de nos aïeux
La protection de nos ainés, victimes désignées du Covid19 constituait l’objectif « officiel » prioritaire du confinement. Or toutes les mesures prises durant la loi d’urgence ont abouti à les éliminer sans témoin et en empêchant de leur rendre le dernier hommage. Le meurtre avec préméditation par Covid non traité et/ou Rivotril des pensionnaires des Ehpad constitue l’infamie la plus triste du confinement. Le terme assassinat est violent, mais correspond aux faits constatés d’une mise à mort organisée. Le premier temps a été de les couper de leur famille les transformant en « prisonniers au mitard »[3], les rendant plus vulnérables et facilitant les syndromes de glissement (désintérêt progressif de la vie rendue insipide par l’absence de contacts menant au décès) alors qu’il aurait été possible de maintenir des contacts protégés. Le second temps a été de les interdire de tests diagnostiques[4] puis de réanimation[5] puis d’hôpital. Le troisième de réexpédier les pensionnaires malades dans leur établissement d’origine ou faute de possibilité réelle d’isolement, de matériel de protection et de personnel en nombre suffisant ils ont contaminé leurs compagnons d’infortune. La solution finale a été le décret Rivotril[6] qui a organisé la dispensation d’un produit destiné à les tuer sur simple suspicion de Covid (sans certitude diagnostique) avec rédaction d’une ordonnance « préventive » et préparation d’une seringue nominale sans prévenir le malade ni sa famille ni même attendre une éventuelle aggravation. Le 6 mai 2020 les personnes âgées dépendantes résidants en Ehpad représentaient la moitié des morts attribués à l’épidémie en France (12 769 décès sur les 25 531)[7]. L’objectif allégué du confinement n’a donc pas du tout été atteint, ni même visé.
Hôpitaux vides
Pendant le confinement des centaines de milliers de personnes n’ont pas pu recevoir les soins dont elles avaient besoin parce que le plan blanc réservait toutes les capacités d’hospitalisation pour le tsunami COVID-19 qui « n’allait pas manquer de nous submerger partout ».
En réalité de nombreux hôpitaux sont restés à moitié vides pendant tout le mois d’avril et les cliniques privées vidées de tout malade ont dû recourir au chômage partiel de leur personnel. Ainsi, le syndicat de l’hospitalisation privée annonçait que de très nombreuses demandes de chômage partiel avaient été déposées dans ses établissements[8] et demandait que les ARS (agences régionales de santé) leur adressent les malades qui n’auraient pas pu être soignés dans les établissements publics[9]. Mais à l’exception de quelques cliniques parisiennes et durant une quinzaine de jours, les lits privés sont restés vides faute de malades.
Pendant cette période, pour montrer qu’il était efficace, le pouvoir a organisé des grands spectacles TGV covid, Evasan[10] Covid et hôpital militaire de campagne Covid alors qu’il suffisait parfois de pousser une porte pour trouver les lits, des respirateurs et des soignants en nombre suffisant. Dans le Grand-Est, le mercredi 25 mars, 150 lits de réanimation étaient disponibles pour les cas Covid dans les hôpitaux publics et privés, avec une possibilité de création de 300 lits de réa supplémentaires. “Vu la situation dans l’Est, c’est difficile de comprendre pourquoi ces lits restent vides. D’autant plus alors que des patients sont transférés vers d’autres régions”, regrettait Pénélope De Feuquières[11], responsable de la communication du groupe Elsan qui compte 120 établissements dans toute la France, majoritairement en régions.
Dans cette mise en scène dramatique la France n’est pas une exception : au Pays de Galles, sur les 17 hôpitaux de campagne qui ont été mis en place pour traiter 6000 patients COVID-19, un seul a été utilisé pour 46 patients et aujourd’hui il est vide, lui aussi. L’exercice a coûté 166 millions de livres sterling[12]. En Lombardie, la région italienne la plus touchée, l’hôpital COVID-19 Fiera di Milano, qui a coûté 20 millions d’euros, n’a finalement traité qu’une vingtaine de patients[13]. De même à Madrid où l’immense hôpital de campagne a été un désastre [14].
Un des pires taux mondiaux de mortalité Covid19
On juge une mesure sanitaire à son résultat : le nombre de morts par million d’habitants. Sur ce critère, d’après les chiffres OMS du 24 juillet, la France se place au 6ème rang mondial des plus fortes mortalités des 197 états membres avec 483 décès/million derrière la Belgique (846/M), la Grande-Bretagne (671/M), l’Espagne (608/M), l’Italie (580/M) et la Suède (562). Les mieux placés étant Taiwan (1/M), le Japon (8/M), la Corée (6/M), Singapour (5/M), la Malaisie (4/M), le Maroc (8/M), l’Algérie (27/M), l’Inde (24/M) et les pays africains d’endémie palustre dont les populations prennent quotidiennement des antipaludéens.
Si nous avions décidé, comme nos voisins allemands, de mettre en quarantaine, (d’isoler pendant 15 jours) les porteurs de virus de la population saine nous compterions 25000 morts de Covid19 de moins. L’absence de test n’est pas une excuse : c’est parce que le ministère n’en a pas voulu que nous n’en avons pas eu ; au début de cette épidémie les allemands ne disposaient pas de plus de tests que nous pour cette maladie nouvelle, mais leur chancelière a permis à tous les laboratoires y compris vétérinaires d’en pratiquer alors qu’en France le ministère et les Agences Régionales de Santé ont dédaigné les offres qu’on leur a faites. D’ailleurs même sans tests la mise en quarantaine des infectés aurait été possible et efficace sur les simples signes cliniques car, contrairement à ce qui a été longtemps prétendu (et en partie responsable des erreurs des modélisations folles qui ont servi d’alibi à nos politiques), les infectés asymptomatiques participent très rarement à la diffusion de la maladie[15]. Mais les autorités sanitaires ont préféré renvoyer les infectés sans signe de gravité chez eux et les vieux dans les Ehpad infecter leurs proches grâce au confinement qui augmentait la durée d’exposition au virus.
Lourdes conséquences sociales du confinement aveugle
Alors qu’il n’y a aucune preuve que le raz-de-marée annoncé sur les hôpitaux ait été empêché par le confinement[22] [23], les mesures ordonnées par le gouvernement ont mis des pans entiers de la société dans la détresse : jeunesse privée de son droit à l’éducation, désintérêt progressif du travail chez de nombreux salariés qui ont beaucoup de mal à reprendre leurs activités, finances publiques lourdement grevées, maisons de retraite transformées en prisons tandis que les liens dans la population ont été distendus, minés par la défiance et la peur de l’autre. Récession économique, aggravation du chômage et de la misère se font déjà sentir. Les mesures prises au nom de la protection de la population n’étaient manifestement ni efficaces, ni proportionnées, ni adéquates.
En France, l’épidémie est terminée
Une maladie existe lorsqu’elle entraîne des malades, des personnes qui présentent des signes cliniques, qui nécessitent des soins, des hospitalisations et qui sont menacées de mort. Or, lorsqu’on consulte les données officielles de Santé Publique France, on constate depuis 3 mois une baisse continue du nombre des hospitalisations, du nombre d’entrées en réanimation et du nombre de décès, indicateurs clés d’une épidémie évolutive ainsi que le montrent les graphiques officiels suivants :
Depuis le début de l’année, la mortalité n’a dépassé la limite supérieure de la valeur statistiquement attendue que dans la catégorie d’âge des 65 ans et plus, et ce uniquement entre la troisième semaine de mars et la troisième semaine d’avril. Dans la classe d’âge des 0 à 64 ans, en revanche, à aucun moment la mortalité ne s’est significativement écartée des valeurs habituelles.
Epidémie terminée, mais intensification de la propagande de la peur !
Au lieu de mettre en avant ces bonnes nouvelles le gouvernement poursuit sa propagande terrorisante, sous prétexte que le nombre de cas testés positifs augmente, alors que cela traduit principalement la forte augmentation du nombre de tests effectués.
Lorsqu’on examine les graphiques qui présentent le nombre de tests revenus positifs rapporté au nombre de tests revenus négatifs, il faut presque une loupe pour apercevoir la part des positifs – laquelle est par ailleurs stable, oscillant depuis la mi-mai autour 1%.
Ces cas positifs ont de plus de chances d’être en réalité des faux-positifs. Les tests PCR actuellement utilisés présentent en effet une marge d’erreur de 1,8%. Cela signifie que sur 10 000 tests, il y aura 180 faux positifs. Or depuis le 11 mai, le pourcentage des tests positifs est restée stable à 1%. Avec des chiffres aussi réduits, la possibilité qu’il s’agisse souvent de faux positifs ne peut donc être exclue. Dans une analyse parue mi-juin, Beda Stadler, professeur émérite et ancien directeur de l’Institut de virologie et d’immunologie de l’Université de Berne, rappelait aussi qu’une grande partie ces « cas d’infection » pouvaient en réalité être des personnes déjà immunisées contre le virus, encore porteuses de « débris viraux » dans leur organisme.
La poursuite de la propagande de la peur est efficace ainsi qu’en témoigne le nombre de consultations pour angoisse de covid19 qu’utilise ensuite Santé Publique France pour faire croire à une seconde vague : « signe d’une possible reprise de la maladie, du 29 juin au 5 juillet, 1 523 actes médicaux pour suspicion de Covid-19 ont été enregistrés par les associations SOS Médecins, cela représente une hausse de 41 % par rapport à la semaine précédente ».
Ainsi malgré des indices objectifs tous rassurants, des adultes de toutes les classes d’âge, et même des enfants[24], craignent d’être contaminés, de tomber malades et de mourir du COVID-19. Cette peur infondée soulève la question de la responsabilité de ceux qui l’ont répandue et qui continuent de l’entretenir. Les consultations en psychiatrie ne cessent de se multiplier de même que le besoin d’hospitalisations que les services ne peuvent fournir.[25]
Quelles peuvent être les raisons d’une telle désinformation ?
Pourquoi les données rassurantes dont on dispose aujourd’hui ne font-elles pas les gros titres ? A quoi rime cette volonté d’imposer le masque alors que la maladie a quitté le pays, de faire croire aux petits enfants qu’ils ne doivent pas embrasser leurs grands-parents pour les protéger, de rappeler constamment au public que les restrictions pourraient être réimposées très bientôt sinon à entretenir la panique et s’assurer de la soumission de la population ?
Plusieurs raisons confortent cette hypothèse
En premier lieu l’incohérence qui caractérise les mesures en place (dont la plupart sont dénuées de fondement scientifique solide) et la manière dont le comportement des habitants est analysé par les experts et les médias.
Les citoyens qui mettent en doute l’intérêt médical actuel réel du masque, des tests et du traçage sont qualifiées d’irresponsables qui menaceraient la santé publique et favoriseraient une deuxième vague. Là, c’est le comportement des personnes qui ont massivement fêté le retour d’un peu de liberté et la musique que l’on criminalise, alors qu’aucune augmentation des malades n’a été constaté depuis ces évènements festifs. Dans le même temps, les médias ne se sont guère ému des milliers de manifestants qui ont envahi à la même période les rues des grandes villes pour protester contre le racisme, ni des consommateurs qui ont couru les soldes, sitôt les centres commerciaux réouverts.
Dans les rangs des politiques et des journalistes, personne ne semble s’étonner du changement majeur de l’objectif des mesures imposées passant d’ « aplatir la courbe », à « éradiquer Sars-Cov-2 », une entreprise qu’aucun scientifique ne peut juger crédible.
Cette hypothèse se trouve également crédibilisée par la similitude de cette propagande illogique des gouvernants dans de nombreux pays que la maladie a déserté comme la Suisse ou le Canada.
En démocratie, c’est le peuple qui doit gouverner
Il y a lieu de s’interroger sur la place grandissante que s’arrogent les membres du comité scientifique et l’exécutif. Rappelons que ce groupe d’experts trop liés aux entreprises du médicament est de conseiller le président et le conseil de défense en s’appuyant sur ses connaissances scientifiques. Non de gouverner à la place des autorités élues, ni de torpiller leurs décisions en lançant des mises en garde à la population. Pourtant, c’est bien ce que ces chercheurs ont fait en imposant des restrictions stupides sans justification sanitaire réelle, compliquant considérablement la réouverture des écoles voulue par le président. Cette manière d’autoriser un groupe d’experts non élus, peu compétents en médecine clinique et dont les membres ont été recrutés en fonction de critères opaques témoigne d’une méconnaissance et d’un mépris des institutions démocratiques pour le moins ahurissants qui fait douter une fois encore de la capacité des médias à nourrir le débat démocratique.