« Chaque fois que j’entends un discours politique ou que je lis ceux de nos dirigeants, je suis horrifié de n’avoir, pendant des années, rien entendu qui ait semblé humain. Ce sont toujours les mêmes mots qui racontent les mêmes mensonges. Et le fait que les hommes acceptent cela, que la colère du peuple n’ait pas détruit ces clowns, me parait la preuve que les hommes n’accordent aucune importance à la manière dont ils sont gouvernés ; ils jouent – oui, jouent – avec toute une partie de leur vie et leurs soi-disant ‘intérêts vitaux’.»
Albert Camus (“Carnets” 1937).

NON   A TOUT CE QU ‘ILS NOUS IMPOSENT   Transférez cette vidéo un max!!!!!nous sommes des êtres libres et souverains   pensez à vos enfants!!!!!!!!!!!!!

GRAND APPEL LA MARCHE DE LA LIBERTE

https://odysee.com/@Arcadia:a/Freedom-March—Le-Grand-Appel—Version-finale-FR:8

Sur le net/ HYUNDAI COMMERCIALISE LA PREMIÈRE VOITURE À L’ HYDROGÈNE en AUSTRALIE 

Alors que chez nous on cherche les dernières gouttes de pétrole, la première voiture hydrogène est commercialisée en Australie, avec beaucoup de stations de recharge en seulement 5 minutes, alors qu’en FRANCE on commercialise les voitures électrique et les bornes de rechargement en plus de 4 heures.

La voiture parcourt 900 miles avec un plein et se déplace en purifiant l’air, ne rejetant aucunes particules à part de l’eau.

Pour la première fois, la technologie du fuel cell à hydrogène est appliquée de série sur une voiture commercialisée et qui permet surtout d’avoir une autonomie aussi significative, avec des temps de recharge très faibles.

Il s’agit de Hyundai Nexo une voiture de petite cylindrée qui bat tous les constructeurs automobiles mondiaux et établit un record de durabilité ; avec une charge de 6,27 kilogrammes d’hydrogène purifie 449.100 litres d’air pendant le trajet (autant que la consommation de Respiration de 33 personnes pendant une journée entière) et de son tuyau d’échappement n’émet que de l’eau. 

Cette voiture ne produit pas de CO2, ni d’autres émissions polluantes ;

Il suffit de penser qu’un véhicule équivalent avec un moteur à combustion traditionnel sur la même distance émet environ 126 kg de CO2.

Le moteur à hydrogène entre ainsi sur le marché des voitures et vise à rejoindre l’électricité parmi les solutions de mobilité durable que le monde adopte. 

Hyundai devient ainsi le premier constructeur automobile mondial à produire un véhicule à piles à combustible hydrogène pour le marché.

La voiture monte un système de piles à combustible hydrogène qui, pour générer de l’électricité, fait passer le gaz à travers une structure membraneuse où elle rencontre l’air pris par l’extérieur, un processus qui alimente un moteur électrique. 

L ‘ excès d’électricité, y compris l’énergie accumulée pendant le freinage, est stockée dans une batterie lithium ionique. 

L ‘ approvisionnement de Nexo prend 5 minutes.

La première nation où la voiture a été mise en vente est l’Australie, où les premières stations de ravitaillement ont également été construites.

Une vraie vision d’avenir durable?

Sur le net : The Defender (Robert F. Kennedy)

: Une enquête auprès de 300 000 personnes qui n’ont pas reçu le vaccin COVID-19 a révélé que les non vaccinés n’ont pas imposé un fardeau disproportionné aux systèmes de santé – en fait, ils ont vécu de très faibles taux d’hospitalisation et COVID-19 sévère.

Source : The Defender (Robert F. Kennedy) 10 juin 2022

Lancet : Les vaccins ARN tuent plus qu’ils ne protègent

EXCLUSIF: DE NOUVELLES PUBLICATIONS DANS LE LANCET PROUVENT QUE LES VACCINS ARN TUENT PLUS PAR LES CARDIOPATHIES QU’ILS NE PROTEGENT CONTRE LA COVID

Une publication du Lancet reconnait que les vaccins ARN ne présentent aucun avantage en terme de mortalité. Ce qui est gagné face à la covid est plus que perdu face aux décès cardiaques.

Encore faut il savoir qu’avec les données fournies par la justice américaine le bilan est bien plus défavorable encore pour les vaccins et que les effets pris en compte dans la publication ne sont qu’à très court terme

Lors de la première étape de l’essai Pfizer 16 décès sont officiellement déclarés dans le groupe vacciné et 15 parmis les non vaccinés. LES DOCUMENTS SECRETS EN ONT REVELE SIX DE PLUS, tous parmi les vaccinés. A ces derniers s’ajoutent encore 5 décès dans le groupe vacciné/ Le total est donc de 27 contre 15

La publication du Lancet ne parle que des décédés de la première phase sans les six apparus dans les documents fournis par la justice américaine.

Lire la suite de l’article : https://pgibertie.com/2022/06/08/exclusif-de-nouvelles-publications-dans-le-lancet-prouvent-que-les-vaccins-arn-tuent-plus-par-les-cardiopathies-quils-ne-protegent-contre-la-covid/

Dr Olivier SOULIER / Bonjour à toutes et à tous,

extraits

Les effets secondaires de la vaccination sont tellement importants que même l’HAS et la Commission Parlementaire sur les effets secondaires commencent à paniquer. 

Il sera difficile de les cacher encore plus longtemps, même si c’est pourtant ce qu’essaie de faire le gouvernement et les autorités européennes. 

Le Sénat a refusé de donner le statut vaccinal des personnes décédées en France. Cette donnée est normalement facilement accessible. Mais étant donné l’explosion des morts suite aux injections anti-Covid, ils essaient désespérément de le cacher. 

Même Delfraissy reconnait que les vaccins ne fonctionnent pas.

Et comble de l’ironie, Bill Gates à Davos reconnaît la mauvaise action des vaccins, l’inutilité de l’obligation et du pass vaccinal…

Cela n’empêche pas le gouvernement et les autorités européennes de prévoir la vaccination des enfants pour septembre, toutes les doses sont déjà commandées. Le génocide ne s’arrêtera pas. La classe d’âge 12 – 18 ans est déjà très touchée et beaucoup vont avoir des conséquences dans leur vie future, à commencer par une probable difficulté à avoir des enfants.

A chacun de nous de protéger les enfants !

Il faut bien réaliser qu’il nous faut nous battre maintenant pour chaque ADN intact de l’humanité. Le Pr Montagnier a dit dès le début que les non vaccinés sauveraient le monde. C’est de plus en plus vrai. C’est pourquoi il faut absolument protéger nos enfants. 

 suite sur le site sens et symboles

Le credo des États-Unis et d’Israël: être en guerre partout pour assurer leur « prospérité »

https://les7duquebec.net/archives/273139

Quand un pays s’est bâti sur le crime, il peut s’attribuer tous les superlatifs moraux et vertus démocratiques existants, il ne demeure pas moins criminel, hier comme aujourd’hui, devant l’Histoire.

Les frontières des États-Unis sont extensibles, et surtout mondialement flexibles. De facto, selon les Américains, la terre entière leur appartient. Rien n’arrête leur irrésistible besoin d’expansion. Leur volonté d’étendre leur empire condition nécessaire à la production de plus value et à la réalisation du profit du capital…raison d’être du mode de production capitaliste.

À l’instar de l’État sioniste d’Israël dont la Constitution ne fixe pas les limites du territoire. Ce qui est conforme au projet sioniste d’expansion inexhaustible. Et conforme à la déclaration de son fondateur, David Ben-Gourion, « Il ne s’agit pas de maintenir un statu-quo. Nous devons créer un État dynamique, orienté vers l’expansion. »…un État au service de l’impérialisme mondialiste.

Comme les États-Unis à la légitimité nationale et la suprématie internationale unanimement dénoncée et contestée car fondés sur la colonisation génocidaire et l’expansion permanente, l’entité sioniste, consciente de son illégitimité historique et de sa frauduleuse existence, est affecté par un syndrome singulier, caractérisé par la pathologie guerrière, l’affrontement permanent.

À l’exemple de l’Amérique condamnée à neutraliser l’émergence d’une puissance rivale pour maintenir son hégémonie mondiale, Israël est doublement condamné à vivre sur le pied de guerre et les provocations bellicistes répétées. Pour des raisons à la fois exogènes et endogènes. Exogènes : car il est entouré de pays ennemis qui n’accepteront jamais son existence (nous parlons des populations arabes et non de leurs respectifs États fantoches ralliés au sionisme). Ces pays ne font qu’aiguiser leurs armes pour hâter la destruction d’Israël. Endogènes : car sa population juive hétéroclite maintient sa factice cohésion « nationale » que sous le feu de la guerre permanente. Aussi, dans l’hypothèse d’une résolution d’instauration de la paix, plus qu’improbable, l’équilibre fragile interne s’effriterait-il aussitôt. Inévitablement, les dissensions intrinsèques entre les différentes communautés juives hétérogènes éclateraient au grand jour. Car cette prison dorée de « peuple élu » concentre des habitants-geôliers qui n’ont rien de commun, sinon la religion hébraïque, mais surtout leur doctrine raciste : le sionisme.

Pour revenir aux États-Unis, déjà au début des années 1960, le défunt président américain, John F. Kennedy, n’avait-il pas déclaré le plus normalement du monde : « Nos frontières aujourd’hui sont sur tous les continents. »

En effet, dans un souci permanent de domination du monde, l’Amérique élargit sans cesse son périmètre d’encerclement des pays à l’échelle du globe (Comme Israël et ses ramifications lobbyistes sionistes enserrent plusieurs États pour perpétuer et étendre leur suprématie). Au-delà de son territoire, pour sécuriser et pérenniser sa prospère hégémonie, le monde entier est devenu la frontière « naturelle » de défense de ses intérêts… commerciaux. Pour assurer efficacement sa domination et mobiliser diligemment ses troupes, l’Amérique a déployé presque 700 bases militaires dans cent trente pays (Israël déploie des milliers de lobbyistes dans les instances gouvernementales et les rédactions des médias du monde entier pour fructifier sa puissance diplomatique et financière).

Et comment les États-Unis conquièrent-ils les territoires, dominent-ils le monde ? Par les guerres lucratives ! Telle est la criante réalité de ce pays constamment sur le pied de guerre, en guerre permanente.

Comme l’avait rappelé en 2004 le chef d’état-major de l’armée de terre, le général Schoomaker : « L’Amérique est une nation en guerre. […] Ce n’est pas un simple état d’urgence ou une crise passagère. C’est notre réalité, […] un avenir de conflits incessants, de combats quotidiens, […] où la paix sera désormais l’exception. » Pour justifier l’état de guerre permanent des États-Unis, et surtout l’interventionnisme militaire tous azimuts, il invoquait les menaces récurrentes qui pèseraient sur le pays : « Les menaces sont devenues protéiformes et la guerre menée à distance insuffisante. […] Contre certains ennemis, réseaux terroristes, États voyous ou mouvements insurrectionnels, la dissuasion n’a plus prise. Le combat doit être désormais engagé chez l’ennemi, car la simple punition exercée à distance ne suffit pas. Avec ces adversaires, la seule façon d’assurer la victoire est de mettre des troupes au sol, de s’imposer sur son territoire et de les détruire ».

Ainsi, rien n’arrête ce pays conquérant et arrogant. Il s’arroge le droit de déclencher la guerre comme bon lui semble. De porter la guerre sur n’importe quel territoire d’un pays souverain. De mener une guerre par pays interposé, comme il l’accomplit actuellement avec l’Ukraine, instrumentalisée par l’OTAN, entraînée malgré elle dans une guerre fratricide, après avoir menée une politique stratégique provocatrice et suicidaire à l’égard de la Russie, mise en œuvre par le gouvernement ultra-nationaliste formé d’éléments fascistes comme Svoboda et le bataillon Azov (celui-ci désormais intégré à l’armée ukrainienne, elle-même désormais passée sous la tutelle du Pentagone).

De manière générale, l’exceptionnalisme américain permet à n’importe quel président, fort du soutien du Congrès asservi et du lobby du complexe militaro-industriel hyperpuissant, de recourir à la force dans n’importe quel pays, sur tous les continents. Comme l’avait déjà rappelé, en son temps, cyniquement, Madeleine Albright, secrétaire d’État de Bill Clinton, sur NBC TV le 19 février 1998 pour justifier l’invasion de l’Irak : « Si nous devons employer la force, c’est parce que nous sommes l’Amérique. Nous sommes la nation indispensable. Tête haute, nous voyons plus loin ».

 Pour gagner la guerre, nous devons fusionner tous nos moyens de puissance pour mener une campagne déterminée et acharnée pour vaincre les ennemis qui défient notre mode de vie. », avait ajouté le général Schoomaker, lors de sa déclaration déjà citée plus haut. Autrement dit, en vue de maintenir leur prospère hégémonie, neutraliser les puissances émergentes rivales, les États-Unis sont disposés à investir des milliards dans le budget de l’armement. Une chose est sûre, le budget militaire des USA représente presque la moitié des dépenses militaires dans le monde. Aujourd’hui il est estimé à plus de 800 milliards par an.

Comment justifient-ils le montant gigantesque de ce budget militaire ? « Par les menaces protéiformes représentées par les ennemis », selon la terminologie polémologique de Washington. En d’autres termes, par la fabrication permanente de nouvelles menaces, de nouveaux ennemis. En effet, pour justifier la reconduction, à plus forte raison l’accroissement, des faramineux crédits militaires auprès du Congrès et des « citoyens », le Pentagone recourt à la fabrication d’ennemi stratégique crédible (le communisme, le terrorisme, l’Iran, la Russie, la Chine, etc.). Voire potentiel ou virtuel. Comme l’avait déclaré l’ancien secrétaire à la défense, Donald Rumsfeld, pour motiver le changement de cap de la politique de défense américaine : « Le défi dans ce nouveau siècle est difficile, défendre notre nation contre l’inconnu, l’incertain, l’invisible et l’inattendu. Cela peut sembler a priori une mission impossible. Mais pour l’accomplir, nous devons mettre de côté les vieux modes de pensée et de planification confortables […] afin que nous puissions préparer nos forces pour dissuader et vaincre les adversaires qui n’ont pas encore apparu pour nous défier. ».

Ainsi, l’hyperpuissance américaine ne recule devant aucun stratagème paranoïaque pour motiver et légitimer la reconduction du budget militaire, la pérennisation de son hégémonie. En réalité, comme tout le monde s’accorde à le reconnaître, la mobilisation d’un tel trésor de guerre n’a pas seulement pour finalité la protection de l’Amérique, mais surtout la gouvernance du monde, comme l’avait explicitement reconnu  Newt Gingrich, ancien président de la Chambre des représentants de 1995 à 1999, dans une fracassante et symptomatique déclaration : « On n’a pas besoin d’un tel budget de la défense pour protéger les États-Unis, on a besoin d’un tel budget de la défense pour mener le monde. ».

Pour ce faire, les États-Unis s’arrogent le droit d’intervention militaire à l’échelle mondiale, en vue de préserver leur domination économique, leur hégémonie militaire, leur suprématie culturelle, comme n’avait pas hésité à le rappeler sans vergogne un officier américain, Ralph Peters: « Le rôle de facto des forces armées américaines sera de maintenir le monde comme un lieu sûr pour notre économie et un espace ouvert à nos assauts culturels. Pour parvenir à ces fins, nous ferons un nombre considérable de massacres. Nous sommes en train de construire un système militaire fondé sur l’information pour exécuter ces tueries. »

C’est ce même officier qui déclara en juillet 2017, bien avant Joe Biden, que le président russe Vladimir Poutine « est comparable » à Adolf Hitler. « Il déteste l’Amérique. Il veut nous faire du mal. … La Russie est le mal. La Russie est notre ennemi. » En termes plus clairement étasuniens belliqueux, «Poutine est un ennemi à abattre, la Russie une nation maléfique à détruire»

L’existence des États Unis se fonde sur l’arme de la force, elle-même appuyée par la force armée, source de sa richesse, de son hégémonie. Si, comme l’a écrit Clausewitz, la guerre constitue le prolongement de la politique par d’autres moyens, on peut affirmer qu’aux États-Unis, la guerre tient lieu directement de politique.

Pour les Américains, guerre et politique participent de la même logique. Elles visent la même finalité. La guerre constitue les canons de la politique. C’est ce qui s’appelle la politique de la canonnade. Certes, pour distinguer la guerre et la politique, Mao Zedong a écrit que « La politique est une guerre sans effusion de sang et la guerre une politique avec effusion de sang. » Mais cette définition ne s’applique pas aux Américains, pour qui l’effusion de sang tient lieu à la fois de politique et de guerre (leur société n’est-elle pas la plus criminogène au monde.

De même, Aristote affirmait que « [nous] ne faisons la guerre qu’afin de vivre en paix » (dans sa formulation latine : Si vis pacem, para bellum, « si tu veux la paix, prépare la guerre »). Avec les Américains, cette formule est devenue : « Nous faisons la guerre dans le monde entier afin de vivre richement chez nous en paix ». Depuis plus de cent ans, les États-Unis ont déclenché et participé à des dizaines de guerres, notamment les deux guerres mondiales, mais aucune ne s’est déroulée sur leur territoire.

Aux yeux de n’importe quel citoyen imprégné par cette mentalité, être américain, c’est croire à la supériorité des États-Unis, incarnée par son modèle de « démocratie », sa performance économique.

Parce que l’Amérique, pétrie d’un orgueil démesuré, est convaincue d’être l’incarnation suprême de la « démocratie » et de la « modernité », elle se croit investie d’une mission civilisatrice, voire messianique, de sauver le monde contre le « mal », les « démons étatiques totalitaires » ; investie du devoir « démocratique » de propager, même militairement, les valeurs libérales américaines, hissées comme uniques valeurs universelles. Y compris contre la volonté des autres peuples désireux conserver leurs valeurs locales, leurs traditions nationales. Leur mode vie. Quoi qu’il en coûte ! Quoi qu’il arrive ! Même au prix de l’annihilation de l’ennemi. Tel est le credo de l’Amérique peuplée de citoyens-soldats, ces Élus de Dieu, prêts à livrer la guerre à toutes les nations considérées comme ennemies, des Goyim.

USA : Les médias vantent le «syndrome de la mort subite de l’adulte» comme couverture des décès dus au vaccin

https://www.brighteon.com/35995936-dd2b-4546-962f-2e5d9e0f0ba6

Le régime médical meurtrier sait que les vaccins covid tuent des jeunes en bonne santé à un rythme alarmant, alors ils ont soudainement attribué une étiquette médicale au phénomène afin de distraire les gens de la vérité. Désormais, les jeunes en bonne santé qui meurent subitement sans aucune explication médicale seraient morts du syndrome de la mort subite de l’adulte (SADS) plutôt que des vaccins.

Le UK Daily Mail a publié un article détaillant ce nouveau soi-disant “syndrome” qui n’est bien sûr qu’une étiquette commode pour masquer la véritable cause sous-jacente de ces morts subites. Le titre de leur article est : « Des jeunes en bonne santé meurent soudainement et de façon inattendue d’un mystérieux syndrome – alors que les médecins cherchent des réponses par le biais d’un nouveau registre national », et il dit que toute personne de moins de 40 ans, « … peut potentiellement être à risque de souffrir du syndrome de la mort subite de l’adulte (SADS).”

Toutes les personnes de moins de 40 ans sont désormais censées “faire vérifier leur cœur”, tandis que des médecins inconscients prétendent rechercher la “cause génétique” derrière le SADS.

Vous ne pouvez pas inventer ça. La négligence médicale, l’incompétence et même la méchanceté derrière tout cela sont ahurissantes.

L’Espagne admet avoir pulvérisé des « chemtrails » dans le cadre d’un programme secret de l’ONU

https://echelledejacob.blogspot.com/2022/06/lespagne-admet-avoir-pulverise-des.html

MANIPULATIONS ARTIFICIELLES SUR LE CLIMAT Par Jean-Pierre Petit (Ancien chercheur au CNRS ) 

– Les dérèglements climatiques organisés

– Les manipulations artificielles de la météo

– Les armes sismiques utilisées pour créer des séismes, tremblements de
terre, 
tsunamis…

– Comment les épidémies sont créées,

– Objectifs de ces actions : Diminuer la démographie.

Source : https://www.youtube.com/watch?v=jr0f_gyhgLU

Vidéo : Le plan. L’OMS prévoit d’avoir 10 ans de pandémies (2020-2030). “La preuve que la pandémie a été planifiée avec un but”

Par Derek Knauss –

De globalresearch.ca :

THE PLAN montre que l’agenda officiel de l’Organisation mondiale de la santé prévoit dix ans de pandémies en cours, de 2020 à 2030.

C’est ce que révèle une virologue de l’OMS, Marion Koopmans. Vous verrez également des preuves choquantes que la première pandémie a été planifiée et abondamment annoncée juste avant qu’elle ne se produise.

Pour plus d’informations, et pour voir tous les documents du PLAN, rendez-vous sur : https://www.stopworldcontrol.com/proof

Un groupe de près d’un millier de médecins en Allemagne appelé “Doctors for Information”, qui est soutenu par plus de 7 000 professionnels, dont des avocats, des scientifiques, des enseignants, etc., a fait une déclaration choquante lors d’une conférence de presse nationale : (1)

LA PANIQUE CORONA EST UNE JEU. C’EST UNE ARNAQUE. UNE ESCROQUERIE. IL EST GRAND TEMPS QUE NOUS COMPRENIONS QUE NOUS SOMMES AU MILIEU D’UN CRIME MONDIAL.

Ce grand groupe d’experts médicaux publie un journal tiré à 500 000 exemplaires chaque semaine, pour alerter le public sur la désinformation dans les médias grand public sur le coronavirus.

Ils organisent également des manifestations de masse avec des millions de personnes dans toute l’Europe.

Des centaines de médecins espagnols disent que la pandémie a été créée

En Espagne, un groupe de 600 médecins appelés « Médecins pour la vérité » a fait une déclaration similaire lors d’une conférence de presse.

COVID-19 EST UNE FAUSSE PANDÉMIE CRÉÉE À DES FINS POLITIQUES. C’EST UNE DICTATURE MONDIALE AVEC UNE EXCUSE SANITAIRE. NOUS EXHORTONS LES MÉDECINS, LES MÉDIAS ET LES AUTORITÉS POLITIQUES À ARRÊTER CETTE OPÉRATION CRIMINELLE EN DIFFUSANT LA VÉRITÉ.’(2)

Alliance mondiale des médecins : “Le plus grand crime de l’histoire”

« Doctors for Information » et « Doctors for Truth » ont uni leurs forces avec des groupes similaires de praticiens à travers le monde au sein de la « World Doctors Alliance » (2A).

Cette alliance historique relie plus de cent mille professionnels de la santé à travers le monde.

Ils révèlent à quel point la pandémie est le plus grand crime de l’histoire et offrent des preuves scientifiques solides de cette affirmation. Ils intentent également des actions en justice contre les gouvernements qui jouent le jeu de cette opération criminelle.

La source originale de cet article est Stop World Control

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La lettre confidentielle de

LIBRE CONSENTEMENT ÉCLAIRÉ

Les milliardaires ne se font pas injecter les « va x ins » tueurs de Pfizer & Co.

L’édito politique de Libre Consentement Éclairé

   Pas fous.

   Il y eux, et il y a les pauvres (ceux qui ne sont pas milliardaires).

   Il y a eux et il y a les inutiles de l’intellectuel officiel de Davos et homosexuel (c’est lui qui aime le préciser), Yuval Noah Harari.

   Yuval Noah Harari qui a publiquement demandé à Klaus Schwab (le régent du IVe Reich européen qui dirige en fait la Commission européenne) : « Qu’allons-nous faire de tous ces inutiles ? »

   Et eux, pas fous, il ne se font pas injecter les « va x ins » tueurs de Pfizer & Co., en revanche, ils s’arrangent pour faire comme si et ils arrivent à obtenir les « pass » et autres QRcodes exigés par les autorités.

   Un « hic » en Espagne, des gueux jaloux osent rendre publics leurs privilèges.

   En Espagne, qui passe pour être une grande démocratie comparée à la dictature qui nous est imposée en France par les politiciens professionnels, les fonctionnaires et les médias subventionnés, le milliardaire, Maria Fernandez Sousa-Faro, président du géant pharmaceutique « PharmaMar », est sous le coup d’une enquête judiciaire.

   En effet, la police aurait mis à jour un système occulte qui permettait à des « faux « va xi nés » » de se faire passer pour des vrais et d’obtenir ainsi tous les privilèges qui sont attachés au statut de « va x iné ».

   En résumé, il se serait fait injecter du sérum physiologique et il aurait réussi à faire passer cela pour de l’ARNm.

  Bon, nous on lui dit : bravo, vous avez bien eu raison, mais les autorités espagnoles ne l’entendent pas ainsi, d’autant qu’un fichier de 2000 personnalités ayant bénéficié du même stratagème (moyennant finance) aurait été mis à jour…

   Est-ce que Raphaël Nadal, officiellement injecté, en fait partie ?

   Et la question que tous les observateurs de la vie sportive se posent est celle de savoir si Raphaël Nadal, officiellement injecté et cité en exemple par les tueurs à la seringue d’ARNm, en fait partie ?

45 316 morts 4 416 778 blessés suite aux vaccins COVID-19 dans la base de données européenne des effets indésirables

Health Impact News

 Le syndrome de mort subite de l’adulte (SADS) est une nouvelle catégorie pour nier les décès par vaccin

La base de données européenne (pays de l’EEE et hors EEE) des rapports sur les réactions suspectées aux médicaments est EudraVigilance, vérifiée par l’Agence européenne des médicaments (EMA), et ils signalent désormais 45 316 décès et 4 416 778 blessures suite à des injections de cinq injections expérimentales de COVID-19. Pendant ce temps, le monde glisse dans le chaos économique alors que le bassin de ressources humaines pour pourvoir les emplois afin de maintenir le fonctionnement de l’économie continue de se réduire à un rythme rapide. Bienvenue dans l’apocalypse.

Suite de l’article sur le site

Le fichage annoncé : ce sera pour une autre fois

https://nice-provence.info/2021/06/14/fichage-annonce-autre-fois

Depuis plusieurs années, les comploteurs de Bruxelles et de New-York fomentent un plan secret de fichage de toute la population (lire par exemple Mais comment faites vous pour NE PAS être complotistes ? du 20 avril 2021).
L’un des piliers de cette machination est le contrôle des médias. C’est vieux comme le monde.
Croyant maîtriser parfaitement ceux-ci, nos comploteurs se sont lancés dans un plan audacieux d’asservissement global :
• apeurer les peuples par une pandémie plus médiatique que réelle,
• les conduire à se faire vacciner, tous, petits et grands,
• mettre en place un passeport dit « sanitaire », dénommé « pass vert » pour mieux faire passer la pilule,
• transformer ce « pass vert » en outil de traçage et de contrôle des déplacements de populations entières.

Ce plan que nous dénonçons depuis son origine (lire Coronavirus : on ne nous dit pas tout du 8 février 2020) requiert des complicités parmi tous les acteurs sociaux : élus, médias, syndicats, partis politiques, etc. L’anathème est lancé sur tous ceux qui s’aventurent à dénoncer ce plan : ce sont des complotistes, comprendre « imbéciles, gogos, arriérés, amisch (selon l’expression même d’Emmanuel Macron), etc. » Bref des Gilets Jaunes de droite comme cet adepte de la violence qui a brutalement frappé le Président de la République au visage.

Et puis patatras ! Ce plan capote.

Le Sénat américain vient de dénoncer cette manipulation. Et ce n’est pas rien, le Sénat américain. Ça pèse un peu plus lourd que le Palais Bourbon.

Extrait de l’intervention du sénateur Roger Marshall :

Mais le résultat de ce quart de siècle, a été qu’il a permis à une poignée, de grandes plateformes technologiques d’Internet, de devenir extrêmement grandes, extrêmement riches et extrêmement puissantes, au point, qu’ils décident quelles sont les nouvelles, ils décident de quelles informations le public va obtenir et quelles informations vont être bloquées. […]
Google a menacé de couper plusieurs sites Web conservateurs, y compris les fédéralistes, comment ont-ils le pouvoir de le faire ? Comment peuvent-ils justifier de faire cela ? Les entreprises restreignent ou résilient les utilisateurs, les comptes et les contenus conservateurs sur les réseaux sociaux.
Facebook a annoncé la suspension, du compte d’un ancien président des États-Unis, c’est trop de pouvoir, ils peuvent décider qui peut et qui ne peut pas faire l’actualité et être cité.
Twitter a censuré toute information sur le coronavirus, qu’ils pensaient, à leur avis pouvoir provoquer une panique généralisée.

GAFAM  Fauci Jean-François Delfraissy Conseil scientifique Gouvernement

L’enquête en cours aux États-Unis montre qu’Anthony Fauci, le grand gourou des mesures sanitaires prises par la Maison Blanche, était en contact direct avec Jean-François Delfraissy, membre du conseil scientifique, qui à son tour donnait ses consignes au gouvernement français. Des échanges de messages avec le Dr Fauci montrent que c’est à lui que l’on doit, par exemple, l’interdiction de l’hydroxychloroquine, les mesures de confinement et le port du masque partout et pour tous. Or le Dr Fauci était en étroite relation et au plus haut niveau avec les dirigeants des GAFAM : Google, Amazon, Facebook, Apple, Microsoft, auxquels il convient d’ajouter à présent Wikipedia.

Le site Wikipedia prend toute sa place dans le formatage des esprits…

puisque ce site « de référence » participe à la censure des déviants du Système. Exemple avec le Dr Alexandra Henrion-Caude :

blog65a

blog65b

Ainsi donc Alexandra Henrion-Caude, généticienne et spécialiste des microARN, lauréate du très prestigieux titre de Eisenhower Fellow, n’est plus une chercheuse de renommée internationale dès qu’elle a critiqué le narratif imposé par les GAFWAM (nous y avons ajouté le W pour Wikipedia). C’est inouï et cela nous rappelle, hélas, les heures les plus sombres de l’Histoire.

Pourtant cette période sombre semble s’éclaircir avec cette intervention des sénateurs américains et les procès en vue à l’encontre du Dr Anthony Fauci. L’enquête en cours ne s’arrêtera plus. Bien sûr, nous y reviendrons.

Massimo Luce

« L’espoir changea de camp, le combat changea d’âme. » (Victor Hugo)


Les “experts” se trompent sur presque tout

https://www.brighteon.com/1bb6dfcb-a0fa-463d-834e-5ccc89cf8cb5

Avez-vous remarqué à quel point les soi-disant « experts » sont généralement des crétins incompétents ? Nous avons des experts en finance qui ne savent pas que l’impression de billions de dollars provoque l’inflation.

Nous avons des experts en éducation et en psychologie qui pensent que mutiler les organes génitaux des enfants est quelque chose à célébrer au nom de la « fierté ». Nous avons des experts en diplomatie qui pensent que la Russie n’a pas droit à ses propres intérêts nationaux. Et nous avons des experts en science et en médecine dont les vaccins sont si meurtriers qu’ils doivent recourir à la censure et à la propagande payante pour dissimuler tous les décès dus aux vaccins.

Il s’avère que les “experts” se trompent sur presque tout.

Quiconque dit la vérité sur presque tout – genre, science alimentaire, climat, énergie libre, géo-ingénierie, etc. – est banni de toute influence dans la société.

Alors maintenant, à la suite de tout cela, nous sommes gouvernés par des retardataires cognitifs qui ne peuvent pas traiter la réalité et n’ont pas la capacité de prendre des décisions significatives qui profitent à la société.

Tout cela s’est déjà produit, bien sûr, et la prochaine étape de ce scénario est l’effondrement total de l’empire. C’est exactement ce qui s’en vient pour l’Amérique et une grande partie de la civilisation occidentale.

Sur le net : : URGENTISSIME .

Alerter les parents devant les écoles primaires ou ailleurs, de la campagne de pikouzage des petits 5/11ans à laquelle ils vont devoir faire face à la rentrée ou avant .Ils doivent comprendre qu’ils résistent tous ensemble ou alors la division fera très mal à tous .Aux petits qui en auront des problèmes de santé d abord, et aussi aux autres qui subiront sans doute l’expulsion de bcp de lieux. Les parents des petits sont jeunes et certains ont besoin d être soutenus afin de pouvoir faire face, psychologiquement mais aussi ils ont besoin de s appuyer sur des grand parents ou autres personnes pour les aider à monter des réseaux d ekol à domicile.Cest MAINTENANT qu il faut se grouper car sinon tous auront bientôt le couteau sous la gorge.

Nous avons fait une grosse erreur » sur le vaccin COVID-19

PAR JOSEPH MERCOLA

https://www.theepochtimes.com/researcher-we-made-a-big-mistake-on-covid-19-vaccine_4469331.html?utm_source=healthnoe&utm_campaign=health-2022-06-08-2&utm_medium=email&est=zkiImqV7ZT73Aacqi3rM%2FJ9DD3MbIRtZQ33Z3RGa20Hc08s%2BNJ3rlxRrC5pJXyj8FA%3D%3D

La recherche démontre un énorme problème avec tous les vaccins COVID-19.

L’immunologiste canadien et chercheur en vaccins Byram Bridle, Ph.D., a obtenu l’accès à l’étude de Pfizer sur la biodistribution de l’agence de réglementation japonaise. La recherche démontre un énorme problème avec tous les vaccins COVID-19

L’hypothèse avec laquelle les développeurs de vaccins ont travaillé est que l’ARNm des vaccins resterait principalement dans et autour du site de vaccination. Les données de Pfizer, cependant, montrent que l’ARNm et la protéine de pointe qui en résulte sont largement distribués dans le corps en quelques heures

Il s’agit d’un problème sérieux, car la protéine de pointe est une toxine qui cause des dommages cardiovasculaires et neurologiques. Il a également une toxicité reproductive, et les données de biodistribution de Pfizer montrent qu’il s’accumule dans les ovaires des femmes

Une fois dans votre circulation sanguine, la protéine de pointe se lie aux récepteurs plaquettaires et aux cellules qui tapissent vos vaisseaux sanguins. Lorsque cela se produit, les plaquettes peuvent s’agglutiner, ce qui entraîne la formation de caillots sanguins et/ou provoquer des saignements anormaux.

Les documents de Pfizer soumis à l’Agence européenne des médicaments montrent également que la société n’a pas suivi les pratiques de gestion de la qualité standard de l’industrie lors des études de toxicologie précliniques et que les études clés ne respectaient pas les normes de bonnes pratiques de laboratoire.

Plus nous en apprenons sur les vaccins COVID-19, plus ils ont l’air mauvais.

Ces nouvelles révélations semblent indiquer que les États-Unis et d’autres gouvernements mènent un programme de vaccination massive avec un vaccin expérimental incomplètement caractérisé.

Il est certainement compréhensible que le vaccin ait été utilisé à la hâte en tant que produit expérimental sous autorisation d’utilisation d’urgence, mais ces nouvelles découvertes suggèrent que les problèmes de routine des tests de qualité ont été négligés dans la précipitation à autoriser l’utilisation.

Suite de l’article sur le site.

Note de TAL : Ce qui est inouï est le fait qu’aucun media officiel ne présente jamais ce genre d’étude et continue à répéter les messages « vaccinez-vous pour vous protéger et protéger les autres ! »

Sur le net : Klaus SCHWAB  « Des forces perturbatrices font dérailler le nouvel ordre mondial » !

Quelle bonne nouvelle !!!

L’Informateur.

OMS : Suite à son échec, l’OMS s’oriente vers de plus grandes modifications des règles mondiales.

Suite à son échec, l’OMS s’oriente vers de plus grandes modifications des règles mondiales.

Les experts mettent en garde contre la “tyrannie médicale” de l’Organisation mondiale de la santé

La pression visant à renforcer le pouvoir de l’Organisation mondiale de la santé reste une menace majeure, selon les experts, pour la souveraineté nationale et l’autonomie des pays, malgré le revers essuyé lors de la 75Assemblée mondiale de la Santé à Genève fin mai.

Site de l’informateur

Après quelques modifications mineures du Règlement sanitaire international approuvées lors de la réunion du mois dernier, l’OMS et les gouvernements membres travaillent sur de nouveaux amendements de grande portée aux règles mondiales. Celles‑ci seront présentées en septembre.

Dans le même temps, les dirigeants de l’OMS et les gouvernements membres élaborent un nouveau traité international sur les pandémies. Cet accord international imminent, qui est encore en cours de rédaction, devrait conférer de nouveaux pouvoirs étendus à l’OMS s’il est approuvé.

Le traité et les amendements discutés actuellement visent à donner à l’OMS les moyens de lutter contre les crises sanitaires mondiales telles que les pandémies, selon des responsables du département d’État américain (DOS) et ceux de l’OMS.

En revanche, les parlementaires américains au niveau des États et ceux de l’État fédéral s’y opposent fermement. Des experts en droit international et en soins de santé ont déclaré à Epoch Times que le but ultime est d’imposer une « tyrannie médicale » à l’humanité, et non de protéger la santé.

« Il s’agit d’une nouvelle prise de pouvoir totalitaire de la part des CDC [centres de contrôle et de prévention des maladies], de l’OMS, de Bill Gates, de Big Pharma, de l’industrie de la guerre biologique, de la République populaire de Chine et d’autres, qui veulent imposer leur tyrannie médicale à la race humaine », a déclaré Francis Boyle, professeur de droit international à l’Université de l’Illinois.

Le Pr Boyle, qui a rédigé la législation de 1989 mettant en œuvre la Convention sur les armes biologiques, approuvée à l’unanimité par le Congrès, soutient qu’il faut s’opposer « à tout prix » au coup de force de l’OMS et exhorter les parlementaires américains à s’impliquer dès maintenant pour le bloquer.

Dans une interview accordée à Epoch Times, le Pr Boyle qualifie l’OMS d’« organisation criminelle » qui est « complètement pourrie, corrompue et méprisable ».

Il exhorte avec insistance de ne pas donner plus de pouvoir ou d’argent à l’OMS.

« Ce n’est rien d’autre qu’une organisation de façade pour l’industrie pharmaceutique, l’industrie de la guerre biologique et Gates », met en garde le Pr Boyle ajoutant qu’il faut laisser l’OMS « pourrir sur la vigne » et ensuite « se tordre lentement, lentement dans le vent ».

Le professeur de droit international, qui a travaillé sur de nombreuses affaires très médiatisées, fait également valoir que les principaux responsables de l’OMS devraient être passibles de poursuites pour crimes contre l’humanité.

Entre autres scandales, le Pr Boyle pointe du doigt le parrainage par l’OMS de l’Institut de virologie de Wuhan, en Chine, que beaucoup soupçonnent d’être à l’origine de la pandémie mondiale du virus du PCC (Parti communiste chinois), ainsi que le rôle de l’agence dans la promotion des vaccins Covid‑19, qu’il n’hésite pas à nommer « frankenshots » [le terme que les Américains utilisent familièrement pour décrire les vaccins Covid et qui signifie littéralement « injections de Frankenstein »].

Le Pr Boyle, qui a rencontré des procureurs généraux d’État dans toute l’Amérique pour leur recommander de dénoncer les responsables gouvernementaux les plus impliqués, a récemment publié le livre « Resisting Medical Tyranny » [Résister à la tyrannie médicale, ndt.], qui présente les arguments juridiques en faveur de poursuites contre les hauts responsables américains à l’origine de ce qu’il appelle des « décrets criminels ».

Il demande maintenant aux sénateurs américains d’unir leurs forces contre le plan de l’OMS. Il les exhorte à rédiger puis à faire circuler une lettre indiquant leur intention de rejeter tout nouveau traité de l’OMS sur la pandémie qui leur serait soumis pour ratification.

« En supposant que 34 sénateurs signent cette lettre circulaire, le traité sur la pandémie deviendrait caduc à peine arrivé aux États‑Unis, définitivement », explique le Pr Boyle. « Cela pourrait alors tuer dans l’œuf ce traité de l’OMS sur la pandémie avant que la prochaine [Assemblée mondiale de la santé] se réunisse pour l’examiner. »

Les amendements de l’OMS

Sans grand battage médiatique, les États membres de l’OMS se sont réunis à Genève du 22 au 27 mai pour discuter des principaux changements à apporter au Règlement sanitaire international (RSI).

Les CDC décrivent le RSI comme « juridiquement contraignant ». Le Règlement sanitaire international a également joué un rôle majeur dans la réaction mondiale coordonnée à la pandémie du virus du PCC.

Les 13 modifications du RSI ont été proposées en janvier par l’administration Biden, avec le soutien de près de 50 autres gouvernements.

Entre autres changements, les amendements auraient donné plus de pouvoir à l’OMS et à son directeur général pour déclarer des urgences sanitaires internationales, même sans l’approbation des nations ou des gouvernements ciblés.

Bien qu’ils se concentrent ostensiblement sur les questions de santé, les gouvernements du monde entier affirment régulièrement que d’autres problèmes – comme le changement climatique, la violence armée et le racisme – constituent des urgences en matière de santé publique. À les écouter, presque tout, estiment les critiques, relève de la compétence de l’OMS.

Avant qu’ils ne soient examinés le mois dernier, les parlementaires et les militants de tout le pays ont lancé l’alerte durant des semaines au sujet des amendements. Selon eux, ils étaient « dictatoriaux » et constituaient un « coup de force » de la part de l’OMS et de ses membres les plus puissants au détriment de l’autonomie des États‑nations.

« Ces gens sont incorrigibles, ils sont implacables, ils ne s’arrêteront jamais », a dit M. Roguski, notant que l’OMS continue d’étudier les modifications à apporter au RSI pour l’avenir, ainsi que ce qu’on appelle communément le « traité sur les pandémies » qui fera l’objet de travaux cet été.

Bien que les amendements n’aient pas abouti, le régime communiste chinois a remporté quelques victoires importantes. Parmi celles‑ci : le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, chef de l’OMS soutenu par Pékin, a obtenu un nouveau mandat de cinq ans à la tête de l’organisation, et Pékin a obtenu une place au sein du conseil exécutif de l’OMS.

Vers un nouveau traité international sur les pandémies

Alors même que les gouvernements travaillent sur de nouveaux amendements à soumettre d’ici septembre, ils rédigent également le fameux « traité international sur la prévention des pandémies et la préparation à celles‑ci », que nous appellons plus simplement « traité sur les pandémies ». Ce traité pourrait s’avérer bien plus important que les amendements.

« À côté de cela, les amendements passe pour des gamineries », a déclaré M. Roguski, citant le texte de l’OMS sur « l’approche ‘une seule santé’ pour toute la société ».

« L’implacable ‘traité sur les pandémies’ de l’OMS est un dangereux excès mondialiste », affirme le sénateur américain Rick Scott (Parti républicain‑Floride) en annonçant une proposition visant à encadrer l’agence mondiale. « Les États‑Unis d’Amérique ne doivent jamais donner plus de pouvoir à l’OMS. »

« L’OMS est une marionnette de Xi Jinping, contrôlée par le Parti communiste chinois, et a aidé Pékin à dissimuler les origines du Covid‑19 », explique‑t‑il, ajoutant que la politique de santé publique pour l’Amérique doit être décidée par les Américains et non par des « marionnettes mondialistes travaillant pour la Chine communiste ».

« Nous avons besoin de systèmes et d’outils plus solides », a affirmé Tedros Adhanom Ghebreyesus, qui a proposé toutes sortes de mesures, allant de sanctions à l’encontre des pays qui défient l’OMS à des contrôles plus stricts de la « désinformation » en ligne.

Plus tôt cette année, exposant ses plans au Comité exécutif de l’OMS, il a souligné qu’il était prioritaire de « renforcer d’urgence l’OMS en tant que première autorité en charge de la santé mondiale, au centre de l’architecture sanitaire mondiale ».

« Nous sommes un seul monde, nous avons une seule santé, nous sommes une seule OMS », a‑t‑il lancé.

Pérenniser le type de décisions politiques imposées par l’OMS lors de la récente crise du Covid est également à l’ordre du jour, signalent ces personnalités.

Helen Clark, ancienne première ministre de la Nouvelle-Zélande et administratrice du Programme des Nations unies pour le développement, s’entretient avec des journalistes le 14 avril 2016. (Don Emmert/AFP via Getty Images)

« En permanence, chaque pays doit utiliser tous les outils de santé publique disponibles pour freiner la transmission », a déclaré l’ancienne Première ministre néo‑zélandaise Helen Clark, coprésidente du groupe indépendant de l’OMS pour la préparation et la réaction aux pandémies, dans des commentaires récents sur ce que le nouvel accord devrait accomplir. « C’est le port du masque, c’est la distanciation sociale, c’est le dépistage et la recherche des contacts, c’est l’isolement et la quarantaine ; c’est le menu éprouvé pour tenter d’arrêter la transmission d’une maladie. »

Mme Clark et l’équipe de l’OMS en charge des pandémies ont également recommandé l’attribution de nouveaux pouvoirs et de nouvelles charges à l’OMS, ainsi qu’une plus grande indépendance financière et politique, n’hésitant pas à exhorter l’OMS de commencer à établir des normes de « référence » pour les systèmes nationaux de soins de santé.

Objectif final : une tyrannie mondiale ?

Des parlementaires, des experts juridiques et des professionnels de la santé de premier plan lancent l’alerte sur ce qu’ils considèrent comme l’objectif ultime des efforts de l’OMS : un contrôle mondial et centralisé de l’humanité.

Le Dr Peter McCullough, chef de la Division of Nutrition and Preventive Medicine à l’hôpital William Beaumont de Royal Oak, dans le Michigan, et l’écrivain John Leake, qui sont les coauteurs du nouveau livre « The Courage to Face Covid‑19 Preventing Hospitalization and Death While Battling the Bio‑Pharmaceutical Complex » [Le courage d’affronter le Covid‑19 – Prévenir l’hospitalisation et la mort tout en combattant le complexe bio‑pharmaceutique, ndt.], mettent en garde contre les forces de l’ombre à l’œuvre.

« L’Organisation mondiale de la santé est un élément clé de ce que nous appelons dans notre nouveau livre le complexe bio‑pharmaceutique », ont‑ils écrit par mail à Epoch Times« À l’instar du ‘complexe militaro‑industriel’ contre lequel le président Eisenhower avait mis en garde dans son discours d’adieu, le complexe bio‑pharmaceutique (dont l’agenda est fixé par la Fondation Gates et le Forum économique mondial) aspire à établir un gouvernement mondial centralisé par le biais de la politique de santé publique, en particulier en réaction aux maladies infectieuses émergentes – réelles, perçues, exagérées et fabriquées. »

Le Dr Peter McCullough à New York, le 24 décembre 2021. (Jack Wang/Epoch Times)

De nombreux autres experts, médecins et avocats qui se sont entretenus avec Epoch Times ont également déclaré que l’OMS cherche à empiéter sur les droits des personnes au nom de la sécurité et de la santé.

Note de TAL : j’ai consacré à ce sujet une vidéo titrée l’Organisation Mondiale de la Soumission, visible sur le site santeglobale.world

Study: Pfizer Vaccine Increases Myocarditis Threefold

https://www.theepochtimes.com/study-pfizer-vaccine-increases-myocarditis-threefold_4526616.html?utm_source=healthnoe&utm_campaign=health-2022-06-13&utm_medium=email&est=ELIa08GlDzfmDwumy53%2BpW%2BFdw77ZHO%2BRbwVlmdbFLJX%2Bx%2BO0ykaTV2nkWJu98ednA%3D%3D

  • A large study from Israel revealed that the Pfizer COVID-19 mRNA jab is associated with a threefold increased risk of myocarditis, leading to the condition at a rate of one to five events per 100,000 persons
  • Other elevated risks were also identified following the COVID jab, including lymphadenopathy (swollen lymph nodes), appendicitis and herpes zoster infection
  • When myocarditis occurs, it reduces your heart’s ability to pump and can cause rapid or abnormal heart rhythms that can be deadly
  • In severe cases, myocarditis can cause permanent damage to the heart muscle and lead to heart failure, heart attack, stroke and sudden cardiac death
  • Due to the risk of myocarditis, Britain’s Joint Committee on Vaccination and Immunization (JCVI) recommended against COVID-9 injections for healthy 12- to 15-year-olds

As the mass administration of COVID-19 jabs continues, we’re now seeing some of the more common side effects emerging. Myocarditis, or inflammation of the heart muscle, is among them. This condition can cause symptoms similar to a heart attack, including chest pain, shortness of breath, abnormal heartbeat and fatigue.[1]

EFFETS SECONDAIRES EN NOUVELLE ZELANDE

SUR LE NET : Voici un papier que vous ne trouverez nulle part dans la presse nationale et qui parle des effets indésirables de la vaccination Covid-19 en Nouvelle-Zélande. Ils sont en train de vivre exactement le même cauchemar que celui que nous vivons en France avec le refus de faire remonter les cas les plus graves dans le système de pharmacovigilance. De plus, la propagande officielle utilise les mêmes stratégies grossières en accusant toute critique ou réflexion de « complotisme » ou d’anti science.

Ce sont principalement des jeunes, voire des enfants, qui sont morts de façon soudaine et inattendue, souvent à la suite de caillots sanguins dans le cerveau ou le cœur. L’organisation non gouvernementale « New Zealand Doctors Speaking Out With Science » qualifie la situation de « crise humanitaire ».

La campagne de vaccination en Nouvelle-Zélande tourne au drame.

Le nombre de décès et de blessures consécutifs à l’administration des vaccins Covid-19 est choquant. La situation devient tellement incontrôlable que des médecins néo-zélandais ont rédigé une lettre ouverte demandant aux autorités d’enquêter sur les décès survenus après la vaccination. Les médecins se sont regroupés sous le nom de NZDSOS, abréviation de New Zealand Doctors Speaking Out With Science.

Ils écrivent qu’un nombre choquant de décès et de blessures sont survenus après la vaccination Covid. En outre, les médecins affirment que certains systèmes ont été désactivés pour dissimuler l’étendue des dégâts.

Des enfants et des jeunes gens meurent et souffrent. De nombreuses personnes âgées en bonne santé sont également décédées. On nous ment, affirme le groupe. Le Health Forum New Zealand recense tous les décès et toutes les blessures survenues après des vaccinations.

La base de données de l’organisation comprend environ 500 décès. Dans leur lettre ouverte, les médecins de NZDSOS donnent les noms (fictifs) d’environ un tiers des victimes. Les noms réels sont connus de la police.

Il s’agit principalement de jeunes gens, voire d’enfants, qui sont morts de façon soudaine et inattendue, souvent à la suite de caillots sanguins dans le cerveau ou le cœur. NZDSOS appelle cela une « crise humanitaire ». « Pour l’amour de Dieu, faisons en sorte que nos députés et la police mettent fin à tout cela maintenant ! ».

Eddie (13 ans) de Wellington est mort dans son sommeil quelques jours après la vaccination, Joanna (15 ans) s’est effondrée dans sa salle de bain et est morte sur le chemin de l’hôpital, Timothy (33 ans) est mort d’une crise cardiaque deux jours après la vaccination, Annabelle (38 ans) est morte en septembre 2021 deux heures après sa deuxième vaccination.

L’hôpital a confirmé qu’elle était morte des suites de la vaccination, mais a obligé sa famille à signer un vœu de silence.

Maggie (47 ans) est tombée malade après avoir reçu le vaccin de rappel, que le coroner a déclaré qu’elle n’aurait pas dû recevoir du tout car elle était immunodéprimée. Mark (52 ans) est mort subitement dans son sommeil après sa deuxième injection.

Alyss (31 ans) a été incitée par son médecin de famille à recevoir l’injection, mais elle a souffert d’une hémorragie cérébrale dix jours plus tard et est décédée. Le bodybuilder Alex (25 ans) est mort dans son sommeil après avoir reçu sa première vaccination.

Satya, de Manurewa, est morte dans son sommeil après avoir reçu le vaccin. Ana (43 ans), également de Manurewa, est morte dans son sommeil peu après avoir reçu son rappel. Lefty (23 ans) a subi une attaque mortelle dans son sommeil après avoir reçu son deuxième vaccin.

Timothy, un sexagénaire en bonne santé, est mort d’une crise cardiaque trois heures après sa première injection. Et il y a des centaines d’autres cas de ce genre.

EXCLUSIF : Photos de microscopie choquantes de caillots sanguins extraits de ceux qui sont “morts subitement” – structures cristallines, nanofils, particules crayeuses et structures fibreuses

: Mike Adams

https://www.naturalnews.com/2022-06-12-blood-clots-microscopy-suddenly-died.html

Contournez la censure en partageant ce lien :

https://citizens.news/628915.html

Photos de microscopie choquantes de caillots sanguins extraits de ceux qui sont “morts subitement” – structures cristallines, nanofils, particules crayeuses et structures fibreuses

Ces caillots sont souvent appelés « caillots sanguins », mais ils ne ressemblent en rien aux caillots normaux, et ils sont bien plus que de simples cellules sanguines. Contrairement aux caillots normaux qui sont gélatineux, presque gélatineux, ces soi-disant « caillots » contiennent des éléments structurels extrêmement gros, complexes et répétitifs qui sont clairement construits dans le sang des victimes décédées de ces caillots.

Tous ces caillots ont été extraits de patients quelques heures après leur mort. Ceux-ci ne sont pas le résultat d’une stase sanguine post-mortem. Ce sont des structures trouvées dans les vaisseaux sanguins et les artères.

Suite de l’article : des photos hallucinantes de ces structures artificielles( graphène, larves et autres) mises dans les « vaccins »afin de génocider des millions (voire des milliards si possible) d’êtres humains…

Mêmes images sur

http://echelledejacob.blogspot.com/2022/06/vaccination-structures-que-lon-trouve.html#more

Des images qui font froid dans le dos… Nous avons vraiment affaire à des tueurs fous…Et quand on sait que depuis 1986 les fabricants de vaccins ne sont plus obligés de dire ce que contiennent leurs vaccins, c’est un « secret industriel » ! Les autorisations de mise sur le marché sont donc du pur théâtre !

Sur le net : Saviez-vous qu’une pomme de 1950 équivaut à 100 pommes d’aujourd’hui sur le plan de sa valeur nutritionnelle ?!

Hier, quand vos grand-parents croquaient dans une pomme, ils avalaient 400 mg de vitamine C, indispensable à la fabrication et à la réparation de la peau et des os.

Mais quand vous croquez aujourd’hui une pomme, elle ne vous apporte plus que 4 mg de vitamine C… C’est 100 fois moins !

Pareil pour la vitamine A qui est indispensable pour votre vue et vos défenses immunitaires car une orange d’hier équivaut à… 21 oranges d’aujourd’hui !

Génocide en cours,

90% des femmes vaccinées aux ARNm ont fait des fausses couches;  Génocide par ceux qui nous gouvernent comme MACRON et l’UE nous ont imposé le PFIZER via McKinsey dont le Directeur France est Victor FABIUS,gracié par HOLLANDE TETE DE MORT,COCO DE MORT en créole, alors que condamné pour escroqueries aux USA  , Victor FABIUS   fils de Laurent FABIUS Président du Conseil Constitutionnel  a certifié non frauduleuses les élections Présidentielles par DOMINIUM,gagnée à 50,37% par Marine LE PEN,perdant près de 3.000.000 de voix entre 20h et 22h30 le 24.04.22 a été achetée 300 milllions€ pour se taire selon Benjamin FULFORD !?

Des documents confidentiels de Pfizer révèlent que la vaccination contre le Covid-19 va entraîner la dépopulation.

https://expose-news.com/2022/06/07/confidential-pfizer-docs-covid-vaccination-causing-depopulation/

La vaccination contre le Covid-19 va conduire à une dépopulation massive.

C’est une affirmation assez audacieuse. « Votre gouvernement essaie de vous tuer » est encore plus audacieuse.

Mais malheureusement, ces affirmations audacieuses sont désormais étayées par une montagne de preuves, dont la plupart se trouvent dans les documents confidentiels de Pfizer que la Food & Drug Administration américaine a été contrainte de publier par décision de justice.

blog65c

Commençons donc par les preuves contenues dans les documents confidentiels de Pfizer.

La Food and Drug Administration (FDA) américaine a tenté de retarder la publication des données de sécurité du vaccin COVID-19 de Pfizer pendant 75 ans, bien qu’elle ait approuvé l’injection après seulement 108 jours d’examen de sécurité le 11 décembre 2020.

Mais début janvier 2022, le juge fédéral Mark Pittman leur a ordonné de publier 55 000 pages par mois. Ils ont publié 12 000 pages à la fin du mois de janvier.

Depuis lors, le PHMPT a publié tous les documents sur son site Web. Le dernier dépôt a eu lieu le 1er juin 2022.

L’un des documents contenus dans la décharge de données est « reissue_5.3.6 postmarketing experience.pdf ». La page 12 du document confidentiel contient des données sur l’utilisation de l’injection Covid-19 de Pfizer pendant la grossesse et l’allaitement.

Des documents confidentiels de Pfizer révèlent que 90 % des femmes enceintes vaccinées au Covid ont perdu leur bébé
Pfizer indique dans ce document qu’au 28 février 2021, il y avait 270 cas connus d’exposition à l’injection d’ARNm pendant la grossesse.

Quarante-six pour cent des mères (124) exposées à l’injection de Covid-19 de Pfizer ont souffert d’une réaction indésirable.

Sur ces 124 mères ayant subi un effet indésirable, 49 ont été considérées comme des effets indésirables non graves, tandis que 75 ont été considérées comme graves. Cela signifie que 58% des mères qui ont déclaré avoir subi des effets indésirables ont souffert d’un effet indésirable grave allant de la contraction utérine à la mort fœtale.

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Au total, 4 cas graves de fœtus/bébé ont été signalés suite à l’exposition à l’injection de Pfizer.

blog65c3

Mais c’est ici que les choses deviennent plutôt inquiétantes. Pfizer déclare que sur les 270 grossesses, ils n’ont absolument aucune idée de ce qui s’est passé dans 238 d’entre elles.

Mais voici les résultats connus des grossesses restantes –

blog65d

Au moment de la rédaction du rapport, il y avait 34 résultats en tout, mais 5 d’entre eux étaient toujours en attente. Pfizer note qu’un seul des 29 résultats connus était normal, tandis que 28 des 29 résultats ont entraîné la perte/mort du bébé. Cela équivaut à 97 % de tous les résultats connus de la vaccination par Covid-19 pendant la grossesse qui ont entraîné la perte de l’enfant.

Si l’on inclut les 5 cas où l’issue était encore en suspens, cela équivaut à 82% de toutes les issues de la vaccination contre le Covid-19 pendant la grossesse qui se sont soldées par la perte de l’enfant. Cela équivaut à une moyenne d’environ 90% entre les chiffres de 82% et 97%.

Nous avons donc ici notre première preuve que quelque chose ne va pas lorsqu’il s’agit d’administrer l’injection Covid-19 de Pfizer pendant la grossesse.

Voici les conseils tirés du document  » REG 174 INFORMATION FOR UK HEALTHCARE PROFESSIONALS  » du gouvernement britannique.

blog65c4

C’est en tout cas ce qu’indiquait le guide en décembre 2020. Malheureusement, à peine un mois plus tard, le gouvernement britannique et d’autres gouvernements dans le monde ont révisé ces directives pour les lire comme suit

blog65c5

C’est toujours l’orientation officielle à partir de juin 2022, et cela conduit à plusieurs questions qui nécessitent des réponses urgentes quand on sait que depuis début 2021, on dit aux femmes enceintes que la vaccination par le Covid-19 est parfaitement sûre.

Il suffit de regarder les choses que l’on a dit aux femmes d’éviter pendant leur grossesse avant de leur dire qu’il est parfaitement sûr de prendre une injection expérimentale pour se rendre compte que quelque chose ne va pas ici…

Le poisson fumé,
Fromage à pâte molle,
Peinture humide,
Café,
Thé aux herbes,
Suppléments vitaminiques,
Les aliments transformés.
Ce ne sont là que quelques exemples, et la liste est infinie.

Commençons donc par la section  » Grossesse  » du guide officiel. En décembre 2020, les recommandations indiquaient que « la vaccination contre le virus Covid-19 n’est pas recommandée pendant la grossesse ». Environ un mois plus tard, cette directive indiquait que « les études sur les animaux n’indiquent pas d’effets nocifs pour la grossesse, etc.

Examinons donc les études animales en question.

Mais avant cela, il convient de souligner que les recommandations officielles stipulent, depuis juin 2022, que « l’administration du vaccin ARNm COVID-19 BNT162b2 pendant la grossesse ne doit être envisagée que lorsque les bénéfices potentiels l’emportent sur les risques potentiels pour la mère et le fœtus ». Alors pourquoi diable toutes les femmes enceintes du pays ont-elles été activement contraintes de recevoir cette injection ?

Pfizer et les autorités médicales ont caché les dangers de la vaccination par le Covid-19 pendant la grossesse en raison d’une étude sur les animaux ayant révélé un risque accru de malformations congénitales et d’infertilité.
L’étude limitée sur les animaux dont il est question dans les directives officielles a en fait révélé le risque de dommages importants pour le fœtus en développement, mais les organismes de réglementation médicale aux États-Unis, au Royaume-Uni et en Australie ont activement choisi de supprimer cette information des documents publics.

L’étude en question peut être consultée dans son intégralité ici et s’intitule « Absence d’effets sur la fertilité des femelles et le développement prénatal et postnatal de la progéniture chez les rats avec BNT162b2, un vaccin COVID-19 à base d’ARNm ».

L’étude a été réalisée sur 42 rats femelles Wistar Han. Vingt et un d’entre eux ont reçu l’injection de Covid-19 de Pfizer, et 21 ne l’ont pas reçue.

Voici les résultats de l’étude –

Le nombre de fœtus présentant des côtes lombaires surnuméraires dans le groupe témoin était de 3/3 (2,1). Mais le nombre de fœtus présentant des côtes lombaires surnuméraires dans le groupe vacciné était de 6/12 (8,3). Par conséquent, le taux d’occurrence était en moyenne 295 % plus élevé dans le groupe vacciné.

Les côtes surnuméraires, également appelées côtes accessoires, sont une variante peu commune de côtes supplémentaires provenant le plus souvent des vertèbres cervicales ou lombaires.

Cette étude a donc mis en évidence des anomalies dans la formation du fœtus et des malformations congénitales causées par l’injection de Covid-19 de Pfizer.

Mais les résultats anormaux de l’étude ne s’arrêtent pas là. Le taux de « perte de préimplantation » dans le groupe de rats vaccinés était deux fois plus élevé que dans le groupe témoin.

blog65e

La perte pré-implantatoire désigne les ovules fécondés qui ne s’implantent pas. Cette étude suggère donc que l’injection de Covid-19 de Pfizer réduit les chances d’une femme d’être enceinte. Par conséquent, elle augmente le risque d’infertilité.

Dans ces conditions, comment diable les autorités de réglementation médicale du monde entier ont-elles réussi à déclarer dans leurs directives officielles que « les études sur les animaux n’indiquent pas d’effets nocifs directs ou indirects sur la grossesse » ? Et comment ont-ils réussi à déclarer « On ne sait pas si le vaccin Pfizer a un impact sur la fertilité » ?

La vérité, c’est qu’ils ont activement choisi de le dissimuler.

Nous le savons grâce à une demande de liberté d’information (FOI) adressée à l’administration des produits thérapeutiques (TGA) du ministère australien de la santé.

Un document intitulé « Delegate’s Overview and Request for ACV’s Advice », créé le 11 janvier 2021, a été publié dans le cadre de la demande de liberté d’information. La page 30 et suivantes du document montre un « examen des informations sur le produit », et souligne les changements qui devraient être apportés au « rapport d’évaluation non clinique » avant la publication officielle.

Pfizer a demandé à ce que ces modifications soient apportées avant la prochaine mise à jour des informations sur le produit.

Certains de ces changements demandés sont les suivants

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L’évaluateur du module 4 a demandé à Pfizer de retirer son allégation selon laquelle « les études sur les animaux n’indiquent pas d’effets nocifs directs ou indirects en ce qui concerne la toxicité pour la reproduction ».

Pourquoi ?

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L’évaluateur du module 4 a indiqué à Pfizer que la catégorie de grossesse B2 était considérée comme appropriée et lui a demandé d’ajouter la ligne suivante

« Une étude combinée de fertilité et de toxicité pour le développement chez les rats a montré une augmentation de la fréquence des côtes lombaires surnuméraires chez les fœtus des rates traitées par COMIRNATY.

Mais voici un rappel de la façon dont se lit le document officiel publié à l’intention du grand public –

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La catégorie de grossesse a été changée en « B1 », aucune ligne n’a été incluse sur l’occurrence accrue de côtes lombaires surnuméraires chez les fœtus, et ils ont plutôt inclus la ligne qui a été demandée d’être retirée en affirmant que « les études animales n’indiquent pas d’effets nocifs directs ou indirects en ce qui concerne la grossesse… ».

Voici la description officielle des catégories relatives à la grossesse

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C’est une différence assez importante entre les deux catégories. Mais le fait que l’évaluateur du module 4 ait même pensé que la catégorie de grossesse B2 était appropriée est très discutable si l’on considère les résultats, comme nous l’avons révélé ci-dessus, de l’étude animale « inadéquate » et extrêmement petite qui a été réalisée pour évaluer la sécurité de l’administration de l’injection Covid-19 de Pfizer pendant la grossesse.

Ainsi, non seulement nous avons la preuve que le vaccin Pfizer peut faire perdre leur bébé à 82% à 97% des receveurs, mais nous avons également la preuve que le vaccin Pfizer entraîne un risque accru de souffrir d’infertilité ou de malformations congénitales.

Ces deux exemples suffisent à eux seuls à étayer la suggestion selon laquelle la vaccination Covid-19 va conduire à la dépopulation. Mais malheureusement, les preuves ne s’arrêtent pas là.

Des documents confidentiels de Pfizer révèlent que le vaccin Covid-19 s’accumule dans les ovaires.
Une autre étude, que l’on peut trouver dans la longue liste de documents confidentiels de Pfizer que la FDA a été forcée de publier via une décision de justice ici, a été menée sur des rats Wistar Han, dont 21 femelles et 21 mâles.

Chaque rat a reçu une seule dose intramusculaire de l’injection de Pfizer Covid-19, puis le contenu et la concentration de la radioactivité totale dans le sang, le plasma et les tissus ont été déterminés à des points prédéfinis après l’administration.

En d’autres termes, les scientifiques chargés de l’étude ont mesuré la quantité de l’injection de Covid-19 qui s’est propagée à d’autres parties du corps telles que la peau, le foie, la rate, le cœur, etc.

Mais l’un des résultats les plus inquiétants de l’étude est le fait que l’injection Pfizer s’accumule dans les ovaires au fil du temps.

Un « ovaire » est l’une des paires de glandes féminines dans lesquelles se forment les ovules et où sont fabriquées les hormones féminines que sont les œstrogènes et la progestérone.

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Dans les 15 premières minutes suivant l’injection de la piqûre Pfizer, les chercheurs ont constaté que la concentration totale de lipides dans les ovaires était de 0,104 ml. Ce chiffre est ensuite passé à 1,34 ml après 1 heure, 2,34 ml après 4 heures, puis 12,3 ml après 48 heures.

Les scientifiques n’ont toutefois pas mené d’autres recherches sur l’accumulation après une période de 48 heures, de sorte que nous ne savons tout simplement pas si cette accumulation inquiétante s’est poursuivie.

Mais les données officielles britanniques publiées par Public Health Scotland, que vous pouvez consulter ici, offrent quelques indices inquiétants quant aux conséquences de cette accumulation sur les ovaires.

Les chiffres relatifs au nombre d’individus souffrant d’un cancer de l’ovaire montrent que la tendance connue en 2021 était nettement supérieure à celle de 2020 et à la moyenne 2017-2019.

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Le graphique ci-dessus va jusqu’à juin 2021, mais les graphiques du tableau de bord de Public Health Scotland présentent maintenant des chiffres allant jusqu’à décembre 2021 et révèlent malheureusement que l’écart s’est encore creusé, le nombre de femmes atteintes d’un cancer de l’ovaire ayant augmenté de manière significative.

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Cela conclut notre troisième élément de preuve. Donc maintenant nous savons –

Des documents confidentiels de Pfizer montrent un taux de fausses couches compris entre 82 et 97%,
La seule étude animale réalisée pour prouver la sécurité de l’administration du vaccin Pfizer pendant la grossesse a indiqué un risque accru de stérilité et de malformations congénitales,
et d’autres documents confidentiels de Pfizer révèlent que le vaccin s’accumule dans les ovaires.
Malheureusement, nous avons également la preuve que la vaccination contre le Covid-19 augmente le risque de décès de nouveau-nés, et cela provient également du tableau de bord « Covid-19 Wider Impacts » de Public Health Scotland.

Les décès de nouveau-nés atteignent des niveaux critiques pour la deuxième fois en sept mois en mars 2022
Les chiffres officiels révèlent que le taux de mortalité néonatale a augmenté à 4,6 pour 1000 naissances vivantes en mars 2022, soit une augmentation de 119% par rapport au taux de décès prévu. Cela signifie que le taux de mortalité néonatale a franchi un seuil d’alerte supérieur appelé « limite de contrôle » pour la deuxième fois en au moins quatre ans.

La dernière fois qu’il a franchi ce seuil, c’était en septembre 2021, lorsque le nombre de décès néonatals pour 1 000 naissances vivantes avait atteint 5,1. Bien que le taux fluctue d’un mois à l’autre, les chiffres de septembre 2021 et de mars 2022 sont comparables aux niveaux observés pour la dernière fois à la fin des années 1980.

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Public Health Scotland (PHS) n’a pas officiellement annoncé qu’elle avait lancé une enquête, mais c’est ce qu’elle est censée faire lorsque le seuil d’alerte supérieur est atteint, et elle l’a fait en 2021.

À l’époque, le PHS avait déclaré que le fait que la limite supérieure de contrôle ait été dépassée « indique qu’il y a une plus forte probabilité que des facteurs autres que la variation aléatoire aient pu contribuer au nombre de décès survenus ».

Notre dernier élément de preuve à l’appui de l’affirmation selon laquelle la vaccination Covid-19 va conduire à la dépopulation se présente sous la forme d’autres données du monde réel, mais cette fois-ci en provenance des États-Unis.

La vaccination contre le Covid-19 augmente le risque de fausse couche d’au moins 1 517 %.
Selon les Centers for Disease Control (CDC). Vaccine Adverse Event Database (VAERS), en avril 2022, un total de 4 113 décès fœtaux avaient été signalés comme des effets indésirables des injections de Covid-19, dont 3 209 contre l’injection de Pfizer.

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Le CDC a admis que seuls 1 à 10 % des effets indésirables sont effectivement signalés au VAERS, et que le chiffre réel pourrait donc être bien pire. Mais pour mettre ces chiffres en perspective, seuls 2 239 décès fœtaux ont été signalés au VAERS au cours des 30 années précédant l’autorisation d’utilisation d’urgence des injections de Covid-19 en décembre 2020. (Source)

Et une autre étude, que l’on peut consulter ici, a révélé que le risque de subir une fausse couche suite à la vaccination contre le Covid-19 est 1 517 % plus élevé que le risque de subir une fausse couche suite à la vaccination contre la grippe.

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Le risque réel pourrait toutefois être beaucoup plus élevé, car les femmes enceintes constituent un groupe cible pour la vaccination contre la grippe, alors qu’elles ne représentent jusqu’à présent qu’un petit groupe démographique en termes de vaccination contre le Covid-19.

Au risque de tourner à la dissertation, nous en avons terminé avec nos preuves pour aujourd’hui, mais il en existe encore beaucoup d’autres et nous ne manquerons pas d’en rendre compte.

Mais avec –

Des documents confidentiels de Pfizer montrant un taux de fausses couches entre 82% et 97%,
La seule étude animale réalisée pour prouver la sécurité de l’administration du vaccin Pfizer pendant la grossesse indiquant un risque accru de stérilité et de malformations congénitales,
D’autres documents confidentiels de Pfizer révélant que le vaccin s’accumule dans les ovaires, des données d’Ecosse révélant que les cas de cancer ovarien n’ont jamais été aussi nombreux,
D’autres données provenant d’Écosse révèlent que les décès de nouveau-nés ont atteint des niveaux critiques pour la deuxième fois en sept mois, et les données du CDC VAERS montrant que la vaccination contre le Covid-19 augmente d’au moins 1 517 % le risque de faire une fausse couche,
Il semble que nous ayons déjà plus qu’assez de preuves pour affirmer que la vaccination Covid-19 va conduire à la dépopulation.

Odysee : Patriots Are In Control (Vivre Sainement)

Une excellente analyse de la situation actuelle avec l’effondrement du dollar  qui gouvernait le monde! Le monde unipolaire va disparaître pour donner naissance à un monde multipolaire. Poutine a mis fin au règne des nazis et des ploutocrates .

Covid : le lent réveil des scientifiques

La lettre alternatif-bien-être

Cher ami,

Il y a encore quelques mois, voire quelques semaines, quiconque

  • remettait en cause le décompte des morts du Covid
  • ou accusait les vaccins Covid de provoquer de graves effets secondaires…

était accusé d’irresponsabilité mais surtout de complotisme.

En cette mi-juin 2022… les médias et autorités de santé sont embarrassés.

Car, tenez-vous bien, les deux plus prestigieuses revues scientifiques du monde, Nature et The Lancet, ont, chacune, lancé un pavé dans la mare concernant ces deux sujets tabous : le décompte des morts du Covid et les myocardites provoquées par les injections Covid.

40% d’erreur dans le décompte des décès Covid ?

Vous vous souvenez, j’imagine, des bulletins d’information télévisée ou radio, qui commençaient tous par une « mise à jour » du nombre des morts du Covid.

Ce décompte journalier était déprimant. Par son caractère anxiogène, il a largement participé à nous faire accepter les mesures de protection et de vaccination qui ont suivi.

Sauf que ce décompte était artificiellement gonflé.

Dans un texte publié le 9 juin, Nature révèle en détail comment les experts de l’OMS ont pu compter près de 40% en trop dans le simple calcul de l’excès de mortalité causé par l’épidémie de Covid-19[1].

Les erreurs les plus importantes concernent des pays comme l’Allemagne et la Suède, pourtant connus pour leur rigueur.

L’erreur résiderait dans la méthodologie employée par les experts de l’OMS. Elle n’est toujours pas résolue : les chiffres communiqués pourraient toujours être « gonflés ».

Notez que ce décompte émane d’une organisation internationale, l’OMS, dont les chiffres et les communiqués ont joué un rôle de premier plan dans la gestion de la crise sanitaire partout dans le monde.

Ces « modélisateurs » avaient déjà été critiqués pour leurs prédictions souvent trop pessimistes quant au nombre de décès que provoquerait la pandémie. La preuve est faite que même pour l’analyse des décès réels leurs modèles mathématiques étaient défaillants.

Je trouve cela très grave.

Confirmation du risque accru de problèmes cardiaques suite à l’injection

Ce qu’a publié The Lancet le 11 juin est encore plus sidérant.

Une vaste étude rétrospective a été menée pour « comparer » les risques cardiaques (péricardites et myocardites) suite à une injection :

  • soit d’un vaccin Pfizer,
  • soit d’un vaccin Moderna.

Résultat : pour les deux vaccins le risque est le même, c’est à dire plus élevé que constaté habituellement, en particulier chez les 18-25 ans[2].

Chez ces jeunes, le risque augmente plus particulièrement après une dose dite de rappel.

En somme, ces recherches confirment ce que tous nos médecins de famille constataient depuis le démarrage de la campagne de vaccination : une hausse inexpliquée des troubles cardiaques chez leurs patients.

Sachez enfin que le ministre de la Santé allemand, la semaine dernière, a admis explicitement que les injections anti-Covid avaient affaibli le système immunitaire de ses concitoyens, ce qui les exposait de fait davantage aux autres virus.

Vous allez rire : ce même ministre recommande en fin de discours de renforcer la vaccination pour faire face aux vagues de Covid à venir[3]… justement parce que notre système immunitaire s’est affaibli !

Ces grands écarts gênants s’expliquent : il n’est pas supportable, pour un politique comme pour un scientifique, d’admettre qu’on a pu se tromper.

La bonne nouvelle est que ces nouvelles vérités, assises sur des explorations scientifiques, commencent à être rendues publiques, par petits pas.

Elles me laissent l’espoir que la résurrection du pass vaccinal prévu à l’automne, ainsi que la relance des campagnes d’injections, peineront davantage à convaincre.

Portez-vous bien,

Rodolphe Bacquet

La lettre confidentielle de

LIBRE CONSENTEMENT ÉCLAIRÉ

POUR UNE FRANCE CITOYENNE ET NOS LIBERTÉS RETROUVÉES

L’OMS, Bill Gates, Joe Biden, Ursula von der Leyen (Commission européenne), Emmanuel Macron et Jean-Luc Mélenchon veulent achever les survivants des « va x ins » tueurs de Pfizer & Co.

Il faut regarder et regarder encore et encore cette photo pour comprendre ce que les fonctionnaires, en uniforme ou non, sont capables de faire s’ils en reçoivent l’ordre.

Ce qui attend les survivants des « va x ins » tueurs de Pfizer & Co., si l’OMS, Bill Gates, la Commission européenne et Emmanuel Macron arrivent à leur fin avec la « variole de Bill Gates » (« Monkeypox ») et leurs « va x ins ».

L’édito politique de Libre Consentement Éclairé

   Notre éditorial du 6 juin dernier commençait ainsi : « Les « va x ins » tueurs de Pfizer & Co. du « C19 » ne vous ont pas tués, vous ne vous retrouvez pas aveugle, votre cerveau ne s’est pas transformé en éponge, vous n’avez pas encore fait un triple AVC, vous êtes indemne de toute myocardite ou péricardite, on ne vous a pas enlevé l’utérus, votre mémoire est intacte ? Patience, les « va x ins » de la fausse pandémie de la « variole de Bill Gates » arrivent. »

   Nous sommes le 15 juin 2022, et Tedros Adhanom Ghebreyesus (OMS), Joe Biden (États-Unis), Ursula von der Leyen (Commission européenne), Justin Trudeau (Canada), Emmanuel Macron (France) et leur maître Bill Gates, n’ont pas digéré le cuisant échec qu’ils ont essuyé avec le rejet par la 75e Assemblée mondiale de la Santé (tenue à Genève les 27 et  28 mai 2022 à Genève) du projet de « Traité international des pandémies », qui leur aurait permis de faire injecter la Terre entière avec les « va x ins » tueurs de Pfizer & Co., nouvelle formule adaptée à la variole de Bill Gates.

    Ils ne l’ont pas digéré, mais ils n’y ont pas pour autant renoncé.

   Si dans l’URSS de Staline, les fonctionnaires faisaient disparaître des photographies officielles les personnages qui n’avaient plus ses faveurs, dans le monde de Bill Gates, de Joe Biden, de Justin Trudeau, d’Ursula von der Leyen, d’Emmanuel Macron et des mondialistes, et lorsqu’ils ne peuvent pas avoir recours à des machines à voter qui leur permette de truquer les élections, comme avec Dominion & Co., ils font disparaître les résultats des votes, comme si rien n’avait eu lieu (« vous n’avez pas voté en notre faveur, très bien, nous ferons comme si le vote n’a pas eu lieu »).

   Ainsi, si on sait que ce projet digne des pires heures du nazisme et du communisme réunis aurait été rejeté par une immense majorité des 194 États qui sont membres de l’OMS, à notre connaissance, aucune communication publique n’a été faite sur ce vote de rejet, et on ne connaît pas exactement le nombre de pays (ni lesquels), qui ont rejeté ce projet de « Traité international des pandémies » lors de la 75e Assemblée mondiale de la Santé.

   À l’origine, ce projet de traité a été signé par celui qui est accusé de « génocide » en Éthiopie, Tedros Adhanom Ghebreyesus (directeur général de l’OMS), par Charles Michel, le Belge qui préside le Conseil européen (chefs d’États et de gouvernements des pays membres de l’Union européenne), ainsi que par les dirigeants d’Afrique du Sud, d’Albanie, d’Allemagne, du Chili, de Corée du Sud, du Costa Rica, d’Espagne, des îles Fidji, de France, de Grèce, d’Indonésie, d’Italie, du Kenya, de Norvège, des Pays-Bas, du Portugal, de Roumanie, du Royaume-Uni, du Rwanda, de Thaïlande, de Trinité-et-Tobago, de Tunisie, du Sénégal, de Serbie et d’Ukraine.

   Les arguments qui nous étaient présentés par cette clique étaient :

   – « Il y aura d’autres pandémies et d’autres situations d’urgence sanitaire de grande ampleur (ils parlent de la fausse pandémie de « C19 »). Aucun gouvernement ni aucun organisme multilatéral ne peut, seul, faire face à cette menace. La question n’est pas de savoir si cela aura lieu, mais quand »,

   – « Dans cette optique, nous croyons que les pays devraient œuvrer ensemble à l’élaboration d’un nouveau traité international sur la préparation et la riposte aux pandémies ».

   – « Un tel traité permettrait de combler les failles révélées par la pandémie de « C19 ».

   Comme en France en 2005 avec le rejet du projet de la Constitution de l’Union européenne par référendum, les mondialistes s’essuient les pieds sur le rejet du projet de Traité international des pandémies lors de la 75e Assemblée mondiale de la Santé de l’OMS de fin mai 2022.

   Les mondialistes milliardaires et génocidaires n’ont pas dit leur dernier mot ! La 75e Assemblée mondiale de la Santé de l’OMS a rejeté leur projet ? Qu’importe, Tedros Adhanom Ghebreyesus convoque pour le 23 juin 2022 le « Comité d’urgence du Règlement sanitaire international » de l’OMS institué en 2005.

   Ordre du jour de la réunion de Bureau politique de ce IVe Reich : « affirmer que la « variole de Bill Gates » (« Monkeypox ») représente une « urgence de santé publique de portée internationale » et qu’il faut rejouer, en mieux, la fausse pandémie de « C19 » (confinements, masques, et injections de « va x ins » tueurs de Pfizer & Co. ».

   En septembre 2022, ils vont présenter une nouvelle mouture de leur projet hitlérien et stalinien de « Traité international des pandémies » qui ne vise qu’à « imposer une « tyrannie médicale » à l’humanité, et non de protéger la santé. »

   Il faut savoir que si le projet de Traité international des pandémies a été rejeté dans sa globalité ; l’administration de Joe Biden (États-Unis), avec le soutien initial de 50 États, a réussi à faire adopter 13 modifications importantes au Règlement sanitaire international (RSI) qui institue le « Comité d’urgence du Règlement sanitaire international » (modifications dont les « Centers for Disease Control and Prevention » (CDC) des États-Unis affirment qu’elles sont « juridiquement contraignantes »).

   Et ce n’est pas tout, les sbires des milliardaires mondialistes et génocidaires de l’OMS, préparent avec l’administration de Joe Biden, la Commission européenne d’Ursula von der Leyen et la France d’Emmanuel Macron, une nouvelle mouture de leur projet hitlérien et stalinien de « Traité international des pandémies »

   Francis Anthony Boyle, professeur de droit international à l’Université de l’Illinois (Chicago – États-Unis) commente cette nouvelle mouture en préparation : « Il s’agit d’une nouvelle prise de pouvoir totalitaire de la part des CDC [centres de contrôle et de prévention des maladies], de l’OMS, de Bill Gates, de Big Pharma, de l’industrie de la guerre biologique, de la République populaire de Chine et d’autres, qui veulent imposer leur tyrannie médicale à l’espèce humaine ».

   Le réveil des défenseurs de nos droits d’êtres humains et de nos libertés fondamentales aux États-Unis.

   Cette catastrophe pour les États-Unis et pour la paix dans le monde, catastrophe nommée Joe Biden, qui s’ajoutent aux révélations quotidiennes sur la fraude à grande échelle organisée aux États-Unis par les Démocrates lors de l’élection présidentielle de 2022 (qui fut réellement gagnée, haut la main, par Donald J. Trump qui serait, en plus, largement arrivé en tête dans quasiment tous les États clés (« Swing states »)), semble donner de l’énergie aux parlementaires américains défenseurs de nos droits d’êtres humains et de nos libertés fondamentales.

   Qu’ils soient membres des parlements des États ou membres du Sénat et de la Chambre des représentants à Washington : ils seraient majoritaires à s’opposer fermement à toute idée d’une nouvelle mouture d’un « Traité international des pandémies » qui donnerait les pleins pouvoirs à Bill Gates et à sa clique de milliardaires mondialiste et génocidaires.

Francis Anthony Boyle, professeur de droit international à la Faculté de droit de l’Université de Chicago.

   Fini les précautions de langage (on se sent moins seul à Libre Consentement Éclairé, à appeler un chat, un chat, un salaud, un salaud, et un nazi un nazi).

   Il faut savoir que Francis Anthony Boyle n’est pas n’importe qui.

   En 1989, c’est lui qui rédigea l’intégration dans la législation des États-Unis de la Convention sur les armes biologiques (approuvée à l’unanimité par le Congrès.

   En 2011, à l’occasion de l’intervention militaire américaine en Lybie qui s’est déroulée du 19 mars 2011 au 31 octobre 2011 sans l’autorisation du Congrès, il animait un mouvement important de juristes et de politiciens qui demandaient la destitution de Barack Obama, alors Président des États-Unis.

   L’OMS est une « organisation criminelle » qui est « complètement pourrie, corrompue et méprisable ».

   Ces propos ne sont pas de Pierre Lefevre, ils sont de Francis Anthony Boyle, qui ajoute au sujet de l’OMS dans une interview à Epoch Times : « Ce n’est rien d’autre qu’une organisation de façade pour l’industrie pharmaceutique, l’industrie de la guerre biologique et Bill Gates (…) Il s’agit d’une nouvelle prise de pouvoir totalitaire de la part des CDC [centres de contrôle et de prévention des maladies], de l’OMS, de Bill Gates, de Big Pharma, de l’industrie de la guerre biologique, de la République populaire de Chine et d’autres, qui veulent imposer leur tyrannie médicale à l’espèce humaine ».

   Wuhan et les « frankenshots », les « injections de Frankenstein ».

   Si nous nous contentons à Libre Consentement Éclairé d’appeler les produits à l’ARNm de Pfizer & Co. « « va x ins » tueurs », Francis Anthony Boyle reprend l’expression américaine « frankenshots » (qui signifie « injections de Frankenstein ») lorsqu’il dénonce le rôle de l’OMS dans la promotion de ces « va x ins » tueurs de Pfizer & Co.

   Que les sénateurs des États-Unis rejettent le futur « Traité international de pandémies » (nouvelle bouture) en signant une lettre d’engament dans ce sens.

   C’est ce que propose ce professeur de droit international (en France, ils font tous la sieste en priant que personne ne leur pose la moindre question sur ce projet hitlérien), et il ajoute : « En supposant que 34 sénateurs signent cette lettre, le traité sur la pandémie deviendrait caduc (…) Cela pourrait alors tuer dans l’œuf ce traité de l’OMS sur la pandémie… »

   « Les États‑Unis d’Amérique ne doivent jamais donner plus de pouvoir à l’OMS. » (La France non plus).

   Le sénateur Rick Scott (Floride – Parti républicain) affirme quant à lui : « Les États‑Unis d’Amérique ne doivent jamais donner plus de pouvoir à l’OMS (…) L’OMS est une marionnette de Xi Jinping, contrôlée par le Parti communiste chinois, et a aidé Pékin à dissimuler les origines du « C19 » (…) la politique de santé publique pour l’Amérique doit être décidée par les Américains et non par des « marionnettes mondialistes travaillant pour la Chine communiste ».

   Ajoutons aux propos de Rick Scott ceux de Francis Anthony Boyle : « Il s’agit d’une nouvelle prise de pouvoir totalitaire de la part des CDC, de l’OMS, de Bill Gates, de Big Pharma, de l’industrie de la guerre biologique, de la République populaire de Chine et d’autres, qui veulent imposer leur tyrannie médicale à l’espèce humaine », et on ne saurait mieux dire à Libre Consentement Éclairé.

Yves Rasir

Trois vrais journalistes

extrait

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Trop accaparé cette semaine par le bouclage du Néosanté de juillet-août, je vais vous laisser en compagnie de trois autres journalistes que j’admire beaucoup. Le premier, Alexandre Penasse, est très connu de la résistance belge. Pour son journal alternatif Kairos, dont il est le rédacteur en chef, Alexandre a couvert toute la mascarade corona avec courage et détermination. Caméra au poing et casque sur la tête, on l’a vu notamment au cœur de toutes les manifestations bruxelloises se terminant souvent en déchaînement de violences policières. Lui-même a été rudoyé, aspergé de gaz lacrymogène et appréhendé par les forces du chaos  alors qu’il exerçait  seulement son métier. Via des vidéos et des émissions  live, ce jeune passionné d’info a aussi multiplié les initiatives pour apporter d’autres éclairages sur la crise sanitaire et ses dérives totalitaires. On lui doit par exemple la seule et unique tentative d’organiser un vrai débat  contradictoire entre  les décideurs belges et les opposants à leurs mesures, chose que les médias mainstream ont complètement « oublié » de faire pendant deux ans. Avec un aplomb parfois maladroit mais toujours pertinent, Alexandre a également été le seul journaliste à oser poser des questions dérangeantes au gouvernement belge lors des conférences de presse officielles sur la gestion de l’épidémie. Il a été snobé,  censuré, conspué mais a toujours gardé le cap et porté la voix de la dissidence face à la junte covidiste. Si la chancellerie du Premier Ministre ne m’avait pas interdit l’entrée au motif que je n’avais pas la bonne carte de presse, j’aurais bien aimé épauler Alexandre et lui prêter main forte dans l’interpellation des autorités. Chapeau à lui d’avoir tenu le coup seul contre tous ! Par représailles probablement, son accréditation n’a pas été renouvelée  et le bimestriel Kairos vient de perdre les maigres subsides qui l’aidaient à subsister, mais les lecteurs et auditeurs ont été près d’un millier  – j’en étais – à se presser le 28 mai dernier à une journée de fête et de soutien. Si bien qu’Alex a été regonflé à bloc et qu’il continue à tracer sa route de trublion ré-informateur, parfois brouillon mais toujours couillu. Récemment, il a  réalisé une première interview et une deuxième vidéo avec Pierre Chaillot (alias Pierre Lécot), ce jeune statisticien français dont je vous vante depuis bientôt deux ans le formidable boulot. Je vous invite à visionner ces deux émissions car elles illustrent imparablement ce que je soutiens depuis l’entame du Corona Circus : il n’y  a pas  eu de pandémie, il n’y a pas eu de surmortalité attribuée au virus couronné qui dérogeait à la normale et il n’y a même pas eu de saturation hospitalière ! Les chiffres apportent la preuve indiscutable que la grippe covid est bien une coque vide et un non-événement.

Le deuxième journaliste auquel je passe la main , Bernard Crutzen, a aussi accédé à la célébrité en Belgique à la faveur de la saga coronavirale. En 2021, son film « Ceci n’est pas un complot »  lui a valu l’opprobre et la basse vengeance de la presse bien-pensante mais le documentaire a été visionné des millions de fois malgré la censure dont il a fait l’objet sur les plateformes les plus populaires. Le réalisateur nous revient aujourd’hui avec un deuxième opus intitulé « La Loi, la Liberté » et sous-titré « Ceci n’est plus une crise sanitaire ». Pour ceux qui l’ignoreraient, le titre principal fait référence aux paroles de la Brabançonne, l’hymne national belge. Il reflète bien le contenu du docu car son auteur s’attache cette fois à montrer que le pseudo-fléau infectieux a servi d’opportunité à une opération politico-psychologique visant  le  démantèlement de certains droits fondamentaux et l’instauration d’une société de surveillance. Plus clément envers les médias et les experts, il concentre  son bois vert sur les responsables politiques qui ont entraîné la population sur leur galère faite de mensonges et d’exagérations clairement intentionnelles. Celui qui ne comprend pas encore que la  fausse pandémie a été scénarisée pour imposer le vaccin et le passeport numérique conduisant à l’enchinoisement de l’Occident est décidément et définitivement endormi !  Le passage du film qui m’a le plus frappé est celui où Bernard relève la fable propagandiste de « l’épidémie devenant celle des  non-vaccinés » : partout dans les pays de l’OTAN et  exactement au même moment, les forces covidistes ont répété les mêmes slogans destinés à  stresser les hésitants et à  attiser la haine envers les récalcitrants. Il crève les yeux et les oreilles que les gouvernements ont répondu à un mot d’ordre et déclenché à l’unisson la nouvelle phase d’un plan. Lequel ? Il suffit de regarder dans la direction de Davos et de voir que nombre de dirigeants occidentaux (Macron, Trudeau, De Croo…) sont des « global leaders » du Forum Économique Mondial pour deviner que ces marionnettes sont aux manettes pour faire avancer l’agenda du « Great Reset » cher au sinistre Klaus Schwab.
Enfin, je cède le reste de mon billet hebdomadaire au journaliste et essayiste français Marc Menant. Quand j’étais débutant dans le métier, j’écoutais quand je le pouvais l’émission hebdomadaire  que ce grand bonhomme du PAF  animait sur Europe 1 et  qui mettait amplement à l’honneur les médecines alternatives. Et je me souviens avoir été choqué que cette émission disparaisse subitement de la grille alors qu’elle drainait une  très large audience. À l’époque, on se doutait déjà que le journaliste avait indisposé Big Pharma et que la suppression de son espace d’expression découlait de ses objections envers l’acte vaccinal et la médecine allopathique en général. Le temps a  passé mais Marc Menant n’a pas perdu son franc-parler ni  son regard  critique sur la vaccination. Sur le plateau de la chaîne Cnews, il se ramasse d’ailleurs de violentes attaques à chaque fois qu’il ose égratigner Pasteur et mettre en doute le bien-fondé des dogmes vaccinalistes. Avec la « crise Covid », inutile de dire qu’il s’en est pris plein la figure ! Mais comme le chroniqueur télé a aussi la plume bien pendue, le voilà qui riposte à ses contempteurs par la publication d’un livre édité par la prestigieuse maison Plon : « L’Inquiétante histoire des vaccins ». Dans cet ouvrage, l’ex-professeur de mathématiques ne prend pas de gants car il écrit que la science des vaccins est dépourvue de toute rigueur scientifique.  Et il le démontre en remontant aux sources du mythe, à savoir les premières expériences de Pasteur  et ses résultats falsifiés ou abusivement interprétés. Je vous conseille vivement ce bouquin car il est à la fois accessible, bien argumenté et solidement documenté. C’est aussi un brûlot à faire lire à tous les benêts  qui nous bassinent  depuis des lustres que l’immunisation artificielle a éradiqué les grandes maladies alors que leur déclin n’a rien à voir avec cette prétendue « victoire médicale ». Comme vous vous en doutez, Néosanté a sollicité un entretien avec Marc Menant et ce dernier a aimablement accepté de répondre aux questions de Pryska Ducœurjoly,.

MARC MENANT :
« Le succès des vaccins repose sur l’inoculation de la trouille »

Après « La médecine nous tue » (2008), puis « Médecine, régimes, la terrifiante imposture » (2011), le journaliste Marc Menant lâche un nouveau pavé dans la mare sanitaire. « L’inquiétante histoire des vaccins », chez Plon, est la synthèse d’une documentation accumulée pendant vingt ans. Variole, rage, DTP, tuberculose, hépatite B, grippe, Covid-19, tout y passe. Sous la plume de Marc Menant, le dogme pasteurien prend du plomb dans l’aile ! Entretien.

Propos recueillis par Pryska Ducœurjoly
Marc Menant est un journaliste, écrivain et chroniqueur français. Sur TF1 en 1979, il a créé le Magazine de l’aventure, première émission à commenter l’action en simultané. Trois ans plus tard, Nicolas Hulot lui succède. De 1997 à 2008, sur Europe 1, il présente des émissions hebdomadaires sur les phénomènes paranormaux, le bien-être et les voyages. Il anime en parallèle Complément Terre sur Direct 8. De 2014 à 2015, il participe à l’émission Les Pieds dans le plat, diffusée quotidiennement sur Europe 1. Depuis 2017, il intervient sur la chaîne d’information en continu CNews, notamment dans les émissions Face à l’info (depuis 2019) et La Belle Histoire de France (depuis 2021).

Avec “L’Inquiétante histoire des vaccins”, vous déboulonnez un dogme médical sacré. Par les temps qui courent, cela relève de la bravoure… D’où vient cet intérêt pour la santé et la vaccinologie ?

En tant que journaliste, j’ai une curiosité pour tous les domaines. Comment ne pas s’intéresser à la médecine dès lors que vous y êtes confronté, que vous le vouliez ou non, dès votre plus jeune âge ? Qui n’a pas, dans son entourage, des cas de maladies qui suscitent des interrogations ? Sur Europe 1, j’ai animé une émission sur le bien-être. J’ai été interpellé par les avis divergents des médecins. On vous dit tout et son contraire. J’ai rapidement compris que la science médicale manquait de rationnel… Cela m’a amené à multiplier les lectures. Concernant les vaccins, j’ai été amené à creuser la question en tant que père de deux enfants. Fallait-il ou pas les vacciner ? Un jour, par un ami, je suis tombé sur les carnets de Pasteur. Au fil des ans, je n’ai cessé d’étoffer mes recherches à travers des documentations scientifiques, de nombreux ouvrages de référence et bon nombre d’allers-retours à la Bibliothèque Nationale. La crise du covid-19 n’a fait qu’aiguiser mon intérêt pour la question vaccinale. Ce n’est pas parce que je ne suis pas “expert” dans le domaine que je vais m’interdire d’écrire sur le sujet !

Vous retracez l’histoire des vaccins, à commencer par les premières expériences de Pasteur. Qu’est-ce qui vous a particulièrement frappé dans vos recherches sur notre héros national ?

Quand on se penche sur l’histoire du vaccin contre la rage, on est rapidement confronté à une supercherie. On met toujours en avant la fable du petit Joseph Meister, soi-disant sauvé par Pasteur. J’explique en quoi le protocole n’est pas valide et pourquoi cette guérison n’est pas prouvée. Parallèlement, on occulte les nombreux morts, comme celle du petit Jules Rouyer, qui montrent que ce vaccin s’est avéré dès le départ un échec. Pour couvrir Pasteur, son collaborateur Emile Roux n’hésite pas à mentir devant l’Académie de médecine, avec la complicité du professeur Brouardel qui a pratiqué l’autopsie de Jules Rouyer. Ils le font avec bonne conscience, au nom du progrès médical, pour ne pas compromettre l’avenir de la science vaccinale.

Parmi les péchés originels de la vaccinologie, vous évoquez aussi la manipulation des chiffres à propos d’une maladie finalement peu répandue mais présentée comme un grand fléau.

Les artifices mathématiques ont été dénoncés par des contemporains de Pasteur. Je cite notamment les propos du docteur Michel Peter, un farouche opposant : « J’ai vu deux cas de rage en trente-cinq ans de pratique hospitalière et civile (…). Pour amplifier les bienfaits de sa méthode et pour en masquer les insuccès, Monsieur Pasteur a intérêt de faire croire plus forte la mortalité annuelle par la rage en France ». Et de poursuivre : « Veut-on savoir, par exemple, combien en vingt-cinq ans d’individus sont morts de la rage à Dunkerque ? Il en est mort : un… Et veut-on savoir combien sont morts dans cette ville en un an depuis l’application de la méthode pasteurienne ? Il en est mort : un… ». En réalité, neuf fois sur dix, les gens guérissent spontanément. La même logique s’applique à l’ensemble des vaccinés ! Et pourtant, dans la presse, le vaccin contre la rage a rapidement été présenté comme un miracle de la science.

Les cas de guérison avec le vaccin de pasteur tiendraient donc plutôt aux défenses immunitaires des individus ?

C’est d’autant plus probable que Pasteur ne sait pas si les mordus qu’il vaccine ont réellement contracté la maladie. Pour s’en assurer, il aurait fallu qu’il prélève sur chaque victime de la moelle et qu’il l’inocule à des lapins cobayes pour voir s’ils développaient la maladie. Cette procédure n’a pas été réalisée dans la plupart des cas. On est donc dans la supposition et l’auto-persuasion. On retrouve d’ailleurs ce biais scientifique dans la plupart des « succès vaccinaux ».
Par son habilité à la communication, Pasteur n’a pas hésité à attiser la psychose populaire. À l’époque, chaque victime de morsure de chien se croyait enragée et courait à la vaccination. Il s’agissait alors d’un traitement curatif, injecté seulement après une morsure.
Pour chaque vaccin, j’ai réalisé tout un travail en amont pour parvenir à restituer l’essentiel. Enquêter sur ces remèdes demande de bien examiner les détails. C’est ainsi que l’on trouve des points d’appui indubitables, difficiles à restituer dans une interview. C’est pour cela qu’il existe des livres. J’incite le  lecteur à exercer pleinement son esprit critique pour juger de la pertinence de mon analyse.

Dès le départ donc, l’efficacité vaccinale relèverait davantage de la croyance que de la science ?

Il n’y a pas de science dans les vaccins. Malgré un élan d’honnêteté, les premières expérimentations de Pasteur montrent déjà qu’on est dans l’empirisme le plus total. C’est plus une logique d’alchimiste qui tâtonne sur des bases très incertaines en matière de physiologie, un domaine qu’on est loin d’avoir compris encore aujourd’hui. Quand on réduit la physiologie à des principes mécanistes, on est dans l’erreur. C’est oublier la notion de terrain individuel et l’action de la psyché sur le corps. À bien y regarder, la science vaccinale se situe dans le domaine de l’indémontrable. Pasteur a cédé beaucoup trop tôt à la certitude. La certitude a tourné au  dogme et, depuis un siècle et demi, à la Faculté, de génération en génération, les professeurs en disciples de Pasteur nous rabâchent dans les amphithéâtres le credo des microbes ennemis de l’espèce à combattre. Panacée des panacées, les vaccins ! En réalité, ces miraculeuses thérapeutiques ne sont que leurres sanctifiés par la propagande, dans la ligne de leurs ancêtres, les vaccins contre la rage et la variole.

DOCTEUR RICHARD URSO (USA) LES NANOPARTICULES DES VAXXINS VONT PARTOUT DANS LE CORPS ET FONT DES DEGATS TERRIBLES :

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Les conseillers de la FDA se sont trompés sur les vaccins COVID pour les jeunes enfants

What FDA Advisors Got Wrong About COVID Vaccines for Young Kids

Ce que les membres du comité consultatif sur les vaccins de la Food and Drug Administration des États-Unis ont vu et entendu lors de la réunion de mercredi aurait dû les empêcher de recommander l’autorisation des vaccins COVID-19 pour les enfants aussi jeunes que 6 mois – mais ce n’est pas le cas.

Extrait :

Leur nombre est ridiculement petit. Pfizer a montré qu’une estimation de l’ efficacité du vaccin de 80,3 % est basée sur – tenez-vous bien – 7 cas dans le groupe placebo et 3 dans le groupe vacciné.

ARTICLE COMPLET SUR LE SITE

Covid : vacciner dès l’âge de 6 mois

Sur santé non censurée

Alors que les Européens commencent tout juste à étudier les risques que comporte la vaccination anti covid, tant avec les produits de Moderna que de Pfizer.

Les Américains, eux, sont déjà prêts à vacciner les tout petits !

Même en France, nation des 11 vaccins obligatoires4, la vaccination anti Covid n’est jamais descendue en dessous de 5 ans !

Ce mercredi 15 juin, ce sont donc 21 experts, membres d’un comité consultatif, qui se sont prononcés en faveur de la vaccination dès 6 mois, à la suite de deux votes5.

La balle est maintenant dans le camp de la FDA qui, sur la base de ce vote consultatif, peut ou non rendre cette autorisation officielle (et impacter la vaccination des enfants dans le monde entier puisque de nombreux pays du monde dont la France suivent aveuglément l’exemple américain).

En cas d’un oui de sa part (ne nous mentons pas, c’est ce qui va arriver de toute manière), plusieurs millions de doses de vaccins seront envoyées partout dans le monde pour vacciner cette tranche de la population, laissée “intacte” jusqu’à présent.

Et sur accord des CDC (Centres de prévention et de lutte contre les maladies américain), la machine vaccinale pourra se remettre en marche mardi prochain !

Vous l’aurez compris, tout est déjà prêt pour une nouvelle vague de vaccination de masse.

Doses adaptées… Mais rappel déjà prévu !

Et si le dosage a été adapté à ce nouveau public :

  • 1/4 de dose pour Moderna ;
  • 1/10 de dose pour Pfizer…

Les bambins n’échapperont pas à de multiples doses, eux non plus.

2 doses et un potentiel rappel (encore en étude) pour Moderna et directement trois doses pour Pfizer, puisque les quantités administrées lors des deux premières injections sont trop faibles pour provoquer une réponse immunitaire suffisante.

Même logique absurde que chez les adultes donc, multiplier les doses (et par conséquent les effets indésirables potentiels) pour enfin obtenir un vaccin “efficace”… mais pour combien de temps ?

Tant Moderna que Pfizer annoncent une efficacité cohérente à celle de la vaccination chez les adultes.

Ce qui est assez relatif, puisqu’ils reconnaissent également que ces résultats ont été obtenus avec un faible nombre de cas positifs… autant dire qu’ils ne sont peut-être pas représentatifs à l’échelle mondiale.

Et n’oublions pas que si Moderna et Pfizer n’ont obtenu qu’un faible échantillon de cas positifs chez les enfants, c’est tout d’abord parce qu’ils sont moins touchés par ce virus en premier lieu6.

Enfin, les années nous l’ont prouvé, les vaccins se retrouvent bien souvent inutiles face aux nouveaux variants du coronavirus.

Une telle démarche de vaccination, dès 6 mois, est-elle donc vraiment si nécessaire ?

L’Amérique n’est-elle pas en train de condamner les enfants, comme les adultes, à entrer dans l’engrenage sans fin de la vaccination et des rappels ?

Après l’abonnement Disney + et Netflix, voici venir le temps de l’abonnement Covid.

Tendez le bras, c’est gratuit… sauf pour votre santé.

Prenez soin de vous,

Thibaut Masco de Santé Non Censurée

Note de Tal : vacciner des enfants avec des injections expérimentales, nous touchons là aux limites de la folie pure !! le délire de la vaccinologie devient chaque jours plus évident… comment allons-nous informer les parents pour qu’ils sortent de ce jeu macabre de génocide planétaire ?

De prepare for change : Speaking of Covid. More and more revelations about the criminal nature of this scam are pouring out by the day. For example, as Robert F. Kennedy Jr. points out: “The CDC is not an independent agency. It is a vaccine company. The CDC owns over 20 vaccine patents. It sells about $4.6 billion dollars of vaccines every year.”

« Cancers et hépatites rares trouvés chez les ENFANTS ! » Une infirmière américaine de première ligne partage des données choquantes

L’auteure et chercheuse du Daily Clout Naomi Wolf se joint à nous pour partager son analyse approfondie du “dépotoir” de 18 000 pages de Pfizer et des horribles crimes contre l’humanité que ses pages blanches révèlent. Elle souligne les dommages que les injections d’ARNM causent aux femmes et aux bébés, et les poisons toxiques tels que le PEG qui est administré aux bébés par le lait maternel – tout en continuant à rassurer les femmes sur le fait que c’est “sûr et efficace pour la grossesse”. victimes du 6 janvier – Jeremy Brown, ancien des forces spéciales qui est toujours en prison depuis 8 mois, et Geri Perna, tante de Matthew Perna qui s’est tragiquement suicidé en attendant sa condamnation. Regardez et partagez des interviews à ne pas manquer !

Regardez ici : https://rumble.com/v17zh91-rare-cancers-and-hepatitis-found-in-children-american-frontline-nurse-share.html?mref=6zof&mc=dgip3&ep=2

Livre : PHONEGATE, tous surexposés, tous trompés, tous mis en danger par nos portables du docteur Marc ARAZI

Nous sommes plus de cinq milliards d’utilisateurs de portables. Or des fabricants de smartphones nous ont sciemment surexposés aux ondes, bien au-delà des normes de sécurité. Pire, certains ont truqué les résultats des tests grâce à des logiciels comme pour le dieselgate. Ce scandale porte un nom : le PHONEGATE.

En 2016 le docteur Marc ARAZI obtient des preuves pour dénoncer cette gigantesque tromperie et il se bat avec un courage incroyable pour que le public soit averti.  Il se heurte aux lobbies et aux agences gouvernementales qu’ils contrôlent. Les medias n’osent pas aborder le sujet. Mais à l’heure de la 5G il faut absolument alerter le public sur cette crise sanitaire mondiale qui multiplie de façon dramatique les cas de cancers et d’autres maladies dues aux ondes. Marc préside l’ONG Alerte PHONEGATE.

LA GUERRE ? L’ADOLESCENT SOCIOPATHE QUI OCCUPE L’ÉLYSÉE N’A QUE CE MOT À LA BOUCHE

par Éric Verhaeghe.

Lundi, Emmanuel Macron a affirmé à la presse que nous serions entrés dans une économie de guerre, imposant des mesures d’exception, notamment de réquisition militaire. Cette annonce, qui prépare très clairement une guerre avec la Russie, ne semble avoir ni surpris ni choqué personne. Sommes-nous à ce point hypnotisés que même le pire et le plus absurde ne nous réveille plus ? Et pourtant, faire la guerre à la Russie est bien aux antipodes des intérêts du pays.

Donc Emmanuel Macron a choisi un micro-trottoir au salon de l’armement de Satory, lundi dernier, pour expliquer que nous étions entrés dans une économie de guerre. Dans la foulée, il demande une réévaluation de la loi de programmation militaire, et l’adoption de dispositions qui permettraient des réquisitions de guerre.

Habilement, cette attaque contre le droit de propriété n’a pas été citée par l’AFP, sans doute soucieuse de maintenir les Français dans leur apathie ordinaire. Il faut aller fouiner dans les titres de Bernard Arnault pour en lire mention… Voilà qui, en soi, est déjà un indice sur le fait que la presse subventionnée ne se sent guère obligée de tout dire, de tout dévoiler, ni

Durant ses présidences, Macron aura donc pris un plaisir manifeste à jouer au héros troyen.

Sous le quinquennat précédent, il nous avait déjà annoncé être en guerre contre un virus. On a compris rapidement à quoi servait cette invocation grotesque : ses décisions autoritaires étaient finalement prises sans compte-rendu, sans débat démocratique, dans un « conseil de défense sanitaire » dont les délibérations sont désormais classées secrètes.

Au cas où on y découvrirait que Pfizer a su faire des propositions auxquelles il n’est pas possible de dire non, le problème est ainsi réglé pour un bon bout de temps.

Cette fois, il ne s’agit plus de guerre contre un virus, mais de guerre avec de vraies armes, de vrais soldats, et de vrais ennemis. C’est beaucoup plus tragique.

MAIS CONTRE QUI SOMMES-NOUS EN GUERRE ?

Sur l’ennemi que nous nous apprêtons à combattre, Macron n’a guère été loquace. Mais il suffit de lire ses propos pour comprendre qui il vise :

Et, pour qui douterait de l’urgence de ces efforts, il suffit de regarder une fois encore vers l’Ukraine, dont les soldats réclament un armement de qualité et qui sont en droit d’avoir une réponse là aussi de notre part.

Ah voilà ! nous préparons la guerre contre le grand méchant Poutine, face à qui il faut opposer « un armement de qualité ». Donc, sans le dire clairement, nous sommes en train de glisser, par solidarité avec cette fripouille de Zelensky et ses bataillons nazis, vers la confrontation directe avec les Russes.

On aurait pu imaginer un débat démocratique sur le sujet, d’autant plus démocratique que Poutine dispose d’armes hypersoniques qui peuvent renvoyer la France au Moyen-Âge en quelques heures, et même en quelques minutes.

Mais de ce débat démocratique, dont on sait qu’il s’agit d’un gros mot dans l’esprit de Macron, le président ne veut évidemment pas, parce qu’il sait qu’aucun Français n’est prêt à mourir pour Kiev. Des bourgeois de l’arrière endoctrinés qui appellent à la guerre, ça se trouve, des bourgeois endoctrinés qui sont prêts à la faire eux-mêmes, ça se cherche.

Comme en 14. Sauf que, cette fois, les destructions seront bien plus massives, et les bourgeois endoctrinés n’ont pas encore compris qu’il n’y aura, dans la confrontation hypersonique qui se prépare, plus d’arrière ni d’avant. Lorsque Poutine appuiera sur le bouton pour les enquiller, ils n’auront même pas le temps de sauter dans leur SUV à propulsion hybride pour aller à la campagne : ils seront rayés de la carte bien avant d’avoir ouvert leur portière.

UNE GUERRE POUR LES AMÉRICAINS, PAS POUR LA FRANCE

Je sais qu’une intense propagande déployée sans vergogne par le cartel de la presse subventionnée a transformé la légitime défense russe contre la menace nucléaire américaine en Ukraine en une agression qualifiée de façon très révélatrice de crime contre l’Histoire. Il n’en reste pas moins que les démêlés entre la Russie et l’Ukraine, qui s’expliquent essentiellement par l’ingérence toxique de l’OTAN et du Deep State américain dans cette partie du monde, ne concernent en rien les intérêts français.

Depuis plusieurs siècles, la Russie est notre alliée, et ses relations avec l’Ukraine font partie de son pré carré. Historiquement, nous pratiquons une alliance de contournement avec l’empire russe pour contrer l’hégémonie britannique et prussienne.

En dehors d’une infiltration de notre diplomatie par de zélés atlantistes, rien ne justifie l’abandon de cette doctrine historique.

Il faudra sans doute longtemps pour que le bourgeois ordinaire gorgé d’une haine anti-Poutine attisée par une presse débilitante et aux ordres ne comprenne qu’il est le dindon d’une farce qui ne profite qu’à Washington. Il n’en reste pas moins que Macron, sans débat, nous emmène dans une aventure suicidaire qui finira son oeuvre d’implosion de la France et de service obséquieux aux USA.

PRÉPAREZ-VOUS AU PIRE !

Si vous vous souvenez des propos du président en janvier 2022, qui affirmait avoir envie d’emmerder les non-vaccinés, vous avez compris toute la folie qui occupe l’Élysée, et tout l’endoctrinement fascisé dont ses ouailles sont les victimes. Cette hystérie fascisante est prête à passer de la prétendue guerre contre un virus, à la guerre contre un prétendu ennemi bien plus  puissant.

blog65n

Il n’est pas sûr que Macron soit encore capable de mesurer la responsabilité tragique qu’il prend en se rangeant aveuglément aux côtés des États-Unis pour porter la guerre sur le sol européen. Face à cet aveuglement, attendez-vous au pire, et particulièrement à des destructions massives et une période particulièrement éprouvante dont nous ne réchapperons pas tous.

« COVID-19 – La lettre de Spartacus » a été initialement postée sur docdroid.net, mais a depuis été supprimée. Une autre copie peut être trouvée sur mega.nz.1 The Automatic Earth2 et ZeroHedge3 ont également publié la lettre dans son intégralité. La lettre commence par dire : « Mon nom est Spartacus, et j’en ai assez » :

« Nous regardons l’establishment médical injecter un véritable poison à des millions de nos concitoyens américains sans même nous battre. On nous a dit que nous serions licenciés et privés de nos moyens de subsistance si nous refusions de nous faire vacciner. C’était la goutte d’eau qui a fait déborder le vase. »

Ce qui suit est une compilation de données montrant que la pandémie de COVID était une attaque de guerre biologique qui a été maintenue en utilisant des tactiques de guerre psychologique sophistiquées. Il passe également en revue les dangers des injections de COVID, en notant que le virus et les « vaccins » ont été fabriqués par les mêmes entités.

• Le COVID-19 est une maladie du sang et des vaisseaux sanguins. Le SRAS-CoV-2 infecte la paroi des vaisseaux sanguins humains, provoquant leur écoulement dans les poumons.

• Les protocoles de traitement actuels (par exemple, la ventilation invasive) sont activement nocifs pour les patients, accélérant le stress oxydatif et provoquant de graves lésions pulmonaires induites par les ventilateurs (VILI). L’utilisation continue de ventilateurs en l’absence de tout avantage médical prouvé constitue un meurtre de masse.

• Les contre-mesures existantes sont inadéquates pour ralentir la propagation de ce qui est un virus aérosolisé et potentiellement transmis par les eaux usées, et constituent une forme de théâtre médical.

• Diverses interventions non vaccinales ont été supprimées par les médias et l’establishment médical au profit des vaccins et des médicaments brevetés coûteux.

• Les autorités ont nié l’utilité de l’immunité naturelle contre le COVID-19, malgré le fait que l’immunité naturelle confère une protection contre toutes les protéines du virus, et pas seulement une.

• Les vaccins feront plus de mal que de bien. L’antigène sur lequel ces vaccins sont basés, le SARS-CoV-2 Spike, est une protéine toxique. Le SRAS-CoV-2 peut présenter un ADE, ou renforcement dépendant des anticorps ; les anticorps actuels peuvent ne pas neutraliser les futures souches, mais au contraire les aider à infecter les cellules immunitaires. De plus, le fait de vacciner pendant une pandémie avec un vaccin non étanche supprime la pression évolutive qui pousse un virus à devenir moins mortel.

• Il existe une vaste et effroyable conspiration criminelle qui lie directement Anthony Fauci et Moderna à l’Institut de virologie de Wuhan.

Les chercheurs du vaccin COVID-19 sont directement liés à des scientifiques impliqués dans la technologie de l’interface cerveau-ordinateur (« neural lace »), dont l’un a été inculpé pour avoir reçu des subventions de la Chine.

Des chercheurs indépendants ont découvert dans les vaccins de mystérieuses nanoparticules qui ne sont pas censées être présentes.

• Toute cette pandémie sert d’excuse à une vaste transformation politique et économique de la société occidentale qui enrichira les déjà riches et transformera le reste d’entre nous en serfs et en intouchables.

Une conspiration criminelle

Une élite criminelle orchestre la destruction de la vie telle que nous la connaissons, dans le but d’instaurer un système de gouvernance et de contrôle mondial dirigé par la technocratie.

« En novembre 2019, trois techniciens de l’Institut de virologie de Wuhan ont développé des symptômes correspondant à une maladie de type grippal. Anthony Fauci, Peter Daszak et Ralph Baric ont tout de suite su ce qui s’était passé, car des canaux de retour existent entre ce laboratoire et nos scientifiques et officiels. »

« Le 12 décembre 2019, Ralph Baric a signé un accord de transfert de matériel (essentiellement, un NDA) pour recevoir du matériel lié au vaccin à ARNm du coronavirus, copropriété de Moderna et des NIH. »

« Ce n’est qu’un mois entier plus tard, le 11 janvier 2020, que la Chine nous a prétendument envoyé la séquence de ce qui allait devenir le SRAS-CoV-2. Moderna prétend, de manière plutôt absurde, avoir développé un vaccin fonctionnel à partir de cette séquence en moins de 48 heures. »

« Stéphane Bancel, l’actuel PDG de Moderna, était auparavant PDG de bioMérieux, une société multinationale française spécialisée dans les technologies de diagnostic médical, fondée par un certain Alain Mérieux. Alain Mérieux est l’une des personnes qui a contribué à la construction du laboratoire P4 de l’Institut de virologie de Wuhan. »

« La séquence présentée comme la plus proche parente du SRAS-CoV-2, RaTG13, n’est pas un vrai virus. Il s’agit d’une contrefaçon. Elle a été obtenue en saisissant manuellement une séquence génétique dans une base de données, afin de dissimuler l’existence du SRAS-CoV-2, qui est très probablement une chimère à gain de fonction produite à l’Institut de virologie de Wuhan et qui a été divulguée par accident ou intentionnellement. Le réservoir animal du SRAS-CoV-2 n’a jamais été découvert. »

« Il ne s’agit pas d’une « théorie » de la conspiration. Il s’agit d’une véritable conspiration criminelle, dans laquelle les personnes liées au développement de l’ARNm-1273 de Moderna sont directement liées à l’Institut de virologie de Wuhan et à ses recherches sur le gain de fonction par très peu de degrés de séparation, voire aucun. La trace écrite est bien établie. »

« La théorie de la fuite en laboratoire a été supprimée parce que tirer ce fil conduit inévitablement à conclure qu’il existe suffisamment de preuves circonstancielles pour relier Moderna, les NIH, le WIV, et à la fois le vaccin et la création du virus. »

« Dans un pays sain d’esprit, cela aurait immédiatement conduit à la plus grande affaire de meurtre de masse au monde. Anthony Fauci, Peter Daszak, Ralph Baric, Shi Zhengli et Stéphane Bancel, ainsi que leurs complices, auraient été inculpés et poursuivis dans toute la mesure permise par la loi. Au lieu de cela, des milliards de dollars de nos impôts ont été attribués aux coupables. »

« Le FBI a fait une descente chez Allure Medical à Shelby Township au nord de Detroit pour avoir facturé à l’assurance des « cures frauduleuses de COVID-19 ». Le traitement qu’ils utilisaient ? De la vitamine C en intraveineuse. Un antioxydant. Ce qui, comme décrit ci-dessus, est un traitement tout à fait valable pour la septicémie induite par le COVID-19, et fait d’ailleurs maintenant partie du protocole MATH+ proposé par le Dr Paul E. Marik. »

« La FDA a interdit la ranitidine (Zantac) en raison d’une supposée contamination par la NDMA (N-nitrosodiméthylamine). La ranitidine n’est pas seulement un bloqueur H2 utilisé comme antiacide, mais elle a également un puissant effet antioxydant, éliminant les radicaux hydroxyles. Cela lui confère une utilité dans le traitement du COVID-19. »

« La FDA a également tenté de retirer des rayons la N-acétylcystéine, un complément d’acide aminé et un antioxydant inoffensifs, obligeant Amazon à la retirer de sa vitrine en ligne. Cela nous laisse avec une question qui fait froid dans le dos : la FDA a-t-elle sciemment supprimé les antioxydants utiles pour traiter la septicémie due au COVID-19 dans le cadre d’une conspiration criminelle contre le public américain ? »

« L’establishment coopère avec les pires criminels de l’histoire de l’humanité, et supprime activement les traitements et thérapies non-vaccinales afin de nous contraindre à injecter les produits de ces criminels dans nos corps… »

« Conclusions : La pandémie actuelle a été produite et perpétuée par l’establishment, grâce à l’utilisation d’un virus conçu dans un laboratoire chinois de guerre biologique lié à l’APL, avec l’aide de l’argent des contribuables américains et de l’expertise française … »

« Que ce soit à la suite d’une fuite ou d’une diffusion intentionnelle de l’Institut de virologie de Wuhan, une souche mortelle du SRAS est maintenant endémique dans le monde entier, après que l’OMS, le CDC et les responsables publics ont d’abord minimisé les risques, puis ont intentionnellement provoqué une panique et des blocages qui ont mis en danger la santé et les moyens de subsistance des gens. »

« Cela a ensuite été utilisé par la classe aristocratique totalement dépravée et psychopathe qui nous gouverne comme une excuse pour contraindre les gens à accepter un poison injecté qui peut être un agent de dépeuplement, un agent de contrôle de l’esprit/pacification sous la forme de « poussière intelligente » injectable, ou les deux… »

Ces mégalomanes ont pillé les fonds de pension du monde libre. Wall Street est insolvable et connaît une crise de liquidité permanente depuis la fin de l’année 2019. L’objectif est maintenant d’exercer un contrôle physique, mental et financier total et à spectre complet sur l’humanité avant que nous ne réalisions à quel point nous avons été extorqués par ces maniaques. La pandémie et sa réponse ont servi de multiples objectifs pour l’élite :

• Dissimuler une dépression provoquée par le pillage usuraire de nos économies par des capitalistes rentiers et des propriétaires absents qui ne produisent absolument rien qui ait une quelconque valeur pour la société…

• Détruire les petites entreprises et éroder la classe moyenne.

• Transférer des milliers de milliards de dollars de richesses du public américain dans les poches de milliardaires et d’intérêts particuliers.

• Se livrer à des délits d’initiés, acheter des actions de sociétés de biotechnologie et vendre à découvert des commerces de proximité et des agences de voyage, dans le but de faire disparaître le commerce et le tourisme en face à face et de les remplacer par le commerce électronique et la servitisation.

• Créer un casus belli pour une guerre avec la Chine, nous encourager à l’attaquer, gaspiller des vies et des trésors américains et nous conduire au bord de l’Armageddon nucléaire.

• Établir des cadres technologiques et de biosécurité pour le contrôle de la population et des « villes intelligentes » technocratiques et socialistes où les mouvements de chacun sont suivis de façon despotique, tout cela en prévision d’une automatisation généralisée, du chômage et des pénuries alimentaires, en utilisant le faux prétexte d’un vaccin pour obliger à la coopération.

… Les élites tentent de remonter l’échelle, de supprimer la mobilité ascendante pour de larges segments de la population, d’éliminer les opposants politiques et autres « indésirables », et de tenir le reste de l’humanité en laisse, en rationnant notre accès à certains biens et services qu’elles ont jugés « à fort impact », comme l’utilisation de l’automobile, le tourisme, la consommation de viande, etc.

« Naturellement, ils continueront à avoir leur propre luxe, dans le cadre d’un système de castes strict, semblable au féodalisme. Pourquoi font-ils cela ? C’est simple. Les élites sont néo-malthusiennes et croient que nous sommes surpeuplés et que l’épuisement des ressources fera s’effondrer la civilisation en quelques décennies. »

« Ils ne sont pas nécessairement dans l’erreur. Nous sommes surpeuplés et nous consommons trop de ressources. Cependant, orchestrer une prise de pouvoir aussi horrible et meurtrière en réponse à une crise imminente démontre qu’ils n’ont que le plus grand mépris pour leurs semblables. »

« À ceux qui participent à cette farce dégoûtante sans comprendre ce qu’ils font, nous n’avons qu’un mot à dire. Arrêtez. Vous causez un tort irréparable à votre pays et à vos concitoyens. »

« À ceux qui lisent cet avertissement et qui savent parfaitement ce qu’ils font et comment cela va injustement nuire à des millions d’innocents, nous avons encore quelques mots. Soyez maudits en enfer. Vous ne détruirez pas l’Amérique et le Monde Libre, et vous n’aurez pas votre Nouvel Ordre Mondial. Nous nous en assurons. »

Les « Médecins pour l’information » et les « Médecins pour la vérité » ont uni leurs forces à celles de groupes similaires de praticiens du monde entier au sein de la « World Doctors Alliance » (2A). Cette alliance historique met en relation plus de cent mille professionnels de la santé dans le monde. Ils révèlent que la pandémie est le plus grand crime de l’histoire, et offrent des preuves scientifiques solides pour étayer cette affirmation. Ils engagent également des actions en justice contre les gouvernements qui jouent le jeu de cette opération criminelle.

https://lbry.tv/$/embed/HEIKO-SCHO%CC%88NING-introduces-the-WORLD-DOCTORS-ALLIANCE-in-Berlin/2d1800876076d924644bfc119246ca1c1a20cc70?r=7aFVapVgU2k6NBzKLy4mcSxPgK1aLoE7

DE MÊME, LA WORLD FREEDOM ALLIANCE A ÉTÉ CRÉÉE – UN RÉSEAU D’AVOCATS, D’EXPERTS MÉDICAUX, DE POLITICIENS, DE BANQUIERS ET DE NOMBREUX AUTRES PROFESSIONNELS QUI TRAVAILLENT ENSEMBLE POUR DÉNONCER LE « CRIME DE COVID » ET QUI COMMENCENT À CONSTRUIRE UN NOUVEAU MONDE DE LIBERTÉ. ILS VEULENT S’ASSURER QUE CE GENRE D’ESCROQUERIE MONDIALE QUI DÉTRUIT DES MILLIONS DE VIES NE PUISSE PLUS JAMAIS SE REPRODUIRE.

L’Informateur.

Covid : La réponse vaccinale au Covid était planifiée à l’avance, les auteurs d’un livre sur le sujet décryptent les différentes étapes.

Qactus

Juin 19

L’informateur


LA RÉPONSE VACCINALE AU COVID ÉTAIT PLANIFIÉE À L’AVANCE, LES AUTEURS D’UN LIVRE SUR LE SUJET DÉCRYPTENT LES DIFFÉRENTES ÉTAPES.

Pendant les recherches pour leur livre « The Courage to Face Covid‑19 : Preventing Hospitalization and Death While Battling the Bio‑Pharmaceutical Complex » [Le courage d’affronter Covid‑19 : prévenir l’hospitalisation et la mort tout en luttant contre l’industrie bio‑pharmaceutique, ndt.], le Dr Peter McCullough, cardiologue, et l’écrivain John Leake ont découvert que les dirigeants mondiaux ont décidé de faire de la vaccination la principale réponse à la pandémie de Covid‑19 de manière arbitraire.

« Tout a été complètement annoncé depuis le début », explique le Dr McCullough dans l’émission American Thought Leaders d’EpochTV. « En 2010, Gates a déclaré que ce serait la décennie des vaccins. Plus tard, il a signalé lors d’une réunion que le retour sur investissement des vaccins avait été d’au moins 20 pour 1. »

« Il est clair que le système se frotte les mains avec les vaccins. »

Le Dr McCullough fait référence à un post de 2010 de Bill Gates sur Twitter, dans lequel le milliardaire a écrit : « Une décennie de vaccins – un engagement de 10 milliards de dollars sur 10 ans pour la recherche, le développement et la fourniture de vaccins. »

En 2019, Gates a déclaré à Becky Quick de CNBC sur Squawk Box depuis le Forum économique mondial de Davos, en Suisse : « Nous avons le sentiment qu’il y a eu un retour de plus de 20 pour 1. » Il évoquait son investissement de 10 milliards de dollars dans le développement de vaccins.

Durant l’émission, M. Leake s’interroge : « Pourquoi les vaccins Covid, qui ont été développés à la hâte, ont été présentés comme sûrs et promus comme unique solution à la pandémie tandis que des traitements alternatifs efficaces et non autorisés ont été diabolisés ? »

« Ce que nous avons découvert durant nos recherches et ce que nous exposons dans notre livre, c’est que tout cela a été planifié bien à l’avance. »

M. Leake évoque également l’obsession de Bill Gates pour les vaccins.

Bill Gates lors d’une conférence de presse en marge du Forum économique mondial à Davos, en Suisse, le 25 mai 2022. (Fabrice Coffrini/AFP via Getty Images)

« Gates semble avoir en quelque sorte déplacé son esprit qui a tendance à vouloir tout monopoliser du secteur informatique vers celui des vaccins. »

Gates est également le fondateur et le principal contributeur de la Coalition pour les innovations en matière de préparation aux épidémies (CEPI), qui a été lancée durant le Forum économique mondial de 2017. Selon le programme de l’organisation, tout est axé sur le développement de vaccins, sans aucune mention d’autres traitements, explique le Dr McCullough.

La CEPI prétend réunir des chefs d’État, des entreprises privées et des philanthropes pour « accélérer » le développement de vaccins afin de prévenir de futures « épidémies et pandémies » et de s’assurer que « toutes les personnes dans le besoin » aient accès à ces vaccins.

Son livre intitulé « How to Prevent the Next Pandemic » représente un des efforts les plus récents de Gates en faveur de la prolifération des vaccins. Dans l’ouvrage, Gates plaide pour la création d’une organisme mondial ultra-financé, gérée par l’OMS, et dont la mission serait de repérer la prochaine pandémie et d’y répondre, poursuit le Dr McCullough.

Selon le Dr McCullough, les vaccins n’aident généralement pas beaucoup pour prévenir les maladies liées aux infections des voies respiratoires supérieures mais ils ont tout de même été promus comme la réponse la plus efficace à la pandémie de Covid‑19.

« Il n’y a pas une seule piqûre dans le bras qui puisse vraiment faire quoi que ce soit pour une maladie respiratoire », affirme le Dr McCullough.

Il ajoute que les vaccins Covid ont été introduits « avec un argument implicite, et cet argument est : ‘Ils sont sûrs et efficaces, donc vous devez les prendre.’ Point final. Aucune négociation après ça. Aucune discussion officielle sur la sécurité et l’efficacité, aucune garantie de réévaluation, aucun examen mensuel sur leur sécurité ».

Le Dr McCullough qualifie cette utilisation mondiale des vaccins de « cataclysme biologique ».

Par ailleurs, la Food and drug administration (FDA) a tenté de dissimuler les informations relatives à l’innocuité et à l’efficacité des vaccins « en mettant sous scellés, pendant 55 ans, le ‘dossier Pfizer’, soit environ un demi‑million de pages de documents détaillant les principaux résultats du développement et de la mise en œuvre des vaccins », poursuit le Dr McCullough.

L’association Public Health and Medical Professionals for Transparency a poursuivi la FDA en vertu de la Loi d’accès à l’information (FOIA) et a demandé que le dossier soit rendu public.

Dans sa décision, le juge de district américain Mark Pittman a déclaré que la demande du groupe en vertu de la Loi d’accès à l’information était « d’une importance publique primordiale » et a ordonné à la FDA de communiquer 55.000 pages par mois (pdf).

« [Grâce à ces documents] nous avons appris qu’il y avait eu 1223 décès dans les 90 jours suivant le lancement mondial des vaccins Pfizer. La norme est généralement de 50 décès pour un produit largement utilisé, et il est retiré du marché. »

Les Centres américains de contrôle et de prévention des maladies (CDC) enregistrent certains des décès grâce à un registre permettant au grand public de signaler les effets indésirables liés au vaccins, le VAERS (Vaccine Adverse Events Recording System).

Le Dr McCullough indique que 13.000 décès ont été remontés au VAERS suite à l’administration des vaccins Covid.

« C’est stupéfiant. Nous n’avons jamais laissé un produit fonctionner comme cela pendant une telle période sans revoir la sécurité, sans signaler le problème. La sécurité n’a même pas été remise en question, même si cela entraînait la mort. »

Le Dr McCullough ajoute que les trois principaux vaccins ont également provoqué de nombreux effets secondaires non mortels mais graves, notamment des lésions cardiaques, des caillots sanguins et des maladies auto‑immunes..

Selon Dr McCullough, il est faux de prétendre que les vaccins réduisent les hospitalisations et les décès.

Il n’y a pas eu d’essais randomisés approfondis avec le médicament actif et un placebo pour montrer une réduction des hospitalisations et des décès, explique‑t‑il.

« Aucun des vaccins n’a fait l’objet d’essais cliniques avec placebo et critère compositeCe qui s’est passé au fil du temps, c’est un faux narratif qui s’est construit au fur et à mesure des données d’observation. »

Il y a eu de nombreuses « analyses biaisées par des enquêteurs et des médecins, ainsi que par l’industrie biopharmaceutique qui s’efforce de promouvoir les vaccins. »

Les analyses, précise‑t‑il, reposent sur des données erronées et biaisées. Ces données ne tiennent pas compte des personnes vaccinées qui sont hospitalisées. Au lieu de cela, toutes les patients qui arrivent à l’hôpital avec le Covid sont comptées par défaut comme non vaccinés.

Selon le Dr McCullough, la pandémie aurait pu prendre fin rapidement si des ressources avaient été consacrées à l’administration précoce de traitements à l’hydroxychloroquine et à l’ivermectine aux patients à haut risque. Mais au lieu de cela, ces traitements précoces ont été dénigrés.

Le Dr McCullough a également évoqué les anticorps monoclonaux, un autre traitement sûr et efficace écarté au profit des vaccins.

Malgré le fait que ces traitements précoces fonctionnent bien, ils sont retirés des rayons, mais les vaccins, dont la sécurité et l’efficacité n’ont pas été prouvées, ont été présentés au public comme la solution à la pandémie, explique le Dr McCullough.

M. Leake et le Dr McCullough ont décrit ce qu’ils ont observé et documenté comme une « solution vaccinale monolithique » pour tous les problèmes de santé publique.

« Voilà ce que sont ces fondations internationales, la fondation Gates, la fondation Rockefeller ou le Wellcome Trust, des gros bonnets qui ont misé tout leur argent sur les vaccins », affirme M. Leake.

Le livre documente la manière dont d’autres institutions nationales, comme les National Institutes of Health (NIH), profitent de ces vaccins et de leur relation avec les « philanthropes » fortunés.

« Ils ont en fait tenu une réunion dans la grande maison de Bill Gates, près de Seattle, en 2000. Pendant 20 ans, ils ont travaillé ensemble », poursuit M. Leake.

Il existe un programme de vaccination, dans lequel les pouvoirs en place veulent que chaque personne continue à se faire vacciner indéfiniment, annonce le Dr McCullough.

« Nous avons été traités avec le plus grand des mépris », poursuit le Dr McCullough. «. »

COVISOINS une initiative positive

Qu’est-ce que CoviSoins ?

D’après Louis Fouché, l’idée est de sortir de la critique. CoviSoins est avant tout une action alternative, quelque chose de positif ! La priorité n’est-elle pas de permettre à tous les patients touchés par la Covid 19 d’être soignés efficacement ? (16°

Aujourd’hui, CoviSoins rassemble 120 médecins environ, issus de Réinfocovid. C’est une approche pluridisciplinaire. Un ou plusieurs médecins sont associés à différents soignants. Ces équipes sont réparties par département et même pas communautés de communes sur l’ensemble du territoire. Elles proposent un accompagnement ambulatoire pour les personnes atteintes de Covid 19, c’est-à-dire un accompagnement de médecine de ville pour les malades (16).

Parmi les traitements proposés, certains font l’objet d’un consensus médical très large. En effet, le trio corticoïdes, oxygène et coagulants serait efficace pour aider les patients touchés par la Covid 19. Pour ce suivi, l’hôpital n’est pas nécessaire. Les médecins peuvent ainsi prescrire un traitement adapté à chaque situation et même faire venir de l’oxygène à domicile. Les autres soignants de Covisoins et en particulier les infirmier-ères vont à domicile vérifier que le patient va bien, ils peuvent mesurer leur saturation en oxygène. Mais le système de collaboration locale va plus loin car les autres membres de covisoins peuvent prendre des nouvelles par téléphone pour que les malades ne soient pas laissés seuls face à leurs angoisses mais aussi leur procurer de l’aide pour faire des courses ou simplement aller chercher leurs médicaments.. (16)

Une solution pour alléger le poids qui pèse sur les hôpitaux ?

Le réseau CoviSoins, malgré ses moyens limités, a soigné jusqu’à 1 000 patients Covid 19 par jour. C’est déjà conséquent. Si le gouvernement et les autorités de santé soutenaient l’initiative, des milliers de médecins pourraient s’y mettre. L’hôpital ne serait plus saturé. La situation des soignants et des patients y serait meilleure. (16)

CoviSoins dispose d’un secrétariat qui coordonne l’activité de ses équipes. Cinq groupes de travail lui sont associés qui couvrent différentes thématiques comme la prévention, l’aide aux soignants ou l’aspect curatif. Les scientifiques ou experts membres de ces groupes de travail proposent des prises en charge type, des fléchage de patients, des cahiers de suivi des patients ou encore des conseils surtout en matière de prévention. (16,17)

CoviSoins est plus qu’une aide aux patients. C’est un embryon de système de santé alternatif.

Une vision pour l’avenir

Les premiers retours que l’on trouve sur Internet liés au travail de CoviSoins sont positifs : patients et soignants semblent satisfaits de la formule. (17,18) Ce qui plaît, c’est l’humanité et l’efficacité des soins. L’attente est moins longue qu’ailleurs, l’approche est plus souple, moins administrative.

D’après Louis Fouché, les Agences Régionales de Santé pour l’heure ne semblent pas opposés au projet. Au contraire, certaines d’entre elles aimeraient se joindre à l’initiative. Elles craignent toutefois que le gouvernement ne s’y oppose. (16)

En tout cas, les fondateurs de CoviSoins y croient. Ils ont même prévu une suite au cas où, par bonheur, la Covid 19 reculerait. Dans ce cas, les unités constituées retrouveraient une vocation plus généraliste. Elles pourraient notamment aider, chez eux, de nombreux patients à prévenir ou accompagner des maladies de civilisation comme le diabète, l’hypertension, Alzheimer et les maladies dégénératives, des maladies chroniques ou même certains cancers. Pour l’heure elles sont déjà en train de prendre en charge les Covid longs mais aussi les personnes qui pensent avoir des complications vaccinales et qui ne sont pas reconnues comme telles.

16) https://www.francesoir.fr/videos-le-defi-de-la-verite/louis-fouche
(17) https://covisoins.fr/
(18) https://reinfocovid.fr/remerciements/mon-experience-covisoin/

Vidéos de pierre barnerias en entier /

Environ 2h30 sur un sujet vital dont l’actualité s’impose.

 

Un document à faire circuler, il brise l’Omerta. Un texte de haut niveau, mais clair, tout le monde peut comprendre.

Un document à faire circuler, il brise l’Omerta.

Graham E. Fuller est ancien Vice-Président du Conseil National du Renseignement de la CIA, responsable des Estimations Mondiales du Renseignement.

par Graham E. Fuller

18 juin 2022

La guerre en Ukraine dure depuis assez longtemps pour révéler certaines trajectoires claires.

Premièrement, deux réalités fondamentales :

-Poutine doit être condamné pour avoir lancé cette guerre – comme l’est pratiquement tout dirigeant qui lance une guerre. Poutine peut être qualifié de criminel de guerre – en bonne compagnie avec George W. Bush qui a tué beaucoup plus de personnes que Poutine.

-La condamnation secondaire appartient aux États-Unis (OTAN) pour avoir délibérément provoqué une guerre avec la Russie en poussant implacablement son organisation militaire hostile, malgré les notifications répétées de Moscou sur le franchissement des lignes rouges, jusqu’aux portes de la Russie.

Cette guerre n’aurait pas dû être si la neutralité ukrainienne, du type de celle de la Finlande et de l’Autriche, avait été acceptée.

Au lieu de cela, Washington a appelé à une défaite russe claire.

Alors que la guerre touche à sa fin, où vont les choses ?

Contrairement aux déclarations triomphalistes de Washington, la Russie est en train de gagner la guerre, l’Ukraine a perdu la guerre. Tout dommage à plus long terme à la Russie est sujet à débat.

Les sanctions américaines contre la Russie se sont révélées bien plus dévastatrices pour l’Europe que pour la Russie.

L’économie mondiale a ralenti et de nombreux pays en développement sont confrontés à de graves pénuries alimentaires et à un risque de famine généralisée.

Il y a déjà de profondes fissures dans la façade européenne de la soi-disant « unité de l’OTAN ». L’Europe occidentale regrettera de plus en plus le jour où elle a suivi aveuglément le joueur de flûte américain dans la guerre contre la Russie. En effet, il ne s’agit pas d’une guerre ukraino-russe mais d’une guerre américano-russe menée par procuration jusqu’au au dernier Ukrainien.

Contrairement aux déclarations optimistes, l’OTAN pourrait en fait en sortir affaiblie.

Les Européens de l’Ouest réfléchiront longuement et sérieusement à la sagesse et aux coûts profonds de provoquer des confrontations plus profondes à long terme avec la Russie ou d’autres « concurrents » des États-Unis.

L’Europe reviendra tôt ou tard à l’achat d’énergie russe bon marché. La Russie est à ses portes et une relation économique naturelle avec la Russie a finalement une logique écrasante.

L’Europe perçoit déjà les États-Unis comme une puissance en déclin avec une « vision » de politique étrangère erratique et hypocrite fondée sur le besoin désespéré de préserver le « leadership américain » dans le monde.

La volonté de l’Amérique d’entrer en guerre à cette fin est de plus en plus dangereuse pour les autres.

Washington a également précisé que l’Europe devait s’engager dans une lutte « idéologique » contre la Chine ainsi que dans une sorte de lutte protéiforme de « démocratie contre l’autoritarisme ». Pourtant, il s’agit plutôt d’une lutte classique pour le pouvoir à travers le monde. Et l’Europe peut encore moins se permettre de se lancer dans une confrontation avec la Chine – dont la “menace” perçue principalement par Washington parait peu convaincante pour de nombreux États européens et une grande partie du monde.

L’initiative chinoise “la Ceinture et la Route” est peut-être le projet économique et géopolitique le plus ambitieux de l’histoire mondiale. Il relie déjà la Chine à l’Europe par rail et par mer. L’exclusion européenne du projet “la Ceinture et la Route” lui coûtera cher. Notez que la ceinture et la route traversent la Russie. Il est impossible pour l’Europe de fermer ses portes à la Russie tout en conservant l’accès à ce méga projet eurasien. Ainsi, une Europe qui perçoit les États-Unis déjà en déclin est un peu incitée à rejoindre le train en marche contre la Chine.

La fin de la guerre en Ukraine amènera l’Europe à reconsidérer sérieusement les avantages de soutenir la tentative désespérée de Washington de maintenir son hégémonie mondiale.

L’Europe connaîtra une crise d’identité croissante dans la détermination de son futur rôle mondial. Les Européens de l’Ouest se lasseront d’être soumis à la domination américaine de 75 ans sur la politique étrangère européenne. À l’heure actuelle, l’OTAN se substitue à   la politique étrangère européenne et l’Europe reste inexplicablement timide pour affirmer une voix indépendante. Combien de temps cela prévaudra-t-il ?

Nous voyons maintenant à quel point les sanctions américaines massives contre la Russie, y compris la confiscation des fonds russes dans les banques occidentales, poussent la majeure partie du monde à reconsidérer la sagesse de miser entièrement sur le dollar américain à l’avenir. La diversification des instruments économiques internationaux est déjà dans les cartes et ne servira qu’à affaiblir la position économique autrefois dominante de Washington et sa militarisation unilatérale du dollar.

L’une des caractéristiques les plus troublantes de cette lutte américano-russe en Ukraine a été la corruption totale des médias indépendants.

En effet, Washington a remporté haut la main la guerre de l’information et de la propagande, orchestrant tous les médias occidentaux pour qu’ils chantent à partir du même recueil de cantiques pour caractériser la guerre en Ukraine. L’Occident n’a jamais été témoin d’une telle mainmise générale guidée par la perspective géopolitique idéologique d’un pays chez lui.

Bien sûr, la presse russe n’est pas non plus digne de confiance. Au milieu d’un barrage de propagande anti-russe virulent comme je n’en ai jamais vu pendant mes jours de guerrier froid, les analystes sérieux doivent creuser profondément ces jours-ci pour acquérir une compréhension objective de ce qui se passe réellement en Ukraine.

Si seulement cette domination médiatique américaine qui nie presque toutes les voix alternatives n’était qu’un soubresaut occasionné par les événements ukrainiens. Mais non! Les élites européennes se rendent peut-être lentement compte qu’elles ont été piégées dans cette position d’« unanimité » totale ; des fissures commencent déjà à apparaître dans la façade de «l’unité de l’UE et de l’OTAN».

Mais l’implication la plus dangereuse est qu’à mesure que nous nous dirigeons vers de futures crises mondiales, une véritable presse libre indépendante est en grande partie en train de disparaître, tombant entre les mains de médias dominés par les entreprises proches des cercles politiques, et désormais renforcée par les médias sociaux électroniques, tous manipulant le récit selon leur objectifs..

Alors que nous entrons dans une crise d’instabilité prévisible plus grande et plus dangereuse à cause du réchauffement climatique, des flux de réfugiés, des catastrophes naturelles et probablement de nouvelles pandémies, la domination rigoureuse de l’État et des entreprises sur les médias occidentaux devient en effet très dangereuse pour l’avenir de la démocratie.

Nous n’entendons plus de voix alternatives sur l’Ukraine aujourd’hui.

Enfin, le caractère géopolitique de la Russie a très probablement basculé de manière décisive vers l’Eurasie. Les Russes ont cherché pendant des siècles à être acceptés en Europe, mais ont toujours été tenus à distance. L’Occident ne discutera pas d’une nouvelle architecture stratégique et sécuritaire. L’Ukraine a simplement intensifié cette tendance. Les élites russes n’ont plus d’autre alternative que d’ accepter que son avenir économique se situe dans le Pacifique où Vladivostok se trouve à seulement une ou deux heures d’avion des vastes économies de Pékin, Tokyo et Séoul.

La Chine et la Russie ont maintenant été rapprochées de manière décisive et de plus en plus étroitement, spécifiquement par souci commun de bloquer la liberté sans entrave que s’octroient les États-Unis d’intervenir militairement et économiquement de façon unilatérale dans le monde.

Que les États-Unis puissent diviser la coopération russe et chinoise est un fantasme.

La Russie possède un génie scientifique, une énergie abondante, de riches minéraux et métaux rares, tandis que le réchauffement climatique augmentera le potentiel agricole de la Sibérie. La Chine a le capital, les marchés et la main-d’œuvre pour contribuer à ce qui devient un partenariat naturel à travers l’Eurasie.

Malheureusement pour Washington, presque chacune de ses attentes concernant cette guerre s’avère incorrecte.

En effet, l’Occident pourrait en venir à considérer cette erreur américaines comme l’argument final contre l’acceptation de la domination mondiale de Washington et contre ses confrontations toujours plus plus dangereuses et plus dommageables avec l’Eurasie.

La plupart des pays du reste du monde – l’Amérique latine, l’Inde, le Moyen-Orient et l’Afrique – trouvent peu d’intérêts nationaux dans cette guerre fondamentalement américaine contre la Russie.
http://brunobertez.com/2022/06/20/un-document-a-faire-circuler-il-brise-lomerta-un-texte-de-haut-niveau-mais-clair-tout-le-monde-peut-comprendre/

Bon été a tous !

Tal SCHALLER

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