Chers Amis

En ce temps où les masques tombent de nombreux mythes sont en train de s’écrouler et les mensonges des gouvernants deviennent de plus en plus évidents ! Vous trouverez ci-dessous des informations capitales pour votre santé et celles de tous.

Nous ne pouvons pas laisser nos enfants se faire injecter des produits appelés à tort « vaccins », d’une toxicité effroyable, au nom d’un soi-disant « couverture vaccinale », concept totalement dénué de toute base scientifique.  On constate une mortalité impressionnante dans tous les pays qui vaccinent mais les media n’en disent pas un mot ! Dans ce blog vous aurez de quoi satisfaire votre curiosité et votre recherche de la vérité…

Faites circuler ces infos autour de vous afin d’œuvrer pour le GRAND REVEIL qui va nous permettre de sortir du délire actuel dans lequel un toute petite minorité d’êtres humains veulent tuer ou contrôler tous les habitants de la planète !

Toutes les preuves sont maintenant devant nos yeux.

AGISSONS POUR LES MONTRER A TOUS, DE TOUTE URGENCE !

ATTENTION, PETITION URGENTE !!!

Frédéric CHAUMONT :

Je vais le proposer sur ma prochaine vidéo, et je l’intègre immédiatement sur www.verite-covid19.fr

 https://secure.avaaz.org/community_petitions/fr/mme_le_juge_jolivet_du_tribunal_de_grande_instance_liberez_le_professeur_fourtillan_victime_dune_tentative_dassassinat/?cDywvsb&utm_source=sharetools&utm_medium=copy&utm_campaign=petition-1233085-liberez_le_professeur_fourtillan_victime_dune_tentative_dassassinat&utm_term=Dywvsb%2Bfr

FAITES CIRCULER CAR LE PROFESSEUR FOURTILLAN EST EN GRAND DANGER, IL FAUT LE LIBERER !!!

Cet homme est mis en prison et détenu dans des conditions épouvantables parce qu’ il a et trouvé un remède révolutionnaire et osé braver les puissants laboratoires

Ce remède, la valentonine qui guérit les principales maladies neurologiques devrait faire l’objet d’un PRIX NOBEL !

Voilà pourquoi la dictature 2021 vous met en prison ,surtout si en plus vous dénoncez les magouilles criminelles qui ont cours.

Signez vite cette pétition, c’est aussi et surtout nos enfants

 

Odysee /(VOSTFR) DERNIER AVERTISSEMENT !

DR. Michael Yeadon

Mike Yeadon, ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer, lance un dernier avertissement.

 Les mensonges des gouvernement cachent quelque chose.

 Restez à l’écart des vaccins expérimentaux. Réagissez avant qu’il ne soit trop tard.

AVEC TRADUCTION EN FRANCAIS

Source : https://www.brighteon.com/e1caeb15-7d67-4ba0-9af9-02e8df3d7f98

Odysee : CENSURE Y🚫UTUBE] AC Prod / L’Affaire AstraZeneca

Un film bouleversant ! Le vaccin  qui tue…Martine Wonner demande

à Olivier Véran d’interdire la vaccination car les chiffres sont alarmants

MACRON VOUS MANIPULE

Il ne s’agit pas d’un vaccin mais d’une arme génétique, démographique, policière, militaire, financière et comportementale car

– elle modifie le génome ( idéologie transhumaniste ) de ses victimes ;

– elle est toxique selon les normes actuelles de l’O.M.S. ;

– elle génère des variants du coronavirus covid19 ;

– elle provoque l’effondrement du système immunitaire de ses victimes ;

– donne aux Etats la capacité de savoir si une personne donnée a été soit disant vaccinée contre le Covid mais, en validité actuelle, victime de cette arme ;

– donne aux Etats la capacité de connaître tous les médicaments pris entre deux instants donnés par une personne victime de cette arme donc toutes les maladies dont elle souffre entre ces deux instants ;

– donne aux Etats la capacité de connaître la position géographique, avec un domaine de confiance de l’ordre du mètre en latitude, en longitude et en altitude, de toutes les victimes de cette arme et de la 5G ;

– donne aux Etats et aux Banques la capacité d’identifier l’auteur d’une transaction financière ou d’une démarche administrative ou juridique s’il a été victime de cette arme ;

– donne aux Etats la capacité de modifier le comportement des victimes de cette arme et de la 5G ;

selon des ingénieurs en informatique, des ingénieurs en intelligence artificielle, des biochimistes, des généticiens, des professeurs de médecine,…

https://fonds-josefa.org/wp-content/uploads/2019/11/Certificat_expertise_aluminium.pdf

https://rumble.com/embed/vbs635/?pub=itmgd

https://twitter.com/i/status/1402220345684381704

https://www.egaliteetreconciliation.fr/Reinfo-Covid-Reunion-publique-du-Conseil-scientifique-independant-du-3-juin-2021-64423.html

https://www.egaliteetreconciliation.fr/Dictature-en-marche-l-incroyable-rapport-du-Senat-sur-la-crise-sanitaire-64440.html

https://www.egaliteetreconciliation.fr/Si-on-accepte-l-identite-numerique-ca-sera-trop-tard-64403.html

https://gloria.tv/post/3DjqfEmJmaBN2pifY3swcFmvy

https://profidecatholica.com/2021/06/09/bio-terrorisme-un-signal-magnetique-emet-depuis-les-bras-qui-ont-ete-vaccine-avec-pfizer-et-moderna-videos/

https://odysee.com/@FlowerPower:b/Vaccin-(nanoparticules)-et-5G—G%C3%89NOCIDE:9

https://odysee.com/@fabroots2:3/LE-TEST-COV-SEMBLE-%C3%8ATRE-UN-SYST%C3%88ME-%C3%A0-nanoparticules-par-administration-intranasale:3

Me FUELMICH

https://m.facebook.com/story.php?story_fbid=2774473686139461&id=100007305694584&sfnsn=scwspmo

Myocardites des enfants vaccinés : Des chiffres terrifiants !

https://www.laminutedericardo.com/LMDR/myocardite-ces-chiffres-terrifiants/

 

Covid et dictature : L’incroyable rapport du Sénat !

https://www.youtube.com/watch?v=cInU4SC_LA0 (15 mn)

Youtube/ Dr. Gérard Delépine : Alerte sur les vaccins et le pass vaccinal (conférence)

La sagesse du dr Delépine est remarquable :

 il montre de manière irréfutable qu’aucune surveillance

des effets secondaires n’est faite et que

vacciner des adolescents ou des enfants est

totalement aberrant

LA MARQUE DE LA BÊTE

https://gloria.tv/post/3DjqfEmJmaBN2pifY3swcFmvy

POURQUOI  LE QR CODE ?

https://www.youtube.com/watch?v=vDttY1a1944

Scandale de santé mondial – Pourquoi les aimants se collent-ils sur la zone du vaccin ?

Stephano Montanari, Pharmacien et Scientifique Italien Expert en

Nanopathologies

Merci de bien vouloir faire circuler, tant c’est grave.

Catastrophe vaccinale à venir !! Explications. (odysee.com)

Geert Vanden Bossche, DMV, PhD, virologue et expert en vaccins, a été anciennement employé par GAVI et la Fondation Bill & Melinda Gates.
Son profil sur LinkedIn : https://be.linkedin.com/in/geertvandenbossche
Del Bigtree, journaliste médical, est l’une des voix prééminentes du mouvement

 sensibilisation aux risques liés aux vaccins.

Sa carrière de producteur du talk-show “The Doctors” de CBS a été récompensée par un Emmy Award.

3000 More Fauci Email’s Found! Keep Going Tucker We Can’t Wait For Faucis Arrest – Dr. Charlie Ward (drcharlieward.com)

Odysee : Docteur T : mon hypothèse sur le magnétisme dans les vaccins ARN m

Une femme médecin anglaise explique comment depuis 15 ans

les marchands de vaccins utilisent des nanoparticules magnétiques

qui vont dans le cerveau et endommagent les nerfs crâniens.

Youtube / Ils utilisent les nanotechs pour contrôler notre cerveau

Philippe JANDROK dit tout sur les buts des oligarques et le

transhumanisme : bientôt tous OGM ( (site cogito.com) par les tests

et vaccins…

Nouvel article sur Cogiito

Protéine Spyke, la mort au tournant

par Cogiito

Pour info : Les e-mails de Fauci révèlent le brouillage du contrôle des dommages après la théorie du COVID-19 artificiel de ZeroHedge https://www.zerohedge.com/covid-19/fauci-emails-reveal-damage-control-scramble-after-zerohedge-spotlights-man-made-covid-19 PAR TYLER DURDEN MARDI 01 JUIN 2021 En janvier 2020, lorsque l’Organisation mondiale de la santé a insisté sur le fait que COVID-19 n’était pas transmissible entre humains, et le Dr Anthony Fauci a […]

Vers le million de morts en France avec les injections d’ARNm

et de cellules de chimpanzés ?

Pierre Lefevre

Madame, monsieur, chère amie, cher ami,

Réussiront-ils à atteindre leur quota de morts ?

Ils annonçaient que la fausse pandémie causerait 900 000 morts en France (une fois 500 000 et une fois 400 000), et il n’y en a eu officiellement qu’un peu plus de 14 000 (sur plus de 700 000 morts annuels en France), soit le nombre de décès habituel associé à la grippe…

Mais que les partisans de l’épuration démographique se rassurent, leurs injections d’ARNm et de cellules de chimpanzés risquent de provoquer 1 000 000 de morts rien qu’en France !

Très exactement, 958 100, si toute la population française de 67 000 000 se faisait injecter leurs mortels poisons.

958 100 morts et 6 834 000 hospitalisations…

Vous voulez en être ? Faites-vous injecter leurs poisons.

Vers 6 834 000 hospitalisations et 958 100 morts dus aux injections d’ARNm et de cellules de chimpanzés ?

Ce sont les projections stupéfiantes que l’on peut faire à partir des chiffres publiés par l’IHU de Marseille.

Sur 559 personnes injectées (ils disent « vaccinées ») à l’IHU de Marseille, 57 d’entre elles ont dû être hospitalisées suite à ces injections, soit 10,20 %, 7 ont été admises en réanimation, soit 1,25 % et 8 sont mortes, soit 1,43 %.

Faites les projections vous-mêmes si 67 000 000 de personnes se faisaient injecter leurs poisons, cela donnerait quoi ?

Il suffit de faire une simple règle de 3.

  

   Sur le même sujet, à ne pas rater :

   – L’interview de Robert F. Kennedy Jr., en cliquant sur « Les vrais chiffres sont effrayants ! »

   – « L’affaire ASTRA ZENECA » et ses témoignages de « la fulgurante dégradation de l’état de santé qui mène à la mort » chez certains injectés. Le témoignage du frère d’une des victimes est éloquent : des caillots sanguins se formaient dans les organes vitaux du corps de son frère, les uns après les autres et ce jusqu’à ce que le mort s’en vienne.

Les Seychelles, paradis terrestre vacciné ???!

https://www.facebook.com/watch/?v=185408216833241

62% des habitants vaccinés et 300 nouveaux cas en trois jours !!

 

Réunion du comité consultatif de la FDA pour envisager d’étendre l’utilisation d’urgence des vaccins COVID chez les jeunes enfants

De chhildrenhealthdefence.

Le comité consultatif de la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis se réunira le 10 juin pour déterminer s’il faut accorder une autorisation d’utilisation d’urgence pour les vaccins COVID pour les jeunes enfants.

Le mois dernier, la FDA a élargi l’autorisation d’utilisation d’urgence (EUA) de Pfizer pour inclure les jeunes de 12 à 15 ans, qui reçoivent désormais le vaccin.

« Nous sommes à la croisée des chemins », a déclaré Mary Holland, présidente et avocate générale de Children’s Health Defence. « Les gouvernements du monde entier détournent l’autorité des parents pour prendre des décisions médicales de vie ou de mort pour les enfants. Ces lois et politiques sont imprudentes, contraires à l’éthique et illégales. Les parents, et non le gouvernement, doivent prendre des décisions médicales pour leurs enfants. »

Holland a déclaré que le problème est plus urgent que jamais, car les médias grand public font la promotion des vaccins pour les enfants de 5 ans et des nourrissons aussi jeunes que 6 mois participent à des essais cliniques.

Pfizer et Moderna ont prédit cette semaine que des enfants aussi jeunes que 5 ans pourraient être éligibles pour les vaccins COVID d’ici début septembre, alors que les deux sociétés terminent les essais.

Ajoutant à l’urgence, de nombreuses villes clés – dont Philadelphie , San Francisco , le district de Columbia et Seattle – revendiquent désormais l’autorité extraordinaire et sans précédent de vacciner des enfants dès l’âge de 11 ans sans le consentement des parents ni même la connaissance des parents.

La FDA a reçu trois pétitions différentes – Children’s Health Defense , Informed Consent Action Network et un groupe de 27 éminents experts et scientifiques de la santé – demandant à l’agence de restreindre les vaccins COVID pour les enfants, ou de suspendre toute utilisation des vaccins jusqu’à ce que d’autres études de sécurité aient été complété.

Certains des auteurs de la pétition prendront probablement la parole lors de la réunion de demain.

Dans un éditorial publié mardi dans le BMJ, quatre des auteurs de la pétition de 27 experts, écrivant au nom du groupe, ont déclaré :

“Le message de notre pétition est” Ralentissez et mettez la science au point – il n’y a aucune raison légitime de se dépêcher d’accorder une licence à un vaccin contre le coronavirus “. Nous pensons que la base de preuves existante – à la fois avant et après l’autorisation – n’est tout simplement pas assez mature à ce stade pour juger de manière adéquate si les avantages cliniques l’emportent sur les risques dans toutes les populations.

ANTENNES 5 G/

Voici un modèle de courrier à adresser aux candidats des élections régionales (aussi en PJ): https://www.robindestoits.org/ELECTIONS-REGIONALES-DE-JUIN-2021_a3064.html

En cette période de numérisation accélérée du monde, les pouvoirs publics  imposent la suppression des zone blanches, pour réduire la supposée fracture numérique,

En cette période où le pouvoir et la compétence des élus locaux et des maires sont réduit à néant, quant à leur légitimité à refuser une implantation d’antennes relais sur leur territoire,

 les laissés pour compte sont les EHS (électrohypersensibles) et ceux qui risquent de le devenir prochainement, au vu de l’augmentation exponentiel du brouillard électromagnétique,

Demandons aux élus et futurs élus de s’engager sur la création de ces zones blanches ou gris clair.–

http://www.robindestoits.org

POUR LUTTER CONTE LES PROTEINES SPIKE :

La tisane d’anis étoilé (BA JIAO ou badiane en mandarin) serait plus performante

en principe actif 9% contre 5% avec les aiguilles de sapin (voir les blogs précédents)

Une info que je crois importante
J’ai un livre qui s’appelle “le petit larousse des plantes qui guérissent”.
Il y a deux pages sur une plante qui s’appelle le fragon.
Sa racine guérit tout problème veineux et circulatoire, dont la thrombose.
Le livre date de 2013. Depuis, je crois que la plante est interdite mais je sais qu’elle est

en vente en gélules (racine broyées) sur biologiquement.com

Une étude horrible révèle que les nanoparticules de vaccin à ARNm circulent dans tout le corps : cerveau, cœur, foie, ovaires, testicules et plus

Mike Adams

Natural News ) Sans surprise, tout ce que l’établissement nous dit sur les vaccins contre le covid a été un mensonge calculé. L’un des mensonges les plus importants et les plus perfides est que “les injections de vaccin à ARNm restent dans le bras et ne font pas circuler de nanoparticules dans le corps”. Nous savons maintenant que c’est un mensonge complet, car de nouvelles recherches menées au Japon montrent que les nanoparticules lipidiques (LNP) contenant le code ARNm circulent largement dans le corps après la vaccination, atteignant le cerveau, la rate, le gros intestin, le cœur, le foie, les poumons et autres organes.

Le document de l’étude, rédigé à l’origine en japonais et traduit automatiquement en anglais, se trouve sur ce lien sur les serveurs de Natural News (PDF) .

Labellisée « Pfizer confidentielle », l’étude est connue sous le nom d’  étude de biodistribution qui utilise des enzymes luciférase et des marqueurs radio-isotopiques pour suivre avec précision la distribution des LNP d’ARNm de Pfizer dans le corps. La première section est intitulée :

Vaccin à ARNm du SRAS-CoV-2 (BNT162, PF-07302048)
2.6.4 Résumé de l’étude pharmacocinétique

L’étude révèle comment les LNP d’ARNm sont distribués dans tout le corps, affectant même les ovaires et les testicules, soulevant d’énormes questions sur la fertilité chez ceux qui reçoivent des vaccins à base d’ARNm. 

 

Un médecin pro-vaccin tire la sonnette d’alarme : « Nous avons fait une grosse erreur :

Un médecin pro-vaccin nommé Dr Byram W. Bridle, PhD. a été interviewé par Alex Pierson du podcast “On Point” . Cette interview est également reflétée sur Brighteon.com et montrée ici. Il dure environ 9 minutes :

Brighteon.com/3d683a15-fc3d-432d-a057-3313969eb075

Dans l’entretien. Le Dr Bridle dit les choses étonnantes suivantes. Rappelez-vous en lisant ceci que le Dr Bridle est 100% pro-vaccin et n’a aucune critique à propos des autres vaccins : (c’est nous qui soulignons)

… la protéine de pointe, à elle seule, est presque entièrement responsable des dommages au système cardiovasculaire. S’il entre en circulation, en effet, si vous injectez la protéine de pointe purifiée dans le sang d’animaux de recherche, ils subissent toutes sortes de dommages au système cardiovasculaire, et peuvent traverser la barrière hémato-encéphalique et causer des dommages au cerveau.

Ils ont trouvé la protéine de pointe en circulation, donc dans le sang de 11 des 13 travailleurs de la santé qui avaient reçu le vaccin. Cela signifie que nous savons depuis longtemps que la protéine de pointe est une protéine pathogène. C’est une toxine. Il peut causer des dommages dans notre corps s’il entre en circulation. Maintenant, nous avons des preuves claires que les vaccins qui fabriquent notre corps ou les muscles ou les cellules de nos muscles deltoïdes, fabriquent cette protéine, pas le vaccin lui-même, et la protéine pénètre dans la circulation sanguine. Lorsqu’elle est en circulation, la protéine de pointe peut se lier aux récepteurs qui se trouvent sur nos plaquettes et aux cellules qui tapissent nos vaisseaux sanguins. Lorsque cela se produit, il peut faire l’une des deux choses suivantes. Cela peut soit provoquer l’agglutination des plaquettes, ce qui peut entraîner une coagulation.C’est exactement pourquoi nous avons vu des troubles de la coagulation associés à ces vaccins. Cela peut également entraîner des saignements. Et bien sûr, le cœur est impliqué, c’est un élément clé du système cardiovasculaire. C’est pourquoi nous voyons des problèmes cardiaques. La protéine, elle, peut également traverser la barrière hémato-encéphalique et provoquer des dommages neurologiques. C’est pourquoi également dans les cas mortels de caillots sanguins, il est souvent observé dans le cerveau.

Bref, la conclusion est que nous avons fait une grosse erreur . On ne s’en rendait pas compte jusqu’à maintenant. Nous avons vu que la protéine de pointe était un excellent antigène cible. Nous n’avons jamais su que la protéine de pointe, elle-même, était une toxine et était une protéine pathogène. Ainsi, en vaccinant les gens, nous leur inoculons par inadvertance une toxine, et chez certaines personnes, celle-ci se met en circulation. Et lorsque cela se produit chez certaines personnes, cela peut causer des dommages, notamment au niveau du système cardiovasculaire. Je n’ai pas le temps, mais beaucoup d’autres questions légitimes sur la sécurité à long terme de ce vaccin. Par exemple, avec l’accumulation dans les ovaires, l’une de mes questions est la suivante : « rendrons-nous les jeunes infertiles, certains d’entre eux infertiles ? » Alors, je vais m’arrêter là.

vous envoie un lien en essence vous savez déjà tout cela, table ronde sur la transmission des pathogènes de vaccinés à non vaccinés

THE COVID VAXXED MUST BE QUARANTINED! Expert Consensus

Au tour du meurtrier Bill Gates !

Yves RASIR

blog39a

Vous suivez « l’Affaire Fauci » sur les réseaux sociaux ?  Je présume que oui et si ce n’est pas le cas, je vous conseille de le faire car c’est un feuilleton palpitant dont voici une petite vidéo récapitulative. En résumé, la déclassification de ses e-mails professionnels révèle que l’immunologue américain, personnage central de la « crise sanitaire », a copieusement menti  aux autorités de son pays et  a délibérément dissimulé un tas de choses à ses compatriotes, notamment son rôle dans le financement du laboratoire P 4 de Wuhan et de ses périlleuses recherches sur les coronavirus. Nonobstant son implication dans ce scandale, sa correspondance dévoile qu’Anthony Fauci n’a jamais cru à l’utilité antivirale du masque, savait depuis le début que les asymptomatiques ne représentaient aucun danger, était au courant que l’hydroxychloroquine pouvait être repositionnée en traitement prometteur et n’ignorait pas que l’infection procurait une immunité naturelle durable. Dans un échange avec Mark Zuckerberg, patron de Facebook, on apprend que le vaccin était déjà en voie de fabrication dès février 2020 et que son développement était évalué à 6 semaines ! Vu que les 3.000 courriels rendus publics n’ont pas encore été tous dépouillés, on peut s’attendre à d’autres surprises car même les médias mainstream  sont en train de déballer le linge sale, du moins chez l’Oncle Sam car en Europe, ces révélations fracassantes font très peu de remous. Dossier à suivre via les canaux alternatifs comme France Soir ou Sud Radio.

L’autre covidingue

Quand sa tête roulera sur le billot, le monde entier pourra se réjouir car de par sa fonction de « Monsieur Covid » étasunien, le Dr Fauci aura été une pièce maîtresse dans la construction du narratif plandémiste. Comme en atteste un message émanant de Jean-François Delfraissy, son homologue français, c’est l’Amérique qui donnait le ton et  qui dictait le « consensus  scientifique» sur lequel se sont appuyés les artisans de la terreur hystérique et les partisans du verrouillage économique. Lorsque le domino Tony tombera à Washington, nos experts en mesures liberticides auront aussi du souci à se faire. Mais n’oublions pas un autre personnage-clé du Corona Circus, un autre covidingue amerloque sans qui le délire sanitaire  totalitaire n’aurait jamais pris une dimension planétaire. Je veux évidemment parler du multimilliardaire Bill Gates, opportunément rebaptisé « Kill » Gates par certains médias anglophones indépendants. Personnellement, je ne vois pas cet éternel adolescent bigleux comme un affreux conspirateur eugéniste ayant cyniquement  planifié un génocide vaccinal. Dans sa fameuse conférence Fedex de 2010,  il parle bien de réduire la population  mondiale de 15% grâce aux vaccins mais il voulait dire par là que la réduction de la mortalité infantile allait conduire à une baisse spontanée de la fécondité. Pour autant, le richissime homme d’affaires ne mérite absolument pas l’absolution et le traitement de faveur que les médias – bénéficiant parfois de ses largesses, comme le journal Le Monde – lui réservent invariablement. Lui, un philanthrope désintéressé ? C’est au contraire un assoiffé d’argent et de pouvoir qui a trouvé dans la distribution de dons le moyen de faire fructifier sa fortune et d’amplifier sa capacité d’influence. Dans la revue Néosanté  de juin 2019, nous avons modestement œuvré à rectifier le récit journalistique à l’occasion  de la sortie du livre de Lionel Astruc « L’art de la fausse générosité », consacré aux entourloupes fiscales et aux manigances financières de la galaxie Gates. Lui, un bienfaiteur de l’humanité ? Peu de gens le savent, mais ce mégalomane transhumaniste ne poursuit pas seulement le rêve de vacciner la terre entière et d’en tracer numériquement tous les habitants. Aux States, il a acheté des millions d’hectares agricoles pour y appliquer un agrobusiness-model dopé aux pesticides et aux OGM, ses deux autres domaines d’investissement privilégiés. Tonton Bill n’est pas seulement le boss de la pharmafia, c’est aussi le parrain omnipotent de l’agrochimie  transgénique.  Ce bourreau de la nature déguisé en sauveur du genre humain est également dévoré par l’ambition pathologique de préserver le globe du réchauffement climatique. Comment ?  En finançant des programmes de géo-ingénierie consistant à masquer le soleil  par l’envoi de  millions de tonnes de poussières dans la stratosphère, ainsi que vous pouvez le vérifier en cliquant ici .  Il y a deux mois, la Suède a bloqué  une expérience visant à tester  dans son ciel la faisabilité de ce projet démentiel . Mais ne croyez pas qu’il soit abandonné et que son  faux mécène va renoncer à sa guerre des ténèbres contre l’astre solaire. Ce type est complètement givré  et en attendant la livraison de son méga-yacht à hydrogène (600 millions d’euros, une bagatelle), il va certainement continuer à dériver vers la folie pure et la technoscience dénuée de toute conscience.

Kill Gates est bien un sérial killer

La saga corona aura au moins permis de mettre sa démence en évidence et à faire surgir l’urgence d’arrêter ses folles entreprises prométhéennes.  Mais comment faire quand  les instances de santé sont sous sa coupe financière , la presse sous son contrôle insidieux et l’oligarchie politique sous son charme pécuniaire   ? Je ne vois qu’une solution : exploiter à fond le dossier des vaccins en exposant le désastre de la vaccination anticovid et  les crimes vaccinaux  que l’ex-mari de Melinda  a sponsorisés dans le passé. Car des casseroles macabres, il y en a aux fesses de cet obsédé sexuel harceleur impénitent de ses employées  et ami du pédophile Jeffrey Epstein. Dans le Tiers-Monde, l’informaticien se prenant pour le médecin du monde a plus d’une fois trucidé l’éthique médicale et financé des expérimentations mortelles sur des peuplades trompées et manipulées. Les journaux occidentaux n’en ont jamais parlé mais le casier médico-judiciaire  du milliardaire est lourdement chargé en Afrique et en Asie. Il a contribué à tuer de nombreuses victimes innocentes lors d’essais cliniques sauvages !  Il y a 15 jours,  un site indien a publié une enquête accablante  sur l’ONG américaine PATH, une des associations pseudo-caritatives que Gates stipendie pour fournir  des cobayes à l’industrie pharmaceutique. Voici une douzaine d’années, cet organisme a procédé à la vaccination expérimentale de jeunes adolescentes indiennes  contre le papillomavirus humain. Plus d’une centaine d’entre elles ont subi de graves effets secondaires et au moins 7 sont décédées à la suite de cet essai effectué sans leur consentement éclairé.  L’affaire a fait grand bruit en Inde à l’époque, il y a même eu une commission d’enquête parlementaire,  mais le scandale a fini par être étouffé et Bill Gates n’a jamais été inquiété.  C’est toute cette histoire que raconte l’investigation de Bernard Marx  pour Greatgameindia, à laquelle la presse occidentale n’a  – à ma connaissance – pas fait le moindre écho.  Ce silence radio m’a paru insupportable et j’ai demandé à Catherine,  collaboratrice ponctuelle et traductrice bénévole pour Néosanté, de  traduire l’article in extenso. Je vous l’offre en lecture ci-dessous, en espérant que ce petit caillou concoure  à lapider la réputation humaniste d’un cinglé sans scrupules  appelé Bill Gates. Si  ce criminel frapadingue tombe dans la foulée de Fauci, la religion vaccinaliste  aura perdu  son  plus illustre prélat et le cauchemar covidiste approchera de sa fin. On tient bon, ami(e)s complotistes !

Comment l’ONG PATH, financée par Bill Gates, a tué des jeunes filles tribales en Inde lors d’essais cliniques non autorisés

par Bernard Marx

publié le 25/05/2021 sur https://greatgameindia.com/bill-gates-path-tribal-girls-india/amp/

Voici l’histoire inédite de l’ONG PATH, financée par Bill Gates, qui a tué des jeunes filles tribales en Inde dans le cadre d’essais cliniques non autorisés de vaccins et s’en est tirée à bon compte.

Nous avons beaucoup entendu parler de l’Inde aux informations récemment. Bien plus que d’habitude. Si l’on en croit les médias populaires, une sorte d’apocalypse s’y déroule. Mais comme c’est souvent le cas, ces reportages sont dépourvus de tout contexte ou perspective[1]. Alors qu’aujourd’hui les médias du monde entier n’en finissent pas de scruter l’Inde – dans leur empressement à soutenir un récit terrorisant sur le Covid-19 – il y a douze ans ces mêmes médias brillaient par leur absence et leur silence tandis qu’une histoire bien réelle s’y déroulait.

Les essais cliniques non autorisés de vaccins

En 2009, une ONG financée par la Fondation Bill et Melinda Gates a réalisé des essais cliniques[2] non autorisés de vaccins sur certains des enfants les plus pauvres et les plus vulnérables du monde. Elle l’a fait sans fournir d’informations sur les risques encourus[3], sans le consentement éclairé des enfants ou de leurs parents et sans même déclarer qu’elle menait un essai clinique.
Après la vaccination, nombre de jeunes participantes sont tombées malades et sept d’entre elles sont mortes. Telles ont été les conclusions[4] d’une commission parlementaire chargée d’enquêter[5] sur cette misérable affaire. La commission a accusé l’ONG de “maltraitance d’enfants” et a produit un grand nombre de preuves[6] à l’appui de ses dires. Toute cette affaire a à peine effleuré le radar des médias occidentaux.
PATH (anciennement Program for Appropriate Technology in Health) est une ONG basée à Seattle, largement financée[7] par la fondation Gates et qui reçoit également des subventions importantes[8] du gouvernement américain. Entre 1995 et le moment où nous écrivons ces lignes (mai 2021), PATH a reçu plus de 2,5 milliards de dollars[9] de la fondation.
En 2009, PATH a mené un projet[10] de vaccination contre le papillomavirus humain (VPH). L’objectif était, selon les termes de PATH, « de générer et de diffuser des preuves favorisant l’introduction éclairée des vaccins contre le VPH dans le secteur public ». Ce projet a été mis en œuvre dans quatre pays : l’Inde, l’Ouganda, le Pérou et le Vietnam. Une autre organisation financée par Gates, GAVI, avait initialement été pressentie pour gérer le projet, mais la responsabilité a finalement été déléguée à PATH. Le projet a été directement financé par la fondation Gates.
De manière significative, chacun des pays sélectionnés pour le projet avait une population ethnique différente et disposait d’un programme national de vaccination financé par l’État. L’utilisation de différentes ethnies dans l’essai devait permettre de comparer les effets du vaccin dans une diversité de groupes de population (l’ethnicité étant un facteur déterminant dans la sécurité et l’efficacité de certains médicaments).
Les programmes de vaccination des pays concernés constituaient un marché potentiellement lucratif pour les entreprises dont les médicaments devaient être étudiés : si les médicaments s’avéraient efficaces et étaient inclus dans les programmes de vaccination nationaux financés par l’État, cela représenterait une manne annuelle de bénéfices pour les entreprises concernées.
Deux types de vaccins contre le VPH ont été utilisés dans l’essai : le Gardasil de Merck et le Cervarix de GlaxoSmithKline (GSK). Dans cet article, nous allons examiner l’essai du Gardasil par PATH en Inde.
Il est intéressant de noter ici la relation entre la fondation Gates et l’une des entreprises dont les médicaments étaient testés. En 2002, la fondation avait, de manière controversée, acheté[11] pour 205 millions de dollars d’actions dans le secteur pharmaceutique, incluant des actions de Merck & Co. Cette opération avait suscité des interrogations en raison du conflit d’intérêts évident entre le rôle de la fondation en tant qu’organisation caritative médicale et son rôle de propriétaire d’entreprises dans le même secteur.
Le Wall Street Journal a rapporté[12] en août 2009 que la fondation Gates avait vendu ses parts dans Merck entre le 31 mars et le 30 juin de cette année-là, à peu près au moment où commençaient les essais sur le terrain du vaccin contre le VPH en Inde. Ainsi, pendant toute la durée de ce projet (déjà opérationnel en octobre 2006[13]), et jusqu’aux essais finaux sur le terrain, la fondation a joué un double rôle : celui d’une organisation caritative responsable en termes de soins et celui d’un propriétaire d’entreprise responsable en termes de profits.
Ces conflits d’intérêts sont la marque de fabrique de la fondation Gates depuis 2002. Lors de ses apparitions régulières à la télévision en 2020[14] pour promouvoir la vaccination contre le Covid-19 – avec un soutien particulièrement enthousiaste[15] à l’effort de Pfizer-BioNTech – l’objectivité de Bill Gates n’a jamais été mise en doute. Pourtant, sa fondation est copropriétaire[16] de plusieurs fabricants de vaccins, dont Pfizer, BioNTech et CureVac.

Le vaccin contre le papillomavirus humain (VPH)

Le vaccin contre le VPH vise à prévenir le cancer du col de l’utérus. Le Gardasil avait été lancé avec succès par Merck aux États-Unis en 2006, mais ses ventes étaient menacées après qu’une série d’articles parus dans des revues médicales américaines eurent jugé que ses risques l’emportaient sur ses avantages.
Une analyse[17] des rapports transmis au Système de notification des événements indésirables liés aux vaccins (VAERS) des Centres pour le contrôle et la prévention des maladies (CDC) sur les effets indésirables du Gardasil, a été particulièrement préjudiciable. Cette analyse a été publiée dans le Journal of the American Medical Association (JAMA) le 19 août 2009.
Parmi les 12 424 effets indésirables signalés, 772 ont été considérés comme graves, dont 32 décès. Les autres effets secondaires graves comprenaient des troubles auto-immuns, des événements thromboemboliques veineux (caillots sanguins) et le syndrome de Guillain-Barré.
Dans la même édition du JAMA, le Dr Charlotte Haug, alors rédactrice en chef du Journal of the Norwegian Medical Association, écrivait[18] : « La question de savoir si un risque vaut la peine d’être pris dépend non seulement du risque absolu, mais aussi du rapport entre le risque potentiel et le bénéfice potentiel. Si les bénéfices potentiels sont substantiels, la plupart des individus seront prêts à accepter les risques. Mais pour une femme, le bénéfice net du vaccin contre le VPH est incertain. Même si elle est infectée de façon persistante par le VPH, une femme ne développera probablement pas de cancer si elle se soumet régulièrement à un dépistage. Rationnellement elle devrait donc être prête à n’accepter qu’un faible risque lié au vaccin. » Le Dr Haug faisait également remarquer que « lorsqu’on évalue les risques et les bénéfices, il convient également de se demander qui prend les risques et qui en retire les bénéfices » – une allusion claire à Merck, le fabricant du Gardasil.

La controverse sur le Gardasil

Les tentatives de Merck pour promouvoir le Gardasil étaient controversées. Le Dr Angela Raffle[19], l’une des plus grandes spécialistes britanniques du dépistage du cancer du col de l’utérus, a décrit la stratégie de marketing de Merck comme « un bélier chargeant sur le ministère de la Santé et un pilonnage à la périphérie ».
Le Dr Raffle craignait que l’incitation à la vaccination de masse ne nuise au programme de dépistage efficace qui fonctionne au Royaume-Uni depuis les années 1960 : « Je crains que la panique instaurée pour des considérations commerciales afin d’introduire rapidement le vaccin contre le VPH ne nous fasse reculer et n’aggrave notre programme de lutte contre le cancer du col de l’utérus. »
Diane Harper[20], professeur à la faculté de médecine de Dartmouth dans le New Hampshire, qui a dirigé deux essais du vaccin, a affirmé catégoriquement[21] que le Gardasil ne pouvait pas protéger contre toutes les souches de VPH.
Lorsque Merck a lancé une énorme campagne de relations publiques en 2007 pour persuader les gouvernements européens d’utiliser le produit pour vacciner toutes les jeunes filles du continent contre le cancer du col de l’utérus, Dr Harper a déclaré : « Les programmes de vaccination de masse (constitueraient) une expérience de santé publique à grande échelle… Nous ignorons beaucoup de choses. Nous ne savons pas si le vaccin sera efficace dans la durée. Pour être honnête, nous n’avons pas actuellement de données sur son efficacité chez les jeunes filles. Nous vaccinons contre un virus qui attaque les femmes tout au long de leur vie et continue à provoquer des cancers. Si nous vaccinons les filles à 10 ou 11 ans, nous ne saurons pas avant 20 à 25 ans si cela fonctionne ou non. Le pari est énorme ».
Ainsi, à l’époque où PATH menait ses essais en Inde, en Ouganda, au Pérou et au Vietnam, le Gardasil était un vaccin controversé : sa sécurité, son efficacité et les tentatives de Merck pour le promouvoir étaient mises en question, non par les anti-vaccins et les théoriciens du complot, mais par l’establishment médical international et les médias dominants respectés.

Les filles de Khammam

En 2009, le district de Khammam faisait partie de l’état d’Andhra Pradesh, à l’est de l’Inde (depuis les changements de frontières effectués en 2014, le district de Khammam appartient à l’état du Telangana). La région, essentiellement rurale, est considérée[22] comme l’une des parties les plus pauvres et les moins développées de l’Inde.
Khammam abrite plusieurs groupes ethniques tribaux, représentant environ 21,5% de sa population (quelque 600 000 personnes) selon certaines estimations. Comme souvent chez les populations indigènes[23] ailleurs dans le monde, les groupes tribaux de Khammam souffrent d’un manque d’accès à l’éducation. Par conséquent, leur niveau d’alphabétisation est considérablement inférieur à celui de l’ensemble de la région.  Quelque 14 000 filles[24] ont reçu une injection de Gardasil dans le district de Khammam en 2009. Les filles recrutées pour le projet de PATH avaient entre 10 et 14 ans et étaient toutes issues de milieux à faibles revenus, principalement tribaux. Beaucoup d’entre elles ne vivaient pas avec leur famille mais dans des ashrams pathshalas (foyers gérés par le gouvernement), situés à proximité des écoles qu’elles fréquentaient.
Le professeur Linsey McGoey, de l’université d’Essex, a déclaré[25] par la suite qu’elle pensait que les filles des ashrams pathshalas avaient été ciblées pour le projet car c’était un moyen de « contourner la nécessité de demander le consentement parental pour les injections ».
Si l’Inde a été très présente dans l’actualité ces derniers temps, la couverture de ce pays et de ses affaires est généralement discrète. Bien que l’Inde abrite près d’un cinquième de la population mondiale, les reportages sur ce pays sont rares. Peu d’entre nous sont conscients, par exemple, de son histoire abyssale en matière de santé et de sécurité[26] ou de sa longue tradition de corruption[27] au sein du gouvernement.
Des chercheurs de profit sans scrupules profitent de ces défaillances depuis des décennies. Les médias occidentaux ne rendent compte des conséquences de ces actions que lorsque leur ampleur est trop importante pour être ignorée.
En 1984, nous avons appris[28] que quelque 7 000 personnes avaient été tuées et plus d’un demi-million blessées après avoir été exposées[29] à un gaz mortel, l’isocyanate de méthyle, suite à une fuite de gaz[30] dans l’usine de pesticides Union Carbide à Bhopal. Mais au cours des années qui ont précédé la catastrophe, nous n’avons rien su de la culture de normes déficientes et de mépris des réglementations[31] qui était en fin de compte responsable de ce désastre.

Le rapport accablant de l’ONG Sama

Il est donc ‘’normal’’ que le projet de PATH visant à administrer et à étudier les effets du vaccin contre le VPH soit passé inaperçu en Occident. De même qu’en Inde : les médias indiens ne sont pas plus réputés pour leurs reportages sur les groupes tribaux que les médias occidentaux pour leurs reportages sur les Indiens.
Malgré les inquiétudes[32] exprimées en octobre 2009 par Sama[33], une ONG basée à Delhi qui défend la santé des femmes, le sujet n’a pas été relayé dans l’actualité indienne.
Ainsi, ce projet n’aurait pas pu être plus ignoré des radars s’il s’était déroulé sur la lune, et il l’est resté pendant plusieurs mois jusqu’à ce que, début 2010, des informations commencent à filtrer à Khammam, indiquant que quelque chose avait terriblement mal tourné : plusieurs des filles qui avaient participé aux essais étaient tombées malades et quatre d’entre elles étaient mortes.
En mars 2010, des membres de Sama se sont rendus à Khammam pour en savoir plus sur les bruits qui couraient. Ils ont appris[34] que jusqu’à 120 filles avaient subi des effets indésirables, notamment des crises d’épilepsie, de graves maux d’estomac, des maux de tête et des sautes d’humeur. Les représentants de Sama sont restés à Khammam pour enquêter davantage sur la situation.
L’implication de Sama a finalement porté l’affaire à l’attention des médias indiens et, face à un barrage de publicité négative, le Conseil indien de la recherche médicale (IMCR) a suspendu[35] le projet PATH. C’est alors que le Commission permanente de la santé du Parlement indien a commencé à enquêter[36] sur cette affaire.
Le 17 mai, Sama a produit un rapport[37] accablant soulignant, entre autres, que les essais avaient été présentés comme un programme de vaccination gouvernemental et non comme un projet de recherche, que les filles n’avaient pas été informées qu’elles pouvaient choisir de ne pas participer aux essais et que le consentement parental n’avait pas été demandé ni donné dans de nombreux cas.
Le rapport indique que « de nombreuses jeunes filles vaccinées continuent de souffrir de maux d’estomac, de maux de tête, de vertiges et d’épuisement. Des rapports font état de l’apparition précoce des menstruations, de saignements abondants et de crampes menstruelles sévères, de sautes d’humeur extrêmes, d’irritabilité et de mal-être suite à la vaccination. Aucun suivi ou contrôle systématique n’a été effectué par les fournisseurs de vaccins. »
Sama a également contesté l’affirmation du gouvernement de l’état d’Andhra Pradesh selon laquelle le décès de quatre des filles ayant participé aux essais n’avait rien à voir avec la vaccination.

La Commission parlementaire

Les rouages de la bureaucratie tournent lentement. C’est seulement trois ans plus tard, le 30 août 2013, que le rapport[38] de la Commission permanente de la santé du Parlement indien a finalement été publié. Si beaucoup s’attendaient à ce que l’affaire soit balayée sous le tapis, il n’en fut rien: la lecture de ce rapport est révoltante.
Le rapport condamne à la fois PATH et le Conseil indien de la recherche médicale, concluant[39] que « la sécurité et les droits des enfants ont été fortement compromis et violés ». La commission a constaté[40] que PATH, bien qu’opérant en Inde depuis 1999, n’avait aucune autorisation légale pour le faire. Elle a noté que, bien que l’organisation ait finalement reçu un certificat du Registre des sociétés de l’Inde en septembre 2009, ce certificat lui-même était en infraction avec la loi.
Le rapport indique[41] que « PATH…. a violé toutes les lois et réglementations établies pour les essais cliniques… son seul objectif a été de promouvoir les intérêts commerciaux des fabricants de vaccins contre le VPH. Il s’agit d’un grave abus de confiance… car le projet engageait la vie et la sécurité de fillettes et d’adolescentes qui, pour la plupart, n’étaient pas conscientes des implications de la vaccination. Il s’agit également d’une grave violation de l’éthique médicale. Cet acte de PATH est une violation flagrante des droits humains de ces fillettes et adolescentes. Il s’agit également d’un cas avéré de maltraitance d’enfants ».
La commission a accusé[42] PATH de lui avoir menti et d’avoir tenté de l’induire en erreur au cours de son enquête et a recommandé[43] au gouvernement indien de signaler les violations des droits de l’homme commises par PATH à l’OMS, à l’UNICEF et au gouvernement américain.
Le rapport déclare[44] que la totalité du plan mis en œuvre par PATH était une tentative cynique d’assurer des profits continus à Merck et GSK :
« Le choix des pays et des groupes de population, la nature monopolistique – à ce moment-là – du produit promu, le potentiel et les opportunités de marché illimités dans les programmes de vaccination universelle des pays concernés, sont autant d’indices d’un plan bien orchestré pour exploiter commercialement une situation.
Si PATH avait réussi… cela aurait généré un profit exceptionnel pour les fabricants par le biais d’une vente automatique, année après année, sans la moindre dépense de promotion ou de marketing. Il est bien connu qu’une fois introduite dans un programme d’immunisation, il devient politiquement impossible d’arrêter une quelconque vaccination. »
« Pour atteindre cet objectif sans effort, sans passer par la voie ardue et strictement réglementée des essais cliniques, PATH a eu recours à un subterfuge en appelant les essais cliniques “Études observationnelles” ou “Projet de démonstration” et autres expressions de ce genre. Ainsi, l’intérêt, la sécurité et le bien-être des personnes ont été mis en péril absolu par le biais d’une nomenclature autodéterminée et autosuffisante, instrumentalisée par PATH, ce qui est non seulement hautement déplorable mais constitue une violation sérieuse de la loi du pays. »

Des jeunes indiennes utilisées comme cobayes

Ces accusations ont été reprises[45] par des voix éminentes de la communauté médicale indienne. « Il est choquant de voir comment une organisation américaine a utilisé des méthodes furtives pour s’établir en Inde », a déclaré Chandra M. Gulhati, rédacteur en chef de l’influent Monthly Index of Medical Specialities, « (ce) n’était pas de la philanthropie ».
Samiran Nundy, rédacteur émérite du National Medical Journal of India et critique de longue date[46] des pratiques corrompues dans le domaine de la santé n’a pas mâché ses mots : « C’est un cas évident où les Indiens ont été utilisés comme cobayes ».
Le rapport de la commission permanente était également très critique à l’égard de la relation entre PATH et les membres de plusieurs agences de santé indiennes, mettant en évidence de multiples conflits d’intérêts[47].
Sur la question du consentement éclairé[48], la commission a confirmé la véracité des allégations de Sama, constatant que la majorité des formulaires de consentement n’étaient signés ni par les enfants ni par leurs parents, que nombre d’entre eux étaient postdatés ou n’étaient pas datés du tout, que plusieurs formulaires avaient été signés par les mêmes personnes (souvent les gardiens des foyers où vivaient les filles) et que de nombreuses signatures ne correspondaient pas au nom figurant sur le formulaire. L’enquête a révélé que les parents n’avaient pas reçu d’informations sur la nécessité alléguée de la vaccination, ses avantages et ses inconvénients ou ses effets secondaires potentiels.
Aucune assurance[49] n’était prévue pour aucun des enfants en cas de dommages et « PATH ne prévoyait pas de soins médicaux urgents et spécialisés en cas d’événements indésirables graves ». De plus, PATH a gravement enfreint[50] les réglementations sanitaires indiennes en effectuant un essai clinique de médicament sur des enfants avant d’avoir effectué un essai de ce même médicament sur des adultes.
Concernant les jeunes filles décédées, la commission a critiqué[51] PATH, les autorités médicales indiennes et le gouvernement de l’état d’Andhra Pradesh pour avoir sommairement écarté le lien entre leur décès et la vaccination sans mener d’enquêtes approfondies. En 2016[52], quelque 1 200 jeunes filles ayant participé aux deux essais de vaccins contre le VPH en Inde faisaient état d’effets secondaires graves à long terme, soit plus de 5% de la cohorte totale de 23 500 personnes. À cette date, le nombre total de décès était passé à sept.

Un silence de mort

Cette effroyable violation de l’éthique médicale et des droits de l’homme est passée presque totalement sous silence en dehors de l’Inde. La Commission permanente de la santé du Parlement indien a littéralement accusé[53] une ONG américaine de maltraitance d’enfants, en fournissant de nombreuses preuves[54] à l’appui de ses allégations, mais les médias occidentaux n’en ont quasiment pas fait mention.
Les revues de vulgarisation scientifique Nature[55] et Science[56] ont chacune publié un bref article sur le désastre, mais aucune des deux n’est entrée dans le détail des violations légales et éthiques de PATH. Si l’article de Science est au moins légèrement critique, celui de Nature privilégie la réfutation des accusations par le directeur de PATH, Vivien Tsu.
La façon dont les médias du monde entier sont financés[57] par la fondation Gates, et dont cela affecte les reportages[58] sur la fondation elle-même et les organisations qu’elle parraine, mériterait un article à part entière[59]. Mentionnons tout de même qu’à ce jour la BBC a reçu[60] un total de 51,7 millions de dollars et le Guardian[61] 12,8 millions de dollars.

In memoriam, par Seth Berkley, PDG de GAVI

Le Guardian, qui prétend donner une voix aux plus vulnérables dans le monde, est resté curieusement silencieux sur les jeunes filles de Khammam. Du moins à l’exception d’un article[62] publié en octobre 2013, environ six semaines après la publication du rapport de la commission permanente. L’article n’a pas été écrit par l’une des filles ou l’un de leurs parents, ni par l’une des femmes de Sama qui avaient plaidé en leur faveur, ni même par l’un des parlementaires indiens chargés d’enquêter sur l’affaire. Non. Il a été écrit par un Américain du nom de Seth Berkley. PDG de GAVI, un autre mastodonte de la santé financé par la fondation Gates.
Berkley a profité de sa tribune dans le Guardian pour affirmer que les jeunes filles décédées après avoir été vaccinées à Khammam s’étaient suicidées. Évoquant les 14 000 sujets ayant participé aux essais, il a déclaré : « Il aurait été inhabituel qu’aucun d’entre eux ne se suicide par la suite. » Pour la compassion on repassera. Et dans son déni de cette iniquité, pas une seule fois Berkley n’a abordé les multiples violations de la loi et de l’éthique, ni le rôle de PATH et de son employeur, la fondation Gates. The Guardian a commencé à recevoir[63] des fonds de la fondation en août 2010. Avant cet accord, en 2007, le journal avait publié deux articles qui critiquaient les tactiques de lobbying[64] utilisées par Merck pour promouvoir le Gardasil, et mettaient en doute son efficacité[65] dans les programmes de vaccination de masse. Suite à l’accord conclu avec Gates, le Guardian s’est cantonné dans une couverture positive[66] de ce médicament (et de la vaccination contre le VPH en général).

Le gouvernement indien cède à l’influence de Bill Gates

Le gouvernement indien était réticent à prendre les mesures recommandées par le commission. Après tout, des organisations comme PATH mettaient d’énormes sommes d’argent[67] à la disposition de l’État, des institutions et des particuliers. Finalement, aucun rapport officiel sur les violations des droits de l’homme ne fut adressé par les autorités indiennes à l’OMS, à l’Unicef ou au gouvernement américain, ainsi que l’avait recommandé[68] la commission.
Cependant, en 2017, le gouvernement annonça[69] qu’il n’accepterait plus les subventions de la fondation Gates pour son Unité de soutien technique à la vaccination, une organisation qui fournit des ‘’conseils en matière de stratégie vaccinale’’ pour le compte d’environ 27 millions de nourrissons. Néanmoins, le gouvernement indien continue d’accepter les subventions de la fondation dans d’autres domaines.
Merck et son vaccin Gardasil contre le VPH ont remarquablement prospéré depuis les sombres événements relatés dans cet article. Le scandale de Khammam n’a jamais vraiment affecté l’entreprise du fait qu’il n’a quasiment pas été ébruité en dehors de l’Inde. Rien qu’en 2018, les ventes de Gardasil se sont élevées à plus de 3 milliards de dollars[70], grâce à son inclusion dans les calendriers vaccinaux du monde entier et à son lancement cette même année en Chine.
PATH ne s’est jamais aussi bien portée. Tout comme pour Merck, l’absence de reportages sur ce qui s’est passé à Khammam a permis à l’organisation de ne pas être affectée. Depuis 2010, elle continue de recevoir[71] d’énormes financements de la fondation Gates et, dans une moindre mesure, du gouvernement américain. Au cours de cette période, la fondation a fourni à PATH plus de 1,2 milliard de dollars[72].
La Fondation Bill et Melinda Gates a continué à étendre sa toile d’influence. Décrivant les pratiques de l’organisation à l’époque des événements relatés ici, Jacob Levich a déclaré dans Aspects of India’s Economy[73] : « En substance, la fondation achetait des stocks de médicaments qui n’avaient pas réussi à créer une demande suffisante en Occident, en élargissait la promotion à un prix réduit et concluait des accords d’achat à long terme avec les gouvernements du Tiers monde. »
Depuis, la fondation Gates a migré vers des pâturages encore plus lucratifs. La pandémie de Covid-19 l’a véritablement propulsée sur le devant de la scène. Bill Gates lui-même a vu son profil public et son influence politique croître[74] à un point encore inimaginable même en 2019.
Malgré son manque de qualifications scientifiques ou de mandat électoral, il insiste régulièrement sur la nécessité d’une vaccination de masse à l’échelle planétaire avec des produits fabriqués par les entreprises qu’il possède[75], en utilisant les plateformes[76] que lui offrent les médias qu’il finance[77].
Et les filles de Khammam dans tout ça ? Ces pauvres enfants et leur détresse étaient à peine connues en dehors de l’Inde en 2010. Dire qu’on les a oubliées sous-entendrait pour commencer que l’on ait eu connaissance de leur situation et que l’on s’en soit soucié.
Source : https://notesfromthenewnormal.com/?p=339 (11/05/2021)
À LIRE AUSSI :
Une étude publiée par The Lancet montre que le vaccin Dipthérie-Tétanos-Coqueluche de Bill Gates a tué dix fois plus de petites filles africaines que la maladie elle-même.
06/01/2021 : https://greatgameindia.com/bill-gates-dtp-vaccine-africa/

Une interview exclusive du Dr Roger Hodkinson – “Quand l’histoire de cette folie sera écrite, les réputations seront massacrées et il y aura du sang dans le caniveau”.

Une interview exclusive du Dr Roger Hodkinson – « Quand l’histoire de cette folie sera écrite, les réputations seront massacrées et il y aura du sang dans le caniveau ».

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Par The Daily Expose le mai 23, 2021
Les vaccins pourraient provoquer une “stérilité masculine massive”, Anthony Fauci est un “homme mort” et l’enquête sur la pandémie laissera “du sang dans le caniveau” avec des réputations déchirées en lambeaux pour leur pure “idiotie”.
Le Dr Roger Hodkinson déclare qu’il existe “suffisamment de preuves dans la littérature” pour montrer que la protéine spike s’exprime dans le placenta et les testicules – et qu’elle pourrait tuer les bébés à naître dans les grossesses en cours et empêcher définitivement les hommes d’avoir des enfants.
Il a également déclaré que personne ne devrait écouter des personnes comme le prince Harry qui préconise le jab car il n’a “rien entre les oreilles”.
Le Dr Hodkinson est pathologiste de formation et possède de vastes connaissances en matière de maladies infectieuses, de virologie et de médecine factuelle. Il a fait ses études à l’université de Cambridge et à la faculté de médecine de l’University College Hospital de Londres, avant de s’installer au Canada en 1970 et de suivre une formation à l’université de Colombie-Britannique.
Il s’est fait connaître par son discours devant le conseil municipal d’Edmonton, le 13 novembre de l’année dernière, à propos du vote sur l’extension des ordonnances de port de masque obligatoire, dans lequel il a déclaré que la réaction au Covid était “le plus grand canular perpétré sur un public peu méfiant”.
Et maintenant, bien qu’il ait décrit les vaccins comme des “théories incroyablement intelligentes”, le Dr Hodkinson a lancé un autre appel passionné, demandant l’arrêt du déploiement afin de mener des enquêtes supplémentaires.

Par Stefan Schultz
Il a déclaré : “Je suis un pathologiste de carrière sérieux, fondé sur des preuves, qui a tout fait en pathologie aux niveaux national et provincial et je prends la science fondée sur des preuves très, très au sérieux. Je ne suis pas un théoricien de la conspiration, je ne suis pas un anti-vaxx, je ne suis rien de tout cela. Mais lorsque je vois dans la littérature certaines choses qui pourraient – je le souligne – avoir de sérieuses séquelles potentielles à long terme, je pense qu’il est de mon devoir de me lever et de tirer la sonnette d’alarme et de dire “hé, arrêtez le train, avez-vous vu cela ? Il faut l’examiner. J’espère que c’est faux, mais montrez-moi les données”.
“ La donnée dont je parle est bien décrite dans la littérature, celle de l’expression significative du récepteur ACE 2 à la fois dans le placenta et dans les testicules. Et plus important encore, dans les testicules, il s’agit des cellules qui produisent réellement les spermatozoïdes, les précurseurs, appelés spermatogonies. Il est clair qu’il y a un excès de protéine spike en circulation à la suite d’une poussée inattendue chez certaines personnes ayant reçu le vaccin.
“Et cette circulation amène la protéine de pointe partout, y compris dans le placenta des femmes qui se trouvent être enceintes à ce moment-là, ce qui est un coup unique pour cette grossesse particulière, probablement pas pour les suivantes. Mais il y a aussi la possibilité d’un impact sur les testicules, ce qui, bien sûr, n’est pas un impact unique, mais pourrait être un impact permanent.
“Dans un monde où nous savons que le nombre de spermatozoïdes a chuté de 40 % au cours des 10 ou 20 dernières années – une baisse massive et inexpliquée du nombre de spermatozoïdes – nous n’avons pas besoin de coups supplémentaires sur la fertilité masculine.
“Des rapports inquiétants, à vérifier, font état d’une augmentation des fausses couches à la suite de la vaccination. Cela me préoccupe, c’est certain, mais je suis plus préoccupé par le potentiel d’infertilité masculine qui pourrait être permanent. Il s’agit en grande partie d’une prudence appropriée compte tenu de la littérature scientifique.
“Vous ne pouvez pas tester la fertilité dans un essai qui dure six mois. La dernière fois que j’ai vérifié, la grossesse dure neuf mois. Et pour tester les grossesses séquentielles et la nécessité d’études de fertilité à plus long terme, on ne peut pas le faire en dehors d’une fenêtre de deux à quatre ans, ce qui est le délai normal pour un essai de nouveau vaccin.”

Ces derniers jours, le ministre de la santé, Matt Hancock, a qualifié de “grande nouvelle” le fait que toutes les personnes âgées de 32 ans et plus peuvent désormais réserver leur vaccin Covid, répétant le mantra qu’il est à la fois sûr et efficace. Et l’appel à la vaccination des enfants est de plus en plus fort, Hancock ayant déclaré la semaine dernière : “J’ai suivi de près les résultats des études cliniques de Pfizer qui montrent que le vaccin est sûr et efficace chez les enfants âgés de 12 à 18 ans.”
Le Dr Hodkinson a déclaré : “C’est absolument scandaleux. Écoutez, les enfants ne meurent pas de cette maladie, du moins dans ma propre province, aucun décès de moins de 19 ans n’a été enregistré. C’est la même chose au niveau international.
“Tout d’abord, les enfants ne meurent pas de cette maladie, ils n’en souffrent même pas. La grande majorité d’entre eux s’en débarrassent sans même savoir qu’ils en sont atteints. Ce n’est donc pas un problème pour les enfants. Et si ce n’est donc pas plus un problème qu’un rhume banal pour les enfants, alors pourquoi diable les soumettons-nous à un vaccin non testé ? Ce n’est pas une urgence, ce n’est pas nécessaire et il a des complications potentielles sur la fertilité et c’est donc totalement imprudent.
“On pourrait le décrire comme l’événement unique en matière de faute professionnelle médicale dans l’histoire de la médecine, parce qu’il n’y a pas de consentement éclairé. Pour eux, dire un seul mot de quatre lettres sans aucun qualificatif, dire que c’est sans danger est une déformation massive non seulement de la langue anglaise mais vous rend extrêmement coupable devant les tribunaux, s’ils n’étaient pas protégés par la loi pour être poursuivis en tant que bureaucrates et politiciens. Tout médecin individuel qui ferait cela serait traîné devant son collège avant de pouvoir cracher pour défaut de consentement éclairé.
“Vacciner les enfants est absolument obscène – obscène. Ils ne sont pas menacés et vous les mettez en danger.”
Le niveau de coercition, cependant, est également en augmentation. L’application NHS s’est transformée en Passeport vaccinal et des discussions sont en cours cette semaine – notamment avec la Premier League de football – pour les introduire au niveau national. Royal Ascot pourrait être utilisé comme pilote pour ce projet.
Néanmoins, le prince Harry, qui a déménagé en Amérique pour avoir plus d’intimité mais qui a baigné dans les feux de la rampe depuis, est apparu lors d’un événement Vax Live pour appeler les gens à se faire vacciner.
Le Dr Hodkinson a dit : “S’il avait quelque chose entre les oreilles, il vaudrait peut-être la peine d’être écouté. Qui se soucie de ce que les stars de cinéma et les membres de la royauté disent à ce sujet ? Ce sont tous des idiots congénitaux à mon avis.
“Permettez-moi de brosser un tableau général du contraste entre les vaccinations et les autres formes de thérapies. S’il s’agit en fait d’une urgence comme ils le prétendent, ce que je conteste, mais croyons-les sur parole, ils l’utilisent pour vacciner des personnes sans vaccin testé de manière appropriée. Si vous acceptez qu’il s’agisse d’un vaccin potentiellement dangereux, pour lequel il existe de plus en plus de preuves de danger, comparez cela à l’interdiction faite aux médecins de prescrire de l’ivermectine, ou de la vitamine D d’ailleurs.
“Ici, nous avons des médecins individuels en relation avec leurs patients individuels qui sont traditionnellement censés donner un jugement pour que le patient décide en plein consentement. Mais l’ivermectine a, sur le papier, d’énormes preuves d’efficacité, tout en se révélant, contrairement au vaccin, incroyablement sûre, des milliards de doses sur de nombreuses années d’utilisation.
“Nous avons donc ici un agent qui, d’accord, n’est peut-être pas efficace, nous l’acceptons, c’est encore une incertitude dans une certaine mesure, mais il peut fonctionner et il est sûr. On ne peut donc pas jouer sur les deux tableaux. Si vous dites que vous vaccinez les gens parce que c’est une urgence, vous devriez retirer les chiens aux médecins pour leur permettre de décider individuellement si un agent est potentiellement efficace et doit être utilisé parce qu’il est sûr. On ne peut pas avoir le beurre et l’argent du beurre”.
Le Dr Hodkinson ne croit pas à la plupart des théories existantes et affirme que ce qui se passe n’est rien d’autre que le refus des politiciens d’admettre qu’ils ont tort.
“Ils sont constamment pris au piège d’une erreur qu’ils ont eux-mêmes commise et dans laquelle ils ne peuvent pas admettre qu’ils ont eu tort et, par conséquent, ils redoublent d’efforts”, a-t-il déclaré. “Ce n’est rien de plus que cela et ils ne peuvent pas l’admettre. C’est pourquoi ils veulent lutter contre ce problème – zéro Covid et toutes ces idioties qui, d’un point de vue scientifique, sont ridicules. Cela ne peut pas se produire de manière concevable.
“Ce virus est partout. Il est dans un aérosol dans chaque allée de chaque magasin d’alimentation, que vous passiez devant quelqu’un ou non. C’est le jeu de roulette de la vie, vous pouvez l’attraper, vous ne pouvez pas. Et si vous l’attrapez, que vous avez moins de 65 ans et que vous êtes en bonne santé, ce ne sera rien de plus qu’une grippe ordinaire, à l’exception d’un petit nombre de personnes qui vont malheureusement contracter une infection grave et certaines d’entre elles en mourront. C’est vraiment tragique et je ne veux pas être insensible en disant cela, mais cela arrive chaque année avec la grippe. En fait, des enfants meurent de la grippe chaque année.
“Il y a plus de risques qu’un enseignant se rende à l’école en voiture et meure d’une collision frontale que de mourir d’un Covid qu’il pense avoir attrapé à l’école. Alors, faut-il retirer les voitures de la circulation ? Non, nous ne le faisons pas. Nous vivons avec le risque d’une collision frontale chaque fois que nous croisons une voiture sur la route. Cela fait partie des risques de la vie quotidienne. Ces gouvernements veulent contrôler tous les risques de la vie. Et ce n’est qu’un exemple.
“Je ne pense pas qu’il s’agisse d’une grande conspiration coordonnée au niveau international par les grands réinstallateurs, pas du tout. Est-ce qu’ils en profitent énormément ? Incontestablement. Et de façon méprisable. Mais pour ce qui est de la raison de son maintien, je pense qu’il faut examiner un certain nombre de facteurs. La première raison pour laquelle il est maintenu est que les tests asymptomatiques montrent un nombre énorme de faux positifs, certainement lorsque vous commencez à atteindre des seuils de cycle supérieurs à 35, la grande majorité, 90 %, sont des faux positifs.
“Cela donne un graphique dans le journal du matin qui soutient l’hystérie de la population parce qu’elle n’a pas d’informations pour contrer ce qui se passe. Et les politiciens utilisent ces graphiques pour renforcer l’idiotie déjà en cours.
“Le verrouillage s’est maintenant transformé en vaccins, puis en passeports vaccinaux, le tout au même rythme. Mais la deuxième raison pour laquelle l’hystérie continue est la censure internationale impitoyablement efficace des trois sources habituelles d’information pour le grand public en dehors du gouvernement, à savoir les politiciens individuels, qui ont été expulsés de leur parti, au moins au Canada, pour avoir osé s’exprimer, les journalistes, les médias grand public sont corrompus au niveau international, au moins au Canada, ils ont été soudoyés pour se taire par l’argent qui leur est versé à la pelle – on ne mord pas la main qui vous nourrit. Mais surtout les médecins, qui sont la source la plus respectée et la meilleure pour le grand public pour tout ce qui concerne cette question.
“Écoutez, je suis dans le jeu ici et vous ne pouvez pas imaginer à quel point les médecins sont pétrifiés – j’utilise ce mot à bon escient – à quel point les médecins sont pétrifiés dans ce pays par leurs organismes de réglementation, les soi-disant collèges de médecins et de chirurgiens. Ils ont la capacité de vous enlever votre gagne-pain d’un simple clic de doigt.
“C’est comme la chambre étoilée du Moyen Âge, vous êtes coupable jusqu’à preuve du contraire, vous devez financer votre propre défense et ils ont l’habitude de gagner ou de vous ruiner en cours de route. Alors le médecin typique se tait.
“Ce ne sont pas seulement les collèges qui peuvent vous censurer, ce sont les institutions dans lesquelles vous travaillez qui peuvent vous refuser des privilèges. Au moins avec le collège, il y a la possibilité de contester la décision. Avec les institutions qui vous accordent des privilèges pour opérer par exemple, ils ont une ligne directe avec les ministères et ce ne serait pas enregistré, ce serait juste “attrapez ce type” clic. Et c’est fini. C’est terminé. Vous n’opérez plus.
“Mais il s’agit d’une situation classique où les politiciens respectent le principe le plus important en politique : ne jamais s’excuser, simplement transformer l’erreur en quelque chose d’autre et passer à autre chose. Ils se sont mis dans ce pétrin immédiatement à cause de cet idiot de l’Imperial College de Londres, Neil Ferguson, qui n’est ni médecin ni épidémiologiste, mais physicien théorique. Il était notoirement faux d’un ordre de grandeur dans ses prédictions sur les épidémies précédentes et personne au niveau international n’a fait preuve de diligence raisonnable dans sa dernière idiotie basée en grande partie sur ce qui se passait avec les personnes âgées à Milan.
“Ils ont tous supposé que c’était l’Armageddon qui arrivait. Avec la vitesse de la communication moderne, les médias ont repris cette idée, les médias se gavent de crises et cela a atterri sur le bureau de tous les premiers ministres le lendemain matin, avec la demande de leur numéro 2 de faire quelque chose de visible, de faire quelque chose parce que l’Armageddon arrive.
“Ils ont donc fait toutes ces choses stupides pour lesquelles il n’y a aucune preuve d’efficacité dans la littérature médicale et, lorsqu’il a été démontré que cela ne fonctionnait pas, ils ont simplement redoublé d’efforts, encore et encore. Comme je l’ai dit, c’est une situation classique où la politique joue le rôle de la médecine, ce qui est un jeu extraordinairement dangereux.
“Mais je ne pense pas que [le virus] soit une fuite intentionnelle du laboratoire de Wuhan, c’est certainement une conséquence de la recherche de Gain of Function qu’Anthony Fauci a directement financée. C’est un virus fabriqué aux États-Unis. Ils se sont donc mis dans le pétrin et plutôt que de l’admettre, de s’excuser et de revenir à la normale, comme c’est le cas en Floride, la plupart des juridictions se contentent de redoubler d’idiotie et d’espérer que le problème disparaîtra, car c’est toujours le cas en été, lorsque le soleil se lève et que nous recommençons tous à fabriquer de la vitamine D.
” Mais ils prétendront qu’ils l’ont fait disparaître parce que les cas étaient en baisse. Le piège classique du sophisme est bien sûr que ce n’est pas parce que B suit A que A a causé B et ils revendiqueront le mérite de la disparition pendant l’été.
C’est la raison pour laquelle nous nous retrouvons dans cette situation, parce qu’ils n’ont pas mis leur culotte et n’ont pas dit “j’avais tort”, mais ils ont continué sur leur lancée.
“Regardez Fauci, si un masque ne fonctionne pas, eh bien peut-être deux ou trois ou peut-être 10. Si vous en portez 10, je vous garantis que vous n’aurez pas de Covid parce que vous serez en fait mort d’hypoxie. Laissez-moi vous le dire explicitement : les masques ne fonctionnent pas. Point. Point final. Rien ne fonctionne. Rien ne pourrait fonctionner. Rien n’a fonctionné. Et rien ne fonctionnera. La vie devrait être normale et la responsabilité personnelle utilisée pour la contrôler de la manière habituelle.
“Lorsque vous êtes derrière quelqu’un qui fait la queue dans un magasin d’alimentation, vous ne lui tapez pas sur l’épaule en lui disant ‘hé, excusez-moi, puis-je aspirer la morve de votre nez’ ? Nous ne faisons pas ça. Nous nous comportons de manière responsable. Nous l’obtenons, nous la transmettons à notre famille, nous obtenons l’immunité collective de manière naturelle. Vous n’avez pas besoin que le gouvernement soit impliqué dans cette affaire. Protéger les personnes dans les maisons de retraite devrait être la seule chose à faire. Et il y a moyen de le faire sans vaccination, même pour les personnes âgées.
“Mais ce type [Fauci] est corrompu. C’est un idiot et un corrompu. Il a ses doigts dans le gâteau dans divers brevets et ainsi de suite. Et il essaie d’esquiver la balle qui se rapproche de plus en plus de lui. Il y a une interview qu’il a donnée dans laquelle il a regardé droit dans les yeux la caméra et a dit avec des mots très précis d’avocat : “Nous n’avons pas payé pour la recherche sur Gain of Function dans le laboratoire de Wuhan”. Il se défile à la télévision aux heures de grande écoute.
“Mais ils vont l’avoir. C’est un mort-vivant en ce moment. Il devrait être emprisonné. La tête dans le sable. Ces lockdowns tuent les gens. Mis à part les années de vie ajustées à la qualité perdues, avec toutes les dépressions et les quasi-suicides et les faillites et toutes les tragédies des gens qui ne viennent pas aux funérailles et les mariages annulés et les fermetures d’écoles et ainsi de suite, c’est le genre de choses pour lesquelles on va en prison dans une société civile.”
Et d’ajouter : “Il ne s’agit même pas d’une théorie de la conspiration sur le contenu des vaccins. Ce sont des théories vaccinales incroyablement intelligentes qui sont utilisées, et elles pourraient bien connaître un succès incroyable dans d’autres programmes de vaccination futurs. La science est remarquable et je leur tire mon chapeau.
“Mais il s’agit d’une nouvelle technologie et de ces événements indésirables qui sont enregistrés, dont les décès peu après la vaccination ne sont pas les moindres, et qui ont augmenté de façon remarquable” Les décès signalés sont d’un ordre de grandeur supérieur à ceux des programmes de vaccination précédents et cela devrait attirer l’attention des gens. Nous essayons de sauver des gens ici. Mais il semble que nous soyons en fait en train de tuer des gens”.
Le Dr Hodkinson s’est également moqué de la peur que suscitent les variantes, les versions indienne et du Yorkshire étant toutes deux renforcées, apparemment prêtes à anéantir tout espoir d’ouverture complète du virus au Royaume-Uni le 21 juin : “Notre système immunitaire est incroyablement efficace et ces variantes, dont seule la séquence d’acide nucléique ne varie que de trois pour cent par rapport à la version originale, font que le reste du virus sera attaqué par le système immunitaire, qu’il s’agisse d’une variante ou non.
“Mais ce qui est inadmissible ici, c’est qu’à chaque fois que vous vous retournez, ils utilisent une statistique dans le mauvais sens. Par exemple, imaginez que je suis un médecin qui vous rend visite et que vous êtes une grand-mère dans une maison de retraite et que vous avez reçu du Covid, prouvé, admettons qu’il était exact. Vous avez des symptômes qui vont avec.
Alors je dis : “Hé, mamie, tu sais quoi, ton risque de mourir de ça est trois ou quatre fois plus élevé que celui de la grippe”. Et vous diriez ‘ça n’a pas l’air bon’.
Le lendemain, j’entre dans la maison de ma grand-mère et je lui dis : “Hé, grand-mère, on dirait que vous avez le Covid, mais laissez-moi vous rassurer. Si c’était la grippe, vous auriez 99 % de chances de survivre et avec Covid, vous avez 96 % de chances de survivre. Grand-mère dirait : “Hé, docteur, ça n’a pas l’air trop grave, vous pouvez me laisser partir maintenant” ?
“Ce sont exactement les mêmes statistiques qui sont déformées pour maintenir le récit. Leur travail devrait consister à apaiser les inquiétudes, pas à les amplifier.
“Ce n’est pas seulement les petites lumières comme moi. Vous avez entendu Jay Bhattacharya, l’un des épidémiologistes les plus estimés au monde, déclarer publiquement à Stanford que “les lockdowns ont été la plus grande erreur jamais commise en matière de santé publique”. C’est à cette échelle de stupidité que ça se passe.
“Lorsque l’histoire de cette folie sera écrite, et il y aura des centaines de livres sur le sujet au cours des prochaines années, des réputations seront massacrées. Il y aura du sang dans le caniveau à cause de la folie évidente de ce qui se passe à une échelle qui n’a jamais été vue auparavant.”

Source : Daily Expose

Des informations en direct des opposants américains ( plus nombreux et plus virulents que les nôtres, dont un certain Robert Kennedy neveu de l’ancien président)

R.Raymondier

Les avertissements sont clairs: vacciner les enfants contre covid est un pari dangereux

Les responsables de l’industrie pharmaceutique et de la santé du gouvernement ment les parents et les adolescents pour qu’ils se font vacciner en promettant un retour aux événements sociaux et à une vie normale , tout en ignorant les préjudices potentiels et le risque « minuscule » que la COVID pose aux enfants

Il y a dix ans, les chercheurs de l’Ohio déploraient la difficulté de recruter des enfants pour les essais cliniques. Dans l’article« Pediatric Drug-Trial Recruitment: Enticement Without Coercion », publié dans la revue Pediatrics, les chercheurs ont identifié des obstacles tels que « la difficulté de déterminer des paiements appropriés pour la participation qui ne sont pas coercitifs », « la nécessité d’obtenir le consentement des parents » et « les préoccupations éthiques ».

Avec COVID-19, il semble que le gouvernement et l’industrie pharmaceutique aient déterminé qu’ils peuvent simplement sauter sur ces obstacles embêtants.

Le 10 mai, la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis a étendu l’autorisation d’utilisation d’urgence (EUA) de la FDA pour le vaccin Pfizer / BioNTech COVID aux adolescents âgés de 12 à 15 ans.

Le comité de la FDA qui a dirigé la décision a choisi d’ignorer les avertissements urgents du monde entier sur les risques du vaccin pour les enfants, y compris une lettre de 93 médecins israéliens qui ont écrit en avril que «même une poignée d’enfants ne devraient pas être mis en danger par la vaccination de masse contre une maladie qui n’est pas dangereuse pour eux. »

Selon un récent articledu New York Times , « Pour les enfants, les preuves jusqu’à présent n’offrent pas beaucoup de raisons de s’alarmer des effets à long terme de COVID-19 ». À l’inverse, les médecins israéliens et d’autres experts ont souligné qu’« il n’est pas exclu que le vaccin ait des effets indésirables à long terme qui n’ont pas encore été découverts à l’heure actuelle, y compris sur la croissance, le système reproducteur ou la fertilité ».

Avertissements ignorés

Malgré les avertissements concernant les risques liés au vaccin contre la COVID pour les enfants, les Centers for Disease Control and Prevention (CDC) ont immédiatement approuvé l’expansion de l’EUA de la FDA, et la directrice des CDC, Rochelle Walensky, a appelé les fournisseurs de soins de santé à commencer à administrer le vaccin encore à l’étude aux jeunes adolescents « immédiatement ».

Incroyablement, un comité des CDC* a également donné aux fournisseurs la permission d’administrer les vaccins contre la COVID avec d’autres vaccins pour les enfants et les adolescents « sans tenir compte du calendrier » – y compris « l’administration simultanée de COVID-19 et d’autres vaccins le même jour, ainsi que la co-administration dans les 14 jours ».

Les CDC fondent ces conseils imprudents sur l’hypothèse non prouvée selon laquelle « les profils d’événements indésirables sont généralement similaires lorsque les vaccins sont administrés simultanément et lorsqu’ils sont administrés seuls », même si l’agence admet également qu’elle ne sait pas « si la soi-disant « réactogénicité » augmente avec la co-administration [du vaccin] ».

La promotion scandaleusement cavalière d’une approche sans retenue de la vaccination contre la COVID pour les enfants américains va à l’encontre de l’opinion collective des experts mondiaux en vaccins (exprimée lors d’une réunion de l’Organisation mondiale de la santé en décembre 2019) selon laquelle la science de la sécurité vaccinale et la surveillance de l’innocuité sont imparfaites et totalement inadéquates.

Pas moins d’une entité que l’Institute of Medicine a déclaré que la recherche systématique sur « les éléments clés de l’ensemble du calendrier [de vaccination infantile] – le nombre, la fréquence, le moment, l’ordre et l’âge lors de l’administration des vaccins » – n’a jamais été effectuée.

Contournement du paiement

Pour en revenir aux obstacles au recrutement décrits dans l’article de Pediatrics de 2011, il semble qu’au lieu de « payer » pour la participation à l’essai de vaccin de masse de Pfizer, la stratégie déployée par Walensky et d’autres consiste à attirer les adolescents avec des assurances ensoleillées d’un « retour plus rapide aux activités sociales ».

Le PDG de Pfizer, Albert Bourla, et la commissaire de la FDA, Janet Woodcock, ont également promis aux jeunes que la vaccination contre la COVID équivalait à un retour à un « sentiment de normalité ».

Ces promesses semblent n’être que le ticket pour les adolescents socialement affamés qui se déclarent « tous prêts à obtenir [le vaccin] » et « excités de relancer les choses » après avoir été « enfermés pendant un an ».

Six cent mille jeunes de 12 à 15 ans se sont précipités pour avoir des jabs COVID dans la première semaine de l’expansion de l’EUA. En comptant les jeunes de 16 et 17 ans qui avaient déjà reçu le vaccin de Pfizer, le nombre total d’adolescents injectés (âgés de 12 à 17 ans) s’élève désormais à 4,1 millions, a annoncé M. Walensky.

Ces adolescents et ces familles n’étaient probablement pas au courant des événements indésirables graves — comme les caillots sanguins et le syndrome de Guillain-Barré — que les personnes de 16 ans et plus étaient déjà vécues. Après qu’un athlète de 17 ans de l’Utah a développé des caillots sanguins dans son cerveau un jour après avoir reçu sa première injection de Pfizer, la mère du basketteur a exprimé en larmes les remords deson acheteur, déclarant que son fils était « en bonne santé et bien avant » et « la chose la plus difficile était, je l’ai laissé se faire tirer dessus ».

La plupart des parents et des adolescents ne se concentrent pas non plus sur le fait que l’acceptation d’une injection de COVID ne sera pas la fin de l’histoire. Les injections de rappel de la COVID sont déjà en vue – introduisant la perspective de risques récurrents et cumulatifs.

Contourner les parents

Comme le suggèrent les chiffres cités ci-dessus, une proportion importante de parents semblent être d’accord avec la conformité rapide de leurs enfants. En avril, juste avant l’expansion de l’EUA, un sondage de la Kaiser Family Foundation a testé les eaux et a révélé que 30% des parents ayant des enfants dans le groupe d’âge 12-15 étaient eux-mêmes en mesure de « faire vacciner leur enfant dès qu’un vaccin sera disponible » – et 18% étaient prêts à le faire si les écoles l’exigeaient.

D’autre part, environ la moitié des parents interrogés par Kaiser ont déclaré qu’ils prévoyaient d’attendre ou qu’ils ne feraient « certainement » pas vacciner leur enfant contre la COVID. C’est le groupe de parents qui a incité les chercheurs de l’Ohio en 2011 à se gratter la tête et à caractériser « la nécessité d’obtenir le consentement des parents » comme un obstacle à l’expérimentation médicale pédiatrique.

La « solution » semble être de contourner complètement les parents gênants. Cinq États, sans tenir compte du statut d’investigationdes injections, permettent aux prestataires de soins de santé et aux cabinets médicaux de se passer des exigences de consentement parental pour les vaccins COVID.

En Caroline du Nord,les adolescents de 12 ans et plus peuvent donner leur propre consentement s’ils sont jugés capables de comprendre et de prendre des décisions concernant leur santé. Un représentant du groupe de santé lourd de l’État UNC Health a déclaré: « La vaccination contre le COVID est l’un de ces traitements médicaux auxquels la Caroline du Nord dit qu’un enfant peut consentir par lui-même. »

Trois autres États – l’Alabama, l’Oregon et le Tennessee – permettent aux adolescents de 14 ou 15 ans et plus de faire de même, et l’Iowa laisse les exigences de consentement à la discrétion de « chaque fournisseur de soins de santé / système de santé individuel ».

En mars, face à l’opposition publique vive, le district de Columbia a promulgué une législation permettant à des enfants d’à peine 11 ans d’obtenir les vaccins recommandés par les CDC sans le consentement des parents ni même à la connaissance de leurs parents

À la fin de 2020, des chercheurs de l’Université de New York (NYU) et de Tulane ont écrit dans l’International Journal of Clinical Practice sur les vaccins CONTRE LA COVID et la « grave préoccupation mécaniste » de l’amélioration dépendante des anticorps (ADE) – le phénomène par lequel la vaccination aggrave la maladie ultérieure.

La conclusion à laquelle sont parvenus les chercheurs (non spécifique aux adolescents, mais certainement pertinente pour eux) était que le risque d’ADE « est suffisamment obscurci dans les protocoles d’essais cliniques et les formulaires de consentement pour les essais de vaccins COVID-19 en cours pour qu’une compréhension adéquate de ce risque par les patients ait peu de chances de se produire, ce qui évite un consentement véritablement éclairé des sujets dans ces essais ».

Indépendamment du sujet de l’ADE, l’étude des auteurs de NYU/Tulane a démontré à quel point il est difficile pour l’adulte moyen — et encore moins pour l’adolescent — de pénétrer les risques « obscurcis » dans les formulaires de consentement et d’obtenir ainsi un « consentement véritablement éclairé ».

Et si c’est le cas, quelle est la probabilité que les adolescents (ou leurs parents) comprennent la distinction entre le risque relatif et le risque absolu lorsqu’ils consentent à la vaccination contre la COVID? Combien de jeunes peuvent comprendre que l’affirmation de Pfizer basée sur le risque relatif d’un vaccin «efficace à 100%» pour les 12-15 ans se traduit par une réduction absolue du risque (« la différence entre les taux d’attaque avec et sans vaccin ») qui est «teensy-tiny»?

En utilisant des calculs de risque relatif, Pfizer a déclaré son injection « 100% efficace » sur la base d’essais avec 2 260 adolescents plus jeunes. Selon le communiqué de presse de la société, 18 cas de COVID sont survenus dans le groupe placebo contre zéro dans le groupe vaccinal. Pfizer n’indique nulle part que ces chiffres équivalent à une réduction du risque absolu de 1,59 % (obtenue en divisant 18 par les 1 129 adolescents affectés au groupe placebo).

De plus, dans les analyses de ses essais cliniques avec des adultes, Pfizer a falsifié ses résultats en excluant des milliers de participants qui présentaient des symptômes identiques à ceux de la COVID mais non confirmés par pcr. Un tour de passe-passe similaire a-t-il produit le résultat magique « à 100% » pour les adolescents? L’accès à des « ensembles de données complets ainsi qu’à un examen età des analyses indépendants » est nécessaire pour répondre à cette question.

Même en supposant une analyse simple de la part de Pfizer, les scientifiques européens écrivant dans The Lancet en avril ont souligné l’importance de mettre les résultats des essais de vaccins « dans leur contexte et non pas seulement d’examiner une mesure sommaire ». Lorsque les chercheurs omettent de l’information sur la réduction du risque absolu et ne communiquent que des chiffres relatifs sur la réduction du risque, « un biais de déclaration est introduit, ce qui affecte l’interprétation de l’efficacité du vaccin », ce qui soulève des questions sur l’intention et l’intégrité des chercheurs.

L’auteur principal du commentaire du Lancet a admis à Wired: « L’une des principales raisons pour lesquelles la réduction du risque absolu n’est pas indiquée est à cause des chiffres. Si vous dites: « C’est efficace à 95% » – Wow! … Mais si votre réduction du risque absolu est de l’approche de 0,8 %…, et alors?

Les auteurs du Lancet ont également noté que les risques relatifs « devraient être considérés dans le contexte du risque d’être infecté et de tomber malade de la COVID-19, qui varie selon les populations et au fil du temps ».

Il s’agit d’une observation particulièrement cruciale pour les enfants, dont le « risque de fond » de développer une maladie COVID grave est minuscule, comme en témoigne le fait que les CDC utilisent les 5-17 ans comme «groupe de référence» (le groupe présentant le plus faible risque) lorsqu’ils présentent des risques d’infection, d’hospitalisation et de décès COVID pour d’autres groupes d’âge.

Il y a 74 millions d’enfants aux États-Unis. Jusqu’à présent, 282 personnes sont mortes de conditions « impliquant COVID », produisant un taux de mortalité de 0,00038%. Lors de la réunion du 12 mai du Comité consultatif sur les pratiques d’immunisation (ACIP) des CDC, les CDC ont estimé que 22,2 millions d’enfants âgés de 5 à 17 ans avaient eu la COVID et que 127 étaient décédés , soit 0,00057 %.

Comme l’a déclaré un spécialiste des maladies infectieuses de l’Université de Pennsylvanie au New York Times: « Pour l’enfant moyen, Covid est un risque négligeable ».

À titre de comparaison, en 2019 (l’année la plus récente pour laquelle des données sont disponibles), 847 enfants âgés de 5 à 14 ans sont morts dans des accidents de voiture et 233 ont péri par noyade. Chez les 15-24 ans,l’année 2019 a été marquée par 6 031 décès par accident de voiture, 415 noyades mortelles et 4 346 décès par empoisonnement.

En 2017, les décès par noyade ont coûté près de 1000 jeunes de moins de 20 ans. De février 2020 à la mi-février de cette année, 5 738 enfants âgés de 5 à 14 ans et 36 900 adolescents et jeunes adultes âgés de 15 à 24 ans sont morts de causes autres que la COVID-19.

Chez les jeunes de 1 à 17 ans, la COVID se classe derrière neuf autres causes de décès (blessures, suicide, cancer, homicide, anomalies congénitales, maladies cardiaques, grippe, maladies chroniques des voies respiratoires inférieures et causes cérébrovasculaires).

Risques démesurés

Lors de l’annonce de l’expansion de son EUA Pfizer pour les 12 à 15 ans, la directrice de la FDA, Janet Woodcock, a déclaré aux parents qu’ils « peuvent être assurés que l’agence a entrepris un examen rigoureux et approfondi de toutes les données disponibles ».

Cependant, en date du 7 mai (c’est-à-dire juste avant l’élargissement de l’EUA aux jeunes adolescents), le Système de déclaration des effets secondaires des vaccins (VAERS) présentait déjà 694 effets secondaires post-COVID-vaccin dans le groupe d’âge des 12-17 ans, dont 14 jugés « graves » et trois décès.

Les données du VAERS publiées une semaine plus tard, le 14 mai (juste après le feu vert de 12-15 ans), ont montré une forte augmentation des événements indésirables liés au vaccin contre la COVID dans le groupe d’âge des 12-17 ans: 

943 événements indésirables au total, dont 23 jugés graves et les trois décès.

Deux des décès signalés avant le 10 mai concernaient des jeunes de 15 ans, l’un après avoir reçu le vaccin de Pfizer et l’autre après avoir reçu le vaccin Moderna. Ces adolescents doivent avoir été inscrits aux essais cliniques, car leur âge les aurait empêchés d’obtenir les vaccins légalement en vertu des EUA en vigueur à l’époque.

Avec environ 1 000 enfants dans le groupe de vaccins de Pfizer dans le groupe d’âge des 12-15 ans — et probablement à peu près le même nombre dans le groupe d’essai de Moderna — le taux de mortalité suivant l’une ou l’autre vaccination dans ce groupe d’âge (en supposant que les deux adolescents étaient inscrits à l’essai) est d’environ deux sur 2 000, ou 0,1 %. Les preuves disponibles suggèrent donc fortement que les vaccins contre la COVID sont beaucoup plus dangereux pour les enfants que la maladie.

Dans tous les groupes d’âge, le VAERS avait reçu des rapports de près de 228 000 événements indésirables au total entre le 14 décembre 2020 et le 14 mai, dont plus de 4 200 décès.

 Il est déconcertant que cette piste de destruction sans précédent n’ait pas suscité d’inquiétude parmi les membres du comité de la FDA et des CDC qui ont recommandé avec enthousiasme le vaccin expérimental de Pfizer pour les jeunes.

Malheureusement, il est pratiquement certain que les rapports VAERS pour les enfants augmenteront dans les semaines à venir – laissant de nombreux parents aussi désolés que la mère de l’Utah qui a laissé son fils « se faire tirer dessus ».

Kla.TV : Alerte à la Peste Vaccinale !

le plus grand concepteur de vaccins met en garde contre des Variants incontrôlables !

Ce discours est de la plus haute importance historique.

Ivo Sasek relève ce que le Covid-19 a historiquement réellement fait – mais aussi ce qu’il n’a effectivement pas fait – depuis sa création jusqu’à aujourd’hui, le 11 mai 21.
Ce “bilan provisoire” est très important car un autre concepteur de vaccins reconnu nous prévient que les vaccins Covid provoqueront une mort massive certaine.

Geert Vanden Bossche. Est un ancien partisan convaincu des vaccins. En fait, Mr Vanden Bossche a été lui-même à l’avant-garde du développement des vaccins. Il a longtemps travaillé dans le domaine de la recherche sur les infections et la production de vaccins pour l’industrie pharmaceutique, pour des sociétés telles que Novartis, GlaxoSmithKline, ainsi que pour l’organisation GAVI et la Fondation Bill et Melinda Gates. Il été employé par chacune d’entre elles. Pourtant, il avertit maintenant que les campagnes de vaccination de masse contre le coronavirus vont provoquer une catastrophe mondiale absolue aux proportions pharamineuses ! Ce n’est donc pas une supposition, il l’affirme. L’expert s’est même adressé directement à l’OMS à ce sujet dans une lettre ouverte. Et Monsieur Vanden Bossche est si consterné par les mesures de vaccination actuelles qu’il a même lancé un appel urgent à l’Organisation des Nations unies pour qu’elle interrompe immédiatement toutes les campagnes de vaccination contre le coronavirus dans le monde. Si ce n’est pas le cas, dit-il, à la suite de la vaccination, des variants bien pires pourraient même s’amplifier, … vous m’avez bien compris : à la suite de la vaccination, … et finalement provoquer un nombre colossal de morts parmi la population. Écoutez bien ce que dit cet homme ! Mais j’en dirai plus à ce sujet à la fin de mon intervention. Il est de la plus haute importance historique que nous fassions maintenant un bilan intermédiaire sur ce que ladite pandémie de Covid a réellement fait depuis son apparition jusqu’à aujourd’hui, le 11 mai 2021, d’une part, et d’autre part, précisément sur ce qu’elle n’a effectivement pas fait. En effet, si les prédictions de Mr Bossche se vérifient et qu’à la suite des vaccinations une véritable pandémie soit déclenchée dans le monde, il est d’ores et déjà prévisible que les auteurs de ce – appelons-le ainsi – imputent la faute à tous les non-vaccinés, via les mass-médias. Pour l’instant, il n’y a pas suffisamment d’éléments, et je pense qu’il n’y a pas non plus assez de plaintes pénales déposées auprès des procureurs partout dans le monde pour, à la fois cimenter les circonstances liées au Covid à ce jour et mettre en lumière le danger qui nous attend. La diffusion à grande échelle du contenu de cette émission est d’une telle importance que nous ne pouvons pas agir assez vite. Écoutez cet appel, s’il vous plaît ! Mais passons maintenant à un scénario, que je vais présenter de manière purement fictive, afin de mieux saisir la subtilité de toute cette histoire : Imaginons être à présent en l’an 1347, où il y a eu effectivement une épidémie de peste noire. Qu’est-ce qui se passe en nous en écoutant ce message fictif ? C’est de la fiction, n’est-ce pas ? Écoutez ça comme si c’était une émission radio. Si tu entends : « Depuis un an, la peste noire sévit dans toutes les régions du monde. Des millions de personnes sont couvertes de pustules noires, mais environ 98 % des personnes atteintes de la peste sont déjà rétablies, guéries ! Pourtant, les experts disent qu’il n’y a pas encore de raison de donner le signal de fin d’alerte, car ils craignent que les pustules noires ne réapparaissent. » Maintenant, je vous demande : Comment réagirions-nous si nous entendions un tel message ? C’était juste une allégorie, mais que ressentons-nous ? Oui, c’est vrai : la peste noire n’aurait aucune pitié ! Si vous l’attrapiez, elle ne vous quitterait plus, comme une grippe vous quitterait peut-être. Et c’est comme ça. C’est un fait ! Mais jusqu’à présent, la plupart des personnes qui ont été affectées par le Covid se sont rétablies en peu de temps Vous me suivez ? Et cela s’est typiquement toujours passé ainsi avec les épidémies de grippe. Pourtant, nous continuons à être réglementés par nos gouvernements comme si la mort noire sévissait ! Vous comprenez ? C’est pourquoi nous parlons maintenant de ce qui se passerait réellement dans ce monde si une « pandémie d’une telle gravité » se produisait réellement à ce jour, comme les pandémies que nous avons connues jusqu’à présent. Seul le degré de gravité peut déterminer les mesures générales à prendre ! Et le fait que cela s’est réellement passé en 1347, comme je suis sur le point de le décrire, personne ne peut le contredire aujourd’hui. J’espère, bien sûr, que mes paroles auront un effet conciliant. Mais avant de le faire, je vais vous expliquer pourquoi j’aborde la question de cette manière précise. Je suis pleinement conscient, je le dis d’emblée, qu’aucune épidémie ne peut être comparée à 100 % avec une autre, et certainement pas la peste avec l’une des 80 autres maladies contagieuses, voire plus, car la peste noire est la pire forme de pandémie que nous connaissions. Quant à savoir si, avec ou depuis le Covid-19 des mesures aussi cruciales, voire carrément inhumaines, doivent être prises, et ce, comme si une pandémie de la gravité d’un fléau sévissait réellement ici – et également si le monde entier doit être contraint de lutter contre une pandémie de la gravité de la peste. C’est la raison pour laquelle je me permets maintenant de construire mon scénario précisément sur la base de cette échelle imposée et la comparaison des degrés de gravité. Êtes-vous prêt à ça ? Faites attention à ce que je vais dire : Imaginons ce qui se passerait réellement si l’épidémie de 1347 se répétait de nos jours, c’est-à-dire à partir de 2020. Car ce sont précisément de tels décès massifs, comme ceux que nous avons connus au milieu du 14e siècle, qui caractérisent le terrible terme de « pandémie ». D’où le nom. La pandémie ne désigne donc en aucun cas uniquement la rapidité de propagation d’une épidémie, mais avant tout le degré de gravité d’une maladie infectieuse ou d’une épidémie. Et écoutez bien ! Au milieu du 14e siècle, toute l’Europe a été attaquée par une maladie contagieuse d’une gravité sans précédent : Du jour au lendemain, des gens de partout ont développé des pustules foncées sur tout le corps et tombaient ensuite comme des mouches. Et en très peu de temps – écoutez bien ce qu’est une véritable pandémie – en très peu de temps, un tiers de la population européenne est morte. En termes de chiffres, cela signifie que : La peste a tué en une seule fois 26 des 80 millions d’habitants que comptait l’Europe à cette époque. Ce qui veut dire qu’une personne sur trois est morte ! Et maintenant, la comparaison avec aujourd’hui : selon le rapport de données de la Fondation allemande pour la population mondiale, l’Europe comptait 746 millions d’habitants à la mi-2019. 746 ! Je répète : je tire cette conclusion comparative, parce qu’on force le monde entier à prendre des mesures, comme si la peste noire faisait rage chez nous. Ainsi donc, alors que la pandémie de peste n’offrait aucune perspective de guérison, mais tuait inexorablement une personne sur trois, nos « gardiens de la santé publique » doivent eux-mêmes admettre que de toutes les personnes infectées par le Covid en Europe, 91 à 98 % se sont entre-temps rétablies. Vous voyez la différence ? Si donc, on diffamait aujourd’hui à juste titre tous ceux qu’on qualifie de Covidiots et de négationnistes du Covid, etc., qui ne voient pas de pandémie grave derrière les chiffres réels des décès dus au Covid, mais seulement une nouvelle sorte de grippe, alors nous devrions nécessairement faire face à des quantités de décès aussi flagrantes aujourd’hui qu’au 14e siècle. Je vous dis qu’en ce moment même la moitié de la population mondiale devrait être en train de creuser des tombes. Mais pour l’instant, concentrons-nous uniquement sur l’Europe : car en fonction du degré de gravité relevé au 14e siècle, la pandémie de Covid devrait alors générer 249 millions de morts en très peu de temps, rien qu’en Europe. Je souligne : uniquement en Europe ! Et ces 249 millions ne seraient alors exclusivement – et sans ambiguïté – que les morts dus au Covid, sans compter tous les autres décès. Toutes les autres causes de décès et les victimes des 84 autres maladies infectieuses ne seraient pas inclues dans ce nombre ! Alors, combien de millions de morts supplémentaires cela ferait-il dans le monde entier ? Comme je l’ai dit, depuis plus d’un an, toute la population mondiale est maintenue dans un état de confinement si extrême et sans précédent que le danger qui se cache derrière est suggéré comme étant bel et bien pire que la peste noire. Voyez comment ça fonctionne. La population mondiale comprend actuellement environ 7 865 000 000 habitants. Donc, sept mille millions et même plus. Si on devait appliquer aujourd’hui le même taux d’infection qu’en 1347 à l’ensemble de la population mondiale, il y aurait eu, en très peu de temps, bien plus que 2,5 milliards, c’est-à-dire 2 500 millions de personnes qui seraient mortes ! Ça, c’est une pandémie, vous comprenez ? Et je répète : Si de telles « forces dévastatrices » étaient à l’œuvre, telles celles que nous appelions encore récemment, à juste titre, « pandémie » ou « épidémie », alors ce ne serait pas seulement une personne sur deux en Europe, mais aussi une personne sur deux dans le monde, qui devrait s’occuper principalement du problème de l’évacuation des cadavres. Car depuis longtemps, d’innombrables reportages dans les médias et sur Internet dénoncent la surcharge dramatique des crématoriums dans le monde entier. Des centaines de fois, cela se ressemble, comme par exemple le crématorium Nordheim. Là, les gros titres disent : « Des équipes supplémentaires à cause du Covid-19 » – ou comme par exemple, le quotidien NZZ – des centaines de rapports de ce type. (https://www.nzz.ch/zuerich/krematorium-nordheim-extra-schichten-wegen-corona-ld.1593493?reduced=true ). Le fossoyage, en d’autres termes, deviendrait un problème mondial majeur en très peu de temps. C’est là le point essentiel. Nous reviendrons plus tard sur ce sujet. Mais le point crucial est le suivant : depuis le début de la prétendue pandémie, ce ne sont pas du tout 200 ou 249 millions de personnes qui sont mortes en Europe seulement, mais un peu plus de trois millions au total dans le monde entier – une petite différence, vous voyez ? Et cela inclut tous ces décès faussement attribués au Covid comme nous l’avons prouvé de manière irréfutable dans de nombreuses émissions de Kla.TV ! Donc, en résumé : il y a eu en vérité beaucoup moins de décès réellement dus au Covid qu’on ne le dit ! En bref : Jusqu’à présent, le nombre mondial de décès est 83 fois inférieur au nombre qu’il aurait dû y avoir rien qu’en Europe, s’il s’agissait vraiment d’une pandémie telle qu’on veut nous la faire combattre par décret. Néanmoins, le Covid-19 a été affiché depuis de longs mois sans relâche, jour et nuit, comme la pandémie la plus grave au monde. Les nations sont terrifiées, ce qui est un crime réellement monstrueux. C’est pourquoi nous nous confrontons au scénario d’une comparaison mondiale avec le 14e siècle – qui correspond bel et bien à la gravité publiée. Je m’en tiens à cette comparaison et c’est pourquoi je me permets de souligner qu’il faudrait s’attendre à 2 milliards 621 millions et 666 666 morts. Ça, c’est le chiffre auquel nous serions confrontés. Cependant, si on calcule ainsi, il y a 873 fois moins de décès dans le monde car, selon le quotidien Tagesanzeiger par exemple, il y a jusqu’à 99,6 % des personnes infectées par le Covid qui en ont été guéries peu de temps après. Voyez-vous, ces chiffres fluctuent, j’en suis conscient. Mais vous devez aussi être conscient d’une chose. Lors de la peste, lors d’une vraie pandémie, ces chiffres ne fluctuent pas. C’est ainsi qu’on démontre la différence entre grave et sans gravité. En Europe même, un peu plus d’un million de personnes sont mortes à ce jour, y compris toutes les personnes « qui sont mortes avec et non à cause du coronavirus ». Et cela signifie qu’en réalité, beaucoup moins de personnes sont mortes « à cause du coronavirus » ! ! Nous avons fait suffisamment d’émissions à ce sujet. Ainsi, par rapport à une pandémie de la gravité de celle que nous devons combattre, le nombre imminent de décès en Europe seulement devrait être multiplié par environ 230 ! Mais nous revenons maintenant au scénario fictif de l’enterrement des morts, qui, Dieu merci, ne s’est pas produit. Maintenant, soyez attentif, car comme une seule crémation prend en moyenne une heure et demie, Internet est déjà plein à craquer de rapports sur des crématoriums du monde entier, qui doivent déjà être à la limite de leur capacité, avec trois millions de morts au total dans le monde. Maintenant, écoutez bien : dirigeons nos regards vers la Corée pour mieux comprendre. Qu’y a-t-il en Corée ? Séoul, mégapole de 24 millions d’habitants, est considérée comme la deuxième plus grande ville au monde. Là, dans le parc commémoratif de Séoul, l’un des plus grands crématoriums du monde s’étend sur 18 000 m². La revue d’architecture Deutsche Bauzeitung a décrit ce giga-crématorium comme « une gigantesque machine à crémation » dans son article du 3 juillet 2013. (https://www.db-bauzeitung.de/architektur/eine-reise-auf-dem-pfad-zum-himmel/ ). Pas étonnant que les habitants de Séoul se soient battus pendant 14 ans contre la construction de ce projet aussi grand que trois terrains de football. Aujourd’hui, cependant, Séoul est heureuse d’avoir ce crématorium de haute technologie, car ses onze incinérateurs superpuissants peuvent traiter jusqu’à 65 crémations par jour. Maintenant, réfléchissons un peu. Si Séoul devait toutefois incinérer à elle seule les quelques 3 millions de morts du Covid répertoriés dans le monde à ce jour, cela prendrait 47 365 jours, soit environ 130 ans. Est-ce que nous comprenons ? Si nous, Suisses, les aidions maintenant avec nos 26 crématoriums, nous pourrions le faire avec la Corée en un peu moins de cinq ans. Ce serait néanmoins possible à condition que nous, les Suisses, mettions d’abord à niveau nos 26 crématoriums pour qu’ils soient dotés des mêmes giga-incinérateurs que ceux du Seoul Memorial Park. Sinon, il nous faudrait plus de 20 ans pour incinérer ces 3 millions de cadavres. Voyez-vous ce qui pourrait arriver à l’humanité ? Parce que nos crématoriums n’ont en moyenne pas onze, mais seulement deux incinérateurs. De plus, bien sûr, il ne faudrait pas ajouter d’autres morts pendant tout ce temps, sinon ce serait encore plus terrible. Vous voyez, et cette vision d’horreur ne toucherait qu’un peu plus de trois millions de victimes réelles dans le monde que nous avons déjà actuellement, si on devait y remédier de la sorte. Si, toutefois, 240 millions d’Européens devaient mourir subitement en quelques années, comme l’aurait présagé notre scénario fictif par analogie avec l’an 1347, tous les crématoriums du monde ne serviraient plus à rien du jour au lendemain. C’est ça que je voulais vous montrer, afin que vous sachiez à quoi vous attendre. Nous devrions enterrer tous les morts de nos propres mains. À chaque coin de rue, nous travaillerions sans relâche comme des fossoyeurs, car les morts d’une vraie pandémie apportent vraiment un danger avec eux. En bref : Qui que vous soyez, vous qui dénigrez toutes les personnes qui examinent la situation en les traitant de covidiots et de négationnistes du Covid, soyez bien plutôt reconnaissants que cette épidémie monstrueuse officiellement déclarée ne fait effectivement pas rage comme l’affichent ceux pour qui vous avez si fidèlement pris parti. Mais je reviens maintenant à notre époque, à 2021, et aux cris d’alerte urgents du grand virologue Geert Vanden Bossche. Si les mises en garde de cet homme sont vraies, alors le scénario d’horreur décrit ci-dessus risque tout de même de se dérouler prochainement, et c’est là le drame : il pourrait se dérouler sur nous et nos enfants. Selon lui, ça va arriver. Car lorsque cette catastrophe éclatera, il y aura un désastre sans précédent, mais aussi des accusations réciproques, je crains même des meurtres et des homicides. Je conclus donc en citant à nouveau la lettre de Geert Vanden Bossche, qu’il a envoyée directement à l’OMS. « Je suis tout sauf un anti-vaccin. En tant que scientifique, je n’ai pas l’habitude de faire appel à une telle plateforme pour prendre position sur une question liée aux vaccins. En tant que virologue engagé et expert en vaccination, je ne fais exception que lorsque les autorités sanitaires autorisent l’administration de vaccins d’une manière qui met en danger la santé publique. Et en particulier lorsque les résultats scientifiques sont ignorés. La situation actuelle, des plus critiques, m’oblige à diffuser ce cri d’alarme. Alors que l’ampleur sans précédent de l’implication humaine dans la pandémie de Covid-19 menace de déboucher sur une catastrophe mondiale sans précédent, cet appel ne peut être assez puissant et retentir avec suffisamment de force et de clarté. » Pour conclure, je vous le demande: Transformons ce tollé en action : Diffusez ces avertissements tant que vous le pouvez. Déposez une plainte pénale auprès du ministère public de votre région. Dans le texte diffusé de mon discours « Test PCR au tribunal – les avocats portent plainte ! », qui se trouve à l’adresse www.kla.tv/18358 (en allemand), vous pouvez télécharger une plainte pénale complète, comme modèle. Par conséquent, informez autant de personnes encore ignorantes que vous le pouvez avec ces avertissements. Faites tout ce que vous pouvez à ce sujet. Car c’est encore possible – mais – combien de temps encore ? Telle est la question. Je suis Ivo Sasek, qui se tient devant Dieu depuis 44 ans. Selon M. Vanden Bossche, il est des plus probable que la vaccination de masse contre le coronavirus augmentera l’échappement immunitaire, car aucun des vaccins actuels n’empêche la transmission des variants viraux. Les vaccins ne peuvent donc ni éradiquer le virus ni prévenir l’infection. L’échappement immunitaire signifie qu’un virus mutant déjoue l’immunité innée de l’organisme. Contre le mutant, même le vaccin contre le Covid ne sert plus à rien. Et comme de plus en plus de personnes sont vaccinées contre le Covid, ces variants, qui sont déjà en circulation, émergeraient de plus en plus et deviendraient plus infectieux. Et c’est ainsi que le virus, de prime abord tout à fait inoffensif, devient un monstre incontrôlable, comme l’explique l’expert dans une interview avec le Dr Philip McMillan après la publication de la lettre à l’OMS. « Les vaccins prophylactiques ne devraient jamais être utilisés dans des populations déjà exposées à une pression infectieuse élevée », souligne M. Vanden Bossche. Il s’agit de connaissances de base en vaccinologie, qui sont enseignées dès la première année de formation. Or, avec les vaccinations de masse, c’est exactement ce qui est pratiqué dans le monde entier à l’heure actuelle. Vanden Bossche avertit : « Nous allons payer un lourd tribut pour cela. Et je parle avec émotion parce que je pense à mes enfants, à la jeune génération. Je veux dire, c’est juste impossible ce que nous faisons ici. Nous ne comprenons pas la pandémie. » En outre, le virologue se montre très critique à l’égard du confinement – en particulier le fait que des jeunes, dont on sait qu’ils n’appartiennent pas au groupe à risque et qui ont un bon système immunitaire, soient privés de tout contact avec d’autres personnes est pour lui incompréhensible. Il dit : « C’est pourquoi, dès le début, je me suis opposé à la fermeture des écoles et des universités, et à l’interdiction de tout contact entre les jeunes. En fait, des variants se sont développés à cause des mesures de confinement et des masques imposés par l’État, variants qui laissent entrevoir un potentiel d’échappement immunitaire. » L’expert médical souligne : « Les variants ne feront qu’augmenter, maintenant que les vaccinations de masse contre les germes chinois se déroulent à plein régime. Et ça, c’est de la science », souligne-t-il. Le chercheur avertit également que la vaccination durant la pandémie détruit le système immunitaire. Il est plus que préoccupé par les conséquences de cette épidémie virale. Selon M. Vanden Bossche, l’immunité innée de l’humanité sera gravement endommagée par les vaccins. Mais ces dommages ne sont pas limités aux personnes vaccinées. Les personnes vaccinées transmettraient des virus mutants aux personnes non vaccinées, ce qui déclencherait une crise sanitaire mondiale. Et ce serait de loin bien pire que ce qui se serait produit si la pandémie avait suivi son cours naturel. Lorsque les agents pathogènes ne peuvent être reconnus, ou échappent à la défense du système immunitaire par mutation ou à l’aide de mécanismes spécifiques, on parle d’échappement immunitaire. M. Vanden Bossche suppose que l’échappement immunitaire favorise également la propagation d’autres souches hautement infectieuses, car la vaccination de masse transforme de plus en plus les personnes vaccinées en propagateurs asymptomatiques. Ces derniers transmettent des virus hautement infectieux aux individus non protégés ou encore non infectés. C’est donc exactement le contraire de ce que les vaccins étaient censés faire à l’origine. Il est même possible que l’immunité innée soit complètement perdue. L’immunité innée désigne la capacité naturelle de l’organisme à combattre les agents pathogènes grâce à une immunité riche, variée et non spécifique. M. Vanden Bossche souligne que : « Des preuves scientifiques suffisantes ont été présentées. Malheureusement, elles n’ont pas été prises en compte par ceux qui ont le pouvoir d’agir. Combien de temps pouvons-nous ignorer le problème alors qu’il existe actuellement des preuves abondantes que l’échappement immunitaire viral menace désormais l’humanité ? Nous pouvons difficilement dire que nous ne savions pas – ou que nous n’étions pas avertis. » Le fait que la vaccination de masse entraîne un échappement immunitaire viral est observé par le biais des taux d’infection et de morbidité des pays qui ont déjà vacciné des millions de personnes en quelques semaines à peine. Vanden Bossche a donné des exemples : Le Royaume-Uni, Israël et les États-Unis. Alors que ces pays se réjouissent d’une baisse des taux d’infection, ils verront sans doute une forte augmentation des cas de Covid-19 dans les semaines à venir. Le virologue prévient : « La forte baisse que nous observons actuellement pourrait être suivie d’un plateau de courte durée. Mais une forte augmentation ultérieure des cas de maladies graves est inévitable. » Toutes ces questions devraient être clairement abordées, car après tout, il s’agit de toute l’humanité. Dans une interview avec le Dr Philip McMillan, Vanden Bossche a déclaré : « Je ne ferais pas ça si je n’étais pas convaincu à 200 %. Et il ne s’agit pas de moi, absolument pas de moi. Il s’agit de l’humanité. Les gens ne comprennent pas ce qui se passe en ce moment. Et nous avons le devoir de l’expliquer. Il s’agit de tes enfants. Il s’agit de ta famille. Il s’agit de tout le monde. Je mets tout en jeu parce que j’ai fait mon devoir. Et c’est simplement une obligation morale. »

Sources / Liens : Article original du virologue Geert Vanden Bossch https://www.geertvandenbossche.org/
Emission de Zentral+ – Falsche Anwendung der Massenimpfung könnte zu „Globaler Katastrophe epischen Ausmaßes“ führen: https://www.youmaker.com/video/7b1ac7fa-ac64-4526-bf23-dab39a16e790
voir aussi: https://www.youtube.com/watch?v=aPlvRC5X6e0
Lettre ouverte à l‘ONU: https://www.geertvandenbossche.org/?fbclid=IwAR1rtxCWTFv99YxkWFdpwvdlcBQkv1Ity2Aacfryl5Rw3hwQQ2FBSqChzwI
voir aussi: https://37b32f5a-6ed9-4d6d-b3e1-5ec648ad9ed9.filesusr.com/ugd/28d8fe_266039aeb27a4465988c37adec9cd1dc.pdf
Interpellation de von Geert Vanden Bossch – „Urgent call to WHO: time to switch gears“: https://www.youtube.com/watch?v=mUlDeCRDLnU&t=19s
Interview avec le Dr. Philip McMiliian et Geert Vanden Bossche: https://www.brighteon.com/9a565b91-4791-430f-b47e-ebdaf806be9d
„Extraschichten wegen Corona“ – Article de la NZZ, 5.1.21: https://www.nzz.ch/zuerich/krematorium-nordheim-extra-schichten-wegen-corona-ld.1593493?reduced=true
voir aussi: https://www.tagesspiegel.de
Rubrik Wissen Article du Tagesanzeiger sur le thème des décès par Corona: https://interaktiv.tagesanzeiger.ch/2020/keine-panik-wegen-coronavirus/
Article du Deutsche Bauzeitung sur le Krematorium de Séoul: https://www.db-bauzeitung.de/architektur/eine-reise-auf-dem-pfad-zum-himmel/

  • Autres émissions sur le même sujet :
    e test PCR au tribunal : les avocats poursuivent en justice ! (par Ivo Sasek)
    www.kla.tv/18455
    Conseils pour la création d’une plainte pénale (en allemand) :

Vous souffrez de complications dûes à la vaccination ou connaisssez des personnes qui en souffrent ?
www.vetopedia.org/impfschaden

INDE :Silvano TROTTA

C’est juste affolant de lire ce qui va suivre. Alors que cela fait des semaines qu’on vous démontre l’efficacité incroyable du protocole de soin indien, l’OMS, Big Pharma ont fait pression pour qu’ils retirent tout !!!

La Direction générale des services de santé de l’Inde (DGHS) a effectué un renversement de politique qui pourrait avoir des implications massives pour la lutte contre le covid-19, non seulement en Inde mais dans le monde entier.

Des centaines de milliers, voire des millions de vies, pourraient être en jeu. Le régulateur de la santé a remanié ses directives de traitement COVID-19 et supprimé presque tous les médicaments réutilisés qu’il avait précédemment recommandés pour traiter les cas asymptomatiques et bénins. Ils comprennent l’antibiotique doxycycline, l’hydroxychloroquine, le zinc, l’ivermectine et même les multivitamines. Les seuls médicaments encore recommandés pour un traitement précoce sont les médicaments contre le rhume, les antipyrétiques tels que le paracétamol et le budésonide inhalé.

La décision de retirer l’ivermectine, les multivitamines et le zinc des directives de traitement est difficile à comprendre étant donné l’état actuel de la situation en Inde – à moins que l’on suppose un acte criminel.

Après avoir subi l’une des pires épidémies de covid-19 depuis le début de la pandémie, entraînant la perte de centaines de milliers de vies, l’Inde ne fait pas qu’aplatir la courbe, elle l’écrase.

Et l’utilisation généralisée de l’ivermectine, un puissant antiviral et anti-inflammatoire avec un excellent profil d’innocuité, semble avoir joué un rôle déterminant.

Ils ne se cachent même plus !!

blog39c

https://vaccineimpact.com/2021/who-celebrates-as-indi..

WHO Celebrates As Indian Health Regulator Removes Hydroxychloroquine and Ivermectin from Its Covid-1vaccineimpact.com

Nouvel article sur FRANCE MEDIAS NUMERIQUE

FLASH : Les géants de la technologie et les médias ont menti à propos du HCQ et de l’AZM pour nuire à Trump.

Le Dr Tony Fauci et les élites médicales ont collaboré pour limiter l’utilisation de ce médicament très efficace, ce que nous savions et avons signalé.

Le Dr Fauci a utilisé de fausses études pour invalider HCQ en tant que traitement contre le coronavirus, comme nous l’avons déjà signalé.

Nous avons également déclaré qu’il existe des preuves que le Dr Fauci et d’autres experts médicaux américains de haut niveau ont comploté pour disqualifier l’hydroxychloroquine en utilisant des faits tout à fait faux, et que des MILLIONS de personnes sont mortes à cause de leurs actions.

Selon une nouvelle étude publiée en juin sur medRxiv, l’utilisation de l’hydroxychloroquine (HCQ) et de l’azithromycine (AZM) ajustée au poids semble être liée à une augmentation de plus de 100 % de la survie, sans lien évident avec les anomalies de l’ECG.

Le Dr Fauci, les médias, les géants de la technologie d’extrême gauche et les démocrates, en revanche, l’ont critiqué et ont contesté son traitement.
Toute personne qui défendait ce traitement efficace était exclue, bannie et moquée.

Ils ont filtré, interdit et banni les rapports de Gateway Pundit sur le succès du traitement.

Des centaines de milliers d’Américains sont morts à cause de cela.

Comment les vaccins COVID peuvent provoquer des caillots

DE PREPARE FOR CHANGE

L’HISTOIRE EN UN COUP D’OEIL

  • Doctors for COVID Ethics a mis en garde contre le potentiel des «vaccins» à base de gènes COVID-19 de provoquer des caillots sanguins, une thrombose des veines cérébrales et une mort subite
  • La protéine de pointe SARS-CoV-2 se lie au récepteur ACE2 sur les plaquettes. L’activation subséquente des plaquettes peut entraîner une coagulation intravasculaire disséminée (CIVD), c’est-à-dire une surstimulation pathologique de votre système de coagulation entraînant une coagulation sanguine anormale, une thrombocytopénie (faible numération plaquettaire) et une hémorragie
  • La recherche montre que les décès sont 14,6 fois plus fréquents au cours des 14 premiers jours après la première injection de COVID chez les personnes de plus de 60 ans, par rapport à celles qui ne sont pas vaccinées. D’autres données montrent également qu’après la mise en œuvre des vaccins COVID-19, les taux de mortalité globaux ont, à quelques exceptions près, augmenté
  • Un problème clé avec tous ces vaccins COVID-19 basés sur les gènes est que la protéine de pointe elle-même semble toxique, et votre corps est maintenant une usine de production de protéines de pointe
  • Sa toxicité inhérente peut être due au fait qu’il s’agit d’une protéine prion. Si tel est le cas, nous pouvons nous attendre à ce que ces injections provoquent toutes sortes de maladies à prions, telles que la maladie d’Alzheimer, la maladie de Parkinson et la maladie de Lou Gehrig (SLA).

Le 28 février 2021, le Dr Sucharit Bhakdi, professeur à la retraite, microbiologiste et spécialiste des maladies infectieuses et de l’immunologie, ainsi que plusieurs autres médecins et scientifiques qui ont formé Doctors for COVID Ethics, ont envoyé une lettre 1  à l’Agence européenne des médicaments (EMA), mettant en garde contre le potentiel des «vaccins» à base de gènes COVID-19 de provoquer des caillots sanguins, une thrombose des veines cérébrales et une mort subite.

Qui a besoin d’un faux virus quand on a des opioïdes ?

Les signataires ont énuméré plusieurs questions nécessitant des réponses urgentes, notamment des preuves que les vaccins à base de gènes n’entreront pas dans la circulation sanguine et ne se diffuseront pas dans tout le corps, ou que les vaccins ne resteront pas piégés dans la circulation et absorbés par les cellules endothéliales.

Ils ont averti qu’en l’absence de telles preuves, “il faut s’attendre à ce que pendant l’expression des acides nucléiques des vaccins, les peptides dérivés de la protéine de pointe soient présentés via la voie MHC I – à la surface luminale des cellules”, et que de nombreux les individus en bonne santé ont des lymphocytes CD8 qui reconnaissent ces types de peptides, soit en raison d’une infection antérieure au COVID-19, soit en raison d’une réaction croisée avec d’autres coronavirus responsables du rhume.

“Nous devons supposer que ces lymphocytes vont lancer une attaque sur les cellules respectives”, ont-ils noté, à moins qu’il n’y ait des preuves pour exclure cette probabilité.

Si les lymphocytes attaquent les cellules, “il faut s’attendre à ce que des dommages endothéliaux avec déclenchement ultérieur de la coagulation sanguine via l’activation plaquettaire s’ensuivent”, ont-ils averti, ajoutant que la réduction du nombre de plaquettes et l’apparition de D-dimères dans le sang sont également à prévoir, tout comme «une myriade de lésions ischémiques dans tout le corps, y compris dans le cerveau, la moelle épinière et le cœur», suivies de «saignements abondants et d’un accident vasculaire cérébral hémorragique».

Thrombocytopénie post-vaccination

Bhakdi et ses collègues citent des recherches montrant que la protéine de pointe SARS-CoV-2 se lie au récepteur ACE2 sur les plaquettes. L’activation subséquente des plaquettes peut entraîner une coagulation intravasculaire disséminée (CIVD), c’est-à-dire une surstimulation pathologique de votre système de coagulation qui peut entraîner une coagulation sanguine anormale et potentiellement mortelle, ainsi qu’une thrombocytopénie (faible numération plaquettaire) et une hémorragie.

Les plaquettes sont des cellules spécialisées qui arrêtent le saignement. Comme l’explique Bhakdi, vous vous retrouvez avec tellement de caillots sanguins dans tout votre système vasculaire que votre système de coagulation est épuisé, ce qui entraîne des saignements (hémorragies). Fait intéressant, une thrombocytopénie – une faible numération plaquettaire – a été signalée dans des cas graves de COVID-19 et chez des individus vaccinés, ce qui suggère que la protéine de pointe peut être un agent causal.

Les signataires exigent également la preuve qu'”une urgence réelle existait au moment où l’EMA a accordé une autorisation de mise sur le marché conditionnelle aux fabricants des trois vaccins, pour justifier leur approbation pour une utilisation chez l’homme”, voyant comment la plupart des hôpitaux, dans la plupart des pays, n’étaient pas plus longtemps à pleine capacité lors de la délivrance des autorisations.

« Il existe de sérieuses inquiétudes, y compris, mais sans s’y limiter, celles décrites ci-dessus, que l’approbation des vaccins COVID-19 par l’EMA était prématurée et imprudente, et que l’administration des vaccins constituait et constitue toujours une » expérimentation humaine « , qui était et est toujours en violation du Code de Nuremberg »,  indique la lettre. 2

Les risques des vaccins l’emportent clairement sur tout avantage potentiel

Depuis cette lettre du 28 février 2021 à l’EMA, 15 pays européens ont suspendu l’utilisation du vaccin à base de vecteur d’ADN AstraZeneca en raison de troubles de la coagulation. 3

Les États-Unis ont temporairement suspendu le  vaccin Johnson & Johnson , un autre vaccin vectoriel à ADN, pour la même raison. 4 , 5  À la mi-mai 2021, les Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis avaient identifié 28 cas de caillots sanguins graves parmi les 8,7 millions d’Américains qui avaient reçu le vaccin Johnson & Johnson. 6

Alors que le CDC a admis qu’il existe des preuves suggérant une association causale plausible, la pause a été levée le 23 avril 2021. 7  Cependant, comme l’explique Bhakdi, les  vaccins à ARNm  (Moderna et Pfizer) sont tout aussi dangereux et peuvent causer les mêmes problèmes, que le l’agent causal clé semble être la protéine de pointe.

L’EMA a tenu une conférence de presse le 17 mars 2021, au cours de laquelle ils ont assuré à la population européenne qu’aucun lien définitif ne pouvait être trouvé entre les vaccins COVID-19 et ces troubles rares de la coagulation. Ils ont également déclaré que l’Organisation mondiale de la santé “considére que les avantages du vaccin AstraZeneca l’emportent sur ses risques et recommande que les vaccinations se poursuivent”.

Cependant, comme indiqué dans une lettre de suivi à l’EMA, Bhakdi et ses collègues soulignent que «l’OMS n’est pas un organisme compétent pour évaluer officiellement la sécurité des médicaments. C’est explicitement le rôle de l'[EMA].

Dans l’interview, Bhakdi note qu’en Allemagne, un total de 52 personnes sans maladie préexistante sont décédées des suites directes d’une infection au COVID-19 au cours des six premiers mois de la pandémie.

En extrapolant les propres statistiques de l’EMA sur les décès liés au vaccin (ce qui est probablement un sous-dénombrement), la vaccination de 60 millions d’Allemands de moins de 60 ans entraînerait la mort de 54 personnes de ces deux troubles sanguins rares 8  (CIVD et thrombose veineuse, c’est-à-dire caillots sanguins dans le cerveau entraînant un saignement).

« Alors, comment, au nom de Dieu, les avantages peuvent-ils l’emporter sur les risques ? » dit Bhakdi. En effet, il est important de réaliser que les  vaccins COVID-19  ne confèrent pas d’immunité. Vous pouvez toujours contracter l’infection et la transmettre à d’autres.

Tout ce que les vaccins peuvent faire est de réduire vos symptômes, si et quand vous êtes infecté. N’oubliez pas non plus qu’à moins que vous ne soyez une personne âgée et que vous ayez plus de deux maladies chroniques sous-jacentes, votre risque de décès par COVID-19 est comparable à celui de la grippe saisonnière. 9 , 10 , 11 , 12 , 13

Comme expliqué par Bhakdi, le premier symptôme d’un caillot sanguin dans votre cerveau est un mal de tête déchirant, suivi de nausées, vomissements, vertiges, altérations de la conscience, audition réduite, vision floue, paralysie et spasmes corporels incontrôlables, pour n’en nommer que quelques-uns. Un traitement médical d’urgence précoce est essentiel à la survie.

Un grand nombre de personnes se plaignent d’un ou de plusieurs de ces symptômes après avoir reçu une injection de COVID-19, et pas seulement le  vaccin AstraZeneca , et cela n’augure rien de bon pour la sécurité.

Comment les vaccins COVID dérégulent votre fonction vasculaire

Dans la vidéo ci-dessus, Bhakdi explique la science derrière les troubles sanguins observés après la vaccination avec des «vaccins» à base de gènes COVID-19 et pourquoi, à long terme, ces injections peuvent provoquer une fonction immunitaire dangereusement hyperactive chez des centaines de millions si pas des milliards de personnes.

Il pense que l’ARNm ou l’ADN des vaccins sont absorbés par les cellules endothéliales qui tapissent vos vaisseaux sanguins. Ces cellules commencent alors à produire la protéine de pointe SARS-CoV-2 dans la paroi des vaisseaux sanguins.

« C’est une situation désastreuse »,  dit Bhakdi,  « car la protéine de pointe elle-même se trouve maintenant à la surface des cellules, face à la circulation sanguine. On sait que ces protéines de pointe, au moment où elles touchent les plaquettes, elles les activent [les plaquettes], et cela met en marche tout le système de coagulation.

La deuxième chose qui devrait arriver, selon la théorie, est que les déchets de cette protéine qui sont produits dans la cellule, soient placés devant la « porte » de la cellule… et soient présentés au système immunitaire.

Le système immunitaire, en particulier les lymphocytes, les reconnaît et attaquera les cellules, car ils ne veulent pas qu’elles fabriquent des virus ou des parties virales. Et les parties virales sont maintenant fabriquées dans des endroits où les parties virales n’atteindraient jamais, jamais [naturellement], comme la paroi des vaisseaux dans votre cerveau…

Si cette « tapisserie » de la paroi [c’est-à-dire la paroi du vaisseau sanguin] est ensuite détruite, alors c’est le signal pour que le système de coagulation [s’active] et crée un caillot sanguin. Et cela se produit avec tous ces vaccins parce que le gène [l’instruction pour fabriquer la protéine de pointe] est introduit dans la paroi des vaisseaux. »

Le fait que des caillots sanguins peuvent se produire n’importe où dans le corps est évident d’après les rapports. Par exemple, un homme en bonne santé de 43 ans a perdu une grande partie de son intestin grêle après avoir développé un caillot sanguin suite au vaccin AstraZeneca. 14  Ses symptômes comprenaient des maux de tête, des nausées, de la fièvre et des vomissements.

Une femme de 62 ans a souffert de caillots sanguins dans ses poumons une semaine après le vaccin Johnson & Johnson. 15  Le même sort a frappé une étudiante en soins infirmiers de 18 ans trois semaines après avoir reçu le jab d’AstraZeneca. 16

Corrélation claire entre le vaccin et l’augmentation du taux de mortalité

Cinq mois après le début de la campagne de vaccination, les statistiques racontent une histoire effrayante. Par exemple, une enquête récente 17  montre que les décès sont 14,6 fois plus fréquents au cours des 14 premiers jours après la première injection de COVID chez les personnes de plus de 60 ans, par rapport à celles qui ne sont pas vaccinées.

Une autre étude, 18  examinée dans la vidéo ci-dessus, montre qu’après la mise en œuvre des vaccins COVID-19, les taux de mortalité globaux, à quelques exceptions près, ont temporairement augmenté après avoir chuté dans pratiquement tous les pays.

Fait intéressant, j’ai récemment interviewé  Stephanie Seneff , Ph.D., à propos d’un article dans lequel elle détaille certains des mécanismes nocifs des vaccins COVID-19, et elle a noté que les pays dans lesquels les vaccins COVID-19 n’ont pas augmenté les taux de mortalité ne sont pas non plus utilisant du  glyphosate . Cela, pense-t-elle, peut être un élément central de l’équation, car le glyphosate provoque de nombreux dommages biologiques et abaisse votre fonction immunitaire.

Le 23 avril 2021, la biologiste moléculaire et toxicologue Janci Chunn Lindsay, Ph.D., a fait un commentaire public lors d’une réunion du Comité consultatif sur les pratiques d’immunisation (ACIP) des Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis, au cours de laquelle elle a noté que : 19

«Nous avons maintenant suffisamment de preuves pour voir une corrélation claire avec l’augmentation des décès dus au COVID et les campagnes de vaccination. Ce n’est pas une coïncidence. C’est un effet involontaire malheureux des vaccins.

Nous ne devons tout simplement pas fermer les yeux et prétendre que cela ne se produit pas. Nous devons arrêter immédiatement toute administration de vaccin COVID, avant de créer une véritable pandémie sur laquelle nous ne pouvons pas régner. »

Autres théories

Une autre hypothèse a été présentée par le professeur Andreas Greinacher, un spécialiste allemand du sang. Greinacher et son équipe de l’Université de Greifswald pensent que les vaccins à vecteur viral – AstraZeneca et Johnson & Johnson – peuvent provoquer une réponse immunitaire entraînant des caillots sanguins en raison de la présence de protéines d’origine humaine et/ou du conservateur utilisé dans le vaccin AstraZeneca. Tel que rapporté par le Wall Street Journal : 20

“Prof. Greinacher et son équipe ont… identifié plus de 1 000 protéines dans le vaccin d’AstraZeneca dérivées de cellules humaines, ainsi qu’un conservateur connu sous le nom d’acide éthylènediaminetétraacétique, ou EDTA.

Leur hypothèse est que l’EDTA, qui est commun aux médicaments et autres produits, aide ces protéines à se propager dans la circulation sanguine, où elles se lient à un composant sanguin appelé facteur plaquettaire 4, ou PF4, formant des complexes qui activent la production d’anticorps.

L’inflammation causée par les vaccins, combinée aux complexes PF4, pourrait faire croire au système immunitaire que le corps a été infecté par des bactéries, déclenchant un mécanisme de défense archaïque qui devient alors incontrôlable et provoque des caillots et des saignements…

Le type de coagulation observé est connu sous le nom de thrombocytopénie thrombotique immunitaire induite par le vaccin, ou VITT. Des études évaluées par des pairs menées par le groupe du professeur Greinacher, ainsi que par des équipes de l’Université d’Oslo et de l’University College London ont confirmé de manière indépendante son existence.

D’autres scientifiques émettent l’hypothèse que les adénovirus utilisés dans les injections de vecteurs d’ADN pourraient jouer un rôle, car ils ont également été liés à la coagulation du sang, tandis qu’une théorie suggérée par le professeur Eric van Gorp aux Pays-Bas est que les symptômes grippaux intenses induits par le les injections contribuent à l’inflammation qui peut déclencher ou exacerber une réaction auto-immune qui à son tour entraîne la coagulation du sang. 21

La toxicité de la protéine de pointe est un problème majeur

Comme indiqué dans mon entretien avec Seneff, un problème clé avec tous ces vaccins COVID-19 basés sur les gènes est que la protéine de pointe elle-même semble toxique, et votre corps est maintenant une usine de production de protéines de pointe.

“Ils ont fait des études où ils n’exposent [l’animal] qu’à la protéine de pointe, montrant qu’elle était toxique dans le cerveau et les vaisseaux sanguins”  , a déclaré Seneff,  “Donc, cela provoque des réactions immunitaires à lui seul qui endommage les tissus . “

Sa toxicité inhérente peut être due au fait qu’il s’agit d’une protéine prion. Bien que cela n’ait pas encore été déterminé de manière concluante, certains signes suggèrent que la protéine de pointe du SRAS-CoV-2 agit comme un prion. Si tel est le cas, nous pouvons nous attendre à ce que ces injections provoquent toutes sortes de maladies à prions, telles que la maladie d’Alzheimer, la maladie de Parkinson et la maladie de Lou Gehrig (SLA).

Les vaccins COVID-19 sont des ensembles d’instructions permettant à votre corps de fabriquer une protéine toxique qui finira par se concentrer dans votre rate, d’où des instructions sur les protéines de type prion seront envoyées, entraînant des maladies neurodégénératives.

De manière inquiétante, la protéine de pointe produite par les vaccins COVID-19 – en raison des modifications apportées à l’ARNm synthétique qui fournit les instructions à la cellule pour quelle protéine fabriquer – peut en faire plus un prion que la protéine de pointe dans le virus réel, et une plus efficace.

Pour résumer un message à retenir de cette interview, les vaccins COVID-19 sont des ensembles d’instructions permettant à votre corps de fabriquer une protéine toxique qui finira par se concentrer dans votre rate, d’où des instructions sur les protéines de type prion seront envoyées, conduisant à maladies neurodégénératives.

Le remède vaccinal peut être pire que la maladie

Dans son article récemment publié, Seneff explique comment et pourquoi la protéine de pointe agit comme un poison métabolique. Bien que je recommande de lire  l’article de Seneff  dans son intégralité, j’ai extrait les sections clés ci-dessous, en commençant par la façon dont la protéine de pointe peut déclencher des dommages pathologiques entraînant des lésions pulmonaires et des maladies cardiaques et cérébrales : 22

« L’image émerge maintenant que le SRAS-CoV-2 a de graves effets sur le système vasculaire de plusieurs organes, y compris le système vasculaire cérébral… Dans une série d’articles, Yuichiro Suzuki, en collaboration avec d’autres auteurs, a présenté un argument solide selon lequel la protéine de pointe en elle-même peut provoquer une réponse de signalisation dans le système vasculaire avec des conséquences potentiellement étendues.

Ces auteurs ont observé que, dans les cas graves de COVID-19, le SRAS-CoV-2 provoque des changements morphologiques importants du système vasculaire pulmonaire… De plus, ils ont montré que l’exposition de cellules musculaires lisses d’artères pulmonaires humaines en culture à la protéine de pointe du SRAS-CoV-2 La sous-unité S1 était suffisante pour promouvoir la signalisation cellulaire sans le reste des composants du virus.

Des articles de suivi ont montré que la sous-unité S1 de la protéine de pointe supprime l’ACE2, provoquant une affection ressemblant à l’hypertension artérielle pulmonaire (HTAP), une maladie pulmonaire grave avec une mortalité très élevée… Les «études in vivo» auxquelles ils se sont référés… avaient montré que le coronavirus du SRAS- la lésion pulmonaire induite était principalement due à l’inhibition de l’ACE2 par la protéine de pointe du SRAS-CoV-2, provoquant une forte augmentation de l’angiotensine-II.

Suzuki et al. (2021) a ensuite démontré expérimentalement que le composant S1 du virus SARS-CoV-2, à faible concentration… activait la voie de signalisation MEK/ERK/MAPK pour favoriser la croissance cellulaire. Ils ont émis l’hypothèse que ces effets ne seraient pas limités au système vasculaire pulmonaire.

La cascade de signalisation déclenchée dans le système vasculaire cardiaque provoquerait une maladie coronarienne, et l’activation dans le cerveau pourrait conduire à un accident vasculaire cérébral. Une hypertension systémique serait également prédite. Ils ont émis l’hypothèse que cette capacité de la protéine de pointe à favoriser l’hypertension artérielle pulmonaire pourrait prédisposer les patients qui se remettent du SRAS-CoV-2 à développer plus tard une insuffisance cardiaque ventriculaire droite.

En outre, ils ont suggéré qu’un effet similaire pourrait se produire en réponse aux vaccins à ARNm, et ils ont mis en garde contre les conséquences potentielles à long terme pour les enfants et les adultes qui ont reçu des vaccins COVID-19 basés sur la protéine de pointe.

Une étude intéressante de Lei et. Al. (2021) ont découvert que les pseudovirus – des sphères décorées avec la protéine SARS-CoV-2 S1 mais dépourvues d’ADN viral dans leur noyau – provoquaient une inflammation et des dommages dans les artères et les poumons de souris exposées par voie intratrachéale.

Ils ont ensuite exposé des cellules endothéliales humaines saines aux mêmes particules de pseudovirus. La liaison de ces particules aux récepteurs endothéliaux ACE2 a conduit à des dommages mitochondriaux et à une fragmentation de ces cellules endothéliales, entraînant les modifications pathologiques caractéristiques du tissu associé.

Cette étude montre clairement que la protéine de pointe seule, non associée au reste du génome viral, est suffisante pour provoquer les dommages endothéliaux associés au COVID-19. Les implications pour les vaccins destinés à amener les cellules à fabriquer la protéine de pointe sont claires et sont une cause évidente de préoccupation. »

Des dommages neurologiques à long terme sont à prévoir

Seneff décrit également les principales caractéristiques de la protéine de pointe SARS-CoV-2 qui suggèrent qu’il s’agit d’un prion. En tant que telle, la protéine de pointe peut induire de graves dommages neurologiques entraînant des maladies telles que la maladie d’Alzheimer, de Parkinson et la maladie de Lou Gehrig (SLA), pour n’en nommer que quelques-unes. Elle écrit : 23

« Les symptômes neurologiques associés au COVID-19, tels que les maux de tête, les nausées et les vertiges, l’encéphalite et les caillots sanguins cérébraux mortels, sont tous des indicateurs d’effets viraux dommageables sur le cerveau. Buzhdygan et al. (2020) ont proposé que les cellules endothéliales microvasculaires primaires du cerveau humain pourraient provoquer ces symptômes…

Dans une étude in vitro de la barrière hémato-encéphalique, le composant S1 de la protéine de pointe a favorisé la perte d’intégrité de la barrière, suggérant que la protéine de pointe agissant seule déclenche une réponse pro-inflammatoire dans les cellules endothéliales du cerveau, ce qui pourrait expliquer les conséquences neurologiques de la maladie.

Les implications de cette observation sont troublantes car les vaccins à ARNm induisent la synthèse de la protéine de pointe, qui pourrait théoriquement agir de manière similaire pour endommager le cerveau. La protéine de pointe générée de manière endogène par le vaccin pourrait également avoir un impact négatif sur les testicules masculins, car le récepteur ACE2 est fortement exprimé dans les cellules de Leydig dans les testicules…

Les maladies à prions sont un ensemble de maladies neurodégénératives induites par le mauvais repliement de protéines corporelles importantes, qui forment des oligomères toxiques qui finissent par précipiter sous forme de fibrilles causant des dommages étendus aux neurones…

En outre, les chercheurs ont identifié un motif de signature lié à la susceptibilité au mauvais repliement en oligomères toxiques, appelé motif de fermeture à glissière glycine… Les protéines prions deviennent toxiques lorsque les hélices se replient en feuilles , et la protéine est alors altérée dans sa capacité à entrer dans le membrane.

Les glycines au sein des motifs transmembranaires glycine zipper dans la protéine précurseur de l’amyloïde-β (APP) jouent un rôle central dans le mauvais repliement de l’amyloïde-β lié à la maladie d’Alzheimer. APP contient un total de quatre motifs GxxxG. Lorsque l’on considère que la protéine de pointe du SRAS-CoV-2 est une protéine transmembranaire et qu’elle contient cinq motifs GxxxG dans sa séquence 24,  il devient extrêmement plausible qu’elle puisse se comporter comme un prion.

L’une des séquences GxxxG est présente dans son domaine de fusion membranaire. Rappelons que les vaccins à ARNm sont conçus avec une séquence modifiée qui remplace deux acides aminés adjacents dans le domaine de fusion par une paire de prolines.

Ceci est fait intentionnellement afin de forcer la protéine à rester dans son état ouvert et de rendre plus difficile sa fusion avec la membrane. Cela nous semble être une étape dangereuse vers un mauvais repliement conduisant potentiellement à la maladie à prions…

Un article publié par J. Bart Classen (2021) a suggéré que la protéine de pointe dans les vaccins à ARNm pourrait provoquer des maladies de type prion, en partie grâce à sa capacité à se lier à de nombreuses protéines connues et à induire leur repliement erroné en prions potentiels.

Idrees et Kumar (2021) ont proposé que le composant S1 de la protéine de pointe est susceptible d’agir comme un amyloïde fonctionnel et de former des agrégats toxiques… et peut finalement conduire à une neurodégénérescence.

Effacer les crimes contre l’humanité

En revenant à notre point de départ, le 23 mars 2021, l’EMA a publié une réponse 25  aux Doctors for COVID Ethics. Dans ce document, ils ont concédé que les «vaccins» basés sur les gènes pénètrent dans la circulation sanguine, mais ils ne pouvaient fournir aucune donnée quantitative. Ce manque de données annule effectivement le reste de leur évaluation scientifique, que Doctors for COVID Ethics a qualifiée de « peu convaincante et inacceptable ».

La semaine suivante, le 1er avril 2021, Doctors for COVID Ethics a envoyé une lettre de suivi et une réfutation 26  à l’EMA, exprimant leur mécontentement quant aux réponses de l’EMA : 27

“Nous sommes consternés que vous ayez choisi de répondre à notre demande d’informations d’une importance cruciale d’une manière dédaigneuse et non scientifique. Une approche aussi cavalière de la sécurité des vaccins crée l’impression fâcheuse que l’EMA sert les intérêts des sociétés pharmaceutiques mêmes dont vous vous êtes engagé à évaluer les produits.

Les preuves sont claires qu’il existe des risques d’événements indésirables graves et qu’un certain nombre de personnes non exposées au SRAS-CoV-2 sont décédées après la vaccination…

Pour éviter tout doute, si votre organisme de réglementation ne suspend pas immédiatement sa recommandation « d’urgence » de « vaccins » génétiquement testés de manière inadéquate potentiellement dangereux, alors que les questions que nous vous avons signalées font l’objet d’une enquête appropriée, nous mettons l’EMA sur avis de complicité d’expérimentation médicale, en violation du Code de Nuremberg, qui a ainsi constitué la commission de crimes contre l’humanité.

Source : Mercola

La vaccination de masse déclenche un pic de cas COVID-19 et des décès

blog39d

Le Cambodge a commencé sa campagne de vaccination début février après n’avoir compilé aucun décès ; après avoir commencé son programme de vaccination, les décès ont commencé à s’accumuler.

Il se peut que quelque chose dans le vaccin lui-même tue des gens

Les chercheurs de Salk ont confirmé que les principaux dommages causés par la COVID sont causés par la protéine de Spike et non par le virus ; si c’est le cas, alors pourquoi injectons-nous aux gens des vaccins qui enseignent à leurs cellules à fabriquer ces protéines.

118 millions d’Étasuniens ont maintenant reçu une protéine de Spike génératrice de caillots ; personne ne sait combien de temps ces protéines potentiellement mortelles restent piégées dans la paroi des vaisseaux sanguins ou quels dommages elles pourraient éventuellement causer.

Maintenant que les cas ont fortement diminué aux États-Unis, pourquoi ne pas abandonner les vaccinations jusqu’à ce que l’on comprenne mieux les risques à long terme ?

Les cas de COVID ont fortement augmenté dans presque tous les pays qui ont lancé une campagne de vaccination de masse. (Veuillez regarder cette courte vidéo avant que You Tube ne la supprime.1) Pourquoi cela se produit-il ?

 

[Une animation de la mortalité COVID à travers le monde pour examiner l’impact de la vaccination, en testant l’hypothèse qu’ils sont jusqu’à 97% efficaces pour réduire la mortalité.Crédit @britishbennyboy sur Twitter pour l’animation.]

La vaccination de masse était censée réduire la menace de la COVID, mais – à court terme – elle semble beaucoup l’aggraver.

Pourquoi ? Et pourquoi la COVID « fait-elle maintenant une éclosion dans 4 des 5 pays les plus vaccinés ? » Selon le magazine Forbes :2

« Les pays où les taux de vaccination sont les plus élevés au monde – y compris quatre des cinq pays les plus vaccinés – se battent pour freiner les épidémies de coronavirus qui sont, par habitant, plus élevées que l’augmentation dévastatrice de l’Inde, une tendance qui a mis en question l’efficacité de certains vaccins … et la sagesse d’assouplir les restrictions, même avec la plupart de la population vaccinée. »

Pire que l’Inde ? Découvrez ce qui se passe au Cambodge. Le Cambodge a commencé sa campagne de vaccination début février après avoir compilé zéro décès. C’est vrai : le pays n’a connu aucun décès par COVID avant mars 2021, quelques semaines après avoir commencé son programme de vaccination. Et c’est à ce moment-là que les décès ont commencé à s’accumuler, comme vous pouvez le voir dans le tableau accrocheur ci-dessous.

blog39e

Graphique de Joel Smalley Twitter4

Zéro décès COVID-19, jusqu’à la campagne de vaccination

Alors, voyons si nous pouvons le comprendre. Il n’y a eu aucun décès avant le lancement de la campagne de vaccination, mais peu après le début des injections, les décès ont commencé à augmenter. Pensez-vous qu’il pourrait y avoir un lien ici ? Pensez-vous que, peut-être, les décès sont liés aux vaccins ?

Bien sûr, ils le sont. Et c’est pourquoi les médias tentent de balayer cette histoire sous le tapis. Cela ne correspond pas au « récit officiel » sur les vaccins, ils ont donc décidé de « d’effacer » complètement l’histoire. « Poof » et c’est parti ! Et, en fait, c’est pire qu’une dissimulation parce que peu de temps après l’entrée en fonction de Biden, les CDC ont changé leur méthodologie de test, ce qui rend plus difficile le test positif.

En d’autres termes, ils ont truqué le système de sorte qu’il semble que moins de personnes « entièrement vaccinées » aient contracté la COVID après l’inoculation. Le Dr. Joseph Mercola explique ce qui se passe dans les coulisses :

« Maintenant, les États-Unis Les Centers for Disease Control and Prevention ont encore réduit la TDM, dans ce qui semble être un effort clair pour cacher les cas révolutionnaires du COVID-19, c’est-à-dire les cas dans lesquels des personnes entièrement vaccinées reçoivent un diagnostic de COVID-19. « 

C’est tout un grand jeu de passe-passe. Ils manipulent le système pour donner l’impression que les vaccins arrêtent l’infection lorsque les preuves prouvent le contraire. Et remarquez le surnom délibérément trompeur que les médias ont inventé pour les personnes qui contractent la COVID après avoir été vaccinées. Ils les appellent « cas de percée » [breakthrough cases]. « Percée » ? Vraiment ?

Si les cas augmentent dans presque tous les pays qui lancent une campagne de vaccination de masse, alors il n’y a rien de « nouveau » [breakthrough] à cela. C’est le résultat prévisible d’une expérience ratée. Voici plus d’informations sur un article intitulé : « Taux de COVID après la vaccination dans le monde » :5

« … le gouvernement a supposé que si « vous vaccinez beaucoup de gens, le problème disparaît », mais les questionneurs parmi nous ne l’ont pas supposé. Surtout après avoir lu le document d’information de la FDA pour le vaccin COVID-19 Pfizer-BioNTech par exemple, beaucoup d’entre nous avaient des questions après l’avoir lu ; à la page 42, il est dit :

Les cas suspects de COVID-19 survenus dans les 7 jours suivant toute vaccination étaient de 409 dans le groupe vaccinal contre 287 dans le groupe placebo. Il est possible que le déséquilibre des cas suspects de COVID-19 survenant dans les 7 jours suivant la vaccination représente une réactogénicité vaccinale avec des symptômes qui chevauchent ceux du COVID-19.

Dans l’ensemble, cependant, ces données ne soulèvent pas de préoccupation quant au fait que la déclaration spécifiée dans le protocole des cas suspects, mais non confirmés, de COVID-19, aurait pu masquer des événements indésirables cliniquement significatifs qui n’auraient pas été détectés autrement. »

La FDA savait que les personnes vaccinées sont plus susceptibles de contracter la COVID

Pour en savoir plus: Le vaccin « expérimental » contre l’ARNm Covid-19. On vous dit la vérité ?

WTF !?! Ainsi, la FDA SAVAIT que les personnes vaccinées étaient plus susceptibles de contracter la COVID que celles du groupe placebo, mais elle a approuvé les vaccins de toute façon ?!? Est-ce une négligence criminelle ou simplement une vieille stupidité ?

S’il vous plaît. Relisez le paragraphe ci-dessus et décidez si vous auriez donné le « feu vert » à ces injections douteuses ou non ?  Voici plus d’informations sur le même article :6

« Ce qui suit montre des données provenant du monde entier provenant de certains endroits sélectionnés. Il est, bien sûr, vital de souligner que la corrélation n’est pas la causalité. Et qu’il y a des pays où le déploiement des vaccins ne précède pas ou ne coïncide pas avec une augmentation des infections. Cependant, je n’ai pas été en mesure de trouver de pays où les taux de covidés ont commencé à baisser après le début de la vaccination, ou dans lequel une baisse a coïncidé avec le début de la vaccination.

En Indonésie, par exemple, le taux de covidé diminuait au début de la vaccination et semble n’avoir pas été affecté dans sa trajectoire par le déploiement du vaccin. Le lecteur peut consulter lui-même ces tableaux sur le site Internet. Jetez un coup d’œil à ceux-ci et voyez ce que vous en pensez… »

OK, donc l’auteur essaie de donner la plus grande tournure positive possible à la performance du vaccin. Il dit : « la corrélation n’est pas une causalité », ce qui signifie : « Ne faites pas fiez pas à ce que vous voyez lorsque vous observer les graphiques parce que – si vous le faites – vous tirerez la conclusion évidente que les vaccins augmentent considérablement vos chances de contracter la COVID dans les quelques semaines qui suivent la vaccination ».

Les graphiques vous convaincront également que Fauci, Biden et les médias ont menti comme des charlatans sur l’efficacité des vaccins. (Veuillez consulter les tableaux de l’article et juger par vous-même.) En voici plus :7

« Ce qui est très clair si l’on examine les données dans le monde entier, c’est que les vaccinations ne sont certainement pas associées à une baisse fiable des cas de covidés dans un délai prévisible. Cela, à côté des observations du procès, doit certainement être abordé. Que se passe-t-il ici ?

Est-ce juste que les vaccinations sont lancées par coïncidence en même temps que les épidémies sont sur le point de se produire ? Dans de très nombreux endroits ? Ou le vaccin ne fonctionne-t-il pas immédiatement ? Sinon, pourquoi pas ? … Ou le vaccin rend-il les gens plus sensibles à l’infection ? Si c’est le cas … s’agit-il d’un effet temporaire ? Qu’est-ce qui en est la cause ? …

Combien de temps faut-il pour qu’une sensibilité accrue diminue ? … On nous dit que tout le monde doit être vacciné (mais) Comment peut-on donner le consentement libre et éclairé dans ces conditions ? »

Ce sont toutes de bonnes questions. Malheureusement, le Dr. Fauci et ses collaborateurs n’ont pas l’intention d’y répondre. Au lieu de cela, leurs alliés dans les médias font tout ce qu’ils peuvent pour faire disparaître cette histoire et détourner l’attention vers les mystérieux « variants », qui sont la diversion médiatique quotidienne. Suis-je trop dur ? Peut-être, mais peut-être pas assez dur.

Raison de douter des propos rassurants des fabricants de vaccins

Jetez un coup d’œil à ce clip d’un article sur Conservative Woman intitulé « Toutes les raisons de douter des propos rassurants des fabricants de vaccins » :8

« J’ai déjà fait état d’une hausse étonnante des décès qui s’est produite parallèlement à une campagne de vaccination intensive à Gibraltar, où la petite communauté a donc développé le taux de mortalité par covidés le plus élevé au monde. Nous savons également que des milliers de décès ont été observés aux États-Unis, dans l’UE et au Royaume-Uni à la suite de la vaccination contre la Covid, souvent immédiatement après l’administration de l’injection.

Les fabricants, les principales revues médicales et la plupart des gouvernements insistent sur le fait que ces décès ne sont pas liés au vaccin. Dans de nombreux cas, les décès et les maladies graves ont été attribués à une infection fortuite par le virus. Mais les preuves sont de plus en plus nombreuses que pour certains, en particulier les personnes vulnérables et âgées, le vaccin lui-même crée ou aggrave la maladie même contre laquelle il est censé être protecteur…

… un phénomène inquiétant qui apparaît régulièrement dans les études sur le vaccin Covid est une flambée des prétendues « infections » qui se produit précisément au cours de cette période de trois semaines, et généralement immédiatement après l’injection … Les chercheurs soulèvent la possibilité que le vaccin puisse déclencher des « symptômes semblables aux symptômes de la Covid-19, y compris la fièvre » chez les personnes récemment exposées au virus …

Il suggère que le mécanisme peut être une baisse de l’immunité causée par une perte de globules blancs après le vaccin, observée dans les essais Pfizer et AstraZeneca, rendant les vaccinés plus vulnérables au virus à court terme. »

OK, donc l’auteur arrive à la même conclusion que l’auteur précédent ; peut-être que le vaccin rend les gens plus sensibles au virus en abaissant leurs défenses et, par conséquent, en favorisant l’infection. C’est certainement une possibilité, mais il en existe d’autres qui pourraient être infiniment plus graves. Jetez un coup d’œil :9

« Il n’a pas été généralement reconnu que le vaccin est conçu pour nous protéger en provoquant nos cellules à produire la toxine même qui rend le virus plus dangereux que ses prédécesseurs dans la famille des coronavirus. Cette toxine, connue sous le nom de protéine spike, peut endommager non seulement les poumons, mais aussi affecter des organes tels que le cerveau, le cœur et les reins.

Le raisonnement derrière l’administration du vaccin est que l’exposition temporaire à la toxine peut fournir une protection à long terme contre la maladie causée par le virus. Les premières indications indiquent que cette stratégie fonctionne, bien qu’il ne soit pas encore du tout certain dans quelle mesure la baisse des taux d’infection observée dans les populations intensément vaccinées est saisonnière et liée aux vagues d’infection, ou si elle constitue un avantage durable.

Mais il existe également une possibilité très réelle, étayée par des expériences sur les animaux ainsi que par les études citées ci-dessus, que le vaccin lui-même produise des symptômes chez les personnes vulnérables qui sont ensuite attribués au Covid-19. Les dommages à la santé peuvent être particulièrement graves chez une personne qui a été récemment ou qui est simultanément infectée par le virus réel.

Il y a donc tout lieu de douter des propos rassurants des fabricants selon lesquelles les décès et les blessures observés comme accompagnant la vaccination, et que dans certains cas ressemblent au Covid-19 et sont attribués à celui-ci, ne sont pas liés aux vaccins. La situation est suffisamment grave pour que certains médecins et scientifiques demandent un moratoire sur d’autres vaccinations contre la Covid jusqu’à ce que le vaccin ait été dûment vérifié. »

Il se peut donc que quelque chose dans le vaccin lui-même tue des gens. C’est une possibilité réelle. Bien sûr, les sociétés pharmaceutiques et les responsables de la santé publique rejettent carrément cette hypothèse, mais les professionnels de la santé et les scientifiques pensent que le danger est suffisamment important pour demander que le programme de vaccination de masse soit temporairement interrompu.

Principaux dommages causés par la COVID causés par les protéines spike.

Certains lecteurs se souviendront que le Salk Institute a récemment publié une étude qui a montré que la « protéine « spike » distinctive du CoV-2 du SRAS… « endommage les cellules, confirmant que la COVID-19 est une maladie principalement vasculaire ». Voici un extrait de l’article daté du 30 avril 2021:10

« Dans la nouvelle étude, les chercheurs ont créé un « pseudovirus » qui était entouré d’une couronne classique de protéines de pointe du CoV-2 du SRAS, mais ne contenait aucun virus réel. L’exposition à ce pseudovirus a causé des dommages aux poumons et aux artères d’un modèle animal – prouvant que la protéine spike seule était suffisante pour causer la maladie.

Des échantillons de tissus ont montré une inflammation des cellules endothéliales tapissant les parois de l’artère pulmonaire. (Note – « Les cellules endothéliales vasculaires tapissent l’ensemble du système circulatoire, du cœur aux plus petits capillaires. »)

L’équipe a ensuite reproduit ce processus en laboratoire, exposant des cellules endothéliales saines (qui lignéent les artères) à la protéine spike. Ils ont montré que la protéine de pointe a endommagé les cellules en se liant à l’ACE2. Cette liaison a perturbé la signalisation moléculaire de l’ACE2 aux mitochondries (organites qui génèrent de l’énergie pour les cellules), provoquant des dommages et une fragmentation des mitochondries.

Des études antérieures ont montré un effet similaire lorsque des cellules ont été exposées au virus du CoV-2 du SRAS, mais c’est la première étude à montrer que les dommages se produisent lorsque les cellules sont exposées seules à la protéine de pointe. »

On ne saurait trop insister sur l’importance de ce rapport. Les chercheurs de Salk confirment que les principaux dommages causés par la COVID sont causés par la protéine spike et non par le virus. Et, si c’est le cas, alors pourquoi injectons-nous aux gens des vaccins qui enseignent à leurs cellules à fabriquer des protéines spike ?

Cela n’a aucun sens. Et comment cela affecte-t-il notre compréhension du phénomène que nous avons vu dans des pays du monde entier, c’est-à-dire la forte augmentation des cas à la suite de la vaccination de masse ? Permettez-moi de vous donner une explication plausible, mais non encore prouvée :

La forte augmentation des cas et des décès à la suite d’une vaccination de masse n’est PAS liée au COVID « la maladie respiratoire », mais au COVID « la maladie vasculaire ». La composante vasculaire est principalement le résultat de la protéine S [S pour spicule, Spike en anglais ou protéine de pointe] produites par les cellules de la paroi des vaisseaux sanguins (endothélium) qui activent les plaquettes qui provoquent des caillots sanguins et des saignements.

L’autre facteur principal est la réaction auto-immune dans laquelle les lymphocytes tueurs attaquent son propre corps, déclenchant une inflammation généralisée (et une défaillance potentielle des organes). En bref, les décès post-injection sont causés par les protéines S [Spike ou de pointe] produites par les vaccins et non par la COVID. Encore une fois, regardez la carte du Cambodge. Il n’y a eu aucun décès avant la vaccination. Tous les décès sont survenus par la suite. Cela suggère que les décès sont attribuables aux vaccins.

Une dernière réflexion : 118 millions d’Étasuniens ont maintenant reçu une protéine de pointe génératrice de caillots. À l’heure actuelle, personne ne semble savoir combien de temps ces protéines potentiellement mortelles restent piégées dans la paroi des vaisseaux sanguins ou quels dommages elles pourraient éventuellement causer.

En gardant cela à l’esprit, ne serait-ce pas le bon moment pour faire preuve d’un peu de prudence ? Maintenant que les cas ont fortement chuté dans tout le pays [États-Unis], pourquoi ne pas abandonner la vaccination anti-Covid tant que nous n’aurons pas une meilleure compréhension des risques à long terme ? Ce serait une bonne décision, n’est-ce pas ? Il suffit de reporter les nouvelles injections jusqu’à ce que la sécurité du produit puisse être garantie. Si on a pas été prudent jusqu’à maintenant sur cette question de vaccination, ce serait le moment de prendre des précautions.

Mike Whitney

https://www.mondialisation.ca/la-vaccination-de-masse-declenche-un-pic-dans-les-cas-les-deces/5657051

NANOPARTICULES MAGNETIQUES :

Voici ce qui pourrait expliquer que des aimants et autres objets métalliques “collent” sur la peau des vaccinés. Cette information est contenue sur le site officiel “National Institutes of Health” des États-Unis. Des vaccins contenant des  “nanoparticules superparamagnétiques”, une technologie de transmission de matériel biologique/génétique appellée SPION (Superparamagnetic iron oxide nanoparticles). Ces nanoparticules sont composées  d’oxyde de fer et servent à des applications biologiques. Ce procédé de délivrance de matériel biologique et synthétique dans l’organisme humain fait partie du domaine des “nanomédecines” et des “thérapies géniques” selon l’appellation officielle. Il est étudié et expérimenté via l’administration de “vaccin” depuis plus de 15 ans. “Les SPION qui ont été rendus stables dans des conditions physiologiques  peuvent être utilisés à la fois comme agents thérapeutiques et diagnostiques en raison de leurs caractéristiques magnétiques uniques.” https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/24715289/ “La capacité d’incorporer des matériaux génétiques tels que l’ADN plasmidique, l’ARN et l’ARNsi dans des nanoparticules fonctionnalisées avec peu de toxicité démontre une nouvelle ère en pharmacothérapie pour la délivrance sélective de gènes aux tissus et aux cellules.” https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/19488722/ https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/24715289/  “Le mécanisme de toxicité des nanoparticules d’oxyde métallique peut se produire par différentes méthodes telles que le stress oxydatif, les effets de coordination, les effets de non-homéostasie, la génotoxicité et autres. Les facteurs qui affectent les nanoparticules d’oxyde métallique étaient la taille, la dissolution et les voies d’exposition. Ce chapitre expliquera en détail la toxicité des nanostructures d’oxydes métalliques chez les êtres vivants et leur effet sur l’écosystème.” https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/29453535/  Les risques des nanoparticules injectées dans un organisme vivant et les risques sur l’environnement: “Au-delà d’étudier si les nanomatériaux tuent simplement un organisme, les mécanismes moléculaires par lesquels les nanoparticules présentent une toxicité ont été largement étudiés. Certains des principaux mécanismes comprennent (1) l’association directe de nanoparticules avec la surface cellulaire d’un organisme, où la membrane peut être endommagée ou initier des voies de signalisation internes qui endommagent la cellule, (2) dissolution du matériau, libérant des ions toxiques qui ont un impact sur l’organisme, généralement en altérant des fonctions enzymatiques importantes ou par interaction directe avec l’ADN d’une cellule, et (3 ) la génération d’espèces réactives de l’oxygène et le stress oxydatif qui s’ensuit sur un organisme, ce qui peut également endommager des enzymes importantes ou le matériel génétique d’un organisme.” https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/31181913/  Les “nanoparticules superparamagnétiques” utilisées comme “bio-capteur” et “bio-marqueur”: https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/?term=nanoparticles+superparamagnetic+biosensors

 

Nous devons protéger nos enfants !
Jérémie MERCIER

Depuis le début de la crise Covid, nous sommes soumis à une désinformation constante et hallucinante de la part des médias traditionnels et des autorités. J’ai eu de nombreuses occasions d’en parler sur mon blog.

Grâce à des stratégies de sidération et d’ingénierie sociale, beaucoup ont cru en mars 2020 qu’il suffirait de “bien se tenir” pendant 2 semaines pour “aplatir la courbe”.

Hélas, ce n’était qu’une expérience de dressage… qui a rudement bien marché !

Près d’un an et demi après, la plupart des “démocraties” occidentales ne sont plus que l’ombre d’elles-mêmes et les libertés fondamentales ont été bafouées sans vergogne.

Aujourd’hui, une population particulièrement est en danger.

Il s’agit des enfants.

De nos enfants.

Aujourd’hui en France démarre l’autorisation pour les 12-18 ans de subir l’injection expérimentale appelée “vaxxin anti-Covid”. Pour le moment avec l’accord des deux parents.

Lors de ma 4ème émission “Science en Conscience” pour Reinfo Covid, j’ai interviewé Marie Fabre-Grenet, pédiatre et porte-parle du “Collectif de Santé Pédiatrique”.

Marie Fabre-Grenet y présente les nombreuses raisons pour lesquelles nous devons nous méfier de ces injections “anti-Covid”, en particulier chez les ados enfants : https://youtu.be/-8vQw228JaI

Pour rester sur la thématique des enfants, j’ai aussi eu le plaisir de faire un live avec Pierre Martineau, co-fondateur du collectif “Enfance et Libertés”, qui se bouge à fond pour que les droits fondamentaux des enfants, gravement atteints depuis plus d’un an, soient respectés, y compris en situation d’ “état d’urgence”.

Il propose pour cela une solution inhabituelle qui pourrait avoir un véritable impact : la pétition législative.

Contrairement aux autres pétitions, qui ne sont en général que l’expression de bonnes intentions, la pétition législative, hébergée sur le site du Sénat a le pouvoir de forcer le déclenchement d’un débat parlementaire.

Voici cette interview qui permet de se poser les bonnes questions sur les injections anti-Covid chez les enfants : https://youtu.be/JbQxMzIze6w

Et le lien vers la pétition : https://petitionsenat.enfance-libertes.fr/

Contagion par protéine spike :

Prendre le vaccin est une chose. La  contagion de la protéine de pointe  actuellement vécue en grand nombre par ceux qui n’ont pas pris le vaccin, mais qui viennent de visiter un parent ou un ami qui l’a fait, est entièrement nouvelle et sans précédent.

Quels sont les effets secondaires observés par cette contagion? 

  • maux de tête énormes
  • micro-caillots et ecchymoses soudaines sur tout le corps
  • cycles menstruels exceptionnellement lourds chez les jeunes et après la ménopause
  • fausses couches
  • réduction du lait maternel
  • stérilité chez les femmes et les hommes
  • les animaux domestiques meurent peu de temps après que les propriétaires reçoivent le sérum.

L’antidote à la contagion

Cet antidote à la contagion, connu depuis près de 100 ans par les échelons supérieurs de l’establishment médical et les initiés de la classe élitiste, s’appelle  Suramine , un composé isolé dérivé à l’origine d’un extrait d’huile d’aiguille de pin.

Tout le monde peut désormais profiter de cette solution en puisant dans sa racine d’origine, le  thé aux aiguilles de pin , un antidote disponible gratuitement aujourd’hui dans les forêts à feuilles persistantes et dans les arrière-cours de nombreuses personnes. 

Comment ce simple remède peut-il si bien fonctionner face à une condition apparemment insurmontable ? 

Il existe une relation directe entre la suramine (l’extrait isolé), le thé aux aiguilles de pin (un extrait à l’eau chaude des aiguilles de pin, de sapin, de cèdre et d’épinette) et l’huile de pin (qui est dérivée des aiguilles par une distillation à la vapeur d’huile essentielle traiter).

Tous les trois sont dérivés des propriétés de l’aiguille de conifère.

Mon point de vue personnel à ce sujet est qu’il est bien mieux d’obtenir la source entière d’herbes de la nature que juste une infime fraction d’un extrait. Il y a beaucoup d’autres avantages qui peuvent être dérivés de l’herbe entière qui seront absents du produit chimique isolé.

Mon observation est que ceux qui maintiennent des niveaux de santé élevés ne sont affectés ni par le sérum ni par la contagion transférentielle. Leur système immunitaire semble éviter les effets secondaires à ce stade. L’hiver venu, lorsque la protéine de pointe dans leur corps sera mise à l’épreuve par de nouveaux agents pathogènes, nous découvrirons tous notre véritable niveau de santé.

Quiconque est sur le point de rester en bonne santé ou épuisé (ce que l’on peut dire de beaucoup d’entre nous aujourd’hui), est touché à des degrés divers.

Le sentier de Suramin à Pine Needle Tea

Voici la piste de la science et des données qui montrent la relation dérivée entre les aiguilles de pin et la suramine (“l’antidote de l’elist” aux maladies microbiennes) – et qui fournit également un antidote potentiel pour les personnes touchées par la contagion des protéines de pointe (pour les raisons expliquées dans le données suivantes) :

https://en.wikipedia.org/wiki/Suramin

La suramine est utilisée pour le traitement de la maladie du sommeil humaine causée par les trypanosomes. [1]  [un parasite] Spécifiquement, il est utilisé pour le traitement de la trypanosomose africaine de premier stade causée par  Trypanosoma brucei rhodesiense  et  Trypanosoma brucei gambiense  sans implication du système nerveux central. [9] [10]  Il est considéré comme un traitement de première intention pour  Trypanosoma brucei rhodesiense et un traitement de deuxième intention pour Trypanosoma brucei gambiense à un stade précoce  , où la pentamidine est recommandée en première intention. [dix]

Il a été utilisé dans le traitement de la cécité des rivières (onchocercose). [2]

La suramine est disponible pour la profession médicale depuis près de 100 ans.

SURAMINE, LE FRUIT DE LA CHIMIE MÉDICINALE PRÉCOCE

Lorsque la suramine a été introduite pour le traitement de la maladie du sommeil africaine en 1922, c’était l’un des premiers agents anti-infectieux développés dans le cadre d’un programme de chimie médicinale. Partant de l’activité antitrypanosomienne du colorant bleu trypan, synthétisé en 1904 par Paul Ehrlich, Bayer a fabriqué une série de dérivés incolores et plus puissants. La molécule 205 était de la suramine, synthétisée par Oskar Dressel, Richard Kothe et Bernhard Heymann en 1916. La maladie du sommeil (également connue sous le nom de trypanosomose humaine africaine [THA]) était à l’avant-garde de la recherche à cette époque, pas une maladie négligée comme c’est le cas aujourd’hui. , et le développement de la suramine a été une percée pour le domaine émergent de la chimiothérapie.  

La suramine diminue encore les activités d’un grand nombre d’enzymes impliquées dans  la synthèse et la modification de l’ADN et de l’ARN : ADN polymérases (103, 104), ARN polymérases (103, 105, 106), transcriptase inverse (18, 103), télomérase (67) , et les enzymes impliquées dans l’enroulement/déroulement de l’ADN (107, 108) sont inhibées par la suramine, ainsi que les enzymes modifiant l’histone et la chromatine comme les protéines chromobox (109), les méthyltransférases (110) et les sirtuines histone désacétylases (111)  

La suramine a également montré des effets inhibiteurs contre les composants de la cascade de la coagulation (71 130)…  

Une coagulation excessive provoque des caillots sanguins, des mini-caillots, des accidents vasculaires cérébraux et des cycles menstruels inhabituellement lourds.

C’est pourquoi tant de gens meurent aujourd’hui de caillots sanguins après avoir reçu un vaccin, et pourquoi d’autres présentent maintenant des ecchymoses inexpliquées après avoir été en contact avec celui qui a pris le vaccin.

Quelque chose est transféré de l’un à l’autre, probablement par la respiration, complété par un type de résonance sympathique, ou émanation de phéromones.

La méthode de transfert n’est pas claire à ce stade, mais est certainement en train de se produire.

Ce phénomène n’est pas un accident, ces symptômes étaient connus bien avant de déchaîner ce sérum sur le public. Les essais de vaccins sont en cours depuis des décennies.

Pourquoi ont-ils décidé de tester une approche complètement nouvelle avec l’ARNm sans essais sur les animaux, utilisant ainsi l’homme comme premier cas de test pour leur efficacité ?

Une imposture évidente

Tout médicament naturel avec 0,01 % de ces décès et effets secondaires aurait été retiré du marché immédiatement. Le fait que nos professionnels et décideurs aient continué à permettre à cette imposture de perdurer révèle que cette imposture est intentionnelle.

L’échelon supérieur de la profession médicale fait la promotion de ce programme auprès du peuple, pendant qu’il s’en dispense, puis prend son antidote personnel pour éviter d’être affecté par la contagion transférentielle.

Depuis quand est-il acceptable de tuer des milliers de personnes et de mutiler des centaines de milliers d’autres avec un « médicament » ??? Pourquoi trouvons-nous cela OK? Pourquoi faisons-nous toujours confiance aux médias et aux sorciers médicaux qui ont imaginé cette imposture ? Quand sera-t-il suffisant ?

L’antidote du peuple

Maintenant, les gens ont l’antidote , et il est facilement disponible sous forme de thé aux aiguilles de pin. Comment savons-nous cela? Parce que la suramine est un dérivé des huiles des aiguilles de pin.

L’ensemble de la source à base de plantes (aiguilles) est supérieur à l’extrait composé unique (Suramin) – car les aiguilles possèdent un complément complet de phytonutriments offrant de nombreux avantages supplémentaires dont l’extrait est incapable.

Maintenant, voici le lien direct entre la suramine et le thé à l’aiguille de pin :

La suramine est dérivée du bleu trypan

https://en.wikipedia.org/wiki/Trypan_blue

Le bleu trypan est dérivé de la toluidine, c’est-à-dire de l’une quelconque de plusieurs bases isomères, C 14 H 16 N 2 , dérivées du toluène. Le bleu trypan est ainsi appelé parce qu’il peut tuer les trypanosomes, les parasites qui causent la maladie du sommeil. Un analogue du bleu trypan, la suramine, est utilisé pharmacologiquement contre la trypanosomose. Le bleu trypan est également connu sous le nom de bleu diamine et bleu Niagara…

Le  thé à l’aiguille de pin  est un extrait doux direct de l’herbe entière, laissant intactes bon nombre de ses propriétés qui pourraient être détruites par une chaleur excessive pendant la distillation et la dissection de ses nombreux composants nutritifs.

J’ai récolté quelques jeunes aiguilles de sapin Douglas l’automne dernier et je les ai ajoutées à mon mélange de thé du matin au cours des deux derniers mois. Ce devait être un appel instinctif. J’ai découvert l’info Suramin la semaine dernière.

Le thé à l’aiguille de sapin de Douglas que j’ai bu procure un regain d’énergie et un bon coup de pouce au système immunitaire.

Les aiguilles de pin sont riches en vitamine C et A parmi de nombreux autres composés qui offrent une longue liste d’avantages :

Une  étude coréenne de 2011 a  démontré que l’utilisation d’aiguilles de pin dans le thé était le meilleur moyen d’accéder aux bienfaits antioxydants des aiguilles de pin.

L’étude a démontré que l’extrait à l’eau chaude des proanthocyanidines et des catéchines d’aiguille de pin offre  les niveaux les plus élevés d’avantages antioxydants  par rapport aux procédés d’extraction chimique.

Il existe d’  autres avantages connus  que partagent le thé aux aiguilles de pin et le thé à base d’autres conifères, notamment :

  • Analgésique
  • Antibactérien
  • Antifongique
  • Anti-inflammatoire
  • Antimicrobien
  • Antioxydant
  • Antiseptique
  • Antitumoral
  • Antitussif
  • Antiviral
  • Aromatique
  • Astringent
  • décongestionnant
  • Détoxifiant
  • Désinfectant
  • Diurétique
  • Expectorant
  • Immuno-modulateur
  • Améliore la circulation
  • Revigorant
  • Lymphatique
  • Relaxant
  • Soulage l’épuisement nerveux et la fatigue
  • Soulage les muscles endoloris
  • Réparatrice
  • Tonique

Les herboristes du monde entier connaissent depuis toujours les bienfaits de ce simple thé naturel. Le thé aux aiguilles de pin est utilisé en médecine dans le monde entier depuis des milliers d’années.

Vidéo sur le thé à l’aiguille de pin  (3 min)

https://www.youtube.com/watch?v=RdTcmexTBH0

Alimentation sauvage – Pin / Epicéa / Cèdre / Sapin – Thés à feuilles persistantes

Quelques mises en garde :
Attention au pin if (qui n’est pas un vrai pin) et peut être toxique, même s’il possède quelques propriétés médicinales).

Le cyprès ne doit pas être utilisé comme huile essentielle à fortes doses, mais normalement sans danger autrement.

Le thé de pin, d’épinette, de cèdre et d’aiguille de sapin peut s’avérer être le moyen le plus simple de profiter des nombreux avantages des arbres à feuilles persistantes, ainsi qu’une protection naturelle contre les réplications malsaines des protéines de pointe aujourd’hui.

Combinez avec d’autres herbes comme vous le souhaitez pour obtenir d’autres avantages et saveurs.

Sources d’aiguilles de pin

Dosage :  3 tasses par jour ou plus de n’importe quelle force désirée (basé sur la quantité d’aiguilles ajoutées à une presse française ou à une théière) avec environ 1 à 3 cuillères à soupe d’aiguilles par tasse d’eau presque bouillante. Il s’agit d’une dose de maintien de la santé.

Des quantités plus fortes d’aiguilles à arroser peuvent être utilisées à des fins thérapeutiques. S’il vous semble trop acide (à cause de la vitamine C) pour votre système, modérez la quantité et complétez le thé avec des aliments alcalinisants et des herbes vert foncé ou des légumes de la mer.

Source : / https://bestnewshere.com/anitdote-to-the-contagion-must-read-must-do-everyone-heres-an-effective-way-to-guard-against-the-spike-protein-contagion -causé-par-le-covid-vacciné/

Youtube/ Zoom – Serge Rader : Buzyn, la dictature des vaccins

Depuis le 1er janvier 2018, les parents sont contraints de faire administrer non plus 3 mais 11 vaccins à leurs enfants. L’obligation, mais également la crainte d’effets secondaires possibles inquiètent de plus en plus. De son côté, le ministre de la Santé, Agnès Buzyn, reste totalement fermée au dialogue. Serge Rader, pharmacien spécialiste des vaccins, pousse un cri de colère pour qu’un véritable débat scientifique puisse avoir lieu, sans la mainmise des laboratoires pharmaceutiques. http://www.tvlibertes.com/don/

Ou https://youtu.be/6ds8O5Au2jI

Cette vidéo est en quelque sorte le TESTAMENT DE SERGE RADER ? ce grand pharmacien qui a osé dire toute la vérité sur la folie vaccinale.

REALISEZ VOUS QUE BERNARD ARNAULT , quatrième fortune du monde  (60 milliards d’euros par an) propriétaire de plusieurs journaux, touche douze millions d’euros de nos impôts comme « aide à la presse » On croit rêver ! Payer pour se faire intoxiquer par des informations mensongères, c’est vraiment du délire !!! Alors soutenez tvlibertes.com§

DES SENATEURS AMERICAINS DISENT QUE LA CRISE COVID EST UN MENSONGE

DENONCENT LES MENSONGES DU COVIDhttps://fb.watch/68EKzvACMK/

Nouvel article sur FRANCE MEDIAS NUMERIQUE

La Chine, la 5G et le coronavirus de Wuhan : le nouveau virus de l’empereur

par Mohamed Tahiri

blog39f

Y aurait-il un lien entre le Coronavirus et la 5G ? Le chercheur et biologiste du bâtiment Paul Doyon vient de passer les 18 derniers mois en Chine. Il a écrit un article brillant exposant les preuves. . Avertissement : il s’agit d’un article basé sur la science lourde avec près de 100 références à des études –

Suit un article détaillé qui montre la toxicité de la 5G

Nouvel article sur FRANCE MEDIAS NUMERIQUE

BOOM !!! L’ancien directeur du CDC, M. Redfield, cite la propagation rapide du COVID comme l’une des raisons pour lesquelles il pense que le virus a commencé en laboratoire.

blog39g


Vidéo:

https://video.foxnews.com/v/6258977190001#sp=show-clips


M. Redfield a fait valoir que la propagation efficace du COVID-19 d’homme à homme contredisait le comportement d’autres coronavirus mortels présentant un profil similaire.


Exclusif: l’ancien directeur du CDC Redfield dit qu’il pense que le COVID-19 vient du laboratoire de Wuhan

L’ancien directeur du CDC, Robert Redfield, s’assoit pour une interview exclusive avec le Dr Marc Siegel de Fox News pour discuter de sa conviction que COVID-19 « a évolué » à partir d’un laboratoire de Wuhan.

EXCLUSIF : Robert Redfield , l’ancien directeur des Centers for Disease Control and Prevention, a expliqué le raisonnement derrière son opinion selon laquelle une fuite de laboratoire était l’explication la plus probable des origines de la pandémie de COVID-19, dans une large interview avec Fox News.

Suite de l’article sur France numérique

Nouvel article sur FRANCE MEDIAS NUMERIQUE

ACTUALITÉ : Marjorie Taylor Greene demande l’adoption de la loi  » Virez Fauci  » à la lumière des nouvelles révélations sur les courriels.

par Mohamed Tahiri

Mardi après-midi, la représentante Marjorie Taylor Greene a réintroduit la “Fire Fauci Act”, qui réduirait le salaire du Dr Anthony Fauci à 0 $ et demanderait au Sénat de confirmer son remplaçant.PUBLICITÉ

Cela vient après des révélations selon lesquelles Fauci s’est contredit à plusieurs reprises dans des e-mails obtenus via un FOIA.

Greene a poussé l’acte qui a été présenté pour la première fois le 1er avril lors d’une nouvelle conférence de presse mardi après-midi, debout avec ses collègues républicains devant une pancarte indiquant: “Fauci a menti, des gens sont morts.”

« Le peuple américain a enduré des choses terribles au cours de la dernière année en raison des fermetures de COVID-19. Je suis très fier de parrainer le Fire Fauci Act “Virez Fauci Act”, et je suis reconnaissant à mes collègues ici d’avoir coparrainé ce projet de loi parce que le Le peuple américain mérite des réponses”, a déclaré Greene.

Suite sur le site de france numérique

Nouvel article sur FRANCE MEDIAS NUMERIQUE

Incroyable dans les tests de dépistage de COVID 19. ICI SOLUTIONS POUR CACHER LES PROTÉINES DE POINTE

par Mohamed Tahiri


Il existe 2 kits de test COVID-19. Un positif et un négatif. Le négatif serait utilisé pour les vaccinés afin de montrer une baisse des “cas”. Le positif serait utilisé pour les non-vaccinés afin de produire un faux résultat.

Nouvel article sur L’Informateur.

Q SCOOP – Un député finlandais avertit le gouvernement qu’il est coupable de génocide pour avoir induit le public en erreur sur les injections COVID-19.

par Qactus

Faites attention pour vos départs en vacances !

Partager à tous vos proches pour les avertir de la supercherie !

Nouvel article sur L’Informateur.

Q SCOOP – C’EST OFFICIEL – Les données officielles montrent que plus de personnes sont mortes à cause des vaccins Covid…

par Qactus


Nous pouvons officiellement confirmer que le nombre de personnes décédées à cause des vaccins Covid a dépassé le nombre de personnes décédées à cause du Covid-19.

Les données officielles montrent que plus de personnes sont mortes à cause des vaccins Covid en 6 mois que de personnes qui sont mortes de la Covid-19 en 15 mois.

Cependant, les chiffres sont probablement bien pires qu’il n’y paraît, car les données sur les décès dus aux vaccins Covid proviennent de données officielles publiées par Public Health Scotland, et le nombre de décès dépasse en fait le nombre de personnes qui seraient mortes du Covid-19 en Angleterre.

Suite sur l’informateur

Prendre l’avion… est-ce encore raisonnable ?

Michel DOGNA

Depuis l’avènement de ladite pandémie covid 19, les dispositions sanitaires politiquement établies par l’OMS et Bill Gates sur tous les gouvernements soumis ont contraint les populations à des réductions drastiques de leurs libertés fondamentales (je passe les détails) dont la seule échappatoire devait être LE VAXXIN pour tous.

Or, celui-ci s’est révélé par ses résultats statistiques, ne pas être du tout une protection anti covid en dépit des allégations des laboratoires fournisseurs, mais selon les études convergentes de différents scientifiques indépendants, un modificateur génétique (expérimental) de l’ARN plus ou moins catastrophique selon les individus.

Plus précisément, dès que vous êtes “vaxxés” et que les nanoparticules métalliques ont envahi votre organisme, vous devenez une grande antenne permettant de recevoir (inconsciemment) des téléchargements de programmes physiques et psychiques via les réseaux WIFI et 3, 4, 5G (à savoir en particulier, que la 5G vous localise 24h/24).

Vous êtes dès lors un ordinateur ambulant, et les piqûres de rappel soi-disant pour vous protéger des variants, ne seront en réalité que de simples mises à jour informatiques en fonction des besoins du moment… en ce qui concerne les survivants. Je dis bien survivants, puisque différents chercheurs tels le Dr Vernon Coleman ou des Pr éminents, telle Sherri Tenpenny, promettent une survie de deux ans maximum pour la plupart des vaxxés. Elle annonce carrément que les vaccins ARNm sont des machines à tuer qui détruisent les défenses immunitaires.

NOTA :

J’ai employé vaxxés à la place de vaccinés

pour bien marquer qu’il ne s’agit pas d’un vaccin.

Bien sûr tout ceci ne se raconte guère à la télé, ainsi entend-on couramment des gens naïfs et peu curieux de savoir, dire “je suis obligé d’accepter le vaccin”, ceci pour raisons professionnelles ou pour récupérer les libertés d’accès à tout ce que l’on sait, comme prendre l’avion… en acceptant ce que l’on pense être un “petit-risque-roulette-russe” avec la santé.

De leur côté, les compagnies aériennes se sont alignées avec les directives officielles en n’acceptant que les gens vaxxés. Donc jusque-là tout allait bien, apparemment, et vive la liberté !

Pour encourager les gens à accepter le “pseudo-vaccin”, l’Allemagne qui est un pays très organisé a même fait le projet d’obliger les non vaxxés à porter une petite étoile jaune afin de les reconnaitre facilement et de ne pas approcher les individus potentiellement dangereux – (idée ressortie des tiroirs qui rappelle des trucs !). En Australie on ne rigole pas, on a emprisonné des réfractaires au pseudo-vaccin.

Soudain, un gros pavé dans la mare

Et puis voilà que l’on apprend que les vaxxins ARNm contiennent deux produits très dangereux qui sont la protéine SPIKE et l’HYDROGEL DARPAqui, entre autres agressions fonctionnelles graves et irréversibles, attaquent le sang créant des milliers de mini caillots circulants. Ceux-ci pouvant s’agglutiner à des endroits clés et créer des thromboses subites fatales (embolies cardiaques, cérébrales ou pulmonaires).

Cela a déjà fait 12 000 morts subites en Europe et 15 000 aux Etats unis dans les heures, les jours ou les semaines qui suivent surtout le deuxième vaxxin.

Second pavé dans la mare, de nombreuses études convergentes viennent de montrer que les vaxxés sont 3 fois plus contagieux du covid que les malades en pleine crise, devenant des distributeurs ambulants de la terrible protéine SpikeBill Gates le savait déjà, et voilà pourquoi il avait déclaré qu’il suffisait de vaxxiner un tiers de la population pour toucher toute la planète !

Une cascade de problèmes

Voilà que l’étoile jaune devrait passer dans le camp des vaxxés, sachant que de plus, il est maintenant prouvé que les non vaxxés en bonne santé et les enfants ne sont absolument pas contagieux !

Du coup les compagnies aériennes encore en activité, se sont assises à la table des négociations et ont décidé à l’unanimité de ne plus autoriser de passagers fraîchement vaxxés à prendre l’avion avec elles prétextant à juste titre qu’elles ne veulent pas supporter le risque de thromboses mortelles à bord.

Ce risque est d’autant plus important que les problèmes circulatoires sanguins sont connus pour être augmentés en altitude ; et c’est pour cela qu’il est recommandé depuis longtemps aux gens âgés, pour les longs courriers, de prendre préalablement puis en cours de vol de l’aspirine (exemple Aspégic 500).

En conclusion, voilà donc que ceux qui ont pris des risques pour acheter leur liberté ont tout faux et vont devoir rester à la maison – Oh, c’est vraiment ballot !

Maintenant qu’en est-il au niveau des équipages ?

  1. Dans le cas où les deux pilotes sont obligés d’être vaxxés, il est possible que l’un ou l’autre fasse une thrombose en plein vol, ce qui est bien plus grave que pour un passager.
  2. Dans le cas où la vaccination du personnel navigant est libre, le contact rapproché obligé va faire que, comme nous l’avons vu plus haut, les vaxxés vont contaminer les non vaxxés – ce n’était alors pas la peine d’interdire les passagers vaxxés. A noter que le port du masque a été cent fois démontré ne servir à rien et même reconnu inadapté, donc inutile, contre les virus par le CDC américain lui-même. Concernant la protéine S, c’est pire vu qu’elle est de taille encore inférieure aux corona virus (1 nano mètre = 1 millionième de millimètre).

Donc la seule option logique est qu’aucun personnel navigant ne soit vaxxé

et qu’aucun passager vaxxé ne soit admis à bord.

Autres variantes, les consultations médicales

  • Lorsque vous allez consulter un médecin, vous ne savez pas s’il est vaxxé. Si oui, il risque de vous contaminer avec la SPIKE, même si lui et vous portez un masque (qui ne sert à rien). Alors que vous vouliez vous faire soigner, vous risquez de repartir avec le cadeau d’une jolie bombe à retardement…
  • On oblige la plupart du personnel soignant à être vaxxé – soit dit en passant qu’il m’est revenu de nombreux cas d’invalidité à vie et de décès (bien sûr les médias n’en parlent surtout pas). Je ne sais pas si les médecins ont le libre choix ou s’ils ont la possibilité de se faire des faux. En tout cas je n’ai pas envie d’aller fréquenter les milieux médicaux, d’autant plus avec mon grand âge.
  • Un autre problème important dont personne ne parle : le don du sang pour les transfusions – les seuls retours que nous ayons viennent du Japon et des Etats Unis qui en ont interdit l’accès aux personnes vaxxées. En France on peut tout craindre puisqu’on ne parle pas de ce problème.
  • En Angleterre on a relevé chez les femmes vaxxées ou en contact rapproché avec des vaxxés un taux de fausses couches multiplié par 3,6.
  • Enfin je transmets ici un témoignage du 2 juin, venant d’une dame travaillant en crèche, qui nous signale que 10 petits sont très malades, avec fièvre et difficultés respiratoires, dont 2 ont failli mourir étouffés… c’est l’horreur ! dit-elle. Or les parents de ces petits sont quasi tous vaxxés…

Liste des conséquences possibles des “vaXXins” ARNm

publiée par la FDA aux US

  • Anaphylaxie
  • Arthralgie
  • Arthrite
  • Autres maladies démyélinisantes aiguës
  • Cataplexie
  • Coagulation intravasculaire disséminée
  • Convulsions
  • Décès brutal
  • Douleurs articulaires
  • Encéphalite
  • Encéphalomyélite
  • Encéphalomyélite aiguë disséminée
  • Encéphalopathie
  • Fausse couche
  • Hématomes spontanés
  • Infarctus aigu du myocarde
  • Maladie auto-immune
  • Maladie de Kawasaki
  • Maladies aggravées par le vaxxin
  • Méningite
  • Méningoencéphalite
  • Myélite
  • Myélite transversale
  • Myocardite
  • Narcolepsie
  • Péricardite
  • Réactions allergiques non anaphylactiques
  • Syndrome de Guillain Barre
  • Syndrome inflammatoire multi systémique enfants
  • Thrombo-embolie veineuse
  • Thrombo-cytopénie                           

Cas relevés après les “vaXXins” Pfizer et Astrazeneca

  • Accidents vasculaires cérébraux (AVC)
  • Cécité
  • Covid-19 lui-même
  • Crises cardiaques
  • Fausses couches
  • Paralysie de Bell
  • Paralysie
  • Septicémie
  • Surdité
  • Troubles du système immunitaire
  • Troubles du système nerveux
  • Troubles psychiatriques 

Bonne chance !

Peut-on amortir les dégâts des protéines Spike ?

Contre les infections respiratoires subaiguës conséquentes connues, de très bons résultats sont obtenus avec :  l’Ivermectine (Stromectol), l’Hydroxychloroquine + Zinc + Azithromicine de Raoult, et autres Macrolides tels la Clarithromycine, la Quinine, l’Artemisia Annua, l’Iodine. Tous ces produits qui marchent bien sont interdits par la dictature et introuvables en France. Il faut sortir des frontières ou tenter sa chance sur Internet. A chacun de se débrouiller…

Pour ceux qui veulent plus de détails techniques du Dr Tenpenny

14 min

hthttps://odysee.com/@Vivresainement:f/la-proteine-spike-et-les-vaccins-sont-mortels:8

Odysee Obscures Piqûres

Les “injections” anti-covid ne sont pas sans danger : la protéine virale produite dans votre corps peut endommager de nombreux récepteurs de membranes. D’autres mécanismes entrent en jeu pour engendrer de terrifiants effets secondaires. Nous ne savons pas tout, les laboratoires ont tenu secrètement pour eux la synthèse exacte du code génétique contenu dans ce sérum pour le moins obscur.

GRAND MERCI au groupe Telegram VACCINS-COVID-19 EFFETS SECONDAIRES : https://t.me/temoinsPOSTVAX19/217

Qui nous permettent de recenser les cas de décès ou de pathologie dues aux vaccins, et auprès de qui nous avons cherché les cas qui illustrent cette vidéo.

NB de TAL : Cette vidéo fait très bien le point sur la situation actuelle et le danger des « vaccins »  Tout est expliqué en détail et de manière irréfutable.

A DIFFUSER AUTOUR DE VOUS !!

Un poème (extrait du ebook La poésie ,qui guérit, de tal schaller disponible sur santeglobale.world)

CONSCIENCE PURE

Je sens mon corps qui se détend

Je laisse couler mes émotions

Comme une eau vivante

Qui parcourt toutes mes fibres

Et plonge dans la terre

Qui la reçoit comme un cadeau

Comme une mère accueille avec amour

Les pleurs de son enfant

Je laisse partir mes pensées

Avec le vent qui souffle et purifie

Me voilà libre

Dans mon corps, mon coeur et ma tête

Sensations, émotions,pensées

Se dissolvent

Dans une conscience si vaste

Qu’elle contient tout

Qu’elle accepte tout

Qu’elle est tout

Les limites ont fondu

Et je deviens lumière

Je suis l’amour créateur

Père et Mère des univers

Force divine qui pulse partout

Et dit à chaque être

A chaque expression de la vie

Je t’aime, tu es mon enfant, ma chair

A travers toi ma joie de créer

Se dilate dans l’immensité

Dans les multiples formes

De ma créativité

Je donne la vie

A tout ce qui est

Et perpétue mon amour

En créant à son tour !

Et un poème de Johanne :

LES CAUSES DE LA MORT

Nous mourons lorsque nous devenons sourds

Et refusons d’écouter les chants de la vie

Nous mourons lorsque nous ne voyons plus

Les champs de fleurs, l’arc-en-ciel et le firmament

Nous mourons lorsque nous ne voulons plus rien sentir

Nous privant de sensations, d’émotions et de battements de cœur

Nous mourons lorsque nous n’éprouvons plus de joie

Signant ainsi notre rejet du plaisir

Nous mourons lorsque nous sommes toujours tristes

Étouffant, avec nos peines, la flamme de notre conscience

Nous mourons à force de nous mettre en colère

Cette tension nous transforme en robots insensibles et désarticulés

Nous mourons lorsque nous nous prenons pour des poubelles

Que nous emplissons de nutriments pollués et inadéquats

Nous mourons lorsque nous ne vidons pas nos corps

Des frustrations et des critiques accumulées

Nous mourons lorsque nous sommes infectés

Par des idées-reçues qui bloquent l’accès au bonheur

Nous mourons lorsque nous ne sommes plus émus

En voyant les efforts de chacun pour mieux vivre

Nous mourons lorsque nous nous accrochons au passé

Et laissons nos rancunes envahir nos pensées

Nous mourons en noircissant nos futurs

Nous empêchant ainsi de voir notre fantastique destinée

Nous mourons lorsque nous ne croyons pas en la force

Qui vibre à l’intérieur de tout être humain

Nous mourons en prenant du pouvoir sur quelqu’un

Sans respecter sa capacité de choisir sa voie, tel un roi

Nous mourons quand notre attention est constamment attirée par l’extérieur

Dans un effort qui bloque l’élan de nos potentiels divins

Nous mourons lorsque nous nous comparons

Car nous avons en nous les mêmes possibilités

Nous mourons lorsque nous refusons de voir la beauté

Qui embellit et illumine tous les êtres humains

Nous mourons lorsque nous ne savons pas vivre en harmonie

Pour respecter tout ce qui vit et se faire partout des amis.

Nous sommes conçus pour comprendre et aimer

Ceux qui sont bons mais aussi ceux qui nous font peur

Nous sommes prévus pour écouter et accueillir

Ceux qui nous appellent et ceux qui nous tournent le dos

Nous sommes créés pour caresser et soigner

Ces gestes guérissent nos maux et stimulent notre énergie

POUR CONSTRUIRE ICI, TOUS ENSEMBLE, UN VRAI PARADIS !

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