“Ne laissez jamais les autorités médicales ou les politiciens vous tromper.
Constatez les faits et décidez vous-mêmes comment vivre une vie heureuse et comment édifier un monde meilleur.”
Linus Pauling (1901-1994) deux fois prix Nobel.
“La Vérité doit être sans cesse répétée parce que le Mensonge est aussi répandu constamment et pas par quelques uns, mais au contraire par la multitude.
Dans la Presse et les Encyclopédies, dans les Ecoles et les Universités, partout le mensonge exerce son emprise, content et à l’aise de savoir qu’il a la Majorité de son côté.”
Johann Wolfgang von Goethe (1749-1832)
Chers amis,
Le drame du professeur FOURTILLAN me pousse à édite rapidement ce blog pour vous informer au plus vite…. L’heure est grave et nous devons prendre conscience que nous ne pouvons plus « dormir » en regardant la télévision et les mensonges qu’elle débite à longueur de journée choisissez les informations que vous intéressent et diffusez-les les autour de vous, comme nous le faisons tous les jeudi soirs à 20h sur L’INFO EN QUESTION depuis 45 semaines. Grâce à notre webmaster ces vidéos sont mises aussitôt dans LES VIDEOS QUI NE SERONTJAMAIS SUPPRIMEES (Club Membre VIP) sur santeglobale.world et elles sont ainsi sauvées de la censure Youtube.
URGENT professeur FOURTILLAN
Actualité : Répression gratuite !
Téléchargement direct de la vidéo
Sur le site de verite-covid19.fr
Le professeur, ce grand savant, a été mis à la prison de la santé ! Une situation intolérable ! Mais vous pouvez lui écrire, comme proposé dans la vidéo !
D’autres infos sur ce sujet plus avant dans le blog !!
Les Anglais seront dorénavant soignés avec des médocs parce que les vaccins ne protègent pas…!
Pierre Jovanovic au Défi de la vérité : “Comment tous ces gens étaient-ils au courant ?”
Les coïncidences peuvent être troublantes. Essayiste, journaliste, directeur littéraire des éditions “Le Jardin des Livres“, Pierre Jovanovic est remonté contre le système et dénonce des manipulations autour de la gestion du coronavirus. Venu présenter “Enquête sur un virus“, de Philippe Aimar, il expose des anomalies documentées, dresse un bilan étonné qui retrace des mensonges, des morts suspectes, et dans une affaire où les preuves viennent à manquer, il fait appel au bon sens de chacun.
Pfizer, Bill Gates, l’OMS, la magie de la planche à billet, beaucoup de personnes ou d’organisations avaient pris des mesures étrangement opportunes bien avant la crise du covid. Pierre Jovanovic a relevé “le Défi de la vérité”, face à Richard Boutry :
Auteur(s): FranceSoir
Les Nouvelles de la VÉRITÉ BRUTALE #7
http://echelledejacob.blogspot.com/2021/04/les-nouvelles-de-la-verite-brutale-7.html
L’humour au service de la vérité !
Sur le net :
Tu peux acheter du vin, du whisky, mais pas de livres ni de jouets ;- tu peux aller dans la forêt pour chasser, mais pas pour t’y balader ;- tu peux aller dans les grands magasins avec plein de monde, mais pas dans les petits où il n’y a personne ;- tu peux manger à la cantine, mais pas au resto ;- tu peux bosser à 50 pendant 8h, mais pas être seul en plein air plus d’une heure ;- tu peux être avec plus de 500 personnes dans le métro, mais pas à 10 dans un café ?
Si une personne «à risque» se fait vacciner (à elle de prendre le risque de ne pas le faire si c’est son choix11), elle est donc protégée, comme pour la grippe. Quel est dans ce cas l’intérêt de faire vacciner toute la population de 0 à 30 ans, au sein de laquelle on ne déplore que 28 décès (paix à leur âme) en plus de 8 mois ? Pourquoi faire prendre le risque d’une vaccination inconnue à une tranche de la population qui ne craint rien de la maladie ? L’existence d’un vaccin ne signifie pas que tout le monde doit le recevoir, pas plus que l’existence d’un médicament ne justifie que tout le monde le prenne. Que les personnes qui se sentent en danger (qu’elles soient «à risque» ou pas) se fassent vacciner pour se protéger. Qu’on laisse les autres tranquilles. Et si une personne «à risque» préfère prendre le risque d’attraper la Covid et de se retrouver dans le très faible pourcentage de malades qui en décèdent, plutôt que prendre le risque de se faire injecter un vaccin nouveau, c’est son choix et c’est son droit. Cela ne met pas les autres en danger. Si le vaccin est efficace, quel risque a une personne vaccinée à côtoyer une personne non vaccinée et potentiellement porteuse du virus ?
Sachant que les satellites ne peuvent que difficilement envoyer des ondes sur la Terre (besoin de grosse puissance) quel est l’intérêt d’envoyer des millions de satellites dans l’espace ? Pour un programme de surveillance mondiale ? La 5G permettra t’elle d’envoyer des ondes puissantes très courtes sur un individu indésirable ? Le compteur Linky permet déjà de surveiller vos actes chez vous. Voulons-nous vraiment une société ou l’idée même de liberté aura disparue ? Une société sous contrôle total ?
Bernanos avait raison dans “La France contre les robots”. L’idée même de la liberté est devenue impossible dans un monde de robots complets. C’est pourquoi nous devons désobéir, nous devons quitter le monde des robots (ordinateur, drone, téléphone, télévision) pour rebâtir le monde des humains : le théâtre, la musique, le bar, le restaurant, le travail, la rivière, le bois, la poésie, la rencontre, la fête.
Nos élites nous proposent, comme avenir, le mauvais scénario du « great reset », leur projet mirifique de l’homme sous contrôle. Rien ne nous oblige à le suivre. Nous le suivons parce que nous sommes déjà robotisés depuis des décennies. C’est une impasse, inhumaine, dont nous ne voulons pas.
Plutôt que de nous opposer au monde de « big brother » construisons en un autre. Un monde pour les humains : avec de la terre, des odeurs, des mains, du sable, du vin, des corps, des soleils, des animaux, de la beauté.
Qu’existe t-il de plus important que la liberté ? La liberté est synonyme de vie. La mort est synonyme d’immobilité. Restons vivant, continuons à faire vivre ce qui fait l’humain, notre liberté de se frotter à la réalité, de ressentir, de vibrer.
Amour et Liberté, plutôt que Peur et Soumission
Vaccins-contre-la-covid-19-des-incertitudes-meme-sur-la-qualite-intrinseque-des-produits-sur-leurs-procedes-de-fabrication-sur-les-lots-commercialises-selon-les-documents-officiels-publie/
Youtube : en anglais :Is It Safe That Only About 200 Of 80,000 Chemicals Have Been Tested For Safety?
Le drame : la plupart des professeurs d’université américains sont rétribués par l’agrochimie et donc n’osent pas parler des dangers des pesticides ou refusent de les étudier ! De plus les divers produits chimiques se combinent de manières diverses et toxiques, même à très faibles doses et ils passent dans le cordon ombilical perturbant la croissance de l’enfant ;
Youtube : L’énorme espoir venu du Texas ! Les covidistes déprimés !F.Philipot
Le Texas a supprimé les masques et le reste et le covid diminue chez eux prouvant que TOUT CE QUE DISENT LES MEDIA SUR LA CONTAGION EST FAUX !!!
MAGISTRAL ! VIBRANT !
Discours public de Lin WOOD de 7 min traduit en direct et commenté par l’inégalable Mahomed Dialo 27 min
Lin Wood grand avocat américain qui soutient Donald Trump balance tout au grand jour sur l’adrénochrome (sang de milliers d’enfants épouvantés torturés et saignés à blanc vivants selon un rituel satanique par des illuminai de l’état profond pour fournir de très nombreux riches de ce monde – Rappel : L’adrénochrome assure aux consommateurs une parade au vieillissement et à la maladie ( taper ce nom sur Internet)
La guerre impitoyable que Trump a mené durant tout son mandat à cette organisation mondiale du crime explique les terribles attaques incessantes de l’état profond à son égard , les tentatives de destitutions et les 22 attentats (déjoués)
Mais le temps de la vérité est arrivé et la mise à mort de la « bête » est déjà irréversiblement consommée
La libération de l’humanité est en cours
Merci au travail acharné et héroïque depuis plusieurs années de tous les semeurs d’alerte dont certains en ont perdu la vie.
https://www.youmaker.com/video/8436ed09-0ea0-4fd4-aa3f-e8b834cccfcf
Trois lézardes majeu
Yves RASIR
Mercredi dernier, je vous quittais sur une métaphore polaire : l’idéologie covidiste et ses fondements pasteuriens me font l’effet d’un iceberg miné par les fissures et prêt à s’écrouler d’un jour à l’autre. Vu que j’attends ce moment avec une joie anticipée et non-dissimulée, je vais évidemment continuer à répertorier les failles et contribuer à leur élargissement. Cette semaine, focus sur trois lézardes majeures du narratif pandémique et de ses fondations allopathiques concernant la propagation des virus.
Les masques ne servent décidément à rien
Cette fois, on nous l’assure : le virus se transmet très peu par le toucher et beaucoup plus par voie aérienne. Au début du Corona Circus, on nous a pourtant raconté l’inverse : l’assaillant se tapissait surtout sur nos mains (qu’il fallait éviter par « gestes-barrières ») et sur toutes les surfaces (qu’il fallait donc soigneusement désinfecter). Aujourd’hui, il n’y a plus que le Pr Didier Raoult qui privilégie cette voie de contamination par les tissus humains et les objets. La mode épidémiologique du printemps 2021 est revenue à celle du printemps 2020 et il existe, paraît-il, un « consensus scientifique » pour désigner l’air comme principal danger. Comme d’habitude, l’unanimité se résume bien sûr à quelques études, le plus souvent américaines, et aux directives adoptées par les CDC américains. Depuis le 5 avril, ceux-ci ont décrété que le risque d’infection par le toucher est très faible et qu’il est généralement inférieur à 1 pour 10 000, ce qui signifie que chaque contact avec une surface contaminée a moins de 1 chance sur 10 000 de provoquer une infection. L’inquisition covidiste se retourne dès lors vers l’atmosphère, avec ses grosses gouttelettes expectorées ou éternuées par les porteurs du virus et avec les fameux aérosols, c’est-à-dire les fines particules en suspension dans l’air et qui peuvent persister longtemps dans un espace clos. Tout dernièrement, des chercheurs ont d’ailleurs alerté que les toilettes publiques étaient autant de clusters en puissance car les chasses d’eau provoqueraient une dissémination explosive d’aérosols chargés en sars-cov-2. Oui, et alors ? On va aussi verrouiller les W-C, tant qu’on y est ? Ce que les artisans de la terreur virocratique oublient de dire, c’est que ce mode de contamination supposé n’a rien d’original : il en va de même pour la simple grippe saisonnière. Cela fait en effet des lustres que les infectiologues ont « découvert » que les bons vieux Influenzae se propageaient aussi de cette manière. Cette étude pointue remonte à 2006 et cet article de vulgarisation date de 2018, ce n’est donc pas nouveau. Et ce qui n’est pas neuf non plus, c’est que les masques sont notoirement inopérants face aux aérosols. Pour que les muselières protègent, il faudrait qu’elles soient totalement hermétiques et portées avec des précautions drastiques, ce qui n’est jamais le cas dans la réalité. Dans une récente infolettre, le Dr Dominique Dupagne souligne par exemple que « si l’on porte son masque 90% du temps dans une pièce contaminée, on n’est pas protégé à 90% mais à 0% ». Il avertit aussi que « respirer longtemps un air faiblement contaminé expose au même risque que respirer brièvement un air fortement contaminé ». Bref, à part les astronautes et les scaphandriers, on ne voit pas trop qui peut échapper aux aérosols. Dans la vraie vie, aucun masque ne pourra jamais faire écran aux virus et c’est d’ailleurs ce que les études démontrent invariablement dans le cas de la grippe covid : leur port généralisé n’a nullement influencé la dynamique épidémique. À la longue liste des travaux démontrant leur inutilité, permettez-moi d’ajouter une étude scientifique sortie en janvier et dont les médias n’ont absolument pas parlé. Ça se comprend car le pneumologue israélien qui en est l’auteur est formel dans ses conclusions : « Les preuves scientifiques existantes remettent en question la sécurité et l’efficacité du port du masque facial comme intervention préventive contre le COVID-19. Les données suggèrent que les masques faciaux médicaux et non médicaux sont inefficaces pour bloquer la transmission interhumaine de maladies virales et infectieuses telles que le SRAS-CoV-2. » Vous pouvez lire ici une traduction de cette étude donnant le coup de grâce à la fumisterie du masque protecteur et, au-delà, à la fable pasteurienne de l’infection aéroportée. Si les virus contenus dans les aérosols étaient en soi vecteurs de la maladie, la pseudo-pandémie aurait été réellement dévastatrice au lieu de se limiter à une banale saison grippale.
Les asymptomatiques courent les rues
Non contente de rétropédaler sur le mode de contamination, la science pédale dans la semoule quant au nombre de porteurs asymptomatiques. Depuis un an, la littérature médicale avance des chiffres extrêmement divergents qui vont de 17% à 86 %, c’est dire si elle voit clair ! Perso, c’est le pourcentage le plus élevé qui me semble le plus conforme à la réalité. Il a été obtenu par des chercheurs britanniques qui ont travaillé sur les données officielles de l’Office for National Statistics Coronavirus créé au Royaume-Uni et qui ont publié leur étude dans le journal spécialisé Clinical Epidemiology. Sur 36.061 personnes testées du 26 avril au 27 juin 2020, 115 (0,32%) présentaient une PCR positive. Et parmi ces 115 personnes positives, seuls 16 (13,9%) ont signalé des symptômes. Vous me direz à juste titre que la technique d’analyse génétique ne vaut pas tripette et qu’elle peut détecter n’importe quoi chez n’importe qui. Vous aurez raison mais il y a une manière plus fiable d’évaluer le nombre de porteurs sains, à savoir les tests sérologiques permettant de mesurer la présence d’anticorps dirigés contre le présumé agresseur. C’est la méthode privilégiée depuis le début par le Pr John Ioannidis, qui – je vous le rappelle, est considéré par ses pairs comme le meilleur épidémiologiste du monde, avec près de 500 publications à son actif. Non seulement ce brillant scientifique et son équipe de la prestigieuse Université de Stanford ont produit l’étude montrant que les confinements ne servaient à rien, mais ils ont récemment publié une autre étude fracassante révélant que la séroprévalence dans la population dépassait très largement toutes les estimations préalables. Tenez-vous bien : les chercheurs ont calculé qu’entre 1,5 et 2 milliards de Terriens avaient déjà hébergé le sars-cov-2 en février 2021 alors que les statistiques officielles, au jour d’aujourd’hui, font état de 143 millions de contaminations. Ipso facto, Ioannidis déduit que le taux de létalité de la grippe covid est encore bien plus bas que redouté et qu’il doit avoisiner les 0,15% . Il y a donc 99,85% de ses « victimes » qui survivent à la présence éphémère du terrifiant envahisseur viral ! Le moins qu’on puisse dire, c’est que la relation causale entre la particule et la pathologie qu’elle est censée générer ne relève pas de l’évidence. Comme je l’avais pointé dès février 2020, la multitude de « covidés » asymptomatiques est une gigantesque faille dans le paradigme pasteurien négligeant le terrain et attribuant le rôle principal à l’agent infectieux. À elle seule, cette lézarde géante devrait suffire à faire s’effondrer l’iceberg si les adeptes de Pasteur ne colmataient pas désespérément la brèche en dissimulant les études qui les dérangent.
Le virus aime le boulot et le dodo, pas le métro
La semaine dernière, j’évoquais l’étude des chemins de fer allemands disculpant leur entreprise dans la propagation du coronavirus. Elle est loin d’être la seule et il y a une flopée d’autres recherches ayant conclu à l’absence de risque dans les transports publics. Vous pouvez accéder à un échantillon en cliquant ici et ici . Il est donc acquis que voyager en commun dans des bus, rames ou wagons n’expose pas au danger de contracter la grippe covid. Il faut par conséquent arrêter de se moquer des autorités qui autorisent trains et métros et ferment bars et restos. Elles n’ont pas tort de prétexter un risque de transmission quasiment inexistant dans les transports. En revanche, de qui se moquent-elles quand elles arguent que le port du masque suffit à expliquer cette singularité ? Entassés comme ils le sont dans une promiscuité parfois totale, les navetteurs sont exposés à un bouillon de culture théoriquement sans merci. Beaucoup restent lèvres closes mais il suffit de les emprunter pour constater que les trains ou les tramways résonnent également de conversations et, souvent, de grands éclats de rire. Pas mal de voyageurs ne répugnent pas non plus à se restaurer ou se désaltérer. En principe, les contaminations dans le métro ne devraient pas être proches de zéro, cela défie la logique pasteurienne. Mais délaissons provisoirement ce mystère pour consulter la dernière version de l’étude COMCOR, c’est-à-dire l’étude menée en France par l’Institut Pasteur sur les « facteurs sociodémographiques, comportements et pratiques associés à l’infection par le sars-cov-2 ». Cette vaste enquête est vraiment très intéressante car elle décrit les lieux et les circonstances de contamination tels que rapportés par les personnes infectées. Elle disculpe à son tour les transports en commun – à l’exception notable du co-voiturage – et révèle que c’est au sein de la famille proche (42%) et de la famille élargie (21%) que se produit une grosse majorité des « transmissions ». Suivent le milieu professionnel (15%) et les relations d’amitié (11%) . En résumé, on peut dire que le virus couronné adore le dodo (notre domicile et celui de nos proches) et le boulot, mais pas le métro. Tant en milieu privé que professionnel, ce sont les repas qui sont le plus fréquemment rapportés comme circonstances de contamination. Pourquoi à table et pas au salon ? Pourquoi à la maison et pas dans le tram ? Pourquoi au travail et pas sur le chemin du travail ? Quand elle cherche à expliquer l’inexplicable, la science pasteurienne se rabat sur un argument simpliste : plus on ouvre la bouche, plus on court le risque de refiler le virus. Et si on s’intéressait un peu aux mots que la sphère orale permet aussi de prononcer ? Et si l’on tenait compte du vécu émotionnel résultant de discussions potentiellement conflictuelles ? Ce que la médecine conventionnelle peine à expliquer, la médecine nouvelle du Dr Hamer l’éclaire sans difficulté : les conflits de territoire et les orages relationnels sont les vraies causes des affections respiratoires. Et comme ces événements se produisent le plus souvent en lieu clos – à domicile, en bagnole ou au boulot – les résultats de l’étude COMCOR n’ont plus rien de mystérieux. D’ailleurs, cette même étude confirme ce que les confineurs cinglés s’obstinent encore à cacher : « Les cours en amphithéâtre ou en salle pour la formation continue, le sport en extérieur, et la fréquentation des lieux de culte, des commerces et des salons de coiffure, n’ont pas été associés à un sur-risque d’infection ». Rien de plus normal que la particule virale soit discrète dans ces lieux-là puisqu’il y a très peu de chances qu’on s’y dispute et qu’on y encaisse des émotions négatives ! Dans les trains, on décompresse et on tape la carte en se marrant. Dans un resto ou un bistrot, chez son coiffeur ou son esthéticienne, on prend généralement du bon temps sans se prendre la tête. Mais dans une voiture partagée ou lors d’un repas de famille envenimé, on peut facilement « se choper » un mal-être intérieur qui sera quelques jours plus tard résolu par la visite ou la production endogène d’un micro-organisme réparateur faussement qualifié de pathogène. En trahissant l’incohérence du pasteurisme covidiste, le virus à couronne va nous en débarrasser et nous pourrons enfin passer à la meilleure approche de santé qui soit : la compréhension psychobiologique des maladies.
Ps : Le thérapeute en décodage Francis Cance a courageusement pris la plume pour adresser « une lettre ouverte au gouvernement français » défendant une lecture psychobiologue de la pandémie, pointant les aberrations du paradigme pasteurien et appelant à une toute autre politique sanitaire. Nous avons mis ce texte en ligne sur notre site et vous pouvez le lire en cliquant ici.
Extrait de cette lettre :
Et c’est bien ce que les médias aux ordres diffusent en permanence par les voies auditives et visuelles. « Fermez vos nez et votre bouche et ouvrez grands vos yeux et vos oreilles ». C’est en substance ce qu’ils répètent, comme le perroquet de la case, à longueur de journée. Dès lors, les médias autant que vous, êtes les instigateurs du mal que vous prétendez combattre.
Quant à la contagion virale, elle n’a jamais été démontrée. Elle demeure à ce jour une hypothèse issue des conclusions de Monsieur Louis Pasteur. Pour la démontrer il faudrait :
1 Saisir un virus dans l’air, l’introduire dans un organisme et l’y trouver s’y multipliant
2 Isoler ce virus de cet organisme et l’étudier pour prouver qu’il est toujours lui-même ou une forme de lui-même évoluée
3 L’isoler à nouveau et l’inoculer une deuxième fois et prouver qu’il s’y multiplie encore en produisant les mêmes symptômes.
A ma connaissance cela n’a jamais été fait et me paraît peu réalisable, déjà à la première étape où il s’agit de se saisir d’un virus dans l’air.
Antoine Béchamp disait en son temps : » Il faut qu’un organisme soit malade pour qu’un microbe s’y crée et s’y multiplie » et pas l’inverse.
C’est à cette inversion des rapports de causalité que vous invite.
Quant aux « variants », puisqu’ils occupent le devant de scène aujourd’hui, ils ne sont que la figure ou l’expression des stratégies inventives que le vivant doit mettre en œuvre pour répondre à la variance des défis que lui impose la sophistication croissante des souffrances d’un être vivant et pensant (culturel). Les « variants » du confinement, des masques, des privations de liberté, des peurs de toutes sortes. A tous ceux-ci viennent s’ajouter des « variants » plus difficile à identifier parce qu’ils sont le produit de manipulation de l’information biologique (les vaccins entre autres) dans des laboratoires. Ce qui risque de rendre « phobique » le système immunitaire inné, par la diffusion d’informations incohérentes par rapport aux besoins réels de l’organisme et qui s’expriment par des mutations des génomes viraux. Je crains pour ma part la création de nouvelles pathologies entre autres auto-immunes.
Equilibre acido-basique et santé
Raymond REYMONDIER
Après quelques exemples concrets de personnes proches remises en forme après un épisode Covid, il me semble judicieux d’en faire “profiter” mes amis lecteurs.
Mon constat est flagrant: la pandémie mondiale est en lien direct avec une mal-bouffe mondiale et une manière de vivre contre nature… Mauvaise bouffe, mauvaise respiration, manque de mouvement, de soleil et mauvaise gestion des émotions, des pensées…
Bref, un mal de vivre qui engendre LA MORT.
Après maintes observations, j’ai tiré comme conclusion que c’est ” l’état biologique acide du sang” qui permettait le développement “exponentiel” du virus chinois actuel.
Le docteur Claude Bernard affirmait ” le microbe n’est rien, le terrain est tout”
Changez votre terrain biologique et vous permettez ainsi des conditions toutes autres en votre sang et vos cellules pour que bactéries, champignons ( candidoses), virus ne puissent plus se développer.
Wim Hof est un inspirateur extraordinaire pour comprendre par quels mécanismes nous pouvons changer nos conditions biologiques de base.
Volontairement, il s’est fait injecter des bactéries “tueuses” dans son sang et par une méthode de respiration, il a fortement “alcalinisé ” son sérum sanguin et a tué ces bactéries censées le terrasser.
Méthode Wim Hof: les bienfaits pour l’homme de cinquante ans – (avoir50ans.com)
Pour comprendre un peu plus sa ” méthode” lisez ceci:
Bénéfices sur la santé apportés par la pratique méthode Wim Hof (yocty.com)
Cette dernière année, après avoir longuement écrit comme je le fais, je suis allé régulièrement dans le Pilat et j’ai marché, respiré, pratiqué des “rétentions de souffle” en marchant rapidement. Mon record a été de 5 minutes de rétention du souffle en apnée, poumons vides.
Un matin d’hiver à la température de -10 degré j’ai fait aller-retour ” La Barbanche, le Bessat” Aller par la route- Retour sur le chemin de pierre enneigé et dans lequel je me suis trouvé presque immergé dans la neige jusqu’aux genoux.
Mais c’est tous les matins de cet hiver que je vais chercher une eau salvatrice à LA JASSERIE à 1400 mètres d’altitude avec en moyenne -6° degré. plongé dans le froid de la nuit à la table d’orientation de ” La Perdrix” .
Mais vous le croirez si vous voulez: je marche en sandales ( comme Dominique Lebrun l’ancien évêque de Sainté) sans chaussette et les pieds nus et la tête nue si bien que mes cheveux ont parfois “gelés”. En disant, 2 heures d’immersion intense au froid, au vent glacial du Nord,
En fait, j’ai pratiqué une forme de respiration dans laquelle je sature mon sang en CO2 qui selon le docteur Buteyko permet une vascularisation intense mais surtout une bonne oxygénation de tous nos tissus.
Et bien par une activité physique intense, une saturation du sang en CO2, une oxygénation cellulaire, une alimentation sans sucrerie, une bonne alcalinisation sanguine résultat: plusieurs centaines de kilomètres parcourus à pied dans le massif du Pilat depuis Novembre dernier et pas un seul refroidissement, pas de douleur au talon fracturé l’an dernier, finalement pas de souci sur le nouveau virus.
Alors plutôt que de vivre dans l’angoisse, dans la santé “artificielle” des piqûres, des vaccins bidons, des masques de fantaisie, des cloisonnements artificiels dans des appartements bourrés de produits prompts à donner le cancer…. Pourquoi ne pas pratiquer un mode de vie saine, une alimentation hypotoxique, alcalinisante, des respirations type Buteyko, Wim Hof, Cohérence Cardiaque ?
OUI POURQUOI ATTENDRE DANS VOTRE MAISON DOUILLETTE, DANS L’ANGOISSE DES INJONCTIONS FOLLES DE NOS DIRIGEANTS, DES RESULTATS NAVRANTS DE VACCINS QUI TUENT, DES PENSEES QUI TETANISENT, DES INJONCTIONS PARADOXALES ET IDIOTES DE LA BANDE A VERAN POUR DECOUVRIR COMME L’ONT FAIT CELLES ET CEUX QUI APRES UNE EXPERIENCE DE GUERISON DU COVID PAR DES MOYENS NATURELS, VIVENT MAINTENANT LES JOIES D’UNE VIE SAINE.
N’est-ce pas Vincent, toi qui à 83 ans prend régulièrement le vélo pour parcourir les berges du Rhône et pratique aussi la marche et le jardinage bio ?
Toi qui est un rescapé du Covid-19 simplement
avec les ressources que DAME NATURE nous a donné…
Si tu as le courage d’écrire… dis leur, oui dis à mes amis: VOUS N’AVEZ PAS BESOIN DE VACCINS…..
Votre seul besoin c’est de VIVRE SAIN
GEERT VANDEN BOSSCHE : nous sommes en danger !
Le Dr Geert Vanden Bossche, DMV, PhD, un virologue indépendant et expert en vaccins de Belgique, anciennement employé à la Vaccine Alliance GAVI et à la Fondation Bill & Melinda Gates, a publié sur ses comptes LinkedIn et Twitter une lettre ouverte à l’OMS et toutes les parties prenantes impliquées, ainsi que des analyses dans les derniers jours, sonnant l’alarme sur les risques de la vaccination de masse contre le COVID-19, telle qu’actuellement mise en œuvre ou prévue dans de nombreux pays.
C’est un pro-vaccin ayant travaillé avec l’association GAVI (regroupement des Big Pharma au sein de l’OMS) et la fondation de Bill Gates. Il est l’auteur d’une lettre ouverte à l’OMS publiée le 12 mars 2021, intitulée :
« Arrêtez immédiatement la vaccination de masse contre le Covid-19 » (1).
J’ai vérifié, ce n’est pas une blague.
Je vous propose ci-dessous la traduction de la lettre en question, avec une introduction résumant, en quelques phrases, la position du Dr Vanden Bossche, le pourquoi d’une telle requête, voire supplique, de la part d’un homme du sérail n’ayant aucun lien avec la mouvance sceptique ou anti-vaccinale.
Le risque d’une catastrophe sanitaire majeure.
Son propos n’est pas isolé, au sens où les mises en garde contre les possibles effets pervers d’une telle vaccination sur un virus hautement mutant ont déjà été publiées par, notamment, l’académie française de médecine, mais il s’agissait alors de prévenir contre la tentation d’étendre le délai entre les deux doses de vaccin Pfizer, ce qui faisait courir le risque de donner au virus le temps de s’adapter.
La lettre du Dr Vanden Bossche va bien plus loin, le cri d’alarme est sans équivoque :
La situation actuelle, extrêmement critique, m’oblige à diffuser cet appel d’urgence. L’ampleur sans précédent de l’intervention humaine dans la pandémie de Covid-19 risquant désormais de déboucher sur une catastrophe mondiale sans équivalent, cet appel ne peut être entendu assez fort et assez fermement.
Les vaccinologues, les scientifiques et les cliniciens sont aveuglés par les effets positifs à court terme dans les brevets individuels, mais ne semblent pas se soucier des conséquences désastreuses pour la santé mondiale. À moins que l’on ne me prouve scientifiquement que j’ai tort, il est difficile de comprendre comment les interventions humaines actuelles empêcheront les variants en circulation de se transformer en un monstre sauvage.
L’échappement immunitaire.
Le cœur de l’argument du Dr Vanden Bossche est simple, et peut se résumer en deux mots : échappement immunitaire (immune escape). Le principe, détaillé dans la seconde partie de la lettre à l’OMS, est en gros le suivant : la vaccination de masse induit une compétition entre les anticorps spécifiques amenés par le vaccin, et généralement efficaces à court terme contre le virus, et nos anticorps naturels composant notre première ligne de défense. Cette compétition affaiblit la capacité de nos défenses naturelles face au virus, les anticorps spécifiques liés aux vaccins étant plus performants.
A l’échelle d’une pandémie, avec beaucoup d’infections et de variations possibles, la pression vaccinale pousse le virus à muter et à trouver des « solutions » qui le rendent immunisé aux anticorps spécifiques associés aux vaccins. Une fois que ce variant résistant se développe, non seulement les anticorps vaccinaux deviennent inefficaces, mais notre système naturel s’étant entre-temps « désintéressé » de l’affaire, se retrouve à nouveau seul face au mutant, mais peu « entraîné » face à un adversaire surentraîné.
Conséquences : le nombre de personnes avec une immunité naturelle affaiblie va augmenter, et développer des formes plus graves. Cette situation est encore aggravée par deux facteurs : d’une part les mesures d’éloignement, des gestes barrières aux confinements, réduisent les occasions « d’entrainement » de notre système immunitaire naturel. D’autre part la vaccination massive des personnes âgées augmente la pression sur les autres classes d’âges.
Erreur fatale :
l’affaiblissement de nos défenses immunitaires naturelles.
A force de vacciner le haut de la pyramide des âges, toute la pression se concentre sur les plus jeunes, ceux-là mêmes contre lesquels la plupart des Etats s’efforcent de réduire l’immunité naturelle en les incarcérant, en les privant au maximum de toute interaction, en les déprimant psychologiquement et immunitairement par manque « d’entraînement » de leur système naturel.
Dans le même temps, les vaccins deviennent de moins en moins efficaces du fait des variants, et les classes d’âges vaccinées redeviennent vulnérables dès lors qu’apparaissent des mutants résistants. C’est le début d’une catastrophe sanitaire mondiale, celle que le Dr Vanden Bossche veut éviter en informant l’OMS et la population de ce probable scénario.
Une nouvelle stratégie vaccinale à base de cellules NK.
La solution proposée par le Dr Vanden Bossche est de construire une campagne de vaccination qui ne serait plus basée sur la création d’anticorps spécifiques au virus (et surtout d’arrêter de vacciner avec cela), mais basée sur les cellules NK (Natural Killer), présentées ainsi :
Les cellules natural killer (NK) sont des lymphocytes du système immunitaire inné capables de tuer des cellules tumorales et des cellules infectées. Les cellules NK sécrètent également des cytokines qui participent à l’orientation de la réponse immunitaire adaptative. Au cours de ces dernières années, plusieurs études ont montré que la réactivité des cellules NK est bien plus « plastique » qu’on ne le pensait. La réactivité des cellules NK est régulée par leur microenvironnement et dépend de leur temps d’exposition à cet environnement.
Plutôt que vacciner avec les produits actuels, qui transforment les patients en porteurs asymptomatiques, cad non malades mais néanmoins infectieux, une vaccination orientée vers les cellules NK permettrait de « booster » notre immunité naturelle et nous conduire à cette fameuse immunité de groupe (herd immunity), seule option durable en matière de défense face à ce genre de virus, n’en déplaise à l’establishment médical globalement inepte et corrompu (ça, c’est moi qui le précise).
Avant tout, nourrir notre système immunitaire naturel.
Voilà donc sa proposition de résumé de la lettre à l’OMS:
De ceci je formule ces deux conclusions : D’abord, la dictature sanitaire basée sur l’incarcération de masse, la distanciation physique appliquée à toutes et tous, le masque pour les enfants à l’école, et la fermeture des lieux de vie dits « non-essentiels » qui permettent pourtant à nos systèmes immunitaires de se renforcer, restera sans doute dans l’Histoire comme l’une des pires politiques jamais implémentées.
Les responsables ne méritent rien d’autre qu’un procès de Nuremberg pour crime contre l’Humanité.
Ensuite, si ce que dit le Dr Vanden Bossche est vrai, nous devons refuser toute vaccination selon les protocoles actuels, et travailler d’arrache-pied à nourrir, et pour beaucoup à reconstruire, nos défenses immunitaires naturelles.
LE DRAME DE LA 5G
www.agirpourlenvironnement.org
Chères amies, chers amis,
En moins de 6 mois, ce sont plus de 32 000 antennes 5G qui ont été activées en France !
Alors que le président de la République a préféré manier la caricature en renvoyant les opposants à la 5G à des Amish adeptes de la lampe à huile, c’est désormais aux opérateurs de téléphonie mobile de mélanger vitesse et précipitation.
Pourtant, le Haut Conseil pour le Climat a commis un rapport particulièrement critique quant aux effets de la 5G sur les émissions de gaz à effet de serre du secteur du numérique. De surcroît, l’Agence nationale des fréquences a indiqué que l’arrivée de la 5G pourrait se traduire par une augmentation de l’exposition aux champs électromagéntiques de 30%.
Et pendant que nous subissons un déploiement de la 5G à marche forcée, nous augmentons notre addiction à cet e-monde. Un adolescent passe chaque jour en moyenne 6h40 devant un écran !
Contre l’avis d’une majorité de citoyens, le gouvernement a attribué les fréquences 5G sans débat ni évaluation sérieuse. Face à cette fuite en avant, Agir pour l’Environnement et Priartem vous proposent de consulter et partager la carte de France des antennes 5G. En cliquant sur chaque antenne, vous aurez également la possibilité d’interpeller les élus locaux afin de leur demander d’adopter un moratoire local
NB J.DAUDON : Lors de la parution de la vidéo https://youtu.be/YycZn1W6oNg, la conférencière, faisait référence au livre d’Arthur Firstenberg, “L’arc en ciel invisible” traduit depuis peu en Français (en notre possession), dans lequel, nous vous mettons brièvement en alerte. Il est démontré avec des références scientifiques très sérieuses, que :
Le développement général de « l’électricité » ondes électromagnétiques de toute nature) est tel aux USA, que les Américains sont sujets à de multiples agressions sur le plan physique, mental qui atteignent des pourcentages stupéfiants.
En résumé, la grippe (p 138), les problèmes cardiaques (p 171), le diabète (p 211), les cancers (p 243) font de tels ravages, sans pour autant faire de catastrophisme, que nous nous devions de vous avertir et de lire ce livre qui devrait vous mettre la puce à l’oreille.
Note de TAL : Il faut réaliser que la pollution électromagnétique, qui est aggravée de façon dramatique par la 5G est un problème majeur totalement négligé par les pouvoirs publics puisque Macron a traité ceux qui s’y opposent d’être des Amish (ces américains qui refusent le modernisme et les vaccins mais chez lesquels in ne trouve pas d’enfants autistes !)
Et n’oublions pas que 5G +nanoparticules des vaccins= génocide planétaire et
Transhumanisme (de humains robotisés par l’Intelligence Artificielle et
Obligés d’obéir à Bill Gates et ses comparses…)
Nous ne pouvons pas ne pas agir pour faire cesser cette folie tellement énorme que bien des gens n’arrivent pas à imaginer que cela soit possible. Ils obéissent sagement aux consignes des media sans se rendre compte qu’ils sont des moutons en marche vers l’abattoir…doucement hypnotisés par la télévision.
Malgré la censure de BIG DATA, faisons circuler des informations pour éveiller ceux qui sont encore « éveillables » !
LE PARADIGME DU CONFINEMENT
Cela a pris beaucoup plus de temps que prévu, mais cela semble enfin se produire : le paradigme du confinement s’effondre. Les signes sont partout autour de nous.
L’ancien héros du confinement, le gouverneur de New York Andrew Cuomo, est maintenant profondément impopulaire et la plupart des électeurs veulent qu’il démissionne.
Pendant ce temps, les sondages ont commencé à favoriser Ron DeSantis, gouverneur de Floride et opposant au confinement, pour exercer une influence sur le GOP à l’avenir. Ce remarquable retournement de situation est dû à la prise de conscience que les confinements étaient une politique désastreuse. Ron DeSantis et la gouverneure Kristi Noem, également opposée au confinement, sont les premiers à dire la vérité sans détour. Leur honnêteté leur a permis de gagner en crédibilité.
Pendant ce temps, lors des audiences du Congrès, le représentant James Jordan (R-OH) a demandé au Dr Fauci d’expliquer pourquoi la prévalence de la maladie dans le Michigan fermé est pire que dans le Wisconsin voisin qui est depuis longtemps entièrement ouvert. Fauci a prétendu qu’il n’avait pas entendu la question, qu’il n’avait pas vu le tableau et qu’il n’avait pas compris. Finalement, il est resté assis, silencieux, après avoir prononcé quelques banalités sur les différences de mise en application.
Les adeptes du confinement sont maintenant confrontés à l’énorme problème du Texas. Ce pays est totalement ouvert, sans aucune restriction, depuis 6 semaines. Les cas et les décès ont chuté de façon spectaculaire au cours de la même période. Fauci n’a pas de réponse. Ou alors, comparez la Californie fermée avec la Floride ouverte : taux de mortalité similaires. Nous disposons d’une gamme complète d’expériences aux États-Unis qui permettent de comparer l’ouverture et la fermeture et les résultats des maladies. Il n’y a aucun rapport.
Ou vous pouvez regarder du côté de Taïwan, qui n’avait aucune contrainte pour ses 23,5 millions d’habitants. Décès dus au Covid-19 jusqu’à présent : 11. La Suède, qui est restée ouverte, a obtenu de meilleurs résultats que la plupart des pays européens.
Le problème est que la présence ou l’absence de fermetures face au virus ne semble absolument pas corrélée à la trajectoire de la maladie. L’AIER a rassemblé 33 études de cas dans le monde entier qui montrent que c’est vrai.
Pourquoi cela devrait-il avoir de l’importance ? Parce que les « scientifiques » qui ont recommandé les confinements ont affirmé de manière très précise et pointue qu’ils avaient trouvé le moyen de contrôler le virus et de minimiser les résultats négatifs. Nous savons avec certitude que les confinements imposés ont provoqué des dommages collatéraux étonnants. Ce que nous ne voyons pas, c’est une relation entre les mesures de confinement et les résultats de la maladie.
Ceci est dévastateur car les scientifiques qui ont poussé les confinements avaient fait des prédictions spécifiques et falsifiables. C’est probablement leur plus grande erreur. En faisant cela, ils ont mis en place un test de leur théorie. Leur théorie a échoué. C’est le genre de moment qui provoque l’effondrement d’un paradigme scientifique, comme l’explique Thomas Kuhn dans La structure des révolutions scientifiques (1962).
Suite de l’article sur le site www.anguillesousroche.com/monde/le-paradigme-du-confinement-seffondre/
Ou t’as le pass, ou tu te casses!
Olivier Cabanel
Lentement, mais sûrement, nos libertés sont rognées… en douceur.
La prochaine mesure s’appelle «pass sanitaire», qui est en fait juste un élément de com’ pour ne pas dire «passeport sanitaire», et une façon indirecte de contourner la liberté de vaccination.
Ça fait déjà quelque temps qu’insidieusement, l’idée d’un passeport sanitaire fait son chemin, même si en haut lieu on assure qu’il n’en est pas question, d’autant que d’une part, la loi l’interdirait, et que d’autre part, tant que tout le monde n’a pas eu l’occasion d’être vacciné, ce serait inconcevable d’exclure de la vie sociale des Français qui de toute façon n’ont pu recevoir le vaccin… mais aussi de ceux qui, pour une raison ou une autre le refuseraient.
Macron, le «monsieur en même temps» assurait récemment qu’il était hostile au «passeport sanitaire», (lien) lui préférant un «pass sanitaire». lien
Où est la nuance?
Pascale Fontenel-Personne, du Modem, qui souhaite créer une mission spéciale auprès du gouvernement pour la création d’un passeport sanitaire, argumente: «j’insiste bien sur la notion de passeport sanitaire, et non pas de passeport vaccinal, qui là, effectivement, ne serait pas très juste», tentant d’expliquer la différence entre les deux: «on pourrait peut-être se baser sur un certificat de taux d’anticorps», d’autant que certaines personnes allergiques ne peuvent pas se faire vacciner, étant de fait dispensé de vaccin. lien
La nuance entre les deux possibilités «passeport vaccinal ou pass sanitaire» est bien mince… car si l’Europe envisage bien la possibilité de mise en place d’un certificat vaccinal, ce serait uniquement pour suivre les effets secondaires des vaccins (et non pas pour sanctionner ceux qui auraient refusé de se faire vacciner). lien
En réalité, derrière tout ça, il semble qu’il y ait la recherche d’une solution pour obliger tous les français à se faire vacciner… en se souvenant que le 22 décembre, Véran avait affirmé sur l’antenne de TF1 «le vaccin ne sera pas obligatoire». lien
© Ignace
En effet, la campagne de vaccination a comme un parfum d’échec annoncé: entre les livraisons au compte-goutte, les doutes sur l’efficacité des différents vaccins proposés, dont certains ont déjà provoqué de nombreux «effets secondaires», (vidéo) (ndlr cœurs sensibles s’abstenir) voire même le décès du vacciné, même si en haut lieu on tente de rassurer les populations (lien) et les différentes structures mises plus ou moins en place de façon désordonnée pour la distribution du dit vaccin, on s’achemine, après l’échec des masques, l’échec des tests, vers probablement un nouvel échec, celui de la vaccination.
Mais revenons au «pass»…
Jean Christophe Lagarde, de l’UDI, a tiré le 1er, déclarant: «vous avez le droit de ne pas vouloir vous faire vacciner, mais si vous vous faites vacciner, vous avez le droit de revivre normalement», sous-entendu d’aller au restaurant, dans les bistrots, dans les salles de spectacles, de prendre l’avion… etc. (ce qui serait donc interdit au «non vacciné».)
Bayrou ne dit pas autre chose: «j’ai toujours été favorable au certificat de vaccination…».
De son côté, le professeur de droit à Sciences Po, Nicolas Hervieu, a mis les points sur les «i»: «on ne peut concevoir un passeport que si l’ensemble de la population peut accéder au vaccin», et chez nos cousins outre-Manche, une étude publiée le 19 février par le Royal Société de Londres évoque des «discriminations dans l’emploi», et des difficultés pour «l’accès au restaurants, aux centre de santé, aux événements sportifs ou culturels, aux compagnies d’assurance, aux demandes de logement…». lien
D’ailleurs, même si le parti travailliste le pense nécessaire, le gouvernement de Boris Johnson a décidé d’écarter le projet du passeport sanitaire. (lien)
Tout comme Roselyne Bachelot qui «reste opposée au passeport vaccinal», évoquant «une atteinte à nos libertés»…
Une pétition est sur ce lien pour ceux qui s’opposent à ce passeport.
Quittons cet imbroglio pour découvrir d’autres nouvelles peu encourageantes: nos voisins helvètes envisagent d’étranges solutions: notamment le licenciement des employés hostiles à la vaccination.
En effet, l’union patronale suisse qui regroupe 80 associations patronales régionales et sectorielles propose aux patrons de licencier les salariés qui refuseraient la vaccination.
Le fait que moins de 200 000 personnes soient vaccinées à ce jour y est peut-être pour quelque chose. (lien
Pour une population de 8 millions d’habitants, c’est peu… mais ce n’est guère plus “brillant” en France, puisque, au 1er mars, seulement 1,7 million de nos concitoyens ont reçu les 2 doses… pour 67 millions d’habitants. (lien)
Ajoutons pour la bonne bouche que notre pays a réceptionné moins de 8 millions de doses.
D’où vient le peu d’enthousiasme des Français à se faire vacciner contre le coronavirus?…
Depuis l’apparition des «variants» dont nombreux sont convaincus qu’ils résisteront aux vaccins, un doute s’est logiquement installé au sein des populations.
Interrogés sur la question, les scientifiques ont des avis divergents, et officiellement ils se sont mis d’accord sur une formule: «ils (les vaccins) semblent être en mesure de neutraliser les variants»,… (lien) sous-entendant, si on lit entre les lignes, qu’ils n’en sont pas persuadés, d’autant qu’ils ajoutent qu’:«ils ont une activité neutralisante réduite…». (lien)
A ce stade il n’est pas inutile de rappeler les termes de la loi concernant entre autres la liberté face à la vaccination. (lien)
Restons dans le domaine juridique, notamment concernant les masques.
J’ai l’honneur d’avoir rencontré à plusieurs reprises Jean-Pierre Joseph, un avocat grenoblois, connu pour être l’un des pourfendeurs des tristement célèbres «compteurs Linky».
Il vient de remporter une belle victoire au sein du tribunal administratif de Toulouse, concernant l’obligation du port du masque, lequel tribunal a jugé illégal le port obligatoire du masque dans l’Aveyron. (lien)
Les arguments qu’il a déployés étaient nombreux: se basant sur une étude américaine publiée par le quotidien The Federalist, laquelle a démontré sans équivoque que le port des masques n’avait aucune incidence positive sur l’évolution du nombre de cas positifs au coronavirus.
La conclusion de l’étude est formelle: «Peu importe le niveau de contrainte du port du masque imposé par l’Etat et le degré de respect des habitants, la courbe de nouveaux cas fulmine malgré l’imposition nationale du port du masque ».
L’avocat grenoblois en veut, entre autres, pour preuve qu’entre le 6 et le 12 juillet 2020, 52% de la population française portait le masque et le 10 juillet, elle comptait un peu plus de 10 000 tests positifs par million d’habitant.
De la même manière, aux mêmes dates, le Brésil comptait 694 décès par million d’habitant, alors que le port du masque était de 90%.
Parallèlement l’avocat fait la longue liste des désavantages, voire des dangers, que le port du masque provoque et que l’on peut découvrir sur ce lien.
Décidément, on ne peut que constater la gestion catastrophique de la situation sanitaire par ce gouvernement, et même s’il est trop tôt pour faire le bilan de ce quinquennat, on ne peut que constater que Macron a géré la révolte des Gilets Jaunes par le mépris, a répondu à la contestation de la réforme des retraites, aux longues grèves qui ont suivi, par l’arrogance, et a géré la crise sanitaire avec impréparation et légèreté.
Comme dit mon vieil ami africain: «Le singe ne voit pas la bosse qu’il a sur le front».
Source: https://www.agoravox.fr/actualites/sante/article/ou-t-as-le-pass-ou-tu-te-casses-231391
Me Joseph, défenseur des “victimes d’un régime qui pourrait s’appeler la “Scientocratie”“
Me Jean-Pierre Joseph
FS
Auteur(s): FranceSoir
FS: Quel est l’objectif de votre action judiciaire imminente?
JPJ: L’objectif de notre action judiciaire d’ordonnance sur requête est de solliciter auprès d’un Juge Judiciaire (et non administratif) l’autorisation pour les requérants et leurs enfants à respirer normalement dans l’espace public, en conséquence, d’autoriser les requérants et leurs enfants, à circuler dans l’espace public, et notamment en milieu scolaire, sans porter de masque.
L’action sera tout d’abord lancée auprès du Tribunal judiciaire de Grenoble et, en même temps, devant les tribunaux de Valence, Privas, et Lyon… L’ensemble de nos concitoyens peuvent diligenter cette action auprès de la juridiction judiciaire (ex TGI) dont ils dépendent géographiquement. Il leur suffira de télécharger notre modèle de demande d’Ordonnance sur Requête sur l’un des sites internet qui suivent et de contacter un Avocat local afin de diligenter cette procédure.
Notre modèle d’Ordonnance sur Requête peut être téléchargé ici ou sur le site de l’association www.bonsens.org: modèle de l’ORDONNANCE SUR REQUETE. Elle est aussi disponible sur le site du Collectif laissons les prescrire, de l’association de Robert Kennedy Jr, le site du Dr Nicole Delépine, solidariteactive.fr et action21france.org/
L’avocat sélectionné peut, bien entendu, nous contacter pour les détails (seulement l’avocat, car merci de comprendre que nous n’avons pas la structure administrative pour répondre à des centaines voire milliers de demandes de particuliers).
FS: Qui sont les demandeurs à l’action?
JPJ: Les demandeurs à l’action sont des personnes adultes, agissant pour eux-mêmes, et parfois (pour ceux qui ont des enfants mineurs), agissant également en qualité de responsables légaux de leur(s) enfant(s).
FS : Quelles sont les motivations des demandeurs?
JPJ : En préambule, il est important de relever que les demandeurs ne sont pas contre des mesures sanitaires, si elles se révélaient utiles pour lutter contre une vraie «pandémie». Contrairement à ce que semble penser le gouvernement, les demandeurs ne sont pas dénués de capacité de réflexion et d’analyse et se sont aperçus que les décisions prises par l’exécutif étaient complètement déconnectées des faits scientifiques constatés. Les demandeurs et leurs enfants se considèrent victimes d’un régime qui pourrait s’appeler la “Scientocratie”. Tous les principes constitutionnels, et tous les textes des conventions internationales sont bafoués, par des décrets liberticides empêchant d’aller et venir, et de respirer normalement.
Un exemple parmi de très nombreux:
Le port du masque ne permet donc pas de lutter contre l’épidémie de la Covid -19. Ainsi, il est constaté qu’entre le 6 et le 12 juillet 2020, 52% de la population française portait le masque, et qu’au 10 juillet 2020, elle comptait un peu plus de 10.000 tests positifs par million d’habitants. Or, dans la même période de temps, à Singapour, 93% de la population portait le masque, et près de 10.000 tests étaient révélés positifs, par million d’habitants. La France et Singapour avaient donc un taux de positivité des tests extrêmement proche pour un taux de port du masque quasiment deux fois plus important à Singapour.
FS : Quels sont vos arguments?
JPJ: La crise sanitaire a divisé le monde médical, en deux camps:
– un camp minoritaire de par le nombre, mais majoritaire auprès des autorités, et sur les plateaux des grands médias,
– un camp majoritaire, composé de scientifiques autant (sinon plus) diplômés que les autres, mais qui n’arrivent pas à se faire entendre.
Des milliers de médecins se sont élevés contre les mesures liberticides qui leur apparaissaient inefficaces et à tout le moins, totalement disproportionnées par rapport au nombre de décès du Covid 19, représentant 0,1 % des personnes malades, et touchant en moyenne des personnes âgées de plus de 85 ans, et atteintes d’autres pathologies.
Curieusement, les grands médias sont restés silencieux sur ces aspect de la controverse, ne donnant la parole qu’à certains, et notamment les membres du Conseil scientifique qui ont tous d’importants liens d’intérêts avec l’industrie pharmaceutique, tel ce professeur ayant déposé une plainte contre le Pr Raoult, et ayant omis d’indiquer avoir perçu 800.000 € du laboratoire Gilead (producteur du REMDESIVIR)…
De plus en plus de scientifiques s’étonnent du fait que l’on présente aux Français, une version monolithique de la “Science”, et du fait que le gouvernement semble s’incliner devant des affirmations, parfois changeantes et contradictoires, émanant de la minorité précitée.
La France est tombée sous le régime de ce qui pourrait s’appeler la “Scientocratie”. Tous les principes constitutionnels, et tous les textes des conventions internationales sont bafoués, par des décrets liberticides empêchant d’aller et venir, et de respirer normalement.
Peu de pays en Europe ont résisté à cette tendance: La Suède et la Biélorussie. Mais le plus étrange est que les grands médias passent ces éléments sous silence, ce qui est d’autant plus curieux que ces pays n’ont pas plus de décès proportionnellement que les autres.
Le plus étrange également est qu’il existait trois thérapeutiques mondialement connues et utilisées, mais dont deux ont été totalement ignorées des pouvoirs publics et des médias, l’autre décriée et niée. Tout a été fait pour infantiliser les Français, à tel point que les chaînes de télévision en arrivent à rappeler que la pluie, cela mouille, le verglas glisse, et que le vent souffle…
I – LES DONNEES TECHNIQUES:
Au début de l’épidémie en France, soit à partir du mois de mars 2020, le port du masque était annoncé par le gouvernement comme «totalement inutile», d’une part par Madame Agnès Buzin, alors Ministre de la santé, le 26 janvier 2020, d’autre part par Monsieur Olivier Véran, une première fois le 4 mars 2020 puis à nouveau le 25 septembre 2020.:
Néanmoins, et en dépit de ces affirmations publiques et réitérées, le port du masque est devenu progressivement obligatoire à partir du 20 juillet 2020, dans l’ensemble des lieux publics clos d’abord, puis dans les lieux ouverts ensuite.
Ainsi, le décret du 31 juillet 2020, par son article 36.II, a permis aux préfets départementaux de rendre obligatoire le port du masque dans les situations où le décret précité ne l’avait pas prévu. Pour la rentrée scolaire du mois de septembre, le masque a été rendu obligatoire aux élèves de collèges et de lycées, sans qu’il ne soit fait mention des élèves d’écoles élémentaires. Contre toute attente, et en dépit des contre-indications scientifiques, par décret du 29 octobre 2020, le gouvernement a finalement rendu le masque obligatoire dans les écoles élémentaires.
Ainsi, l’article 36.II du décret n°2020-1310 du 29 octobre 2020 impose le port du masque à tous les élèves d’écoles élémentaires, ainsi qu’aux collégiens et lycéens. Les enfants placés dans des établissements et services d’accueil en dehors du milieu scolaire sont également concernés à partir de six ans.
De nombreux parents d’élèves ont constaté les effets néfastes du port du masque, ainsi que des agissements violents et préoccupants des directeurs et référents d’écoles pour le voir imposé, depuis l’entrée en vigueur du décret du 29 octobre 2020. Plusieurs centaines de parents ont fait part de leur inquiétude, à la suite des mesures violentes, humiliantes et discriminatoires qu’avaient subi leurs enfants se présentant sans masque à l’école élémentaire, mettant en péril leur intégrité physique et psychique. Si l’on entend protéger la collectivité publique en imposant le port du masque, c’est en oubliant en premier lieu l’intérêt supérieur de l’enfant, affirmé dans de nombreux textes internationaux et nationaux.
A- La controverse quant à l’utilité même du port du masque
La plupart des médecins s’accordent à dire que les masques chirurgicaux ont pour rôle de filtrer les bactéries et non pas les virus, bien trop petits pour pouvoir être bloqués par le masque. Si certains emballages de masques chirurgicaux précisent que les masques protègent d’un certain pourcentage de bactéries, il n’est jamais indiqué que le masque protège d’un virus. Et pour cause, ce n’est pas le cas!
Les masques bleus que nous devions tous porter dans les transports en commun, possèdent des pores (petits trous microscopiques) d’un diamètre d’environ 10 microns. (1/100° de millimètre ou 0,01 millimètre). Or, le diamètre moyen d’un virus est de 0,00025 millimètre, ce qui veut dire qu’à travers chaque trou (pore) du masque, 40 virus peuvent passer en même temps. horizontalement, mais aussi verticalement. Donc, comme il y a des centaines de petits trous dans ces masques (sinon l’on ne pourrait pas respirer), au fil de la journée, et dans les 2 sens, compte tenu du nombre de pores de ces masques, des milliers de virus ont pu passer, se reproduire au contact de l’air chaud et humide de notre respiration, et être projetés dans l’air.
Certes, les “scientifiques”, les seuls qui ont accès aux grands média, nous disent que, s’agissant de corps microscopiques, ils restent collés au masque par effet électrostatique. Sauf qu’au bout d’un quart d’heure, la sueur et la salive en plein été, a mouillé le masque, supprimant ainsi l’effet électrostatique. En période de forte chaleur, cela serait vrai si l’on changeait de masque tous les quarts d’heure…
Jean-François HUET, médecin anesthésiste réanimateur (qu’on ne verra évidemment pas sur les grands médias) écrit:
“…Quant au masque grand public une heure dans la rue suffit à démontrer pourquoi c’est une calembredaine même à supposer qu’il puisse protéger d’un virus pulmonaire. Parler de l’usage professionnel pour le valider est tout simplement ridicule. En milieu professionnel, on se lave les mains avant de mettre un masque et la deuxième fois qu’on le touche c’est pour le mettre à la poubelle. Dans le public on met un torchon hors d’âge sur le nez pour rentrer dans un restaurant.
– On l’enlève pour manger.
– On le remet pour aller aux toilettes.
– On l’enlève pour continuer son repas.
– On le remet pour aller payer.
– On l’enlève sur le parking du restaurant.
– On le fourre dans sa poche dans son sac ou dans sa boîte à gant.
– Dans la plupart des cas on recommence les mêmes cycles stupides avec la même “technique” dans un nombre indéterminé de cas.
Impossible à un professionnel de valider un tel cirque.
Moralité 99,99% de ces torchons sont des passoires et des bouillons de culture, ils contiennent des quantités invraisemblables de bactéries de virus sur les deux faces….”.
Ainsi, le bon sens est de constater que ces masques ne nous protègent pas du tout, mais ne protègent pas non plus les autres. A l’origine, ils ont été créés pour barrer les bactéries (beaucoup plus grosses que les virus).
Début juillet 2020, Jean-Dominique MICHEL, expert en santé publique, indique:
«… Si le virus a déjà circulé, confiner des gens ensemble, potentiellement contaminés, contagieux, pas contagieux, ou potentiellement à risque, est la meilleure manière de faire flamber une épidémie…». Il prend l’exemple de la Suède qui n’a pas confiné, et indique que, mis à part les maisons de retraite où l’on a renoncé à soigner ou à hospitaliser les personnes infectées « =…dans le reste de la population, cela a été un pari gagnant… =» Il conclut en indiquant que le confinement est “la moins efficace de toutes les mesures.”
Dans un avis de juin 2020, l’OMS indique:
«À l’heure actuelle, il n’y a pas d’éléments directs (provenant d’études sur la COVID-19 et sur les personnes en bonne santé au sein de la communauté) sur l’efficacité du port généralisé du masque par les bien portants en vue de prévenir les infections dues à des virus respiratoires, notamment celui de la COVID-19. » Elle précise encore, quelques paragraphes plus loin : « De nombreux pays ont recommandé au grand public de se couvrir le visage, notamment par un masque en tissu. À l’heure actuelle, on ne dispose pas encore de données factuelles directes de qualité attestant de l’efficacité du port généralisé du masque par les personnes en bonne santé dans la communauté et il faut procéder à un bilan des avantages et des inconvénients à cet égard…”
Le 8 juin 2020, le docteur Maria Van Kerkhove, chef de l’unité des maladies émergentes de l’OMS, a déclaré:
«D’après les données dont nous disposons, il semble encore rare qu’une personne asymptomatique transmette le virus à un individu secondaire…».
Or, si les personnes asymptomatiques ne peuvent transmettre le virus, «le port du masque généralisé par les personnes saines et asymptomatiques ne sert à rien…”
Plus probant encore, une étude américaine publiée par le journal The Federalist le 29 octobre 2020 sur l’impact des masques dans différents pays d’Europe et aux Etats-Unis a démontré sans équivoque que le port des masques n’a aucune incidence positive sur l’évolution du nombre de cas positifs à la COVID-19.
Cette étude est une analyse de 12 graphiques particulièrement révélateurs, démontrant l’évolution exponentielle du nombre de cas positifs de COVID-19 par milliers d’habitants à la suite de la décision du gouvernement français d’adopter le port du masque obligatoire.
L’étude américaine précise à propos de la France:
«The French now have around 1,000 percent more daily cases they had when they mandated masks, despite having one of the highest mask compliance levels in the world.»
Soit, en français:
«Les Français ont maintenant environ 1.000 % de cas quotidiens en plus depuis qu’ils imposent les masques, bien qu’ils aient l’un des niveaux de conformité les plus élevés au monde.»
La même tendance a été constatée dans l’ensemble des pays étudiés, puisqu’ils ont tous traversé une nouvelle vague de contamination exponentielle, et ce après que le port du masque a été rendu obligatoire.
La conclusion est limpide: peu importe le niveau de contrainte du port du masque imposé par l’Etat et le degré de respect des habitants, la courbe de nouveaux cas fulmine malgré l’imposition nationale du port du masque.
En ce sens, l’étude constate:
«Similar results have been found in Ireland, Portugal, Israel, and many other countries. No matter how strictly mask laws are enforced nor the level of mask compliance the population follows, cases all fall and rise around the same time…».
Soit en français:
«Des résultats similaires ont été constatés en Irlande, au Portugal, en Israël et dans de nombreux autres pays. Quelle que soit la rigueur avec laquelle les lois sur les masques sont appliquées et le niveau de conformité de la population, les cas diminuent et augmentent tous à peu près en même temps.».
Dans ses conseils du 5 juin 2020, concernant le grand public, l’O.M.S. indique, notamment:
– “…Vulnérabilité… les masques médicaux pourraient être utilisés par les personnes âgées, les sujets immunodéprimés, et les personnes atteintes de comorbidités…” “Cadre de vie de la population: situations où la densité de population est élevée (camps de réfugiés ou situations comparables, zones surpeuplées) et où s’il n’est pas possible de respecter la distance physique d’au moins un mètre (par exemple dans les transports publics)…” “Faisabilité: disponibilité et coût des masques, accès à l’eau propre pour laver les masques non médicaux et tolérance des effets indésirables du port du masque…”
Ainsi, il est clair que l’obligation du port du masque dans des villes françaises, procède de la même logique que si l’on voulait dire que le trajet de Paris à Créteil ne pourrait se faire qu’en avion…
B- Le port du masque ne permet donc pas de lutter contre l’épidémie de la Covid-19.
Ainsi, il est constaté qu’entre le 6 et le 12 juillet 2020, 52% de la population française portait le masque, et qu’au 10 juillet 2020, elle comptait un peu plus de 10.000 tests positifs par million d’habitants.
Or, dans la même période de temps, à Singapour, 93% de la population portait le masque, et près de 10.000 tests étaient révélés positifs, par million d’habitants.
La France et Singapour avaient donc un taux de positivité des tests extrêmement proche pour un taux de port du masque quasiment deux fois plus important à Singapour.
De la même manière, aux mêmes dates, le Brésil comptait 694 décès par million d’habitants, alors que le taux de port du masque était de 90%, pendant que le Royaume Uni comptait 624 morts par million d’habitants, alors que le taux de port du masque n’était que de 20%. Ainsi, le Brésil et le Royaume Uni comptaient, au 10 juillet 2020, un nombre de morts par million d’habitants très similaire, alors même qu’à cette période, le taux de personnes portant le masque au Brésil était quatre fois et demi plus important qu’au Royaume Uni! Là encore, il est démontré que le port du masque ne joue aucun rôle positif dans la protection contre le virus COVID-19. Au demeurant, les scientifiques sont au courant de l’absence d’efficacité du port du masque sur les virus depuis plus d’un siècle déjà car elle avait été démontrée lors de la grippe espagnole.
En effet, entre 1918 et 1919, le port du masque avait été imposé dans de nombreux Etats, en particulier aux Etats-Unis, où l’atteinte d’un résultat contraire à celui recherché avait été constaté.
Une étude américaine menée sur l’hypoxie subséquente au port du masque conclut que celui-ci entraine des résultats contraires aux résultats recherchés:
«As we have demonstrated, the hypoxia caused by mask-wearing defeats the objective of anti-viral strategy. As we showed in our previous paper in this series, mask use is correlated with higher, not lower, incidence of COVID19. » Cette affirmation peut être traduite par les termes suivants:
«Comme nous l’avons démontré, l’hypoxie causée par le port du masque va à l’encontre de l’objectif de la stratégie antivirale. Comme nous l’avons montré dans notre précédent article de cette série, le port de masque est corrélé à une incidence plus élevée, et non plus faible, de la COVID -19.»
Ainsi, le port du masque n’est donc pas seulement inutile, il est contre-productif.
C- Le port du masque pour les enfants:
Si le port du masque est inutile pour les personnes saines, il relève de l’absurde pour les enfants qui ne sont pas porteurs et ne transmettent pas la maladie.
1- Le taux d’incidence quasi nul chez les enfants de moins de 15 ans
En ce sens, nombre de médecins crient au scandale, tel que le Docteur Louis Fouché, médecin anesthésie-réanimation au CHU de Marseille, lequel affirme dans une vidéo visualisée près de 75.000 fois et rendue publique le 31 octobre 2020:
«Quand on dit de masquer les enfants à six ans c’est juste un scandale en fait. Les enfants ne sont pas porteurs, ne sont pas vecteurs, ne sont pas malades, pourquoi vous les masquez, en fait? Donc là il y a vraiment une espèce de perversion. C’est quelque chose qui est du domaine, à mon avis, de la psychiatrie et qui devrait faire réagir les gens.».
Or, les propos de ce médecin n’ont jamais été contredits et n’ont fait l’objet d’aucun démenti par une quelconque instance sanitaire.
En ce sens, dans un courrier du 13 novembre 2020, la direction des services départementaux de l’éducation nationale Loir-et-Cher a affirmé:
«Les dernières études ont établi que la contagiosité des jeunes enfants atteints de COVID 19 est tout à fait minime vis-à-vis des autres enfants. De ce fait, votre enfant n’est pas considéré comme ayant eu un contact à risque élevé à l’école, il n’y a donc pas de mesure particulière à prendre suite à ce signalement et notamment ni isolement, ni dépistage systématique.»
En outre, La Société Française de Pédiatrie a déclaré dans un article «Rentrée scolaire et COVID19: propositions actualisées de la SFP» du 14 septembre 2020″:
“…Il est urgent de rappeler combien les bénéfices éducatifs et sociaux apportés par l’école sont très supérieurs aux risques d’une éventuelle contamination COVID19 de l’enfant en milieu scolaire».
Il est d’autant plus incohérent d’imposer le port du masque aux enfants à partir de 6 ans dans la mesure où cette obligation est circonscrite par le décret du 29 octobre 2020, à la seule enceinte de l’établissement sous l’argument tiré d’une prétendue protection collective.
Or, il est scientifiquement et indiscutablement démontré que le taux d’incidence chez les enfants de moins de 15 ans est, depuis le début de l’épidémie, extrêmement faible, voire néant.
Ainsi, le 28 octobre 2020, soit la veille de l’adoption du décret imposant le port du masque chez les enfants en milieu scolaire, SANTE PUBLIQUE FRANCE indiquait, dans son rapport hebdomadaire, que le taux d’incidence de la Covid-19 chez les enfants de moins de 15 ans, était de 0,122%.
Plus encore, compte-tenu de ces chiffres officiels, imposer le port du masque aux enfants de moins de 11 ans dans les seuls établissements scolaires est une incongruité scientifique et va à l’encontre de toute logique.
Si l’établissement scolaire est effectivement le lieu de vie le plus important pour les enfants, il est incontestable que l’on entend imposer le port du masque dans l’unique lieu fréquenté en grande majorité par des sujets qui sont extrêmement peu touchés par le virus que l’on entend combattre!
En conséquence, il n’existe aucune justification sanitaire d’imposer le port du masque aux enfants.
Au surplus, les dispositions du décret du 29 octobre 2020 vont à l’encontre des rapports d’une institution internationale spécialisée de l’ONU en santé publique.
Ces atteintes sont également identifiées dans une étude américaine publiée le 29 octobre 2020 dans le prestigieux journal World Affairs en ces termes:
«Masks dehumanize us, and ironically serve as a constant reminder that we should be afraid. People can now be spotted wearing masks while camping by themselves in the woods or on a solo sailing trip. They have become a cruel device on young children everywhere, kindergarten students covered by masks and isolated by Plexiglas, struggling to understand the social expressions of their peers.»
Soit, en français:
“…Les masques nous déshumanisent et, ironiquement, nous rappellent constamment que nous devons avoir peur. On peut désormais observer les gens qui portent des masques lorsqu’ils campent seuls dans les bois ou lorsqu’ils font de la voile en solitaire. Ils sont devenus un dispositif cruel sur les jeunes enfants partout, les élèves de maternelle couverts par des masques et isolés par du plexiglas, luttant pour comprendre les expressions sociales de leurs camarades.»
Or, parvenir à détecter les émotions d’autrui est un élément fondamental de l’apprentissage chez de jeunes enfants.
A cet égard, l’Education Nationale indique qu’«apprendre à vivre ensemble» est «indissociable de la mission d’enseignement et du travail des enseignants dans leur classe».
Plus encore, dans le cadre de l’apprentissage de la lecture, des sons, de la phonétique, il est impérieux pour les enfants de pouvoir distinguer parfaitement les expressions faciales des enseignants et de pouvoir les reproduire librement.
En ce sens, la Présidente de la Caisse nationale des allocations familiales (Cnaf) s’est exprimée:
«Les tout-petits doivent pouvoir lire les expressions des visages qui les entourent; c’est essentiel pour leur équilibre et leurs apprentissage…”
Une psychologue clinicienne explique que le port du masque chez les jeunes enfants engendre principalement:
«Un risque d’altération de l’identification des émotions, un sentiment d’insécurité, une entrave dans le développement de la communication orale, voire, par mimétisme ou par manque de stimulation, une tendance à l’immobilité du visage».
Le port du masque est donc un obstacle manifeste à l’apprentissage et au développement des enfants. Au surplus, comme l’explique Madame Manon Berthod, éducatrice pour enfants:
«Le masque déshumanise la personne, c’est une barrière dans la relation. On sait que l’enfant apprend les codes sociaux en regardant les attitudes des gens.».
L’activité ne peut pas être exercée aussi longtemps ou aussi efficacement avec un masque qu’en l’absence de masque. De plus, le temps pendant lequel une activité peut être soutenue est réduit lorsque l’on porte un masque et un EPI.»
Le port du masque entraine donc une diminution de l’efficacité au travail ainsi qu’une diminution de la capacité de concentration chez les soignants. Il est indiscutable que si le port du masque engendre de tels effets indésirables sur les capacités de concentration et d’efficacité au travail des personnes adultes, ces effets sont nécessairement exacerbés chez les enfants à l’école.
Le port du masque représente non seulement une entrave évidente à l’apprentissage des enfants et à leur développement cognitif et cérébral, mais son utilisation est également inadaptée pour les enfants et représente à ce titre un danger.
Il est évident que les enfants de six ans touchent leur masque régulièrement, jouent avec, le font tomber par terre avant de le remettre sur la bouche et le nez…
Les jeunes enfants ne disposent pas de la maturité suffisante pour respecter les mesures d’hygiène indispensables en cas de port prolongé du masque, telles que recommandées par l’OMS.
Le protocole sanitaire de novembre 2020 prévoit d’ailleurs que:
«Lorsque le masque n’est pas utilisé, il peut être soit suspendu à une accroche isolée, soit replié sans contacts extérieur/intérieur (ne pas le rouler) et stocké dans une pochette individuelle.».
Cette possibilité aberrante d’étendre son masque puis de le récupérer multiplie les manipulations de celui-ci, et donc les risques de respirer dans un nid à microbes pour les enfants et de transmettre des maladies par le toucher, le contact des bactéries ou des particules virales.
Cette recommandation est d’autant plus surprenante que la Société française d’hygiène hospitalière recommande de ne pas réutiliser un masque dès lors qu’il a été manipulé et retiré du visage!
Force est de constater que les prescriptions gouvernementales d’utilisation du masque sont absolument et évidemment incompatibles avec le port du masque dans les écoles élémentaires, voire même ridicules…
D’innombrables médecins, psychologues, microbiologistes, bactériologues tentent d’alerter la population sur les dangers du port du masque de manière continue, en particulier chez les jeunes enfants.
Dans son rapport du 5 juin 2020 précité, L’OMS a notamment listé l’ensemble des effets indésirables et dangers du port du masque.
Les conséquences du port du masque, qui peuvent être dramatiques sur tout individu, sont d’autant plus dangereuses lorsque celui-ci est imposé à un enfant.
L’Education nationale a établi elle-même que la contagiosité des jeunes enfants atteints de Covid-19 était «tout à fait minime vis-à-vis des autres enfants» de sorte que le port du masque ne peut constituer une mesure de santé publique.
Pourtant, la plupart du temps les directeurs et chefs d’établissement, sur directive de leur supérieurs hiérarchiques, refusent purement et simplement l’accès à l’éducation à de nombreux enfants.
De nombreuses études ont mis en exergue les dommages physiques directement engendrés par le port du masque, à court et moyen terme.
Dans un rapport du 5 juin 2020, l’OMS montre bien l’absence de preuve concernant l’efficacité du port du masque.
Dès lors, force est de constater que l’institution médicale rattachée à l’ONU ne met en exergue aucun avantage médical avéré au port du masque.
En revanche, l’OMS formule ce que les hommes politiques n’hésitent pas à exprimer, publiquement ou non: le port du masque est inutile mais constitue le seul signe visible de lutte contre la COVID19.
C’est notamment en ces termes qu’Olivier Veran s’est exprimé lors d’un déjeuner devant des journalistes en juillet 2020.
“Enfin, si le port du masque était efficace, il ne serait pas nécessaire de confiner!”
En revanche, au titre des inconvénients, l’OMS met en exergue pas moins de 11 risques potentiels ou avérés:
“… Dans le grand public, le port du masque par des personnes en bonne santé peut, notamment présenter les désavantages suivants:
– risque potentiellement accru d’auto-contamination du au fait de manipuler un masque facial puis de se toucher les yeux avec des mains contaminées,
– auto-contamination possible si un masque non médical, humide ou sale n’est pas remplacé, favorisant ainsi la prolifération des microorganismes,
– mal de tête et/ou difficultés respiratoires possibles selon le type de masque utilisé
– lésions cutanées faciales, dermite irritative ou aggravation de l’acné en cas de port fréquent et prolongé du masque,
– difficulté à communiquer clairement
sensation possible d’inconfort,
– fausse impression de sécurité pouvant conduire à un respect moins scrupuleux des mesures préventives qui ont fait leurs preuves, comme la distanciation physique et l’hygiène des mains,
– port du masque mal supporté, notamment par le jeune enfant,
– problèmes liés à la gestion des déchets ; l’élimination sauvage des masques peut entrainer une augmentation du volume des déchets dans les lieux publics, présentant un risque de contamination des préposés au nettoyage des rues et des risques pour l’environnement,
– difficulté de communiquer en cas de surdité et de dépendance de la lecture labiale,
– désavantages et difficultés liés au port du masque éprouvés par les enfants, les personnes atteintes de troubles mentaux ou de déficiences développementales, les personnes âgées atteintes de déficiences cognitives, les asthmatiques ou les personnes souffrant d’affections respiratoires chroniques, les personnes ayant récemment subi un traumatisme facial ou une intervention chirurgicale orale ou maxillo-faciale, ainsi que celles qui vivent dans un environnement chaud et humide…”
Il ne fait donc aucun doute que l’impact des risques potentiels généraux soulevés par l’OMS sur le port du masque en général, est nécessairement accru s’agissant des enfants.
L’OMS et l’UNICEF recommandent également que la décision d’utiliser un masque pour les enfants âgés de 6 à 11 ans soit fondée notamment sur les facteurs suivants:
«- La capacité de l’enfant à utiliser un masque correctement et en toute sécurité.
– incidences potentielles du port du masque sur l’apprentissage et le développement psychosocial, en consultation avec les enseignants, les parents/aidants et/ou les prestataires de santé..».
Ainsi, le décret du 29 octobre 2020 est en totale contradiction avec les recommandations de l’OMS qui recommande le port du masque chez les jeunes enfants comme devant demeurer l’exception et qui met en garde contre les nombreux effets indésirables qu’il engendre, en particulier chez les jeunes enfants qui le supportent particulièrement mal.
Dès lors, force est de constater que le gouvernement n’hésite pas à mettre en danger les enfants de la République et à nuire à leur éducation et à leur développement, sous couvert de leur protection contre un virus qui ne les atteint pas.
2- L’entrave à l’éducation et au développement de l’enfant causée par le port du masque:
Plusieurs spécialistes en neuropsychologie alertent sur le fait que le port du masque entrave de manière inquiétante l’apprentissage et le développement cognitif et cérébral de l’enfant. En ce sens, trois psychologues ont publié un article
dans le journal “Le Monde” le 20 novembre 2020, pour dénoncer les dommages constatés chez les enfants contraints de porter le masque à l’école.
Les atteintes à la bonne instruction des enfants sont clairement mises en exergue:
«Gérer un masque entraine une contrainte supplémentaire puisant dans des ressources attentionnelles limitées. Maintenir son attention, en étant privé de la moitié des informations du visage et n’ayant accès qu’à une voie filtrée, demande aussi de puiser dans ces ressources attentionnelles limitées. Pour un enfant, s’exprimer à travers un masque est aussi une contrainte supplémentaire pour s’engager à participer à la vie de la classe».
Ils exposent encore:
«Certaines études montrent que le port du masque altère la compréhension du discours, notamment dans un environnement peu bruyant, (..) Par ailleurs, l’altération du message verbal, émis par l’enseignant ou par les élèves, pourrait non seulement conduire à une compréhension erronée du discours de l’autre mais aurait aussi un coût cognitif plus important entraînant une chute rapide des capacités d’attention.»
«Le port du masque entraverait aussi l’accès au traitement des visages, fortement impliqué, entres autres, dans le développement des habilités sociales.»
«Ainsi, théoriquement, il est plus qu’envisageable d’émettre l’hypothèse d’un impact fonctionnel et structurel sur le développement cognitif et cérébral des enfants portant un masque 24 heures par semaine au minimum, et jusqu’à 40 heures pour les enfants fréquentant le périscolaire».
D- Les dommages physiques engendrés par le port du masque
Le port du masque engendre à la fois des dommages physiques visibles à court terme mais également des dommages physiques à long terme, pour la plupart, gravissimes (b).
- Les dommages physiques engendrés par le port du masque à court terme
Après avoir interrogé anonymement 343 professionnels de la santé travaillant en première ligne de la COVID-19 sur le port du masque, une étude américaine conclut:
«Prolonged use of N95 and surgical masks by healthcare professionals during COVID-19 has caused adverse effects such as headaches, rash, acne, skin breakdown, and impaired cognition. It also interferes with vision, communication, and thermal equilibrium».
Soit en français:
«L’utilisation prolongée du N95 et des masques chirurgicaux par les professionnels de la santé lors de l’enquête COVID-19 a provoqué des effets indésirables tels que des maux de tête, des éruptions cutanées, de l’acné, une rupture de la peau et des troubles cognitifs dans la majorité de ces enquêtes.
Cela interfère également avec la vision, la communication et l’équilibre thermique.».
Cette étude met également en évidence le pourcentage d’aides-soignants concernés par les effets indésirables précités :
91,5% des aides-soignants interrogés ont déclaré souffrir d’acné, de maux de tête, de problèmes de peau et/ou de troubles cognitifs directement liés au port du masque!
Par ailleurs, des chercheurs se sont penchés sur la composition des masques pour comprendre son rôle dans le déclenchement de potentielles réactions physiques et ils ont conclu que de nombreux allergènes étaient présents dans la plupart d’entre eux.
Ainsi, de nombreux professionnels de la santé alertent la population contre les effets néfastes du port du masque, notamment relatifs aux maladies de la peau.
En ce sens, l’Association française de l’eczéma, maladie touchant plus de 2,5 millions de français, remarque “un effet délétère sur la peau des personnes concernées par l’eczéma”. En effet, le Docteur Roos, dermatologue, explique:
«Le port du masque perturbe le fonctionnement de la peau et de la flore cutanée, par effet occlusif et de macération. Il existe évidemment aussi les irritations par les microparticules synthétiques des masques jetables».
Bien pire encore, plusieurs études ont démontré que le port du masque avait un impact sur les organes vitaux et pouvaient engendrer de très nombreuses maladies mortelles.
- Les dommages physiques engendrés par le port du masque à long terme
Une série de trois études américaines publiées en octobre 2020 intitulée «Masks, false safety and real dangers», c’est-à-dire «Masques, fausse sécurité, vrais dangers» menée par des médecins et des chercheurs ont alerté la population sur les effets néfastes du port du masque à long terme.
La première étude démontre que les masques perdent des particules et des fibres pouvant être inhalées par les personnes porteuses de la plupart des masques et pouvant alors entrainer des conséquences dramatiques:
“However, if even a small portion of mask fibers is detachable by inspiratory airflow, or if there is debris in mask manufacture or packaging or handling then there is the possibility of not only entry of foreign material to the airways, but also entry to deep lung tissue, and potential pathological consequences of foreign bodies in the lungs.”
Soit, en français:
«Cependant, si une petite partie des fibres du masque est détachable par le flux d’air inspiratoire, ou s’il y a des débris dans la fabrication, l’emballage ou la manipulation du masque, il y a alors la possibilité non seulement d’une entrée de corps étrangers dans les voies respiratoires, mais aussi d’une entrée dans le tissu pulmonaire profond, et des conséquences pathologiques potentielles de corps étrangers dans les poumons.»
C’est notamment ce qui semble être arrivé à Monsieur Emmanuel MACRON qui ne parvenait plus à s’exprimer correctement lors d’une interview masquée et qui s’était alors exclamé en pleine crise de toux en retirant son masque:
«On tient les distances, mais je pense m’étouffer avec ça. Donnez-moi un masque plus léger. J’ai dû absorber un truc du masque».
Cette même étude estime que l’inhalation de fibres d’un masque peut être à l’origine d’une fibrose pulmonaire et précise:
«Pulmonary fibrosis is among the worst diseases that can be suffered or witnessed. It kills exceedingly slowly, by ever-thickening matrix formation, a kind of scar tissue, obstructing the alveoli and reducing their air exchange. The illness worsens slowly over time, and suffocates the victim very gradually. Nothing is available to the sufferer from conventional medicine. Neither medication nor radiation can undo the damage of the fibrous matrix laid down in the lungs’ tissue.»
Soit en Français:
«La fibrose pulmonaire est l’une des pires maladies dont on puisse souffrir ou être témoin. Elle tue extrêmement lentement, par la formation d’une matrice de plus en plus épaisse, une sorte de tissu cicatriciel, qui obstrue les alvéoles et réduit leur échange d’air. La maladie s’aggrave lentement avec le temps, et étouffe la victime très progressivement. La médecine conventionnelle n’offre rien au malade. Ni les médicaments ni les radiations ne peuvent réparer les dommages causés à la matrice fibreuse qui se trouve dans les tissus des poumons.».
En outre, une note d’informations publiée par le gouvernement le 29 mars 2020 précise en son Annexe II les prescriptions d’utilisation du masque, conformes aux recommandations de l’OMS, en ces termes:
«Recommandations de manipulation des masques:
- a) Avant de mettre un masque, se laver les mains à l’eau et au savon ou avec une solution hydroalcoolique
- b) Appliquer le masque de façon à recouvrir le nez et la bouche et veiller à l’ajuster au mieux sur son visage; vérifier l’absence de jet d’air dans les yeux lors d’une expiration forte;
- c) Lorsque l’on porte un masque:
– Eviter de le toucher
– Ne pas déplacer le masque
– Chaque fois que l’on touche un masque usagé, se laver les mains à l’eau et au savon ou à l’aide d’une solution hydroalcoolique;
– Si besoin de boire ou de manger, changer de masque;
– Lorsqu’il s’humidifie, le remplacer par un nouveau masque et ne pas réutiliser des masques à usage unique;
Pour retirer le masque:
– L’enlever par derrière (ne pas toucher le devant du masque);
– Pour un masque à usage unique, le jeter immédiatement dans une poubelle fermée;
– Se laver les mains avec de l’eau et au savon ou à l’aide d’une solution hydroalcoolique.
– Le temps de port du masque est limité à 4 heures.»
La seconde étude de cette série, intitulée «Microbial challenges from masks» souligne la présence de bactéries sur les masques, la dysrégulation et le déséquilibre du microbiote dans la respiration, et les conséquences de ces déséquilibres dans l’ensemble de l’organisme:
«When oral bacteria gain access to blood anddeep tissues, they may cause pneumonia, abscesses in lung tissue, subacute bacterial endocarditis, sepsis and meningitis».
Soit en Français:
«Lorsque les bactéries orales accèdent au sang et aux tissus profonds, elles peuvent provoquer une pneumonie, des abcès dans les tissus pulmonaires, une endocardite bactérienne subaiguë, une septicémie et une méningite».
L’étude conclut en ces termes:
«We have demonstrated from the clinical and historical data cited herein, we conclude the use of face masks will contribute to far more morbidity and mortality than has occurred due to COVID-19.».
Soit en français:
«Nous concluons que l’utilisation des masques faciaux contribuera à une morbidité et une mortalité bien plus importantes que celles dues à la COVID-19.» .
Cette conclusion était également celle de la «Mayo Clinic», clinique américaine présente en Floride, Arizona et Minnesota, qui avait déclaré dans un article désormais censuré:
«A growing number of healthy people are developing life threatening staph infections because of mask wearing».
Soit en Français:
«Un nombre croissant de personnes en bonne santé développent des infections à staphylocoques potentiellement mortelles à cause du port d’un masque.».
La troisième étude américaine de cette série, intitulée «Hypoxia, hypercapnia and phylosogical effects» parvient à la même conclusion en se focalisant sur les changements physiologiques induits par l’hypoxie (correspondant à une inadéquation entre les besoins tissulaires en oxygène et les apports) et l’hypercapnie (correspondant à l’augmentation de la pression partielle en dioxyde de carbone dans le sang):
«La normalisation est un phénomène observé en médecine dans lequel l’individu s’adapte à des conditions désavantageuses. Les porteurs de masque peuvent croire qu’ils se sont habitués à porter un masque.
Cependant, les effets des processus dégénératifs dans le cerveau s’accumulent pendant un état de privation d’oxygène».
Ainsi, la personne qui porte un masque depuis plusieurs mois, s’est habituée, et croit que cela n’altérera pas sa santé.
Il faut bien comprendre que dans ce genre de problème, l’accoutumance ne signifie pas l’absence de problème. Comme l’alarme d’une voiture qui sonne pendant quelques minutes, et s’éteint, laissant croire au propriétaire que les voleurs ont renoncé à poursuivre leur action.
L’hypoxie, ainsi que l’hypercapnie, entraine des effets particulièrement néfastes sur le cerveau, qu’elle peut être à l’origine de maladies cardiovasculaires, de la maladie de Vasquez (dont la première cause est le manque d’oxygène), de maladies gastriques, de cancers… etc.
E- Les tests ont identifié une énorme proportion de faux positifs.
En outre, il est désormais largement démontré par de nombreuses études, que les tests RT-PCR n’ont pas été conçus pour diagnostiquer le SARS-CoV2. Des actions en justice à ce sujet sont diligentées à travers le monde et font l’objet d’une annexe à l’assignation.
Ainsi, dans une étude du 27 septembre 2020 (mise à jour 27 novembre 2020), vingt-deux scientifiques (Pieter Borger (Allemagne), Bobby Rajesh Malhotra (Autriche), Michael Yeadon (Royaume Uni), Clare Craig (Royaume Uni), Kevin McKernan (Etats Unis), Klaus Steger (Allemagne), Paul McSheehy (Allemagne), Lidiya Angelova (Etats Unis), Fabio Franchi (Italie), Thomas Binder (Suisse), Henrik Ullrich (Allemagne), Makoto Ohashi (Japon), Stefano Scoglio (Italie), Marjolein Doesburg-van Kleffens (Pays Bas), Dorothea Gilbert (Norvège), Rainer Klement (Allemagne), Ruth Schruefer (Allemagne), Berber W. Pieksma (Pays Bas), Jan Bonte (Pays Bas), Bruno H. Dalle Carbonare (Suisse), Kevin P. Corbett (Royaume Uni), Ulrike Kämmerer (Allemagne),
font une analyse indépendante «par les pairs» de l’article original de Drosten et Corman et démontrent que ces travaux présentent dix erreurs majeures qui rendent les tests invalides pour le diagnostic d’infection par Sars-CoV-2:
«1. Il n’existe aucune raison précise d’utiliser ces concentrations extrêmement élevées d’amorces dans ce protocole. Les concentrations décrites entraînent une augmentation des liaisons non spécifiques et des amplifications des produits de la PCR, ce qui rend le test inadapté en tant qu’outil de diagnostic spécifique pour identifier le virus du SRAS-CoV-2.
- Six positions d’oscillation non spécifiées introduiront une énorme variabilité dans la mise en œuvre de ce test en laboratoire dans le monde réel; la description non spécifique déroutante du document de Corman-Drosten ne convient pas comme protocole opérationnel standard, ce qui rend le test inapproprié comme outil de diagnostic spécifique pour identifier le virus du SRAS-CoV-2.
- Le test ne peut pas faire la distinction entre le virus entier et les fragments viraux. Par conséquent, le test ne peut pas être utilisé pour diagnostiquer des virus intacts (infectieux), ce qui le rend inadapté comme outil de diagnostic spécifique pour identifier le virus du CoV-2 du SRAS et faire des déductions sur la présence d’une infection.
- Une différence de 10° C par rapport à la température de recuit Tm pour la paire d’amorces1 (RdRp_SARSr_F et RdRp_SARSr_R) rend également le test inapte à servir d’outil de diagnostic spécifique pour identifier le virus du SARS-CoV-2.
- Une erreur grave est l’omission d’une valeur de Ct à laquelle un échantillon est considéré comme positif et négatif. Cette valeur Ct n’est pas non plus présente dans les soumissions de suivi, ce qui rend le test inapte à servir d’outil de diagnostic spécifique pour identifier le virus du SARS-CoV-2.
- Les produits de la PCR n’ont pas été validés au niveau moléculaire. Ce fait rend le protocole inutile en tant qu’outil de diagnostic spécifique pour identifier le virus du SARS-CoV-2.
- Le test PCR ne contient ni un témoin positif unique pour évaluer sa spécificité pour le CoV-2-SARS, ni un témoin négatif pour exclure la présence d’autres coronavirus, ce qui le rend inutilisable comme outil de diagnostic spécifique pour identifier le virus du SARS-CoV-2.
- La conception du test dans le document de Corman-Drosten est si vague et si imparfaite que l’on peut aller dans des dizaines de directions différentes; rien n’est normalisé et il n’existe pas de procédure opératoire normalisée. Cela remet fortement en question la validité scientifique du test et le rend inadapté en tant qu’outil de diagnostic spécifique pour identifier le virus du SARS-CoV-2.
- Il est fort probable que l’article de Corman-Drosten n’ait pas fait l’objet d’un examen par des pairs, ce qui rend le test inapproprié en tant qu’outil de diagnostic spécifique pour identifier le virus du SARS-CoV-2.
- Nous constatons de graves conflits d’intérêts pour au moins quatre auteurs, outre le fait que deux des auteurs de l’article de Corman-Drosten (Christian Drosten et Chantal Reusken) sont membres du comité de rédaction d’Eurosurveillance. Un conflit d’intérêt a été ajouté le 29 juillet 2020 (Olfert Landt est PDG de TIB-Molbiol; Marco Kaiser est chercheur senior au GenExpress et est conseiller scientifique de TIB-Molbiol), qui n’avait pas été déclaré dans la version originale (et qui manque toujours dans la version PubMed) ; TIB-Molbiol est la société qui a été “la première” à produire des kits PCR (Light Mix) basés sur le protocole publié dans le manuscrit de Corman-Drosten, et selon leurs propres termes, ils ont distribué ces kits de test PCR avant même que la publication ne soit soumise [20]; de plus, Victor Corman & Christian Drostenont omis de mentionner leur deuxième affiliation: le laboratoire de test commercial “Labor Berlin”. Tous deux sont responsables du diagnostic des virus dans ce laboratoire et la société opère dans le domaine des tests PCR en temps réel.
(Review Report by an International Consortium of Scientists in LifeSciences (ICSLS) – Corman-Drosten et al., Eurosurveillance 2020
F- L’utilisation des tests PCR en tant que méthode de mesure des infections, n’est pas seulement un non-sens scientifique, mais a pour conséquence de créer autant de faux positifs que possible (et paniquer ainsi le monde).
Il y a lieu de rappeler par ailleurs que seuls les médecins sont habilités à diagnostiquer les malades en fonction du tableau clinique et à proposer des soins et des mesures d’isolement si nécessaire car un test RT-PCR ne remplacera jamais le diagnostic d’un médecin.
Le créateur du test PCR, le Dr Kary Mullis, lauréat du prix Nobel de chimie, a d’ailleurs déclaré dans une interview:
«Un test PCR positif ne peut pas vous dire que vous êtes malade, car avec ce test, vous pouvez trouver presque n’importe quoi chez n’importe qui». De plus, le diagnostic en médecine est de manière classique la conséquence d’un exercice logico-rationnel entre les signes et symptômes cliniques et les tests de laboratoire qui permettent d’orienter le diagnostic. La présence de symptômes cliniques a toujours été nécessaire pour établir un diagnostic; un test analytique ne suffit pas.»
Enfin, une étude chinoise publiée le 20 novembre 2020, faite à Wuhan sur la base de 10 millions de personnes (représentant 94,1% de la population de Wuhan, il s’agit d’une méta-analyse), a démontré que les personnes asymptomatiques ne sont pas contaminantes : la pratique généralisée des tests PCR au sein d’une population est donc parfaitement inutile.
Cette étude permet de conclure que les mesures d’assignation à domicile de l’ensemble de la population et l’utilisation en masse des tests RT-PCR sur des personnes asymptomatiques sont clairement injustifiées.
A ce titre, il est important de rappeler la décision de la troisième section criminelle de la Cour d’appel de Lisbonne, en date du 11 novembre 2020[6] (1783/20.7T8PDL.L1-3, Margarida Ramos de Almeida – Testes RT-PCR Privação da liberdade – Detenção ilegal – IRL), qui confirme que la fiabilité éventuelle des tests PCR réalisés dépend, d’emblée, du seuil de cycles d’amplification qu’ils contiennent, de telle sorte que:
– jusqu’à 25 cycles, la fiabilité du test est d’environ 70%;
– jusqu’à 30 cycles, le degré de fiabilité est de 20%;
– lorsque 35 cycles sont atteints, le degré de fiabilité est de 3%.
Il est facile de déduire le degré de fiabilité des résultats des tests PCR utilisés en France avec une amplification minimale de 35 voire 40 cycles.
L’on peut d’ailleurs s’interroger sur la légalité de l’exigence de résultats négatifs aux tests PCR pour être admis et soignés dans les hôpitaux et cliniques.
La mauvaise utilisation des masques, tant par les adultes que par les enfants, a déjà été largement développée.
Partant, le port du masque peut avoir des conséquences gravissimes, pouvant aller jusqu’à la mort, et en particulier chez les jeunes enfants qui ne peuvent utiliser et entretenir correctement ce produit.
Enfin, les requérants sont interpellés par le fait que:
– De nombreux professionnels de santé hospitaliers s’interrogent sur les raisons pour lesquelles ils recevaient la consigne de déclarer un maximum de décès “Covid”, même s’il était évident que les décès avaient d’autres causes,
– 3 thérapeutiques mondialement connues et efficaces étaient niées et occultées:
hydroxychloroquine, Vitamine C à haute dose et en perfusion (Protocole Marick U.S.A.), Artemisia annua.
– Dès le début de l’épidémie, les discours officiels étaient d’affirmer “Il n’y a pas de traitement, seul le vaccin résoudra cette crise…”
Ainsi, l’obligation du port du masque est contraire aux textes internationaux, inutile, dangereuse et à ce titre constitutive de plusieurs infractions pénales en droit français.
II – LES TEXTES:
La Déclaration des Droits de l’Homme et du citoyen de 1789
“…Les Représentants du Peuple Français, constitués en Assemblée Nationale, considérant que l’ignorance, l’oubli ou le mépris des droits de l’Homme sont les seules causes des malheurs publics et de la corruption des Gouvernements, ont résolu d’exposer, dans une Déclaration solennelle, les droits naturels, inaliénables et sacrés de l’Homme, afin que cette Déclaration, constamment présente à tous les Membres du corps social, leur rappelle sans cesse leurs droits et leurs devoirs; afin que les actes du pouvoir législatif, et ceux du pouvoir exécutif, pouvant être à chaque instant comparés avec le but de toute institution politique, en soient plus respectés; afin que les réclamations des citoyens, fondées désormais sur des principes simples et incontestables, tournent toujours au maintien de la Constitution et au bonheur de tous.».
«Les lois ne sont pas de purs actes de puissance; ce sont des actes de sagesse, de justice et de raison. Le législateur exerce moins une autorité qu’un sacerdoce.
Il ne doit point perdre de vue que les lois sont faites pour les hommes, et non les hommes pour les lois».
(Extrait du discours préliminaire sur le projet de Code civil de Jean-Etienne-Marie PORTALIS, présenté le 1er pluviôse an IX).
Depuis l’entrée en vigueur, le 1er janvier 2001, de la loi du 30 juin 2000, la justice administrative s’est progressivement arrogé le pouvoir de juger de l’ensemble des atteintes aux droits fondamentaux. Or, dans le cadre de la crise de Covid-19, constitue t’elle véritablement une justice indépendante au sens précis de la formulation de l’article 16 de notre Déclaration des Droits de l’Homme et du citoyen de 1789?
La réponse à cette question sera la même que celle formulée par Anselme BATBIE, qui fut sénateur et auditeur au Conseil d’Etat en 1847:
«Nous ne considérons pas comme une garantie vaine celle qui résulte de l’examen par le Conseil d’Etat. Mais il est difficile d’admettre que chez nous, après tout ce qui a été dit pour demander que nul ne soit distrait de ses juges naturels, nous en soyons arrivés à placer les droits les plus essentiels sous la protection d’un corps semi-politique et composé de membres révocables, qu’après avoir tant de fois entendu demander que le contentieux administratif fût restreint ou même supprimé, on mette sous la protection de cette justice tant attaquée autrefois les droits essentiels de l’homme vivant en société.»
L’Histoire a montré le caractère indissociable de l’Etat de droit et d’une séparation des pouvoirs équilibrée, impliquant la reconnaissance de l’indépendance et de l’autorité de la justice. La séparation des pouvoirs et l’indépendance de la justice sont la matrice de la garantie des droits fondamentaux, sans laquelle il n’est point de démocratie.
Aujourd’hui en France, l’autorité judiciaire indépendante est la seule Gardienne Naturelle des Libertés et Droits fondamentaux. Les évènements récents exigent plus que jamais depuis 1789 l’intervention du Juge Judiciaire indépendant afin que les atteintes aux libertés et le mépris des Droits de l’Homme dont fait preuve le pouvoir exécutif cessent immédiatement et soient sanctionnés.
La Convention d’Oviedo de 1997 pour la protection des Droits de l’Homme et de la dignité de l’être humain à l’égard des applications de la biologie et de la médecine, et en particulier son article 2, rappelle la «primauté de l’être humain» et énonce:
– «L’intérêt et le bien de l’être humain doivent prévaloir sur le seul intérêt de la société ou de la science.»
La Déclaration universelle sur la bioéthique et les droits de l’homme adoptée le 19 octobre 2005 à l’unanimité des Etats membres de l’UNESCO:
Article 3 – Dignité humaine et droits de l’homme:
«1. La dignité humaine, les droits de l’homme et les libertés fondamentales doivent être pleinement respectés.
- Les intérêts et le bien-être de l’individu devraient l’emporter sur le seul intérêt de la science ou de la société.»
La Convention relative aux droits de l’enfant a été adoptée par l’Assemblée générale des Nations Unies le 20 novembre 1989 et signée par la France le 26 janvier 1990 . Le Parlement, par une loi du 2 juillet 1990, en a autorisé la ratification qui est intervenue le 7 août 1990. Conformément à l’article 49 de la Convention, celle-ci est entrée en application en France le 6 septembre 1990.
- Comme le rappelle la circulaire n°2014-088 du 9 juillet 2014 relative au règlement intérieur type départemental des écoles maternelles et élémentaires publiques (BO de l’Education Nationale n°28 du 10 juillet 2014), l’article 28 de la Convention relative aux droits de l’enfant dispose que:
«Les États parties prennent toutes les mesures appropriées pour veiller à ce que la discipline scolaire soit appliquée d’une manière compatible avec la dignité de l’enfant en tant qu’être humain et conformément à la présente Convention».
“En conséquence, le règlement intérieur de l’école doit préciser que «tout châtiment corporel ou traitement humiliant est strictement interdit».
“Les élèves doivent être préservés de tout propos ou comportement humiliant et respectés dans leur singularité. En outre, ils doivent bénéficier de garanties de protection contre toute violence physique ou morale (…)”.
L’article 36 de la Convention relative aux droits de l’enfant dispose que:
«Les États parties protègent l’enfant contre toutes autres formes d’exploitation préjudiciables à tout aspect de son bien-être».
L’article 37 de la Convention relative aux droits de l’enfant dispose que:
«Les États parties veillent à ce que:
a – Nul enfant ne soit soumis à la torture ni à des peines ou traitements cruels, inhumains ou dégradants» (…).
Selon l’Organisation mondiale de la Santé (OMS):
“La maltraitance de l’enfant s’entend de toutes les formes de mauvais traitements physiques et/ ou affectifs, de sévices sexuels, de négligence ou de traitement négligent, ou d’exploitation commerciale ou autre, entraînant un préjudice réel ou potentiel pour la santé de l’enfant, sa survie, son développement ou sa dignité dans le contexte d’une relation de responsabilité, de confiance ou de pouvoir”.
Les art. 222-7 et suivants et 223-1 et suivants du Code Pénal répriment la maltraitance et la mise en danger de la personne.
Or, il est largement démontré que l’obligation du port du masque, constitue, surtout pour un enfant, de la maltraitance, et une mise en danger de la personne.
«Il n’existe pas d’exemption médicale infondée pour les masques faciaux, car la privation d’oxygène est dangereuse pour chaque cerveau. Chaque être humain doit pouvoir décider librement s’il veut porter un masque absolument inefficace pour se protéger contre un virus.» «Pour les enfants et les adolescents, les masques sont un interdit absolu. Les enfants et les adolescents ont un système immunitaire extrêmement actif et adaptatif, et ils ont besoin d’une interaction constante avec le microbiome de la Terre. Leur cerveau est également incroyablement actif, car il a beaucoup à apprendre. Le cerveau de l’enfant, ou de l’adolescent, a soif d’oxygène. Plus l’organe est métaboliquement actif, plus il a besoin d’oxygène. Chez les enfants et les adolescents, chaque organe est métaboliquement actif…”
Au surplus, le port du masque nuit particulièrement violemment à certains enfants disposant d’incompatibilités médicales. En effet, de nombreux parents d’élèves ont fait part de la dangerosité médicalement avérée pour leur enfant de porter un masque, ce qui n’a pas empêché les écoles élémentaires de le leur imposer, en connaissance de cause. Il s’agit en particulier d’enfants asthmatiques, autistes, ou encore atteints de troubles déficitaires de l’attention et de l’hyperactivité (TDAH)
Plus encore, de nombreux jeunes enfants en bonne santé se sont plaints de céphalées répétées, d’un état de fatigue inhabituel ou encore de malaises.
Un médecin hospitalier belge, se fondant sur des études répertoriées par the U.S. National Institutes of Health’s National Library of Medicine a exposé dans un article du 17 septembre 2020:
«Les enfants dépendent largement des expressions faciales pour comprendre et appréhender leur environnement. Cacher la moitié inférieure du visage diminue la capacité à communiquer, interpréter et imiter les expressions de ceux avec lesquels nous sommes en contact. Les émotions positives deviennent moins reconnaissables et les émotions négatives sont amplifiées. Le mimétisme émotionnel, la contagion et l’émotivité en général sont réduits ainsi que les liens entre les enseignants et les étudiants, la cohésion de groupe dont l’apprentissage – dont les émotions sont un moteur majeur.”.
La psychologue Lise Nathanson livre son approche des conséquences du port du masque chez les enfants et les adolescents, en faisant référence à la neurologue Margareta Griesz Brisson, en ces termes:
«Sur le plan intellectuel, du fait du grand remaniement du cerveau de l’adolescent, qui est littéralement «en chantier» entre 14 et 25 ans, le manque d’oxygénation des cellules nerveuses et le taux de CO2 trop haut du fait du masque serait une catastrophe; car il entrainerait une perte progressive et insidieuse des capacités cognitives (Margareta Griesz Brisson, neurologue allemande de renommée internationale).
Peut-être pouvons-nous compter sur les forces vives et la capacité de résilience de toute cette jeunesse, mais elle risque bien de payer un prix fort à l’inconstance, l’inconscience, le sadisme parfois ou la passivité complice que nous leur imposons.»
L’Education Nationale n’a pas toujours les mêmes réponses:
Le décret du 29 octobre 2020 ne prévoit aucune sanction particulière au défaut du port du masque dans les écoles, collèges et lycées et ne précise pas expressément que le directeur ou chef d’établissement peut refuser l’accès de l’élève au motif qu’il ne porte pas de masque de protection.
Toutefois, lorsque les parents décident d’envoyer leurs enfants à l’école sans masque, ces derniers sont dans la majorité des cas refusés à l’entrée et considérés comme ne s’étant jamais présentés à l’école, de sorte qu’au bout de deux jours l’école réalise un signalement.
Certaines écoles ont accepté de recevoir en leur sein des enfants non masqués, pourvu d’un certificat médical ou non, dans les mêmes conditions que les enfants masqués.
D’autres parents ont vu leurs enfants accueillis sans masque, mais dans des conditions différentes des enfants masqués, notamment en les excluant du reste de la classe. Ces enfants ont été moqués, non seulement par leurs camarades masqués, mais également par le corps enseignant.
La plupart des adhérents encore se sont vu refuser purement et simplement l’accès à l’école, sous prétexte que le décret, implicitement mais nécessairement, imposait que l’enfant soit masqué pour passer le pas de la porte.
En ce qui concerne les adultes, une étude américaine conclut que:
“L’utilisation prolongée du N95 et des masques chirurgicaux par les professionnels de la santé lors de l’enquête COVID-19 a provoqué des effets indésirables tels que des maux de tête, des éruptions cutanées, de l’acné, une rupture de la peau et des troubles cognitifs dans la majorité de ces enquêtes. Cela interfère également avec la vision, la communication et l’équilibre thermique.»
Par ailleurs, des chercheurs se sont penchés sur la composition des masques pour comprendre son rôle dans le déclenchement de potentielles réactions physiques et ils ont conclu que de nombreux allergènes étaient présents dans la plupart d’entre eux.
(RAVIER David, «Masques: attention aux allergènes cachés dans le tissu ou les élastiques», Pourquoi Docteur?, Publié le 13.11. 2020. Consultable: https://www.pourquoidocteur.fr/Articles/Question-d-actu/34445-Masques-at…
Ainsi, il est largement démontré que le port du masque est:
– inefficace,
– toxique.
Par voie de conséquence, le Décret l’imposant est contraire aux conventions internationales, à la Constitution de 1958 qui ignore l’état d’urgence sanitaire, et contraint de nombreux fonctionnaires à mettre en danger de nombreuses personnes, et à maltraiter des enfants.
Il faut rappeler que le Décret du 29 Oct. 2020, généralisant le port du masque, prévoit dans son art. 2:
“… Les obligations de port du masque prévues au présent décret ne s’appliquent pas aux personnes en situation de handicap munies d’un certificat médical justifiant de cette dérogation et qui mettent en œuvre les mesures sanitaires de nature à prévenir la propagation du virus…”
Or, si l’OMS indique bien que l’asthme constitue une contre-indication au port du masque, c’est bien parce que le port du masque a une influence négative sur la respiration. Or, tous les médecins de terrain (les vrais) nous diront qu’une insuffisance respiratoire entraine une baisse de l’immunité.
Ainsi, toute personne dont on limite la faculté de respirer se trouve par définition en situation de handicap.
D’autre part, les biologistes et les médecins de terrain savent aussi que la peur engendre un effondrement de l’immunité. Lors des épidémies de peste au Moyen-âge, le curé était souvent épargné. Il avait la Foi, donc n’avait pas peur.
Et une baisse de l’immunité est la porte ouverte à toutes les pathologies.
Celui qui porte un masque en permanence, et qui a peur, réunit toutes les conditions pour se miner la santé…
Auteur(s): FranceSoir
Tant pis pour les peureux qui croient télé mensonges
Objet: Mike Yeadon
Mike Yeadon, ancien scientifique en chef de Pfizer, a déclaré qu’il était trop tard pour sauver quiconque a été injecté avec un vaccin Covid-19.
Il exhorte ceux qui n’ont pas encore reçu l’injection du composé mortel à se battre pour la continuité des êtres humains et pour la vie de leurs enfants.
L’immunologiste de renommée mondiale poursuit en décrivant le processus qui, selon lui, tuera la grande majorité des personnes qui sont maintenant en vie.
Immédiatement après avoir reçu la première injection, environ 0,8% des personnes décèdent dans les deux semaines. Les survivants ont une espérance de vie moyenne de 2 ans, mais l’espérance de vie diminue à chaque injection de rappel.
Des vaccins complémentaires sont en cours de développement pour provoquer la dégradation d’organes spécifiques, tels que le cœur, les poumons et le cerveau.
Ayant été intimement familier avec le fonctionnement et les objectifs de recherche et développement du géant pharmaceutique Pfizer pendant deux décennies, le professeur Yeadon affirme que le but ultime du régime de vaccination actuellement administré ne peut être qu’un événement de dépopulation de masse, ce qui provoquera le look combiné de toutes les guerres mondiales. comme une production de Mickey Mouse.
“Des milliards sont déjà condamnés à une mort certaine, immuable et atroce. Chaque personne qui a reçu l’injection mourra sûrement prématurément, et 3 ans est une estimation généreuse de combien de temps ils peuvent espérer rester en vie.”
https://www.lifesitenews.com/news/exclusive-former-pfizer-vp-your-government-is-lying-to-you-in-a-way-that-could-lead-to-your-death
Depuis 5 000 ans, nous vivons un mensonge considérable
« L’histoire est une fable » Napoléon Bonaparte
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Depuis des milliers d’années l’humanité est manipulée en coulisse par une micro-élite. Que ce fut pour l’empire romain, la Chine, Summer, L’Egypte antique, la Grèce, la monarchie française…toute civilisation importante et même aujourd’hui, comprenait une élite interconnectée gardant pour elle la connaissance, les manuscrits anciens normalement propriété de l’humanité entière. La famille royale japonaise a d’ailleurs reconnu il y a peu des liens de parenté avec les anciennes lignées des pharaons d’Egypte. Toute cette élite connait la véritable histoire de l’humanité et l’homme mieux qu’il ne se connait lui même en fin de compte, afin de maintenir l’ignorance du peuple et donc le contrôle sur lui. Ceux qu’ils veulent plus que tout n’est pas l’argent car ils le créent, comprenez le bien, ce qu’ils veulent c’est garder le contrôle de la matrice que cette élite a créée.
Une ère de technologies saines et de libertés arrivera sous peu.
Mais l’humanité commence à s’éveiller et rien ne pourra stopper cela, là est leur plus grand problème. La cabale perd du terrain. Cette décennie est capitale dans l’histoire de l’humanité. Il se passera des choses incroyables !
Une poignée de ces maitres du monde détient aussi depuis 70 ans et bloque la libération de milliers de brevets comprenant des technologies à énergie libre, c’est à dire non polluante, gratuite et illimitée, mis en lumière notamment par M. Tesla (300 de ses brevets volés) et Raymond Rife, au siècle dernier. Ces technologies pourraient éradiquer toute famine, toute maladie (appareil à résonance vibratoire…) et toute pollution en un rien de temps. Mais le système repose sur l’esclavage monétaire et l’énergie fossile en est un pilier. On en parlera dans un autre article.
Comme le dit Kevin Trudeau, ancien Franc-maçon 33è degré, ancien membre de la Brotherhood et multi-milliardaire, ayant pris le risque de sortir de toutes ces confréries afin d’exposer la vérité au monde au prix de sa liberté « le plus grand secret de l’élite mondiale qu’ils ne veulent pas que vous sachiez, est que chaque être humain possède un potentiel infini, vous avez le pouvoir de changer votre ADN par la pensée, vous pouvez littéralement avoir, être ou faire tout ce que vous voulez. » Les maitres du monde ne veulent pas que chaque homme, femme et enfant sur terre prenne conscience que les seules barrières sont celles que chacun se fixe. Cela peut paraitre simpliste, mais c’est pour résumer en 1 phrase. C’est le fil conducteur et ils font tout pour vous conserver dans cette matrice par divers moyens aussi scandaleux que vicieux.
Le 18è siècle fut la montée en puissance de l’idéologie d’un nouvel ordre mondial. Les sociétés secrètes les plus importantes se servent de petites mains dans toutes les sphères de la société afin de les aider dans leur taches. Mais il y a un processus de filtrage rigoureux à cela. Plus vous commettez de tromperies, tronquez vos valeurs et votre éthique à leur cause, plus vous avez de crédit à leurs yeux et recevez pouvoir et richesse. Mais jamais vous n’atteindrez leur place. On peut citer parmi cette caste les politiciens élus dans les gouvernements.
Les maitres du monde ont appris à dominer tout sentiment humain
Vous, en tant que lecteur doué d’un sens moral, ne pouvez certainement pas vous faire à l’idée que les véritables dirigeants du genre humain soient dépourvus de compassion, de tristesse et d’amour envers les souffrances les plus horribles qui tourmentent notre monde. En réalité, cette élite a acquis la capacité de dominer l’altruisme, car rien ne doit surpasser leur attachement à la « cause », ce nouveau système flambant neuf qui doit remplacer l’ancien à leurs yeux, et pour cela l’humanité doit passer par d’atroces souffrances.
Cela implique énormément de travail de leur part pour maintenir le contrôle, l’illusion que vous êtes du bétail sans valeur par des guerres, des malheurs, des systèmes de croyances, des médias qui vous rabâchent sans cesse que tout va mal…avant de commencer cet article, sachez que vous qui lisez, valez tellement mieux qu’un système économique, votre coeur, votre conscience et votre cerveau sont des machines sur-puissantes souvent mal exploitées.
Chacun à droit au bonheur et à l’abondance totale, et cet autre monde est possible et arrivera car l’humanité s’éveille et des gens positifs, puissants se battant contre eux.
Ils ont mis en place un vaste système Pyramidal
La très grande majorité des personnes dans les gouvernements, des dirigeants de banques, des hauts cadres & dirigeants d’entreprises puissantes, des dirigeants de médias, des hauts magistrats, des hauts gradés militaires…font partie de sociétés secrètes et généralement admettent volontiers en faire partie. Mais il existe aussi dans bien des cas des personnes encore plus puissantes qu’eux qui contrôlent encore plus de ressources, et encore au dessus de ces personnes il y en a d’autres. Tout cela est en fait un vaste système pyramidal, très compartimenté. Et ceux d’au dessus seraient prêts à sacrifier ceux d’en dessous pour rester indemnes et cachés en cas de très gros problème ou d’éveil massif des consciences, ce qui arrive. Comprenez bien qu’un gouvernement est le bas de la pyramide juste avant le peuple. Voir les 2 articles sur le groupe Bilderberg.
Nous expliquerons dans la partie 2 l’agenda des sociétés les plus importantes, car il y en a beaucoup bien que certaines sortent du lot, et nous donnerons les noms de certains de leurs membres phares qui ne vous sont pas inconnus. Ils sont 1% et nous 99%. Ce sont eux qui contrôlent les gouvernements et les principales ressources & médias sur terre. Ces gens se sont fait passer maitres dans l’art de l’infiltration des plus grandes entreprises, médias et gouvernements, tel une gangrène.
Également, ces sociétés secrètes se servent de « cercles de reflexions », d’organisations plus ou moins connues et officielles (qu’elles ont elles-mêmes crées, comme des programmes de couverture pour qu’eux restent dans l’ombre) afin de faire passer leurs projets et « conseiller » ouvertement les gouvernements. On y retrouve l’ONU la plus connue, la banque mondiale, le CFR, L’OMC…on y reviendra.
C’est un vaste réseau en coulisse telle une toile d’araignée ayant quadrillé la surface de la terre. Cela fait 300 ans que le projet de nouvel ordre mondial a vu le jour dans les sociétés secrètes, à commencer par les illuminés de Bavière (illuminati), les francs-maçons, il y a aussi les Skull and bones, le Bohemian grove, le B’nai B’rith, les jésuites, Le groupe Bilderberg, la commission trilatérale…celles-ci font partie des plus connues. Ce qu’ils détestent le plus, c’est qu’on les expose.
Il y en a aussi d’autres, comme le club de Rome, l’Aspen Institute, le Siècle…aux fonctions différentes.
Toutes ces sociétés ne s’entendent pas forcément bien entre elles, d’autres si…elles ont des agendas différents les unes des autres, mais en général trouvent un fil conducteur, même si 2 sociétés secrètes se détestent elles trouvent un compromis pour s’entendre car possèdent le même intérêt commun: le contrôle sur l’humanité et les ressources. Certaines personnalités très puissantes, font aussi partie de plusieurs sociétés. En fin de compte, tout se décide au sein de ces sociétés secrètes, loin des débats démocratiques, puis les ordres sont insufflés subtilement aux marionnettes gouvernementales par la suite.
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Le Pr Fourtillan, bête noire des laboratoires, à nouveau emprisonné
Fin 2020, l’éminent chercheur en médecine-pharmacie avait été placé de force en hôpital psychiatrique, puis brièvement incarcéré avant d’être libéré. Jeudi dernier, il a une nouvelle fois été appréhendé au motif qu’il ne répondait plus aux convocations de la justice. Le Pr Fourtillan a été interpellé dans le Cantal, en vertu d’un mandat d’arrêt qui lui reproche aussi de ne pas avoir payé sa caution de 10 000 euros et d’avoir eu des contacts interdits avec ses patients.
Le Pr Fourtillan a été placé en détention provisoire ce mardi et sera entendu par un juge d’instruction
“On a voulu m’éliminer car j’ai dit que le virus” responsable du Covid “a été créé par l’Institut Pasteur ».
« La détention, c’est la dernière solution », a déploré la magistrate. Évoquant « une décision difficile à prendre », compte tenu de l’âge du professeur et de son absence de dangerosité, elle a ajouté : « j’ai décidé (…) que vous deviez aller un temps en prison » source : https://www.lefigaro.fr/actualite-france/le-pr-fourtillan-un-des-intervenants-du-documentaire-hold-up-incarcere-20210418
Suite à cette deuxième arrestation du professeur Jean-Bernard Fourtillan, Pierre Barnérias, réalisateur du documentaire “Hold-Up” et du Dr Pascal Trotta s’expriment sur Agora TV News Suisse-France.
Le docteur Trotta : « est-ce que vous qui nous écoutez, vous trouvez cela normal ce qui arrive à un chercheur de cette réputation ? »
« c’est hallucinant, moi qui suis médecin, j’ai l’impression que si vous voulez soigner la population sans médicaments chimiques, vous pouvez finir en hôpital psychiatrique ou en prison. C’est ce qui arrive au professeur Jean-Bernard Fourtillan, un preux, un chevalier de la recherche qui cherche uniquement à faire le bien de ses contemporains en trouvant des traitements efficaces… le Pr est emprisonné parce qu’en 2018, il a dénoncé le danger de l’aluminium lors de la généralisation des 11 vaccins pour les nourrissons imposés par Agnès Buzyn. Les nourrissons sont exposés à 100 fois la dose toxique par cet aluminium neurotoxique… »
Pierre Barnérias s’exprime à son tour ( certains mots de ses propos sont couverts par un grésillement pour éviter la censure de l’algorithme de YouTube). On comprend cependant qu’il est question de l’Institut Pasteur, du danger des « vaccins » etc.
Rappelons que Pierre Barnérias a été attaqué de toute part et traité de complotiste pour son film-enquête à grand succès, “Hold-Up ». Six mois après, il fait le point : « il n’y a plus, il n’y a pas de complot, puisque c’est la réalité quand vous regardez qu’aujourd’hui on est dans une obligation vaccinale mondiale. Or faut se poser des questions : quand vous avez la mise en place d’un passeport vaccinal, il n’y a pas de complot ! Bonne réflexion et partager ces informations si vous les jugez utiles. Courage Jean-Bernard, on est avec toi, tiens bon ! ».
Libérez le professeur Fourtillan !
Flash Spécial : Soutien au professeur Fourtillan de Pierre Barnérias et du Dr Pascal Trotta
https://www.youtube.com/watch?v=4znA0-Z9-bA
youtube/comité national de soutien au Professeur Fourtillan.
Ceci est un appel au comité national pour le Professeur Fourtillan qui est en ce moment incarcéré à la maison d’arrêt de la Santé à Paris. Un appel à la solidarité financière sera d’actualité dans les jours à venir. Pour plus d’informations nous contacter au 07 77 05 92 18. Merci d’avance pour tout votre travail et soutien. Grégory Pasqueille.
Youtube :Sauvons le Professeur en Pharmacologie Mr Jean-Bernard FOURTILLAN ! -Partie ½
Sauvons le Professeur en Pharmacologie Mr Jean-Bernard FOURTILLAN ! – Partie 2/2
La martingale de Bill Gates dévoilée
Chacun sait comment Bill Gates est devenu richissime avec les logiciels. Le milliardaire met à présent en œuvre la même méthode avec les vaccins. On ne change pas une méthode qui gagne. Une deuxième fortune assurée pour celui qui s’est autoproclamé « philanthrope ».
Premier truc : avoir un bon avocat
Bill Gates est fils d’un grand avocat d’affaires et petit-fils d’un richissime banquier (lire Non ! Bill Gates n’est pas mon modèle ! du 3 avril 2021).
Il ne fait pas de l’informatique, il fait du business et se borde juridiquement.
De la même manière, il ne se préoccupe pas de santé, il fait toujours du business et se borde juridiquement.
Deuxième truc : anticiper un besoin universel
Bill Gates a bâti sa fortune non pas en inventant des merveilles en informatique mais en imposant le système d’exploitation de son associé Paul Allen à tous les ordinateurs personnels.
Il fait pareil avec les vaccins. Comme un système d’exploitation sur un ordinateur, le vaccin doit devenir obligatoire. L’idéal aurait été une vraie pandémie. Cette pandémie ayant du mal à se déclencher, il est facile d’apeurer l’humanité en lui faisant croire qu’elle est en danger de mort. Tous les appuis médiatiques, politiques, institutionnels sont sollicités en retour des subventions qu’ils perçoivent.
Macron prend toute sa part dans ce scénario, lui qui nous incite à nous « vacciner, vacciner, vacciner » alors que le virus ne tue pratiquement plus personne :
À partir de là, nous mettons tous les moyens pour vacciner, vacciner, vacciner. Sans répit, sans jour férié. Le samedi et le dimanche comme la semaine.
(lire Macron nous a fait la démonstration de son talent du 2 avril 2021).
Troisième truc : monétiser la propriété intellectuelle
Les logiciels informatiques étaient très facilement duplicables lorsque Bill Gates s’est associé à Paul Allen. Avec l’appui de son père avocat, il n’a eu de cesse d’aligner les logiciels sur le droit à la propriété intellectuelle. Il a pénalisé la copie de logiciels, ce qui n’est pas un mal en soi puisqu’un programme informatique représente des investissements réels qu’il faut bien financer.
Mais dans cette industrie les frais de fabrication sont quasiment inexistants, ce qui n’est pas le cas des produits manufacturés ou agricoles. À présent vous payez pour télécharger des fichiers.
Bill Gates a compris que le même « business model » pouvait fonctionner avec les vaccins. Il suit la voie tracée par John Davison Rockefeller, camelot qui a fait sa fortune dans le pétrole et qui s’est préoccupé de breveter les médicaments. À présent on attribue des brevets aux virus ! Breveter les maladies, il fallait y penser. Une fois cette privatisation du bien public accomplie, il est facile de dupliquer une potion qui ne coûte plus rien à fabriquer en masse.
Quatrième truc : imposer des mises à jour
Le système d’exploitation Windows n’a cessé d’évoluer, rendant très vite obsolètes des versions d’à peine quelques années. Même si l’ordinateur fonctionnait toujours très bien, toute une série de contraintes étaient mises en œuvre pour forcer les mises à jour, certes parfois « gratuites », mais pas toutes.
Ainsi naquit Windows Update qui assure une rente perptuelle à plusieurs milliards à son concepteur.
Notre homme d’affaires a donc inventé la vaccination perpétuelle. À peine avez-vous reçu la première injection, qu’on vous annonce qu’il en faut en fait deux. À l’issue de cette deuxième injection, on vous annonce qu’on vous a vaccinés pour rien puisqu’un nouveau variant est survenu qui requiert un nouveau vaccin.
Bill Gates, qui n’est pas un imbécile, a appris de Microsoft et de ses parents ou amis banquiers : les meilleurs débiteurs ce sont les États. Vendre des logiciels requiert un réseau de distribution coûteux et complexe avec tous les aléas que cela représente.
Avec les vaccins, quelques grands laboratoires et l’OMS traitent directement avec les institutions supra-nationales, Bruxelles par exemple, puis ce sont les États qui paient. Ces États-Nations ringardisés que l’on dépèce, mais que l’on garde juste parce qu’ils ont une capacité à collecter l’impôt qui paiera les vaccins(1).
Trop fort !
Georges Gourdin
https://www.nice-provence.info/2021/04/19/martingale-bill-gates-devoilee/
(1) Les États sont en situation de vaccination perpétuelle. Ils empruntent pour rembourser leurs dettes assurant des revenus perpétuels aux banquiers : George Soros se fait l’avocat de l’emprunt perpétuel auprès des « frugaux » européens.
Message important
Cher(e) ami(e) de la Santé,
La lettre ci-dessous est d’une importance capitale, d’où cet envoi un peu exceptionnel.
Bonne lecture,
Laurence Secchi, éditrice de la revue Santé Corps Esprit
Est-il « complotiste » de dire qu’on nous prive de traitements qui marchent ?
Xavier Bazin
Cher(e) ami(e) de la Santé,
Déclaration du Pr Perronne sur CNews, il y a quelques jours :
« Il y a des études sérieuses qui montrent que si on prend de la vitamine D, on réduit de moitié le risque de mortalité de la Covid.
Il y a des études qui montrent que les gens qui ont une carence en zinc meurent davantage. »
En direct, le Pr Perronne confirme aussi l’efficacité de l’hydroxychloroquine, de l’ivermectine et même de la plante Artemisia Annua.
Le journaliste Pascal Praud est interloqué :
« Mais quel serait l’intérêt d’un gouvernement de nous plonger (dans le confinement) – c’est ça que je ne comprends pas ! »
Robert Ménard, sur le plateau, renchérit :
« Je veux bien critiquer le pouvoir mais il n’y a quand même pas un complot – si c’est simple de soigner, je suppose qu’on nous l’aurait dit ! »
Je comprends leur réaction.
S’il existe des traitements efficaces contre la Covid-19, pourquoi ne seraient-ils pas recommandés par les autorités ?
C’est la question qui tue.
Et il faut y répondre.
Prenons l’ivermectine : grâce à plus de 20 études randomisées, nous savons avec certitude que cette molécule a une très grande efficacité contre la Covid-19 – en prévention, en traitement précoce et à l’hôpital [1].
Et pourtant, ces dernières semaines :
- L’Autorité européenne du médicament (EMA) a déconseillé ce médicament (« les données disponibles ne soutiennent pas son utilisation pour le Covid-19 en dehors d’essais cliniques »)
- L’Organisation mondiale de la Santé (OMS) a conclu que les preuves d’efficacité n’étaient pas « concluantes » et a déconseillé son utilisation en dehors d’essais cliniques ;
- Et l’Agence française du médicament (ANSM) a refusé d’accorder à l’ivermectine une « recommandation temporaire d’utilisation », estimant qu’on ne peut pas « présumer d’un bénéfice/risque favorable ».
C’est d’autant plus ahurissant que le risque de l’ivermectine est nul : il n’y a strictement aucun risque sérieux aux doses recommandées, ce qui est très rare pour un médicament.
Contrairement au vaccin AstraZeneca, par exemple (qui a notamment tué un étudiant en médecine en pleine santé), l’ivermectine ne cause pas d’effet indésirable grave. On le sait avec certitude, grâce à trente ans de recul et plusieurs milliards de doses prescrites, y compris à des enfants et des personnes âgées.
Il n’y a donc aucun risque à essayer (risque = 0), et plus de 20 études randomisées [2] qui montrent que l’ivermectine réduit la charge virale, évite les hospitalisations et sauve des vies (bénéfice = +++).
Et je ne vous parle même pas de son utilisation en Inde, au Zimbabwe ou au Mexique, où l’ivermectine a donné des résultats impressionnants sur les hospitalisations et la mortalité.
Mais si tout cela est vrai…
…cela voudrait dire que l’ANSM, l’EMA et l’OMS sont soit des imbéciles, soit de grands criminels.
Car dans cette hypothèse, ces agences seraient en train de déconseiller un traitement qui sauve des vies.
Pour la plupart des gens, c’est un peu difficile à avaler.
Même moi, je suis extrêmement surpris et choqué de ces prises de position !
J’ai beau connaître sur le bout des doigts les dérives de notre système de santé et l’influence de Big Pharma, je n’imaginais pas qu’on pourrait en arriver là.
C’est pourquoi je comprends que des « non-spécialistes » comme Pascal Praud ou Robert Ménard soient sceptiques.
Comment croire – sauf à être « complotiste » – que les grands experts de l’ANSM ou de l’OMS puissent se tromper… ou nous tromper à ce point ?
Je vais essayer de répondre à cette question centrale, avec plusieurs arguments.
D’abord, il faut bien comprendre que le Pr Perronne n’est pas isolé, loin de là.
Premier argument : ne croyez pas au pseudo « consensus scientifique »
Quand on n’est pas du métier, il est normal de croire que les Agences du Médicament ou l’Organisation mondiale de la Santé incarnent le « consensus scientifique ».
Mais ce n’est pas le cas.
Ils ne reflètent que l’avis d’un petit groupe de scientifiques, qui sont eux-mêmes sous la pression énorme d’influences politiques et financières.
En parallèle, de très nombreux scientifiques et médecins indépendants du monde entier plébiscitent l’ivermectine, comme :
- L’Alliance FLCCC aux États-Unis, menée par le Dr Kory, a témoigné en décembre dernier de l’efficacité hors norme de l’ivermectine devant le Sénat américain [3] ;
- Le groupe BIRD en Grande-Bretagne, emmené par la Dr Tess Lawrie, a publié un rapport d’expert de 105 pages en faveur de l’ivermectine [4] ;
- Le Dr Andrew Hill, consultant pour l’Organisation mondiale de la Santé, a réalisé une revue d’études concluant à une probable réduction de la mortalité de 75 % [5] ;
- Au Japon, l’Association médicale de Tokyo a recommandé publiquement ce médicament [6], suivi par le Prix Nobel qui a découvert l’ivermectine.
En France, c’est le courageux Dr Gérard Maudrux qui a rédigé une synthèse implacable de toutes les preuves de l’efficacité de l’ivermectine [7].
Il faudrait aussi parler des milliers de médecins de terrain qui ont été convaincus par les études publiées et prescrivent quotidiennement l’ivermectine ou l’hydroxychloroquine – comme les médecins du réseau « Laissons les médecins prescrire » en France.
Et puis, il y a plusieurs États qui recommandent officiellement l’ivermectine contre la Covid-19, notamment la République tchèque et la Slovaquie.
Ne croyez pas qu’il y ait un « consensus scientifique » contre l’hydroxychloroquine, l’ivermectine ou la vitamine D : l’apparence du consensus est fabriquée de toutes pièces !
C’est simple : les médecins et scientifiques favorables aux traitements précoces sont censurés.
Censurés par l’Ordre des Médecins, qui a interdit formellement aux médecins d’en parler ouvertement.
Souvenez-vous du Dr Erbstein, médecin généraliste dans le Grand Est, qui avait soigné avec succès ses patients avec de l’azithromycine, du zinc et un anticoagulant – dès qu’il a parlé de ses résultats dans la presse, l’Ordre des Médecins l’a appelé en lui disant : « vous faites ce que vous voulez, mais vous ne dites rien ».
Dans la foulée, il a été poursuivi par l’Ordre des médecins et risque la radiation… exactement comme le Pr Raoult et 10 autres médecins qui ont osé parler des traitements qui marchent.
Bref, ne vous étonnez pas qu’il n’y ait pas plus de médecins qui défendent ces traitements à la télévision : ils risquent de perdre leur gagne-pain s’ils le font !
Il n’y a que quand vous êtes à deux doigts de la retraite, avec votre carrière derrière vous (et une bonne dose de courage !), comme le Pr Perronne ou le Dr Maudrux, que vous pouvez oser vous exprimer publiquement et librement !
A tout cela, s’ajoute la censure des médias.
C’est le journaliste Pascal Praud qui l’a reconnu, sur CNews :
« Je vous ai invité, Pr Perronne, je vais vous dire pourquoi : vous ne serez invité nulle part, en fait.
Le service public ne vous invitera pas. Vous êtes considéré comme complotiste, comme politiquement incorrect, comme mal-pensant, etc. » [8]
Et voilà comment on « fabrique » un pseudo-consensus, en n’invitant à la télé et à la radio que les médecins qui tiennent le même discours.
Comme la Pr Karine Lacombe, qui pense que « la vitamine D ne sert à rien ».
Après l’avoir entendue à la télévision, les gens pensent que son opinion incarne le consensus scientifique.
En réalité, sur la vitamine D, les sociétés savantes françaises se battent entre elles.
Vous avez d’un côté l’Académie de Médecine elle-même, et 6 sociétés savantes qui réclament à cor et à cri qu’on utilise la vitamine D en prévention et traitement de la Covid-19 [9].
Et de l’autre, vous avez le Haut Conseil à la Santé Publique qui sort un rapport expliquant – contre toute évidence – que la vitamine D et le zinc ne servent à rien [10].
Puis, les médias font comme si ces désaccords n’existaient pas.
Ils ont même réussi à discréditer, aux yeux de beaucoup de gens, le plus grand expert français des maladies infectieuses, le Pr Didier Raoult !
Pourtant, le Pr Raoult a l’avantage d’avoir fait une carrière immense sans le moindre lien avec Big Pharma… ce qui en fait un « oiseau rare » dans la profession.
Par chance, cet esprit libre est en plus à la tête d’un Institut de recherche indépendant de renommée mondiale (l’IHU de Marseille), dont il ne peut pas être « viré » – contrairement au Pr Perronne qui a perdu ses fonctions de chef de service de l’hôpital de Garches.
Et pour couronner le tout, le Pr Raoult a son propre média, sa chaîne YouTube, sur laquelle il peut dire ce qu’il veut, en toute indépendance.
Dans une de ses vidéos récentes, il a parfaitement expliqué le problème actuel :
« Il y a eu une guerre menée contre les anciens médicaments. Nous avons une situation qui est devenue complètement fantasque : les médicaments les mieux connus au monde, les moins toxiques du monde ont été considérés comme étant des poisons dangereux – l’hydroxychloroquine avant, et maintenant l’ivermectine. »
Pourquoi ? Parce que, dit le Pr Raoult :
« L’utilisation de médicaments anciens qui ne coûtent rien ne rentre pas dans la perspective de l’obsolescence programmée – c’est-à-dire de vouloir à tout prix que les vieilles molécules soient obsolètes, pour que l’on paie très cher de nouveaux médicaments. »
Il ajoute, comme pour prévenir une objection « facile » :
« Je ne sais pas si c’est du « complotisme » que de repérer qu’il y a des réseaux de lobbys qui tiennent absolument à empêcher la prescription de médicaments qui soulagent et qui ne coûtent rien ».
Encore une fois, ne croyez pas que le Pr Raoult serait « seul contre tous ».
Grâce à un sondage réalisé par le Quotidien du Médecin, on a appris que la majorité des médecins français ont désapprouvé vertement les décisions du Ministre Olivier Véran sur l’hydroxychloroquine [11].
Et avec raison : une grosse étude rétrospective iranienne [12], menée sur près de 30 000 patients positifs au Sars-Cov-2 vient d’apporter une nouvelle preuve de l’efficacité de l’hydroxychloroquine.
Dans cette étude, l’hydroxychloroquine donnée en traitement précoce :
- Réduit le risque d’hospitalisation de 38 % ;
- Et réduit la mortalité de 73 %, ce qui est considérable.
Mais les autorités et les médias ont réussi à faire croire que le Pr Raoult était isolé, dernier des mohicans à défendre sa « potion magique », alors que plus de 200 études scientifiques réalisées par des chercheurs du monde entier ont montré son efficacité en traitement précoce [13].
Je m’aperçois que j’ai déjà été long, alors je vous réserve mes autres arguments pour la semaine prochaine !
Bonne santé,
Xavier Bazin
PS : VOICI COMMENT VOUS POUVEZ AGIR POUR DIFFUSER CES VÉRITÉS AUTOUR DE VOUS !
Je viens de publier un livre explosif aux Editions Trédaniel, qui révèle TOUT !
Il s’appelle BIG PHARMA DÉMASQUÉ – de la chloroquine aux vaccins, la crise du coronavirus révèle la face noire de notre système de santé.
Je ne touche pas un centime sur ce livre (droits d’auteurs reversés à la Fondation Hippocrate), et c’est pourquoi j’ose vous demander de vous le procurer dès que possible, pour vous ou pour un de vos proches.
Pour ceux qui n’ont pas de librairie indépendante à côté de chez eux, commandez-le sur Amazon dès maintenant et écrivez un commentaire sur le site après que vous l’aurez reçu !
Je n’aime pas beaucoup Amazon mais la situation est trop grave pour faire la fine bouche.
Il faut savoir qu’acheter sur Amazon est un des meilleurs moyens de donner une grande visibilité à ce livre : si nous réussissons à le placer dans les meilleures ventes de ce site, énormément de gens découvriront qu’il existe et cela permettra de diffuser nos idées très largement !
Ce qui est en jeu, ce sont des vies humaines. Il y a une partie entière du livre sur les solutions naturelles (vitamine D, zinc, quercétine…) que tout le monde devrait prendre en prévention des formes graves de la Covid-19. Plus globalement, pour notre santé à tous, il est urgent d’ouvrir les yeux sur les dérives du système manipulé par Big Pharma.
Je compte sur vous !
SYNDICATS ET PROFESSIONNELS ATTAQUENT LE GOUVERNEMENT :Jamais, au grand jamais, dans aucun pays y compris les pires dictatures communistes, on a interdit aux médecins de soigner.
Récemment, les professionnels se sont manifestés à travers le Collectif de Syndicats et Associations de Professionnels Européens (CSAPE).
Le CSAPE a construit un dossier juridiquement et scientifiquement très argumenté. Il démontre que la population est mise en danger par des mesures manifestement disproportionnées imposées sans aucune base factuelle. Est également souligné le fait que les populations du monde ont servi de cobayes aux expérimentations des laboratoires. Les gouvernements ont voulu les presser à n’importe quel prix dans l’espoir d’arrêter la pandémie très vite, ce qui, dans le cas de plusieurs pays – la France en tête – est un fiasco monumental puisqu’au bout de plus d’un an, on en est toujours au même point. De plus, le choix s’est porté de préférence sur des modificateurs de génome nouveaux et sans recul expérimental, technique dont les effets secondaires mal anticipés et méconnus commencent seulement à apparaître.
LA GRAVE ACCUSATION DES PROFESSIONNELS
« La population est à l’évidence confrontée à une expérimentation généralisée, sur son intégrité physique et mentale, sans son consentement avisé en violation du droit international avec participation complaisante et active du gouvernement qui de surcroît abuse de mesures liberticides sur fond de situations anxiogènes répétitives, de manipulations par la peur en travestissant les faits, et de maltraitance par l’empêchement de la médecine d’Hippocrate.
Les dernières déclarations gouvernementales relatives à de prétendus « variants », (principe mutagène de tout type de corona), relèvent de la même stratégie de tromperie envers la population pour maintenir à des fins inavouables une urgence sanitaire dont la nécessité n’est délibérément pas démontrée.
Cette expérimentation généralisée sur une population maintenue dans l’ignorance par tromperie constitue un crime contre la dignité humaine et un crime contre l’humanité.
Elle vous (les membres du gouvernement) expose personnellement à des poursuites gravissimes, dont il ne saurait être fait état d’une quelconque immunité aussi bien pour le chef de l’Etat que pour son administration« .
C’est en résumé l’accusation portée par le CSAPE.
Le 3 mars, il a donné quinze jours au gouvernement pour se justifier par des documents, et non par des déclarations lénifiantes et larmoyantes, faute de quoi des plaintes seront déposées auprès d’organismes internationaux (ONU et Cour Pénale Internationale), européens (Cour Européenne des Droits de l’Homme et Cour Européenne de Justice), ainsi qu’en France, auprès de la Cour de Justice de la République (qui pourra mettre le président en accusation s’il n’est pas réélu en 2022).
La mise en demeure faite au gouvernement lui permettra de se justifier s’il peut prouver sa bonne foi et sa compétence dans le traitement de la pandémie, mais cela peut aussi se retourner contre lui car CSAPE a des arguments bien documentés par des preuves écrites et des faits incontestables comme le bilan de la France en morts par million d’habitants, l’un des plus élevés au monde.
LE GOUVERNEMENT DOIT RÉPONDRE À DES QUESTIONS PRÉCISES :
- A-t-il recherché les responsables français et leur niveau de responsabilité dans l’invention du virus ?
L’étude des brevets pris par l’Institut Pasteur dès les années 2000 montre que l’on y travaillait sur le coronavirus qui a donné SARS puis Covid. Avaient-il à cette période en stage des chercheurs chinois qui auraient pu voler des souches, comme ils l’ont fait à l’Institut de Recherche de Winnipeg au Canada, pour créer le coronavirus MERS, cause de 800 morts en Arabie saoudite puis, véhiculé par des chameaux en Syrie ? - Seront-ils poursuivis en justice pour négligence ou corruption ?
- Va-t-il poursuivre le Conseil scientifique où siègent une majorité de gens ayant des liens financiers avec les laboratoires industriels et qui ont donné de fausses informations ayant déclenché des mesures disproportionnées impactant les libertés fondamentales ?
- Va-t-il poursuivre l’OMS et l’Institut Pasteur pour fausses informations ayant déclenché des mesures disproportionnées impactant les droits inaliénables et fondamentaux de la population ?
- Va-t-il poursuivre tous les responsables à l’origine de ce crime en tant qu’expérimentation générale sur la population ?
Le gouvernement est soupçonné d’avoir voulu expérimenter le degré de résistance de la population à des ordres stupides comme le port du masque en plein air, le confinement –inefficace comme l’a dit Macron au JDD-, ou la vaccination des bébés, et son acceptation pour mettre en circulation de pseudos vaccins contenant des nanoparticules métalliques comme en ont Pfizer, Moderna et AstraZeneca. Pour le moment, le résultat montre que les Français anesthésiés sont prêts à accepter n’importe quelle mesure totalitaire. - Va-t-il procéder à l’abrogation immédiate des contraintes liées au test RT-PCR ?
Contraintes sociales et médicales alors que tous les pays asiatiques ont informé qu’ils étaient mal dosés en France (40% au lieu de 15%) et donc très imprécis. Exception faite de la Chine, qui fournit à la France les produits nécessaires à leur fabrication. - Va-t-il cesser d’imposer l’obligation du port du masque ?
De nombreuses études ont démontré qu’il est totalement inutile en bord de mer, en montagne, en zones rurales excepté conversation rapprochée ; inutile en famille où les rapprochements sont inévitables et de toute façon, s’il y a des virus, tout le monde les porte déjà ; peu utile en général car aucun masque à l’exception des masques professionnels FFP3 n’est vraiment étanche (étude du M.I.T), les masques chirurgicaux n’étant faits que pour protéger le patient opéré des postillons du personnel médical. - La dernière question n’en est pas une. Nous demandons l’abrogation immédiate du couvre-feu et tout autre type de mesure de confinement qui ne sont en réalité qu’une mise en résidence surveillée spécifiquement restrictive des libertés.
Pour importer le document complet du CSAPE => CLIQUEZ ICI
Le CSAPE a envoyé cette mise en demeure le 2 mars par L.R.A.R. à Jean Castex, premier ministre. Il lui donnait quinze jours pour répondre et, à ma connaissance, il n’y a pas eu de réponse. Le gouvernement a donc choisi de faire la sourde oreille. Il fallait s’y attendre, il ne veut surtout pas que sa politique sanitaire absurde soit remise en cause et s’il tient bon un an, la présidentielle de 2022 réglera le problème.
LES ORGANISATIONS INTERNATIONALES ET EUROPÉENNES NE BOUGERONT PAS
Mais le CSAPE pourrait bien mettre sa menace à exécution : alerter l’ONU, la CPI, l’Europe etc.
Hélas, l’ONU est solidement verrouillée par Bill Gates. Il la finance, et la Chine la contrôle grâce aux pays qu’elle tient à la gorge par les prêts remboursables qu’elle leur a consenti et font qu’elle détient la majorité à l’ONU.
L’Europe ne réagira pas non plus, l’Europe et sa Commission de fonctionnaires est dominée par l’Allemagne d’Angela Merkel. Sa consigne est « Suivons la Chine« .
Tous les pays qui ont suivi la Chine sont dans une situation aussi mauvaise que la France : la Belgique, l’Espagne, l’Italie, l’Angleterre, les USA…
Tous ces pays ont eu un taux de mortalité par million d’habitants supérieur à ceux qui ont en quelque sorte « laissé faire », comme les pays d’Afrique, l’Inde… Mais aussi la Suède et la Biélorussie où le confinement a été refusé et qui n’ont pas plus de morts que la moyenne de l’U.E. Il y a eu chez les Occidentaux un très net manque de réflexion intelligente et d’organisation à tous les niveaux, France, U.E, ONU.
D’autres pays s’y sont pris d’une façon beaucoup réfléchie que les Occidentaux : les pays d’Asie du Sud-Est comme le Vietnam, Singapour, Taïwan et plusieurs autres, qui ont un nombre de morts inférieur à mille quand nous dépassons les cent mille, et ce sans arrêter leur économie.
Finalement la plainte du CSAPE, si elle n’aboutit pas, aura servi à alerter avec des arguments solides les Français sur la corruption de plus en plus voyante de leur administration et du gouvernement.
LA PRESSE EST DIVISÉE
Sur le reste, la presse est divisée. Yuval Noah Harari, historien israélien constate dans Le Courrier de l’UNESCO, que Covid est une épidémie des plus bénignes avec un taux de mortalité inférieur à 1 % (0,2 % en France) quand la grippe de 1918 a tué 10% de la population et la peste noire de 1347-1351 au minimum 25%.
CSAPE a raison de reprocher au gouvernement d’avoir surdramatisé Covid pour apeurer la population et en tirer profit en édictant des mesures liberticides qui renforcent son pouvoir d’oppression et de contrôle.
Mais aussi d’avoir donné à l’administration l’autorité sur des domaines où elle est totalement incompétente, voire nuisible quand elle n’est pas de surcroit vendue au secteur privé international (en Europe elle est classée au 15ème rang pour la corruption, pas rouge mais orangée). Elle a interdit des médicaments antiviraux efficaces pour privilégier les tests géniques expérimentaux baptisé à tort « vaccins », beaucoup plus chers et non validés par les essais de niveau 3 sur l’homme en principe obligatoires, les « vaccins » de Pfizer, Moderna et d’AstraZeneca. Leurs méfaits secondaires commencent seulement à se manifester et leur degré de nocivité réel ne pourra être connu que dans quelques années.
Un article de Valeurs Actuelles (le seul hebdomadaire libre parce que non subventionné) souligne qu’en interdisant aux médecins de prescrire des médicaments connus pour être efficaces contre les virus, et en obligeant à une vaccination aléatoire, l’administration et le gouvernement ont pris la responsabilité de dizaines de milliers de morts qui n’auraient pas dû être.
Et personne ne se soucie de ce que ces pseudos vaccins contiennent des nanoparticules métalliques dont Bill Gates a dit qu’il suffira de les programmer pour prendre le contrôle des individus « vaccinés ». Comme voulait le faire la Chine pour compléter son arsenal de surveillance permanente de ses citoyens. Elle a, dans ce sens heureusement pour les Chinois, raté sa campagne de vaccination avec Sinovac. Non que Sinovac soit un mauvais vaccin, au contraire. Mais à vouloir donner ou vendre en priorité des vaccins à deux milliards Africains et à l’Inde (qui a les siens), plus 1,3 milliard de Chinois, le Parti communiste a vu trop grand et les usines n’arrivent pas à fournir.
L’Imprécateur
19 avril 2021
Philippe Guillemant : nous sommes sur un escalier menant au transhumanisme
4 SEPTEMBRE 2020
BILLET D’HUMEUR : Philippe Guillemant, Docteur en Physique, spécialiste d’Intelligence Artificielle exerçant au CNRS, nous met en garde. Selon lui, avec le masque obligatoire, nous sommes actuellement sur la marche numéro trois de l’escalier menant à l’humain robotisé. A nous de voir si nous choisirons collectivement un autre chemin qui nous fera changer de destination finale.
En plus des articles écrits par les membres de la rédaction, Nexus diffuse désormais des messages rédigés par d’autres personnes à la plume alerte. Nous partagerons avec vous leurs coups de gueules et de sang, cris du coeur, évasions et analyses de l’esprit que nous trouvons pertinents. Aujourd’hui, nous vous proposons pour la seconde fois les écrits de Philippe Guillemant, ingénieur physicien français, Docteur en Physique, spécialiste d’Intelligence Artificielle exerçant au CNRS.
Pour ceux qui doutent encore des objectifs « masqués » de la manipulation à l’origine du pétage de plomb de nos médias et gouvernement, voici simplement la première des 23 mutations profondes anticipées par Klaus Schwab, le président du forum économique mondial, dans son livre La quatrième révolution industrielle paru en 2017 :
MUTATION 1 : Les technologies implantables
Le premier téléphone implantable commercialisé est prévu pour 2025. Au programme, géolocalisation, suivi du comportement de santé, tatouage intelligent ou puce électronique et lecture d’onde cérébrale c’est à dire de la pensée.
Il y a aussi les « smart dust » ou poussières intelligentes qui pourront agir dans le corps et stocker vos informations corporelles via votre nanoréseau personnel.
En 2020, nous avons déjà gravi les trois premières marches vers le transhumanisme que j’ai déjà évoqué plusieurs fois.
(1) 2020 = Confinement pour éviter l’infection
(2) 2020 = Déconfinement pour éviter l’effondrement
(3) 2020 = Port du masque obligatoire pour éviter le reconfinement
Nous pouvons maintenant anticiper une possible montée linéaire des marches suivantes :
(4) 2021 = Vaccination obligatoire pour éviter le port du masque
(5) 2022 = Micro puce implantée (contrôle de vaccination)
(6) 2023 = Monnaie numérique mondiale (grâce à la micro-puce)
(7) 2024 = Traçage humain (identification du comportement)
(8) 2025 = Interfaçage numérique de l’humain (même du cerveau !)
(9) 2026 = Transhumanisme (humain cuit, connexion âme détruite)
Et voilà le programme, qui fort heureusement est en train de disparaître car le pétage de plomb depuis le confinement est bien trop voyant et il en résulte que nous les grenouilles subissons une cuisson bien trop rapide.
Cela dit, pour ce qui me concerne j’ai déjà sauté en dehors de la casserole depuis 14 ans.
Et ne venez pas me dire que d’anticiper (5), c’est à dire l’implantation de la micro-puce, soit délirant, car si je vous avais prédit l’année dernière que (3) arriverait en 2020, c’est à dire qu’on nous obligerait à porter un masque en l’absence de pandémie et d’une façon complètement sidérante (assis non, debout oui) vous m’auriez pris pour un cinglé.
Résultat : Aujourd’hui, à chaque fois que nous allons travailler ou conduire nos enfants à l’école, nous entrons dans un asile de fous.
Alors, et je parle seulement à ceux qui portent le masque par peur de l’amende et sans même croire à son utilité (et non pas à ceux qui croient à sa fonction protectrice, ce que je respecte totalement), vous allez continuer à collaborer combien de temps à ce programme ?
S’il ne devait subsister qu’une seule théorie du complot qui soit juste, ce serait celle-ci : ILS veulent nous conduire jusqu’au transhumanisme.
Leurs motifs : conquérir un très grand marché et organiser une société gérée par des I.A. selon l’idéologie transhumaniste, fondée sur l’ignorance (enfermement dans le parc de la pensée).
Comme je crois en cette théorie, il est légitime de me considérer comme un complotiste.
Maintenant, le non complotisme et la niaiserie risquent de devenir synonymes.
Philippe Guillemant,
Stanislas Berton | Tout est faux: comment sauver la France?
Stanislas Berton, entrepreneur et écrivain
“L’écrivain Renaud Camus dit : c’est l’ère du faussaire, tout est faux. Je dis souvent aux gens qui veulent m’écouter, si vos seules sources d’information sont les médias de masse, vous vivez dans une réalité fictive. On détruit la structure de la société, c’est-à-dire qu’un criminel devient un héros. La vérité c’est-à-dire la vérité des statistiques est niée au nom de l’émotion. On détruit toutes les règles de la société et on rend les gens complètement fous. Ils ne savent plus où est le haut où est le bas où est le bien où est le mal ; ils sont complètement perdus et les gens qui sont dans cet état de confusion mentale eh bien c’est extrêmement facile de les soumettre et de les dominer.”
“Il faut avoir conscience que les gens aujourd’hui bénéficient d’un lavage de cerveau qui passe par l’école, qui passe par les médias, qui passe par tout l’environnement culturel dans lequel ils se trouvent. C’est pas pour rien que justement ce totalitarisme attaque toujours le christianisme parce qu’ils savent que c’est l’antidote c’est ça la clé qui va vous aider à sortir de votre prison.”
Stanislas Berton, entrepreneur et écrivain, constate que nous vivons dans une réalité fictive et une société déréglée où le criminel devient le héros. Au nom de l’écologie et de l’égalité se cachent une gouvernance mondiale et le totalitarisme.
Statistiques de mortalités dues au Covid-19 : peut-on leur faire confiance ?
Par Paul Anthony Taylor de la Fondation du Dr. Rath
Les données officielles du Bureau National des Statistiques du Royaume Uni (UK’s Office for National Statistics) montrent qu’environ un quart des décès récents enregistrés comme dus au Covid-19 en Grande Bretagne et au Pays de Galle n’ont pas été causés par le covid-19. La publication de ces dernières données arrive à temps lorsqu’il y règne une suspicion croissante quant au fait que les nombres globaux de décès puissent avoir été “gonflés”, par exemple en confondant les décès des personnes décédées mais simplement testées positives au virus avec celles qui sont décédées directement à cause du virus. On peut dès lors se poser des questions quant au fait d’effrayer la population mondiale en vue de l’acceptation de vaccins pharmaceutiques expérimentaux. Ces aspects globaux de statistiques concernant le Covid-19 pourraient ainsi avoir été exagérés.
Un article publié dans le magazine “The Spectator” en mai 2020 a décrit la manière par laquelle des décès ont été attribués au Covid-19 au Royaume Uni comme un “scandale national”. Signé par le Dr. John Lee, ancien professeur de pathologie et pathologiste du Service National de Santé (NHS) de Grande Bretagne, l’article explique comment, au début de la pandémie, en renonçant aux règles en application au Royaume Uni, concernant les certificats de décès, nous n’avons aucune idée du nombre de vies perdues à cause du coronavirus au Royaume Uni.
Le gouvernement a, dans la suite revu ses comptages de décès en août 2020 et a réduit le nombre de décès de plus de 5.000. Ceci est la preuve de ce que les chiffres du pays sont loin d’être précis. Une investigation récente initiée par le journal britannique Daily Mail a reçu une avalanche de réponses de familles déclarant que les décès de leurs êtres chers avaient été erronément attribués au Covid-19. Les exemples cités comprenaient celui d’un monsieur âgé de 99 ans, souffrant d’une démence sénile et d’une insuffisance pulmonaire chronique. La cause principale du décès de cet homme a été enregistrée comme covid-19 malgré qu’il ait été testé négatif à trois reprises. Suite à la requête de quelques médecins, citant la pression subie pour qu’ils impliquent le virus comme cause de décès, un certain nombre de membres du Parlement Britannique demande maintenant une enquête.
Les pays utilisent différentes méthodes de comptage des décès dus au Covid-19
Des médecins aux USA ont également rapporté des pressions subies pour qu’ils indiquent le Covid-19 comme cause de décès sur les certificats de décès, même lorsqu’il apparaissait que le virus n’avait aucune relation avec la cause du décès de la victime. En conservant à l’esprit que la section 3710 de l’Acte du Coronavirus Aid Relief and Economic Secutity (CARES), (Aide, Assistance et Sécurité Economique concernant le Covid-19) augmente les remboursements de soins médicaux dans les hôpitaux traitant les victimes du Covid-19, les hôpitaux des USA sont évidemment incités à inscrire le Covid-19 sur les certificats de décès et les documents de décharge. Le journal The New York Times a rapporté que le nombre de décès de la ville de New York City comprend des personnes qui ont été “présumées décédées du Covid-19, mais n’ont jamais été testées positives au virus”.
Les analyses du nombre global de décès dus au Covid-19 sont compliquées par le fait que les pays utilisent différentes méthodes pour compter les décès par Covid-19. Certains pays, par exemple, n’incluent les décès que lorsque la personne décédée a été préalablement détectée comme positive, tandis que d’autres pays incluent ceux qui présentent une simple suspicion clinique de Covid-19. En s’adressant au journal Daily Telegraph du Royaume Uni, en mars 2020, le Professeur Walter Ricciardi, un conseiller scientifique du ministre italien de la santé, a décrit comment les personnes porteuses du virus, décédant dans les hôpitaux italiens étaient toutes considérées comme décédées à cause du virus. Une telle approche aboutit inévitablement à un nombre plus élevé de décès enregistrés que ce l’est réellement.
Les vaccins expérimentaux ne sont pas “la seule” solution à la pandémie
Aucune indication mentionnée ci-dessus ne peut être interprétée comme suggérant que le Covid-19 ne soit pas dangereux. Ce virus est dangereux, mais seulement pour les personnes dont le système immunitaire est affaibli. Les statistiques indiquent que les personnes qui sont particulièrement menacées, sont celles qui souffrent d’hypertension, de diabète, de maladies respiratoires et d’autres états chroniques. En Angleterre, par exemple, en avril 2021, seulement 3.561 (4,1 %) des 86.686 décès enregistrés en relation avec le Covid-19 ont été observés chez des personnes qui n’étaient pas déjà identifiées comme atteinte d’un état de santé dégradé préexistant. De plus, plus de la moitié des décès enregistrés en Angleterre (46.671 / 53,8 %) concernait des personnes âgées de plus de 80 ans.
Globalement, l’industrie pharmaceutique a un intérêt notoire pour que le nombre de décès dus au Covid-19, soit présenté comme aussi élevé que possible. Les dirigeants des compagnies pharmaceutiques ainsi que leurs actionnaires croient que plus la population du monde sera effrayée, plus facilement elle acceptera les mensonges affirmant que les vaccins expérimentaux sont la “seule” solution à la pandémie. Notre meilleure stratégie pour contrer une telle tactique de peur est de diffuser l’information de ce qu’il a été démontré scientifiquement qu’une combinaison de micro-nutriments naturels bloque le Covid-19 dans l’invasion des cellules du corps. Plus persévérants et plus efficaces nous serons tous en appliquant ces préceptes, plus vite la pandémie pourra aboutir à sa fin.
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https://www.dr-rath-foundation.org/2021/04/covid-19-mortality-statistics–:-can-they-be-trusted-?
Traduction : Jean-Marie Danze
2e conseil scientifique indépendant : des chiffres et des citations…
Chère amie, cher ami,
Lors du deuxième Conseil scientifique indépendant, différents scientifiques libres et sans conflit d’intérêts se sont réunis jeudi 15 avril 2021 pour faire le point sur la situation sanitaire en France et ailleurs.
Cet événement a réuni :
- Eric Ménat, médecin généraliste à Muret ;
- Louis Fouché, réanimateur à Marseille ;
- Philippe de Chazournes, médecin généraliste à la réunion ;
- Vincent Pavant, mathématicien, enseignant à l’université d’Aix en Provence ;
- Hélène Banoun, pharmacien biologiste à la retraite ;
- Jean Dominique Michel, anthropologue de la santé ;
- Laurent Toubiana, chercheur à l’Inserm, expert en matière d’épidémies.
Ce sont des personnalités de terrain et d’expérience. Je ne vais pas ici revenir dans le détail de leur CV. Vous pouvez vérifier cela sur Internet.
Ce sont des scientifiques aguerris, qui ont souvent participé aux débats nationaux, au parlement par exemple pour Philippe de Chazournes ou auprès des organismes de santé.
Bref, ils sont compétents.
En plus, ils n’ont pas de conflit d’intérêts dans le cadre du Covid 19.
Leur parole sur ce sujet est totalement libre.
Cela explique peut-être pourquoi elle est si dissonante. Vous retrouverez la vidéo ici.
Que fait la sentinelle ?
La première à s’exprimer est Hélène Banoun. Elle s’est intéressée aux chiffres de malades du Covid 19 qui se sont présentés chez leur médecin généraliste.
En effet, les médecins généralistes, considérés comme la première ligne de soin et donc la plus vitale – ce sont eux qui repèrent les problèmes graves – sont tenus de notifier toutes les pathologies qu’ils diagnostiquent.
Cela permet aux autorités de santé d’avoir un œil permanent sur les populations malades.
Ce travail est effectué en France par le réseau Sentinelles ; en Allemagne, par l’Institut Robert Koch et en Belgique par Sciensano.
Le réseau Sentinelles est piloté par l’INSERM. Il s’agit de données tout à fait officielles qui réunissent un échantillon représentatif de médecins généralistes.
À partir de ces données, Hélène Banoun tire les conclusions suivantes :
- En France, l’incidence des infections respiratoires aiguës, dont le Covid 19, soignées par les généralistes, est stable depuis fin 2020. Il y a environ 100 malades d’infections respiratoires aiguës par jour pour 100 000 habitants.
- Lors du pic de l’épidémie en avril 2020, ce chiffre était de 400 malades pour 100 000 habitants ;
- D’après Sentinelles, il y aurait 22 000 cas de Covid chez les généralistes par semaine contre 200 000 au niveau du gouvernement ;
- Toujours d’après Sentinelles, le Covid ne représenterait plus que 3% des infections respiratoires aiguës chez les généralistes.
Cela veut dire que 97% des gens qui vont chez leur médecin généraliste en avril 2021 pour une pathologie respiratoire ont un rhume, une grippe ou une autre pathologie. Ils n’ont pas le Covid 19.
Hélène Banoun arrive à cette conclusion très surprenante :
“Nous ne sommes pas en période épidémique !”
Evidemment, ces chiffres suscitent de nombreuses questions.
Pourquoi sont-ils si différents de ceux mis en avant par les médias ou les gouvernements ?
Pourquoi, s’ils sont avérés, les mesures de restrictions sociales sont-elles maintenues ?
Que se passe t’il en ce moment ?
Je vous invite, si vous souhaitez voir le détail des graphiques, à regarder la vidéo du conseil scientifique indépendant ici.
Et la mortalité ?
Vous me direz peut-être que l’important dans une épidémie ce sont les chiffres de la mortalité. Les médias affirment depuis plus d’un an qu’ils sont épouvantables.
Ce n’est pas la conclusion à laquelle arrive Vincent Pavan.
D’après les chiffres de l’INSEE qu’il cite, la mortalité en 2020 est semblable à celle de 2015.
Et l’augmentation de la mortalité entre 2019 et 2020 (+7%) est la même qu’entre 2014 et 2015.
Ce sont de mauvaises années qui interviennent après des années clémentes avec, ce que les épidémiologistes appellent “un effet moisson”.
Le mot est un peu cynique. C’est la moisson de la faucheuse. Elle intervient lorsque la mort s’est montrée paresseuse pendant plusieurs années. Elle n’a pas pris son dû. Tant mieux pour les bénéficiaires. Ils ont gagné un an, deux ans ou plus. Puis survient, un incident sanitaire : une canicule, une mauvaise grippe, un Covid 19…
Cela donne une mauvaise année. C’est triste pour ceux qui se trouvent en deuil.
Mais dans la vie et les tableaux d’un épidémiologiste, cela reste assez anecdotique…
Et les hôpitaux ?
Ils ont bien été saturés en mars/avril 2020 en France mais pas autant que ce que l’Italie ou l’Espagne ont pu connaître.
Puis, ils semblent être restés sous tension depuis mais cela n’a pas grand chose à voir avec le Covid 19.
C’est la situation chronique des hôpitaux.
Elle existait avant la crise du Covid 19 qui n’a fait que mettre en lumière les dysfonctionnements de l’hôpital et le manque de lits pour les patients.
La vraie problématique des hôpitaux aujourd’hui n’est peut-être pas le Covid 19 mais l’absence des patients atteints de cancer ou d’autres pathologies graves qui ne viennent pas se faire soigner ou diagnostiquer parce qu’ils craignent d’attraper le virus.
La science est-elle toujours la science ?
Une fois de plus, comment expliquer la différence d’analyse entre les scientifiques officiels et les scientifiques indépendants ?
C’est à n’y rien comprendre !
L’une des explications que propose Jean-Michel Dominique, anthropologue de la santé, est qu’il existe une corruption systémique.
Cela veut dire que ce ne sont pas les personnes qui composent le système qui sont corrompues mais le système lui-même.
Jean-Michel Dominique explique ce phénomène par le fait que les grandes firmes pharmaceutiques possèdent les revues scientifiques internationales.
Les chercheurs, en conséquence, ne sont plus libres.
Dans le cadre de la crise du Covid 19, ce problème a été oublié, mais il est toujours présent.
Il y aurait une proportionnalité entre la position anxiogène d’un expert sur le Covid 19 et ses conflits d’intérêts. Plus il sert Big Pharma, plus l’expert aura tendance à estimer que la situation est grave et que vous devez vous faire vacciner contre le coronavirus.
À l’inverse, moins un expert est proche de l’industrie, plus il regarde les vrais chiffres et rassure les populations.
La compétence n’a rien à voir là-dedans. C’est ainsi que de grandes figures scientifiques telles que Didier Raoult ou Christian Perronne ont pu être vertement critiquées par les médias alors qu’ils sont absolument reconnus par leurs pairs !
La parole est aux scientifiques…
Pour souligner la corruption du système mondial de santé, Jean-Michel Dominique s’appuie sur les mots des experts eux-mêmes, de ceux qui viennent de l’intérieur.
Ainsi en 2013, une étude de l’Université de Harvard, menée par Marc A Rodwin, intitulée Corruption institutionnelle et politique pharmaceutique, fait état de :
“Pratiques répandues ou systémiques généralement légales qui sapent les objectifs ou l’intégrité d’une institution”.
Le texte précise encore :
“Ces pratiques corrompent la recherche médicale, la production de connaissances médicales, la pratique de la médecine, la sécurité des médicaments et la surveillance du marketing pharmaceutique par les autorités de santé.”
Jean-Michel Dominique cite ensuite un rapport de la Commission européenne qui évoque “le secteur de la santé dans lequel la vulnérabilité à la corruption est généralisée”.
Cette analyse serait également partagée par certaines agences des Nations Unies.
Mais ceux, dont les mots sont les plus durs, restent les principaux concernés : les responsables des grandes revues internationales.
Ainsi en 2002, déjà, le rédacteur en chef du New England Journal of Medicine, Arnold Relman affirmait :
“La profession médicale est achetée par l’industrie pharmaceutique, non seulement en termes de pratique de la médecine, mais aussi en termes d’enseignement et de recherche. Les institutions académiques de ce pays se permettent d’être les agents rémunérés de l’industrie pharmaceutique.”.
Quelques années plus tard, en 2009, la rédactrice en chef Marcia Angell du même journal confirmait :
“Il n’est tout simplement plus possible de croire une grande partie des recherches cliniques qui sont publiées, ni de se fier au jugement de médecins de confiance ou à des directives médicales faisant autorité. Je ne prends aucun plaisir à cette conclusion à laquelle je suis parvenue lentement et à contrecœur au cours de mes deux décennies de travail de rédactrice en chef.
Ces deux personnalités sont des médecins en charge d’une des revues les plus influentes dans le monde médical.
Leurs avis, les études qu’ils valident, leur travail, conditionnent la vie de millions de personnes sur terre !
En 2015, c’est le patron d’une autre revue prestigieuse qui s’y met : Richard Horton, rédacteur en chef du Lancet, là encore une revue décisive en matière médicale. Il affirme sans hésiter :
“La science a pris un virage vers l’obscurité (…) l’endémicité évidente des mauvais comportements en matière de recherche est alarmante.”
Aléas scientifiques et juridiques
Je m’arrête là. Dans la vidéo du Conseil scientifique indépendant, Jean-Michel Dominique poursuit la démonstration.
Il cite Peter Grosche qui a écrit un livre sur l’industrie pharmaceutique en la comparant au crime organisé. Certaines études la comparent à la mafia.
Chaque année, aux Etats-Unis, Big Pharma paye des milliards de dollars en dommages-intérêts aux victimes des médicaments ou de vaccins.
Les thérapies géniques fabriquées à la va-vite dans le cadre du Covid 19 ne feront pas exception à la règle.
Mais l’industrie a déjà intégré ces coûts dans son business plan. Cela fait partie du modèle.
En Europe, les fabricants de vaccins anti-covid ont même réussi à négocier de se faire rembourser les éventuels frais juridiques liés à d’éventuelles plaintes liées à leurs produits.
Et cela ne choque pas un média officiel !
En guise de conclusion…
Il viendra un temps où il faudra nettoyer les écuries d’Augias.
Cela viendra forcément à la fois d’une volonté populaire, politique et scientifique.
Il y a de l’espoir dans ce que dit Jean-Michel Dominique : le système est vrillé mais les gens qui y travaillent sont le plus souvent honnêtes.
En attendant, ni vous, ni moi n’allons révolutionner le système médical mondial !
Que pouvons-nous faire ?
Je vous propose de sortir de la peur.
Les chiffres cités plus haut montrent que le pire de l’épidémie est passé. Les risques sont désormais limités, ce qui ne vous empêche pas d’être prudents comme pour tous les virus.
Sortez ! Allez au soleil faire le plein de vitamine D !
Prenez soin de vous et de votre famille. Respirez !
Il est temps par ailleurs que nos responsables politiques et scientifiques changent de voie : il faut sortir des confinements et des couvre-feux et retrouver une vie normale !
Naturellement vôtre,
Augustin de Livois
MAIS JUSQU’OU IRA-T-ON DANS LA CONNERIE ?
La mosquée de la Tour Eiffel « sera financée à 50 % par de l’argent public », nous dit- on… C’est-à-dire avec les impôts des contribuables Français, ce pays d’origine chrétienne dont l’État revendique officiellement sa laïcité et sa séparation de l’Église et des cultes ?
C’EST UN VÉRITABLE SCANDALE ! FAITES SUIVRE AU + GRAND NOMBRE DE VOS CONTACTS
Puisque les journalistes n’en parlent pas
ATTENTATS DU ONZE SEPTEMBRE /
Tous les physiciens du monde savent que le rapport officiel relatif aux attentats du 11 septembre 2001 viole les lois de la physique.
http://www.reopen911.info/temoignages.html
https://aitia.fr/erd/wp-content/uploads/2018/06/2017-02-18-Escos.pdf
https://odysee.com/@ERTV:1/fran-ois-roby-le-11-septembre-une-mine:7
https://www.youtube.com/watch?v=zugsUvXcX6A
Rapport catastrophique
sur la vaccination en Israël
par Gilad Atzmon
vendredi 23 avril 2021, par Comité Valmy
Rapport catastrophique sur la vaccination en Israël
http://comite-valmy.org/spip.php?article12762
Le Comité populaire israélien (IPC), un organisme civil composé d’éminents experts israéliens de la santé, a publié son rapport d’avril sur les effets secondaires du vaccin Pfizer.* Les conclusions sont catastrophiques à tous les niveaux.
Les conclusions sont catastrophiques à tous les niveaux possibles. Leur verdict est qu’”il n’y a jamais eu de vaccin qui ait nui à autant de personnes”. Le rapport est long et détaillé. Je ne citerai que quelques-unes des conclusions les plus dévastatrices présentées dans le rapport.
“Nous avons reçu 288 rapports de décès autour de la vaccination (90% jusqu’à 10 jours après la vaccination), 64% d’entre eux étaient des hommes.” Pourtant, le rapport indique que “selon les données fournies par le ministère de la Santé, seuls 45 décès en Israël étaient liés à la vaccination.” Si les chiffres ci-dessus sont sincères, alors Israël, qui prétendait mener une expérience mondiale, n’a pas véritablement rendu compte des résultats de son expérience. Nous entendons souvent parler de caillots sanguins causés par le vaccin AstraZeneca. Par exemple, nous avons appris ce matin l’existence de 300 cas de caillots sanguins en Europe. Toutefois, si les conclusions de l’IPC sont authentiques, le vaccin Pfizer pourrait être associé à plus de décès en Israël seulement que le vaccin AstraZeneca dans toute l’Europe.
“Selon les données du Bureau central des statistiques, en janvier-février 2021, au plus fort de la campagne israélienne de vaccination de masse, on a constaté une augmentation de 22% de la mortalité globale en Israël par rapport à l’année précédente. En fait, janvier-février 2021 ont été les mois les plus meurtriers de la dernière décennie, avec les taux de mortalité globale les plus élevés par rapport aux mois correspondants des dix dernières années.”
L’IPC constate que “dans le groupe d’âge des 20-29 ans, l’augmentation de la mortalité globale a été la plus spectaculaire. Dans ce groupe d’âge, on constate une augmentation de 32% de la mortalité globale par rapport à l’année précédente”.
“L’analyse statistique des informations du Bureau central des statistiques, combinée aux informations du ministère de la Santé, permet de conclure que le taux de mortalité parmi les vaccinés est estimé à environ 1 : 5000 (1 : 13000 chez les 20-49 ans, 1 : 6000 chez les 50-69 ans, 1 : 1600 chez les 70 ans et plus). Selon cette estimation, il est possible d’estimer le nombre de décès en Israël, autour du vaccin, à ce jour, à environ 1000-1100 personnes.”
Encore une fois, si cette analyse statistique est correcte, alors les chiffres rapportés par les autorités sanitaires israéliennes sont trompeurs de plus de 22 fois.
Ceux qui suivent mes écrits sont au courant de mon travail sur la corrélation indéniable entre la vaccination, les cas de Covid-19, les décès et la propagation des souches mutantes. L’IPC confirme mon observation, en fournissant des informations plus cruciales concernant les groupes d’âge. “Il existe une forte corrélation entre le nombre de personnes vaccinées par jour et le nombre de décès par jour, dans une fourchette allant jusqu’à 10 jours, dans tous les groupes d’âge. Les 20-49 ans – une fourchette de 9 jours entre la date de la vaccination et la mortalité, les 50-69 ans – 5 jours entre la date de la vaccination et la mortalité, les 70 ans et plus – 3 jours entre la date de la vaccination et la mortalité.”
L’IPC révèle également que “le risque de mortalité après le second vaccin est plus élevé que le risque de mortalité après le premier vaccin.”
Mais la mort n’est pas le seul risque lié à la vaccination. L’IPC révèle que “à la date de publication du rapport, 2066 rapports d’effets secondaires se sont accumulés et sont parvenus au Comité d’enquête civ ; il et les données continuent d’arriver. Ces rapports indiquent des dommages à presque tous les systèmes du corps humain….Notre analyse a révélé un taux relativement élevé de lésions cardiaques, 26% de tous les événements cardiaques sont survenus chez des jeunes jusqu’à l’âge de 40 ans, le diagnostic le plus courant dans ces cas étant la myosite ou la péricardite. On a également observé un taux élevé de saignements vaginaux massifs, de lésions neurologiques et de dommages aux systèmes squelettique et cutané. Il convient de noter qu’un nombre important de rapports d’effets secondaires sont liés, directement ou indirectement, à l’hypercoagulabilité (infarctus), l’infarctus du myocarde, l’accident vasculaire cérébral, les fausses couches, l’altération de la circulation sanguine dans les membres, l’embolie pulmonaire.”
En Israël, le gouvernement cherche désespérément à vacciner les enfants. L’IPC souligne qu’une telle démarche peut être désastreuse. “À la lumière de l’étendue et de la gravité des effets secondaires, nous souhaitons exprimer la position du comité selon laquelle la vaccination des enfants peut également entraîner chez eux des effets secondaires, tels qu’observés chez les adultes, y compris la mort d’enfants en parfaite santé. Comme le coronavirus ne présente aucun danger pour les enfants, le comité estime que l’intention du gouvernement israélien de vacciner les enfants met en danger leur vie, leur santé et leur développement futur.”
L’IPC souligne qu’”il n’y a jamais eu de vaccin qui ait affecté autant de personnes ! Le système américain VARES présente 2204 rapports de mortalité de personnes vaccinées aux États-Unis au premier trimestre 2021, un chiffre qui reflète une augmentation de milliers, en pourcentage, par rapport à la moyenne annuelle, qui s’élevait à 108 rapports par an.”
Je dois mentionner que le travail de l’IPC a été très peu couvert par la presse israélienne. Ces experts de la santé font un travail courageux, sachant que leur licence d’exercice de la profession médicale et leurs moyens de subsistance sont gravement menacés.
Gilad Atzmon
NB de Tal : Voilà de genre de rapport que vous ne verrez jamais sur BFMTV ni dans Le Monde !!!
La vérité sur les effets secondaires des vaccins à ARNm
Par
Cogiito
Philippe A. Jandrok
à diffuser le plus possible.
Il est temps aujourd’hui de dire la vérité, il est temps que chacun l’entende, il est temps que chacun accepte que cette vérité dérangeante choque et en choquera plus d’un.
Je m’appelle Philippe A. Jandrok, je suis auteur et chercheur indépendant, je me bats et vous le savez, depuis près d’une dizaine d’années pour prévenir des dangers de la piquouse, pour que cesse ce massacre d’enfants et de stérilisation forcée à travers le monde.
disponible sur cogiito.com en échange d’un don .
contact@cogiito.com
Nous avons face à nous un empire du mal qui a le pouvoir et l’argent pour nous faire passer pour des « complotistes » ou des « terroristes de la pensée » parce que nous valorisons la vraie Science et non pas le scientisme qui mène à l’extermination du genre humain.
Le plan que nous subissons aujourd’hui est très certainement la réalisation finale d’un plan mis en place depuis de longues années ; mes ouvrages Pandora 8, 9 et bientôt 10 et 11, vous guideront sur la compréhension de ce piège à humains.
L’objectif des mondialistes est de développer un programme transhumaniste pour la « Grande Réinitialisation », qui consiste à faire des citoyens du monde des esclaves soumis et sous contrôle. D’après Catherine Austin Fitz, le transhumanisme conduit à l’esclavage humain (la traite des esclaves d’origine a pris fin parce que les banques ne pouvaient pas collecter leurs garanties lorsque les esclaves étaient vendus ou enfuis) [1]:
L’histoire du monde indique que l’esclavage est l’entreprise la plus rentable de toutes.
L’esclavage est plus rentable que l’exploitation minière, c’est plus rentable que le trafic de drogue, je veux dire que c’est plus rentable que toutes les addictions réunies. Donc, si vous aviez la capacité technologique de mettre en œuvre l’esclavage… L’attitude de ceux qui organisent ces crimes contre l’humanité est, car elle est actuelles :
- OK, mettons-les en esclavage.
La technologie permet également à un petit groupe de personnes de se rassembler beaucoup plus facilement et d’être très puissant, cela peut varier entre la technologie de type Hi Tech et la vaccination. Par exemple, s’ils apportent une technologie énergétique de pointe, le danger est qu’un petit groupe de fous puisse la transformer en arme contre le peuple. La technologie est donc puissante. Plus vous intégrez une technologie puissante, plus vous risquez d’en perdre le contrôle, comme nous le voyons avec la 5G aujourd’hui. Si les mondialistes possédaient une biotechnologie qui leur permettait de vivre 150 ans, ils ne pourraient garder ce secret bien longtemps, la preuve nous savons qu’ils l’ont. Donc, si les plus riches vivent 150 ans et que nous ne le pouvons pas, ils ne peuvent pas garder ce secret pour eux.
Alors, pourquoi ne pas réduire la population ?
Intégrons des robots, se disent-ils, utilisons la robotique pour tout, et nous pourrons avoir une vie de plaisirs, une vie riche et luxueuse sans tous les maux de tête liés à la gestion du quotidien et à la survie.
POURTANT, LES MONDIALISTES NOUS CRAIGNENT.
Nous le peuple, nous devons nous rappeler que les mondialistes ont très peur de la population en général. On m’a dit, déclare Catherine Fitz à plusieurs reprises que les dirigeants des États-Unis se sont réunis pour discuter de « comment pouvons-nous défaire le grand secret ? »
Et chaque fois ils arrivent à la conclusion que c’est impossible. Vous ne pouvez pas annuler le secret parce que les responsabilités sont trop énormes. Donc, si vous êtes le marais et que vous êtes coupable de toutes les différentes choses dont le marais est coupable, et que vous essayez d’ouvrir la fenêtre sur le secret, vous courez d’énormes risques.
Les mondialistes ont donc peur de la population en général. Et l’histoire de la gouvernance est que la population se retourne parfois et tue ses dirigeants.
Il y a donc 325 millions de personnes en Amérique et il y a plus d’armes à feu encore. C’est pourquoi le 2e amendement est une question si épineuse. La plupart des gens dans le monde ne comprennent pas pourquoi les Américains sont si enragés à posséder des armes à feu, parce que c’est un droit constitutionnel.
Depuis deux siècles, ces malfaisants nous font croire que les piquouses sauvent des vies, mais les gens sont de plus en plus malades, la maladie est devenue une industrie, les gens piquousés sont fragilisés au niveau de leurs organes, le cœur est malade, les reins, le foie, le pancréas, le colon, depuis les piquouses et les médicaments synthétiques nous avons des pathologies qui n’existaient que très rarement chez l’homme auparavant.
AU VIETNAM DEPUIS L’INTRODUCTION DES PIQUOUSES, IL Y A EU UNE AUGMENTATION DE 300 % DE CAS D’AUTISME CHEZ LES ENFANTS VIETNAMIENS, MAIS PAS QU’AU VIETNAM, DANS LE MONDE ENTIER.
Aujourd’hui, nos enfants qui naissent en bonne santé sont systématiquement rendus malades par de la fausse science, et par des charlatans qui s’efforcent de croire en leur savoir médical tronqué en se rendant incapable de guérir ces petits anges qu’ils ont assassinés et parfois, malgré eux, car conditionnés par la Faculté de médecine contrôlée par les Barons du Pétrole et les industriels de la pharmacie.
Cette pandémie est la parfaite démonstration du mépris pour l’humanité et pour la vie humaine et animale ; elle est la démonstration absolue de la bêtise des prétentieux du célèbre corps médical qui salissent la science pour le profit et le scientisme, et qui parlent sans savoir ou qui mentent sciemment pour leur profit personnel.
Cette pandémie est également la fabrique des crétins majestueux qui les écoutent comme le messie par millions, et qui courent se faire piquouser avec de faux vaccins qui ne sont même pas des vaccins et ne peuvent légalement pas être appelés « vaccins », car ce sont des dispositifs médicaux.
- « Il s’agit d’un ARNm emballé dans une enveloppe de graisse, qui est délivré à une cellule, c’est donc un dispositif médical conçu pour stimuler la cellule humaine à devenir un créateur d’agents pathogènes. Ce n’est pas un vaccin. Les vaccins sont en fait un terme légalement défini, et ils sont un terme légalement défini en vertu de la loi sur la santé publique, ils sont des termes légalement définis selon les normes du CDC et de la FDA. Et un vaccin doit spécifiquement stimuler à la fois une immunité chez la personne qui le reçoit, mais il doit aussi interrompre la transmission ». [2]
Et ce n’est pas ça. Ils ont été très clairs en disant que le brin d’ARNm qui entre dans la cellule ne sert pas à arrêter la transmission. C’est un donc un traitement.
Mais s’il était discuté comme traitement, il n’obtiendrait pas la validation des autorités de santé publique, car les gens diraient, eh bien, quels sont les autres traitements ?
MODERNA DÉCRIT SON NOUVEAU VACCIN COMME “UN SYSTÈME D’EXPLOITATION INFORMATIQUE” “NOUS PIRATONS EN FAIT LE LOGICIEL DE LA VIE.”[3]
Ce qui démystifie totalement le mensonge des médias selon lequel les vaccins à ARNm ne changent pas votre code génétique.
- « Nous avons construit Moderna (grace à l’aide et au soutien de Bill Gates) sur le principe directeur que si l’utilisation de l’ARNm comme médicament fonctionne pour une maladie, cela devrait fonctionner pour de nombreuses maladies. Et, si cela est possible – avec la bonne approche et l’infrastructure – cela pourrait considérablement améliorer la façon dont les médicaments sont découverts, développés et fabriqués. »[4]
Mensonges et Manipulations
Les impositions sanitaires aberrantes, le couvre-feu pour répondre au discours de “guerre” inventé par la Fondation Gates pour effrayer la population, la faire vivre dans la peur et la pousser à la “piquousisation”, et tout cela à cause d’un supposé virus que personne n’a jamais vu ?
Non, personne n’a jamais vu le gros vide 19, et ceux qui vous jurent du contraire mentent, car, ils n’ont vu que des fragments d’un virus “dénommé” gros vide 19, mais jamais isolé.
Les tests PCR, nouvelle imposture magistrale qui ne sert absolument pas à déterminer si une personne est atteinte ou non par un gros vide, mais par un virus, mais comme le corps humain abritent plus de 346 000 virus, ce test en trouvera bien un pour faire son affaire.
Les tests PCR ont permis à leurs fabricants de devenir milliardaires, avec la complicité des états et des administrations, la vraie science témoigne de leur totale inutilité, comme ces masques qui ne peuvent interrompre la transmission d’un virus pathogène comme est décrit le gros vide.
S’IL ÉTAIT SI PATHOGÈNE, TOUTE LA POPULATION DE PARIS ET BANLIEUE SERAIT ATTEINTE DEPUIS BELLE LURETTE, LE MONDE SERAIT ATTEINT ÉGALEMENT ET NOUS SERIONS TOUS MORTS.
Le danger ne réside certainement pas dans le Gros Vide 19 en lui-même, le danger est caché dans la technologie censée protéger et soigner du gros vide.
Nous savons à présent que les vaccins à ARNm ne protègent pas contre le Gros Vide, ces vaccins n’empêchent à aucun moment le sujet d’attraper un virus qui le mettra en danger de mort.
En revanche voilà ce que font ces vaccins à ARNm et ce dont personne ne parle, d’une part, parce qu’il est interdit de parler des effets secondaires gravissimes et mortels pour ne pas nuire au commerce de centaines de milliards de dollars des ventes de ces vaccins expérimentaux, et d’autre part, pour ne pas dissuader les citoyens de se faire vacciner pour permettre à cette oligarchie de réaliser son rêve de diminuer la population. [5]
L’utilisation des vaccins à ARNm développe des réactions liées à la protéine SPIKE qui est censée agir contre les virus, mais cette protéine SPIKE a également cette fâcheuse tendance à se répliquer et à se retourner contre celui qu’elle est censée protéger.
Mais ce n’est pas tout, des personnes non vaccinées qui ont été mises en contact avec des personnes vaccinées avec ces fameux vaccins à ARNm Pfizer et Moderna, ressentent très rapidement des effets ressemblant à une contamination.
Or, il ne s’agit pas d’une contamination virale, mais plutôt d’une colonisation d’une thérapie génique, comme si des millions de nanotechnologies se reproduisaient et permettaient aux protéines Spike de se reproduire comme des virus dans le corps du non-vacciné malgré lui.
C’est une expérience d’un niveau hors du commun, jamais aucune autre expérience sur le génome humain n’a été mise en place dans toute l’histoire de notre humanité avant celle-ci.
Je rappelle ici que Bill Gates, sa fondation et ses entreprises de recherche sur les virus et le génome ont été dénoncés comme celui et celles qui menaient et finançaient ces expériences interdites, et il semble qu’ils aient réussi à nouveau le sale coup de polluer l’humanité malgré elle à travers sa politique vaccinale et cette fausse pandémie, comme avec les moustiques OGM produit en collaboration avec Google.
Cette technologie ARNm modifie le génome humain, pas seulement des vaccinés, mais également des non-vaccinés grâce aux vaccinés.
C’est-à-dire que la protéine Spike du contaminé vaccinal s’attaque désormais au non-vacciné, et cela, sans qu’il puisse rien faire.
Le vacciné est encore plus contagieux que le COVID, car il pollue son entourage à travers sa respiration, les pores de sa peau et aucun masque ne pourra jamais protéger une personne non vaccinée se trouvant à proximité.
LA PROTÉINE SPIKE ATTAQUE DIRECTEMENT LES TISSUS HUMAINS, CE QUI CAUSE ENTRE AUTRES LA STÉRILISATION DES GENS. DES FEMMES ET DES HOMMES QUI ONT ÉTÉ EN CONTACT AVEC DES PERSONNES VACCINÉES AVEC LES ARNM SE SONT SOUDAIN RETROUVÉS COUVERTS D’ÉTRANGES BLEUS SUR LA PEAU.
Des jeunes filles de dix ans se sont vues régler d’un seul coup,[6] des jeunes filles de 11 ans avec deux périodes de règles dans le mois pour juste avoir été en contact avec ces personnes vaccinées avec l’ARNm. D’autres développant de très sévères migraines, des problèmes de sommeil, des cloques de la taille de leurs poings, des femmes ménopausées depuis des années se retrouvant avec de sévères nouvelles règles, d’énormes caillots sanguins se formant dans leur corps…
Des hommes non vaccinés dormant à côté de leurs épouses vaccinées, se retrouvant au matin, couverts de bleus sur la peau. Un gynécologue de la connaissance de l’infirmière américaine [7] qui fait ces déclarations, demande à ces patientes vaccinées de ne pas se présenter à son cabinet pour éviter qu’elles rencontrent ses patientes non vaccinées, afin d’éviter de provoquer une fausse couche ou qu’elles contaminent et endommagent les fœtus des femmes enceintes, si elles sont à proximité.
Quant aux médecins qui croient aux mensonges du CDC (CDC Bulshit), ils sont encore plus dangereux.
Il y a des tas de témoignages et de cas de nez qui saignent, des risques caillots sanguins qui se forment spontanément grâce à la protéine Spike qui ordonne au corps de coaguler sans nécessité vitale. Il y a même un cas d’animal de compagnie caressé par un vacciné qui en est mort. Le problème est que nous n’avons pas la moindre garantie que ce mécanisme de fabrication de protéine Spike s’arrêtera un jour, il est donc possible que les personnes vaccinées avec les ARNm produisent des protéines Spike à vie, raison de plus pour ne pas les approcher, mais le problème est de savoir faire la différence entre les vaccinés dangereux et les non-vaccinés ?
Si des adultes ont été vaccinés avec les Pfizer et Moderna, il serait sage de ne pas s’approcher de leurs propres enfants tant qu’ils produiront involontairement leur protéine Spike au risque de les contaminer malgré eux.
Ils sont donc obligés de pratiquer la distanciation sociale, non pas parce qu’ils ont le COVID ou pour éviter de l’attraper, mais pour éviter de contaminer les autres avec leur mécanisme de fabrication de protéine Spike qui s’avère aussi terrible que la contagion de la peste.
Durant des mois, les autorités sanitaires nous ont fait croire que chacun était un pestiféré, aujourd’hui les mêmes criminels qui ont diffusé cette propagande sont parvenus à créer des pestiférés qui s’ignorent au cœur des populations.
Vous ne vouliez pas être vacciné et bien vous serez contaminé par les vaccinés qui courent dans les « vaccinodromes » mis en place par Pfizer pour obtenir le vaccin qui les transformera en monstre de contagion, alors pourquoi le ministère de la santé n’en informe pas la population ?
Les personnes vaccinées ne sont pas des personnes intelligentes, car elles ne réfléchissent pas aux conséquences, elles refusent de s’informer sur la science et se contentent d’écouter la TV et la radio qui sont des organes de pure propagande, et d’obéir comme des moutons de Panurge se jetant en toute confiance dans le précipice, mais pire encore, elles nous emportent avec elles en nous contaminant.
Pire, les vaccinés portant le masque sont des bombes bactériologiques sur pattes qui contaminent encore plus leur entourage. Tout était prévu pour créer une véritable pandémie à partir de la propagande vaccinale, et aujourd’hui, ce n’est pas du COVID dont nous devrions avoir peur, mais bien de la modification de nos gènes qui vont nous transformer et nous faire mourir.
Or, toute la propagande était justement d’éviter à tout prix la contagion, mais à présent, celle-ci se fait à travers les vaccins imposés, comment les autorités expliquent-elles ces faits scientifiques avérés ?
Alors, SVP, utiliser votre cerveau pour réfléchir et non pour obéir, informez-vous sur la réalité scientifique et non pas sur les discours de propagande de la presse qui se rend complice de crime contre l’humanité.
Mais, surtout ayez le courage de demander aux personnes si elles sont vaccinées, et si c’est le cas, garder vos distances, car elles vous sont dangereuses.
Vous pouvez les repérer facilement, ce sont les personnes qui obéissent aveuglément et qui portent des masques en pleine nature ou dans la rue ou encore dans leur voiture lorsqu’elles sont seules.
Nous vivons une époque formi…Diable !
NOTES ET LIENS :
[1] https://healthimpactnews.com/2021/catherine-austin-fitts-explains-how-the-globalist-billionaires-and-technocrats-are-planning-on-taking-over-the-planet-and-how-we-can-stop-it/
[2] https://healthimpactnews.com/2021/dr-david-martin-on-experimental-mrna-covid-vaccines-this-is-not-a-vaccine-it-is-a-medical-device/
[3] https://healthimpactnews.com/2021/the-new-mrna-covid-vaccines-inject-an-operating-system-into-your-body-not-a-conspiracy-theory-moderna-admits-it/
[4] https://healthimpactnews.com/2021/the-new-mrna-covid-vaccines-inject-an-operating-system-into-your-body-not-a-conspiracy-theory-moderna-admits-it/
[5] https://healthimpactnews.com/2021/german-microbiologist-they-are-killing-people-with-these-covid-vaccines-to-reduce-the-worlds-population/
[6] https://healthimpactnews.com/2021/women-complaining-of-severe-menstrual-disorders-post-covid-injections-even-if-they-did-not-get-the-shots/
[7] https://mypatriotsnetwork.com/patriot/shocking-info-comes-out-on-the-effects-the-vaccines-are-having-on-others-including-dead-pets/?utm_content=12501488&utm_medium=Email&utm_name=Id&utm_source=Actionetics&utm_term=Email
PS : cet article n’est pas un plaidoyer contre certains laboratoires, mais la démonstration à partir de bases scientifiques et d’exemples solides, que la vaccination avec les nouveaux dispositifs vaccinaux ARNm peut avoir des incidences néfastes sur ceux qui en bénéficient. Les adultes sont libres de leurs choix, ils choisissent en connaissance de cause, si oui ou non, ils souhaitent être vaccinés avec la thérapie génique de Pfizer ou Moderna, mais ils doivent également considérer que leurs actes peuvent avoir des conséquences sur la santé d’autres personnes. Ces données une fois réunies, chacun doit assumer ses choix, que cela soit les choix du sujet vacciné et ceux des laboratoires producteurs et de leurs soutiens, de ces formules à ARNm imposées au public dans le monde. Notre devoir est d’informer nos frères humains en toute honnêteté et sans contraintes, que cela plaise ou non.
m.dogna55@gmail.com
Les dernières insultes aux français
Pour le premier décret il suffit que les parents fassent sécher les cours d’arabe à leurs enfants.
Pour le reste, on ne voit rien d’autre qu’une insurrection générale du pays pour mettre bas cette dictature folle
Les dernières de Macron dont aucune presse n’a parlé !!!
Vérifié sur le site gouvernemental (voir le lien à la fin) effectivement ce n’est pas une « fake news », j’ai trouvé la publication du décret. A l’heure actuelle c’est scandaleux. Bien entendu les médias n’en parlent pas !
Au moment où, à cause du COVID 19 le pays prend l’eau économiquement, au moment où les caisses de la France se vident pour payer nos chômeurs, et où la dette explose… Eh bien, Macron vient de signer “discrètement” un décret pour que des milliers de profs tunisiens soient recrutés et payés par la France pour enseigner l’arabe en cours élémentaires en France. Vous allez penser qu’il s’agit de fake news ???… Eh, bien non, et de surcroît, cerise sur ce mauvais gâteau, l’apprentissage de la langue arabe classique se fera sur les textes du Coran !!!
Cette information nous renvoie à une autre information. Macron vient de signer aussi des financements pour aider les 100 ONG gauchistes qui font pression sur Bruxelles pour obtenir d’augmenter les flux de migrants !!!
D’autre part, Macron vient de s’engager aussi avec Bruxelles à développer le port de Marseille pour créer une grande plateforme européenne d’accueil des migrants !
Il y a donc des dossiers pour lesquels notre président amateur reste très performant !!!
Et voici le lien sur LEGIFRANCE :
https://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000041841288&categorieLien=id
Mail d’un ami du Brésil :
Ici tout est politique, tout est fait pour essayer de renverser le Président de la République
qui n’a aucun pouvoir sur la fraudémie.
Les numéros sont faux comme toujours, plus personne ne meurt de rien d’autre sauf de covid-19.
Mais là où c’est devenu plus grave c’est qu’ils tuent les gens dans les hopitaux.
D’abord il est interdit de donner le traitement précoce, les gouverneurs et secrétaire d´État de la santé
l’interdise, les médecins particuliers ne peuvent plus s’occuper de leurs malades, dès que quelqu’un a des
symptomes on lui donne du paracétamol et on le renvoie chez lui en lui disant que si ça s’empire il revient
à l’hopital. En fait il existe un protocole que les médecins doivent suivre. Quand il revient à l’hopital en
mauvais état il part de suite en UTI et on le met sous oxygène. Bien sûr les UTIs sont toujours remplis
mais ça c’est depuis des dizaines d’années, maintenant ce qui se passe c’est que pendant la nuit ils
diminuent ou coupent l’oxygène des gens pour qu’ils meurent le plus vite possible comme ça l’hopital
reçoit 18 mil reais par mort de covid. Les numéros donc explosent, et le pire c’est qu’ils mettent des gens
dans des sacs pour les enterrer, et il y a plusieurs cas où les gens n’étaient pas motst et même dans ce cas
ils étaient mis dans les sacs. Tout ceci bien sûr est documenté par des vidéos, témoignages des gens, bref
ça devient une vraie boucherie ici. Bien sûr les familles ne peuvent pas enterrer leurs morts, ce qui se passe
c’est qu’ensuite il y a un marché d’organes pour les revendre, de la folie.
Heureusment quand même qu’il y a quelques villes ou les maires n’obéissent pas au Gouverneur,
soignent les gens immédiatement avec le traitement précoce et ainsi sauvent les gens, les
hopitaux se vident.
Bref tout ça pour mettre la responsabilité au Président de la République qui lui essaye de sauver le
pays et les gens mais la presse corrompue le matraque tous les jours en disant qu’il est responsable.
Il est attaqué par le monde entier.
Nous sommes dans une situation très compliquée, personne ne sait ce qui va se passer dans peu de temps,
COURAGE, haut les cœurs, nous sommes proches de grands changements, le plus important étant l’EVEIL DES CONSCIENCES seul moyen de sortir de la PEUR et des CROYANCES FAUSSES dont les medias et les politiciens nous abreuvent à longueur de journée !
Nous sommes des êtres de lumière habitant un corps de matière et c’est cette vérité qui nous mènera vers la paix, la joie et l’amour… Lorsque chacun se laissera guider par son corps de lumière, son intuition profonde, ; alors finies les guerres, les dominations sataniques et le règne des psychopathes milliardaires qui veulent décimer et asservir l’humanité.
En toute fraternité
Tal SCHALLER
ET POUR FINIR :
Très belle synthèse de notre situation appuyée de BD très pédagogiques
en 6 min 1 https://www.youtube.com/watch?v=VKPfiF_bzHI&t=6s
Youtube : La Prophétie de Bison Blanc avec Irène Grosjean
REMARQUABLE de clarté et de puissance !
Seules ceux et celles qui ont gardé le contact avec la Terre
pourront créer des havres de paix et aider ceux qui sont immobilisés dans la peur pour les éveiller
à la fraternité universelle avec tous les êtres vivants !
Cà bouge aussi à Londres et à Paris
https://www.youtube.com/watch?v=6a0PKXPk7gE
https://www.youtube.com/watch?v=klVxSQD-OBo
La preuve en images que tout ce qu’on dit sur la contagion est faux !!!
NOTE DE TAL
Nous sommes dans une situation très compliquée, personne ne sait ce qui va se passer dans peu de temps,
NOTE DE TAL :COURAGE, haut les cœurs, nous sommes proches de grands changements, le plus important étant l’EVEIL DES CONSCIENCES seul moyen de sortir de la PEUR et des CROYANCES FAUSSES dont les medias et les politiciens nous abreuvent à longueur de journée !